prat inf exam FINAL Flashcards

1
Q

Signification et impacts de la douleur, attitudes et croyances

A

réactions de douleur changent

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2
Q

Évaluation de la douleur

A
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3
Q

Déterminer les facteurs qui influencent la douleur.

A

¨ Influencée par la perception de l’événement qui la
génère, les expériences passées et les émotions
¤ ↑ émotions négatives (stress, anxiété, peur) → ↑ douleur
¨ Varie d’une personne à l’autre en fonction de
nombreux facteurs et donc difficile à prédire
¤ Exemple d’une étude : concordance infirmière et autres
soignants vspatient (Grossman et al., 1991)
n Douleur: 0-2 = 82%; 3-6 = 51%; 7-10 = 7%
-expérience subjective

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4
Q

Déterminer le constat approprié chez une personne qui présente de la douleur.

A
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5
Q

quelle théorie associée à connaissances sur douleur et démarche de soins (éval de doul)

A

théorie gestion des symptomes

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6
Q

douleur=nociception

A

faux

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7
Q

définition douleur (nature)

A

Une expérience sensorielle et émotionnelle
désagréable associée ou ressemblant à celle
associée à une lésion tissulaire réelle ou
potentielle
n Expérience subjective, influencée par des facteurs
biologiques, psychologiques et sociaux
n Douleur ≠ nociception
n L’expérience de douleur décrite par une personne devrait
être acceptée comme tel et respectée
¨ Influencée par la perception de l’événement qui la
génère, les expériences passées et les émotions
¤ ↑ émotions négatives (stress, anxiété, peur) → ↑ douleur
¨ Varie d’une personne à l’autre en fonction de
nombreux facteurs et donc difficile à prédire
¤ Exemple d’une étude : concordance infirmière et autres
soignants vspatient (Grossman et al., 1991)
n Douleur: 0-2 = 82%; 3-6 = 51%; 7-10 = 7%

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8
Q

Nocicepteur définition

A

récepteur nerveux préférentiellement sensibleaux stimulations nociceptives

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9
Q

Stimulus nociceptif définition

A

une stimulation de nature mécanique, thermique ou chimique d’intensité suffisante pour activer des nocicepteur

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10
Q

nociception définition

A

information (activité chimio-électrique) potentiellement douloureuse avant son arrivée à la conscience

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11
Q

Algique définition

A

relatif à la douleur

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12
Q

Antalgique définition

A

: propre à calmer la douleur

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13
Q

Analgésique définition

A

: absencede douleur à la suited’une stimulationnormalement
douloureuse

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14
Q

Hyperalgésie définition

A

réponseexagérée à unestimulationhabituellement
douloureuse

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15
Q

Hypoalgésie définition

A

diminution de la douleur en réponse à une simulation normalement douloureuse

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16
Q

composantes de la douleur sont évaluées par quoi

A

pqrstu

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17
Q

3 composantes de la douleur (expérience de la douleur)

A

perception, évaluation et réponse

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18
Q

douleur classifiée selon 2 catégories

A

origine et durée (aigu ou chronique)
origine: doul. nociceptive (somatique-viscéral) et doul. neuropathique (lésion ou dysfonctionnement récepteurs ou transmission influx)

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19
Q

composantes physiologiques de la doul

A

Stimulation sympathique du SNA(douleurfaible à
moyenne)
n ↑ PA, ↑ FC,diaphorèse
¤ Stimulation parasympathique du SNA(douleur
intense ou profonde)
n ↓ PA, ↓ FC,pâleur, nausées
¤ Douleur chronique
n Adaptation physiologique : pas nécessairement de signes
physiques et physiologiques

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20
Q

Composantes émotionnelles et
comportementales de la doul

A

Varient selon les personnes
¤ Anxiété, anticipation, peurs
¤ Serrer les dents, soutenir ou protéger la partie
douloureuse,secourber,grimacer,pleurer,gémir,
être agité, solliciter fréquemment l’infirmière,
etc.
¤ Maisaussi: absenced’expression…

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21
Q

types de d’origines de la douleur 2

A

nociceptive: Stimulation des
nocicepteurs périphériques (Pression, irritation, sensibilisation (ex.
inflammation))
- somatique: Tissus cutanés, os, muscles,
articulations ( Relativement bien localisée
* Intensifiée par le mouvement, sensible à la pression
* Décrite comme: coup de couteaux,
déchirement, etc))
-viscérale: Sensibilisation des
nocicepteurs viscéraux ou
distension des viscères ( Habituellement mal circonscrite, constante,
profonde
* Décrite comme : crampes, élancements, torsion
* Douleur irradiante))))
neuropathique: Lésion ou
dysfonctionnement des
récepteurs ou de la
transmission de l’influx
nerveux (( Brûlure, compression, irritation
* Difficile à soulager efficacement
* Décrite comme: brûlure, engourdissement,
picotement, choc électrique, etc.)))

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22
Q

role de la douleur aigu

A

protection et alarme, évite aggraver

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23
Q

effets/conséquences douleur chronique

A

(plus de trois mois):
¤ Pasde rôle de protection : provoque de la fatigue,
unépuisement physique et mental (risque de
dépression)
¤ Insomnie, isolement social

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24
Q

effets et impacts de la doul. non soulagée

A

¨ Effets de la douleur non soulagée
¤ Affecte le système immunitaire
¤ Perturbe le sommeil
¤ Entraîne de l’anxiété, de la dépression et des
troubles de l’humeur
¤ Affecte les activités et le fonctionnement
quotidien (AVD, AVQ, activités sociales,
travail), entraîne de l’immobilité
¤ Provoque de l’isolement social
¤ Entraîne de la fatigue
¤ Peut engendrer une douleur chronique à
moyen ou long terme

Effets surl’état
dela douleur
Coût
Auto-soins
Mortalité
Statut émotionnel
Statut fonctionnel
Qualité de vie
Morbidités et comorbidit

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25
Q

nommer facteurs qui influencent douleur

A

Selonlathéoriedegestiondessymptômes
¤ Ladouleurestinfluencéeparlescaractéristiquesde:
personnes,environnementetsantéetmaladie
¤ Quels facteurs sontidentifiés plus précisémentdans
votre Potter qui ont démontré une influence sur la
douleur?
¤ Quels facteurs risquentd’influencerla douleurde Mme
Delarochelière?
culture (tolérance douleur), âge, antécédents médicaux, sexe, génétique, expériences antérieurs, famille, facteurs spirituel, anxiété, signification de la doul pour la personne

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26
Q

outils et méthodes d’évaluation de la douleur (subjectif et objectif)

A

Signes objectifs (non spécifiques)
¤ Signes vitaux, examen clinique de la zone douloureuse,
indicateurs comportementaux (Potter Encadré33.9 ou18.22)
¨ Évaluation subjective
¤ PQRSTU: évaluation du symptôme n Échelle de mesure : valide, la même
n 0 à 3 = léger; 4 à 6 = modéré; 7 à 10 = élevé
¤ Facteurs, environnement, caractéristiques personnelles,
résultats
n Peut être guidé par l’évaluation AMPLE
-échelle verbale descriptive, échelle numérique, échelle visuelle analogue

doul + profonde et intense: système parasympathique

toujours même échelle pour vérif efficacité intervention

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27
Q

priorisation des sources de données-ordre

A

Propos du patient lui-même
¤ Condition pathologique ou procédures qui occasionnent
habituellement de la douleur ¤ Comportements
¤ Propos de la famille
¤ Mesures physiologiques (S.V.)

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28
Q

sources d’erreur sur mesures/données douleur

A

Sources d’erreurs (voir encadréPotter)
¤ Attitudes, croyances, mythes, préjugés n Ex. morphine = mort fine
¤ Questions vagues, inappropriées

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29
Q

vf anxiété et stress augmentent doul

A

vrai

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30
Q

quel contexte interventions non pharmacologiques doul

A

de blessures
musculosquelettiques

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31
Q

c quoi intervention pharmacologique gestion doul

A

opiacés

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32
Q

quels sont moyens pour gestion doul

A

Gestion de la douleur
¤ Interventions non pharmacologiques
n Dans un contexte de blessures
musculosquelettiques
¤ Interventions pharmacologiques : les opiacés
n Exercer une surveillance clinique des effets
indésirables et complications
n Intervenir chez unpatient qui présente unrisque
de dépression respiratoire

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33
Q

à quel moment gestion doul

A

après constat

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34
Q

Méthodes non pharmacologiques dans un contexte de blessures
musculosquelettiques, 2 approches

A

approche cognitivo-comportementale (relaxation, méditation, musique, distraction, imagerie mentale)
et
approche physique (digitopuncture, stimulation cutanée, activité physique)

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35
Q

but de l’approche cognitivo-comportementale gestion doul

A

modifier comportement personne, donner impression qu’elle maitrise doul

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36
Q

but de l’approche physique gestion doul

A

procurer confort physique, diminuer craintes

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37
Q

application de glace: quand, effets, attention, but

A

¨ Douleurs musculo-squelettiques (extrémités, cou
et dos)
¤ En phase aigue (inflammatoire) : Durée = 10-15 min à toutes heures/2h
¤ Diminue la force de la réaction inflammatoire
(incertain), diminue les spasmes, soulage la douleur
¤ Attention : durée application
n Risques d’engelures cutanées si contact direct
-diminue inflammation

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38
Q

méthodes application glace

A

¨ Méthodes
¤ Sac de glace (glace concassée) = meilleur choix
n Aussi: saclégumesgelés, coussingel (recouvrir d’une serviette)
n Initialement, sensationde froid intense,puisde brûlure avec des picotementset unelégère douleur pouvant durer environ5 minutes. Parla suite, anesthésietemporaire de la région
¤ Appliquer sur la région douloureuse pendant 10-15 min (ne pas dépasser 20 min)
n Aux 2 heures(Lignesde pratique actuelles : pourrait être diminué qh) n Éviterle contact direct avec la peau
¤ Contre-indications
n Urticaire aufroid, n Problèmescirculatoire, de diabète (si complications circulatoires et neurologiques), d’hypertension sévère, maladie de Raynaud
diminue inflammation
surtout chirurgie et gériatrie

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39
Q

application chaleur quand, effets, attention, but

A

¨ Douleurs musculo-squelettiques (extrémités, cou et
dos)
¤ Enphase subaiguë, de réadaptation ou chronique
¤ Permet de regagner le maximumde mouvement, active la
guérison et soulage la douleur n Effet surla circulation sanguine et surles récepteurs de la douleur
¤ Attention :
n Augmente la réaction inflammatoire : pas dans les premiers 48 heures
n Risque de brûlure (personnes âgées, diabétiques avec
complications neurologiques ou personne avec autres problèmes
neurologiques)

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40
Q

méthodes application chaleur

A

¨ Méthodes
¤ Bain chaud ou douche, couverture électrique, le sac
magique, le coussin rempli de gel, l’enveloppement
thermique, le coussin électrique
¤ Appliquer sur la région douloureuse pendant 20 min
(30 max) - recommandation OPPQ et ACSM
n Éviter le contact direct avec la peau
¤ Contre-indications
n Saignements actifs, plaie, infection, maladie de peau
n Problèmes circulatoire, cancer

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41
Q

température à ne pas dépasser chez personnes à risque de brulure: exemple troubles cognitif…

A

46

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42
Q

mettre chaud/froid direct sur peau?

A

non, entourer de serviette pas direct

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43
Q

tendre/défroisser draps aide à gérer stimulus douleur

A

vrai

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44
Q

4 principes de soins infirmers concernant l’administration des analgésiques opioides

A

-connaitre réactions antérieures de la personne aux analgésiques
-choisir analgésique approprié lorsque plus d’un med est prescrit
-évaluer moment opportun pour administration des med et intervalle approprié
-connaitre posologie exacte, aussi surveillance

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45
Q

6 effets secondaires opiacés

A

* Constipation =>fécalome accumulation selles intestin
¤ Persistejusqu’àlafin:doittoujoursêtrepriseencomptedansletraitement médicamenteux(ajout d’un émollientet/ou d’un laxatif léger)
**
** Nausées et vomissements
¤ Souvent transitoire(48-72heures)
¤ Soulager PRN avec antiémétiques
** Somnolence(personne âgée:changement état mental possible)
¤ Transitoire en début de traitement et lors de changements de doses
¤ Importance d’informer la personne et ses proches
¤ Mais aussi: euphorie, dysphorie, anxiété, délirium
**
* Bouches èche (effet anticholinergique)
¤ Se prolonge tout au long du traitement
¤ Importance des soins de bouches appropriés
**
Rétention urinaire (effet anticholinergique)
¤ Généralement peu fréquent et transitoire
¤ Les personnes âgées y sont plus sensibles
¤ Surveillance importante, surtout en début de traitement
**
***dépression respiratoire

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46
Q

Opiacés : Prévention des effets secondaires

A

* Constipation =>fécalome accumulation selles intestin
¤ Persistejusqu’àlafin:doittoujoursêtrepriseencomptedansletraitement médicamenteux(ajout d’un émollientet/ou d’un laxatif léger)
**
** Nausées et vomissements
¤ Souvent transitoire(48-72heures)
¤ Soulager PRN avec antiémétiques
** Somnolence(personne âgée:changement état mental possible)
¤ Transitoire en début de traitement et lors de changements de doses
¤ Importance d’informer la personne et ses proches
¤ Mais aussi: euphorie, dysphorie, anxiété, délirium
**
* Bouches èche (effet anticholinergique)
¤ Se prolonge tout au long du traitement
¤ Importance des soins de bouches appropriés
**
Rétention urinaire (effet anticholinergique)
¤ Généralement peu fréquent et transitoire
¤ Les personnes âgées y sont plus sensibles
¤ Surveillance importante, surtout en début de traitement
**
***dépression respiratoire

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47
Q

pourquoi connaitre effets sec opiacés

A

pour intervenir en amont, soulager et les éviter

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48
Q

progession 4 dépression SNC, échelle de sédation

A

atteinte état conscience=>atteinte état respiratoire=>atteinte grave état respi=>atteinte systemique resultant apport o2 insuffisant, acummul. co2=>arret cardiorespi imminent

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49
Q

facteurs des risques accrus dépression respi, clientèle qui requiert surveillance clinique accrue opiacés

A

-6 mois
+70
naive à un opiacé
MOPC
apnée sommeil
insuffisance rénale ou hépatique
doul. intense qui cesse subitement
trauma cranien
obésité
qui prend autres med effet dépressif sur snc ex: antiémétiques, antidépresseurs, antihistaminiques…

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50
Q

paramètres à évaluer surveillance opiacés

A

-intensité doul
-degré sédation (S 1 2 3 4 )urgence 3+
-état R sur 60 sec, fréq, rythme, amplitude, ronfle, spo2 (tardif)

manifest physique pour personne agée avec trouble cognitif
réveiller la personne si dort à cause opioides

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51
Q

évaluation sédation opioides

A

s sommeil normal éveil facile
1 éveillé alerte
2 parfois somnolent, éveil facile
3somnolent s’éveille mais s’endort durant conversation
4 endormi profondément, s’éveille difficilement ou pas du tout à stimulation
à partir 3 urgence

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52
Q

quand surveillance opiacés

A

** Évaluer les paramètres pendant les 24 premières heures :
¤ au moment d’administrer chaque dose d’opiacé
¤ aupic d’action de l’opiacé administré
¤ ensuiteà intervalles de 1 à 2 heurespour toute la durée d’action de l’opiacé administré
n Cette durée d’action peut doubler en présence d’insuffisance rénale ou
hépatique
**
** Ajuster ensuite la fréquence des évaluations selon l’état de
santé du client
¤ Reprendre la fréquence initiale de surveillance chaque fois que la
dose est augmentée de façon importante (>50 %) ou qu’il y a un
changement de molécule.

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53
Q

5 signes de dépression respi-surveillance opiacés

A

¨ Signes de dépression respiratoire
¤ Score de sédation égal ou supérieur à 3
¤ Périodes d’apnée, pauses respiratoires fréquentes ou
présence de forts ronflements
¤ Bradypnée
n FRà moinsde 8 = dépressionrespiratoire possible
n Accroitre la surveillancesi moinsde 12/min., selonle degré de
sédation
¤ SpO2 à 92% ou moinspersistant malgré repositionnement
(sansO2)
¤ T.A.et P: signes tardifs (avant la 1ière dose; à déterminer
ensuite

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54
Q

Interventions recommandées en cas despress ipoioides

A

¤ Niveaux de sédation S,1 et 2 n On peut continuer l’administration des opioïdes
¤ Niveaux de sédation 3 et 4 :
n Aviser le médecin
n Maintenir la surveillance constante de l’état respiratoire aussi
longtemps que le niveau de sédation est à 3 (une inf. au chevet) n Travail de collaboration à deux infirmières (une reste au chevet)
n ↑ tête du lit à 30º ou plus
n Inciter à prendre de grandes respirations q 15min
n O2 PRN(doit être prescrit)
n Naxolone (Narcan) : Selon ordonnance collective ou individuelle

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55
Q

2 grandes surveillances cliniques opiacés

A

douleur et degré de sédation

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56
Q

Présenter les activités favorisant la réadaptation ou le rétablissement lombalgies

A

levée genous vers poitiune sur dos
levée jambe simple sur le dos
levée jambres double sur le dos
bascule du bassin sur le dos avec muscle fessier
demi redressenebt assis
levée sur les coudes (étirement bas dos) sur le ventre
bascule hamche de coté étirement
felxion avant du tronc debout sans plier genous
détendre dos et travailler abdos
avec maintien, de facon progressive selon tolérance
ne pas faire dans la phase aigu

renforcer muscles abdo et fessers

activit.s: natation, marche, vélo, tai-chi yoga
sports équipe
1-5.5 h par sem faible intensité à modérée sur 3-5 jours par 10-15 min

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57
Q

Reconnaître l’importance de la mobilisation

A

thérapie par exercice: méthode non phamaco pour renverser effets doul par mobilisation
aussi pour prévention maladie
ankilosée: spasmes par alitement prolongé cause douleur, important de mobiliser

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58
Q

Appliquer les notions de positionnement sécuritaire

A

dormir cote et fléchir genous
dormir dos et soulever genous et jbs avec oreiller
15 min exercice matin et soir avec 2-3 min réchau, contractions muscu et détente
transport objets légers près corps
maintenir poids santé
application chaleur et frloid
utiliser coussin soutient lombaire ou oreiller pour s’asseoir
inclinaison avant quannd debout ++ avec pied sur marche

posture: entension et flexions trop prononcées à éviter, augmenter amplitude selon tolérance

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59
Q

Facteurs de risque des lombalgies

A

tonus musculaire insuffisant
surplus de poids
mauvaise posture
tabagisme
stress
conditions de travail
sédentarité

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60
Q

Positionnements sécuritaires et lombalgies

A

dormir cote et fléchir genous
dormir dos et soulever genous et jbs avec oreiller
15 min exercice matin et soir avec 2-3 min réchau, contractions muscu et détente
transport objets légers près corps
maintenir poids santé
application chaleur et frloid
utiliser coussin soutient lombaire ou oreiller pour s’asseoir
inclinaison avant quannd debout ++ avec pied sur marche

posture: entension et flexions trop prononcées à éviter, augmenter amplitude selon tolérance

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61
Q

Recommandations des activitivés lors de lombalgies 3

A

thérapie pharmaco,
thérapie par exercice: méthode non phamaco pour renverser effets doul par mobilisation
interventions psychologiques (thérapie comportementale)

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62
Q

Effets de l’activité physique sur la douleur

A

thérapie par exercice: méthode non phamaco pour renverser effets doul par mobilisation

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63
Q

recommandations activités physiques

A

cumuler exercices (min 10 min)de facon modéré/marche rapide
varie avec age et besoins et asnté osseuse
adulte 30 min+ par jour, 4-5 x semaine=3-4h par sem
tout type activité
activités peu intenses doit etre plus souvent et plus longtemps

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64
Q

beinfaits exercices sur prévention primaire et secondaire de quelles pahtologies 4

A

coronopathie
hypertension artérielle
MPOC
diabète

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65
Q

facteurs influant sur tolérance activité

A

psychologique: douleur, hypoxémie, prob muscu, squel

facteurs émotionnels: motivation, dépression, dépendance chimique, anxiété
lié au dév: age, sexe
grossesse

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66
Q

exercices isotoniques c quoi+exemple+avantages

A

change longueur muscle, contraction musculaire

marche, nage, jogg, vélo

++
améliore circ et fonctionnement respi
prévient otéoporose
augmente tonus, masse et force muscu

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67
Q

exercices isométriques c quoi+exemple+avantages

A

tension musculaire sans mouvement

ex: contraction quadriceps ou fessiers
++
s’adapte bien à la personne immobilisée au lit
sont bénéfiques pour la personne incapable de tolérer exercices isotoniques

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68
Q

exercices isométriques contre résistance c quoi+exemple+avantages

A

contraction musculaire en poussant contre objet fixe ou en résistant au mouv. d’un objet
ex: traction et poussée contre un appuie pied

++++
augmente degré résistance et durée de contraction musculaire
améliore force et endurance du muscle
aide a promouvoir force musculaire
donnent suffisament de tension aux os pour promouvoir activité ostéoblastique

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69
Q

bienfaits activité physique sur corps humain

A

systèmes: cardio (+débit card, meilleur retour veineux), respi (améliore ventilation alvéolaire, respi plus facile, renforce muscle respi princial diaphragme), musculosquel (tonus, mobilité articul, tolérance muscle, réduit perte osseuse)
aussi
tolérance à activité (diminue fatigue)
métabolisme (chaleur, trigycérides…)
facteurs psychosociaux( (bien etre, amélioration tolérance au stress)
système immunitaire (diminution certaines maladies)

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70
Q

évaluer condition santé

A

mobilité et doul

IMC + tour de taille : indique risque de développer prob santé relié au poids (diabète 2, hypertension, maladies coronariennes, cancer…)
obésité:risque élevé

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71
Q

BMAT: banner mobility assessement tool à savoir par <3

A

classer la personne selon besoins et capacités, niv pour une personne à mobilité restreinte
niv 1 - éval: force tronc et équilibre assis
niv 2 - éval: force memb inf et stabilité
niv 3 - éval: force memn inf pour la station debout
niv 4 - éval: équilibre debout marche

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72
Q

ankilosée

A

spasmes par alitement prolongé cause douleur, important de mobiliser

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73
Q

recommandations douleur aigue subaigue ou chronique

A

RECOMMANDATION 1
Traitement non pharmacologique: par chaleur superficielle (preuves de qualité modérée), massage, acupuncture ou
manipulation vertébrale (preuves de faible qualité).
Traitement pharmacologique*: anti‐inflammatoires non stéroïdiens ou relaxants des muscles squelettiques (preuves de
qualité modérée)
RECOMMENDATION 2:
Lombalgie chronique: traitement non pharmacologique avec exercice, réadaptation multidisciplinaire, acupuncture,
réduction du stress basée sur la pleine conscience (preuves de qualité modérée),
Tai‐chi, yoga, exercice de contrôle moteur, relaxation progressive, biofeedback électromyographique , la thérapie au laser
de faible intensité, la thérapie opérante, la thérapie cognitivo‐comportementale ou la manipulation vertébrale (preuves de
faible qualité).
RECOMMENDATION 3:
Réponse inadéquate au traitement non pharmacologique, envisager un traitement pharmacologique avec des anti‐
inflammatoires non stéroïdiens comme traitement en premier.
Les opioïdes comme une option que chez les patients qui ont échoué aux traitements susmentionnés (Niveau :
recommandation faible, preuves de qualité moyenne).

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74
Q

dosage des activités

A

1-5.5 h par sem faible intensité à modérée sur 3-5 jours par 10-15 min

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75
Q

effets activité physique

A

Renforcer les muscles stabilisateurs du tronc
(dorsaux et abdominaux)
Augmenter la force, l’endurance
Augmenter la flexibilité (exercices
d’étirements jambe et dos)

effet sur au moins 4 sem/après

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76
Q

but alignement corporel

A

Réduis les tensions sur les
structures musculosquelettiques
Contribue à l’équilibre
Maintiens le tonus musculaire

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77
Q

mesures préventives positions sécuritaires

A

Travailler en équilibre (alignement du centre de gravité dans le
polygone de sustentation)
 Resserrer les muscles abdominaux.
 Utiliser son propre poids pour entamer le mouvement.
 Éviter les torsions avec charge
 Réduire au maximum la charge
 Ne pas soulever l’objet si l’on n’est pas certain de pouvoir le faire de
façon sécuritaire.
 Avoir une bonne prise sur la charge à porter.
 Soulever la charge près de son corps.
 Soulever doucement, sans saccades.
 Éviter la friction (résistance due à la masse à déplacer)
 Limiter les mouvements avec lordoses exagérées

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78
Q

activité physique et doul en phase aigu…

A

Le repos au lit n’est pas recommandé
Éviter les mouvements favorisant la douleur
L’activité Physique / exercices sont recommandés pour
éviter une détérioration de la condition physique
pouvant mener à la sédentarité ou à l’immobilité

79
Q

effets exercices sur lombalgie

A

***en phase aigu activité physique sans douleur est sécuritaire ainsi que les flexions et extensions du bas du dos
L’exercice peut être considéré comme un médicament, il réduit:
 les symptômes de la lombalgie (flexibilité, l’amplitude des mouvements, la force
musculaire, qualité de vie )
* Les activités supervisées semblent plus efficace
* 10‐15 min d’activité, 3 à 5 jour par semaine
 les symptômes de douleur et améliore la réalisation des AVQ
 Pour de meilleurs effets, l’exercice doit être effectué sur une période supérieure à 4
semaines
 Les interventions biospychosociales (exercice + psychologique) semblent être une
meilleure avenue pour le traitement de lombalgie non spécifique
Nécessité de plus de recherche pour cibler les interventions adaptées

80
Q

effet de l’exercice sur la douleur 9

A

L’exercice peut être considéré comme un médicament :
* Diminue la perception de l’intensité de la douleur
* Diminue la douleur chronique
* Agit en prévention en cas de douleur chronique
* Améliore le bien être subjectif

 L’activité (aérobie, résistance, flexibilité) réduit
significativement la douleur.
 Activité régulière aussi bénéfique que la médication
(analgésiques/ NSAID).
 Combiné aux autres traitements non pharmacologiques,
l’A.P. entraine une réduction de la douleur.
 Réduction de la douleur à court et moyen terme.
* Augmentation de la douleur de manière transitoire
* Effets variables sur la fonction psychologique et la
qualité de vies
* Créer des expériences positives

81
Q

mécanismes d’action de activité physique sur douleur

A

L’exercice atténue la douleur chronique lombaires via :
 L’étirement permet de réduire les contractures et
les spasmes musculaires
 Amélioration de la condition physique
 Diminution crainte de douleur lors des AVQ/AVD
 Libération endorphines (sensation de bien être)
 L’interaction sociale
 Réduction de la peur d’évitement
 Réduction de l’anxiété réduit la peur d’avoir mal

82
Q

Effets de L’ A.P. sur la douleur (effet hypoalgésique)

A

Chez le sujet sain, réduction de la perception de
la douleur selon le type d’exercice (aérobie,
isométrique
et résistance
)
 Chez le sujet avec douleur chronique, l’effet est
variable selon la condition et l’intensité de
l’exercice
Mécanismes d’action peu connus: probablement les
beta‐endorphines associés aux changements de la
sensibilité à la douleur

83
Q

aspects sécuritaires activité physique en cas de lombalgies

A

***en phase aigu activité physique sans douleur est sécuritaire ainsi que les flexions et extensions du bas du dos

84
Q

Connaître le rôle de l’inf en matière promotion de la santé lié à l’activité physique

4 composantes

A

Le bilan de santé :
 Aider les personnes à identifier les facteurs pouvant avoir
une influence sur leur santé (habitudes de vie, contexte
psychosocial).
 Vérifier leur intérêt à ce que certaines conditions ou
maladies soient détectées précocement afin de diminuer leur
impact sur la santé (diabète, cancers).
 Soutenir la personne dans l’adoption ou le maintien de
comportements favorables à la santé (tabagisme, activité
physique, alimentation, immunisation).
 Soutenir la personne dans un processus d’autonomisation à
l’égard de sa santé

**évaluer, intervenir, assurer le suivi, expliquer

85
Q

Connaître les cibles canadiennes en matière d’activité physique

A

0-4
180 min/jour =>60 min à 5 ans
habiletés motrices

5-17
60 min/jour intensité modérée à élevée (élevé 3J/sem)
activités renforcent muscles et os 3J/sem

18-64
150 min/sem modéré à élevé par min 10 min
muscles et os 2J/sem

65+
même que 18-64
+ activits équilibre pour prévenir chutes mobilité réduite

86
Q

Expliquer les bienfaits de l’A.P dans la prévention primaire et secondaire des maladies

A

moyen thérapeutiques pour améliorer la santé: activité physique

87
Q

Connaître les moyens d’évaluation de la condition physique

A

outils, grilles et entretien
Évaluer le niveau d’activité
En santé:
La condition physique
 L’inactivité (sédentarité)
 Le type d’activité
 L’intensité des activités
 La tolérance à l’effort
 L’intérêt + fréquence
Immobilité (diminution de l’autonomie):
La capacité fonctionnelle
 Niveau de mobilité
 Statut fonctionnel
 Force
 Équilibre
 coordination
Questionnaire menez une vie plus active
Entretien
Collecte des données
BMAT
Collecte des données
SMAF …

88
Q

Proposer des interventions adaptées à la pratique de l’A.P/ suivi/ référence aux services*

A

Guider vers les services
 Centre d’éducation pour la
santé
 Kinésiologue
 IPSL ou médecin
 Programme intégré
d’équilibre dynamique (PIED)

89
Q

intervention en lien avec activité physique

A
  • Promotion de la
    santé
  • Bienfaits de l’A.P.
  • Prévention
  • Mobilité
  • Outils
    d’intervention
90
Q

avd vs avq exmples

A

AVD - taches domestiques et sociales
 Faire les courses
 Faire l’entretien
ménager
 Préparer les repas
 Assurer son transport
AVQ - besoins de bases
 S’habiller
 Manger
 Se déplacer
 Aller aux toilettes
 Effectuer ses soins
personnels

91
Q

définition activité physique

A

Ensemble des mouvements corporels qui
augmente le rythme cardiaque et la
respiration.
Tout mouvement corporel produit par les
muscles squelettiques utilisant de l’énergie.
AVD est activité physique pour adulte

92
Q

3 intensités activités perception effort

A

Légère/Faible
* Capacité de
discuter
* Pas
d’essoufflement
* Pas de sudation
Modérée
* Respiration
rapide
* Sudation légère
* Intensité de 5 ou
6 sur 10 de la
capacité
* Discussion faible
* Augmentation
du rythme
cardiaque
Élevée
* Prononcer
quelques mots
* Essoufflement
* Sudation
* Intensité de 7 à 8
sur 10 de la
capacité
* Rythme
cardiaque élevé

93
Q

exemple activités faible intensité enfant, jeune et adulte

A

faible intensité = AVD et AVQ
Chez l’enfant et le jeune
* Marche
* Étirements légers
* Hygiène personnelle
* Jeu avec un animal
domestique
* Promenade avec un chien
* Billard
Chez l’adulte et l’aîné
* Marche lente
* Tâches ménagères (course,
vaiselle, cuisine)
* Surveillance d’enfants
* Étirements légers
* Hygiènes personnelle
* Jardinage léger

94
Q

exemple activités intensité modérée enfant, jeune et adulte

A

Chez l’enfant et le jeune
* Les loisirs (randonnée,
canoë, planche à roulette,
patinage)
* Vélo ou marche rapide
* Tâches ménagères
(aspirateur, tondeuse)
* Jeux actifs (baseball,
football)
Chez l’adulte et l’aîné
* Marche rapide
* Aquagym
* Vélo (moins de 16km/h)
* Loisirs (tennis, danse)
* Jardinages et les tâches
ménagères

 180 ou 60 min/ jour  150 min/ semaine

95
Q

exemple activités intensité élevée enfant, jeune et adulte

A

Chez l’enfant et le jeune
* Jeux actifs impliquant la
course et la poursuite (tag)
* Vélo
* Corde à sauter
* Art martiaux (karaté, judo)
* Course
* Sports structurés variés
(tennis, natation, ..)
* Loisir (ski de fond)
Chez l’adulte et l’aîné
* Marche athlétique et rapide
* Natation rapide
* Tennis
* Danse active
* Vélo (16km/h et plus)
* Corde à sauter
* Jardinage intense
* Randonnées avec sac à dos
lourds
http://www.csep.ca/fr/directives/glossaire‐2017
 180 ou 60 min/ jour  150 min/ semaine

96
Q

exemple activités renforcement musculaire enfant, jeune et adulte

A

Chez l’enfant et le jeune
* Tir à corde
* Pompes
* Exercices de résistance avec
bande élastiques
* Escalade (carde, arbre)
* Jeux dans les parc
* Transport et soulèvement
d’objets
Chez l’adulte et l’aîné
* Levés de poids
* Exercices avec bandes
élastiques
* Exercices de résistance
(pompe, redressement
assis)
* Jardinage intense

 3 jours/ semaine  2 jours/ semaine

97
Q

exemple activités renforcement os enfant, jeune et adulte

A

Chez l’enfant et le jeune
* Marelle
* Sauts à cloche pieds, pieds
joints
* bonds
Chez l’adulte et l’aîné
* Saut, bond, escaliers
* Levés d’objets lourds
* Transport d’objets lourds
* Jardinage intense

Activités communes
 Course
 Corde à sauter
 Levée de poids
 Sport à impact (gymnastique, volley, basket, tennis)

98
Q

quoi évaluer 2 types de conditions/état physique

A

Évaluer le niveau d’activité
En santé:
La condition physique
 L’inactivité (sédentarité)
 Le type d’activité
 L’intensité des activités
 La tolérance à l’effort
 L’intérêt + fréquence
Immobilité (diminution de l’autonomie):
La capacité fonctionnelle
 Niveau de mobilité
 Statut fonctionnel
 Force
 Équilibre
 coordination
Questionnaire menez une vie plus active
Entretien
Collecte des données
BMAT
Collecte des données
SMAF …

99
Q

outils évaluation activité physique niveau et capacités 2

A

PQRSTU ET EM

100
Q

BMAT évalue quoi

A

Évaluation de la mobilité, statut fonctionnel surtout en cas d’immobilité
Test
Niveau 1 - assis avec déstabilisation
Force du tronc
Équilibre assis
Niveau 2 - étirer et pointer
Force des membres inférieurs
Stabilité
Niveau 3 - debout
Force des membres inférieurs pour
la station debout
Niveau 4 - marche
Équilibre debout
Marche

101
Q

comment inf intervient dans activité physique

A

pour personne en santé ou active
 Intensité des activités
 Types d’exercices/activités
 Expliquer les bienfaits
 Favoriser la prévention
 Référer

pour personne immobilité
mobiliser
référer

102
Q

activités pour mobiliser pt

A

****Amélioration de l’équilibre ou
entraînement à l’équilibre
 Exercices statiques et
dynamiques conçus pour
améliorer l’équilibre
 en présence d’oscillations
posturales
 de stimuli de déstabilisation
 par le déplacement
autonome,
 l’environnement …
**
****Activités de renforcement
musculaire
 Activités de renforcement
musculaire pour
 force
 contre résistance
 exercice d’endurance
 Activités ou exercices qui
augmentent
 la force
 la puissance et l’endurance
 la masse des muscles

103
Q

5 types exercices mobilisation et effets techniques actives

A

-mobilisation active=>diminue perte force
-renforcement muscu(contre résistance, isométrique…)=>maintient activité musculaire
-équilibre=>limiter troubles orthostatique et tonus musculaire
-station debout: augmenter tonus musculaire
transfert marche: autonomie

104
Q

5 types exercices mobilisation et effets techniques passives

A

-positionnement: améliore confort et prévient complications
-mobilisation passive=>réduit atrophie augmente vol. sang
-verticalisation=>facilite mise en charge. prévient contractures muscu, augmente force membres inf, améliore éveil et capacités respi

105
Q

bienfaits activité physique ainés

A

Pour les adultes de 65 ans et plus, être actifs pendant au moins 150
minutes par semaine peut contribuer à réduire le risque :
* De maladies chroniques telles que l’hypertension et les maladies
du cœur
* De décès prématuré
Et peut également aider les aînés à :
* Conserver leur autonomie fonctionnelle
* Conserver leur mobilité
* Améliorer leur condition physique
* Améliorer ou maintenir leur poids corporel
* Maintenir leur santé osseuse
* Maintenir leur santé mentale et à se sentir mieux

106
Q

bienfaits mobilisation client hospitalisé

A

Mobilisation =
 Marcher
 Être debout
 Assis sur une chaise
 Renforcer les muscles
(passive/active)
avec ou sans assistance

Niveau physique, moins de:
 Risque de delirium
 Douleur
 Risque d’infection urinaires
 Fatigue
 Pneumonies
Amélioré marquée sur:
Distance de marche
Fonction physique globale
Niveau psychologique, moins de:
 Dépression, anxiété
 Symptômes de détresse
Amélioration du confort
Niveau social, amélioration de:
 Qualité de vie
 L’indépendance
Niveau organisationnel, diminution de:
 La mortalité
 Durée de séjour

107
Q

état de santé dépend dose AP 2 formes

A

Activité physique = comportement
Condition physique = état

108
Q

AP prévient quoi

A

L’ A.P. régulière joue un rôle efficace dans la prévention
primaire et secondaire de:
 MCV
 l’obésité
 l’hypertension
 DST2
 certaines formes de cancer (du côlon et du sein)
 l’ostéoporose, de l’arthrite
 de plusieurs troubles psychologiques

109
Q

3 mécanismes d’adaptation activité

A

Effets de l’A.P. sur plusieurs conditions sont dues à:
**** Adaptations indirectes modifient la composition
corporelle
 Perte/ contrôle du poids / Réduction de l’obésité
**
** Adaptations directes
 Diminution de la T.A au repos / Amélioration des profils lipidiques
 Amélioration des profils lipidiques
 Amélioration de la fonction endothéliale
** Adaptations particulières
 DST2: ex. augmentation de la distribution du glucose musculaire
 Cancer: fonction immunitaire et effets directes sur la tumeur

110
Q

conséquence inactivité

A

 Mortalité: maladie de l’appareil circulatoire
(33,3%), cancer (29,1%), DST2 (3,49%)
Lien entre inactivité/ condition physique et la mortalité
prématuré (réduction jusqu’à 50%)
Comorbidités: Inactivité + obésité sont prédicteurs
de mortalité
Diminution de la mortalité même en présence de
maladies chronique ou facteurs de risques
(hypertension, MPOC, tabagisme, DST2, IMC élevé)

Sédentarisme /inactivité
 Augmentation du risque de
MCV
 Diminue l’espérance de vie
 Diminue la santé osseuse
 Perte musculaire

111
Q

pts importants activité pĥysique

A

Adaptée au niveau de base de la personne (faible,
modéré, élevé ou simplement la mobilisation)
Le niveau de tolérance détermine la condition
physique et l’état de santé
Effet positif sur plusieurs maladies (prévention
primaire et secondaire)
Diminue le risque de mortalité et de comorbidités
L’importance de l’effet dose‐réponse pour un
effet positif sur les différents systèmes

112
Q

Vieillissement démographique (causes)

A

ainés plus âgés, diminution taux natalité, diminution taux mortalité infantile et augmentation espérance de vie, diminution fécondité, augmentation personnes âgées

113
Q

Définition de la personne âgée (trois groupes, deux phénomènes)

A

65+
-65-74 (jeunes vieux)
-75-84 ans (vieux-vieux) maladie chronique perte autonomie
-85 ans et plus (très vieux) besoin soins et services

Phénomène de l’hétérogénéité interindividu
Phénomène du vieillissement intra-individu

114
Q

-Vieillissement normal versus signes pathologiques (normal)

A

Le vieillissement normal se rapporte aux modifications normales et universelles à
survenir lors de l’avancement en âge.
* Tous les individus, sans égard à leur génétique, à leur environnement (ex.: eau, air, climat) et à
leurs habitudes de vie (ex.: alimentation, exercice, gestion du stress) présentent des modifications
communes telles que les diminutions de l’acuité auditive, de la force musculaire, de la capacité
respiratoire et cardiaque, de la fragilisation des téguments, etc.

-état mental: maintient personnalités et social
-état cognitif: diminue mémoire(3), capacité attention, prob. complexe, peu effets quotidien
-état neurologique: diminution sensibilité, coordination, réfelexe, ralenti
-sommeil: réveil+ , sieste, + temps au lit, éveil matinal, répartition heures différents, pas normal si + 30 min endormir
-audition: diminue, comprendre conversations milieu bruyant, provenance sons dure à déterminer, assèchement sérumen(bouchons pas normal)
-vision: diminution, vision nocturne, sensible éblouissement, abaissement paupières
-poumons: diminution capacités, moins tolérance
-coeur: baisse repos, irrégularités passagères, perte efficacité
-bouche: + caries, diminution ressentir soif et saveurs, moins salive, amincissement muqueuse buccale, moins efficace synchro déglut et transit bol alimentaire à estomac
-estomac: lent
-foie diminue efficacité
-pancréas: diminue efficacité
-intestin grêle: moins bonne absorption
-colon: + sensible, normal, constipation et incontinence proche
-reins/élimination urinaire: résidu post miction + souvent nuit
-organes génitaux: moins poil, perte tonus, moins désir
-musculaire: perte force, vitesse, endurance, flexibilité…
-ostéo-articulaire: perte densité elasticité
-peau et phanères: peau sèche moins léastique, ongles épais, perte sc dur maintien temp
La vitesse à laquelle se produisent ces changements varie d’une personne
à l’autre sous l’effet de trois groupes de facteurs:
Gènes : 25 à 30%
Environnement + habitudes de vie : 70 à 75%
Par contre, au-delà du patrimoine génétique, de l’environnement et des
habitudes de vie, les personnes subissent les mêmes changements au fur et
à mesure qu’elles vieillissent.

115
Q

Théories du vieillissement biologique 4

A
  1. Théorie de l’usure (théorie mécanique
    du vieillissement)
    Selon cette théorie, le corps finit par s’user à force de fonctionner sans relâche et cette usure brise
    certains organes.
    De plus, l’accumulation de déchets produits par les cellules et les tissus s’ajoutent à l’usure. À la
    longue, ces substances toxiques nuisent au bon fonctionnement des tissus et endommagent le corps.
    Or, cette théorie ne tient pas compte du fait que le corps dispose de mécanismes de réparation et
    que, dans certains cas, l’utilisation améliore le fonctionnement (système musculaire). délaiséée dépassée
  2. Théorie immunologique
    Au cours du vieillissement, le système immunitaire perd la capacité de lutter efficacement contre les
    agresseurs. Ainsi, il commet davantage d’erreurs dans la reconnaissance de ces agresseurs. Il lui arrive
    alors de s’attaquer à des cellules saines de l’organisme en déclenchant des réactions auto-immunes
    (ex: arthrite rhumatoïde).
    Selon cette théorie, le système immunitaire est primordial à la survie et à la longévité des êtres
    vivants, mais il s’épuise au fil du temps et cet épuisement serait l’explication biologique du début
    du vieillissement
  3. Théorie génétique
    Le vieillissement s’accompagne de modifications de l’expression ou de l’activité de certains gènes,
    ou encore que la longévité des êtres vivants est affectée par les modifications subies par certains
    gènes.
    À ce jour, aucune étude n’a démontré la présence de gènes qui programmeraient le déclenchement
    du vieillissement chez l’humain.
    Malgré l’absence de preuves scientifiques, on estime qu’environ 25 à 30% de la longévité d’un
    individu relève de facteurs génétiques.
    La génétique n’aurait qu’un second rôle dans le vieillissement!
  4. Théorie des radicaux libres
    Selon cette théorie, les cellules du corps humain répondent à leurs besoins en effectuant différentes
    réactions chimiques qui entraînent la formation de radicaux libres.
    Avec le vieillissement, ces mécanismes perdent de leur efficacité, et au fil du temps, les radicaux
    libres sont responsables d’un stress oxydatif qui lèse les cellules, notamment leurs membranes
    cellulaires et l’ADN.
    En résumé, les radicaux libres seraient contrôlés durant la majeure partie de la vie adulte, mais leurs
    effets délétères constants finiraient par perturber gravement le fonctionnement cellulaire,
    entraîneraient la mort cellulaire et favoriseraient l’apparition de maladies. Le vieillissement
    résulterait de cette perturbation du fonctionnement cellulaire
116
Q

Principes d’enseignement à la personne âgée

A

tenir compte limitation age
-état cognitif: mémoire, capacité attention, dur résoudre prob complexe
-acuité auditive
-vision diminue, l’appréciation des profondeurs et des contrastes de couleur

faire attention bruits alentours, pas trop infos, rester simple, pas de mots
compliqués, vulgariser termes médicaux, s’asssurer que la personne voit et entende, confort

pas 20 min, mais 5 min avec pts clés

117
Q

Reconnaitre les manifestations d’un vieillissement normal

A

-état mental: maintient personnalités et social
-état cognitif: diminue mémoire(3), capacité attention, prob. complexe, peu effets quotidien
-état neurologique: diminution sensibilité, coordination, réfelexe, ralenti
-sommeil: réveil+ , sieste, + temps au lit, éveil matinal, répartition heures différents, pas normal si + 30 min endormir
-audition: diminue, comprendre conversations milieu bruyant, provenance sons dure à déterminer, assèchement sérumen(bouchons pas normal)
-vision: diminution, vision nocturne, sensible éblouissement, abaissement paupières
-poumons: diminution capacités, moins tolérance
-coeur: baisse repos, irrégularités passagères, perte efficacité
-bouche: + caries, diminution ressentir soif et saveurs, moins salive, amincissement muqueuse buccale, moins efficace synchro déglut et transit bol alimentaire à estomac
-estomac: lent
-foie diminue efficacité
-pancréas: diminue efficacité
-intestin grêle: moins bonne absorption
-colon: + sensible, normal, constipation et incontinence proche
-reins/élimination urinaire: résidu post miction + souvent nuit
-organes génitaux: moins poil, perte tonus, moins désir
-musculaire: perte force, vitesse, endurance, flexibilité…
-ostéo-articulaire: perte densité elasticité
-peau et phanères: peau sèche moins léastique, ongles épais, perte sc dur maintien temp
La vitesse à laquelle se produisent ces changements varie d’une personne
à l’autre sous l’effet de trois groupes de facteurs:
Gènes : 25 à 30%
Environnement + habitudes de vie : 70 à 75%
Par contre, au-delà du patrimoine génétique, de l’environnement et des
habitudes de vie, les personnes subissent les mêmes changements au fur et
à mesure qu’elles vieillissent.

118
Q

Connaître et distinguer les théories biologiques et psychosociales du vieillissement

A

Théories biologiques
* Manque crucial de connaissances
Théories psychosociales
* Nous amène à réfléchir sur ce qui fait le bien-être et la qualité de vie durant la vieillesse.
* Aucun théorie n’est supérieure à une autre.

psychosociales
Théories les plus reconnues:
1. Théorie du désengagement
2. Théorie de l’activité
3. Théorie de la continuité
4. Théorie du vieillissement réussi

bio
Principales théories:
1. Théorie de l’usure;
2. Théorie immunologique;
3. Théorie génétique;
4. Théorie des radicaux libres

119
Q

Expliquer les trois dimensions d’un vieillissement réussi ainsi que le processus menant au vieillissement réussi

A

autonomie, activités cognitives (sudoku, puzzle, mots croisés, actualité, lecture, socialiser, pas s’isoler), bien manger, bouger, pas fumer/boire, tricoter
favorise bon vieillissement

120
Q

ne pas savoir utiliser un objet=>perte cognitive

A

faux

121
Q

hétérogénité ainés implique quoi?

A

soins prodigués à chacun différent, approche différente
Vieillissement: hétérogène entre les individus et au sein d’un même individu

122
Q

3 types de mémoires+ c quoi

A

Mémoire de travail (mémoire à court terme)
* Capacité d’emmagasiner un nombre limité d’informations pendant une brève période de temps
* Sert à l’accomplissement d’une tâche dans l’immédiat ou dans un futur très proche (quelques minutes)
* *Joue un rôle important dans la manipulation de l’information et dans l’encodage et la récupération des informations
stockées dans la mémoire à long terme
Mémoire épisodique (mémoire à long terme)
* Capacité de mémoriser des évènements et des souvenirs s’inscrivant dans un contexte temporel, spatial ou
émotionnel
Mémoire prospective (mémoire à long terme)
* Capacité de mémoriser des informations concernant des évènements à venir ou des comportements à adopter dans
le futur

123
Q

3 facteursvitesse vieillissement

A

La vitesse à laquelle se produisent ces changements varie d’une personne
à l’autre sous l’effet de trois groupes de facteurs:

Gènes : 25 à 30%
Environnement + habitudes de vie : 70 à 75%

Par contre, au-delà du patrimoine génétique, de l’environnement et des
habitudes de vie, les personnes subissent les mêmes changements au fur et
à mesure qu’elles vieillissent.

124
Q

théorie usure vraie ?

Selon cette théorie, le corps finit par s’user à force de fonctionner sans relâche et cette usure brise
certains organes.
De plus, l’accumulation de déchets produits par les cellules et les tissus s’ajoutent à l’usure. À la
longue, ces substances toxiques nuisent au bon fonctionnement des tissus et endommagent le corps.
Or, cette théorie ne tient pas compte du fait que le corps dispose de mécanismes de réparation et
que, dans certains cas, l’utilisation améliore le fonctionnement (système musculaire).

A

théorie délaissée, car dépassée

125
Q

Théorie immunologique

A
  1. Théorie immunologique
    Au cours du vieillissement, le système immunitaire perd la capacité de lutter efficacement contre les
    agresseurs. Ainsi, il commet davantage d’erreurs dans la reconnaissance de ces agresseurs. Il lui arrive
    alors de s’attaquer à des cellules saines de l’organisme en déclenchant des réactions auto-immunes
    (ex: arthrite rhumatoïde).
    Selon cette théorie, le système immunitaire est primordial à la survie et à la longévité des êtres
    vivants, mais il s’épuise au fil du temps et cet épuisement serait l’explication biologique du début
    du vieillissement
126
Q

théorie génétique

A
  1. Théorie génétique
    Le vieillissement s’accompagne de modifications de l’expression ou de l’activité de certains gènes,
    ou encore que la longévité des êtres vivants est affectée par les modifications subies par certains
    gènes.
    À ce jour, aucune étude n’a démontré la présence de gènes qui programmeraient le déclenchement
    du vieillissement chez l’humain.
    Malgré l’absence de preuves scientifiques, on estime qu’environ 25 à 30% de la longévité d’un
    individu relève de facteurs génétiques.
    La génétique n’aurait qu’un second rôle dans le vieillissement!
127
Q

Théorie des radicaux libres

A

Selon cette théorie, les cellules du corps humain répondent à leurs besoins en effectuant différentes
réactions chimiques qui entraînent la formation de radicaux libres.
Avec le vieillissement, ces mécanismes perdent de leur efficacité, et au fil du temps, les radicaux
libres sont responsables d’un stress oxydatif qui lèse les cellules, notamment leurs membranes
cellulaires et l’ADN.
En résumé, les radicaux libres seraient contrôlés durant la majeure partie de la vie adulte, mais leurs
effets délétères constants finiraient par perturber gravement le fonctionnement cellulaire,
entraîneraient la mort cellulaire et favoriseraient l’apparition de maladies. Le vieillissement
résulterait de cette perturbation du fonctionnement cellulaire

128
Q

théorie psychosociales du
vieillissement 4

A

Théories ayant été élaborées à partir de l’examen des aînés, de leurs parcours, de l’évolution de leurs rôles,
de leurs différentes adaptations et de leur état psychologique.
Ces théories soutiennent que l’aîné heureux et satisfait de sa vie a probablement trouvé la bonne recette
pour un vieillissement normal.

Théories les plus reconnues:
1. Théorie du désengagement pas vrm vrai
2. Théorie de l’activité
3. Théorie de la continuité
4. Théorie du vieillissement réussi

129
Q

théorie désengagement

A
  1. Théorie du désengagement étape inévitale du vieillissement, mais en réalité pas vrm vrai
    Élaborée par Cumming et Henry (1961)
    Selon cette théorie, le vieillissement entraîne un retrait social, un désintérêt envers l’entourage et les
    proches, ce qui cause une diminution des relations sociales et affecte le niveau d’intégration de
    l’aîné au sein de la société.
    Le désengagement serait une étape inéluctable du vieillissement, et cet éloignement mutuel ferait
    l’affaire de l’aîné et de la société.
    Or, de nombreux aînés continuent de s’engager socialement, que ce soit par le travail, par le
    bénévolat ou par l’aide apportée aux proches. La présence de tous ces aînés poursuivant leurs
    activités après leur retraite vient contredire cette théorie.
130
Q

théorie activité

A

Cette théorie soutient que l’inactivité est néfaste. Les aînés doivent obligatoirement se livrer à
différentes activités physiques et intellectuelles pour ressentir du bien-être durant leur
vieillissement. Plus la personne avançant en âge est active, plus sa satisfaction de vivre augmente.
L’activité les aiderait à garder un sentiment de bien-être élevé et les interactions sociales
contribueraient à améliorer leur image de soi. Elle protégerait également contre l’ennui et
l’isolement.
Selon cette théorie, le secret d’un vieillissement normal résiderait dans la capacité de la personne de
toujours remplacer les rôles perdus par de nouveaux

toujours s’adapter

131
Q

théorie continuité

A

Proposée en 1973 par Neugarten
Cette théorie insiste sur l’importance que revêt le maintien de l’intégrité de la personne dans son
rapport avec son vieillissement.
Selon cette théorie, la personne vieillissante aborde cette étape de la vie dans le prolongement de
ses expériences de vie, de sa personnalité et de ses valeurs, qui restent stables durant le
vieillissement.
Le « bien-vieillir » est un vieillissement qui répond aux attentes de la personne elle-même.

132
Q

théorie du vieillissement réussi 3 étapes

A

Décrit la recette gagnante pour vivre vieux, heureux et en santé!
Un vieillissement réussi repose sur trois grands préceptes:
1. Éviter les maladies et les facteurs de risque des maladies (vaccin, dépistage, habitudes de vie)
2. Maintenir un haut niveau de stimulation physique et cognitive (interaction avec environnement)
3. Engagement dans la vie (productives, signifiantes, pour sentiment de se réaliser)

133
Q

c quoi processus menant au vieillissement réussi

A

Le métamodèle : « Optimisation sélective avec compensation » définit le
vieillissement réussi comme étant l’atteinte des objectifs personnels, la
minimisation des pertes et la maximisation des gains au cours de l’avancement en
âge.
3 stratégies pour faire face au vieillissement:
* **La sélection (Réaliser des choix en fonction de ce qu’elle peut faire en raison de modification
dans ses capacités ou de son environnement. Elle anticipe les pertes. Elle établit des
priorités.
* Par exemple: déménager dans un environnement plus adéquat, conduire uniquement le jour,
réduire le nombre d’engagements et choisir les plus significatifs pour elle)
** L’optimisation (L’amélioration d’une habileté ou d’une capacité.
* La personne qui, suite à un AVC, perd l’usage du côté gauche, prend tout de même des cours de
peinture pour améliorer son art. Aussi, elle débute l’exercice pour maintenir et même améliorer
la force, l’endurance et la flexibilité du côté droit.)
* **La compensation (Il y a perte d’habileté. Elle ne peut fonctionner normalement sans aide (technique,
individu…). Utilisation d’une stratégie pour atteindre l’objectif fixé.
Des exemples:
* Appareil auditif.
* Lecture de braille.
* Utilisation d ’une canne pour ses déplacements))

134
Q

quoi retenir théorie vieillissement pts importants

A

Théories biologiques
* Manque crucial de connaissances
Théories psychosociales
* Nous amène à réfléchir sur ce qui fait le bien-être et la qualité de vie durant la vieillesse.
* Aucun théorie n’est supérieure à une autre

un vieillissement réussi est celui ou la personne s’adapte à la situation se sent
bien et fait des choix qui, selon elle, lui sont favorables.

135
Q

Promotion de la santé c quoi

A

jamais trop tard pour changer
ü Saine alimentation
ü Activité physique
ü Arrêt tabagique
ü Vaccination
* Activités ayant pour objectif de maintenir ou d’améliorer la santé et la qualité de vie de la personne.

rtour sur modèle baltes cartensen
conduire le jour, changer pour environnement + approprié
* Sélection: établir priorités
* Optimisation: amélioration d’une habileté ou capacité
* Compensation: utilisation d’une stratégie pour atteindre objectif fixé

saine alimentation et l’exercice physique entrainent des
bénéfices indéniables sur la santé physique, mentale et cognitive de la personne âgée. Il ne faut
donc pas priver les personnes âgées d’activité de promotion même chez ceux en perte
d’autonomie

136
Q

Prévention de la maladie primaire, secondaire tertiaire

A

ca vaut encore la peine, agir en prévention
primaire et secondaire avant maladie et tertaire après maladie et symptomes

137
Q

Conduite automobile chez la personne âgée, 2 moments clés

A

*vieillissement normal pas un risque pour conduite automobile
Deux moments clés pour le conducteur âgé:
1. 75 ans: déclaration de l’état de santé à partir du formulaire d’autodéclaration
2. 80 ans: examen médical effectué par un médecin ou une infirmière praticienne spécialisée et à
un examen visuel effectué par un optométriste ou un ophtalmologiste selon la fréquence
suivante :
* 6 mois avant d’atteindre 80 ans
* tous les 2 ans après 80 ans

138
Q

Identifier les éléments à considérer dans l’évaluation de la personne âgée

A
  1. Faire l’évaluation de la personne aînée:
    * Évaluer le niveau de mobilité
    * Réaliser un examen physique des membres inférieurs (douleur, lésions, équilibre, réflexes, forces et sensibilité)
    * Évaluer le risque de chute
    * Évaluer la présence de douleur
    * Évaluer la présence d’hypotension orthostatique
    * Évaluer le besoin d’assistance à la marche
138
Q

Identifier les éléments à considérer dans l’évaluation de la conduite automobile chez la personne âgée
8 facteurs de risque

A

(troubles visuels, cardiaques, respiratoires,
endocrinologiques, locomoteurs et neurologiques).

8 FACTEURS DE RISQUE:
1.Signalement d’un proche
2.Inquiétude auto-rapportée de l’aîné
3.Aspects liés à la conduite (accident, infractions, auto-restrictions, état véhicule)
4.Médication (anticholinergique nuit conduite, polyméd, prob adhérer tx)
5.Difficultés dans les AVQ/AVD
6.Chutes récentes
7.Conditions médicales (trouble cognitif, sommeil, cardio, respi, déficit neuro, visuel, musculo)
8.Consommation d’alcool ou d’autres substances

en gros: cognition, vision, fonction physique
-fonction cognitive: tests
-coordination
–140 vision périph degré risque
–120 vision périph enlève permis

139
Q

Intervenir pour prévenir la maladie et promouvoir la santé auprès de la personne âgée

A

La marche: un bon moyen de
prévention chez l’aîné
Avantages:
* Simple à organiser peu importe le milieu clinique
* S’intègre facilement aux soins
* Une marche, même lente et de courte distance, a des effets bénéfiques sur
l’aîné quel que soit son état de santé
Objectifs:
* Maintenir et augmenter les capacités ambulatoires de la personne âgée, afin
d’améliorer sa santé et sa qualité de vie et de prévenir la détérioration rapide
de ses capacités cognitives.
* Même fragile et très âgée, une personne peut marcher, accroître sa force
musculaire, améliorer son équilibre et augmenter sa vitesse de marche

140
Q

Proposer des interventions adaptées à la personne âgée

A

La marche: un bon moyen de
prévention chez l’aîné
Avantages:
* Simple à organiser peu importe le milieu clinique
* S’intègre facilement aux soins
* Une marche, même lente et de courte distance, a des effets bénéfiques sur
l’aîné quel que soit son état de santé
Objectifs:
* Maintenir et augmenter les capacités ambulatoires de la personne âgée, afin
d’améliorer sa santé et sa qualité de vie et de prévenir la détérioration rapide
de ses capacités cognitives.
* Même fragile et très âgée, une personne peut marcher, accroître sa force
musculaire, améliorer son équilibre et augmenter sa vitesse de marche

141
Q

Connaître le rôle de l’infirmière en matière de promotion de la santé et de prévention de la maladie auprès de la personne âgée

A

Pourquoi est-il nécessaire, comme infirmière, de reconnaître ces obstacles ?

pour pallier les incapacités et les défis, donner aide adaptée, prévenir détérioration état

L’infirmière doit promouvoir la pratique de l’exercice physique chez l’aîné!
1. Cibler les aînés qui bénéficieraient le plus de la mise en place d’un
programme d’exercice physique; et ceux à risque élevé
2. Faire l’évaluation de la personne aînée:
* Évaluer le niveau de mobilité
* Réaliser un examen physique des membres inférieurs
* Évaluer le risque de chute
* Évaluer la présence de douleur
* Évaluer la présence d’hypotension orthostatique
* Évaluer le besoin d’assistance à la marche

142
Q

Note au dossier en lien avec la vaccination

A
143
Q

prévention primaire c quoi

A

Vise à prévenir l’apparition d’une maladie par l’élimination des facteurs de
risque qui y sont associés.
* Saine alimentation
* Activité physique (être actif)
* Ne pas fumer
* Éviter l’abus d’alcool (ne pas en boire à tous les jours et ne jamais en
consommer de manière excessive)
* Vaccination

144
Q

prévention secondaire c quoi

A

Vise à dépister les problèmes potentiels d’une population à risque et de les traiter promptement.
exemples: dépistage à tout age des cancers troubles cognitifs, déficience auditive, diabete problemes lipidiques, hypertension artérielle, problemes visuels de la population viellissante

145
Q

prévention tertaire c quoi

A

Vise à limiter les conséquences sur la morbidité résultant d’une maladie.
ex: diabete: suivi glycémie, cardiaque, circulatoire, visuel, tégumentaire
ches ainés parkinson: vérifier bon alignement corps pour réduire aspiration repas et ses complications(pneumonie)

146
Q

impacts positifs saine alimentation

A

apport en énergie et nutriments nécessaire au bien etre général
maintien santé et niveau autonomie
contribue à prévention maladies chroniques
contribue à résistance aux infections
meilleure qualité de vie
meilleure estime de soi

sucre devient gras/triglycérides dans sang
habit. aliment: moins sucre, activité physique, moins gras, moins sel

manger plus fruits et légumes

147
Q

obstacles saine alimentation

A

Obstacles possibles (notamment chez les aînés de 75 ans et plus)
* Difficultés financières;
* Environnement (accessibilité physique, disponibilité de services);
* Isolement;
* Incapacité fonctionnelle;
* Maladies chroniques;
* Santé buccodentaire;
* Dépression;
med qu change gout
* Etc.

en milieu hospitalier soins bouches ulcères
favoriser port dentier adapté,

148
Q

risque immobilité/effet

A

syndrome immobilisation=> difficultés fonctionnelles par dégénérecence physiologique de tous systèmes

149
Q

effet activité physique chez ainé atteint trouble neurocognitif

A

rehausse son autonomie fonctionnelle
augmente son endurance à activité
améliore sa continence urinaire
diminue risquechute
faire bouger car n’ont pas initiative

150
Q

recommandation activité physique ainé indépendant sans maladie chronique invalidante

A

aérobie: 30 min 5x sem modéré
ou
aérobie: 20-25 min 3x sem intense
+
étirement muscu: 8-12 répét. 2x sem selon tolérance

151
Q

recommandation activité physique ainé avec antécédent de chute ou à risque de chute

A

équilibre et flexibilité+étirement muscu: 30 min 2x sem modéré
marche: 30 min 1x sem modéré

152
Q

recommandation activité physique ainé frêle avec incapacité ou maladie chronique invalidante

A

marche 10 min/jour léger

153
Q

avanatges marche ainés comme bon moyen prévention

A

pour prévenir détérioration
Avantages:
* Simple à organiser peu importe le milieu clinique
* S’intègre facilement aux soins
* Une marche, même lente et de courte distance, a des effets bénéfiques sur
l’aîné quel que soit son état de santé
Objectifs:
* Maintenir et augmenter les capacités ambulatoires de la personne âgée, afin
d’améliorer sa santé et sa qualité de vie et de prévenir la détérioration rapide
de ses capacités cognitives.
* Même fragile et très âgée, une personne peut marcher, accroître sa force
musculaire, améliorer son équilibre et augmenter sa vitesse de marche.

154
Q

niveau risque chute+paramètres cliniques et niveau soutien
léger

A

-pas perte équilibre
-potentiel de malaise
-autonome
-respect consignes

-marche avec accessoire, surveillance et stimulation
-éval continue risque chute

155
Q

niveau risque chute+paramètres cliniques et niveau soutien
modéré

A

-perte équilibre occasionnele
-ateinte niv conscience
-faiblesse muscu
-intolérance effort
-sonde, o2…appareillage à déplacer
-surestimation ou sous estimation capacités

-marche avec intervenant
-marche avec accessoire, surveillance et stimulation
-éval continue risque chute

156
Q

niveau risque chute+paramètres cliniques et niveau soutien
élevé

A

-atteinte grave motricité, stabilité et niv conscience
-masse corporelle importante

-marche à deux intervenants
-physio
-marche avec accessoire, surveillance et stimulation
-éval continue risque chute

157
Q

objectifs promotion activité physique

A

objectif: augmenter capacité physique pour améliorer autonomie
toutes les formes d’exercices sont utiles (pas seulement la marche
stimuler c’est aussi enseigner importance de la marche

158
Q

avantages arrêt tabagique

A

fait partie enseignement inf
Avantages de l’arrêt tabagique même si 80 ans et plus !
De manière quasi-immédiate:
* Circulation sanguine s’améliore
* Poumons commencent à se régénérer
Après un an d’arrêt:
* Le risque de présenter une maladie cardiovasculaire, un cancer ou une maladie
respiratoire a déjà diminué
* Le risque d’infarctus du myocarde diminue de manière marquée
Après 2 à 5 ans d’arrêt:
* Le risque d’AVC pourrait chuter au même niveau que celui d’un non-fumeur
*Maladie pulmonaire chronique et personne âgée: important de cesser de fumer car
effet positif sur la santé respiratoire et la qualité de vie.

159
Q

vaccination chez ainé

A

en gros raisons vacciner ainés: syst moins fort, réaction + forte

  • L’âge est le premier facteur de risque à considérer pour les risques
    d’infection chez les aînés
  • Le risque d’être atteint d’une pneumonie est trois fois plus élevé chez
    l’aîné par rapport à l’adulte
  • Le vieillissement normal du système immunitaire (sénescence
    immunitaire) peut expliquer ce risque élevé
  • Les personnes âgées représentent aussi une population vulnérable
    chez laquelle les conséquences d’une infection peuvent se traduire
    par une diminution de la capacité fonctionnelle, l’immobilisation, le
    délirium, les hospitalisations, voire le décès

Aînés plus vulnérables aux infections
* Organisme met plus de temps à réagir à la présence d’un agent pathogène
* Réponse immunitaire est plus tardive que celle de l’adulte
* Organisme détecte moins facilement la présence d’un agent pathogène
* Lorsque l’ainé souffre d’une infection, la production d’anticorps est moins élevée et moins
protectrice

160
Q

role inf et conduite automobile

A

rofessionnel de la santé
Repérer toute condition médicale
ou médicament pouvant affecter
l’aptitude à la conduite
automobile d’un patient

161
Q

interventions préventives maintien permis conduire

A
  • Cours de perfectionnement offert par les écoles de conduite;
  • Cours de conduite privé avec un ergothérapeute;
  • Prendre soin de sa santé;
  • Avoir de saines habitudes de conduite :
  • Conduire dans des environnements variés;
  • Conduire souvent;
  • Maintenir ses connaissances des règles de conduite et des panneaux routiers à jour.

si risque il y a évaluation
si pas risques, interventions préventives

162
Q

Conséquences
associées à la
cessation de
la conduite
automobile

A

Augmentation des symptômes dépressifs
Détérioration accélérée de l’état général
Diminution des activités à l’extérieur du domicile
Isolement social accru
Sentiment d’être un fardeau
Augmentation du taux d’hospitalisations subséquentes, de
relocalisation ou de mortalité

il faut pas oublier le proche: deuil, fardeau, conflits, changements de roles

163
Q

comment intervenir cessation conduite automobile

A
  • IMPORTANT: Discuter d’un plan de retraite à la conduite
    automobile et des alternatives de conduite;
  • S’assurer que l’aîné dispose d’une liste de ressources et d’un
    réseau de soutien pour pallier la cessation de la conduite.
  • Offrir le soutien émotionnel requis. Reconnaître et valider les
    émotions de l’aîné (colère, tristesse, sentiment d’injustice, etc.).
    Faire de l’écoute active.
164
Q

Paramètres cliniques de base

A

Chez l’aîné, l’infirmière doit interpréter avec prudence les
résultats de la mesure des signes vitaux. En raison du
vieillissement normal, de la comorbidité et de la
polypharmacie, il arrive parfois que l’aîné souffre d’une
maladie aiguë, mais que ses signes vitaux restent dans les
limites de la normale.

***voit souvent signes atypiques avant signes typiques

165
Q

Signes vitaux 7

A
  1. Respiration
  2. Pouls
  3. Pression artérielle
  4. Température corporelle
  5. Saturation (+93-95)
  6. Douleur
  7. État mental
166
Q

Identifier les éléments à considérer dans l’évaluation de la personne âgée

A

Évaluer pour poser un jugement/clinique critique sur l’état physique et mental d’une personne et en communiquer les conclusions
-manifestations atypiques

167
Q

Identifier les éléments qui composent l’évaluation de l’autonomie fonctionnelle chez la personne âgée

A

*La perte d’autonomie constitue un des modes de présentation le plus fréquent des problèmes de
santé chez les aînés.
* Ce syndrome clinique est le moyen typique par lequel la maladie s’exprime chez les aînés.
* Les symptômes sont peu spécifiques, l’évolution est généralement insidieuse et touche toutes les
dimensions du patient (physique, psychique, sociale et fonctionnelle).
* La perte d’autonomie est généralement réversible lorsqu’une équipe interdisciplinaire fait une
évaluation exhaustive de la situation du patient et applique un plan de réadaptation gériatrique.

effets sur physique, psychique sociale et
peut etre renversée quand prise en charge

*manifestations niveau social, physique et psychologique

168
Q

3 raisons défi évaluer personne agée

A

comorbidité->risque d’attribuerle sympt d’une nouvelle mx à un problème de santé connu
présentation atypique des problèmes de santé
effets du vieillissement

évaluer: reconnaitre ce qui est anormal, reconnaitre présence de besoin ou probleme

faire la distinction entre le fonctionnement optimal et le fonctionnement usuel.

169
Q

c quoi
Changements non
pathologiques liés au
vieillissement

A

Manifestions cliniques sans
effet sur le fonctionnement de la personne

170
Q

c quoi État normal secondaire au
vieillissement normal

A

Fonctionnement optimal
Fonctionnement usuel

ex:
diminution acuite auditive
diminution force musculaire
morecellement du sommeil

ex: FC
FC normale: 60-80 bpm
fonctionnement optimal: 60 bpm
fonctionnement usuel: 75 bpm

171
Q

c quoi État pathologique

A

Manifestations typiques
Manifestations atypiques

172
Q

2 erreurs à ne pas faire état normal vs pathologique

et comment éviter

A

Intervenir sur un « problème » qui constitue
en fait un phénomène normal du
vieillissement.
->avoir connaissances à jour sur vieillissement normal et
détecter la présence d’une perte d’autonomie=principe de l’impact fonctionnel

Ne pas reconnaître un vrai problème de santé
en croyant qu’il est causé par le
vieillissement normal.
->se manifestent sur une courte période de temps (moins de 3 mois)
et ont des répercussions sur avq et avd

173
Q

manifestations gériatriques atypiques

A

toujours comparer avec état base
changements touchants:
-état mental: capacité attention, mémoire, orientation, organisation pensées/phrases incohérentes, perception/idées délirantes, jugement, létargique
-autonomie: AVQ et AVD, chutes
-comportements: hyperactifs, agitation, combativité, errance, résistance aux soins, hypoactif: retrait isolement immobilité, chang personnalité, apathie, irritabilité mod sommeil

174
Q

effet vieillissement respi 6

A

-Diminution de l’amplitude de la cage thoracique
-réduction de l’efficacité de la toux moins force
-à diminution de la capacité de l’aîné à expulser les sécrétions et à combattre
les infections respiratoires
-diminution de la capacité des poumons de se vider à chaque
expiration élasticité
-Diminution de l’efficacité des
échanges gazeux
-élévation seuil chimiorécepteurs

175
Q

grippe manifest typiques et atypiques

A

typ: congestion, gorge sèche, fièvre, toux, céphalées…
atyp: delirium (mod état mental), perte autonomie (faiblesse), chang comportement, fatigue, perte apétit et poids

176
Q

pneumonie manifest typiques et atypiques

A

surtout fièvre et état mental altéré: principaux symptomes
typ: essoufl, tachypnée, fièvre, toux, sécrétions…
atyp: delirium et léthargie (mod état mental), perte autonomie (faiblesse, incontinence urinaire), chang comportement, fatigue, perte apétit et poids, désydratation, chutes…

177
Q

anormalités paramètres respi

A

fréq
-Signe clinique d’infection chez l’aîné sans MPOC: ≥ 25/min
* Signe clinique d’une condition grave: ≥ 27/min
* Changement clinique significatif: ≥ 3 /min
amplitude
-Anormalité chez l’aîné : Amplitude respiratoire profonde ou
superficielle
rythme
-Anormalité chez l’aîné : rythme irrégulier avec pauses
respiratoires

178
Q

anormalités paramètres respi

A
  • Jugement clinique: si on obtient plusieurs mesures à
    100%, mais qu’en 24h, le résultat chute à 95%, le
    changement est cliniquement significatif, même si ce
    résultat est dans la zone de normalité.
    -95 ou -93 multimorbidité

si doigts pas glacés

179
Q

anormalités paramètres poul et interprétations

A

sur 1 min
fréquence
* Normalité chez l’aîné en bonne santé : 60 à 100/min
* En traumatologie gériatrique, un pouls à ≥ 90/min
requiert une intensification de la surveillance clinique
amplitude
* Anormalité chez l’aîné: Pouls de faible amplitude ou
bondissant
rythme anormal/irrég parfois normal

Interprétations
consultation médicale est nécessaire si l’aîné est
symptomatique
- plus de 10 arythmies par minute
-Chez l’aîné asymptomatique, au
moins trois mesures consécutives qui donnent le même
résultat.

180
Q

effet vieillissement sur syst cardio vasculaire

A
  • Artériosclérose durcissement paroi artères
  • Élévation de la tension artérielle systolique au repos de 5 mm Hg
  • Ralentissement de la fréquence cardiaque
  • Apparition de troubles du rythme passager
    tout cela entraine diminution débit cardiaque
    FC pas forcement signe que prob cardiaque
181
Q

infractus du myocarde manifest typiques et atypiques

A

Signes typiques
* DRS de > 20 minutes
* Irradiation de la DRS
* Palpitations cardiaques
* Dyspnée
* Transpiration
* Teint grisâtre
* Nausée
* Impression d’indigestion
* Acidité gastrique

  • Signes atypiques
  • Changem ent de l’état m ental
  • Delirium (20 à 50 %)
  • Perte d’autonom ie (20 %)
  • Faiblesse
  • Changement de comportement
  • Agitation
  • Douleur diffuse (ou absente)
  • Vomissements persistants
  • Toux
  • Étourdissements / vertiges / syncope
  • Chute
  • Anxiété / peur
  • Absence de modification de la fréquence
    cardiaque et de la tension artérielle
  • ECG normal
  • 33 à 75% des aînés n’ont pas
    de douleur (Goch et al., 2009;
    Ryan et al., 2005)
  • Anxiété et peur (64 %) (Ryan
    et al., 2005)
  • 70 % ne présentent pas
    d’hypertension et n’affichent
    pas une élévation du pouls
    supérieure à 100 par minute
    (Mehta et al., 2001

plus age augmente plus doul diminue
près moitié atypique

182
Q

anormalités paramètres PA et interprétations

A

Seuils pour considérer une pression élevée:
* PAS ≥ 135 (veut -130/60-80)
* PAD ≥ 85
* Seuils de la pression artérielle cible: ≤ 140/90
Chez l’aîné de 80 ans et plus
-tx pharmaco +160 (veut -150)

trauma gériatrique PAS -110 requiert intensification surveillance clinique
Dans le contexte d’un trauma mineur chez un aîné: la PAS ≤110 ou un pouls supérieur à
90 devrait favoriser une intensification de la surveillance clinique

(jeune 80 = vieux 155->110)

183
Q

temp normal ainés rectale, tympanique, buccale et axilaire
+ détection fièvre gériatrique

A

augmente en pm +0.4 journée
-rect: 37,1
-tymp: 36,8
-bucc: 36,3
-axilaire: 36,2
* Deux options les plus fiables :
* Élévation de 2 °F (1,1°C) de la température habituelle
* Température buccale ou rectale à 37,8°C

durant la même période de la journée

184
Q

fièvre gériatrique

A
  • Deux options les plus fiables :
  • Élévation de 2 °F (1,1°C) de la température habituelle
  • Température buccale ou rectale à 37,8°C

durant la même période de la journée

185
Q

comment établir temp de base

A

établir le profil de base de tous les aînés
concernant la température corporelle. pour vérif élévation 1,1
quatre
moments différents: le matin, l’après-midi, le soir et la nuit.
* Elle a besoin de 12 mesures (sur 2 semaines). La voie utilisée doit
toujours être la même, soit buccale ou rectale.
moyenne moment jour

186
Q

interpréter et évaluer doul ainé

A

s troubles cognitifs, il faut en plus
s’intéresser à ses comportements et à son langage non
verbal pour reconnaître la présence de douleur. D
e PACSLAC-II-F, PAINAD) échelle mesure

187
Q

état mental
2 paramètres importants

A

**état de conscience et capacité d’attention
ce sont les deux paramètres de l’état mental les plus suceptibles à un changement neurologique chez ainé
demander de réaliser une tache a l’ainé
Attention
-maintenir un degré de collaboration stable pendant une interaction de 5-10 min minimum
-épeler le monde monde à l’envers
État de conscience
-se tourner vers vous lorsque entre dans chambre
-anormal: sursaute, somnolence

188
Q

définition autonomie fonctionnelle

A

L’autonomie fonctionnelle se définit, principalement, par la capacité d’une personne d’assumer
les activités de la vie quotidienne (manger, s’habiller, se laver, etc.) et domestique (entretenir la
maison, faire la lessive, faire son budget, etc.).

*manifestations niveau social, physique et psychologique

189
Q

perte autonomie c quoi

A

*La perte d’autonomie constitue un des modes de présentation le plus fréquent des problèmes de
santé chez les aînés.
* Ce syndrome clinique est le moyen typique par lequel la maladie s’exprime chez les aînés.
* Les symptômes sont peu spécifiques, l’évolution est généralement insidieuse et touche toutes les
dimensions du patient (physique, psychique, sociale et fonctionnelle).
* La perte d’autonomie est généralement réversible lorsqu’une équipe interdisciplinaire fait une
évaluation exhaustive de la situation du patient et applique un plan de réadaptation gériatrique.

effets sur physique, psychique sociale et
peut etre renversée quand prise en charge

*manifestations niveau social, physique et psychologique

190
Q

c quoi perte autonomie aigue et causes

A
  • La perte d’autonomie est dite aiguë lorsqu’elle s’opère sur quelques jours à une
    semaine.
    ->Les causes de la perte d’autonomie sont multiples et englobent des problèmes de santé (par
    exemple: infarctus du myocarde, décompensation de la maladie rénale) et des problèmes
    psychosociologiques (par exemple : insomnie, dépressions, décès).
191
Q

c quoi perte autonomie subaigue et causes

A
  • La perte d’autonomie peut être subaiguë. Dans ce cas, le déclin de l’autonomie
    est plus insidieux et moins perceptible.
  • Alors le recours à un instrument de mesure, comme le SMAF* (Système de mesure de
    l’autonomie fonctionnelle), est essentiel sinon ce type de perte d’autonomie ne sera pas
    toujours reconnu par les soignants (Hébert, 1997).
    — Les causes peuvent être reliées à un problème métabolique
    * (diabète de type 2) ou hormonal
    (hypothyroïdie), un cancer ou encore des suites des effets indésirables de la médication
192
Q

c quoi perte autonomie anticipée et causes

A

Le déclin de l’autonomie est aussi parfois anticipé compte tenu des problèmes de
santé chroniques qui touchent le résident telle la présence d’une démence, d’une
insuffisance cardiaque ou d’une MPOC.

193
Q

SMAF c quoi
4 sections
5 dimensions
interprétation
niveaux

A

Outil pour la détection de la
perte d’autonomie et
l’évaluation des capacités
résiduelles
Score de 0 à -3 points
* Minimum = 0
* Maximum = 63

4 sections: incapacités, ressources, handicaps, stabilité des ressources
5 dimensions: AVQ, mobilité, communication, fonctions mentales, AVD

  • Interprétation
  • Le score global est obtenu par l’addition des pointages de chaque élément.
  • Une augmentation de 5 points dans un mois est significative sur le plan clinique.
  • À titre indicatif, un aîné atteint d’une démence perd normalement en moyenne 5 points par année
    au SMAF.

0 autome
-0.5 difficulté à réaliser activités
-1 besoin de surveillance ou de stimulation pour effectuer activtié
-2 besoin d’aide partielle
-3 besoin d’aide totale

smaf permet de cibler si la personne à besoin aide à domicile ou CHSLD
et savoir quels soins donner à la personne