5- Identité et réseau social Flashcards

1
Q

Qui suis-je? Théorie selon laquelle le nombre maximal
de personnes que quelqu’un connaît réellement est de 150.

A

Le nombre de Dunbar

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2
Q

Vrai ou faux? La conclusion de Dunbar sur le nombre de personne qu’on connait réellement (150) a été validée par d’autres chercheurs.

A

Faux; comme Dunbar n’a pas étudier directement les humains et a plutôt extrapoler ce résultat par rapport aux observations sur les singes, les chercheurs qui ont reproduits ses recherches n’arrivent pas à ce nombre.

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3
Q

Quelles sont les explications de Dunbar concernant le réseau social optimal de 150 chez les humains?

A

Des études avec différentes races de singes montrent que la taille du néocortex est proportionnelle à la taille du réseau social. Cette corrélation positive peut aller dans les deux sens:
1- Plus le néocortex est développé, plus on a les capacités cognitives de bien connaître un plus grand nombre de personnes
2- Avoir des plus grands groupes amènent le cortex à plus se développer pour traiter les informations sociales.

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4
Q

Des chercheurs ont repris les recherches de Dunbar sur la taille du réseau social et ont soulevé une troisième variable dans la relation néocortex- taille du réseau social. Quelle est-t’elle?

A

Le type d’environnement

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5
Q

Selon Dunbar, quelles 3 caractéristiques doit avoir une personne pour qu’elle soit considérée comme faisant partie de notre réseau social?

A

1) C’est une personne qu’on reconnaît quand on la voit ou entend parler d’elle
2) On la connaît suffisamment pour être capable d’interpréter ses comportements et d’anticiper ses réactions
3) On entretient une relation stable avec elle (encore en contact)

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6
Q

Vrai ou faux? Melly fait partie de mon réseau social.

A

Faux; elle ne rempli pas les 3 conditions. Je la reconnais et pourrais interpréter certains de ses comportements mais nous ne sommes plus en contact (pas stable).

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7
Q

Qu’est-ce qui pourrait expliquer des différences individuelles dans la taille du réseau social?

A

L’environnement

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8
Q

Vrai ou faux? La théorie des six poignées de main de Karinthy a été validée par Milgram.

A

Faux; bien que Milgram ait conclu son étude en disant que ça fonctionne, il y a seulement 3 lettres sur 70 qui ont atteintes la personne inconnue par 6-7 liens.

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9
Q

Dans quels contextes la théorie des 6 liens fonctionne?

A

Au sein de communautés précises (ex; golfeurs du Québec, étudiants à l’UDEM).
* sur les réseaux sociaux, ne prend que 3,5 liens pour atteindre une personne de partout dans le monde.

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10
Q

Sur quoi repose la valeur accordée à un réseau social/groupe? (3)

A

Sur une évaluation des membres individuels, des liens entre ces
membres et du réseau en tant qu’unité.

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11
Q

Vrai ou faux? Si un groupe de personnes n’est pas considéré comme un groupe, il peut quand même être entitatif.

A

Faux; l’entitativité s’applique seulement à un ensemble de personnes considéré comme un réseau.

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12
Q

Qui suis-je? Degré auquel un groupe peut être considéré comme une entité réelle, une unité cohérente.

A

Entativité

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13
Q

De quels facteurs dépend la perception d’entitativité? (3)

A
  • Les particularités chroniques du percevant
  • Les facteurs contextuels
  • Les propriétés du groupe.
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14
Q

Qui suis-je? Degré auquel les membres du groupe dépendent plus les uns des autres pour atteindre leurs buts ou résultats.

A

L’interdépendance
(plus y en a, plus y a d’entitativité)

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15
Q

Quelles sont les propriétés du groupe qui favorisent l’entativité? (9)

A
  • L’interdépendance
  • L’importance
  • L’interaction
  • Une taille plus petite
  • La durée
  • Une faible perméabilité
  • La similarité
  • La structure
  • La cohésion
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16
Q

Quelle propriété du groupe renvoie à son organisation, au degré auquel le groupe a développé des caractéristiques spécifiques telles que les rôles, les statuts et les normes?

A

La structure

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17
Q

La perméabilité d’un groupe est ________ corrélée avec l’entativité.

A

négativement
Plus un groupe est perméable, donc que des nouveaux l’insèrent et des membres quittent, moins il est entitatif.

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18
Q

Vrai ou faux? La cohésion englobe l’entitativité.

A

Faux; la cohésion est une propriété du groupe qui favorise l’entativité, qui elle est une dimension plus globale.

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19
Q

Qu’est-ce que la cohésion?

A

Degré auquel les membres du groupe se sentent liés les uns aux autres et liés au groupe.

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20
Q

Quels types de groupes se caractérisent par une entitativité élevée?

A

Les groupes intimes et les groupes de tâches

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21
Q

Les étudiants universitaires ont une entitativité _________.

A

Faible
C’est une catégorie sociale, donc il n’y a pas d’interactions entre tous ses membres.

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22
Q

Qu’est-ce que le phénomène de dépersonnalisation et à quels types de groupes se produit-il?

A

C’est le fait de savoir qu’on fait partie d’un groupe sans connaître individuellement les autres membres. Par exemple, dans un spectacle de musique, je reconnais que je fais partie des fans de X musicien. Cela concerne donc les catégories sociales (femmes, riches, Québécois, etc.) et les ensembles sans lien (passagers du métro, touristes à Cuba, etc.).

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23
Q

Quel type de groupe constitue une orchestre, un groupe de soutien et un jury?

A

Groupe de travail (entitativité élevée)

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24
Q

Vrai ou faux? Dans l’intégration sociale, l’individu demeure différent des autres, donc conserve son unicité.

A

Vrai; il intériose toutefois les normes du groupe.

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25
Q

Qui suis-je? Accentuation des
ressemblances entre les
individus appartenant au
même réseau social.

A

Assimilation sociale

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26
Q

Au secondaire, Pénélope rejoint l’équipe de volley et intériorise les normes de ce groupe (sortir juste avec des gars de hockey, mettre des pantalons adidas h24, etc.). Toutefois, elle conserve son petit côté stoner, ce qui la démarque des autres membres.
Pénélope fait de l’insertion sociale, de l’intégration sociale ou de l’assimilation?

A

De l’intégration sociale

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27
Q

Qui suis-je? Action de s’identifier à quelqu’un, à un groupe
ou à quelque chose, souvent parce qu’on s’y trouve des ressemblances.

A

L’identification

Aspect cognitif

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28
Q

Vrai ou faux? L’attraction sociale est un aspect affectif.

A

Faux; c’est plus conatif car ça motive à aller vers un groupe qu’on trouve attrayant.

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29
Q

En quoi la cohésion est affective et conative?

A

Elle est affective car elle représente le sentiment d’être lié avec les autres membres du groupe et le groupe lui-même. Elle est conative puisqu’on groupe cohésif sera plus motivé à rester ensemble, unit.

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30
Q

Quand les ados choisissent une tenue vestimentaire, ils se réfèrent davantage à leur identité __________.

A

sociale

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31
Q

Qu’est-ce que favorise la cohésion dans le groupe?

A

Elle favorise l’identification au groupe qui elle renforce la dépendance au groupe. Cette interdépendance favorise des points de vue homogènes.
- La conformité au groupe (les membres suivent les mêmes normes)
- La recherche de consensus
- La perception stéréotypique
- La différenciation intergroupe
- L’ethnocentrisme

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32
Q

Par quoi est influencée la cohésion?

A

La saillance du contexte. Par exemple, il peut y avoir une grande cohésion entre étudiants lors d’un travail d’équipe, mais pas à l’extérieur du contexte scolaire.

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33
Q

Vrai ou faux? Les différents types d’attraction (personnelle, interpersonnelle et sociale) sont dépendants les uns des autres.

A

Faux; ils sont indépendants mais ils ne s’excluent pas nécessairement (peuvent avoir lieu en même temps dans un groupe)

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34
Q

Selon Hogg et Hains, qu’est-ce qui mène à l’attraction sociale? (3)

A

Le statut intergroupe objectif, le statut intergroupe subjectif et l’identification au groupe

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35
Q

Attraction sociale

De quoi est composé le statut intergroupe subjectif?

A

La perception du statut du groupe (meilleur ou pire que les autres?) et la perception de la
stabilité de ce statut

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36
Q

Vrai ou faux? Plus le statut intergroupe
subjectif est clair, plus l’identification au groupe est facile.

A

Vrai (corrélation positive)

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37
Q

Comment l’identification au groupe est associée à l’attraction sociale?

A

Plus la personne s’identifie au groupe, plus elle a envi d’en faire partie.

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38
Q

Qui suis-je? » Désigne l’action de dévaloriser, de blâmer avec dureté et publiquement.

A

La stigmatisation (pire que l’exclusion sociale)

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39
Q

Quelle approche a davantage étudié l’exclusion sociale?

A

L’approche systémique

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40
Q

Qui suis-je? Effet d’une forte cohésion de groupe qui représente le fait d’utiliser son propre groupe comme point de référence pour juger les autres groupes, surtout lorsqu’on croit que notre groupe est supérieur.

A

Ethnocentrisme

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41
Q

Anais a le béguin sur Harry Styles, mais lui il n’en a rien à foutre de cette paysanne. Quel type d’attraction est illustré?
a) personnelle
b) interpersonnelle
c) sociale

A

Attraction personnelle (va juste dans un sens)

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42
Q

Vrai ou faux? Mon attirance envers David est interpersonnelle.

A

Vrai; elle va dans les deux sens (il est attiré par moi aussi)

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43
Q

Abi est la stoner du lycée mais elle aimerait tant faire partie du groupe de filles de basket avec car elles sont les plus cool du bahut (statut intergroupe subjectif).
1) Quel type d’attraction est illustré?
2) Au sein du groupe, cette attraction favorise quoi?

A

1) L’attraction sociale
2) La cohésion

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44
Q

Rose n’est plus invitée dans les festivals (exclusion sociale) parce qu’elle fait des crises d’angoisse et gâche la partie de plaisir. Cela est
a) un processus externe
b) une cause interne
c) une cause externe

A

c) une cause externe
Le déclencheur de l’exclusion c’est que nous on ne l’invite pas

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45
Q

Quelle est la première étape pour intervenir sur l’exclusion sociale d’un individu?

A

Faire son anamnèse et l’évaluation de ses ressources internes et externes. Cela nous permet d’orienter l’intervention à un niveau en particulier.

46
Q

Lutte contre l’exclusion sociale

Sur quel(s) système(s) se centre une intervention au niveau individuel?

A

L’ontosystème (l’individu)

47
Q

Lutte contre l’exclusion sociale

Sur quel(s) système(s) se centre une intervention au niveau social primaire?

A

Le microsystème (réseau primaire) et le mésosystème (liens entre les microsystèmes)

48
Q

Vrai ou faux? L’intervention au niveau communautaire vise le macrosystème.

A

Faux; elle vise l’exosystème (gouvernements, décideurs) et le microsystème (personnes qui appliquent les politiques sociales/ressources/décisions de l’exosystème).
Le macrosystème est plus large et correspond aux idéologies et valeurs d’une société, donc concerne plus l’intervention collective.

49
Q

La mairesse de Rouyn-Noranda donne son feu vert pour un projet de construction de rampes et d’ascenseurs donnant l’accès aux commerces/infrastructures pour les personnes en fauteuil roulant. De quel type d’intervention s’agit-il et par quel système de la théorie écologique?

A

C’est une intervention au niveau communautaire par l’exosystème

50
Q

Deux types de personnes sont surtout visées dans l’intervention communautaire visant à lutter contre l’exclusion sociale. Quelles sont-elles?

A

1) Les personnes qui vivent dans la pauvreté (pas d’argent et pas de transport pour participer à des activités, pas d’éducation pour emploi qui constitue un bon réseau)
2) Les personnes qui ont des différences qui les amènent à être exclues (handicap physique ou intellectuel, par exemple)

51
Q

Quel type d’intervention est pratiquée par une activité de sensibilisation aux réalités des personnes atteintes du VIH/sida afin de démystifier les préjugés dans la population générale?

A

Une intervention au niveau collectif

52
Q

Qui suis-je? Système constitué de tous les microsystèmes qui permet d’assurer une cohérence dans le contexte de vie de l’individu.

A

Mésosystème

53
Q

Qui suis-je? Système des forces extérieures ayant des répercussions sur le microsystème (règlements,
programmes éducatifs, situation financière, etc.).

A

Exosystème

54
Q

Le macrosystème représente les forces éloignées qui ont
des influences subtiles et ________________ sur le microsystème (valeurs, culture, religion, idéologies politiques, etc.).

A

à long terme

55
Q

Qui suis-je? Dans le cadre de l’approche de la cognition sociale, se manifeste par la discrimination d’une partie de la population par un groupe dominant.

A

La stigmatisation

56
Q

Vrai ou faux? Dans la stigmatisation sociale, le groupe dominant est celui qui est manjoritaire (composé de plus de personnes) qui discrimine un groupe minoritaire.

A

Faux; il est dominant plus en terme de pouvoir qu’en nombre.

57
Q

Quelle sont les 3 facettes essentielles de la stigmatisation?

A

Les méconnaissances (manque de connaissances ou informations erronées), les attitudes négatives (préjugés) et la discrimination

58
Q

Vrai ou faux? La stigmatisation peut se faire au niveau de l’individu lui-même.

A

Vrai; c’est l’auto-stigmatisation

59
Q

Quelles sont les étapes du mécanisme de stigmatisation? (5)

A

1- Étiquetage (on distingue des différences superficielles, rien de méchant là-dedans)
2- Stéréotypes (attribuer des défauts à ces personnes personnes différentes, généralisation)
3- Séparation cognitive (dissociation d’“eux” et de “nous”)
4- Discrimination (mettre à l’écart, traiter différemment)
5- Privation de pouvoir social (dénigrer, rejeter les opinions des autres, peuvent pas participer aux décisions)

60
Q

Pour lutter contre l’étiquetage, il s’agit de nier les différences, montrer qu’elles n’existent pas et que nous sommes tous égaux.

A

Faux; il s’agit d’accepter ces différences mais en adaptant son vocabulaire de sorte à décrire les personnes avec des termes plus sensibles et respectueux.
Un attardé–> une personne avec un handicap intellectuel

61
Q

Lutte contre la stigmatisation sociale

Quelles sont deux stratégies de lutte contre la déshumanisation?

A

1) En mettant l’accent sur le fait qu’il s’agit d’une personne avant tout au lieu de mettre l’accent sur la différence. Par exemple, un itinérant = une personne en situation d’itinérance.
2) En parlant de la prévalence, ce qui montre que beaucoup de personnes sont touchées par une problématique ou ont x carcatéristiques différentes (ex; nombre de personnes transgenres).

62
Q

Quelles sont les réactions possibles des personnes face à la stigmatisation? (3)

A

L’auto-stigmatisation, l’identité stigmatisée dissimulée ou le désccord/déni.

63
Q

Lucie est dyslexique mais elle ne veut pas que ses camarades le sachent par crainte d’être stigmatisée. Elle va à la toilette lorsqu’il arrive son tour de lire devant la classe. De quelle réaction à la stigmatisation fait-elle preuve?

A

L’identité stigmatisée dissumulée (elle la cache)

64
Q

Quels sont les effets négatifs possibles de l’autostigmatisation?

A

Faible estime de soi, anxiété,
dépression, problèmes de sommeil, insatisfaction dans la vie, difficulté à travailler ou à poursuivre des études,
difficulté à faire face aux tracas
quotidiens, etc.

65
Q

Vrai ou faux? L’autostigmatisation n’amène que des effets négatifs chez les personnes qui en font preuve.

A

Faux; certaines sont énergisées par la révolte envers le préjudice subi et remplies par une
colère justifiée (veulent changer, mise en action).

66
Q

Quels sont les impacts de l’identité stigmatisée dissumulée selon Quinn et Chaudoir (2009)?

A

Le fait de dissimuler une partie de notre identité a des impacts négatifs sur notre santé. L’effort que ça prend de se cacher entraîne plus de stress, notamment.

67
Q

Identité stigmatisée dissimulée

Selon Quinn et Chaudoir, quelles variables individuelles ont un effet direct sur la détresse psychologique?

A

Le stigma anticipé, la centralité et la saillance* (pas tout à fait significatif).

68
Q

Quel lien est le plus fort dans les résultats de l’étude de Quinn et Chaudoir sur l’identité stigmatisée dissimulée?

A

Le lien le plus fort est entre la détresse psychologique et la santé physique.

69
Q

Vrai ou faux? Plus la population générale fait de la stigmatisation, plus les personnes stigmatisées ont des problèmes de santé physique.

A

Vrai; il y a un lien direct entre le stigma culturel et la santé physique.

70
Q

Qui suis-je? Degré avec lequel la personne pense que cette
caractéristique de son identité la définit.

A

Centralité

71
Q

La saillance est une variable indépendante individuelle associée à la détresse psychologique et la santé physique. Quelle est sa définition?

A

Degré avec lequel la personne pense à cette caractéristique (y penser souvent).

72
Q

Thérèse a la trisomie 21. Elle pense que cette caractéristique la définit beaucoup et a l’impression que les gens la voient avant tout comme une trisomique.
À quel concept cela réfère-t’il?

A

La centralité

73
Q

1) Qu’est-ce que le sigma culturel?
2) Est-ce une variable individuelle, soit que c’est la personne qui entretient cette stigmatisation?

A

1) C’est le degré de dévaluation sociale de cette caractéristique.
2) Non, c’est plutôt comment la société voit ce stigma. c’est une variable plus sociale dans l’identité stigmatisée dissimulée.

74
Q

Selon une étude de Dubois et al., qu’est-ce qui pourrait diminuer les effets néfastes sur la santé
de l’exposition chronique à la stigmatisation?

A

La connexion avec la communauté, soit l’identification aux personnes et le sentiment d’appartenance. Ça donne la perception d’un soutien social.

75
Q

Pour communiquer qui nous sommes, il faut se connaître et prendre la perspective de l’autre. Qu’est-ce qu’on doit faire pour bien prendre la perspective de l’autre? (3)

A

1- Utiliser un vocabulaire que l’autre va comprendre
2- S’assurer que l’information est contextualisée
3- Prendre en compte le vécu de l’autre, qui peut être différent du nôtre et s’ajuster.

76
Q

Quand je communique clairement, c’est-à-dire parce que je me connais bien et que je réussi à prendre la perspective de l’autre, mon interlocuteur se représente mon identité par des images mentales. Qu’est-ce qu’il va faire pour qu’ensuite on se représente notre identité par nous-mêmes?

A

En réagissant à nos propos par une rétroaction et une réponse, l’autre nous renvoie une image de nous.

77
Q

À travers nos interactions avec nos amis, trois stratégies aident
à définir notre propre identité. Quelles sont-elles?

A

1) Se voir à travers l’autre (faire ressortir nos ressemblances)
2) Se distancier de l’autre (faire ressortir les différences)
3) Reconnaître sa position dans le réseau

78
Q

De quelles façons l’individu peut prendre ses distances lorsque ses interactions font ressortir les différences avec l’autre? (4)

A

1) En contrastant ses propos de ceux de l’autre, en amenant des nuances
2) En adoptant une attitude différente de l’autre
3) En critiquant l’autre, le dénigrant
4) En quittant la relation avec l’autre

79
Q

Vrai ou faux? Une association étudiante qui poste des story sur Instagram est un exemple de personne morale.

A

Vrai; c’est une entité avec qui ont interagit sur les réseaux sociaux

80
Q

Comment les réseaux sociaux numériques influencent-ils le développement de notre identité sociale et personnelle?

A

En nous en offrant la possibilité de nous lier aux autres (identité sociale) ainsi qu’en nous permettant de présenter aux autres ce qui nous distingue, nous rend “unique” (identité personnelle).

81
Q

Qui suis-je? Lien technologique entre une entité réelle et une entité virtuelle.

A

L’identité numérique

82
Q

Vrai ou faux? Tout comme l’identité traditionnelle, l’identité numérique est multidimensionnelle.

A

Vrai; on a plusieurs identités sur les réseaux numériques, qui dépendent des personnes avec qui on interagit, des médias sociaux utilisés. Par exemple, je ne me projette pas de la même façon sur Instagram que sur Studium…

83
Q

L’identité numérique est caractérisée par deux types d’informations distincts
mais complémentaires. Lesquels?

A

1) Les informations parcellisées qui nous sont attribuées, qu’on ne choisit pas (nom, comptes bancaires, adresse civique, numéro de téléphone)
2) Les informations dites multiples qui sont produites par nous-mêmes, telles que nos pseudonymes, nos commentaires écrits, nos photos publiées, etc.

84
Q

Vrai ou faux? On peut manipuler les informations parcellisées pour se créer une identité numérique plus ou moins distincte de notre identité “de la vraie vie”.

A

Faux; ce sont les informations dites multiples que nous pouvons contrôler, car elles sont produites par l’individu lui-même. On décide ce qu’on veut exposer de nous sur les réseaux sociaux numériques.

85
Q

Quel type d’identité numérique caractérise ce que la personne est dans son être reflétant sa vie réelle?

A

L’identité civile

86
Q

Ma photo de profil Facebook est un exemple de quel type d’identité numérique?

A

Identité civile (ça reflète mon être et et c’est réel)

87
Q

Qui suis-je? Elle caractérise ce que fait la personne sur Internet à travers une vie projective virtuelle; c’est ce que l’on projette de nous.

A

L’identité virtuelle

88
Q

Julie-Pier écrit des fanfictions de Harry Potter sur Reddit. Quel type d’identité numérique est représenté ici?

A

L’identité virtuelle (faire et projecté)

89
Q

Ce que la personne est ou veut être qu’elle projette virtuellement, par exemple, en partageant des publications de gros chars modifiés.

A

Identité narrative

90
Q

Quel type d’identité numérique caractérise ce que fait la personne sur Internet reflétant sa vie réelle?

A

L’identité agissante. Par exemple, en faisant un live de moi qui chante.

91
Q

Pour tous les types d’identité numérique, il y a deux manières
d’apparaître sur Internet. Lesquelles?

A

L’extériorisation de soi et la simulation de soi

92
Q

Dans le contexte des médias sociaux, comment se fait la construction de notre identité?

A

Par la communication dans son sens large

93
Q

Quelles sont les deux particularités des réseaux sociaux numériques comparativement aux autres méthodes de communication qui favorisent la construction de l’identité?

A

La temporalité et l’espace. Ça fait en sorte qu’on peut partager plus d’informations.

94
Q

Quelles sont les 4 stratégies qui nous permettent de se présenter sur Internet?

A

1) L’autodescription
2) Les déclarations sociales
3) Les comportements non verbaux
4) Les associations sociales

95
Q

Quelle stratégie de présentation de soi est utilisée lorsque je mets mon statut à “en couple”?

A

L’autodescription

96
Q

Quelle stratégie de présentation de soi est utilisée lorsque je publie une photo de moi avec mes amies?

A

L’association sociale (gens/groupe auquel je m’associe)

97
Q

Quelle(s) stratégie(s) de présentation de soi sur Internet est utilisée lorsque je partage une publication du Point d’appui concernant une position sur un sujet d’actualité?

A

1) La déclaration sociale car sans utiliser le Je, je partage mon opinion et présente un sujet qui m’intéresse.
2) L’association sociale, car je montre que j’ai un lien avec le Point d’appui.

98
Q

Quels sont les 5 principaux effets indésirables de l’identité numérique sur l’identité?

A

1) L’enfermement virtuel par la poursuite constante du Soi idéal
2) L’enfermement réticulaire par la fusion avec le réseau
3) La diminution de l’estime de soi
4) Le développement d’une perception égocentrique
5) Constante attente de l’évaluation positive par les autres et peur d’être ignoré

99
Q

Selon Jauréguiberr, quelles sont les raisons qui nous poussent à se construire une identité numérique qui diffère de notre identité réelle? (3)

A

1) Pouvoir s’exprimer plus librement en jouant le rôle qu’on veut sans subir le jugement direct d’autrui
2) Échapper à la déception de ne pas pouvoir atteindre le Soi idéal en comblant ce vide par l’identité numérique
3) Obtenir la reconnaissance des autres

100
Q

Qui suis-je? Intériorisation des
connaissances à propos des différents rôles joués par chacun
dans une interaction sociale.

A

Autrui généralisé

101
Q

Qui suis-je? Selon cette théorie, l’individu aspire à une identité sociale positive et
distinctive, ce qui contribue au développement d’une bonne estime de soi.

A

Théorie de l’identité sociale

102
Q

Dans le mécanisme de stigmatisation, quelle action entraîne une mise à l’écart de la
personne stigmatisée?

A

Discriminer

103
Q

L’entitativité est le degré auquel un groupe peut être considéré comme une entité réelle,
une unité ___________.

A

cohérente

104
Q

Parmi les types d’identité numérique, l’identité ___________________ caractérise ce que la personne est dans son être à travers une vie projective virtuelle, c’est ce que l’on veut être.

A

narrative

105
Q

Qui suis-je? Fait de s’enfermer dans une pratique compulsive d’internet pour tenter de combler le vide qui découle d’une difficulté à se définir par rapport à un groupe social dans le monde réel.

A

Enfermement virtuel

106
Q

À quel niveau de lutte contre l’exclusion correspond la mise en place de politiques publiques pour tenter de rapprocher les personnes exclues des droits “ordinaires” dont elles ont été éloignées?

exemple droit ordinaire= transport

A

Niveau communautaire (intevention sur éxosystème et microsystème). Par exemple, adapter les activités pour inclure

107
Q

De quoi est composé l’ontosystème selon le modèle écologique de Bronfenbrenner?

A

C’est l’individu : âge, sexe, bagage génétique, connaissances, capacités, déficits, attitudes, valeurs, personnalité, tempérament, intérêts, etc

108
Q

Qui suis-je? Système qui entretient une relation immédiate avec l’individu.

A

Microsystème (plus important pour soutien social, famille, garderie, amis, école, etc.).

109
Q

Comment se développe l’identité selon la perspective de Mead?

A

L’identité est un construit social. Pour communiquer avec l’autre, il faut adopter sa perspective et se faisant, s’identifier à lui. La conscience de soi émerge des expériences sociales. Se parler à soi-même= « the reflecting me » (le MOI). Généralisation de la perception de l’autre sur soi en se parlant, en prenant la perspective d’autrui.

110
Q

Qui suis-je? Selon cette perspective, l’identité est une habileté de communication, un processus de construction de communication. Sans ce que lui reflètent les autres, l’individu ne peut pas prendre conscience de lui-même comme différent de l’environnement. Par les interactions, il prend conscience de ses besoins, par exemple.

A

La perspective socio-constructiviste