Série 1 Flashcards

1
Q

Quels sont les trois buts des outils du SI ?

A

La déf° du concept d’outil de gestion communément admise par les spécialistes du management est la suivante :

” un outil de gestion est un dispositif formalisé permettant l’action organisée en vue d’atteindre ou d’améliorer l’efficacité de la structure sur lequel il s’applique.”

Un tableau de bord de gestion, une batterie de ratios financiers, un reporting mensuel seront considérés comme des outils de gestion.

Les 3 buts des outils du SI :

  • transformer la matière
  • trésorerie
  • réseau
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2
Q

Les outils informatiques sont classés en trois familles. Quelles sont ces familles ?

A

Les outils informatiques sont classés en trois familles:

  • postes
  • serveurs
  • réseaux
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Q

Quels sont les trois réseaux de communication ?

A

les trois réseaux de communication :

  • éthernet
  • intranet
  • internet
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4
Q

Qu’est ce qu’une organisation ? Donnez des exemples d’organisation. Quels sont les quatre points qui caractérisent une organisation ?

A

regarder si cette déf° s’applique bien au SI, et non QUE au CDG

Org° (Robbins, 1987) = est une entité de coordination possédant des frontières identifiables, et fonctionnant de façon durable, pour atteindre un ou des objectifs partagés par les participants.

Stéphane :

Org° = ensemble des organes qui constituent un corps (ex : département ou hommes ou machines…).

Les 4 points qui caractérisent une org° :

1- Politique

2- Stratégie

3- Identité

4- Structure

=> moyen mémotechnique : “PSIS”

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5
Q

Qu’est ce qu’un SI : 1 définition générale ; 1définition d’après Charles Bimont ; 1 définition d’après Robert Reix) ?

A

SI (selon Robert Reix) = ensemble organisé de ressources : matériels, personnel, données, procédures permettant d’acquérir, de traiter, de stocker, de communiquer des informations ( sous forme de donnée, textes, images, son…) dans les org°s.

Le SI est un ensemble incluant des systèmes logiques (=flux et procédures) et des systèmes physiques (hommes et machines).

Les outils (=les équipements matériels, logiciels et réseaux) ne constituent en fait que la partie visible d’un ensemble beaucoup plus vaste, regroupant des systèmes physiques et des systèmes logiques. Cet ensemble est le SI.

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6
Q

Quels sont les deux systèmes qui composent le SI et donnez des exemples pour chacun d’entre eux ?

A

Le SI est un ensemble incluant des systèmes logiques (=flux et procédures) et des systèmes physiques (hommes et machines).

Les outils (=les équipements matériels, logiciels et réseaux) ne constituent en fait que la partie visible d’un ensemble beaucoup plus vaste, regroupant des systèmes physiques et des systèmes logiques. Cet ensemble est le SI.

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7
Q

Que signifie MERISE ?

A

MERISE = La méthode d’anayse et de conception MERISE(Méthode d’Etude et de Réalisation Informatique pour Système d’Entreprise) a été créée en 1977 par la volonté des pouvoirs publics, désireux de doter les ad°s et les entreprises publiques, et plus généralement l’ensemble des entreprises françaises, d’une méthodologie rigoureuse, tout en intégrant les aspects nouveaux pour l’époque : informatique répartie et bases de données. Le ministère de l’industrie fur alors chargé d’aider des concepteurs à réaliser ce projet.

La méthode MERISE propose 3 niveaux de représentation d’un SI pour les données et les traitements :

  • le niveaux conceptuel
  • le niveaux logique ou organisationnel
  • le niveaux physique
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8
Q

La méthode MERISE : Quels sont les trois niveaux de représentation d’un SI pour les données et les traitements ?

A

La méthode MERISE propose 3 niveaux de représentation d’un SI pour les données et les traitements :

  • le niveaux conceptuel :

Type de choix: Choix de gestion

Problèmes posés: Quelles sont les règles de gestion qui prévalent dans une entreprise?

Questions posées: Quoi? Quelles données?

Traitements: MCT (=Modèle Conceptuel des Traitements)

Données: MCD (= Modèle Conceptuel des Données)

  • le niveaux logique ou organisationnel

Type de choix: Choix d’org°

Problèmes posés: Comment s’organise-t-on?

Questions posées: Qui? Où? Quand?

Traitements: MOT (=Modèle Organisationnel des Traitements)

Données: MLD (= Modèle Logique des Données)

  • le niveaux physique ou opérationnel

Type de choix: Choix techniques

Problèmes posés: Comment les traitements et les données fonctionnent-ils?

Questions posées: Comment?

Traitements: M Op T (=Modèle Opérationnel des Traitements)

Données: M Ph D (= Modèle Physique des Données)

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9
Q

La méthode MERISE : Qu’est ce qu’une entité ? Qu’est ce qu’une association ? Qu’est ce que des cardinalités ?

A

Entité = est la représentation dans le SI d’un ensemble d’éléments ayant les mêmes caractéristiques. (((Un membre du personnel, une factur, un véhicule peuvent être les éléments de base d’une entité. Signe définitif d’une entité, il existe un identifiant qui permet de désigner d’une façon univoque chacune de ses occurrences (occurence est pris ici dans le sens d’un individu de la collection). Le membre du personnel dispose d’un matricule, une facture d’un numéro, un véhicule d’une immatriculation…

Pour le SI, les occurrences d’une entité ont les mêmes types de propriétés. Tous les membres du personnel ont un nom et une adresse, toutes les factures ont un clien et un mode de règlement. L’identifiant est une propriété particulière.)))

Association = est la représentation d’un lien reliant des entités. (((ex : Un véhicule est affecté à un membre du personnel, une facture est destinée à un client. Une association n’existe que si préexistent les entités qu’elle relie.

Une association peut dans certains cas aussi être porteuse de propriétés mais elles sont souvent intégrées dans une des entités.

Cardinalités = sont des couples de valeurs qui indiquent quels sont les nombres minima et maxima de relations qu’une occurrence de l’entité peut avoir.

Une association n’a pas d’identifiant propre mais utilise la concaténation (l’addition) des identifiants des entités qu’elle relie.

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10
Q

Que signifie UML ?

A

1) Qu’est-ce qu’UML :

UML = (Unitified Modeling Language = langage de modélisation unifié).

UML est un langage fondé sur :

  • les éléments de modélisation (les concepts manipulés par le langage)
  • la sémantique de ces éléments (leur définition et le sens de leur utilisation).

NB : Attention à ne pas confondre un langage de modélisation (=l’analyse et la conception d’un SI ; comme UML et un langage de prgrammation (VisuaBasic, Java, SQL…) qui permet de réaliser du code sur une machine et donc de faire agir un ordinateur et ses périphériques. Le schéma écrit avaee le langage de modélisation devra ensuite être traduit dans un programme pour devenir opérationnel. Il est à noter que cette traduction pourra dans certains cas être automatisée.

  • UML n’est pas une méthode (Merise, SADT/IDEF sont des méthodes, BPMN est une notation)
  • UML n’est pas un langage de programmation mais peut servir à la génération de certaines parties d’un programme.
  • UML est un langage de modélisation adopté à une démarche de programmation orientée objet.
  • UML a été adopté par toutes les méthodes objet et est supporté dans tous les AGL (Ateliers de Génie Logiciel), devenus aujourd’hui EDI (Environnement de Développement Intégrés
  • UML est dans le domaine public, c’est une norme

2) Les concepts de base :

L’information est l’élément central à représenter : sa structure, son utilisation, sa transformation.

Les concepts utiles sont les suivants :

  • le concept d’objet:
  • le concept de classe :
  • le concept d’entité :
  • le concept d’acteur:
  • le concept de processus :

3) Les composants d’UML :

On réduit souvent UML à ses diagrammes, mais c’est beaucoup plus que cela.

UML considère 3 éléments de base :

  • les blocs de base pour construire :
  • entités,
  • relations, et
  • diagrammes.
  • les règles pour utiliser les blocs de base:
  • règles sémantiques, et
  • règles de présentation.
  • les mécanismes communs :
  • spécifications,
  • présentation,
  • extension des modèles.
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11
Q

Qu’est ce que le langage UML ?

A

UML est un langage fondé sur :

  • les éléments de modélisation (les concepts manipulés par le langage)
  • la sémantique de ces éléments (leur définition et le sens de leur utilisation).
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12
Q

UML 2.0 comprend pas moins de treize diagrammes. Voici les cinq diagrammes étudiés : - diagramme de classes

  • diagramme d’activités
  • diagramme d’états-transitions
  • diagramme de séquence.

Classez ces 5 diagrammes en 2 grands groupes après les avoir nommé?

A

UML 2.0 comprend pas moins de treize diagrammes. Voici les cinq diagrammes étudiés :

- diagramme de classes (ou class diagram)

- diagramme de cas d’utilisation (ou use case diagram)

- diagramme d’activités(ou activity diagram)

- diagramme d’états-transitions(ou state diagram)

- diagramme de séquence (ou sequence diagram).

Classez ces 5 diagrammes en 2 grands groupes après les avoir nommé :

Les deux groupes :

1- Diagrammes structurels ou diagrammes statiques (UML Structure) :

  • diagramme de classes (ou class diagram)

2- Diagrammes comportementaux ou diagrammes dynamiques (UML Behavior)

  • diagramme de cas d’utilisation (ou use case diagram)
  • diagramme d’activités(ou activity diagram)
  • diagramme d’états-transitions(ou state diagram)
  • diagramme de séquence (ou sequence diagram).

Ces diagrammes, d’une utilité variable selon les cas, ne sont pas nécessairement tous produits à l’occasion d’une modélisation. Les plus utiles pour la maîtrise d’ouvrage sont les diagrammes d’activités, de cas d’utilisation, de classes, d’objets, de séquence, et d’états-transitions. Les diagrammes de composants, de déploiement et de communication sont surtout utiles pour la maîtrise d’oeuvre à qui ils permettent de formaliser les contraintes de la réalisation et la solution technique.

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13
Q

Quels sont les trois éléments de base qui composent UML ?

A

((((((3) Les composants d’UML :

On réduit souvent UML à ses diagrammes, mais c’est beaucoup plus que cela.)))))

UML considère 3 éléments de base :

  • les blocs de base pour construire : entités, relations, et diagrammes.
  • les règles pour utiliser les blocs de base: règles sémantiques, et règles de présentation.
  • les mécanismes communs : spécifications, présentation, extension des modèles.
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14
Q

Que signifie SADT ?

A

SADT (Structured Analysis and Design Techniques) = La modélisation des processus (Business Process Modelling)

Les objectifs d’une méthode de modélisation de processus :

Les méthodes BPM construisent un modèle (ie : une représentation abstraite des composants et des relations d’un système ou d’un processus au sein de l’org°). Ce modèle, l’image de la réalité qui la rend plus accessible, doit être simplificateur, unificateur et prédictif.

Représentation graphique : les graphiques engendrés par l’analyse d’un processus sont toujours construits à base de boîtes et de flèches. Pour donner un exemple, nous avons choisi de nous inspirer de la méthodologie SADT. Cette méthodologie a été utilisée dans les années 1980-1990. Elle présente l’intérêt d’être simple, efficace et d’être aujourd’hui tombée dans le domaine public sous le nom d’ « Intégration Definition for Function Modelling » (IDEF), donc librement utilisable. Cette méthode reste un excellent outil de brain-storming à la disposition du gestionnaire pour comprendre et résoudre un problème.

15°) processus
Un processus est une combinaison d’opérations interdépendantes et récurrentes (tâches et activités) souvent enchaîné en vu d’une finalité mettant en œuvre des ressources diverses (ressources humaines, matérielles, information)

Un processus se décompose en activités représentées par des boîtes et commentées par des verbes. Chaque boîte peut recevoir des flèches qui représentent :
- à gauche des entrées
- à droite les résultats (sorties) obtenus
- au-dessus les contraintes (règles, contrôles, conditions de déclenchement)
- au-dessous les ressources (individus contribuant au processus, moyens mis en œuvre, mécanismes).
⇨ voir déf° d’un processus dans la série 3 de CDG (q°17)

Q°16) La représentation graphique liée à la conception d’un modèle permet de mieux appréhender la complexité des processus de gestion en mettant l’accent sur une décomposition par niveaux/étapes et en contrôlant l’exhaustivité des éléments clefs :

  • quelles activités ?
  • quelles entrées ?
  • quels résultats ?
  • quelles contraintes ?
  • quelles ressources ?

exemple : diagramme d’activités SADT/IDEF : visite chez un médecin.

17°) La notation BPMN
BPMN = Business Process Modelling Notation

18°) Les éléments BPMN et les 4 grandes categories permettant de classer l’ensemble des symboles
Ces symboles sont classés en 4 catégories :
1- objets de flux (flow objects) qui sont les 3 objets de base :
- évènements (events)
- activités (activities) qui peuvent être atomiques (tâches) ou non (sous-processus)
- branchements (gateways)

2- Objets de connexion (connection objects) :

  • enchaînements d’activités (sequence flow)
  • messages (message flow)
  • associations (associations)

3- Couloirs (swimlanes) :

  • groupements (pool)
  • lignes (lane)

4- Artefacts

  • objets de données (data objects)
  • groupes (group)
  • annotations (annotation)

Ces 4 catégories d’éléments permettent de construire un diagramme BDP (Business Process Diagram). Il est aussi possible de définir ses propres types d’éléments dans les catégories de flux et des actefacts.

(BPMN est représenté par un schéma avec des symboles de base qui constitue le cœur de BPMN)

19°) Urbanisation et les 4 niveaux de l’urbanisation
L’urbanisation consiste à découper le SI en modules autonomes, de taille de plus en plus petite. Le découpage se fait selon 4 niveaux :
1- à l’image de la ville, le SI est un ensemble structuré de fonctions et d’informations utilisé par les processus
2- la zone est le premier niveau de découpage du SI correspondant au plus haut niveau de l’urbanisation informatique. Nous trouvons ici le niveau des SG et des modules du PGI/ERP que nous définirons dans le cadre de la série 2
3- le quartier (ou îlot) est un regroupement de composants homogènes quant à la nature des informations traitées ou de leur finalité (correspond à une application ou à une grande fonction applicative ou encore à un progiciel ou à un module de progiciel)
4- le bloc fonctionnel est un ensemble homogène de fonctions et d’informations. Il assure une cohésion forte entre les objets qu’il gère et les fonctions qu’il assure, ainsi qu’un couplage faible (ie : un nombre limité d’échanges avec les autres blocs du SI)

20°) les 3 intérêts de l’urbanisation
L’urbanisation vise à :
1- renforcer la capacité à développer et à intégrer des sous-systèmes d’information d’origines diverses
2- renforcer la capacité à faire interagir ces sous-systèmes entre eux et les faire interagir avec d’autres SI (interopérabilité)
3- renforcer la capacité à remplacer certains de ces sous-systèmes (interchangeabilité).

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15
Q

La méthode SADT : Qu’est ce qu’un processus ?

A

Les objectifs d’une méthode de modélisation de processus :

Les méthodes BPM construisent un modèle (ie : une représentation abstraite des composants et des relations d’un système ou d’un processus au sein de l’org°). Ce modèle, l’image de la réalité qui la rend plus accessible, doit être simplificateur, unificateur et prédictif.

15°) processus
Un processus est une combinaison d’opérations interdépendantes et récurrentes (tâches et activités) souvent enchaîné en vu d’une finalité mettant en œuvre des ressources diverses (ressources humaines, matérielles, information)

Un processus se décompose en activités représentées par des boîtes et commentées par des verbes. Chaque boîte peut recevoir des flèches qui représentent :
- à gauche des entrées
- à droite les résultats (sorties) obtenus
- au-dessus les contraintes (règles, contrôles, conditions de déclenchement)
- au-dessous les ressources (individus contribuant au processus, moyens mis en œuvre, mécanismes).
⇨ voir déf° d’un processus dans la série 3 de CDG (q°17)

Q°16) La représentation graphique liée à la conception d’un modèle permet de mieux appréhender la complexité des processus de gestion en mettant l’accent sur une décomposition par niveaux/étapes et en contrôlant l’exhaustivité des éléments clefs :

  • quelles activités ?
  • quelles entrées ?
  • quels résultats ?
  • quelles contraintes ?
  • quelles ressources ?

exemple : diagramme d’activités SADT/IDEF : visite chez un médecin.

17°) La notation BPMN
BPMN = Business Process Modelling Notation

18°) Les éléments BPMN et les 4 grandes categories permettant de classer l’ensemble des symboles
Ces symboles sont classés en 4 catégories :
1- objets de flux (flow objects) qui sont les 3 objets de base :
- évènements (events)
- activités (activities) qui peuvent être atomiques (tâches) ou non (sous-processus)
- branchements (gateways)

2- Objets de connexion (connection objects) :

  • enchaînements d’activités (sequence flow)
  • messages (message flow)
  • associations (associations)

3- Couloirs (swimlanes) :

  • groupements (pool)
  • lignes (lane)

4- Artefacts

  • objets de données (data objects)
  • groupes (group)
  • annotations (annotation)

Ces 4 catégories d’éléments permettent de construire un diagramme BDP (Business Process Diagram). Il est aussi possible de définir ses propres types d’éléments dans les catégories de flux et des actefacts.

(BPMN est représenté par un schéma avec des symboles de base qui constitue le cœur de BPMN)

19°) Urbanisation et les 4 niveaux de l’urbanisation
L’urbanisation consiste à découper le SI en modules autonomes, de taille de plus en plus petite. Le découpage se fait selon 4 niveaux :
1- à l’image de la ville, le SI est un ensemble structuré de fonctions et d’informations utilisé par les processus
2- la zone est le premier niveau de découpage du SI correspondant au plus haut niveau de l’urbanisation informatique. Nous trouvons ici le niveau des SG et des modules du PGI/ERP que nous définirons dans le cadre de la série 2
3- le quartier (ou îlot) est un regroupement de composants homogènes quant à la nature des informations traitées ou de leur finalité (correspond à une application ou à une grande fonction applicative ou encore à un progiciel ou à un module de progiciel)
4- le bloc fonctionnel est un ensemble homogène de fonctions et d’informations. Il assure une cohésion forte entre les objets qu’il gère et les fonctions qu’il assure, ainsi qu’un couplage faible (ie : un nombre limité d’échanges avec les autres blocs du SI)

20°) les 3 intérêts de l’urbanisation
L’urbanisation vise à :
1- renforcer la capacité à développer et à intégrer des sous-systèmes d’information d’origines diverses
2- renforcer la capacité à faire interagir ces sous-systèmes entre eux et les faire interagir avec d’autres SI (interopérabilité)
3- renforcer la capacité à remplacer certains de ces sous-systèmes (interchangeabilité).

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3
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16
Q

La méthode SADT : En quoi consiste cette représentation graphique ?

A

Représentation graphique : les graphiques engendrés par l’analyse d’un processus sont toujours construits à base de boîtes et de flèches. Pour donner un exemple, nous avons choisi de nous inspirer de la méthodologie SADT. Cette méthodologie a été utilisée dans les années 1980-1990. Elle présente l’intérêt d’être simple, efficace et d’être aujourd’hui tombée dans le domaine public sous le nom d’ « Intégration Definition for Function Modelling » (IDEF), donc librement utilisable. Cette méthode reste un excellent outil de brain-storming à la disposition du gestionnaire pour comprendre et résoudre un problème.

exemple : diagramme d’activités SADT/IDEF : visite chez un médecin.

17
Q

Que signifie BPMN ?

A

La notation BPMN
= Business Process Modelling Notation

18
Q

Quels sont les éléments de BPMN ? Quelles sont les quatre grandes catégories permettant de classer l’ensemble des symboles ?

A

Les éléments BPMN et les 4 grandes categories permettant de classer l’ensemble des symboles =
Ces symboles sont classés en 4 catégories :
1- objets de flux (flow objects) qui sont les 3 objets de base :
- évènements (events)
- activités (activities) qui peuvent être atomiques (tâches) ou non (sous-processus)
- branchements (gateways)

2- Objets de connexion (connection objects) :

  • enchaînements d’activités (sequence flow)
  • messages (message flow)
  • associations (associations)

3- Couloirs (swimlanes) :

  • groupements (pool)
  • lignes (lane)

4- Artefacts

  • objets de données (data objects)
  • groupes (group)
  • annotations (annotation)

Ces 4 catégories d’éléments permettent de construire un diagramme BDP (Business Process Diagram). Il est aussi possible de définir ses propres types d’éléments dans les catégories de flux et des actefacts.

(BPMN est représenté par un schéma avec des symboles de base qui constitue le cœur de BPMN)

19
Q

La notation BPMN : Qu’est ce que l’urbanisation ? Quels sont les quatre niveaux composant l’urbanisation ?

A

L’Urbanisation et les 4 niveaux de l’urbanisation :
L’urbanisation = consiste à découper le SI en modules autonomes, de taille de plus en plus petite. Le découpage se fait selon 4 niveaux :
1- à l’image de la ville, le SI est un ensemble structuré de fonctions et d’informations utilisé par les processus
2- la zone est le premier niveau de découpage du SI correspondant au plus haut niveau de l’urbanisation informatique. Nous trouvons ici le niveau des SG et des modules du PGI/ERP que nous définirons dans le cadre de la série 2
3- le quartier (ou îlot) est un regroupement de composants homogènes quant à la nature des informations traitées ou de leur finalité (correspond à une application ou à une grande fonction applicative ou encore à un progiciel ou à un module de progiciel)
4- le bloc fonctionnel est un ensemble homogène de fonctions et d’informations. Il assure une cohésion forte entre les objets qu’il gère et les fonctions qu’il assure, ainsi qu’un couplage faible (ie : un nombre limité d’échanges avec les autres blocs du SI)

20
Q

La notation BPMN : Quels sont les trois intérêts de l’urbanisation ?

A

les 3 intérêts de l’urbanisation :
L’urbanisation vise à :
1- renforcer la capacité à développer et à intégrer des sous-systèmes d’information d’origines diverses
2- renforcer la capacité à faire interagir ces sous-systèmes entre eux et les faire interagir avec d’autres SI (interopérabilité)
3- renforcer la capacité à remplacer certains de ces sous-systèmes (interchangeabilité).

21
Q

Qu’est-ce que les traductions organisationnels du SI?

A

A°) LES CONCEPTS DE SI

1°) le SI, une partie intégrante de l’org°?

q° : le DSI (Directeur des SI) est-il un super “directeur informatique” au sens traditionnel du terme (celui qui fait le budget du service informatique et qui gère le mécontentement des utilisateurs), ou réussit-il à imposer sa présence dans le comité de direction qui définit la stratégie de l’org° de l’entreprise?

2°) le SI, une outil de gestion?

un outil de gestion = est un dispositif formalisé permettant l’action organisée en vue d’atteindre ou d’améliorer l’efficacité de la structure sur lequel il s’applique.

3°) le SI, porteur de changement dans l’org°?

Oui, le SI est de toute évidence porteur de changement dans l’org° :

  • la normalisation du langage : l’élaboration d’un dictionnaire de données conduit obligatoirement à l’unification du vocabulaire et du sens attaché auxx termes qui le constituent.
  • la normalisation des règles de gestion : la centralisation des traitements
    • la recomposition des postes de travail et des contenus des profils de poste*
  • les contenus des métiers sont aussi sous l’influence de la manière dont sont conçus les logiciels qui composent le SI (dans les métiers de la comptabilité, les travaux de tenue de comptabilité dépendent maintenant entièrement des logiciels professionnels. Le métier de comptable en est fortement transformé, l’oinateur étant l’outil de travail quotidien, la migration des progiciels sous “Dos”, en mode caractères, vers des interfaces graphiques “Windows” s’est traduite par des besoins d’adaptation des personnels pour intégrer cette nouveauté.
  • la redéfinition de la relation “client” qui peut se transformer à l’occasion de la mise en place d’un progiciel intégré ou d’un extranet mettant en relation des postes de travail, jusque-là sans contact, avec les clients.

4°) le SI, producteur de connaissances?

Au départ, le SIest producteur de données (numériques, textuelles, images…), qu’il doit stocker pour assurer simplement l’exécution de ses traitements.

Progressivement, les entreprises se sont aperçues que ces données, après avoir subi quelques transformations muneures, pouvaient receler de grandes richesses. En effet, les comportements des clients, des fournisseurs, des salariés.. laisent des traces qui sont archées par le SI. L’exploitation de ces informations, à condition qu’elle reste dans le cadre légal, peut donner de précieuses indications sur les politiques futures à mener, que cela soit en matière:

  • d’investissement,
  • de relation client, ou
  • de gestion de personnel.

B°) ANALYSE ET CONCEPTION DES SI

  • les entreprises disposent d’un SI
  • la coexistence d’applications informatiques n’est pas toujours facile à vivre au quotidien : comptabilité, paie, gestion commerciale, gestion de production, bureautique, décisionnel, intranet… La prolifération de programmes et de bases de données peut entraver le développement de l’entreprise, surtout que celle-ci n’est plus à périmètre constant (fusions, acquisitions, scissions…)
  • l’infrastructure, elle aussi, est souvent hétérogène (=en pratique, on dira que deux SI sont hétérogènes quand leurs systèmes d’exploitation sont incapables de partager en commun des ressources matérielles (disques, imprimantes…) ou de faire fonctionner des programmes informatiques d’un système sur l’autre. Suivant les époques de création des applications, il peut y avoir des “couches” de matériels et de logiciels pas toujours très faciles à faire communiquer entre elles. => interopérabilité = capacité d’un programme informatique ou d’un fichier de données à s’adapter à plusieur plates-formes matérielles et logicielles.
  • Et pourtant, les besoins de fluidité de l’information, de sa diffusion, de son traitement, sont manifestes. Il faut aller vite et “penser” processus et non rester devant des applications étanches les unes aux autres

B°) LES METHODES DE CONCEPTION DES SI

Les méthodes d’analyse et de conception intègrent les 3 éléments ci-dessous :

1) la démarche = processus opératoire qui permet d’effectuer le travail de modélisation, de description, et de réalisation du SI.
2) les modèles= **sont les concepts normalisés (entités, associations…) qui permettent de construire et d’aménager le SI. Modélisation = analyse et conception d’un SI.
3) **les outils ** = ils regroupent :
- la technique = employée pour analyser ou concevoir un aspect du SI
- le support = papier ou logiciel, employé pour conserver la trace de ce travail. Des logiciels, nommés généralement Atelier de Génie Logiciel (AGL), supportent et épaulent un méthode d’analyse en facilitant:
- la conception,
- la documentation,
- la simulation,
- l’évaluation ou
- la réalisation du SI

Les outils méthodologiques proposés :

1°) des méthodes = est une démarche structurée permettant de formaliser les étapes du développement d’un SI. Une méthode décrit les processus d’analyse et de conception. Une méthode impose un langage.

2°) des langages = est un ensemble formel et normalisé de termes et de règles syntaxiques pour permettre aux acteurs d’un projet de conception d’un SI de communiquer sans aucune ambiguité. Un langage implique une notation.

3°) des notations = est une ensemble formel et normalisé de symboles pour permettre aux acteurs d’un projet de conception de représenter les éléments d’un SI sans aucune ambiguité.

Nous étudions 4 outils méthodologiques :

  • la méthode Merise
  • le langage UML
  • la méthode SADT
  • la notation BPMN