CMS Flashcards

1
Q

À quoi servent les modèles de raisonnement qualitatifs spatiaux-temporels ?

A

À pallier le problèmes de logique des systèmes en apprentissage (ML) qui ne savent pas créer les bons liens logiques (spatiaux et temporels)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Que signifie QSTR ?

A

Qualitative Spatial and Temporal Reasoning

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Relations de base de RCC8

A
  • DC : disconnected
  • EC : externally connected
  • PO : partially overlaps
  • EQ : equals
  • TPP : tangential proper part
  • NTPP : non-tangential propre part
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Relations de base de l’algèbre des intervalles

A
  • p : precedes
  • m : meets
  • o : overlaps
  • s : starts
  • d : during
  • f : finishes
  • eq : equals
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Que signifie QCL ?

A

Qualitative Constraint Language

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Définition d’un QCL

A

Un QCL est basé sur un ensemble B fini de relations de base et qui a les propriétés suivantes :
- les relations de bases sont définies sur un domaine infini D
- les relations de base sont JEPD
- B contient l’identité
- B est clos par inversion
- 2B</sub> est équipé de l’union, l’intersection, l’inverse et la composition faible

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Que signifie JEPD ?

A

Jointly Exhaustive & Pairwise Disjoint

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Quelles sont les propriété du domain des relations de bases d’un QCL ?

A

Il correspond à une entité spatiale ou temporelle et est infini, ce qui rend généralement les relations de bases infinies également : elles correspondent à des ensembles infinis de tuples acceptés

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Qu’est-ce qu’un ensemble de relations de base jointly exhaustive ? (formule)

A

Une ensemble de relations de base B tel que ⋃{b ∈ B} = D × D × … × D

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Qu’est-ce qu’un ensemble de relations de base pariwise disjoint ? (formule)

A

Une ensemble de relations de base B tel que ∀ b, b’ ∈ B, b != b’ ⇒ b ∩ b’ = ∅

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Qu’est-ce qu’un ensemble de relations de base qui vérifie la propriété JEPD ? (langage naturel)

A

Un tuple de ϵ éléments de D, le domaine des relations de base de l’ensemble, peut satisfaire au plus une seule relation de base de B

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Qu’est-ce qui est exprimé par l’ensemble des relations de base d’un ensemble B ?

A

Une connaissance définie entre un certain nombre d’entités (arité des relations)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Qu’est-ce qui est exprimé par un sous-ensemble de relations de base d’un ensemble B ?

A

{b1, …, bj} avec j < |B| correspond à b1 ∪ … ∪ bj, qui représente une certaine connaissance indéfinie

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Soit B un ensemble de relations de base, qu’est-ce que 2B ?

A

L’ensemble des sous-ensembles de relations possibles, donc la connaissance définie et indéfinie entre les entités

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Qu’est-ce qu’un tuple qui satisfait une relation de base b ?

A

(x1, …, xϵ) ∈ Dϵ tel que (x1, …, xϵ) ∈ b

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Qu’est-ce qu’un tuple qui satisfait un sous-ensemble de relations de base r ∈ 2B ?

A

(x1, …, xϵ) ∈ Dϵ tel que ∃ b ∈ r, (x1, …, xϵ) ∈ b

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Relations de base de l’algèbre des points

A
  • < : precedes
  • = : equals
  • > : follows
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Domaine de RCC8

A

L’ensemble Treg des sous-ensembles réguliers non-vides et fermés d’un espace topologique T

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Domaine de l’algèbre d’intervalle

A

{ x = (x-, x+) ∈ {Q}2 | x- < x+}

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

Domaine de l’algèbre de points

A

{Q}

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

Inverse d’une relation de base b

A

b-1 = {(y, x) | (x, y) ∈ b}

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

Inverse d’un sous-ensemble r de l’ensemble des relations de base B

A

r-1 = {b-1 | b ∈ r}

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

Composition de deux relations de base b et b’

A

b ∘ b’ = {(x, z) ∈ D2 | ∃ y ∈ D, (x, y) ∈ b ∧ (y, z) ∈ b’}

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

Composition de deux sous-ensembles r et r’ de l’ensemble des relations de base B

A

r ∘ r’ = ⋃{b ∘ b’ | b ∈ r, b’ ∈ r’}

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Composition faible de deux relations de base b et b'
b ⋄ b' = {b'' ∈ B | b'' ∩ (b ∘ b') != ∅}
26
Composition faible de deux sous-ensembles r et r' de l'ensemble des relations de base B
r ⋄ r' = ⋃{b ⋄ b' | b ∈ r, b' ∈ r'}
27
Principe de la composition faible de deux relations de base
Plus petite relation r ∈ 2B qui contient b ∘ b'
28
Axiomes d'une relation algébrique au sens de Tarski
- Commutativité de ⋃ - Associativité de ⋃ - Axiome d'Huntington : !(!r ∪ !s) ∪ !(!r ∪ s) = r - Commutativité de ⋄ - Associativité de ⋄ - Loi de l'identité : r ⋄ Id = r - Involution de -1 : (r-1)-1 = r - Distibutivité de -1 : (r ∪ s)-1 = r-1 ∪ s-1 - Distributivité involutive de -1 : (r ⋄ s)-1 = r-1 ⋄ s-1 - Axiome de Tarski : r-1 ⋄ !(r ⋄ s) ∪ !s = !s
29
Clôtures de 2B
2B est clos par composition faible, union, intersection et inversion
30
Définition d'un sous-classe de relations
Une sous-classe de relations est une partie A ⊆ 2B qui contient les relations-singletons de 2B et de B, et qui clos sous inversion, intersection et composition faible
31
Que signifie QCN ?
Qualitative Constraint Network
32
Définition d'un QCN
Un QCN d'un QCL est un tuple (V, C) tel que - V est un ensemble de variables sur le domaines infini D du langage - C est un mapping de V2 dans 2B, qui associe un sou-ensemble de relations de base à chaque paire de variables de V
33
Propriétés des contraintes C de QCN
Elles sont binaires et normalisées : ∀ v, v' ∈ V, C(v, v') = (C(v', v))-1
34
Comment s'assurer de l'application de la condition de normalisation dans un QCN ?
Pour toute contrainte C, en appliquant : - C(i, j) ← (C(j, i))-1 ∩ C(i, j) - C(j, i) ← (C(i, j))-1 ∩ C(j, i)
35
Qu'est-ce qu'un QCN trivialement incohérent ?
N = (V, C) est trivialement incohérent si et seulement si ∃ v, v' ∈ V, C(v, v') = ∅
36
Qu'est-ce qu'une solution pour une QCN ?
Une solution de N = (V, C) est un mapping σ : V → D tel que ∀ v, v' ∈ V, ∃ b ∈ C(v, v') tel que (σ(v), σ(v')) ∈ b
37
Qu'est-ce qu'un QCN satisfiable (ou cohérent) ?
N = (V, C) est cohérent (ou satisfiable) si et seulement si il admet une solution
38
Qu'est-ce qu'un sous-QCN ?
Un QCN N' = (V, C') est un sous-QCN de N = (V, C), noté N' ⊆ N, si ∀ u, v ∈ V, C'(u, v) ⊆ C(u, v)
39
Qu'est-ce qu'un scenario d'un QCN ?
Un scénario d'un QCN N = (V, C) est un sous-QCN S ⊆ N cohérent et atomique
40
Qu'est-ce qu'un QCN atomique ?
N = (V, C) est atomique si et seulement si ∀ v, v' ∈ V, |C(v, v')| = 1
41
Complexité du problème de satisfiabilité d'un QCN sur la plupart des langages
NP-complet
42
Complexité du problème de satisfiabilité d'un QCN sur l'algèbre des points
P-TIME
43
Complexité du problème de satisfiabilité d'un QCN sur l'algèbre des intervalles (schéma de preuve)
- Chaque littéral de 3-sat et sa négationassocié à une paire d'intervalles - Chaque paire d'intervalles associée à une troisième intervalle "middle" - Pour chaque intervalle, si elle est avant middle, sont littéral associé prend "faux" sinon il prend "vrai" - La CNF instance de 3-SAT doit être construite de façon à ce qu'au plus deux intervalles correspondantes aux littéraux d'une même clause sont avant "middle"
44
Qu'est-ce que le problème d'étiquetage minimal ?
Soient N = (V, C) un QCN et C(u, v) une contrainte, le problème d'étiquetage minimal consiste à décider si C contient des relations de base infaisables,c'est-à-dire telles qu'il n'existe aucun scénario qui les contienne
45
Complexité du problème d'étiquetage minimal
Le problème d'étiquetage minimal peut être réduit au problème de satisfiabilité d'un QCN, il a donc la même complexité
46
Qu'est-ce que le problème de redondance ?
Soient N = (V, C) un QCN et C(u, v) une contrainte, le problème d'étiquetage minimal consiste à décider si C est impliqué par les autres contraintes de N
47
Complexité du problème de redondance
Le problème de redondance peut être réduit au problème de satisfiabilité d'un QCN, il a donc la même complexité
48
Qu'est-ce qu'un réseau G-cohérent ?
Soit N = (V, C) un QCN et G = (V, E) un graphe, N est G-cohérent si et seulement si ∀ {vi, vj}, {vj, vk}, {vi, vk} ∈ E, C(vi, vj) ⊆ C(vi, vk) ⋄ C(vk, vj), c'est-à-dire si tous les triplets de variables qui correspondent à des triangles dans G sont clos par composition faible
49
Qu'est-ce qu'un réseau ⋄-cohérent ?
Un réseau G-cohérent pour lequel G est complet
50
Propriété des réseaux atomiques ⋄-cohérents
Pour les algèbres de points et d'intervalle et pour RCC8, tout réseau atomique ⋄-cohérent est satisfiable
51
Complexité de vérifier si un réseau est G-cohérent
On doit visiter tous les triangles de G : O(O(|V|3) si G est complet et O(∆ · |E|) sinon
52
Qu'est-ce que la procédure de clôture algébrique ?
Soit N = (V, C) un QCN et G = (V, E) un graphe, il s'agit d'appliquer l'opération suivante jusqu'à atteindre un état stable : ∀ {vi, vj}, {vj, vk}, {vi, vk} ∈ E, C(vi, vj) ← C(vi, vj) ∩ (C(vi, vk) ⋄ C(vk, vj))
53
Algorithme naïf de clôture algébrique
- Pour tout triplet {vi, vj}, {vj, vk}, {vi, vk} de E, appliquer C(vi, vj) ← C(vi, vj) ∩ (C(vi, vk) ⋄ C(vk, vj)) - Si une contrainte C(vi, vj) a été modifiée, répéter l'étape précédente
54
Complexité temporelle et spatiale de l'algorithme naïf de clôture algébrique
- Temporelle : On refait l'étape de tous les triplets au plus pour O(|E|) contraintes, O(|B|) fois, donc au total : O(∆ × |E|2 × |B|) - Spatiale : O(1)
55
Algorithme SOTA de clôture algébrique (PWC)
- Pour tout triplet {vi, vj}, {vj, vk}, {vi, vk} de E, appliquer C(vi, vj) ← C(vi, vj) ∩ (C(vi, vk) ⋄ C(vk, vj)) - Si une contrainte C(vi, vj) a été modifiée, revisiter les contraintes qui ont pu être affectées par cette modification, c'est-à-dire celles qui forment un triangle avec C(vi, vj), qui sont au plus Δ
56
Complexité de l'algorithme SOTA de clôture algébrique
- Temporelle : On refait l'étape de tous les triplets au plus pour O(|E|) contraintes, O(|B|) fois, et la révision coûte O(∆ × |E|) donc au total : O(∆ × |E| × |B|) - Spatiale : O(|E|)
57
Qu'est-ce que G(N) ?
La clôture algébrique de N
58
Correction de la G-cohérence
Soit N = (V, C) un QCN et G = (V, E) un graphe, si ∅ ∈ G(N), alors N est insatisfiable
59
Complétude de la G-cohérence
La clôture algébrique n'est pas complète
60
Propriétés de G(N) vis-à-vis de N
- Dominance : G(N) est le plus grand sous-QCN cohérent de N - Équivalence : G(N) est équivalent à N - Idempotence : G(G(N)) = G(N) - Monotonie : Si N' ⊆ N, G(N') ⊆ G(N)
61
Lien entre la tractabilité des QCN et des sous-classes de relations
Une sous-classe de relations A est tractable si et seulement si la classe des QCN définis sur A est tractable, c'est-à-dire si la satisfiabilité de chaque QCN de la classe peut-être décidé satisfiable (ou non) en temps polynomial
62
Comment vérifier qu'un QCN sur l'algèbre des intevalles est tractable en utilisant la Horn-satisfiabilité ?
- Transformer chaque intervalle du QCN en la formule suivante : x- ≤ x+ ∧ x- != x+ - Pour chaque contrainte, la convertir en CNF grâce à la théorie des ordres partiels et vérifier si la formule est Horn : elle contient au plus un littéral positif et un nombre arbitraire de littéraux négatifs - Si toutes les formules sont de Horn, le QCN est Horn-satisfiable et donc tractable
63
Lien entre la ⋄-cohérence des QCN et les sous-classes de relations
Tout QCN défini à partir d'une sous-classe de relations tractable peut être réécrit en un QCN ⋄-cohérent atomique
64
Qu'est-ce qu'une sous-classe de relations maximale ?
Une sous-classe de relations A qui n'est contenue dans aucune autre
65
Qu'est-ce qu'une sous-classe de relations distributive ?
Une sous-classe de relations A telle que la composition faible est distributive sur les intersections non-vides, c'est-à-dire si pour toutes relations r, s, t telles que (s ∩ t) != ∅ - r ⋄ (s ∩ t) = (r ⋄ s) ∩ (r ⋄ t) - (s ∩ t) ⋄ r = (s ⋄ r) ∩ (t ⋄ r)
66
Qu'est-ce qu'un sous-ensemble de relations convexe ?
r = {r1, ..., n} ⊆ 2B est un sous-ensemble de relations convexe si ∀ ri, rj ∈ r, ∀ x1, x2, (x1 < r < x2, x1 r1 y et x2 r2 y) ⇒ x {r1, r2} y
67
Relation entre la convexité et la distributivité
Les sous-classes de relations distributives sont convexes au sens de Helly
68
Qu'est-ce qu'une sous-classe de relations qui a la propriété d'Helly ?
Une sous-classe de relations A a la propriété d'Helly si et seulement si pour tout sous-ensembles de n relations {r1, ..., rn}, ⋂i=1..n ri != ∅ si et seulement si ∀ i, j ∈ {1, ..., n}, ri ∩ rj != ∅
69
Lien entre la distributivité et la propriété d'Helly
Une sous-classe de relations est distributive si et seulement si elle a la propriété d'Helly
70
Quand est-ce qu'un QCN ⋄-cohérent défini à partir d'une sous-classe de relations distributive est-il minimal (ne contient aucune relation de base infaisable) ?
Lorsque chaque QCN ⋄-cohérent atomique du langage est satisfiable (comme on l'a vu pour l'algèbre des points et des intervalle, et RCC8)
71
Lien entre la distributivité et la tractabilité
Les sous-classes de relations distributives sont tractables
72
Comment identifier une sous-classe de relations distributive maximale ?
En regardant s'il existe un sous-ensemble Z ⊆ 2B tel que ^(^(B) ∪ Z) est distributif, ce qui peut être fait en brute force
73
Qu'est-ce que N ⋓ N' ?
Soient N = (V, C) et N' = (V', C') deux QCN avec le même étiquetage sur V ∩ V', alors N ⋓ N' est le réseau construit comme suit - V'' = V ∪ V' - ∀ (u, v) ∈ (V \ V') × (V' \ V), C''(u, v) = C''(v, u) = B - ∀ u, v ∈ V, C''(u, v) = C(u, v) - ∀ u, v ∈ V', C''(u, v) = C'(u, v)
74
Qu'est-ce que la propriété du patchwork ?
Une sous-classe de relations A ⊆ 2B a la prorpiété du patchwork si et seulement si pour toute paire de réseaux N, N' ⋄-cohérents et non trivialement incohérents définis sur A et avec le même étiquetage sur V ∩ V', N ⋓ N' est satisfiable
75
Qu'est-ce que le graphe de contraintes (ou graphe primal de contraintes) d'un QCN ?
G = (V, E) tel que (u, v) ∈ E si et seulement so C(u, v) != B
76
Lien entre la propriété du patchwork et le graphes de contraintes (énoncé)
Soit A une sous-classe de relations avec la propriété du patchwork et soit N un QCN défini sur A, alors si N est G-cohérent et non trivialement incohérent, et que G est un graphe cordal tel que G(N) ⊆ G, alors N est satisfiable
77
Lien entre la propriété du patchwork et le graphes de contraintes (explication)
Lorsqu'on applique la G-cohérence sur un graphe cordal G tel que G(N) ⊆ G, on peut considérer les QCN plus petits qui sont tous des cliques et deviennent donc G-cohérent , puis appliquer la propriété du patchwork pour les réunir en un seul réseau satisfiable
78
Qu'est-ce qu'un graphe cordal ?
Soit G = (V, E) un graphe, G est cordal si tout cycle de taille supérieure à 3 a une corde, c'est-à-dire une arête connectant deux sommet non-adjacent du cycle
79
Lien entre les graphes cordaux et la décomposition arborescente
Un graphe est cordal si et seulement s'il a une décomposition arborescente (T, {X1, ..., Xn}) où Xi où Xi est une clique de G
80
Exemple de sous-classes avec la propriété du patchwork
Toutes les sous-classes de relations maximales tractables pour les alèbres de points et d'intervalles et pour RCC8 ont la propriété du patchwork
81
Comment fonctionne l'algorithme qui permet de passer de la G-cohérence à la satisfiabilité ?
L'idée est de considérer chaque contrainte d'un QCN N et de la séparer en relations ri appartenant à la sous-classe de relations A sur laquelle les QCN sont tractables, puis à chaque fois qu'une relation r est changée en une de ses sous-relations, vérifier que le changement est valide et continuer, ou alors backtracker si on se rend compte qu'il n'est pas valide
82
Algorithme qui permet de passer de la G-cohérence à la satisfiabilité (entrée, sortie, algorithme)
- Entrée : N un QCN, G un graphe, A une sous-classe de relations de 2B - Sortie : Null, ou N modifié pour être sur A - Cohérence(N, G, A) : - N ← SOTA(N, G) - S'il existe u, v tels que C(u, v) = ∅, renvoyer NULL - Si pout tou u, v, C(u, v) ⊆ A, renvoyer N - Choisir une contrainte C(u, v) !⊆ A - Spliter C en r1, ..., rk ∈ A - Pour chaque ri - N[u, v] ← r, N[v, u] ← r-1 - Résultat ← Cohérence(N, G, A) - Si Résultat != NULL, renvoyer Résultat - renvoyer NULL
83
Quelles sont les heuristiques possibles d'ordre dans les choix de contraintes pour l'algorithme de cohérence ?
- MRV (Minimum Remaining Values) - LCV