cours 9 Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qu’une imagerie visuelle ?

A

Habileté à recréer le monde visuel dans notre esprit en absence d’un stimulus physique.

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2
Q

Quel est la question principale qu’on se pose à partir de imagerie visuelle ?

A

est-ce que imagerie imite la perception visuelle ? (respect même caracté. comme on voit le monde réel)

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3
Q

Dans la 1e expérience de la rotation mentale, quels sont les buts, la tâche à faire, la variable-clé, les conditions de l’expérience?

A
  • Buts :
    • Déterminer si imagerie visuelle procède comme la perception.
    • Étudier limites de imagerie visuelle.
  • Matériel :
    • paires d’images représentant figures 3D de 10 cubes connectés
    • Structure ressemblant à un bras avec 3 coudes à angle droit
  • Tâche :
    • Déterminer si 2 dessins en perspective proviennent de la même figure 3D
  • Variable-clé :
    • temps de réaction
  • conditions (participants informés avec chaque essai)
  • tjrs une forme à gauche = forme original avec une forme à droite (essai même si on fait la rotation pour retrouver l’image original ou différent (même en tournant= ne va jamais trouver l’image original)
  • rotation sur plan de image : devant objet et on voit toujours même facade de l’objet.
  • rotation en profondeur : Quand rotation se fait, on voit pas toujours la même facade.
  • différence angulaire : 0/20/40/60/80/100/120/140/160 degrés de rotation.
  • présente 2 images côte à côte : un original et 2e image qui pourrait être ou non une rotation de image original.
    • objets différents : réflexion suivie d’une rotation, impossible de faire une rotation et obtenir même forme puisque à l’envers.
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4
Q

Dans la 1e expérience de la rotation mentale, quels sont l’hypothèse, les résultats et interprétation?

A
  • hypothèse : plus grande différence angulaire implique plus grand TR.
  • résultats (paires même) :
    • forte relation linéaire entre différence angulaire et temps de réaction.
  • plus on fait tourner image de droite avant de trouver image de gauche = va être plus long. Respectant les lois du vrai monde.
    • pas d’impact du type de rotation sur les TR (même résultat pour les types de rotation).
  • paires différentes : 1+ sec. Plus lents que la moyenne (rotation complète, puis ensuite décision)
  • interprétation :
  • robustesse dans linéarité des résultats :
  • preuves claires de processus additif : (2 angles qui ont différence de 40 degré = devrait avoir la même différence en temps de réaction)
    - 0 à 40 degrés = 0 à 20 + 20 à 40…
  • cohérent avec proposition selon laquelle participants utilisent version interne similaire à une rotation externe pour rendre objets congrus.
    - processus analogue peut être réalisé à taux limite maximal de rotation.
  • degré de similarité entre images 2D statiques n’est pas prise en compte par participants. (identifier des points dans un plan cartésien pour image original et modifier afin de déterminer si les points identifié possède un endroit de image, si oui, on pourrait dire qu’ils sont similaires ou non = différents)
  • participants performent opérations mentales en 3D analogues (respectif même processus que dans le vrai monde) (interprétation + rotation)
    - même si on leur montre images 2D
  • soutien pour représentations figuratives. (utilise image dans notre esprit pour réaliser la tâche et que cette image la respecte certaines caractéristiques de ce qui se passe en perception visuel dans le monde réel)
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5
Q

Dans une 1e expérience en lien avec le balayage mentale, quel était la chose qu’on veut savoir ?

A

-si imagerie est semblable (analogue) à la vision, est-ce qu’on peut se concentrer (dans notre tête) sur des parties d’un objet imaginé?

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6
Q

Dans une 1e expérience en lien avec le balayage mentale, quel était la tâche, la mesure et les hypothèses ?

A
  • tâche :
    • phase 1 (étude) :
      • regarder dessins de contours (les étudier)
  • réussir à reproduire dessins (avec partie important de l’objet pour la reconnaitre)
    • phase 2 (test) :
      • entendre nom d’un objet
      • imaginer : (1) condition 1 : objet complet (2) condition 2 : focus sur extrémité spécifiée
      • entendre nom de partie = est-elle sur objet ?
  • mesure : temps de réaction
  • hypothèses : équivalent au traitement visuel
    • si on regarde objet complet, TR moyen ne dépendra pas de la position de la partie. [Check]
  • si on doit se concentrer sur une partie (zoomer), TR sera fonction de la distance entre emplacement de extrémité et propriété. [Check] (prendre plus de temps si on se concentre sur l’arrière du bateau, mais que la question ou l’endroit nommer est au-devant du bateau, on doit changer notre attention à extrémité = ce qui prend plus de temps que si les deux parties de l’image étaient plus près)
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7
Q

Dans une 1e expérience en lien avec le balayage mentale, quels sont les résultats?

A
  • soutient pour représentations figuratives (respecte les lois du vrais monde avec la perception visuelle)
  • en bleu = si on regarde/ ou représente l’objet dans son entièreté, peut importe quel emplacement on veut vérifier, le temps de réaction va être le même. (Explique hypothèse 1)
  • en rouge : explique hypothèse 2.
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8
Q

Quels sont les critiques de Pylyshyn et détaillés les?

A

1) introspection n’est pas fiable :
- participants pourraient dire ce que expérimentateur veut entendre.
- ne veut pas dire qu’il s’agit d’un phénomène courant.
2) impénétrabilité cognitive :
- humains conscients de peu de processus mentaux.
- faire expérience de image ne signifie pas utiliser image.
- image pourrait être un épiphénomène : (un coïncidence, mais qui n’arrive pas à résoudre le problème, un accident)
- représentation/ processus est non-spatial/ non-visuel
- image produite après le traitement (simulation post-décision)

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9
Q

Quel est l’hypothèse de connaissance tactile ?

A
  • hypothèse de connaissance tactile : (probablement que ce qu’on utilise pour résoudre les problèmes c’est notre propre connaissance qu’on connait déjà)
    • utilise savoir déjà acquis à propos de environnement pour accomplir tâche.
    • mémoire de la structure des objets/ du monde réel. (Selon ce qu’on a déjà, nous permet de…)
      • relations entre parties d’objets
  • distances entre monuments/villes (utilise nos connaissances, mais pas utiliser une représentation figurative, image dans ma tête)
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10
Q

La solution, propose comme représentation vu que la figurative n’a pas besoin d’être utilisé, selon Pypyshyn ?

A
  • représentations propositionnelles (ce qu’il propose comme représentation vu que la figurative n’a pas besoin d’être utilisé) – proposition = phrase
  • propriétés des stimuli sont représentées symboliques (comme lorsque mots du langage représentent objets et relations entre objets)
  • pourrait expliquer le balayage mental. (bateau et avion)
  • exemples : (va voir dans notre liste de mots/ phrases pour nous aider à trouver ce qu’on cherche)
  • ex : 1) hélice -> cabine (3 propositions)
    - hélice est sous le moteur
    - moteur derrière la poupe (arrière du bateau)
    - poupe est derrière la cabine
    - cabine derrière la proue (devant du bateau)
    - ancre est sous la proue
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11
Q

Que doit-on retenir suite aux exemples données avec la représentation propositionnelle ?

A
  • # de propositions utilisées explique temps de réaction === Aucune image nécessaire!
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12
Q

Dans le 2e expérience du balayage mentale, quel est le but et procédure, la variable-clé ?

A
  • But: déterminer si information spatiale métrique (disposition des lieux sur une carte en distance) est préservée dans mémoire de stimuli visuels
  • Procédure: Paradigme de balayage mental (se promener mentalement sur image)
  • Variable-clé: temps de réaction
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13
Q

Dans l’expérience 2 du balayage mentale, explique moi en gros la méthodologie ?

A
  • Méthodologie:
  • demande aux participants de mémoriser et redessiner la carte (à gauche) en se concentrant sur 7 endroits-clés : une hutte, arbre, puits, lac, plage, rocher et un champ.
  • procédure:
    1) participants doivent s’imaginer la carte complète.
    2) entendent un mot dénotant un lieu sur la carte et doivent se concentrer sur ce lieu
    3) 5 secondes plus tard, un autre nom de lieu est diffusé (2e)
    4) participants doivent balayer la carte et indiquer lorsqu’ils atteignent le 2e lieu (Point se déplaçant en ligne droite le plus vite possible) (mentalement)
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14
Q

Quel est la logique derrière l’expérience 2 et ces hypothèses du balayage mentale ?

A
  • rationnel : si image mentale de l’île est réellement une copie analogue (ou figurative), cette copie devrait préserver les relations en termes de distance.
  • hypothèses:
    • plus augmentation distance entre 2 cibles = plus augmentation temps de réaction
  • va trouver une relation linéaire entre distance et TR causé par représentation figurative. (car on utilise la carte qui a certaines caractéristiques physiques, ce qui n’est pas le cas avec les représentations propositionnelles; si j’ai une liste de faits, il n’y a pas de raisons que certains faits soient plus facile d’accès que d’Autres ou que l’ordre d’une certain manière qui pourrait expliquer les résultats)
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15
Q

Quels sont les résultats et interprétations de l’expérience 2 du balayage mentale ?

A
  • Résultats:
    • temps de balayage augmente linéairement vs. Distance.
  • corrélation quasi-parfaite entre distance et temps de réaction lorsque les 2 objets sont présents.
  • interprétation:
  • (Spas le nombre d’objet qui se situe entre les deux lieux qui vont affecté, mais bien la distance entre les lieux)
  • distances métriques (mesure représenté sur la carte) représentées de la même façon (dans notre tête) que lorsque carte visuellement perçue dans la vrai vie.
    • soutien pour représentations figuratives en tablette VS.
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16
Q

Au niveau de analyse structurelle, que veux montrer Kosslyn ?

A
  • si l’imagerie fonctionne comme perception visuelle, les mêmes facteurs devraient influencer la facilité à classifier une partie d’un percept ou d’une image.
  • exemple : taille de objet (si près de objet = objets plus gros = plus détaillés perceptuelle) –capable d’utiliser ca en imagerie visuel?
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17
Q

Que veux dire overflow?

A

(ou dépassement) dans le champ visuel. (champ de vision en vert pointiller, si on s’avance, éléphant va dépasser sur votre champs de vision, on pourra pas le traiter au complet, mais seulement en partie donc, ce qui dépasse s’appelle le dépassement (en rouge))

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18
Q

Dans expérience 1 de l’analyse structurelle, quel est la tache, la mesure et la variable d’intérêt ?

A
  • Tâche :
  • créer image mentale d’un éléphant ou mouche qui apparait dans le champs visuel (pas dépasser)
    - imaginer second animal (ex : lapin) à côté dans espace restreint de notre champ visuel.
    - juger si propriété est appropriée ou non pour le second animal.
    • mesure : temps de réaction 2e animal
    • Variable d’intérêt : taille relative entre animaux
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19
Q

Dans expérience 1 de l’analyse structurelle, quels sont les résultats et prédiction ?

A
  • Prédiction :
    - 1e animal plus gros -> laisse moins de place au 2e
    - donc, 2e animal plus petit -> plus lent à juger.
  • résultats :
    - taille relative influence temps nécessaire pour juger de la présence d’une propriété.
    - si éléphant = 1e animal
    - 2e animal (ex : lapin) prend moins de place
    - jugement plus lent
    - si mouche = 1e animal
    - 2e animal (ex : lapin) prend plus de place
    - jugement plus rapide
    - soutien pour représentations figuratives (connaissance tacite inutile)
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20
Q

Dans expérience 2 de l’analyse structurelle, quel est la tache, la mesure et la variable d’intéret ?

A
  • Tâche “inverse”:
    • créer image mentale d’un éléphant ou d’une mouche.
    • modifier taille de animal principal en imagerie.
      • voir éléphant de la taille d’une mouche.
      • voir une mouche de la taille d’un éléphant
    • juger si propriété est appropriée ou non pour le second animal (ex : lapin)
  • mesure : temps de réaction
  • variable d’intérêt : taille relative
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21
Q

Dans expérience 2 de l’analyse structurelle, quels sont les résultats et prédiction ?

A
  • prédiction :
    • résultat inverse de expérience 1 : (ce qui est important, est la taille du premier objet)
      • temps plus longs si imaginé à côté de a mouche.
      • temps plus courts si imaginé à côté de éléphant.
  • résultats :
    • taille relative influence temps nécessaire pour juger de la présence d’une propriété.
    • si éléphant = 1e animal
      • 2e animal (ex : lapin) prend plus de place
      • jugement plus rapide
    • si mouche = 1e animal
      • 2e animal (ex : lapin) prend moins de place
      • jugement plus lent
    • soutien pour représentations figuratives une fois de plus.
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22
Q

Donc, quels sont les conclusions de l’imagerie visuelle?

A
  • imagerie visuelle :
  • composante très importante en mémoire de travail.
    • utilisée dans tampon visuel dans tablette VS.
  • on se doute des représentations figuratives
    • imagerie mentale imiterait la perception visuelle
    • préservent caractéristiques physiques des stimuli qui les génèrent :
      • distance/taille
      • relation entre parties
  • pourrait expliquer transformations mentales/ balayage mental/ analyse structurelle.
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23
Q

Donne moi 2 types de mesures en faisant appel au cerveau pour résoudre le débat représentationnel ?

A
  • existence de neurones pour imagerie – simple présentation
  • neurones uniques communs pour perception et imagerie (correspondance imparfaite)
  • quand on montre les images : activation des neurones de la dame = activation bcp plus faible que la balle. Même chose pour imagination.
  • autre mesure : mesure de activation dans cortex visuel primaire – simple présentation
  • aires cérébrales communes pour perception et imagerie (encore correspondance imparfaite). (vision > imagerie)
  • processus de perception et le processus d’imagerie quand on parle de correspondance.
  • autre mesure : Mesure de activation dans cerveau entier – présentation + questions à propos d’un objet vu ou imaginé
  • aires cérébrales communes pour perception et imagerie (occipital : moins de correspondance)
    • regarder ou imaginer une image faiblement.
  • 1e et 2e cas : correspondance quasi parfaite; 3e cas : moins d’imagerie qu’en perception = donne des différences
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24
Q

Explique moi la tache de marche mentale (imagerie visuelle)?

A

-1e cas : éléphant loin de nous avec nous yeux ouverts, éléphants pas placé dans overflow et prends pas toute la place dans champs visuel; 2e cas : si avance vers éléphant avec même champs de vision, on peut s’avancer jusqu’à une distance ou éléphant est dans overflow, mais proche (plus gros dans champs de vision). Pourrions-nous demander, quel est la distance entre nous et la distance maximal avant overflow (entre nous et éléphant). Peux aussi se faire avec les yeux fermés.

25
Q

Au niveau des lésions cérébrales - similarités, dans une première étude, on fait la tache de marche mentale, expliquez la méthode et le résultat.

A
  • tâche de marche mentale (1e étude)
  • estimer la distance à un objet lorsque cet objet arrive aux limites de notre champ imaginatif (qui serait analogue à notre champ visuel)
  • retrait d’une partie du lobe occipital droit pour traiter un cas sévère d’épilepsie.
    - mesure des distance avant et après l’opération.
  • résultat : retrait du cortex visuel rétrécit le champ visuel ET imaginatif (permet pas de marcher de manière virtuelle) *fonctionne autant pour visuelle et imaginatif **
    • augmente taille relative de objet en vision et imagerie.
26
Q

Dans une 2e étude au niveau des lésions cérébrales, étude de la perception des couleurs en vision et en imagerie, on évalue la perception et l’imagerie, définissez selon l’expérience?

A
  • perception – agnosie visuelle (ne pas reconnaître objets) :
    - patients ont de la difficulté à nommer des couleurs présentées visuellement.
  • patients ont de la difficulté à nommer les couleurs d’objets courants (tâche verbale).
  • pas un déficit au niveau sensoriel
    • ex : défaut de la rétine
    • capable de différencier les couleurs
  • traitement en imagerie :
  • tâches : ne peut nommer des objets d’une certaine couleur, comparer la couleur d’objets, pâle vs foncé.
  • patients montrent des déficits dans toutes les tâches liées aux couleurs dans imagerie.
  • patiente incapable d’imaginer des couleurs. (autre cas en similarité en imagerie et perceptif)
27
Q

Que veut dire une héminéglicence ?

A

-ignorance d’un côté

28
Q

Explique moi héminéglicence au niveau de perceptuelle.

A
  • perceptuelle :
    - ne tient pas compte des objets dans une moitié du champ visuel.
    - pas un déficit au niveau visuel (vision 20/20).
    - ex : manger nourriture moitié gauche assiette.
29
Q

Explique moi héminéglicence au niveau de motrice.

A
  • motrice :
    - ne tient pas compte d’un côté de son corps
    - s’habille à moitié, se coiffer d’un côté seulement.
    - problèmes d’hygiène (se rase/laver d’un côté seulement)
  • probls de déplacement : fonce dans objets/ meubles/ coins de mur du côté ignoré.
30
Q

Au cours de l’étude d’héminéglicence, explique moi la 1e expérience des lésions cérébrales (similarités)? en perception et en imagerie.

A
  • perception :
    - patient montre syndrome d’héminégligence
    - dommage au lobe pariétal
    - ignorer moitié du champ visuel et même du corps. (visuel et motrice)
    - imagerie :
    - même chose :
  • on demande au patient de s’imaginer à un endroit connu et de décrire les objets présents dans image
  • patient ignore les objets qui sont situés à sa gauche et nomme ceux à sa droite.
31
Q

Au cours de l’étude d’héminéglicence, explique moi la 2e expérience des lésions cérébrales (différences)? en perception et en imagerie.

A
  • cas rare où il a une héminégligence entre imagerie mais pas en perception
    - perception :
    - patient testé pour héminégligence perceptuelle ou motrice.
    - résultats aux tests : négatif (aucune héminégligence)
    - imagerie :
    - s’imaginer sur une piazza (place) connue en Italie
    - on demande face à quel bâtiment il se trouve
    - doit rapporter autres bâtiments, ne rapporte que ceux à droite.
32
Q

Une 3e expérience a été fait en lien avec habileté à dessiner, explique moi la partie de la perception et l’imagerie?

A
  • perception :
  • patient peut identifier les bonnes couleurs pour les objets (colorier les images avec le bon crayon)
  • patient peut recopier les objets présentés.
    - imagerie :
    - patient ne peut dessiner des objets de mémoire (il ne s’en souvient pas)
  • patient a de la misère à répondre à des questions qui demandent un haut niveau d’imagerie.
    * probl imagerie, mais pas en perception
33
Q

Une 4e expérience a été fait en lien avec la reconnaissance d’objets, explique moi la partie de la perception et l’imagerie?

A
  • perception :
  • difficulté à nommer les objets en 3D (mais peut le faire en les touchant) – pas capable de percevoir
    - incapacité à reconnaitre des objets dessinés
    - incapacité à dire quel objet est le plus gros
    - difficulté à discriminer entre diff. lettres/reconnaitre
    - imagerie :
    - capable de nommer la couleur des objets en mémoire
    - capable de dire quel est plus gros de mémoire
    - capable de répondre à des questions haute imagerie
    - capable de décrire des lettres de alphabet de mémoire
    - peut dessiner des images d’objets.
34
Q

Quel est la récapitulation des lésions cérébrales ? au niveau des similarités et différences.

A
  • > similarités :
    - retrait d’une partie du cortex visuel réduit champ visuel et d’imagerie
    - montre que ça rétrécit le champ visuel
    - patients qui ne voient plus les couleurs ne peuvent plus imaginer en couleur
    - héminégligence répliquée en imagerie.
    - > différences :
    - héminégligence en imagerie mais pas en perception
    - habileté à dessiner, mais pas de mémoire
  • impossibilité de nommer des images d’objets, mais habileté à dessiner de mémoire.
35
Q

Quel est la critique la plus récente de Pylyshyn ?

A
  • résultats en neuroimagerie ne sont pas clairs. (Des fois, il y a des similarités ou différences)
    • correspondance entre perception et imagerie n’est pas parfaite.
      • exemples de phénomènes visuels qui n’apparaisse pas en imagerie mentale.
36
Q

Quels sont les conclusions de toute la matière vu.

A
  • support énorme pour représentation figuratives
  • pourrait ne pas tout expliquer
    • dissociations neuropsychologiques ne sont pas parfaites
    • plrs phénomènes visuels impossibles à reproduire.
  • Pylyshyn : partipants pourraient utiliser de multiples sources de connaissance pour résoudre problème dans expériences d’imagerie.
    • représentations figuratives ET propositionnelles
  • Behrmann et al. : mécanismes de percpetion/ imagerie correspondent, mais partiellement.
    • expliquerait la plupart des différences.
37
Q

Explique moi l’expérience de Murdock en lien avec la courbe de position sérielle ? (matériel, procédure, buts et résultats)

A
  • matériel: Listes de 20,30 ou 40 mots
    - procédure : tâche de rappel libre standard
  • buts : déterminer si nombre de mots dans liste influence la forme de la courbe de position sérielle.
  • résultats :
  • constance dans forme générale de courbe. (peu importe le nombre d’items dans la liste)
    - avantage pour 3-4 premiers mots
    - section milieu plate
    - avantage pour approx. 6 derniers mots
    • ajout de mots ne fait qu’allonger la partie du milieu
    • courbe = robuste
38
Q

Quels sont les caractéristiques de la mémoire à long terme ?

A
  • Mémoire à long terme :
  • capacité illimitée (en fait, incommensurable = peut pas mesurer tlm que c’est grand)
  • très longue durée (quasi-permanent)
  • oubli dû à interférence
  • connaissance abstraites
39
Q

Quels sont les caractéristiques de la mémoire à cours-terme ?

A
  • capacité limitée
  • courte durée
  • oubli surtout dû à interférence
40
Q

Qu’est-ce qu’on veut savoir en lien avec les deux types de mémoire ?

A
  • processus de transfert principale = répétition

- systèmes indépendants

41
Q

Si on regarde l’importance de la répétition pour la MLT, quel est le but, rationnel et la procédure derrière l’expérience ?

A
  • but : étudier la relation entre répétition et primauté/ récence
    - rationnel : répétition devrait être seulement reliée à perfo en MLT
    - corrélé avec effet de primauté
    - pas avec effet de récence
    - procédure :
  • tâche de rappel libre (20 mots peu reliés) (présentation visuelle de 5 sec par mot)
    - participants doivent répéter à voix haute
  • on compte nombre de répétitions pour chaque mot lors d’un essai
42
Q

Si on regarde l’importance de la répétition pour la MLT, quels sont les hypothèses, résultats et interprétation?

A

-hypothèses :
-effet de primauté : contenu de la MLT
-gros bon sens : répétition a lieu
-premiers mots peuvent être répétés plus souvent
-perfo élevé pour premiers mots
-# de répétitions (voix haute) prédit perfo de rappel pour les premiers mots (primauté)
VS
-effet de récence : contenu de la MCT
-pas le temps de répéter, mais perfo élevée quand même (car mots frais dans la mémoire)
-# de répétitions (voix haute) non-reliée à perfo pour derniers mots.
-résultats :
-probabilité de rappel pour début de la courbe directement liée au nombre de répétitions. (en rouge)
-montre que répétition a un effet sur la force de la trace en MLT et donc c’est un processus nécessaire
-pas de relation pour fin de la courbe … pas besoin de répéter, les items sont encore en MCT. Pas le temps de répéter (en bleu)
-interprétation :
-répétition : processus utilisé par participants
-nécessaire pour maintenir effet de primauté
-répétition renforce traces mnésiques en MLT
-taux de répétition = mesure de force de la trace
-alors, pour rappel, récupération doit venir en MLT
-pas de répétition nécessaire pour effet de récence
-fin de liste = mots non répéts
-donc, mots sont déjà dispo pour rappel car ils sont dans MACT
-différence entre MCT et MLT

43
Q

Que veux dire indépendance des systs avec double dissociation?

A
  • utiliser effets de primauté/ récence pour montrer existence et indépendance de 2 systs.
  • rappel…
  • peut montrer que 2 processus psychologiques A et B dépendent de syst indépendants s’il est possible de concevoir une expérience X qui influence le processus A sans affecter le processus B ET une expérience Y qui influence le processus B sans affecter le processus A
  • une double dissociation
44
Q

Quel est le but général dans l’indépendance des systs ?

A

trouver conditions ayant un effet sur chaque partie de la courbe (primauté/récence) séparément.

45
Q

Explique moi le but de l’étude de Glazner et Cunitz et celle ci se divise en 2 parties, qu’elles sont-elles?

A
  • des expériences ont été effectuées pour tester l’hypothèse selon laquelle la courbe de position sérielle bimodale est le produit des items provenant de 2 mécanismes d’enregistrement : à court terme et à long terme.
  • But : prouver la relation entre =
    - effet de récence et MCT
    - effet de primauté et MLT

1) avec délai et 2) avec espacement

46
Q

Explique moi l’expérience 1 avec délai de Glazner et Cunitz. (but, rationnel, procédure, résultats et interprétation)

A
  • but : Éliminer effet de récence, maintenir effet de primauté
  • rationnel : si effet de récence dû aux mots enregistrés en MCT, alors imposer un délai entre fin de liste et indice de rappel devrait réduire l’effet.
    - procédure :
    - tâche de rappel libre (15 mots)
    - 3 conditions : standard/ avec délai (x2)
  • compter à partir du nombre présenté après présentation de la liste
    - courbes de position sérielles (délai) :
  • interprétation :
  • en demandant aux participants de compter entre fin de la liste et rappel
    - interférence, alors items en MCT sont oubliés
    - effet de récence + faible (10 sec) ou absent (30 sec)
    - premiers items sont bien rapportés
  • car transférés dans un entrepôt plus permanent (MLT) par suite de répétition suffisante.
    - effet de primauté inchangé
    - dissociation entre MCT et MLT
47
Q

Explique moi l’expérience 2 avec espacement de Glazner et Cunitz. (but, rationnel, procédure, résultats et interprétation)

A
  • but : augmentation effet de primauté, maintenir effet de récence constant
  • rationnel : si effet de primauté dû à des ressources de mémorisation supplémentaires (répétition) pour mots initiaux, alors lire la liste plus lentement améliora l’effet
  • procédure : tâche de rappel libre (15 mots) + 3 conditions : standard/ espacé (x2) – espace les mots de 6 ou 9 sec
  • courbes de position sérielles (espacement)
  • plus on espace les mots dans une liste, plus les gens ont le temps de répéter les mots, donc plus de chances qu’ils puissent les rapporter.
  • pas effet sur récence, car elle est pas basé sur la répétition, effet positif sur l’effet de primauté
  • interprétation :
  • présentation plus lente (espacement) augmente capacité de rappel
    - affecte effet de primauté (MLT) mais pas effet de récence (MCT))
    - car répétition non utilisée pour matériel récent
    - reflète seulement capacité courante (effet de récence)
    - dissociation entre MACT et MLT
48
Q

Quel est la conclusion de l’expérience de ces deux types?

A

-double dissociation obtenue
-preuves supportant le principe de 2 syst de mémoire
Indépendants.
*quand impose un délai avant rappel (exp1) nous avons un effet de récence qui est affecté, mais touche pas à effet de primauté. Mais si on espace les mots, améliore effet de primauté, mais aucun effet pour effet de récence. Donc double dissociation à cause que c’est complémentaire.

49
Q

Quel question se pose-t-on à en lien avec la mémoire à long terme ?

A

comment le syst cognitif encode-t-il, organise-t-il, retient-il et oublie-t-il l’info ?

50
Q

Quel est la taxonomie de la MLT ? on va parler de mémoire explicite.

A
  • mémoire explicite : (capable d’expliquer souvenir)
  • ce que l’on veut dire par mémoire
    • capacité de rappel conscient des faits et événements
    • affecté en amnésie
    • permet comparaison et contraste du matériel remémoré
      • supporte encodage en termes de relations entre multiples items/ événements
  • représentationnelle (en opposition avec mémoire implicite) - peut se représenter les événements
    - façon de modéliser le monde externe
    - modèle peut être testé : vrai ou faux
51
Q

Quels sont les caractéristiques seulement pour épisodique et seulement pour sémantique ?

A

-épisodique :Événements spécifiques;
Expérience personnelle unique (autobiographique);
Événements concrets;
Encodé avec contexte (spécifique de encodage);
Acquis immédiatement (ici et maintenant);
Permet voyage dans le temps mental (conscience), info temporelle, relations spatio-temporelles;
Se souvenir (fait partie de notre passé personnel qui tente de le rapporter)

-sémantique: Faits généraux/ signification;
Non lié à expérience (émotions/ pensées/sensations);
Connaissance abstraite;
Extrait du contexte;
Acquis progressivement dans multiples contextes;
Ne le permet pas, avoir une liste de faits, la facon dont les souvenirs sont appris on va éliminer le contexte à mesure qu’on l’apprend et on va aller chercher info commune dans tous les contextes ou on va avoir pris la même info;
Savoir (quand on sait, pas autant de détaille de l’événement pourquoi on a appris l’info, effet de familiarité)

52
Q

Explique moi l’expérience 1 entre se souvenir vs savoir, quel est le but, tâche, et procédure ?

A
  • but : montrer différence dans oubli pour (1) mémoire épisodique (se souvenir/ plus détailler) et (2) la mémoire sémantique (savoir/ moins détailler)
  • tâche : étudier 36 mots (2 sec chacun) pour être testé plus tard
    • test : tâche de reconnaissance
      • 36 mots vus/ 36 mots non-vus
  • 2 réponses possibles : se souvenir vs. Savoir (est-ce qu’il save qu’ils l’ont vus)
    - 2 tests : après 10 min/ après une semaine
53
Q

Explique moi l’expérience entre se souvenir vs savoir, quels sont les résultats et la conclusion ?

A
  • résultats :
  • baisse de discriminabilité plus marquée pour les réponses = se souvenir que savoir *perd bcp de détails après 1 semaine.
    - conclusion :
  • réponses se souvenir (mémoire épisodique) ont un patron d’oubli différent des réponses savoir (mémoire sémantique)
  • indice selon lequel nous avons donc 2 types de mémoire explicit séparés avec caracté. différentes (oublie)
  • mémoire épisodique devient sémantique avec le temps.
54
Q

Explique moi l’expérience 2 entre se souvenir vs savoir, quel est le but, tâche, et procédure ?

A

(comparer les personnes plus ou moins âgés)

  • but : montrer différence dans évolution de (1) mémoire épisodique (se souvenir) et (2) mémoire sémantique (savoir)
  • participants :
    - personnes moins âgées (58-69 ans)
    - personnes plus âgées (74-85 ans)
    • tâche : 150 événements réels
      • réponses possibles
        • se souvenir (mémoire épisodique)
  • savoir (une familiarité, mémoire sémantique, mais récupère pas d’événements personnels)
    - ne pas savoir
55
Q

Explique moi l’expérience 2 entre se souvenir vs savoir, quels sont les résultats et conclusion?

A
  • résultats :
  • on se souvient de moins en moins : mémoire épisodiques (dégénérescence)
  • on sait de plus en plus avec âge : mémoire sémantique
  • bcp plus d’événements qu’on est familier = qu’on sait. Semble perdre détails épisodiques, mais gagne des connaissances.
    - conclusion :
    - les deux types de réponse demandés évoluent différemment dans temps
    - plus de mémoire sémantique
    - moins de mémoire épisodique
  • type de réponse est sensible à la dégénérescence de hippocampe et du cortex frontal (se souvenir – mémoire épisodique)
  • autre indice selon lequel nous avons deux types de mémoire explicite séparés avec caracté. différentes (évolution dans le temps)
56
Q

Une dernière expérience en lien avec l’oubli, de l’épisodique au sémantique, explique moi le but, le rationnel, la procédure et les variables.

A
  • but : étudier la rétention d’info syntaxique et sémantique (sens des messages)
  • rationnel : si seul le sens est encodé, un changement n’affectant pas le sens ne sera pas détecté.
  • procédure :
    • écoute d’une histoire
    • test à propos d’une phrase spécifique (phrase-test)
  • variables : nombre de syllabes dans histoire entre phrase critique et phrase-test (0, 80, 160 syllabes) ET type de changement pour phrase-test.
    • he sent a letter about it to Galileo, the great Italian scientist
  • procédure/ condition: 12 types d’essai
  • formel/passif – structure de phrase
57
Q

Une dernière expérience en lien avec l’oubli, de l’épisodique au sémantique, explique moi les hypothèses, résultats et interprétation.

A
  • hypothèses :
  • participants devraient remarquer changements très spécifiques si testé tout de suite.
  • si, avec le passage du temps, la mémoire préserve TOUTE info, participants devraient… (une caméra vidéo)
    - remarquer si sens change (sémantique)
    - remarquer si syntaxe change (formel, actif/passif)
    - pouvoir déterminer si phrase est identique
  • si, avec passage du temps, mémoire préserve info sémantique, participants devraient…
    - remarquer si sens change (sémantique)
    - ne pas pouvoir remarquer si syntaxe change (formel, actif/passif)
    - ne pas pouvoir reconnaitre une phrase identique
  • résultats :
  • si phrase critique testée immédiatement, participants sont excellents pour identifier tout type de changement (si changement il y a).
  • à mesure que le temps passe, exactitude réduire en général…
    • mais demeure + élevée pour changements sémantiques
      • interprétation :
  • preuve pour codage (surtout) sémantique en MLT : sens est préservé, mais détails semblent disparaitre
    - propriétés de l’oubli en MLT explicite (selon Sachs)
  • mémoire pour signification du message préservée jusqu’à un certain point.
  • mémoire pour forme syntaxique du message disparait tranquillement à mesure que le temps passe.
58
Q

Quels sont les conclusions de l’épisodique vs sémantique?

A
  • oubli différentiel (différence entre type d’oubli)
  • traitement descendant (sémantique) influence mémoire épisodique (dépend de notre attention)
    - savoir/ attentes (sémantique) peuvent diriger faisceau attentionnel
    - mémoire épisodique dépend d’où on porte attention
    - exemple : cécité au changement/ tâche de clignement
    • info épisodique enrichit mémoire sémantique
      • faits avec signification personnelle sont plus faciles à mémoriser.
  • exemple : 11 septembre (l’avoir vécu vs. Assassinat de Kennedy (pas encore né)
    • dissociations neurologiques (pp.172-173)