Bonbons Flashcards
(44 cards)
Identifier l’énoncé associée à une céphalée secondaire à l’apnée du sommeil:
● La céphalée est bilatérale
● Aucune des réponses
● La céphalée présente moins 15 jours par mois
● Index d’apné-hypopnés plus de 4 épisodes par heure
A
A. La douleur chronique est un désordre par soi-même.
B. Une douleur chronique qui persiste depuis plusieurs années est fort probablement associée avec des co-morbidités psychologiques.
● L’énoncé A est faux et l’énoncé B est vrai
● Les deux énoncés sont faux
● L’énoncé A est vrai et l’énoncé B est faux
● Les deux énoncés sont vrais
D
Vrai ou faux : une neuropathie associée au quadrant 2 avec le temps peut se propager au quadrant 3
VRAI
Patient se présente avec une douleur constante pulsatile sévère à la dent #24 depuis quelques jours. La dent réagit normalement aux tests de vitalité, tu remarques une légère infiltration sous l’ancienne obturation de cette dent. Les radiographies périapicale et BW sont normaux. Tu fais une infiltration au buccal et palatin de la dent et obtient une anesthésie locale profonde, cependant la douleur dentaire est toujours présente. Quel serait le diagnostic probable et la gestion de celui-ci:
● Pulpite réversible due à l’infiltration sous l’obturation défectueuse, remplace l’obturation
● Douleur d’origine non-dentaire réfère à un dentiste qui traite la douleur orofaciale
● Diagnostic incertain réfère à un endodontiste pour un 2ième avis
● Pulpite irréversible due à l’infiltration sous l’obturation défectueuse, faire traitement endodontique
B
Choisir l’énoncé correct par rapport à la douleur
● La douleur chronique est nécessaire pour la survie de l’individu
● La douleur aigue peut se présenter sans lésion tissulaire
● La douleur chronique se traite facilement par des analgésiques tels que l’ibuprofen
● La douleur aigue est nécessaire pour la survie de l’individu
D
Patient se plaint de douleur décrite comme un élancement ou un choc électrique ressenti au fond de la gorge lorsqu’il avale, et souvent lorsqu’il tourne la tête. Diagnostic probable est la :
● Neuropathie du glossopharyngien ca
● Neuropathie du trijumeau
● Névralgie du trijumeau
● Névralgie du glossopharyngien
D
Laquelle des caractéristiques suivantes n’appartient pas à la névralgie du trijumeau classique :
● Douleur unilatérale vrai
● Période réfractaire au stimulus
● Débute à partir de l’âge de 40 ans (âge moyen de 64 ans)
● Douleur s’améliore avec la prise d’opiacée
D
Lequel des énoncés suivants est vrai :
● La surconsommation de l’alcool n’affecte pas le métabolisme de certains médicaments
● La surconsommation de la caféine peut réduire la tonicité des muscles
● L’apnée de sommeil peut se manifester comme un trouble d’anxiété
● La carence de fer peut influencer la douleur neuropathique
C
A. La gestion de la douleur post-traumatique du trijumeau se fait exclusivement par un neurologue.
B. Si un patient a une névralgie du trijumeau bilatérale on suspecte une pathologie centrale ou d’ordre neurologique.
● Les 2 énoncés sont faux
● L’énoncé A est faux et l’énoncé B est vrai
● Les 2 énoncés sont vrais
● L’énoncé A est vrai et l’énoncé B est faux
B
A. Un dentiste peut référer un patient pour une évaluation de sommeil.
B. Un dentiste avec une formation adéquate peut gérer l’apnée du sommeil.
● L’énoncé A est vrai, l’énoncé B est faux
● Les deux énoncés sont vrais
● L’énoncé A est faux, l’énoncé B est vrai
● Les deux énoncés sont faux
A
La dysesthésie occlusale :
● A. C’est une dysfonction du système nerveux central avec désorganisation du cortex sensoriel
● B. Elle a une haute incidence de comorbidité de troubles psychologique
● C. Se manifeste secondaire à un trouble psychologique
● D. Réponses A et B
● E. Réponses A et C
D
Les signes de la neuropathie post-traumatique du trijumeau incluent:
● Intensité de la douleur associée avec degré de sévérité de la lésion initiale
● Période réfractaire de la douleur durant stimuli continuel
● Dysésthesie avec ou sans douleur
● Soulagée par analgésique anti-inflammatoire non-stéroïdienne
C
Une femme de 55 ans se présente avec une douleur unilatérale de chocs électriques dans la distribution de la troisième branche du nerf trijumeau droite, qui a débuté il y a quelques semaines après l’extraction simple de la dent #18. La douleur est sévère, elle est déclenchée par un simple toucher de la lèvre inférieure droite, avec une durée de quelques secondes seulement. Quel est le diagnostic probable?
● Neuropathie post-traumatique du trijumeau
● Névralgie post-herpétique
● Névralgie cervicogénique
● Névralgie du trijumeau
D
Quelle est la définition de la douleur neuropatique :
● Douleur qui survient en conséquence directe d’une lésion ou maladie affectant le système somatosensoriel
● Une douleur qui se manifeste sans lésion organique suite à l’état psychologique du patient
● Aucune de ces réponses
● La douleur qui provient de l’activation des nocicepteurs en réponse d’une lésion physique ou une stimulation avec potentielle de causer un dommage tissulaire
A
Laquelle ou lesquelles des conditions suivantes peut (peuvent) causer une douleur d’ordre neuropathique?
● A. La sclérose en plaque
● B. Le virus de l’immunodéficience humaine
● C. Maladie métabolique tel le diabète
● D. Toutes les réponses sont bonnes
● E. Seulement les réponses A et B
A
Suite à une obturation profonde de la dent #46 ton patient appelle le bureau en panique car la dent lui fait vraiment mal. Son historique médical est positif pour somatisation et comportement obsessionnel. Lors de l’examen tu remarques une légère surocclusion sur l’obturation de la #46. Quel est le meilleur traitement pour ce patient:
● Tu diagnostiques la dysesthésie occlusale, ajuste l’occlusion et ensuite réfère à un psychologue
● Tu diagnostiques une pulpite irréversible et recommande l’endodontie
● Tu diagnostiques la dentisterie iatrogénique, rassure le patient et ajuste l’occlusion
● Comportement du patient sous-entend condition psychologique; réfère à un psychologue immédiatement
C
A. La dysesthésie occlusale est une condition psychologique.
B. La thérapie psychologique fait partie de la gestion de la dysesthésie occlusale.
● Les 2 énoncés sont faux
● Les 2 énoncés sont vrais
● L’énoncé A est faux et l’énoncé B est vrai
● L’énoncé A est vrai et l’énoncé B est faux
C
A. Plus une personne a des habitudes parafonctionelles, plus elle est à risque de développer un désordre temporo-mandibulaire.
B. La douleur cervicale est un facteur de risque moins important que la colonne irritable pour qu’une douleur orofaciale aigue devienne une douleur chronique.
● L’énoncé A est vrai et l’énoncé B est faux
● Les 2 énoncés sont faux
● L’énoncé A est faux et l’énoncé B est vrai
● Les 2 énoncés sont vrais
A
La douleur chez un patient ayant une neuropathie post-traumatique du trijumeau peut-être déclenchée par :
● De forts bruits
● Un changement de la température d’une pièce
● Par le type de nourriture mangée (croustillante versus molle)
● Une lumière intense
B
Un patient rapporte une augmentation de ces migraines depuis qu’un dentiste lui a prescrit de l’ibuprofen 400 mg quatre fois par jour pris pendant 3 semaines. Tu soupçonne que le patient :
● A développé une céphalée secondaire a l’utilisation excessive d’analgésique
● Essai d’avoir une prescription d’opiacée
● A développé une intolérance a la médication
● Aucune de ces réponses
A
Laquelle des conditions suivantes en douleur orofaciale peut nécessiter une intervention immédiate :
● Céphalée cervicogène
● Inflammation du ligament stylohyoïdien
● Céphalée attribuée à la surconsommation de médicaments
● Artérite temporale
D
Un coup de lapin ne peut pas déclencher un désordre temporo-mandibulaire primaire ou secondaire.
F
Patient, de nature anxieuse, se plaint de douleur dentaire sévère au niveau du quadrant 1, présente depuis quelques jours, surtout lorsqu’il penche la tête par en avant. Lors de l’examen clinique on observe une sensibilité à la percussion des dents #17, #16 et #15, une usure dentaire généralisée de niveau modérée, tests de vitalité normaux dans le quadrant 1 et une douleur localisée à la palpation du masséter gauche. Il est fort probable que ce patient souffre de:
● De douleur temporo-mandibulaire
● Rhinosinusite
● De céphalée attribuée à un désordre de l’homéostasie
● Douleur psychogène
B
Un patient de 70 ans se présente avec une douleur soudaine et constante dans la tempe côté droit depuis 3 jours sans identifier l’élément déclencheur. Il a aussi remarqué qu’il a parfois de la difficulté à mastiquer la nourriture. Lors de l’examen, tu remarques des vaisseaux sanguins proéminents qui sont douloureux à la palpation au niveau de la tempe droite qui reproduit la plainte principale. Quelle est le diagnostic probable :
● Aucune de ces réponses
● Artérite temporale
● Céphalée associée désordre temporo-mandibulaire
● Arthrite de l’articulation temporo-mandibulaire
B