COURS 11 : la théorie de l'activation Flashcards

1
Q

pourquoi aborder la théorie de l’activation ?

A
  • afin de remettre en cause la théorie du drive
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2
Q

Le drive VS l’arousal
→ les prémisses des théorie du drive et ses critiques et améliorations

A
  • les prémisse de la théorie du drive : Les organisme cherchent un état d’EQUILLIBRE et donc la REDUCTION de la stimulation.
    → il y a des problèmes avec cette prémisse :
    1. les organisme préfèrent l’expérience du désir plutôt que la réduction du drive
      2. il y a des comportement qui élèvent le niveau de la stimulation (par ex. exploration sur la base de la curiosité)→ l’humain hait l’ennui donc pourquoi chercherait il un équilibre constant ?
    2. la privation de la stimulation est aversive
  • les organismes cherchent un niveau D’AROUSAL optimal plutôt que l’équilibre.
    → DONC l’organisme cherche plus que la satisfaction des besoins physiologique
  • L’AROUSAL =excitation, éveil : état d’activation corporel
  • REMPLACEMENT du concept du drive par le concept d’arousal par rapport à l’activation physiologique
    (p.ex excitation corticale, tensions musculaire, tensions artérielle, conductance électrodermale)

→Organisme ne cherche plus(-) la réduction du drive (stimulation a 0)mais il cherche une sitmulation optimal

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3
Q

La stimulation optimale

A
  • Elaboration d’une idée de WUNDT : un organisme est le plus content et fonctionne le plus efficacement si le niveau d’arousal est optimal
  • la relation entre l’arousal et le bien-être est donc CURVILINEAIRE: L’hyperstimulation et l’hypostimulation sont aversive (Ni trop ni pas passez de stimulation = arousal optimal)
  • IMPLICATION : la recherche du niveau optimal de stimulation est un but constant
  • CONSEQUENCE: la réduction ou élévation du niveau de stimulation par le comportement instrumental
  • le niveau de stimulation est directement reliés aux PROPRIETES PHYSIQUES (p.ex intensité, durée et fréquence) et aux PROPRIETE COLLATIVES /par ex. nouveauté, complexité) des stimuli.

→Les organisme deviennent des agents actif qui coordonnent leurs comportement avec des stimulation externe.(ex. musique pour bosser ou non)

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4
Q

La régulation de la stimulation (BERLYNE , 1996)

A
  • il y a deux type de curiosité et d’exploration qui sont également motivés par le besoin de se rapprocher d’un niveau optimal de stimulation
  • EXPLORAZION DEVERTISSANTE : réaction à l’hypostimulation. En conséquence de l’habituation à l’environnement , l’organisme cherche des nouveaux stimuli
  • EXPLORATION SPECIFIQUE : réaction à l’hyperstimulations qui consiste à chercher des stimuli familiers

-Application aux expérience esthétique : préférence dans les domaines de la musique et de la peinture

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5
Q

L’étude de HERON (1957): La privation de la stimulation

A
  • les participants sont mis dans une pièce de privation qui minimise la stimulation :
    →pas de stimulation sensorielle
    → pas de lumière
    → climat contrôlé (Niveau de température, humidité et oxygène constant)
  • RESULTATS:
    → après quelques heures de privation il y a des déficit de perception et des hallucinations
    → on préfère n’importe quelle stimulation à cette situation (par ex la lecture d’un botin)
    → la sous stimulation entraine des effets non adaptatif
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5
Q

différences interindividuelles II

A
  • les individus diffèrent par rapport à la RECHERCHE DE SITUATION STIMULANTES et excitante
  • Construction d’une échelle de sensation seeking. Les valeurs sur cette échelle sont corrélée avec la préférence des RISQUES et de la STIMULATION
    par ex. consommation de drugs, conduite à grande vitesse
  • HYPOTHESE ACTUELLE : les différences en terme de sensation seeking reflètent des différences dans LE PROCESUS NERVEUX CENTRAL PLUTOT que DES EFFET de la recherche de la stimulation optimale
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5
Q

Différences individuelles III

A
  • UNDERAROUSAL THEORY: Des individus avec une tendance à la criminalité montrent une réduit activation corticale et ou autonome
  • PSYCHOPATHIE PRIMAIRE(fonctionnelle) : sans tendance à la violence, très focalisé sur ses buts à long termes¨
  • PSYCHOPATHIE SECONDAIRE (dysfonctionnelle) : impulsif, hostile, focalisé sur des buts immédiat

((les psychopathes dangereux sont nés avec un cerveau sous activé ))

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6
Q

WILSON et al : L’esprit désengagé

A
  • une série d’étude demande aux participants de se distraire dans leur pensée pendant 15min →résultats : grande difficulté de concentration, activité peu agréable
  • une autre expérience on demande aux participants le choix entre se distraire dans leurs pensée ou de s’auto administrer un choc électrique qu’ils ont jugé auparavant comme désagréable
  • RESULTAT: la majorité des hommes préfèrent les choc. Différence de genre par rapport au sensation seeking
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7
Q

Différence interindividuelle I

A
  • les introvertis sont +excitables que les extravertis
  • les extraverti préfère donc des niveaux de stimulation + élevé par comparaison aux introvertis
  • les introvertis ont déjà un niveau d’activation plus élevé (+ excité que extraverti à la base) que les extraverti
  • les extraverti sont sous existés par rapprot aux introverti
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7
Q

L’étude de GEEN : le choix de l’intensité de la stimulation

A

ETUDE
- des extravertis et des introvertis peuvent ajuster le niveau de bruit optimal pour travailler

  • puis les introvertis sont exposés au niveau de bruit choisi par un extraverti et vice versa (yoked design)
  • MESURE : le niveau d’arousal reflété par la réaction électrodermale
  • RESULTATS : le niveau de bruit choisi par un introverti est sous stimulant pour un extraverti et le niveau de bruit choisi pas un extraverti est sur stimulant pour un introverti
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8
Q

Etude de YERKES et DODSON (1908)
- Rats discriminent pièce blanche de pièce noire (qui va permettre de découler sur une théorie)

A
  • rats doivent apprendre à discriminer une pièce blanche et une pièce noire
  • dans pièce blanche : choc électrique
  • dans pièce noire : pas de choc
  • critère de réussite : rentrer 3 fois de suite dans chambre noire
  • MANIPULATION : la force du choc
  • RESULTATS : vitesse de l’apprentissage :
    choc fort> choc faible
    MAIS choc fort> choc très fort
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9
Q

La loi YERKES - DODSON

A

Selon YORKES et DODSON : la relation entre AROUSAL et PERFORMANCE est décrite par une fonction en U inversé car :

  1. pour toutes les tâches, le niveau d’arousal optimal qui est associé à la performance maximale est INTERMEDIAIRE dans la gammes des niveaux possibles
  2. Le niveau optimal est + BAS pour les tâches difficiles et + ELEVE pour les tâche facile
  • La loi stipule une généralisation
  • Sur motivation si l’arousal est trop élevé
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10
Q

Un test de la loi YERKES et DODSON

A
  • étude de REVELLE : l’arousal et la performance dans un QCM
  • des individus impulsifs sont excité l’après midi et des individus non impulsifs sont excité le matin
  • VARIABLES INDEPENDNATE par rapporta à l’arousal:
  • dose de caféine VS placebo
  • test matin vs soir
  • impulsivité élevée vs impulsivité basse
  • AROUSAL TRES BAS :
  • impulsivité basse/non caféine/après midi
  • impulsivité haute/non caféine/matin
    -AROUSAL TRES ELEVE :
    -impulsivité base/caféine/matin
  • impulsivité élevé/ après midi
    -AROUSAL INTERMEDIAIRE dans les autres groupes
  • RESULTATS :
    meilleur perf pour ceux qui ont eu arousal intermédiaire
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11
Q

HEBB : des effet de l’excitation corticale

A
  • mesure l’activation
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12
Q

AROUSAL général ou spécifique ?

A

selon LACEY : il n’y a pas d’arousal général mais 3 systèmes différents d’arousal:
1. système cortical (activité du cortex)
2. le système autonome (activité des organes )
3. le système comportemental (activité motrice)

  • Même à l’intérieur de chacun de ces trois systèmes, il y a bcp de variabilité. P ex la tension artérielle peut interagir indépendamment de la conduction de la peau)
  • différences individuelles: il y a une spécificité de la réponse autonome- la tendance à réagir avec un certains système plutôt que un autre- et une stéréotypie situationnelle - tendance à réagir avec les même réponses dans bcp de situations
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