200.18 Flashcards

1
Q

Q1 - De quoi est composé le triangle du feu

A
  • Energie d’activation
  • Combustible
  • Comburant
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Q

Q2 - Que peut être le combustible

A

► ORGANIQUE s’il contient du carbone. C’est le cas du bois, du papier, du gaz naturel… Aucune matière organique ne résiste à une température supérieure à 500° C
► INORGANIQUE s’il ne contient pas de carbone. C’est le cas des métaux, magnésium, aluminium, phosphore. Leur combustion est plus difficile car elle nécessite plus de chaleur

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3
Q

Q3 - Quelles sont les différentes énergie d’activation

A

► ÉLECTRIQUE : statique, courant…
► THERMIQUE : feux nus…
► CHIMIQUE : réaction exothermique…
► MÉCANIQUE : frottements, chute d’un corps…
► BIOCHIMIQUE : fermentation…
► NATURELLE : soleil, foudre…

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4
Q

Q4 - Quelles sont les différentes classes de feu

A
  • Classe A Feux dits « secs » (Bois, coton, papier, tissus, etc.)
    Ce sont les feux de matériaux solides tels que le bois, le coton, le papier, le tissu… Ils présentent la caractéristique d’avoir 2 modes de combustion possibles :
    ► combustion vive avec flammes
    ► combustion lente sans flamme visible mais avec formation de braises incandescentes Lorsque les matériaux sont en vrac ou à l’air libre, la combustion est généralement très vive, avec un fort rayonnement thermique (stockages de bois, de papiers) qui propage rapidement le feu. Lorsque les matériaux sont condensés, compactés (rouleaux de tissus, livres, piles de papiers, balles de coton, tas de charbon…), ou confinés dans un local, ils brûlent lentement, en produisant une fumée épaisse et particulièrement âcre, avec un fort dégagement de monoxyde de carbone (CO)1 . 1 - On dit dans ce cas que le feu « couve ». L’extinction complète d’un feu de classe A, qui s’effectue généralement à l’eau, comprend en général 2 phases :
    ► l’arrêt de la combustion vive par l’abattage des flammes ► l’arrêt de la combustion lente par le noyage des braises
  • Classe B Feux dits « gras »
    Ce sont les feux de liquides ou de solides liquéfiables tels que les hydrocarbures, le goudron, le brai, les graisses, huiles, peintures, vernis, alcools, cétones, solvants et produits chimiques divers. Ils présentent la particularité de flamber ou de s’éteindre mais ne couvent pas. Il n’y a donc pas de combustion lente et l’abattage des flammes provoque l’extinction du foyer. Leur capacité à s’enflammer dépend du « point-éclair », propre à chaque produit, mais il peut se produire un rallumage brutal si la température du mélange gazeux atteint celle de « l’auto-inflammation ». Généralement, l’extinction complète d’un feu de classe B ne peut être obtenue qu’après une phase de refroidissement.
    Cependant on distingue les :
    ► feux de liquides inflammables non miscibles à l’eau ► feux de liquides inflammables miscibles à l’eau
    ► feux de solides liquéfiables
    Liquides inflammables non miscibles à l’eau
    Feux de liquides de type essences, huiles, éthers, pétrole généralement impossibles à éteindre à l’eau, sauf au jet diffusé s’ils sont de faible étendue. Les 2 agents extincteurs les plus efficaces étant la poudre pour les feux de faible importance et la mousse pour les nappes de grande superficie.
    Liquides inflammables miscibles à l’eau Feux de liquides de type alcool de faible étendue qui peuvent être éteints à l’eau en jet diffusé. Pour les feux plus importants, le CO2 et la poudre sont les meilleurs agents d’extinction. En cas de recours à la mousse, il convient de s’assurer au préalable de la compatibilité de l’émulseur avec ce type de feux et de son mode d’application.
    Solides liquéfiables Feux de plastiques, caoutchouc et goudrons, qui dégagent une grande quantité de chaleur et de fumées. Généralement l’extinction s’obtient à l’eau. Cependant, dans certains cas, son action pourra se révéler insuffisante. L’extinction est alors menée à l’aide de mousse.

Classe C Feux de gaz
Ce sont les feux de combustibles qui à une température ambiante supérieure à 15° C sont en phase gazeuse. Pour que la combustion soit possible, elle doit se situer dans la « plage d’explosibilité ». Leur mise à feu s’accompagne généralement d’une explosion, d’autant plus violente que le mélange air-gaz s’effectue dans des proportions optimales entre les « limites inférieures et supérieures d’explosibilité ». Ces feux se présentent toujours sous forme de fuites enflammées, plus ou moins importantes en fonction de la pression de stockage ou de transport. Ils se caractérisent par un :
► très fort dégagement calorifique, susceptible de propager l’incendie par simple rayonnement
► danger potentiel d’explosion consécutif à la présence de poches gazeuses créées avant l’inflammation, ou de gaz stockés à proximité du sinistre et chauffés
► dégagement de vapeurs toxiques, dans le cas de produits chimiques gazeux Sauf cas d’urgence tels que décrits dans le BSP 118.1, il ne faut pas chercher à éteindre une fuite de gaz enflammée, car l’accumulation de ce fluide continuant à s’échapper peut provoquer une explosion. L’effort doit être porté sur le barrage de la conduite ou le colmatage de la fuite et, en attendant, sur le contrôle et la surveillance de la flamme. Cependant, en cas d’absolue nécessité d’extinction, l’agent extincteur à employer est la poudre polyvalente A, B et C. S’il s’agit d’une fuite de gaz de ville, l’extinction ne sera effectuée qu’en collaboration avec les techniciens de Gaz de France.
Classe D Feux de métaux
Ce sont les feux de métaux tels que l’aluminium, le zinc, le magnésium… Toxiques par inhalation, ingestion ou simple contact, leur combustion est généralement violente et très luminescente. La plupart de ces métaux réagissent violemment à l’eau, en provoquant un dégagement d’hydrogène ce qui crée un risque d’explosion. Certains, comme le magnésium, le potassium ou le phosphore blanc, peuvent s’enflammer spontanément en présence de l’air, voire exploser. D’autres, comme l’aluminium par exemple, ne peuvent le faire que lorsqu’ils sont en poudre ou en copeaux. Ces feux ne doivent en aucun cas être éteints au moyen d’eau ou de mousse. Seuls des moyens d’extinction particuliers tels que le sable sec ou le ciment sont à employer.

Classe F Feux d’auxiliaires de cuisson
Ce sont les feux liés aux auxiliaires de cuisson tels que les huiles végétales et animales sur les appareils de cuisson.

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5
Q

Q5 - Quelles sont les vitesses de combustion

A
  • Combustion spontanée : oxydation très lente : fermentation dans un tas de foin
  • Combustion lente : réaction qui consomme lentement le comburant qui lui est nécessaire. Ce type de combustion entraîne une faible élévation de la température, des phénomènes lumineux presque nuls et une absence totale de flamme
  • Combustion rapide ou vive (flamme) : réaction qui consomme rapidement le comburant qui lui est nécessaire. Ce type de combustion est caractérisé par une forte élévation de la température, une émission simultanée de lumière, de flammes, de gaz et de fumées
  • Combustion très rapide : réaction qui consomme très rapidement le comburant qui lui est nécessaire. Ce type de combustion est caractérisé par une forte élévation de la température, puis de la pression, ce qui crée une onde de surpression. Dans ce cas l’explosion est dite : « déflagrante »
  • Combustion instantanée : réaction qui consomme instantanément le comburant qui lui est nécessaire. Ce type de combustion entraîne une forte élévation de la température, puis de la pression, ce qui crée une onde de choc. Dans ce cas l’explosion est dite : « détonante »
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6
Q

Q6 – quelles sont les deux types de flamme

A

La flamme est la manifestation visible d’une combustion. C’est le lieu où les vapeurs combustibles réagissent avec l’oxygène. Cette réaction chimique libère de l’énergie sous forme de chaleur et de lumière. On distingue :
► la flamme de diffusion
► la flamme de pré-mélange
On appelle flamme de diffusion le type de flamme où le combustible et le comburant ne sont pas mélangés avant l’apport de l’énergie d’activation. C’est le cas par exemple de la flamme d’une bougie. La flamme est jaune, parfois orangée/rouge. Celle-ci libère de nombreux déchets signe d’une mauvaise combustion appelée : « incomplète ». Cette flamme se décompose en 2 parties : ► une partie allant du blanc à l’orange où les produits de combustion de la zone bleue chassent l’air. Cette zone, plus pauvre en comburant, atteint une température de 1 200° C environ. Il y a production de suie ► une partie bleue où se déroule principalement la combustion. Le combustible est distinct du comburant et des produits de combustion. La température y est d’environ 1 500° C
Le comburant et le combustible sont déjà pré-mélangés avant d’y apporter l’énergie d’activation. La combustion est dite « complète » lorsque le combustible et le comburant se situent dans les bonnes proportions. C’est le cas par exemple de la flamme du chalumeau.

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7
Q

Q8 - Composition des fumées

A
  • Vapeur d’eau
  • Hydrocarbure
  • Dioxyde de carbone
  • Monoxyde de carbone
  • Suies
  • Autre gaz
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8
Q

Q9 - Danger des fumées

A
  • Toxique
  • Envahissante et mobile
  • Opaque
  • Rayonnante
  • Inflammable et explosive
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9
Q

Q10 – Quelles sont les différentes valeurs permettant d’approcher les quantités d’énergie libérée au cours d’un incendie ?

A

► le pouvoir calorifique d’un combustible : exprimé en kJ/kg ou kJ/m3, c’est la quantité maximale de chaleur dégagée pour une combustion complète d’un matériau
► la charge calorifique : exprimée en kJ, c’est la quantité totale de chaleur que peuvent dégager l’ensemble des combustibles présents dans un volume déterminé
► le potentiel calorifique : en kJ/m2, c’est la somme des charges calorifiques pour une surface donnée
► le débit calorifique : en kJ/kg/s ou W/kg/s, c’est la quantité de chaleur produite par un matériau sur un temps donné

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10
Q

Q11 - Définir la température

A

La température est l’état d’agitation moléculaire de la matière. Plus un corps est « froid », moins ses molécules s’agitent. Inversement, plus il est « chaud », plus ses molécules s’agitent. L’unité de température la plus couramment utilisée est le degré Celsius (° C). L’échelle Celsius est définie comme suit : ► l’origine « 0 » correspond à la température de fusion de la glace à la pression atmosphérique ► la valeur « 100 » correspond à la température de la vaporisation de l’eau à la pression atmosphérique

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11
Q

Q12 - Définir la chaleur

A

Un corps, ayant une température définie, détient une énergie qu’il libère par transfert. C’est ce transfert d’énergie que l’on appelle chaleur. Si 2 corps possèdent la même température, le transfert d’énergie est impossible. Dans ce cas il n’y a pas de dégagement de chaleur. Inversement, si les 2 corps possèdent des températures différentes, le transfert d’énergie est possible, créant ainsi un dégagement de chaleur.

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12
Q

Q13 - Quelles sont les différentes transmission de la combustion

A
  • Conduction
  • Rayonnement
  • Convection
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13
Q

Q14 - Quelle est l’unité de transfert d’énergie ?

A

L’unité de ce transfert d’énergie est le kilowatt par mètre carré (kW/m2). Pour indication, le soleil d’été nous envoie environ 1 kW/m2

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14
Q

Q15 - Comment se répartissent les modes de propagation de la chaleur ?

A

La chaleur générée par une flamme se transmet essentiellement par convection (60 %), par rayonnement (30 %) et par conduction (10 %). Au cours d’un incendie, en présence d’un plafond de fumées, la propagation de la chaleur s’inverse. Elle sera plus élevée par rayonnement (60 %) que par convection (30 %).

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15
Q

Q16 - Quelles sont les différentes transmissions de la combustion par déplacement de substances en combustion

A
  • Gaz (poche de gaz) : Dans un incendie où ne prédominent que des flammes de diffusion, la combustion parfois incomplète est limitée à l’apport d’air frais. Il subsiste alors des nappes de gaz dont la combustion est étroitement liée à l’apport de comburant. Cette combustion peut se produire par réinflammation grâce à un apport d’air frais, sur une distance notable, avec parfois rupture de flamme.
  • Liquide (épandage) : L’épandage, qui augmente la surface d’évaporation du liquide, accroît le développement des flammes. Dans les dépôts d’hydrocarbures, les règles de prévention2 limitent le transfert direct de l’incendie. Cependant, ce mode de propagation impose aux sapeurs-pompiers d’adopter des mesures d’extinction et d’attaque particulières pour y faire face
  • Solides (escarbilles et brandons)
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16
Q

Q17 - Définition d’escarbille

A

Petites particules incandescentes dont le danger de propagation de la combustion se limite à quelques mètres.

17
Q

Q18 - Définition de brandon

A

Fragments de solides en ignition pouvant franchir d’importantes distances suivant la force du vent.

18
Q

Q19 - Quels sont les paramètres de pertes et de gains ?

A

Les pertes et les gains peuvent varier en fonction de plusieurs paramètres :
► accroissement de la ventilation
► diminution des pertes aux parois
► accroissement de l’aire du feu
► accroissement des radiations émises par le plafond de fumées

19
Q

Q20 - Quelle est la chronologie du développement du feu

A
  • Naissance
  • Croissance
  • Plein développement
  • Décroissance
20
Q

Q21 - Qu’est-ce qui affecte la vitesse de combustion ?

A
  • État de division de la matière.
  • Disposition de la matière et des matériaux.
  • Température.
  • Autres facteurs.
21
Q

Q22 - En fonction de l’alimentation du feu en comburant, comment peut être la combustion ?

A

Complète ou incomplète

22
Q

Q23 - Chronologie du Flash Over

A
  • Stratification des fumées
  • Apparition d’anges danseurs
  • Apparition de roll Over
  • Amplification du rayonnement
  • Apparition de pyrolyse en partie basse
  • Flash over

En moyenne, un EG se produit à une température de 600° C.
Le volume se retrouve entièrement embrasé pendant un très long moment. La température « ambiante » atteint environ 1 000° C.
La puissance minimale d’un EG est estimée à 3 MW. Il développe une charge calorifique d’environ 7 MW.
Risque de :
* Piéger mortellement les intervenants et les victimes.
* Déstabiliser le dispositif de lutte et de secours.
* Propager l’incendie.

23
Q

Q24 - Condition pour un Backdraft

A
  • Volume clos en surpression
  • Combustion incomplète
  • Chaleur importante
  • Rupture du confinement
24
Q

Q25 - Chronologie du backdraft

A
  • Developpement du feu dans un volume clos
  • Diminution progressive du comburant
  • Surpression du volume
  • Backdraft
25
Q

Q26 – Quels sont les signes annonciateurs d’un backdraft ?

A

Visibles uniquement de l’extérieur du volume sinistré, les signes qui permettent de craindre la survenue imminente d’une explosion de fumées sont les suivants :
► aucune flamme nette ou lumière n’est visible à travers les fenêtres, hormis quelques rougeoiements de braises ou quelques petites flammes bleutées de combustion du CO
► les vitres, couvertes de suie, noire et opaque, peuvent vibrer très légèrement sous l’effet de la chaleur et de la pression interne
► les fumées, grasses et foncées, de couleur inhabituelle, sortent par bouffées des interstices, y compris des bas de portes, par où entre habituellement l’air frais, donnant l’impression que le feu « respire »
► les sons sont amortis et aucun crépitement habituel d’un feu à l’air libre n’est perçu
► les huisseries, les portes et leurs poignées sont très chaudes au toucher

26
Q

Q27 - Conduite à tenir backdraft

A

► sécuriser la zone d’intervention conformément au BSP 118.1
► rester à l’extérieur du volume sinistré
► se tenir à l’écart des ouvrants et du cône d’expansion d’une éventuelle explosion pouvant s’échapper des portes et fenêtres
► interdire toute ouverture des portes et des fenêtres sans ordre
► rester attentif à une possible rupture naturelle du confinement qui peut provoquer l’EF1
► établir un dispositif hydraulique adapté au volume sinistré et au niveau de danger
► interdire toute utilisation de la VO
si un sortant est impossible à réaliser comment sont inertées les fumées ? L’entrouverture de la porte et la réalisation d’une trouée d’extinction en partie haute.

27
Q

Q29 - Quelle est la conduite à tenir face aux riques d’un FGI ?

A

Dans tous les cas, l’attaque prime sur la ventilation pour refroidir les fumées et diminuer massivement le risque.
Lors de la reconnaissance des volumes autour du foyer :
► limiter autant que faire se peut la propagation horizontale et verticale des fumées
► isoler au mieux le foyer initial en fermant les portes
► attaquer les fumées pour les inerter puis les ventiler (si possible)
Pour limiter les risques lors de l’extinction finale/déblais :
► contrôler les espaces vides (faux plafonds, combles…) propices à l’accumulation de gaz au moyen d’une gaffe, sous ARI et avec une lance de protection
Éviter :
► la dispersion de braises
► la mise à l’air libre de foyer couvant, à noyer avant réactivation (matelas, meubles…), en alternant le noyage par jet droit faible débit ou la position purge
Tout au long de la MGO, prendre garde aux mouvements d’air importants capables de « pousser » des « poches » de fumées pré-mélangées à l’air au contact d’une source d’ignition (ou inversement), en cas de :
► mise en œuvre de la VO
► effondrement de faux plafond, cloisons, toitures… ► façade exposée à un vent rentrant

28
Q

Définition Backdraft

A

Il s’agit de l’explosion, lors de l’apport d’air, des fumées et des gaz combustibles accumulés dans le volume si celui-ci est clos

29
Q

Définition Flash Over

A

Il s’agit d’un embrasement généralisé et instantané des matériaux combustibles présents dans le volume , si celui-ci est partiellement ouvert

30
Q

Définition Flamme

A

Manifestation visible de la combustion caractériser par une émission de chaleur et de lumière

31
Q

Définition Incendie

A

Feu violant qui échappé au contrôle et à la maîtrise de l’homme dans l’espace et dans le temps