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Psychologie cognitive > cours 7 - MCT (partie 1) > Flashcards

cours 7 - MCT (partie 1) Flashcards

1
Q

La capacité de la MCT est aussi appeler comment?

A

empan mnémonique

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2
Q

des résulats, tels que peterson and peterson (1959), ont conduit à la conclusion que la durée effective du MCT (lorsque la répétition est empêchée, comme cela se produit lors du compte à rebours) est d’environ…

A

15 à 20 secondes ou moins

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3
Q

que représente la capacité de la mémoire

A

le nombre d’items (lettre, mot, forme, localisation etc.,) pouvant etre gardés actifs et/ou manipulés simultanément en mémoire

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4
Q

l’empan se mesure lors de quel tache?

A

tache de rappel sériel

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5
Q

dans une tache de rappel sériel, le rappel est correct quand…

A

tous les items d’une liste est rappelés dans le bon ordre

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6
Q

empan

A

longueur de la liste ayant 50% des essais réussis

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7
Q

quel est l’empan?

longueur 6 : 75%
longueur 7: 75%
longueur 8: 50%
longueur 9: 25%

A

8 items

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8
Q

V ou F: l’empan mnémonique dépend de l’unité utilisée

A

Vrai

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9
Q

qui démontre que l’empan mnémonique dépend de l’unité utilisée? quel sont c’est résultats?

A

Miller, 1956

chiffres: 8.0
lettres: 7.1
mots courts: 5.5

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10
Q

l’empan peut etre affecté par quels variables? (3)

A
  • groupement (“chunking”)
  • longueur de mots
  • similitude phonologique
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11
Q

effet de groupement

A

regrouper des élément distinct en unités significatives

facilite la mémorisation en réduisant la charge cognitive

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12
Q

effet de groupement:
a) qui introduit se concept?
b) comment il appelle ce concept

A

a) Miller (1956)
b) chunking

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13
Q

un “chunk” (def et exemple)

A

un ensemble d’éléments fortement associés les uns aux autres mais faiblement associés aux éléments d’autres fragments.

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14
Q

Comment la MCT est-elle impliquée dans des processus tels que la résolution d’un problème mathématique ?

exemple: 43 x 6

A

43 x 6
43 x 6= 18
maintenir 8 en mémoire (stockage)
porter le 1 (processus actifs)
…

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15
Q

Quel type de modèle peut prendre en compte à la fois (1) les processus dynamiques impliqués dans les cognitions tels que la compréhension du langage et la résolution de problèmes mathématiques et (2) le fait que les gens peuvent effectuer deux tâches simultanément ?

A

Baddeley and Hitch’s (1974)
Baddeley (2000)

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16
Q

Le modèle modal de mémoire d’Atkinson et Shiffrin (1968) à la fois en termes de structure (les cases reliées par des flèches) et de processus de contrôle.

A

Entrée
MS
MCT (répétition et sortie)
MLT

Processus de contrôle
Encodage
décision
récupération
autorépétition

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17
Q

Décrivez ensuite comment chaque partie du modèle modal de mémoire d’Atkinson et Shiffrin entre en jeu lorsque vous décidez de commander une pizza mais que vous ne vous souvenez plus du numéro de téléphone de la pizzeria.

A

MS: information sur l’écrant d’ordi rentre

MCT: (répétition et sortie): concentre sur le numéro de téléphone

encodage: par autorépétition

sortie: apelle le numéro

mémorisation: numéro de stockage dans MLT

Récupération: fois d’après l’info est récupérez

MLT: récupérez le numéro

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18
Q

V ou F: L’expérience de Sperling a ainsi fourni des preuves substantielles de l’existence de la mémoire sensorielle

A

Vrai

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19
Q

une expérience, les participants étaient exposés à un tableau de lettres présentées très brièvement (environ 50 millisecondes) sur un écran. Après la présentation des lettres, les participants devaient soit rapporter toutes les lettres qu’ils pouvaient se souvenir

a) quel est l’expérience?
b) que mesure t’ill?

A

Expérience de Sperling

b) mesurer la capacité et la durée de la MS

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20
Q

K. Anders Ericsson et al, 1980 : le participant devais répéter des chaînes de chiffres aléatoires qui lui ont été lues. Bien que S.F. avait une mémoire typique de 7 chiffres, après une formation approfondie (230 séances d’une heure), il était capable de répéter des séquences allant jusqu’à 79 chiffres sans erreur. Comment a-t-il fait?

A

utilisé le découpage pour recoder les chiffres en unités plus grandes qui formaient des séquences significatives.

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21
Q

Luck & Vogel (1997): en terme de quoi est mesuré la capacité de la MCT ?

A

nombre d’items

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22
Q

Luck and Vogel (1997): contenu de l’article (titre)

A

La capacité de la mémoire de travail visuelle pour les caractéristiques et les conjonctions

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23
Q

Luck and Vogel (1997): résultat et conclusion

A

les performances étaient presque parfaites lorsqu’il y avait un à trois carrés dans les tableaux, mais que ces performances commençaient à diminuer lorsqu’il y avait quatre carrés ou plus.

La capacité de la MCT est d’environ quatre éléments dans leur mémoire à court terme.

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24
Q

certains chercheurs ont suggéré qu’au lieu de décrire la capacité de mémoire en termes de « nombre d’éléments », elle devrait être décrite en termes de _________a__________. Lorsqu’on fait référence à des objets visuels, les informations ont été définies comme _________b____________ ou __________c___________.

A

a) « quantité d’informations ».
b) des caractéristiques visuelles
c) des détails de l’objet stockés en mémoire

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25
Q

qui introduit la perception en terme de « quantité d’informations »

A

Alvarez and Cavanagh’s (2004)

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26
Q

L’idée que la capacité de la mémoire en termes de « quantité d’informations » a été tester dans l’expérience de Alvarez and Cavanagh’s (2004). explique l’expérience

A

utilise la procédure de détection des changements de Luck et Vogel

utilisaient également des objets plus complexes

Les stimuli vont de l’information faible (carrés colorés) à l’information élevée (cubes)

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27
Q

Alvarez and Cavanagh’s (2004) : VI et VD

A

VI:
nombre d’information visuelles
nombre d’objets

VD: capacité

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28
Q

Alvarez and Cavanagh’s (2004): résulats

A

meilleure performance pour les items ayan une moin grande quantité d’information

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29
Q

Alvarez and Cavanagh’s (2004): conclusion

A

Plus la quantité d’informations dans une image est grande, moins il y a d’éléments pouvant être conservés dans la mémoire visuelle à court terme.

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30
Q

V ou F: Il existe pas de consensus sur le fait qu’il existe des limites à la quantité d’informations que nous pouvons stocker dans la mémoire à court terme, qu’il s’agisse d’éléments ou d’informations. explique

A

faux

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31
Q

V ou F: le modèle modal ne tient pas compte des interactions complexes entre la mémoire à court terme et d’autres systèmes cognitifs tels que l’attention, la perception et la mémoire à long terme. explique

A

Vrai

décrit principalement comme un mécanisme de stockage temporaire, limité dans sa capacité et sa durée de rétention.

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32
Q

limite du modèle modal de la MCT

A
  • trop étroit
  • néglige les processus de manipulation et de traitement de l’information (principalement décrit comme un mécanisme de stockage à court terme) .
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33
Q

quel modèle emerge des limite du modèle modal de la MCT

A

mémoire de travaille (Baddeley et Hitch)

mémoire de travail en action (Cowan)

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34
Q

mémoire de travaille (Baddeley et Hitch) : force/avantage du modèle

A
  • approche plus dynamique (constante évolution et en interaction)
  • met en avant plusieurs composants interagissant pour maintenir et manipuler l’information.
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35
Q

L’exécutif central est donc le « trafic cop » du système de mémoire de travail. explique a l’aide d’un exemple a l’aide du modèle de Baddeley et Hitch

A

conduire avec de la musique et quelqun qui vous donne les direction (boucle phonologique)

visualisation un plan des route (carnet visuo spaciale)

coordonne et combine ces deux types d’informations (unité de gestion central)

ignorer la musique pour centré notre attention (unité de gestion central)

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36
Q

“The word length effect”: comment Baddeley et al (1984) explique ce phénomene

A

plus long a prononcer et répété

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37
Q

V ou F : certains chercheurs ont proposé que l’effet de longueur des mots ne se produise pas dans certaines conditions

A

Vrai

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38
Q

Baddeley et ses collègues (1975) ont découvert que les gens sont capables de se souvenir du nombre d’éléments qu’ils peuvent prononcer en ___ à ___ secondes environ.

A

1,5 à 2,0

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39
Q

la répétition d’un son non pertinent entraîne un phénomène appelé ___________________.

A

suppression articulatoire,

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40
Q

Baddeley et ses collaborateurs (1984) ont découvert que répéter « le, le, le… » . .» non seulement réduit la capacité de mémoriser une liste de mots, mais aussi ….

A

élimine également l’effet de longueur des mots

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41
Q

pourquoi la supression articulatoire élimine également l’effet de longueur des mots?

A

l’effet de longueur des mots: les mots plus courts laissent plus d’espace dans la boucle phonologique pour la répétition.

Cependant, éliminer la répétition donc supprime cet avantage

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42
Q

Le carnet visuo spatial gère les informations visuelles et spatiales. dans quel processus est-il impliqué?

A

le processus d’imagerie visuelle

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43
Q

effet de similarité phonologique

A

réfère à la tendance des individus à confondre des lettres ou des mots qui se ressemblent sur le plan phonologique.

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44
Q

nomme et explique une expérience qui démontre effet de similarité phonologique

A

Conrad et Hull(1964)
tâche de rappel sériel

erreurs étaient souvent liées à des lettres qui sonnaient de manière similaire plutôt qu’à des lettres qui se ressemblaient visuellement.

ex: F confondu avec S et X
(comparativement a E)

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45
Q

l’effet de similarité phonologique, l’effet de longueur des mots et la suppression articulatoire sont 3 phénomène qui soutiennent quel idée?

A

d’ un système spécialisé pour le langage

46
Q

première expérience d’imagerie visuelle réalisée par Shepard et Metzler (1971): procédure

A

Rotation mentale d’objets tridimensionnels

regardez les deux images et décidez, le plus rapidement possible, si elles représentent deux vues différentes du même objet (« pareil ») ou deux objets différents (« différents »)

47
Q

première expérience d’imagerie visuelle réalisée par Shepard et Metzler (1971): résultats

A

les temps de réaction étaient plus longs pour de plus grandes différences d’orientation

48
Q

première expérience d’imagerie visuelle réalisée par Shepard et Metzler (1971): conclusions

A

les participants résolvaient le problème en faisant tourner l’image de l’objets dans leur esprit, un phénomène appelé rotation mentale.

49
Q

la rotation mentale est un exemple du fonctionnement de/du ______________a____________ car _____________b_____________.

A

a) fonctionnement du calpin de visuospatial

b) elle implique une rotation visuelle à travers l’espace.

50
Q

Une autre démonstration de l’utilisation de la représentation visuelle est une expérience par Sergio Della Sala and coworkers (1999). explique la procédure

A

motif allans de petit (matrice de 2X2 avec 2 carré ombrés) au grand ( matrice de 5X6 avec 15 carré ombrés) la moitié des carrés étant ombrée dans chaque motif.

  • regarder un motif pendant 3s
  • indiquez lesquels des carrés doivent être remplis pour reproduire ce modèle.
51
Q

Sergio Della Sala and coworkers (1999) on constaté que les participants étaient capables de compléter des motifs composés en moyenne de __ carrés ombrés avant de commettre des erreurs.

A

9

52
Q

Sergio Della Sala and coworkers (1999): Mais comment les participants pourraient-ils mémoriser des motifs composés en moyenne de 9 carrés ?

A

carrés individuels peuvent être combinés en sous-motifs, une forme de regroupement qui pourrait augmenter le nombre de carrés mémorisés.

53
Q

V ou F: le fonctionnement du calpin visuospatial peut etre perturbé par des interférences tout comme le fonctionnement de la boucle phonologique par la suppression articulatoire. explique

A

Vrai

Lee Brooks (1968)

démonstration basée sur l’une des tâches de Brooks.

54
Q

Tenir un stimulus spatial dans l’esprit (Lee Brooks, 1968): procédure

A
  • visualiser un grand « F » dans votre esprit en vous déplaçant autour du contour du F dans le sens des aiguilles d’une montre

« Out » pour un coin exterieur et « In » pour un coin intérieur.

tache 1: pointer
tache 2: dire a voix haute

55
Q

Qu’est-ce qui était le plus simple: pointer vers «Sortie» ou «In» ou dire «Sortie» ou «In»? comment il explique ce résulat?

A

dire «Sortie» ou «In»

maintenir l’image de la lettre et pointer sont deux tâches visuospatiales (vs une tâche articulatoire)

le carnet visuospatial devient donc surchargé

56
Q

l’exécutif central (Baddeley, 1996) est lié à ______________.

A

l’attention exécutive

57
Q

V ou F: L’une des façons dont l’unité de gestion central a été étudié consiste à évaluer le comportement des patients présentant des lésions cérébrales. explique

A

vrai

58
Q

quel lobe et région joue un rôle central dans la mémoire de travail?

pourquoi?

A

Lobe frontal
Le cortex préfrontal

impliqué dans le contrôle exécutif, la manipulation d’informations et le maintien d’objectifs à court terme (tous des aspects importants de la mémoire de travail).

59
Q

Un comportement typique des patients présentant une lésion du lobe frontal est _______________.

A

la persévérance

60
Q

la persévérance: definition et exemple

A

accomplir de manière répétée la même action ou la même pensée même si cela n’atteint pas l’objectif souhaité.

“pick a red object” : correct
changement de regle
Now pick the blue object”
continue avec l’ensienne regle meme si la réponse est incorect

61
Q

V ou F: la capacité des gens a pouvoir se souvenir de longues phrases composées de 15 à 20 mots peut etre expliquer a l’aide du modèle à trois composantes de Baddeley. explique

A

faux

62
Q

L’objectif principal de l’expérience menée par Schweickert et Boruff (1984)

A

étudier le lien entre la vitesse de lecture et l’empan dans la mémoire de travail.

63
Q

Décrivez brièvement la méthode utilisée dans l’expérience pour évaluer la vitesse de lecture et son lien avec l’empan.

A

1- impliquait une tâche de rappel sériel avec des listes de chiffres et de formes.
2- lire les items de chaque liste le plus rapidement possible (mesure le temps de prononciation).

64
Q

Hulme, thomson, muir & lawrence (1984): Qu’on t’il trouver dans leurs expériences qui étudiais l’impact de la durée des mots sur la mémoire de différent différent groupe d’âge?

A

Pour toute les tranche d’âge, nous pouvons observer une relation linéaire cohérente entre la vitesse à laquelle les sujets répétaient les mots et leur capacité à les rappeler.

65
Q

Hulme, thomson, muir & lawrence (1984): Cela signifie que plus les participants étaient capables de répéter rapidement les mots présentés, ________________________.

A

meilleure était leur mémoire pour ces mots

66
Q

Quel sont les 2 facons permettant d’identifier l’empan?

A
  • La longueur correspondant à 50% de rappel correct
  • Ce que le participant peut prononcer en 2s
67
Q

Les résultats de Hulme, thomson, muir & lawrence (1984) remet en question quel idée?

A

la MCT se développe en termes de capacité de stockage.

68
Q

V ou F : La vitesse de lecture reflète un changement dans la durée des pauses entre des mots successifs ou des changements dans la coarticulation entre les mots. explique
(Hulme, thomson, muir & lawrence, 1984)

A

faux
augmentation de la vitesse d’articulation des mots individuels

69
Q

Quel était l’objectif de l’étude de Baddeley (1966) ?

A

déterminer si MCT et MLT encodent les informations de différentes manières.

70
Q

Si MCT et MLT encodent les informations de différentes manières, cela soutiennent quel opinion?

A

systèmes distincts et séparés

71
Q

L’hypothese de Baddeley (1966)

A

que MLT codait les informations de manière sémantique, tandis que MCT les codait de manière acoustique.

72
Q

Comment la VD a-t-elle été mesurée dans l’étude de Baddeley (1966)
étude?

A

le nombre de mots rappelés correctement par le participant

73
Q

Baddeley (1966) : Effet significatif de _______a________ mais pas de _______b__________.

A

Similarité acoustique
Similarité formelle

74
Q

Lorsque les stimuli présentés à la MCT sont similaires phonologiquement, cela peut entraîner quoi?

A

une diminution de sa capacité.

75
Q

Lorsque les stimuli présentés à la MCT sont similaires phonologiquement, cela peut entraîner une diminution de sa capacité. pourquoi?

A
  • Crée une interférence dans la MCT
  • Tendance à se confondre les uns avec les autres
  • Plus difficile pour le cerveau de les maintenir distincts en MCT.
76
Q

Les items sont maintenus sous forme _________________ en MCT

A

phonologique

77
Q

2 sous système de la boucle phonologique

A
  • Régistre phonologique
  • boucle articulatoire
78
Q

Régistre phonologique

A
  • Information entreposée passivement sous forme phonologique
  • Entrée de l’information auditive
79
Q

Régistre phonologique : l’information s’efface en environ _______

A

2s

80
Q
  • boucle articulatoire
A
  • Maintient l’information active dans le registre phonologique par autorépétition
  • Basée sur l’articulation
  • Entrée de l’information Visuelle: Code l’information visuelle-verbale sous forme phonologique
81
Q

Si la suppression articulatoire affecte la performance a la tache de mémoire, on peut assumer quoi?

A

Sollicite la boucle articulatoire

82
Q

klatte, lee, & hellbruck (2002): Effet de _______a________ et de _______b_______ sur le rappel sériel de ________c_________.

A

a) stimuli verbaux non pertinent
b) suppression articulatoire
c) stimuli entendus et lus

83
Q

la suppression articulatoire fait disparaitre quel effet, et sur quel modalité?

A

l’effet des stimuli verbaux non pertinent avec modalité visuelle

84
Q

Quel sont les hypothèses, dans le contexte du modèle de Baddeley de la mémoire de travail, sur l’interaction entre la suppression articulatoire (SA) et certains effets cognitifs (l’effet de similitude phonologique et l’effet de longueur du mot). on t’il été confirmer?

A

Si l’effet de similitude phonologique survient dans le registre phonologique, il ne sera pas affecté par la SA

Si l’effet de longeur du mot survient au niveau de la boucle articulatoire, il sera aboli par la SA

SA va avoir un effet uniquement sur la boucle articulatoire

oui il on été confirmer

85
Q

tablette visuo-spacial

A

Sous-système du calepin visuo-spatial dont la fonction est le stockage passif et temporaire des informations visuelles.

86
Q

Les blocs de corsi est une tache ___________

A

D’empan

87
Q

Les blocs de corsi

A

Nombre de blocs présentés successivement

rappel: indique les blocs qui on été présentés, dans le bon ordre

88
Q

Les blocs de corsi: quel est l’empan?

A

5-6 items

89
Q

Effet de similarité visuelle: proportion de rappel correct

A

Similaire: .40
Différent: .48

90
Q

a) Nomme 1 phénomene qui ne peut pas etre expliquer par le modele de la mémoire de travail a 3 composante de Baddley
b) quel modèle ou théorie ce phénomene peut etre expliquer?

A

la mémoire de travail peut contenir plus que ce à quoi on pourrait s’attendre

b) chunking et la récupération des connaisance en MLT

91
Q

Nomme 1 phénomene qui ne peut pas etre expliquer par le modele de la mémoire de travail a 3 composante de Baddley

A

la mémoire peut contenir plus que ce à quoi on pourrait s’attendre en se bassant sur le modèle

92
Q

le cas de Phineas Gage et de la tige de bourrage: les lésions du lobe frontal on entraîné quoi?

A

problèmes de contrôle de l’attention, qui est une fonction importante de l’exécutif central.

93
Q

explique la recherche animale qui a été fait pour exploré l’effet des lésions du lobe frontal (PFC) sur des singes (procedure, résultat conclusion)

A
  • singe observe 2 plateau (1 contenant de la nouriture)
  • délai
  • choisi le plateau
  • s’eux avec une le PFC d’enlever choisisais le bon seulement 50% du temps

le PFC est importante pour garder l’information pour une courte periode de temps

94
Q

le modèle de Stokes (2015) suggère que l’information peut être stockée dans la mémoire de travail de quel facon

A

par des changements dans la connectivité d’un réseau neuronal

95
Q

Le phénomène où le rappel en série immédiat d’éléments verbaux est gravement perturbé lorsqu’un discours de fond non pertinent est présenté pendant l’exécution d’une tâche, est souvent appelé ____________________________.

A

l’effet de l’interférence acoustique/phonologique

95
Q

le modèle de Stokes (2015)

A

État d’activité:Stimuli entrant activation de certains neurones dans le reseau

État synaptique: connexions synaptiques ont été renforcées entre les neurones activés dans le réseau

Activité associée à la mémoire: persiste même après que le stimulus initial a disparu. permettre à l’information d’être maintenue et récupérée dans la mémoire de travail, même en l’absence de stimulation continue.

96
Q

Lorsqu’un discours de fond non pertinent est présent pendant l’exécution d’une tâche de rappel en série immédiat d’éléments verbaux, cela perturbe significativement la capacité de rappel. Cet effet est attribué à quoi pour une présentation (a) auditive et (b) visuelle

A

Présentation auditive :
Les SVNP rentre dans le registre phonologique
Compétition avec les informations

Présentation visuelle :
processus de répétition subvocale qui implique la conversion des informations visuelles en sons mentaux

97
Q

la suppression articulatoire élimine l’effet de SVNP lorsque la présentation est ___________. pourquoi?

A

visuelle

la SA empeche la répétition subvocale, donc ne peut pas acceder au régiste phonologique

98
Q

Si l’effet de similitude phonologique survient dans le registre phonologique, que se passerais-t-il dans une tache de SA? Explique

A

Il ne sera pas affecter par la SA

La SA perturbe la boucle phonologique, non le régistre phonologique

99
Q

Si l’effet de longueure de mots survient au niveau de la boucle articulatoire que se passerais-t-il dans une tache de SA?

A

L’effet serais aboli par la SA

100
Q

Longoni, Richardson, & Aiello (1993) : est ce que les résultats on confirmer l’hypothèse que la SA ferais disparaitre l’effet de longueur de mot?

A

Oui

101
Q

Longoni, Richardson, & Aiello (1993) : est ce que les résultats on confirmer l’hypothèse que la SA n’affecterai pas l’effet de similitude phonologique?

A

oui

102
Q

L’effet de similarité visuelle

A

mailleure performance pour les items de plus grandes différences

103
Q

L’effet de longueur des sentiers

A

notre proportion de rappel correct est inférieure pour les sentiers longs que les sentiers courts

104
Q

Registre d’input

A

Entrée de l’information (MS)

105
Q

Selon Baddeley, lorsque deux tache soccilcitent un meme module, il devrais se produire quoi?

A

De l’interférence

106
Q

l’étude de Meiser & Klauer (1999): test de la modalité

a) VI
b) VD

A

VI
Modalité du rappel : rappel verbal (lettres) VS rappel spatial (positions dans l’espace, par exemple, dans le test de Corsi)
Type d’interférence : sans interférence (contrôle), interférence verbale (suppression articulatoire) et interférence spatiale (frappe cadencée)

VD
Pourcentage de diminution de l’empan

107
Q

Meiser & Klauer (1999) : test de la modalité : résultat

A

Double dissociation :

la performance a la tache de mémoire spaciale est affectée par la tache d’interférence spaciale mais pas la tache d’interférence verbal (SA)

la performance a la tache verbal est affectée par la tache d’interférence verbal (SA) mais pas la tache d’interférence spaciale.

108
Q

Meiser & Klauer (1999) : test de la modalité: conclusion

A

L’interférence survient lorsque la tache interférente et la tache de mémoire sollicitent des stimuli de meme nature

109
Q

Est-ce que il a un certain niveau d’interférence entre des tache de nature différente (ex : spaciale – verbale)

A

oui

110
Q

Double dissociation

A

si une manipulation affecte la première variable, mais pas la deuxieme et que l’autre manipulation effecte la deuxime mais pas la premiere

111
Q

Les durées de lecture des participants variaient de ___a___, et la taille de la durée de lecture était fortement corrélée à leurs performances sur un certain nombre de tâches de compréhension en lecture et à leur score verbal au SAT.

A

2 à 5

Psychologie cognitive (15 decks)

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