chapitre 2: L'ecole coranique/ la visite du sanctuaire Flashcards
(20 cards)
Q1. A quoi était consacré le mardi au Msid?
* A. Au repas collectif.
* B. A la révision des chapitres du Coran.
* C. Au nettoyage de l’école.
Réponse B Le mardi était consacré à la révision des
chapitres du coran appris depuis l’entrée au Msid.
Q2. Comment le narrateur considère-t-il ce jour?
* A. Comme un jour de fête
* B. Comme un jour ordinaire
* C. Comme un jour néfaste avec une nuit peuplée de cauchemars
Réponse: C. Il le voit comme un jour néfaste et malheureux car, durant ce jour, le Fqih avait
un regard impitoyable et les coups de sa baguette de cognassier étaient source de
cauchemars et de souffrances.
Q3. Pourquoi Lalla Zoubida reçut-elle froidement son fils à son retour du Msid?
* A. Elle souffrait d’une terrible migraine.
* B. Elle était occupée à faire la lessive.
* C. Elle était en colère.
Réponse A Elle souffrait d’une terrible migraine. « Ma mère me
reçut assez froidement. Elle souffrait d’une terrible migraine. »
Q3. Qui est Lalla Aïcha ?
* A. Lalla Aïcha est une ancienne voisine de la famille du Sidi Mohammed.
* B. la mère de Lalla Zoubida.
* C. La sœur de Maâlem Abdeslem.
Réponse: A . Lalla Aïcha est une ancienne voisine de la famille du
narrateur et l’amie intime de sa mère
Q4. Quel conseil donna-t-elle à la mère du narrateur?
* A. Faire un don au fqih.
* B. Aller visiter Sidi Ali Boughaleb.
* C. Aller consulter un médecin.
Réponse : B. Elle lui conseilla d’aller visiter Sidi Ali
Boughaleb pour soulager ses maux
- Q5. Quel sentiment Lalla Aïcha inspirait-elle à l’enfant?
- A. Un sentiment de dégoût.
- B. Une certaine pitié.
- C. Un certain malaise
Réponse: A. Elle lui inspirait un sentiment de dégoût. « Son
visage lisse et rond m’inspirait un certain dégoût. Je n’aimais
pas qu’elle m’embrassât.»
Q6. D’après Lalla Aïcha, à quoi servirait la visite de Sidi Ali Boughaleb?
* A. À respirer le grand air.
* B. À faire revenir le mari.
* C. À guérir la mère et l’enfant.
Réponse: C . la visite de Sidi Ali Boughaleb servirait à
guérir la mère et l’enfant. « Il retrouverait sa gaîté et sa
force / c’est Dieu qui m’envoie pour te secourir, t’indiquer
la voie de la guérison. »
Q7. Quel sens donnez-vous au mot catafalque?
* A. Estrade sur laquelle est placé le cercueil.
* B. L’estrade sur laquelle les pèlerins font la prière.
* C. La chambre des pèlerins
Réponse: A. Estrade sur laquelle est placé le cercueil.
Q8. Qu’arriva-t-il au petit garçon lors de la visite du Mausolée?
* A. Il a été griffé par un chien.
* B. Il a été griffé par un chat.
* C. Il a été giflé par sa mère.
Réponse: B. Il a été griffé par un chat. « Un gros matou…
ronronna et m’envoya un magistral coup de griffe. Le sang gicla/
La blessure me faisait mal et je hurlais sans discontinuer. »
Q9. Pourquoi le petit garçon n’ira-t-il pas au Msid le mercredi?
* A. Il n’avait pas préparé ses leçons.
* B. Il était fatigué.
* C. Il voulait accompagner son père.
Réponse: B. Il était fatigué. «Ce matin, j’entendis mon
père lui chuchoter : - Ne l’envoie pas au Msid, il semble
bien fatigué. »
Q10. Combien de jours durerait “le congé” du petit garçon?
* A. Trois jours et demi.
* B. Quatre jours et demi.
* C. Deux jours et demi.
Réponse: C. Deux jours et demi.« Nous étions mercredi, le jour
suivant était ordinairement jour de congé et le vendredi l’école
n’ouvrait qu’après la prière de midi. J’avais devant moi deux jours et
demi. »
Q12. Depuis combien d’années la famille du narrateur habitait-elle Dar Chouafa?
* A. Six ans.
* B. Deux ans.
* C. Trois ans
Réponse: C. Trois ans. « Depuis trois ans que nous habitions
ensemble, elles avaient répété les mêmes phrases chaque matin. »
Q11. Quel est le cérémonial des matinées à Dar Chouafa ?
* A. les habitants se réveillent chacun à son rythme et échangent des salutations d’usage.
* B. Les habitants se disputent chaque jour.
* C. Les habitants brûlaient des aromates.
Réponse: A . les habitants se réveillent chacun à
son rythme et échangent des salutations d’usage
Q13. Comment s’appelait le mari de Fatma Bziouya et quel est son métier?
* A. Allal, un jardinier.
* B. Abdeslem, un jardinier.
* C. Abdallah, un cuisinier.
Réponse: A. Allal, un jardinier. « Allal, le mari de
Fatma Bziouya, jardinier de son état. »
Q14. Qui était Driss le teigneux?
* A. L’associé du Maâlem Abdeslem.
* B. Un apprenti du Maâlem Abdeslem.
* C. Le frère de Zoubida.
Réponse: B. Un apprenti du Maâlem Abdeslem.
Q15. Qu’est-ce qui montre que la famille du narrateur est assez aisée ?
* A. Leur maison est composée de trois pièces.
* B. La famille peut se permettre de manger de la viande trois à quatre fois par semaine.
* C. La famille peut se permettre d’inviter les voisins chaque semaine
Réponse: B. La famille peut se permettre de manger de la viande trois à quatre fois
par semaine. « La situation de mon père était assez prospère. Nous pouvions
nous permettre de manger de la viande trois à quatre fois par semaine. »
Q16. Quel était le métier du père du narrateur?
* A. Un tisserand.
* B. Un jardinier.
* C. Un fabricant de charrues.
Réponse: A. Un tisserand de couvertures. « Il s’acheta donc un
minimum de matériel, loua un coin dans un atelier et
s’installa tisserand.
Q17. À combien de Kilomètres de Fès se trouvait le village d’origine du père du
narrateur?
* A. À 100 Kilomètres.
* B. À 150 Kilomètres.
* C. À 50 Kilomètres.
Réponse: C. À 50 Kilomètres. « Papa, d’origine montagnarde
comme ma mère…son village situé à une cinquantaine de
kilomètres de la grande ville. »
Q18. Quel est le seul jour de la semaine où Maâlem Abdeslem déjeunait-il avec
sa famille?
* A. Le dimanche.
* B. Le vendredi.
* C. Le samedi.
Réponse: B . Le vendredi. « Driss venait… au milieu du jour chercher le
déjeuner de son patron. Mon père mangeait à l’atelier. Il venait
seulement le soir après la dernière prière. Le vendredi faisait
exception. »
Q19. Quel cadeau offrit Rahma au petit garçon?
* A. Une pièce d’un franc.
* B. Des beignets.
* C. Un cabochon de verre.
Réponse: C. Un cabochon de verre. « Rahma… me glissa un objet dans la
main un objet lisse et froid…C’était un gros cabochon de verre. »