Examen 2 - Chapitre 13 - Flashcards

1
Q

Quel type de coping suis-je ?

Centré sur le problème:

  • Confrontation
  • Auto-contrôle
  • Recherche de soutient social
  • Résolution de problème

Centré sur les émotions:

  • Distanciation / récréation
  • Acceptation des responsabilités
  • Réévaluation positive
  • Évitement
A

Coping adapté

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2
Q

Quel type de coping suis-je ?

  • Rumination
  • Résignation
  • Agression
A

Coping inadapté

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3
Q

Vrai ou faux ?

La modification du type de coping selon l’âge est unanime dans la communauté scientifique

A

Faux

Pas unanime

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4
Q

Quels sont les facteurs susceptibles d’influencer le choix d’une stratégie d’adaptation ?

A

Climat et stress familial, modeling, habitudes et expériences familiales, ressources internes (estime de soi, perception de contrôle, maturité)

Sexe, origine culturelle et niveau socio-économique affectent les ressources d’adaptation

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Q

Vrai ou faux ?

Les garçons et les filles ont des techniques de coping différentes

A

Vrai

Fille:

  • Support spirituel, social et familial;
  • Expression des sentiments
  • Confidence d’expériences personnelles
  • Communication

Gars:

  • Plus portés vers l’évitement des situations et des personnes conflictuelles
  • Distraction
  • Stratégies de loisir actifs et de conssommation
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6
Q

Quelles sont les similitudes de coping entre les 2 sexes

A

Stratégies de relaxation, de résolution de problèmes en famille, actions constructives et recourir à l’aide d’un ami

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7
Q

Vrai ou faux ?

La capacité de coping des adolescents ayant un trouble du comportement est plus limitée

A

Vrai

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8
Q

Comment se manifeste le coping chez les adolescent ayant un trouble de comportement ?

A

Ils ont une difficulté à réévaluer une situation problématique et à résoudre le conflit

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9
Q

Comme les garçons utilisent moins de stratégies liées au support social et au traitement des sentiments négatifs_________-

A

apparition de troubles de comportements encouragé chez ceux-ci

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10
Q

Comment les stratégies d’évitement prédicatrices de comportement intériorisé comme la dépression et l’anxiété favorisent les comportement extériorisé ?

A

Blâmer les autres favorise les troubles de comportement extériorisé

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11
Q

L’utilisation du ____________ prédit la réussite scolaire.

A

Support familial

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12
Q

Comment les garçons et les filles qui sont faible à l’école démontre leurs stratégies de coping ?

A

Filles: majoritairement des stratégies d’évitement

Garçons: peu de stratégie de résolution de problèmes et de recherche de soutient social.

Dans les 2 cas c’est lié au décrochage scolaire

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13
Q

Quelle était la différence au niveau du coping entre les 2 groupes d’élèves (avec et sans échec scolaires dans les matières de bases)

A

Groupe avec échecs plus de stratégies d’évitement

Pas de différence dans la recherche de soutient social

Pas de différence significative entre les sexes

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14
Q

Vrai ou faux ?

Les stratégies d’évitement seraient liées à plus de problèmes cliniques que les stratégies dites d’approche.

A

Vrai

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15
Q

Que pense Seiffge-Krenke par rapport aux ados

A

Ils trouve que les ados qui présentent des problèmes psychiatriques utilisent environ 2 fois plus de stratégies dysfonctionnelles que les adolescents normatifs

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16
Q

Qui a constaté que

Les jeunes issus du milieu clinique utilisent un répertoire plus restreint de stratégies de coping et recouvrent principalement à des stratégies non productives : s’accuser, se blâmer, ne rien faire ou ignorer le problème

A

Filion

17
Q

Qui a fait cette étude ?

Étude sur le coping vs dépression de 577 jeunes de 15 à 17 ans.

Résultats :
Stratégies d’évitement, de soutien social et plus d’événements de vie
stressants sont associés aux symptômes dépressifs à l’adolescence.

Ados dépressifs : moins de stratégies d’adaptation, moins satisfaits de leur soutien social
Gagnon (2004) : étude de 169 adolescents de 14 à 17 ans

Filles ont 2 x plus de comportements dépressifs que garçons

Elles s’adaptent à la dépression en utilisant la rumination comme stratégie d’adaptation
comme coping.

A

Marcotte et Vendette

18
Q

Quels sont les conclusions des auteurs qui ont fait des études sur le coping chez les adolescents dans les écoles publiques et les centres jeunesses

A

Les adolescents issus du milieu clinique ont besoin de soutien social et de moyens concrets pour résoudre leurs problèmes (apprentissage des habiletés de résolution de problème, relaxation, divertissement, activité physique et sportive, pensée positive…)
Les professionnels en santé mentale doivent non seulement aider les jeunes à éviter et à minimiser l’apparition des effets adverses du stress, mais doivent aussi encourager à développer les ressources personnelles (coping productif, autonomie, optimisme, confiance en soi, et en la vie), et à maintenir un affect positif malgré la situation de crise.
« Dépasser l’arrêt d’agir ! »
Le réseau informel (parents, enseignants…) devrait aussi être informé et sensibilisé à l’existence des stratégies productives afin d’encourager l’adolescent à les adopter.

19
Q

Quel est le but des programmes pour développer l’autonomie chez les jeunes ?

A

Un retour aux études ou une insertion sur le marché du travail

20
Q

Qu’apprennent les programmes de réinsertions aux jeunes ?

A

Apprendre à gérer son budget.

Apprendre à connaître les ressources du milieu et à se débrouiller avec celles-ci.

Apprendre autonomie pour alimentation et besoins de base (cuisine, lavage,
ménage, ..)

Développer réseau social et briser l’isolement.

Développer le goût de l’effort et l’intérêt à produire.

21
Q

Qu’à pour but

Développer avec les intervenants un projet de vie défini.

Se pratiquer à vivre seul avant la fin des services.

Avoir accès à un domicile sécuritaire, stable et abordable.

Pouvoir développer un réseau et pouvoir compter sur des gens.

Avoir accès aux ressources, aux services, aux programmes et à un soutien financier.

A

Besoin d’établit un projet de vie concret et appliquer les apprentissages dans un contexte réel

22
Q

Qu’est-il important de faire lors de l’application des programmes ?

A

Besoin d’appliquer des programmes avant 18 ans et de les poursuivre après cet âge.

Maintenir les programmes d’autonomie et favoriser la continuité de l’intervention.

Transférer vers d’autres ressources et programmes au besoin.

23
Q

Quel est la difficulté avec les nombreux programmes ?

A

Difficulté de maintenir des programmes assez nombreux étant donné les ressources financières disponibles.

24
Q

Difficile de maintenir l’intérêt de certains jeunes à s’y investir et y trouver du support. Les jeunes en quête d’autonomie associent souvent liberté à plaisir et absence de contraintes et refusent les services associés à __________________

A

Responsabilité, efforts et normes sociales