allergies Flashcards
(86 cards)
définition:
Hypersensibilités
Anticorps
Autoanticorps
Antigène
Allergène
Dans une réaction allergique d’hypersensibilité immédiate (allergie), à
quel type d’anticorps a-t-on affaire?
IgE
Dans une réaction allergique d’hypersensibilité immédiate (allergie),
quelles cellules sont surtout impliquées ?
mastocytes
: Typiquement, combien de phases décrit-on à une réaction allergique
d’hypersensibilité immédiate (allergie)?
Deux (Bravo ! Bonne réponse. En effet, on décrit classiquement deux phases à la réaction allergique. D’abord, la réaction immédiate se produit de quelques secondes à quelques minutes suite au contact avec un allergène, chez une personne sensibilisée. Elle est attribuable à la dégranulation des mastocytes.
Ensuite, on décrit une phase tardive, qui survient de deux à huit heures (dure jusqu’à vingt-quatre heures selon certains auteurs) suite au contact avec l’allergène. Les cytokines produites par les mastocytes recrutent des leucocytes (principalement des éosinophiles, des neutrophiles) sur une plus longue période de temps, ce qui explique la phase tardive.)
qu’est-ce ue le processus de sensibilisation?
explique la réaction immédiate dans l’hypersensibilité de type I
quelles sont les différents types de granules relachées par un mastocyte activé ou juste lors de l’hypersensibilité de type I?
explique la réaction tardive de l’hypersensibilité I
il y a-t-il un remodelage tissulaire dans l’hypersensibilité de type I
voici donc les effets d’une réaction allergique sur la muqueuse respiratoire :
quelles sont les entités cliniques de l’hypersensibilité immédaite?
Quelles, parmi les entités cliniques suivantes, sont des exemples
d’hypersensibilité médiée par les anticorps, ou de type II?
a. Diabète de type I
b. Purpura thrombocytopénique autoimmun ou idiopathique (PTI)
c. Rhumatisme articulaire aigu
d. Polyartérite noueuse
e. Sclérose en plaques
f. Polyarthrite rhumatoïde
g. Anémie hémolytique auto-immune
a. Diabète de type I (Non, ce n’est pas la bonne réponse. Le diabète de type I
est une hypersensibilité de type IV auto-immune, médiée par les lymphocytes
TCD8+ cytotoxiques, entraînant une destruction des cellules bêta des îlots
pancréatiques.)
b. Purpura thrombocytopénique autoimmun ou idiopathique (PTI) (Il s’agit d’une
réponse partielle.)
c. Rhumatisme articulaire aigu (Il s’agit d’une réponse partielle.)
d. Polyartérite noueuse (Non, ce n’est pas la bonne réponse. La polyartérite
noueuse, une vasculite des moyens vaisseaux, est un type d’hypersensibilité
de type III, médiée par des complexes immuns. Comme toutes les entités
cliniques induites par ce type d’hypersensibilité, cette vasculite est due à un
dépôt de complexes immuns dans les vaisseaux sanguins.)
e. Sclérose en plaques (Non, ce n’est pas la bonne réponse. La sclérose en
plaques est une maladie auto-immune caractérisée par des plaques de
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démyélinisation au niveau du système nerveux central. La physiopathologie
postulée est une réponse immunitaire médiée des macrophages activés par
des cytokines produites par des lymphocytes Th1 et Th17. Il y a ici présence
d’une hypersensibilité de type IV, médiée par les cytokines de lymphocytes
TCD4+.)
f. Polyarthrite rhumatoïde (Non, ce n’est pas la bonne réponse. C’est une
hypersensibilité de type IV médiée par des cytokines produites par des
lymphocytes T, dont l’ensemble de la physiopathologie reste à être élucidée.)
g. Anémie hémolytique auto-immune (Il s’agit d’une réponse partielle.)
Qu’est-ce qu’un complexe immun?
Une association anticorps-antigène
En combien de sous-types divise-t-on les réactions d’hypersensibilité
retardée, médiée par les lymphocytes ou de type IV?
a. Deux (Bravo ! Bonne réponse.)
mécanisme de l’hypersensibilité de type II
Exemples cliniques d’hypersensibilité médiée par les anticorps :
mécanisme de l’hypersensibilité de type III
Exemples cliniques d’hypersensibilité médiée par les complexes immuns :
définit l’hypersensibilité de type IV
On retient deux mécanismes physiopathologiques pour ce type d’hypersensibilité IV:
Exemples cliniques d’hypersensibilité retardée :
Mécanisme physiopathologique
herbe à poux
Fluctuations mensuelles des concentrations de pollens et autres aéro-allergènes: