cours 9 approche sociocognitive Flashcards

1
Q

la méthode d’étude utilisée par les sociocognitivistes

A

les méthodes idiographiques (intérêt particulier pour la singularité de la personne)

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2
Q

Vison de l’être humain

A

-l’être humain possède des compétences et des capacités mentales supérieures qui font en sorte qu’il peut diriger activement sa vie et réguler son comportement au-delà des influences du moment
–>En utilisant ses processus cognitifs pour se représenter les évènements, prévoir l’avenir et choisir différents moyens d’action.

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3
Q

Le comportement dépend en grande partie des …

A

attentes et des croyances des individus ;
–Théorie suppose que nos croyances et nos attentes par rapporta nous même et à l’avenir sont essentielles pour comprendre le cpt des gens  nos aspirations, objectifs, et façons d’envisager certaines taches deviennent une clé pour comprendre qui nous sommes et changer le cours des évènements si on le souhaite

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4
Q

libre arbitre?

A

contrairement à l’approche béhaviorale, selon les sociocognitivistes, l’être humain ne réagit pas passivement à son environnement  grâce à ses processus cognitifs la personne peut s’extraire des contingences du passé et diriger activement sa vie dans de nouvelles directions

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5
Q

le plus important c’est les cognitions ou l’environnement?

A

Les représentations mentales sont au moins aussi sinon plus importantes que les contigences externes pour comprendre le cpt

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6
Q

une croyance de la théorie qui s’oppose à la théorie des traits

A

L’individu peut adapter son comportement en fonction des situations.

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7
Q

la notion de débat personne-situation et comment les théoriciens des traits diffèrent des sociocognitivistes sur cet enjeu

A

-selon la théorie des traits de Costa et McCrae, ce sont les traits de personnalité qui déterminent le comportement habituel des gens (adaptations caractéristiques).
-Mischel a démontré que ceci est faux : la situation peut aussi influencer le comportement habituel.
-Alors.. La situation amènes des fluctuations importantes dans le cpt que la mesure des traits ne permet pas de prévoir

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8
Q

Les individus possèdent des patrons de comportement uniques.

A

-il semble que des régularités s’observent lorsqu’on regardes les variations situationnelles du cpt chex les individus sur une certaine période de temps leur cpt varie selon des patrons qui ne sont pas aléatoires, qui sont assez stables selon les types de situations

-

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9
Q

Les individus possèdent des patrons de comportement uniques. Comment se forment-ils? :

A

-Chaque situation vient avec ses propres attentes et croyance, dicte une manière appropriée d’agir (spécificité situationnelle)–>C’est pcq nos attentes et croyances sont spécifiques à des situations précises que nos actions fluctuent dans ces memes situations ça s’appelle la SPÉCIFICITÉ SITUATIONNELLE

-Chaque individu a ses propres façons de penser et de percevoir le monde(cognitions) ;

-L’individu est intelligent et capable de reconnaitre que différentes situations requièrent différents comportements (chaque nouvelle situation amène une réflexion sur comment se comporter) ;
—>notre comportement est ainsi le résultat de notre capacité à discriminer entre les situations et d’y réagir différemment en fonctions de variable psycho activées par ces situations  ainsi deux personnes qui ont des cognitions et attentes diff vont réagir diff entre situations de manière unique

–>Selon ses façons propres de penser et de percevoir le monde, l’individu interprète la situation et émet une série de comportements donnés ;
Ces comportements forment un patron d’action unique à l’individu, qu’il répètera lorsqu’il sera à nouveau dans ce type de situation (empreinte comportementale) ;
L’ensemble des empreintes comportementales forment la personnalité.
Chaque individu a ses propres empreintes comportementales qui forment sa personnalité, sa manière habituelle d’agir (stabilité temporelle, mais variations situationnelles du comportement).

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10
Q

Spécificité situationnelle def

A

Notion selon lawuelle une variable donnée de la personnalité est mise à contribution dans certains contextes, mais pas dans tous, qui explique la variation systématique du comportement individuel d’un contexte à l’autre

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11
Q

c’est quoi l’empreinte comportementale/ la signature comportementale

A

les individus ont des modes distinctifs de relation situation-comportement ce qu’ils ont appelé: EMPREINTES COMPORTEMENTALES

–> dans un certain type de situation j’agis comme ça

profils individuels de relations situation-comportement
Donc, deux individus peuvent montrer le mm niveau d’agression mais différer quant au type de situation ou s’exprime l’agressivité
comportements relativement cohérants dans telle ou telle situation mais les cpt de chacun diffère d’un type de situation à l’autre

def: profil qui distingue l’individu, caractérisé par les liens entre les situations et les comportements

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12
Q

Comportements/personnalité

A

spécificités de l’environnement (« socio »)
+
modes de pensée uniques à chaque individu (« cognitive »)

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13
Q

Quatre composantes qui forment la structure de la personnalité :

A

Croyances et attentes,
Objectifs personnels,
normes d’auto-évaluation
Compétances et habiletés concrètes

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14
Q

Nos croyances et attentes –> structure de la perso

A
  1. Croyances et attentes: témoignent de la facon dont on concoit l’avenir
    Anticipation qu’un scénario précis se concrétise dans une situation donnée ex: obtenir un A dans ce cours et etre admis l’an prochain dans un programme supérieur, si jsuis confiante à 80% etq ue je crois que cette note me donnera l’opportunité de rentrer je vais faire les efforts pour que ça arrive MAIS si j’estime que y’a aucun lien avec le cours (rentrer dans programme) ça fait une faible instrumentlité et si jpense que ma capacité à avoir un a est inférieure à 10% c’est faible sentiment d’auto-efficacité alors y’a une chance que le comportement reflète ce faible niveau d’attente

Deux types d’attentes:
- de résultat (instrumentalité)
- d’auto-efficacité (sentiment d’efficacité personnelle)

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15
Q

Les objectifs personnels–> structure de la personnalité

A

Évènement souhaité qui motive la personne sur de longues périodes ce qu’on souhaite qui se réalise est aussi une force qui permet d’organiser et de diriger notre vie sur de longues périodes de temps, plutôt que de réagir a des contigences ou des renforcements possibles dans le moment présent
Ex: mon rêve c’est être psy, visualiser cet objectif me permet de faire des choix allignés avec ça

nos réussites

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16
Q

Normes d’auto-évaluation–> structure de la personnalité

A

Normes d’auto-évalution: normes utilisées pour juger de nous même, nos actions et nos réussites
C’est l’interprétation des évènements plutôt que les évènements eux-mêmes qui influence les réactions des gens
Les individus sont en mesure de fixer pour eux-mêmes des normes personnelles qui stipulent ce qui est bien ou moins bien notament en fonction de leurs attentes et objectifs répondre à ces normes personnelles peut ainsi constituer un auto-renforcement de son comportement ex: si jme dis que c’est ok avoir un B alors obtenir un b va pas vrm pe choquer par contre si selon mes objectifs je dois obtenir un A alors avoir un B sera associé à des sentiments négatifs, à un état aversif quon essayera d’éviter un A+ lui des émotions de grande fierté

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17
Q

Nos compétences et habiletés concrètes
–> structure de la personnalité

A

Compétences et habiletés concrètes: pour mener à bien nos taches et diverses entreprises
Répertoire d’habiletés spécifiques que possède un individu et qui lui permettent d’agir avec plus ou moins d’efficacité selon les situation (ex: niveau de connaissance sur un sujet donné, capacité mentale, capacité sociale etc.)
Les différences individuelles qu’on observe entre les personnes sont en bonne partie dues à des variations dans l’aptitude des gens à accomplir différentes actions

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18
Q

Ces quatre composantes de la structure sont …

A

des perceptions interreliées qu’on les individus par rapport à des situations ou des résultats.

Compétences et habiletés  (savoirs et savoir-faire pour agir efficacement)
INFLUENCENT
–>le SEP (les attentes–L’attente de résultats (instrumentalité) à quel point je crois que si S se produit, Y se produira
ET L’attente d’auto-efficacité (sentiment d’efficacité personnelle)–> à quel point je suis confiant de pouvoir produire X)
QUI INFLUENCENT
Le niveau de difficulté des objectifs
QUI EST AUSSI INFLUENCÉ PAR
Normes d’auto-évaluation: objectifs souhaitables ou non

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19
Q

Définition d’attentes

A

anticipation ou prédiction d’un résultat attendu par l’individu dans une situation précise (conséquence envisagée)

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20
Q

Définition de sentiment d’efficacité personnelle,

A

fait partie des attentes et croyances
–> perception de sa propre aptitude à composer avec des situations précises

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21
Q

Définition de schéma/schéma de soi

A

fait partie des attentes et croyances
schéma: structure cognitive complexe qui guide le traitement de l’information

schéma de soi: généralisation cognitive à propos du soi qui oriente le traitement de l’information

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22
Q

objectif personnel def

A

évènement souhaité qui motive la personne sur de longues périodes et lui permet de transcender les influences du moment; représentation mentale du but d’une action ou d’une conduite

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23
Q

Différence entre les objectifs d’apprentissage et de performance IDK LOOK IT UP

A

objectif d’apprentissage –> objectif axé sur la découverte et la maîtrise d’une tâche donnée
Ex: j’écoute les commentaires constructifs des autres pour améliorer ma présentation

objectif de performance –> objectif axé sur l’impression laissée auprès de ceux qui sont susceptibles de vous évaluer
Ex: je me concentre sur l’impression que jvais avoir sur les autres en faisant ma présentation je veux avoir l’air intelligent —> je veux réaliser une belle performance

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24
Q

Définition de norme d’évaluation

A

critère permettant d’évaluer la valeur d’une personne ou d’une chose. Dans la théorie, les normes par lesquelles une personne évalue ses propres actions font partie de la régulation du comportement et de l’expérimentation d’émotions comme la fierté, la honte, la satisfaction et l’insatisfaction personnelles

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25
Q

Définition de réactions d’autoévaluation

A

sentiment d’insatisfaction ou de satisfaction (fierté) envers soi que l’on éprouve en réfléchissant à ses actions

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26
Q

La nature des structures sociocognitives de la personnalité

A

les croyances et attentes. objectifs personnels, normes d’évaluation et les compétences et habiletés doivent être comprises comme des formes de pensée distinctes

–> chacune d’elle peut etre comprise comme un sous-système cognitif faisant partie de système général qu’est la personnalité

–> selon cette conception les théoriciens n’attribueraient jamais des notes à une personne pour mesurer la quantité de chaque variable décrivant une personne –> perso trop complexe pour ça

-chacune des quatres structures de la perso varie selon chaque situation sociale

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27
Q

l’autorégulation

A

-processus associé à la motivation interne –> capacité de l’individu à se motiver lui-mm en se fixantdes objectifs personnels, en planifiant des stratégies et en évaluant et modifiant son cpt—> permet de fixer des objectifs et d’viter les distractions externes et pulsions émotives

–> autorégulation concerne toutes les structures de la personnalité –> les gens régulent leur cpt en se fixant objectifs personnels et en évaluant leur cpt selon des normes d’évaluation de leur rendement –> les attentes sont également déterminantes pour le SEP qui est nécessaire pour la perseverance

—-> capacité de l’individu à entrevoir les résultats et à planifier en conséquence –> c’est l’anticipation de la satisfaction qui nous motive –> donc! les gens sont proactifs et ne se contente pas de réagir au évènements –> on se fixe des buts et on les accomplit

L’individu est capable de s’autoréguler : de motiver et d’ajuster son comportement
–.> autorégulation: capacité de motiver son propre comportement (initier cpt, poursuivre objectifs, ajuster ses actions)
–.> l’individu dirige sa vie

def: processus psycho par lequel la personne motive son comportement, à partir de référents internes (ex: objectifs personnels, normes d’auto-évaluation, croyances et attentes)

28
Q

ce qui permet l’autorégulation et comment

A

Ce sont les processus cognitifs qui permettent l’autorégulation
–.> comment s’autoréguler? Par la mise en œuvre de processus cognitifs
–.> objectifs –.> attentes –.> sentiment d’efficacité personnelle –.> normes d’auto-évaluation : son les barêmes qui vont définir notre effort quand la situation n’est pas celle qu’on souhaiterait
–.> ces processus cognitifs peuvent se dev de façon délibérée et ainsi, augmenter le potentiel d’auto-régulation de l’individu –.> la perso est percue selon ces processus (plutôt qu’un structure) qui expliquent la variabilité des cpt
La personne est un agent causal –.> par ses processus il peut causer le cpt

-Bandura préfère expliquer la personnalité en termes de processus que de structure : la personnalité est malléable

29
Q

Exemple d’autorégulation:la gratification différée

A

la gratification différée
–> gros impact de l’apprentissage par modelage
–> quand modèle agit d’une certaine manière et parle des avantages de ce qu’il a fait (prendre plus petite recompense à la place d’attendre) l’enfant va faire de même..
–> l’enfant fait souvent ce qui est récompensé et va faire comme son modèle
–> enfants qui ont modèles qui attendent jamais vont pas attendre nn plus

30
Q

LE DÉTERMINISME RÉCIPROQUE

A

Selon le déterminisme réciproque, la personne, l’environnement et le cpt sont en interaction constante et se déterminent lun et l’autre
–>Influence réciproque entre la personne, son comportement et l’environnement :

–> les gens subissent l’influence de l’environnement, mais ils décident aussi de ce qu’ils font. Il réagissent aux situations, mais ils choisissent et construisent aussi des situations. Ils choisissetn des situations autant qu’ils sont façonnés par elles…

voir p.408

31
Q

différence avec autres perspectives quant à la cause du comportement :

A

-Uniquement les forces internes à la personne (par ex. Costa et McCrae)
-Uniquement son environnement externe (par ex. béhavioristes)
-Les forces internes à la personne ET son environnement externe–> L’individu peut choisir ses environnements et comportements grâce à ses processus cognitifs

32
Q

influence entre cpt, individu et environnement

A

-Causalité à double sens, autant l’environnement peut fçaconner la personne, autant la personne peut modifier son environnement en changeant ses perceptions de la situation ou en changeant ses cpt

–> Tout dépend de la valeur prédictive de chacun…
–.> la force explicative de chacun des éléments dépend de la valeur prédictive de chacun –.> certaines contingences sont plus fortes que d’autres
Ex: si chaque fois jme fais arrêter jutilise le charme et ça fonctionne à 80% jvais continuer pcq sa valeur prédictive est élevée –.> ici alors c’est plus les représentations mentales
Mais si y’a nouvelle règle et la les policiers peuvent plus être charmés alors c’est l’environnement qui va plus dicter le comportement

En somme
–.> les interactions continues entre les processus cognitifs des personnes, les contingences de l’environnement et les cpt émis permettent de déterminer ce que la personne est et ce qu’elle deviendra

33
Q

la personnalité c’est quoi pour eux

A

–> la personnalité se forme des 4 composantes –> croyances et attentes, objectifs personnels, normes d’évaluation, compétences et hbailetés

–.> la personnalité est le résultat d’intéractions dynamiques qui sont, au moins en partie, influencées par la motivation du sujet (auto-régualtion)

–.> le sujet est ainsi un agent actif qui détermine et crée les environnements dans lequel il évolue

34
Q

déterminisme réciproque vs déterminisme environnemental (vérifier)

A

déterminisme environnemental–> l’environnement dicte le comportement 100%

déterminisme réciproque–> des facteurs personnels (caractéristique de la personnalité, cognitions), le comportement et l’environnement ont une influence causale les uns sur les autres

35
Q

les notions d’autovalorisation et d’autovérification et comment chacune d’entre elles peuvent influencer le comportement

A

autovalorisation: désir de maintenir ou d’améliorer des visions positives de soi
–> conduit les gens à surestimer leurs qualités et à améliorer leur image de soi en se comparant seulement à ceux qui font bcp moins bien

autovérification: désir d’acquérir de l’info qui correspond au concept de soi; motivation à recueillir de l’info qui confirme son propre concept de soi
–> une personne introvertie commence convo en parlant de son weekend à la maison consacré à la lecture –> il vérifie sa conception de soi
–> les genre fréquentent les gens qui le svoient comme ils se voient eux mm

36
Q

c’est quoi la méthode d’apprentissage ?

A

Méthode d’apprentissage similaire à celle mise de l’avant par l’approche béhaviorale…

… avec une distinction notable: alors que les béhavirosites mentionnent que l’on apprend par des expérimentations directes (ex: associations entre un stimulus et une récompense), bandura mentionne que l’on peut apprendre par la simple observation de modèles
–.> Ce type d’apprentissage se nomme apprentissage vicariant ou modelage

37
Q

la définition d’apprentissage vicariant/modelage et ses deux caractéristiques

A

définition d’apprentissage vicariant: apprentissage de façons d’être et d’agir par l’observation d’autrui

2 caractéristiques de l’apprentissage vicariant :

1.capacité de développer des représentations mentales du comportement observé et de s’y référer par la suite
–>Développement de représentations mentales d’un comportement observé chez autrui et capacité à s’y référer par la suite ;

2.emmagasinage mental d’actions observées, des conséquences associées à ces actions, et de cognitions ou de réactions émotives observées chez autrui en lien avec le cpt ciblé
–> Emmagasinage mental non seulement du comportement en tant que tel, mais aussi des conséquences qui y sont associées chez autrui (conséquences positives ou négatives? est-ce que c’est un comportement que je veux reproduire?).

on peut alors apprendre des facons d’agir mm si elles n’ont fait objet d’aucun conditionnement directe pour les renforcer –.> des cognitions vont aussi etre mises à l’œuvre pour déterminer si on va répéter le cpt ou non)

38
Q

différence entre la conception de l’apprentissage
des béhavioristes vs des sociocognitivistes (revoir)

A

béhavioristes–>apprentissage par conditionnement seulement

–> ici on a pas besoin d’être conditionné directement, on peut apprendre en regardant qqun qui lui a été conditionné ou mm pas! bref.. ex: jpeuc acquérir peur de serpent juste pcq mon modèle lui a peur! pas besoin d’avoir été conditionné

39
Q

conclusions de l’étude de Bandura poupée bobo

A

Bandura a exposé les participants à trois conditions d’apprentissage diff
Observation de cpt d’agression récompensés
observation de cpt d’agression punis
observation de cpt d’agression sans conséquence

ensuite bandura a observé la quantité de comportements agressifs des participants dans deux situations: permière ou y’a pas d’incitatif ou de renforcement, seconde ou il y en avait

Résultats montrent trois choses: 1. les renforcements directs (avec incitatif) augmentent la fréquence des cpt (conforme à la prédiction des béhavioristes)
2. l’observation d’un modèle récompensé augmente la fréquence des cpt vs modèles puni quand il n’y a pas d’incitatif
3.c’est surtout ce résultat qui est une découverte importante: le niveau d’agression dans les trois groupes était le même lorsque les comportements d’agression étaient encouragés (avec incitatif), qu’ils observent un modèle récompensé, puni ou sans conséquence

Conclusion: peu importe les conséquences associées au cpt, tous ont acquis les cpt dans leur répertoir mental par simple exposition
–.> conclusion est importante car elle bouscule l’idée que tout doit etre renforcé pour être appris

40
Q

implications relativement à l’apprentissage vicariant de l’étude de Bandura sur poupée bobo

A

L’apprentissage vicariant ne permet pas uniquement l’apprentissage de comportements, il permet aussi l’apprentissage de compétences cognitives :
Façons de penser
Normes d’autoévaluations
Etc.

Importance d’exposer les enfants à des modèles positifs favorisant un bon développement. –>
–.> pour acquérir par observation des compétences qui leurs parents n’ont pas
–.> expérience montre aussi que l’exposition à des modèles négatifs a des mauvaise répercussions sur le répertoire mental

41
Q

Comprendre la notion de conditionnement émotionnel vicariant

A

–,> les réactions émotionnelles que nous avons peuvent avoir été développées suite à l’observation répétée d’un modèle–.> ce phénomène se nomme conditionnement émotionnel vicariant

Conditionnement émotionnel vicariant : récations émotionnelles développées suite à l’observation répétée d’un modèle
eX: si je vois un modèle de référence avoir peur d’un animal en particulier, il est possible que je développe la peur de cet animal sans même avoir été exposée moi-mm au stimulus ou à ses conséquences

–.> émotions positives elles aussi peuvent être conditionnées ex: si un mentor décrit comment des situations d’adversité lui ont permi de grandir, il est possible que ceci nous permet de forger des associations positives entre situations d’adversité et des émotions positives

42
Q

pourquoi on fait modelage, exemples de choses qu’on apprend par modelage, différence entre modelage et imitation

A

–> parfois, l’apprentissage ne peut se faire par essaie erreur parce que les erreurs sont trop couteuses… (béhavioristes eux c’est essai erreur)

–> l’enfant aprend à parler en observant et écoutant parents
–> on apprend quels cpt sont acceptables et lesquels inacceptables dans des contextes sociaux

–> diff de l’imitation pcq ici ils font pas exactement ce que modèle fait.. les gens apprennent des règles générales de comportement en observant autrui. Ces règles leur permettent ensuite de générer une variété de comportements
–> acquisition d’info par observation, sans nécessairement l’intériorisation des modèles généraux de comportement de la personne

43
Q

Comprendre la différence entre l’acquisition et l’exécution

A

–> s’il est possible d’apprendre ou d’acquérir un modèle de comportement par l’observation et donc sans recevoir de renforcement, son exécution elle dépend des récompenses et des punitions!

44
Q

□ Section « L’efficacité personnelle, les buts et les réactions d’autoévaluation » *

A

–> la motivation découle à la fois de la présence d’objectifs et de la connaissance de son rendement par rapport à une norme –> un écart plus grand entre la norme et le rendement entrainerait une insatisfaction de soi plus grande et pousserait à déployer plus d’efforts pour améliorer son rendement.

–> un des ingrédient essentiels de cet effort c’est le SEP

–> le sentiment d’efficacité perso et les réactions d’autoévaluations interviennent entre l’établissement d’un objectif et le déploiement d’efforts pour l’atteindre

revoir 418

45
Q

□ Section « La maitrise de soi et la gratification différée » *

A

umm idk..
gtaification différée c’est quand tu diffère une récompense pour avoir qqchose de mieu plus tard)

46
Q

□ Section « L’apprentissage de la capacité à différer la gratification » –> Comprendre les grandes conclusions de l’étude de Bandura et Mischel

A

déjà vu.. p.419

–> l’enfant apprend par modelage la gratification différée –> il va faire mm chose que le modèle mm si avant il avait un autre cpt ex: enfant qui sait différer va arreter de la faire pcq modèle a pas différé et en plus il lui a dit pk c’est mieux de pas différer

–> pas de différence entre modèle physique et symbolique (dans un texte)

–> les effets de l’expéreince on duré mm après! ils ont retesté 4 semaines plus tard et enfant faisait encore ça

47
Q

□ Section « Le paradigme de la gratification différée selon Mischel » –> -Le facteur clé qui permet la gratification différée chez les enfants

A

le facteur clé est ce qui occupe l’esprit des enfants pendant qu’ils attendent la grosse récompense!
–> arrivent mieux quand ils peuvent se distraire de penser à la récompense

–> c’est plus important ce qui occupe son esprit que ce qui est devant lui alors… l’objet du désir peut etre devant sa face mais si il imagine ex que la guimauve c’est en fait un nuage il va etre capable d’attendre

–> plus facile de maitriser ses réactions quand on pense aux caractérsitiques factuelles plutot que caractérsitiques émotives d’une situation

48
Q

Section « Le paradigme de la gratification différée selon Mischel » –>Savoir si l’aptitude à maitriser ses impulsions et émotions (à la base de la gratification différée) demeure stable durant toute la vie

A

oui! relativement stable toute la vie

49
Q

la psychopathologie c’est quoi

A

Psychopathologie : résultat de croyances (schémas) irréalistes ou inadaptées.

50
Q

le traitement en gros sert à..

A

Traitement : corriger les distorsions cognitives et les remplacer par des cognitions plus réalistes et adaptées.

51
Q

psychopatho Les facteurs clés qui engendrent les réactions problématiques sont les

A

Les facteurs clés qui engendrent les réactions problématiques sont les : croyances et les attentes par rapport au futur
–.> Les réactions problématiques tendent à se perpétuer et à se généraliser dans différentes sphères de la vie. –.> d’où l’intérêt d’agir directement sur ces croyances pour améliorer la situation–>Importance de cibler ces facteurs clés dans le traitement.

52
Q

impact du discours interne sur les problèmes de cpt (psychopatho)

A

Le discours interne problématique a une influence causale sur les problèmes de comportement et d’adaptation des gens.
–.> le discours interne devient un handicap ex: « Je ne serai jamais capable », « Il faut que je sois toujours parfait », « Je n’arrive jamais à faire quoi que ce soit de bon », « c’est toujours comme ça»
–.> ce type de cognition joue un role CAUSAL pour expliquer les problèmes de cpt et d’adaptation des gens
–.> ces cognitions problématiques ont été désignées selon différents auteurs comme: discours interne problématique = cognitions problématiques = pensées automatiques = croyances irrationnelles = attentes provenant de schémas inadaptés

53
Q

□ Caractéristiques fréquentes des schémas inadaptés/croyances inadaptées/discours interne problématique/distorsions cognitives * ??? NO IDEA

A

???

54
Q
  • Connaitre les 2 caractéristiques des schémas inadaptés/croyances inadaptées/discours interne problématique/distorsions cognitives
A

✓ Ce sont des croyances absolues –> (par ex. « il faut que je sois toujours parfait », « je n’arrive jamais à faire quoi que ce soit de bon », « Les choses vont toujours mal ».

✓ Ces croyances traduisent une vision négative de soi, du monde et/ou du futur –> « Je suis nul », « La vie n’est pas juste, ce sont uniquement les autres qui ont du succès » et « Je vais rester seul et sans ami toute ma vie ».

55
Q

Les 2 étapes pour traiter les schémas inadaptés/croyances inadaptées/discours interne problématique/distorsions cognitives

A

-première étape: identifier et éliminer les croyances, attentes ou schémas problématiques
-ex: beck a dev une thérapie pour éradiquer trois cognitions clés qui causent la dépression

-deuxième étape: Remplacer les cognitions problématiques par des cognitions bénéfiques (Bandura) –>
instaurer des cognitions bénéfiques et instrumentales pour réaliser des tâche ou des états désirés
ex: approche qu’a développé bandura, pour qui le rehaussement du sentiment d’efficacité personnelle est le meilleur levier pour modifier le cpt

IMPORTANCE D’AUGMENTER LE SENTIMENT D’EFFICACITÉ PERSONNELLE POUR MODIFIER LE COMPORTEMENT DES GENS

56
Q

3 vagues d’intervention et où se situent les béhavioristes par rapport aux sociocognitivistes (différence entre les deux approches)

A
  1. Approches béhaviorales → modifier les contingence de l’environnement pour changer le comportement (par ex. Skinner) ;
  2. Approches cognitives → modifier l’environnement, mais aussi pensées/croyances pour changer le comportement + instauration, modification ou élimination des croyances qui jouent un rôle causal(par ex. Beck, Ellis, Bandura)

3.Approches centrées sur les émotions → observer et accepter les émotions pour changer le comportement (par ex. Acceptance and Commitment Therapy, pleine conscience).
–> ils ont bâti sur l’approche cognitive

57
Q

□ Connaitre la définition de thérapie cognitivo-comportementale

A

approche psychothérapeutique qui vise à modifier des comportements, émotions et/ou cognitions inadaptées en faisant appel à une procédure systématique et qui est orientée vers un ou des objectifs sur lesquels s’entendent le client et le thérapeute

58
Q

les 4 éléments clés des approches cognitivo-comportementales *

A

1.Cibles d’intervention précises: des cognitions ou des cpt précis à modifier sont identifiés comme cibles d’intervention, l’intervention vise les causes actuelles plutôt que les causes du passé lointain–.> on se centre ce qu’on peut travailler ici et maintenant avec le client et sur ce qu’on peut lui faire apprendre (comme des nouveaux modes de pensée)

2.Démarche structurée et de courte durée: une fois la cible du changement identifiée, l’objectif est de recourir a une méthode structurée afin d’arriver à atteindre la cible visée, typiquement ceci consiste à decomposer la tâche en sous-tâches, à apprendre des techniques spécifiques pour atteindre l’objectif, à passer en revue les difficultés rencontrées et à identifier des moyens pour y faire face –.> le succès est évalué et chaque étape de la démarche est documentée de façon scientifique, la démcarche peut ainsi être reproduite avec d’autres clients si efficace

3.Collaboration thérapeute-client: c’est le client qui indique ce qu’il veut améliorer et c’est de là que part le thérapeute pour proposer un objectif et des moyens pour l’atteindre, une alliance s’établit alors sur l’objectif et les méthodes de travail, client et thérapeute deviennent des partenaires dans la démarche et prennent ensemble les meilleures décisions possibles pour favoriser le changement désiré

4.Rôle actif du client dans la démarche: facteur clé, car c’est en disant ce qu’il pense et ce qu’il ressent que le thérapeute peut mieux saisir les cognitions du client et ajuster ses interventions, aussi, l’approche est centrée sur l’action, car les petites réussites sont selon bandura l’une des meilleures façons d’augmenter le sentiment d’efficacité personnelle et d’amener des chnagements durables dans la vie des gens

–.> les pricnicpe de l’approche cognitivo-comportementale s’applique intégralement à l’approche de bandura

59
Q

les 2 modalités d’intervention selon Bandura *

A

**les deux modalités s’appuient sur le principe de l’apprentissage vicariant

  1. Modelage: observation d’un modèle pour acquérir le comportement, apprendre les conséquences associées au comportement, et le répliquer
    –.> le client observe un modèle qui exécute les tâches qu’on souhaite lui faire apprendre, il peut ainsi acquérir le comportement, apprendre les conséquences associées et éventuellement répliquer le cpt
  2. Participation guidée :
    -Comme pour le modelage, le thérapeute propose d’abord une démonstration du comportement à apprendre

-mais aussi, il guide verbalement (l’encourage, lui donne de la rétroaction) le client dans la réalisation des tâches (un peu comme un coach)–>Permet de décomposer le comportement en plus petites actions (renforcer chaque action réussie → les petites victoires du client) ;

–.> il permet au client de dev un dsicours interne positif face à la tâche à accomplir –.> ainsi, en guidant le client pour qu’il réussise la tâche, il permet a celui-ci de vivre une expérience de maitrise face à la tâche

–.> les conditions optimales sont ainsi réunies dans la modalité participation guidée pour rehausser le sentiment d’efficacité personnelle et ainsi rehausser la performance attendue pour la tâche ciblée

60
Q

laquelle des 2 modalités d’intervention de Bandura est la plus efficace et pourquoi *

A

-la participation guidée produit les meilleurs résultats sur la performance
- À cause de la hausse accrue du sentiment d’efficacité personnelle dans cette condition ((« Je suis capable de faire face à cette menace)
–.> la hausse du SEP s’est généralisée à des situations différentes (différents types de serpents) –.> patient a compris qu’il savait faire face à ce TYPE de menace, plutôt qu’un simple effet de désensibilisation à un stimulus particulier

61
Q

ce qui augmente les probabilités de changement

A

le SEP

62
Q

conditions à mettre en place pour augmenter le sentiment d’efficacité personnelle :

A

–.>Choisir un modèle auquel le client peut s’identifier: en terme de caractéristiques sociodémographiques ou par exemple en terme d’habileté percue par rapport à la tâche à apprendre –.> avec cette identification il sera plus facile à ce que le client prête attention au modèle et qu’il se dise fnlm que lui aussi peut etre capables de réussir la tâche

–.> Structurer le comportement à apprendre en une série de plus petites actions et les organiser dans une hiérarchie du plus facile au plus difficile (donc de plus en plus difficiles): ceci demande d’analyser une activité et la décomposer en sous-tâches, ensuite avec l’aide du client on peut ordonnancer le degré de diff afin de s’attaquer aux sous-tâche les plus faciles en débutant

–.>Faire vivre des petits succès au client en milieu contrôlé (ex: dans sa clinique ou dans une environnement où on peut monitorer les cpt du client) avec la participation guidée: offrir de la rétroaction au client et de le guider en temps réel lors de l’acquisition du nouveau cpt

–.> un fois le cpt établi, Fournir des occasions de pratique en milieu contrôlé: ex: à travers des jeux de rôle ou à l’exposition à des mises en situation légèrement différente de la situation initiale –.> ceci permet de consolider les sentiments d’efficacité personnelle de la personne à faire face à certains types de situations

–.>Favoriser une autonomie croissante chez le client dans la régulation de ses comportements en dehors du milieu contrôlé: il doit en venir lui-meme à s’autoréguler dans l’accomplissement de tâches en dehors du milieu contrôlé, ce qui suppose la maitrise de son discours interne et de ses émotions seloon des situations lui posant des défis–.> il est alors recommandé d’indiquer au client qu’on demeure disponible pour le soutenir et le guider s’il en a besoin de façon ponctuelle ou plus soutenue dans la réalisation indépendante de ses nouveaux apprentissages

-thérapeute passe au début d’un rôle d’enseignant ensuite à un rôle de conseiller dans la démarche du client

63
Q

observations scientifiques??

A

ouii fucking!!

–> grande diversité des données
–> en labo, en clinique,
–> méthodes diverses
–> population diverse aussi

–>la théorie qui s’appui sur le plus grand volume de données scientifiques et systématiques

64
Q

théorie est-elle systématique?

A

PAS SYSTÉMATIQUE
–> pas un ensemble cohérant dont tous les éléments sont bien interreliés
–> plus comme un cadre conceptuel dans lequel pourrait s’élaborer une théorie

65
Q

théorie est-elle vérifiable?

A

ouiii

–> les études sont vrm bien faites et y’a tjrs la possibilité dans l’étude qu’ils soient wrong!!

66
Q

la théorie est exhaustive?

A

assez complète… ils ont abordé la motivation, le développement, le concept de si, la maitrise de soi, et le changement de cpt

-MAIS quelques lacunes quand mm
–> pas bcp d’attention à certains aspects de l’epérience humaine ex: les forces biologiques de la matuartion etc..
–>donc manque encore bcp de trucs à être abordés!

67
Q
A