deonto exam 2 Flashcards

1
Q

qu’est ce qu’un test psychologique

A

c’est une mesure objective, standardisée, fidele et valide d’un échantillon de comportements

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

qu’est ce qu’on peut dire sur l’échantillon de comportements et la valeu predictive d’un test.. (elle depend de quoi)

A

Les observations sont effectuées sur un échantillon restreint, mais soigneusement sélectionné, des comportements des individus.
La valeur diagnostique (ou prédictive) dun test dépend de la capacité quon a de représenter les comportements. La capacité qu’on a de formuler un item. On représente les comportements à partir de plusieurs items. On ne peut pas mesurer tous les comportements. On va choisir les items les plus représentatifs. On va bâtir des items, mais on ne va pas mesurer tous les comportements. On va choisir, 10,20,30 items.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

que doit on retenir sur la standardisation

A

Uniformité de la démarche dadministration et de correction du test (principe général de contrôle rigoureux de la démarche pour toute l’observation scientifique): Donc je vais garder la même façon de passer mes tests. Puis je vais uniformiser la correction. P. ex., doivent être pareil pour tout le monde : Consignes détaillées pour ladministration; Matériel à utiliser pareille pour tout le monde; Limites de temps; Démonstrations préliminaires; Façon de répondre aux questions des examinés; les normes (préparation et lecture). Ce qui va changer c’est la réponse des gens.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

que peut on dire sur la mesure objective, de qui a t elle ete cree, en quelle année..

A

Test objectif, projectif, scolaires, psychologiques. Plusieurs genres de tests alors la façon de concevoir une mesure comme objective a été déterminée par Binet en 1905 : Létablissement du niveau de difficulté des items (du plus faciles aux plus difficiles) sappuie sur des démarches empiriques et objectives (permettant d`établir un ordre de difficulté empirique): Binet et Simon. Façon d’embarquer tous les tests. Mesure objective. Pour être objectif, je dois déterminer le niveau de difficulté des tests.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

pour quelles raisons doit on contrôler les tests psy 2

A
  1. Pour assurer que le test soit utilisé par un examinateur qualifié;
  2. Pour éviter que le public connaisse le contenu précis du test.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

c’est quoi les 3 points décrivant un examinateur qualifié

A
  1. Le choix du test à administrer (connaissance); Il sait choisir quel test utiliser.
  2. L’administration (standardisation) et la correction (précise); Il sait comment administrer et corriger le test.
  3. Linterprétation des scores (connaissance approfondie : groupe utilisé pour établir les normes; connaître certains antécédents de lexaminé, son état physique ou émotif, son degré d`accoutumance à une situation de testage, etc.). Il sait interpréter les scores.

N.B. Personnes différentes peuvent obtenir un même score à un test pour des raisons fort différentes!!!
On peut faire un test a posteriori

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

l’administration des tests se decrit comment 3pts

A
  1. Préparation des examinateurs (lire et se familiariser avec le matériel; essayer de prévoir quelques situations d`urgence; etc.)
  2. Conditions de testage (consignes verbales, minutage, matériel, environnement de l’évaluation);
  3. La présentation du test: climat interpersonnel (« rapport ») et motivation de l`examiné (est-il prêt?). rapport 1 et 2
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

quelle est la difference entre le rapport 1 et le 2

A

1 : tout ce qu’on va parler aux gens qui touchent des aspects généraux. Sert à minimiser l’anxiété des gens. On parle avec les gens et on explique ce qui va se passer. Comment ils doivent se comporter. Avez-vous déjà rempli des tests psychologiques? Comment vous vous sentez? 2 : On va parler spécifiquement d’un test. Un rapport No. 1 et plusieurs rapports No. 2. Si j’ai cinq passations, je vais avoir cinq tests No. 2. L’objectif est de diminuer le niveau d’anxiété également. Qu’est-ce que la personne doit faire pour répondre à ce test spécifique. Au meilleur de vos connaissances, pas de bonnes ou mauvaises réponses. Rapport No. 1 c’est l’explication de la journée au complet. Rapport No. 2 spécifique pour chaque test.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

pourquoi doit on securiser le contenu des tests

A

car sinon la personne peut memoriser les réponses et de ce fait le test ne sera plus valide.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

nommez les 6 domaines de mesures et des exmples de chacun

A
  • Physique: énergie, masse, force, longueur, poids, etc.
  • Biologie: rythme cardiaque, pouls, taux de métabolisme, etc.
  • Économie: produit national brut, taux de chômage, etc.
  • Loisir: performance sportive, cote d’un film, etc..
  • Éducation: notes en mathématiques, français, etc.
  • Psychologie: intelligence, motivation, anxiété, intérêts, etc.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

la psychologie n’echappe pas aux mesure, son rôle est quoi en 4 points

A
  • Définir certaines caractéristiques du comportement;
  • Décrire/prédire les différences de comportement;
  • Prédire les changements de comportement; et,
  • Expliquer le pourquoi de ces différences
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

de quoi dependent la qualité de descriptions, de prédictibilité .. ?

A

de la qualité de la mesure

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

definition de la mesure 2

A

De façon générale, on définit la mesure comme étant «un ensemble de méthodes utilisées pour donner une description (quantitative) d’une caractéristique d’un phénomène».
Spécifiquement, la mesure est une opération qui consiste à associer, selon certaines règles, des symboles (souvent numériques) à des objets, à des événements ou à des individus de façon à évaluer le degré auquel ils présentent certains attributs.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

la mesure et la representation

A

Pour être représentatifs, les symboles numériques (1,2,3,4,5 chiffres) doivent être accompagnés dune unité de mesure: Dans le cas dune personne de 2 mètres (2m), on associe le nombre «2» au mot «mètre», qui est lunité de mesure utilisée et qui a été appliquée deux fois sur la longueur de la personne. La mesure des attributs physiques (poids, taille, etc.) ne soulève aucun problème, mais la mesure des attributs psychologiques est plus complexe (plus de variable à définir et à contrôler pour obtenir un résultat réaliste (donc un résultat valide et fidèle). Résultat scientifique et non rationnel. Les procédés dobtention d`une mesure doivent être explicites. Les gens ont le droit de faire la réplique de ma mesure et peuvent observer s’ils obtiennent les mêmes résultats que moi en suivant la même logique que moi. Pour cette raison, il existe des règles précises qui régissent le processus de mesure. La formulation rigoureuse des règles contribue à ce que les résultats obtenus soient reproductibles.
En conclusion, la mesure, en plus de permettre une quantification, donne une description plus « objective » et s’avère plus économique en temps (et en argent) qu’une évaluation « subjective » conçue (comme une entrevue) pour fournir des informations comparables. La passation des tests peut sauver du temps et de l’argent.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

qu’est ce que l’evaluation

A

On peut définir l’évaluation comme étant une opération qui consiste à porter un jugement de valeur ou à accorder une valeur à un objet ou à une personne en la comparant avec un critère donné.
• L’expression 2,14 mètres est le résultat d’une mesure (une règle précise à été appliquée)
• Une personne qui mesure 2,14 mètres est souvent évalué comme « très grande »

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

qu’est ce qui est important dans l’evaluation 2

A

. L’IMPORTANT : parfois on oublie ce qu’on veut mesurer

Il est très fréquent que l’on ignore l’unité de mesure et les limites du phénomène en question

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

que doit on connaître pour evaluer

A

Il faut connaitre l’unité de mesure et les limites du phénomène. Quand on met un écart-type, on connait les limites de mon phénomène. Minimum, Maximum et autres éléments qui fournissent des éléments pour qu’on puisse évaluer.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Plusieurs auteurs s’entendent pour reconnaître un des postulats de la mesure proposés par Stanley Smith Stevens (1946) (très important dans le contexte de la psychométrie):
qu’est ce que c’est

A

Les quatre principaux niveaux de mesure correspondant à quatre types fondamentaux d’échelles de mesure: Nominale, ordinale, d’intervalle égal et de proportion.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

synonyme de l’echelle nominale

A

classe ou categorielle

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

ce qui est important à retenir pour l’echelle nominale

A

La forme la plus simple de classification (niveau primaire);
Permets de regrouper des individus en fonction des caractéristiques communes;
Il n’y a pas d’ordre inhérent à la mesure! S’il n’y a pas d’ordre ???
Initialement, il suffit de préciser les critères utilisés pour juger de l’inclusion d’un individu dans une classe ou dans une catégorie; Lorsque je mets une personne dans un groupe, elle est automatiquement retirée de l’autre. Ex. Une femme ne peut être dans le groupe d’hommes.
La rigueur de la discrimination dépend de la capacité d’observation de l’évaluateur;
Son utilisation est limitée aux sciences humaines, car elle ne fournit pas d’indications sur l’amplitude des attributs;
Ce sont des échelles qui permettent de classer les sujets dans des catégories qui sont exclusives;
Chaque observation se trouve dans une catégorie et une seule;
On les utilise quand on peut seulement dire qu’un individu appartient à une catégorie et un autre individu à une autre catégorie mais quand on ne peut pas dire que l’un est plus que l’autre (du point de vue de la variable mesurée);
Ce sont des échelles non ordonnées (non ordonnable); On ne peut pas ordonner.
Aucune opération arithmétique (+, -, x, ÷) n’est permise;
Les statistiques possibles: fréquences et pourcentages; ce sont les seules possibles.
On ne peut pas mettre le sexe dans une variable de régression. On va calculer la différence significative entre la régression des hommes puis des femmes avec une analyse d’invariance. Cette analyse va me dire si la variance est d’un modèle est différente à la variance de l’autre groupe. On ne peut pas avoir l’information quel est le pourcentage de variable prédite à partir du premier groupe sur le deuxième. Par contre, si on calcule sur une échelle de féminité ou de masculinité, on peut faire des régressions. Ce sont des échelles ordinales. Est-ce que vous faites ces comportements???
On ne peut pas mettre de données sur une échelle nominale dans une échelle de Likert. ???
Ex.: sexe, couleur des yeux, lieu de naissance, etc.…

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

ce qui est important pour l’echelle ordinale

A

L’ordre relatif des individus est important; il doit avoir un ordre inhérent.
Les symboles numériques attribués aux individus sont des rangs; C’est l’élément le plus important, sinon c’est nominal.
Pas de garantie que la différence entre 1 et 2 soit la même que 4 et 5;
Elle ne permet pas de savoir s’y il a absence totale de l’attribut, alors elle n’admet pas le zéro absolu.
On ne peut pas encore dire combien de fois plus que… 4 ne veut pas dire 2+2.
La relation entre les observations est transitive: si A>B, et B>C alors A>C !
En effet, et par convention, on pouvait calculer une moyenne d’une échelle ordinale (Likert, seulement), mais au fur et à mesure que les années passent, cette convention deviens plus faible, une cible de fortes critiques;
Ex.: échelle de satisfaction au cours PSY 1019 (type Likert), poste de l’armée, postes dans une entreprise, etc.…

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

l’important pour l’echelle a intervalles egaux

A

L’échelle ordinale pourrait donner des résultats plus complets s’il était possible de connaître la distance qui sépare les objets ou les individus en fonction de l’attribut mesuré. Si plusieurs objets ou individus sont également distant (égalité des intervalles) selon le degré lequel ils présentent l’attribut, la distance qui les sépare peut être considérée comme une unité linéaire de mesure, et l’échelle ainsi constituée est appelée échelle à intervalles égaux ou, simplement, échelle d’intervalles.
Unité linéaire de mesure : ligne droite comme résultat (45 degrés). Si cela arrive, j’ai une augmentation linéaire de la mesure. Si j’ai une augmentation linéaire, je connais nécessairement la distance entre les items.
La question du zéro : Ne veut pas dire l’absence d’intelligence, de température, etc. Je peux faire la passation d’un test ou la personne manque tous les items, zéro, mais cela ne veut pas dire qu’elle n’a pas d’intelligence. Cela veut dire que la personne ne comprenait pas mes questions. C’est juste Zéro.
Le quotient intellectuel est établi à partir des réponses (et du temps de réponse) qu’une personne fait à un ou plusieurs tests d’intelligence qui sont des questionnaires, des exercices (ex.: assembler un casse-tête), etc. Évidemment, nous sommes incapables de mesurer l’intelligence en tant que telle comme nous sommes aussi incapables de mesurer la bonté. Ce que nous mesurons avec les tests d’intelligence, ce sont les manifestations de l’intelligence: capacité à faire des associations, à se situer dans des espaces à trois dimensions, etc. Donc, non seulement on ne peut observer «l’absence d’intelligence» car on ne sait même pas encore exactement ce qu’est l’intelligence, mais en plus, lorsque vient le temps de mesurer les manifestations de l’intelligence, les psychologues ne sont même pas d’accord, utilisant parfois des tests différents.
Alors, on a une échelle numérique ou quantitative et non plus qualitative comme nominale et ordinale! Ainsi, les échelles d’intervalles permettent la mesure des différences entre les degrés de présence des attributs, mais elles n’indiquent pas l’amplitude absolue de ces degrés, car elles n’admettent pas le zéro absolu – le point zéro est définie de façon arbitraire.
L’échelle numérique peut aussi être transformée en une échelle ordinale (mais pas l’inverse!)
Ex.: Température; Localisation (latitude et longitude); l’heure de la journée…

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

l’echelle des propotions important:

A

Sa première caractéristique réside dans la possibilité de connaître la distance entre le zéro absolu et la position 1 d’un objet ou d’un individu sur un continuum défini selon un attribut donné (les nombres représentent donc de façon réelle le degré de présence d’un attribut chez un individu).
Quantitatif, augmentation linéaire, mais différence avec intervalle, le Zéro est absolu et équivaut à l’absence de phénomène.
On peut aussi établir que l’individu 2 présente le double du degré de l’attribut présenté par l’individu 1, par exemple.
De plus, comme pour les échelles moins complexes, la direction du continuum est connue, de même que le rang des individus en fonction de l’attribut et de l’étendue des intervalles entre les scores, intervalles qui sont évidement égaux.
Ex.: Âge; Nombre d’enfants; taille, etc.…

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

les conventions relatives à la classification des echelles de mesure 2

A
  • La classification d’une échelle serait plutôt une affaire de convention et d’utilité.
  • Par convention et utilité, les techniques puissantes d’analyses statistiques sont compatibles avec les données relatives aux attributs humains (incluant les attributs psychologiques).
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

par convention on utilise toujours quoi

A

des regressions

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
26
Q

quel est le probleme d’echantillonage en psychometrie, c’est selon qui et en quelle année

A

En psychométrie, on doit recourir à un échantillon d’individus et à un échantillon de contenu (item du test). Selon Bernier et Pietrulewicz (1997) il est virtuellement impossible de tenir compte simultanément, dans les analyses statistiques, de ces deux dimensions du problème de l’échantillonnage.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
27
Q

comment regler le probleme d’echantillonage en psychometrie de Bernier et Pietrulewicz en 1997

A

en tenant compte explicitement d’une des 2 dimensions tout en gardant à l’esprit que l’autre peut influer sur nos resultats

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
28
Q

quelle est L’approche préconisée en psychométrie (lors de l’élaboration d’un instrument de mesure):

A

on utilise un échantillon d’individus suffisamment grand pour que l’erreur d’échantillonnage se rapportant aux individus soit peu importante. Le problème de la représentativité de l’échantillon des sujets étant ainsi réglé, la représentativité de l’échantillon du contenu du test devient alors la préoccupation centrale.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
29
Q

qu’est ce que la convention dit par rapport à l’attention que le psychometriste doit porter son attention

A

C’est conventionné par le domaine de la psychométrique que le psychométriste mette son attention sur le contenu d’items

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
30
Q

à quelle theorie refere cette definition et c’est en quelle année : Je vais trouver le maximum de personnes possibles car si j’ai beaucoup de personnes, l’erreur associée à l’échantillon de personnes sera réduite. Si j’ai beaucoup de personnes, cela va se rapprocher à la réalité de la population

A

(théorie des grands nombres 1862).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
31
Q

à partir de quoi sont faites les normes qu’on utiisent pour un test

A

échantillon de normalisation

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
32
Q

ex de normes

A

moyenne, ET, normes developpementales

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
33
Q

quelles sont les considérations initiales quand on parle de normes

A

Les scores des tests psychologiques sont généralement interprétés en se référant à des normes qui représentent la performance au test d’un échantillon de normalisation

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
34
Q

pourquoi le score brut doit être transformé en une mesure relative.

A

Dans le but d’établir de façon plus précise la position exacte d’une personne à l’intérieur de l’échantillon normatif, le score brut doit être transformé en une mesure relative.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
35
Q

Ces scores (mesures relatives) dérivés remplissent deux fonctions:

A

-Ils déterminent la position relative de l’individu à l’intérieur de l’échantillon normatif et permettent de comparer sa performance à celle d’autres personnes;
-Ils permettent de comparer directement la performance d’une même personne à différents tests.
Pour les autres types de normes, on ne va pas utiliser, on va transformer les résultats pour trouver d’autres types de normes.

36
Q

L’un des principaux objectifs de la méthode statistique consiste à quoi

A

L’un des principaux objectifs de la méthode statistique consiste à organiser et à systématiser des données quantitatives de façon à en faciliter l’interprétation.

37
Q

à quoi sert de tracer une courbe avec de résultats

A

Ce type de courbe possède des propriétés importantes et sert de base à plusieurs sortes d’analyses. Elle indique que la majorité des sujets se regroupent autour de la partie centrale de l’étendue et que leur nombre diminue progressivement de chaque côté.

38
Q

Sur quelles conditions on peut interpréter un graphique 3

A

si on fait une ligne imaginaire au centre de ce graphique, on peut voir si la première moitié ressemble à la deuxième moitié. Je suis en train de parler de symétrie de la courbe. Il faut regarder la hauteur de la courbe.

Pour la forme : c’est platicurtique (si elle est plate). Mésocurtique (si elle est moyennement haute) et leptocurtique (si elle est haute et fine). Pour connaitre la forme, tous les logiciels statistiques qui nous offre des statistiques descriptives vont parler de : symétrie et applatissement. Symétrie divisée par son erreur type. Ce résultat doit être entre -1,96 et 1,96. Pour l’applatissement : Applatissement divisé par son erreur type.

Normal (méso) Ou non normal (plati et lepto) Le résultat doit être entre -1,96 et 1,96 pour que la distribution soit normale (méso). 2,53 est leptocurtique.

39
Q

que faut il pour qu’un dist. soit normale

A

Pour qu’une distribution soit normale, elle doit être symétrique, mésocurtique, résultats de moyennes proches des résultats de la variance et de la médiane et si le mode s’approche de la médiane et de la moyenne, c’est une distribution normale.

40
Q

deux tests je peux mesurer si la distribution est normale ou pas

A

KS et SW

41
Q

si j’ai de plus de 50 j’utilise quel test pour mesurer si la distribution est normale ou pas

A

plus de 50 ks

si moins de 50 sw

42
Q

que dit liliefors 2

A

si je fais une comparaison des fréquences, telles que le test K-S ou S-W (K-S pour lilifors), je peux comparer une fréquence mesurée mais avec les fréquences compatibles à la théorie de la distribution normale (68% des fréquences entre -1 et 1 écart type, 95% entre -2 et 2, 99% entre -3 et 3 écart type..

Compare les fréquences théoriques avec les fréquences de mon échantillon. Je veux un P plus grand que 0,5 car je veux des distributions semblables. K-S correction. Je m’attends qu’il n’y ait pas de différence pour dire que ma distribution est normale.

43
Q

quelles sont les 3 facons de decrire un groupe de score

A

On peut également décrire un groupe de scores à l’aide:
des mesures de tendance centrale (moyenne, mode, médiane, etc.);

de variabilité (étendue, écart-type, etc.);

de distribution (normal = symétrique + d’aplatissement modéré). Autour de 68%, 99%..

44
Q

que peut on dire sur l’écart type

A

L’interprétation de l’écart-type est particulièrement claire lorsqu’elle s’applique à une distribution normale (ou quasi normale).

Dans ce type de distribution, il existe une relation directe entre l’ÉT et le pourcentage de sujets, tel qu’illustré dans la figure précédente. Score Z transformation linéaire Moyenne est 0 et écart-type= 1. L’écart type peut aller dans les pourcentages des personnes.
Ces relations sont particulièrement pertinentes lors de l’interprétation des scores et de centiles, ce que nous verrons maintenant.

45
Q

qu’est ce les normes intragroupes permettent, et nomme des exemples de ces normes

A

Presque tous les tests psychométriques sont maintenant accompagnés d’une forme quelconque de normes intragroupe. Celles-ci permettent de situer la performance d’un individu en fonction de celle du groupe normatif (même âge et/ou même niveau scolaire). L’écart type est une norme comme le centile et le score Z.

46
Q

qu’est ce qu’un centile

A

correspond au pourcentage des personnes de l’échantillon de normalisation dont le score est inférieur à un score brut donné.
Par exemple, 28% des personnes réussissent 15 problèmes dans un test de raisonnement arithmétique, un score brut de 15 correspondra ainsi au 28e centile (C28). Ainsi, plus le centile est bas, plus le score de l’individu est faible. Le centile 28 dans une distribution normale va être à gauche de la moyenne car elle est de 50.

47
Q

sur quoi porte la discussion des centiles dans les congres

A

un score brut inférieur à tout autre score obtenu dans l’échantillon de normalisation recevra un centile de zéro (C0); un score brut plus élevé que tout autre score de l’échantillon de normalisation recevra un centile de 100 (C100). Mais attention : ces centiles ne représentent pas nécessairement un score brut de zéro ou un score brut parfait ! Toujours la possibilité de trouver un résultat supérieur à 100 et inférieur à 0. Ces gens vont dire C plus petit que 1, et C plus grand que 99.

48
Q

comment localiser les centiles avec les ET

A

Il y a une façon de localiser les centiles avec les écart type en juxtaposant les graphiques. Les différences entre les centiles ne sont pas les mêmes. Les centiles c’est une mesure qualitative et ordinale.

49
Q

c’est quoi les avantges/desaventages des centils

A

Les avantages : ils sont faciles à calculer et à interpréter; facilement compris; universellement applicable (enfants ou adultes); conviennent à tous les types de tests (d’aptitudes ou personnalité). Donc très utilisé.
L’inconvénient : l’inégalité des distances entre les unités.

50
Q

que peut on dire sur les scores standards z

A

C’est une norme quantitative. Les distances sont les mêmes entre les scores. Les tests en circulation utilisent de plus en plus les scores standards. Ces scores dérivés s’avèrent satisfaisants dans le sens de faciliter des calculs subséquents.
Proviennent d’une distribution transformée (moyenne de zéro et ÉT de 1), pour l’ajuster à une courbe normale.
Un score standard normalisé de zéro indique que l’examiné se situe au niveau de la moyenne d’une courbe normale, surpassant ainsi 50% du groupe. Un score de -1 signifie qu’il surpasse 16% du groupe, et un score de +1 qu’il est supérieur à 84% d’entre eux. Ces pourcentages correspondent à des distances de 1 écart-type au-dessous et au-dessus de la moyenne (voir le dernier graphique, à suivre).

51
Q

que peut on dire sur le QI

A

Peut devenir une autre mesure de norme. C’est la division de l’âge mental par l’âge chronologique multipliée par 100. L’objectif : convertir les âges mentaux (AM) en un indice uniforme de la position relative d’une personne au sein d’un groupe de référence. Il consistait à diviser l’âge mental (AM) par l’âge chronologique (AC), puis multiplier par 100 (éliminer les décimales). Des problèmes techniques (même É-T pour tous les âges) et sociaux ont ralentis son utilisation.

52
Q

quel est le lien entre le QI et les normes

A

Centiles (qualitatif): , QI dérivé (quantitatif) en considérant un écart type de 15, le QI devient la même mesure que le Scores Z (quantitatif) qui sont la même mesure que l’écart type.
que ce sont toute des chiffres dérivé qui nous aide à positionner ou à situer l’individu dans l’échantillon normatif

53
Q

quand est ce que Le concept de fidélité réfère à la reproductibilité des scores obtenus par les mêmes personnes 2

A
  • Lorsqu’on leur administre un même test à des occasions différentes;
  • Lorsqu’on leur administre des ensembles différents d’items équivalents;
54
Q

qu’est ce que la fidelité permet

A

La fidélité d’un test permet de déterminer dans quelle mesure les différences individuelles dans les scores aux tests peuvent être attribuées à de « réelles » différences sur le plan des caractéristiques mesurées (variance réelle) et dans quelle mesure elles doivent être attribuées à des erreurs dues au hasard (variance d’erreur).

55
Q

quelles sont les differences entre les variances d’erreur et les variances reelles

A

Notes : Si on parle des variances dues au hasard, chose que je ne peux pas contrôler = variance d’erreur. Variance réelle: vous avez appris quelque chose, vous avez effectivement changé ex: avoir subi un traitement psychologique, ce changement était voulu : variance réelle. Cette variation de comportement était voulue. Donc c’est normal que la deuxième passation de tests donne d’autres résultats. La variance d’erreur = due au hasard et non voulu. On va donc tenter de garder tous les éléments pareils. Variance d’erreur: j’ai mal dormi, ce n’est pas voulu. Elle peut être dû à des erreurs de passation.

56
Q

sachanr qu’aucun test n’est parfaitement fidele,de quoi doit il etre accompagné

A

Malgré tous les efforts, aucun test n’est parfaitement fidèle! Alors, tout test devrait être accompagné d’un rapport sur son degré de fidélité (un manuel). Cet indice de fidélité caractérise bien le test sous réserve qu’il soit administré dans les mêmes conditions standardisées et à des personnes similaires à celles qui composent l’échantillon normatif (les caractéristiques de l’échantillon devraient être précisées, de même que le type de fidélité).

57
Q

pourquoi les degré de fidelité peuvent prendre le meme raisonnement qu’un coeff de correlation

A

Étant donné que tous les types de fidélité ont pour objet un degré d’association entre deux séries indépendantes de scores à un test, ils peuvent tous prendre forme d’un type de coefficient de corrélation.

58
Q

explique le coeffeiicient de correlation et la linéarité parfaite

A

Un coefficient de corrélation (r, rho, rt, rpo, rpa, R) exprime le degré de correspondance (ou relation) entre deux séries de scores. Le rationnel de cette analyse: si le sujet qui obtient le meilleur score pour la variable 1 et aussi le meilleur dans le cas de la variable 2, si le deuxième meilleur sujet sur la variable 1 occupe également la seconde place sur la variable 2, et ainsi de suite jusqu’au sujet le plus faible dans le groupe, on observerait une corrélation parfaite (+1,00) entre les variables 1 et 2.

59
Q

qu’est ce qu’un prob de colinéarité

A

possible qu’une variable vienne influencer. Si problème de colinéarité: si c’est très élevé, il faut se poser des questions. Le prob de colinéarité : une variable d’une façon NON VOULUE influence beaucoup l’autre.il faut réfléchir sur si cette variance était voulue ou non.
3- La colinéarité c’est quand tu as une variable qui influence l’autre, mais que c’est pas voulue. Donc exemple, dans ton questionnaire, si tu as 2 items qui ont une corrélation super forte ça veut peut être dire qu’il mesure la même chose et ça tu en as pas besoin (de 2 items que les gens comprennent la même chose en les lisant). En psychologie, on ne veut pas ça. MAIS en psychométrie on veut ça, parce que par exemple dans ta fidélité test-retest, tu veux une corrélation qui est forte, tu veux que les passations soient le plus semblables possible pour assurer une stabilité. Est-ce que c’est claire ?

60
Q

quelles sont les 2 dimensions du concept de soi

A

la clarté et la certitude

61
Q

la difference entre la clarté et la certitude

A

Concept de soi est divisé en deux sous dimensions. La clarté et la certitude: sont complètement différentes. Clarté : réflexion affective sur un objet. On voit l’objet dans le milieu d’autres choses car on a un apport affectif avec l’objet. La certitude est une relation cognitive, c’est un savoir cognitif. Jusqu’en 2008, personne n’arrivait à créer un instrument qui différenciait ces deux aspects. La question était formulée de sorte à ce qu’ils comprennent que c’était la même chose. Balbinotti a créé un instrument pour différentier estime de soi cognitif et affectif.

62
Q

qu’est ce qu’on peut dire sur une correlation 0 et le hasard

A

Une corrélation de zéro indique l’absence complète de relation, ce qui produirait le hasard. Si nous tirions au hasard, d’un chapeau, le nom de chaque personne pour déterminer sa position sur la variable 1, puis répétions la même procédure pour la variable 2, il en résulterait une corrélation zéro (ou presque). Dans de telles conditions, il serait tout à fait impossible de prédire le résultat d’une personne sur la variable 2, à partir de notre connaissance de son score sur la variable 1.
Notes : Corrélation de 0,03 n’est pas ZÉRO. Si on trouve des corrélations de presque zéro, on ne peut pas prédire le résultat. Si une corrélation est forte, (en psychométrie on veut une corrélation très forte (0,9).

63
Q

quelle est la difference de logique entre la poly et la tetrachorique

A

La logique de la polychorique est pratiquement la même mais avec la médiane. Plutôt que la médiane, la tétrachorique va utiliser le mode.

64
Q

quels sont les degré de force de corrélation

A

0,15 faible, 0,35 modéré 0,85 élevé.

65
Q

que peut on dire sur les dl

A

R est Pearson. 8 est le degré de liberté. Toutes les stats ont un dl . Constante si bi varié. Le petit r est constant (n-2). Si c’est 12 personne le dl est 10. Moyenne est tjs (n-1). Comparaison de fréquence peut varier. Modéré car autour de 0,35. Bcp d’auteurs différents qui mentionnent des corrélations différentes pour les auteurs.

66
Q

quelle question doit on se poser par rapport à la corrélation

A

cette corrélation est significativement différente de zéro (troisième élément)? Lorsque nous affirmons qu’une corrélation « est statistiquement significative au seuil de 0,05 (ou p ≤ 0,05; ou de 5%) », nous voulons dire que les chances ne sont pas supérieures à 5 sur 100 que la corrélation dans la population soit zéro (ou proche). À cause du petit « n » (échantillon de 10) cette corrélation n’est pas significativement différent de zéro ( au niveau statistique car en temps normal oui)

67
Q

si j’ai un n de 10, ca me prend un r de combien et pk

A

0.63, Toute indice de corrélation inférieure à cette valeur laisse sans réponse la question de savoir si les deux variables sont statistiquement corrélées dans la population d’où fut tiré l’échantillon

68
Q

quel coeff est desirable pour le coef de det

A

considère désirable pour des coefficients de fidélité (au-dessus de 0,80 – ou même de 0,90).En psychométrie on veut des corrélations au-dessus de 0,8 – 0,9. On dépasse le seuil de la chance de 50%.
Coefficient de fidélité de 0,7 donne 49% ce qui n’est pas différent de la chance. Prendre note de la variabilité d’erreur.
Un coefficient de corrélation prend forme de coefficient de fidélité. Au-dessus de 0,8 0,9 (81% bcp plus haut que la chance).
Par convention on accepte 0,8
En admin, un indice de fidélité acceptable est de 0,6 par convention.

69
Q

le coeff de fidelité équivaut à quoi

A

Le coefficient de fidélité (rtr) équivaut tout simplement à la corrélation entre les scores obtenus par les mêmes personnes aux deux passations;

La variance d’erreur correspond aux fluctuations aléatoires des performances d’une séance de testage à l’autre.

70
Q

la Fidélité par test-retest (la stabilité temporelle);indique quoi
2

A

Cette fidélité indique dans quelle mesure il est possible de généraliser, à des occasions diverses, les scores d’un test; plus elle est élevée, moins les scores sont influencés par des changements quotidiens imprévisibles;
Lorsqu’on inclut ce type de fidélité dans le manuel d’un test, il faut spécifier l’intervalle de temps entre les deux passations [étant donné que les corrélations test-retest (rtr) diminuent progressivement à mesure que s’accroît l’intervalle de temps].

71
Q

les difficulté de fidelité test retest

A
  • L’effet de pratique peut augmenter les scores au retest;

* Si l’intervalle est très court, les sujets peuvent se rappeler de leurs réponses (effet de la mémoire);

72
Q

nomme les types de fidelité

A
  1. test retest : stabilité
  2. formes parallèles : équivalence
  3. fidlité par kruder richardson et alpha de cronbach : homogéneité
  4. fidelité par bissection: cohérence interne
  5. fidélités intercorrecteurs: fidelité interjuges
73
Q

Fidélité par versions parallèles (l’équivalence);

A

Un moyen pour contourner les difficultés soulevées par le test-retest;
Les individus peuvent ainsi passer une version lors de la première séance de testage et une autre version (parallèle ou équivalente) lors de la seconde séance;
La corrélation obtenue entre les deux séries de scores deviendra le coefficient de fidélité;
On remarque qu’un tel coefficient mesure, simultanément, la stabilité et la similitude des réponses à des échantillons d’items différents (il combine donc deux types de fidélité).
Lors de la rédaction de versions parallèles, il faut prendre toutes les précautions pour assurer un véritable parallélisme:
• Contenir le même nombre d’items, la même forme, et couvrant le même type de contenu;
• L’étendue des difficultés et le niveau de difficulté moyen devraient être les mêmes;
• Il faut assurer l’équivalence des consignes, de minutage, des exemples, du format de présentation, bref, de tous les aspects du cadre de passation du test.
Notes : Véritable parallélisme: les versions doivent être vraiment parallèles.

Les versions parallèles peuvent aussi servir à d’autres fins que celle d’estimer la fidélité d’un test:
• Pour étudier l’impact d’une variable intermédiaire;
• L’emploi de versions parallèles permet de réduire l’impact du monitorat et de la tricherie.

La fidélité par versions parallèles soulève au moins 1 faiblesse: Il est bien probable que les sujets différeront quant à leur degré d’amélioration due à la pratique (n’auront pas les mêmes occasions de se pratiquer; ne seront pas également motivés à repasser le test, etc.), ce qui implique une autre forme de variance d’erreur qui tend à réduire la corrélation entre les deux versions;

74
Q

un atout de la fidelité avec forme parallèles

A

mesure simultanément, la stabilité et la similitude des réponses à des échantillons d’items différents (il combine donc deux types de fidélité).

75
Q

Fidélité par bissection (cohérence interne);

A

Même avec une seule administration d’une seule version d’un test, il est possible d’obtenir une mesure de fidélité à l’aide de la méthode de bissection (« split-half »):
• Diviser le test en deux parties équivalentes (ce qui permet de calculer deux scores pour chaque examiné) – étant donné que l’unique passation n’implique qu’une seule version d’un test, le coefficient de fidélité obtenu porte le nom d’indice de cohérence interne;
• Il faut décider comment diviser le test en deux (de manière à ce que les deux moitiés soient aussi équivalentes que possible).
Notes : Pas besoin de faire deux passations. Je divise le test en deux. 30 questions : impaires d’un côté et paries de l’autre côté puis je peux calculer une corrélation.

Lorsque tous les sujets ont reçu leurs deux demi-scores, ces derniers peuvent être mis en corrélation par la technique usuelle (corrélation);
Il faut toutefois souligner que cette corrélation n’indique que la fidélité d’un demi-test. En effet, dans le cas d’un test composé de 100 items, la corrélation sera calculée entre deux séries de scores qui comptent chacune de 50 items. Par contre, dans le cas des fidélités par Test-retest et par Versions parallèles, tous les items du test contribuent au calcul de chacun des scores (la formule de « Spearman-Brown » permet d’estimer l’impact que le raccourcissement d’un test aurait sur son coefficient de cohérence interne).

Notes : Utiliser une moitié du test pour vérifier la fidélité de l’autre moitié. On calcule la fidélité d’une moitié du test et non pas au complet (critiques)
La fidélité par bissection soulève, au moins une faiblesse : Parce qu’il n’y a qu’une seule passation, ce type de fidélité ne tient aucunement compte de la stabilité temporelle des scores
Notes : À cause des petits problèmes, les chercheurs vont utiliser plusieurs types de fidélité dans une même recherche.

76
Q

Fidélité de Kuder-Richardson et Coefficient Alpha (Homogénéité);

A

Il s’agit d’une seule passation d’une seule version d’un test. Cette fidélité a pour fondement l’homogénéité entre les réponses de tous les items du test;
Cette homogénéité interitems est sensible à une source de variance d’erreur : le degré d’hétérogénéité du domaine des contenus échantillonnés (plus le domaine est homogène, plus la cohérence interitems sera élevée). Par exemple, si un test ne contient que de problèmes de multiplication, tandis que l’autre est composée de problèmes d’addition, soustraction, division et multiplication, il est fort probable que le premier manifestera une plus forte cohérence interitems.

Notes : Kuder : formule numéro 20 a fonctionné. Les autres créées non. Sa façon de calculer la fidélité était pour des questions dichotomiques. Cronbach donne mtn dichotomique et Likert pour la fidélité. Cronbach a pris KR20 pour son alpha.

La formule KR s’applique aux items du système « tout ou rien ». La formule Alpha s’applique aux items selon une échelle de type Likert.
En réalité, depuis les années 1980 (avec la popularisation des ordinateurs et des logiciels statistiques) le coefficient alpha a remplacé le KR dans presque toutes les situations. Jusqu’aux années 2012, il s’agissait du coefficient de fidélité par excellence. Dans ces jours-ci nous vivons un moment historique important (Thomas Kuhn), le coefficient Oméga prend de plus en plus une place importante dans les articles scientifiques en psychologie, à cause des certaines difficultés associées aux calcules Alpha.

Notes : Remplacé le KR20. Oméga: M. MacDonald a essayé de contourner les difficultés de l’alpha de Chronbach comme l’échantillon de n. Alpha maximise l’influence du n. Oméga minimise l’influence du n. 2000 personnes et plus : oméga. Si bcp de questions l’alpha de cronbach va être immense…
Beaucoup de revues demandent l’alpha et le chronbach.

77
Q

fidélité par intercorrecteurs (l’équivalence interjuges);

A

Les grilles de correction de certains types de tests, tout spécialement les tests de personnalité de type projectif, accordent un rôle important au jugement du correcteur. Dans le cas de ces tests, il devient tout aussi nécessaire d’évaluer la fidélité inter correcteurs;
On peut évaluer la fidélité inter correcteurs en faisant corriger un test (le Rorschach, par exemple) séparément par au moins deux examinateurs. Les deux scores (ou plus) qu’obtiendront ainsi les sujets seront alors mis en corrélation de façon usuelle; le coefficient obtenu indiquera la fidélité dans toutes les études qui font appel à des instruments à correction subjective.
On devrait retrouver de tels coefficients dans les manuels de tous les tests.

Notes : Très important tout est basé sur la corrélation. Là on parle d’inter correcteurs. Rorschach. Excellent test, mesure. Seul test psychologique accepté dans le système légal américain. Pas de test 100% fidèle 100% valide. Bcp de recherche sur ce test.
Pas comme mettre un x, oui/non… Projection, introjection, clinique joue un rôle dans les tests de personnalité. Deux correcteurs. Si je prends les résultats d’un patient de ma collègue, on ne donnera pas exactement les mêmes résultats. Subjectivité.
Lorsqu’on sort de la fidélité et de la corrélation, il y a d’autres mesures d’association.
Kappa de Cohen est une mesure d’association. Il a développé un genre de mesure d’association qui mesure le niveau de concordance entre deux juges. (sorte de corrélation). Alpha de Cronbach plus haut de 0,8 (-1 à +1). Certains vont dire que ça varie de 0 à 1. Dans la réalité on peut varier de -1 à +1. Si deux juges connaissent le sujet pas de négatifs certains disent.

78
Q

La distinction entre la mesure de la vitesse et celle de la puissance:

A

Dans un pur test de vitesse, la rapidité de la performance explique les différences individuelles observées. On prépare ce type de test à l’aide d’items qui sont tous faciles et qui font partie des habiletés maîtrisées par les sujets auxquels il est destiné. On fixe une limite de temps si court que la personne ne peut pas compléter tous les items. Dans de telles conditions, le score de chaque personne reflète exclusivement son rythme (ou vitesse) de travail

un pur test de puissance offre une limite de temps suffisamment longue pour que tous puissent tenter de répondre à chacun des items, sans problèmes; ceux-ci sont cependant ordonnés selon une échelle de difficulté qui augmente très rapidement jusqu’à des items à peu près insolubles; ainsi, personne ou presque ne peut obtenir un score parfait;
On remarque que les tests de vitesse et de puissance sont tous les deux conçus pour empêcher une réussite parfaite. Pareille précaution s’explique par le fait qu’un score parfait est indéterminé, en ce sens qu’il est impossible de savoir quel score plus élevé le sujet aurait atteint si le test avait contenu plus d’items ou des items plus difficiles

79
Q

Erreur type de mesure

Interprétation de scores individuels:

A

On peut exprimer la fidélité d’un test sous la forme d’une erreur type de mesure (ETM),Parce que je suis en mesure de dire que les scores de l’individu vont varier entre ça et ça ! Si etm est petit alors il y a moins d’erreur et donc mon test est plus fidèle parce qu’il donne presque toujours le même résultat

également nommée erreur type de scores individuels (ou erreur standard de mesure – ESM);
Pour bien comprendre l’ETM, imaginons que nous ayons obtenu, avec un test de QI, en ensemble de 100 QI différents pour une même personne. En raison des divers types d’erreurs aléatoires, ces QI’s ont variés (probablement en adoptant la forme d’une distribution normale). On peut interpréter la moyenne de cette distribution comme représentant le score réel de cette personne, l’écart-type de cette même distribution correspond à l’ETM.

80
Q

c’est quoi ETM

A

: Erreur standard (type) de mesure.
Variabilité intra-personne (pas inter), mais l’erreur standard prend la même forme que l’écart-type mais ce dernier est variabilité inter personne.

81
Q

ETM 68-32

A

De même que pour tout écart type, cette erreur type s’interprète à l’aide des pourcentages associés aux divers segments de la distribution normale: 68% des individus se regroupent entre -1,00 et +1,00 É-T. On peut donc conclure qu’il y a environ deux chances contre une (ou 68:32) que le QI obtenu à ce test variera de +/- 1 ETM, autour de son réel QI (la moyenne).
Considérons que les QI’s dérivés d’un test d’intelligence particulier ont un É-T de 15 et un coefficient de fidélité de 0,89, l’ETM d’un QI à ce test est = 15 multiplié par la racine carré de (1 – 0,89) = 15(0,33) = 5. Alors, si son QI réel est de 110, on s’attendra, à plus ou moins deux fois sur trois (68%), à ce que le score obtenu fluctue entre 105 et 115.

Notes : La logique d’une distribution va tourner autour de 68% car c’est standardisé. Si la personne a répondu
68 vs 32 a peu près 2 par 1.
Écart type et l’erreur type
-1 es et +1 es : 68% des rep de cette personne. Si pas 68% pour compléter 100%, 32% est env. la moitié de 68%. 2:1.
L’erreur type de mesure (ETM)= 15 (ÉT du QI) (va être donné à l’examen). Coefficient de fidélité (corrélation): 0,89 (donné à l’examen) pour qu’on puisse calculer la formule.
ETM= 15 multiplié par la racine carrée de (1-coefficient de fidélité))= 15(1-0,89)= 15(0,33)=5
Pas le vrai QI, mais réel QI est de 110 car la moyenne des 100 passations qu’il a faites est de 110.
110-5= 105; 110+5=115 (105 à 115)
Variabilité toujours derrière la fidélité
Je veux augmenter mon niveau de certitude. Je ne veux pas manquer une 1/2 , je veux manque 1/100.

Si nous souhaitons prédire avec plus de certitude, nous pouvons choisir une probabilité plus forte (plus élevée). L’étendue délimité par +/- 2,58 É-T contient exactement 99% des sujets. Il y a 99 chances sur 100 que le QI obtenu pour cette personne ne dépasse pas 2,58 ETM, ou 13 points, de chaque côté de son score réel. Nous pouvons donc affirmer, avec un seuil de confiance de 99% (une seule chance d’erreur sur 100), que lors d’une quelconque passation de ce test le QI de cette personne devrait se situer entre 97 et 123 (110 – 13 & 110 + 13). En d’autres termes, si cette personne passait ce test 100 fois [dans de conditions similaires], son QI n’excèderait ces limites qu’une seule fois!

82
Q

interprétation de différences entre scores:

A

Le testage soulève fréquemment la question de la position relative d’un individu dans différents domaines d’habileté;
Les habiletés verbales de Marcos sont-elles plus grandes que ses habiletés numériques ? Si Marcos a obtenu un meilleur score au sous test numérique qu’au sous-test verbal, jusqu’à quel point sommes nous assurés qu’il conserverait cette position relative lors d’un retest? En d’autres termes, est-il possible que les différences entre les scores ne reflètent que le jeu du hasard dans l’échantillonnage des contenus spécifiques représentés par les items de ces tests particuliers d’habiletés ?

Notes : L’interprétation prend forme de l’erreur standard de la mesure.

Le graphique à côté reproduit une partie d’un formulaire de rapport individuel des Tests Différentiels d’Aptitudes. Sur ce formulaire, les centiles obtenus pour chacun des deux sous-tests prennent la forme de bandes d’environs 2,5 cm dont le centre correspond au score obtenu. Chaque bande de centiles correspond à une distance d’environ 2,0 ETM de chaque coté du score obtenu. Par conséquent, le postulat selon lequel le score réel de l’individu se situe à l’intérieur de cette bande sera dans 90% des cas (environ). (voir tableau)

Notes : Verbal VS numérique. Les 100 fois que Marcos a répondu au test. Le centile de 87 à 98 numérique. Verbal: 40 à 77. Les résultats ne se chevauchent pas. Je peux affirmer avec 99% de certitude que les habiletés verbales de Marcos sont plus grandes que ses habiletés numériques. En se basant sur l’erreur standard.

En ce qui concerne le profil antérieur, l’écart entre les scores aux tests Raisonnement verbal et Habileté numérique reflète probablement un véritable écart entre ces niveaux d’habileté, alors que ce n’est probablement pas le cas pour les tests Raisonnement mécanique et Usage de la langue, selon le graphique à côté.

83
Q

comment les expérimentateurs font pour s’éloigner de la variance d’erreur

A

Essentiellement, toute condition non pertinente à l’objectif d’un test représente de la variance d’erreur. Lorsque les examinateurs s’efforcent de maintenir des conditions de testage uniformes, en contrôlant l’environnement du testage, les consignes, les limites de temps, le climat interpersonnel avec les sujets et bien d’autres facteurs, ils réduisent l’erreur de mesure et rendent ainsi plus fidèles les scores aux tests.

84
Q

c’est quoi les pourcentages pour les ET

A
  1. 26
  2. 44%
  3. 72
85
Q

difference entre KR20 etKS SW

A

KR20 n’est plus utilisé. KR : la fidelité homogeinité. SW et KS : mesurer normalité de la distribution