Conclusion Flashcards
(11 cards)
Texte 1 Candide ou l’Optimisme
Dans ce texte argumentatif, Voltaire dénonce l’esclavage en suscitant l’indignation du lecteur par plusieurs moyens. Le témoignage choquant de l’esclave qui décrit sa souffrance et la critique de M.Vanderdendur illustre l’hypocrisie des colons qui profitent de l’exploitation des esclaves. En mettant en lumière la déshumanisation des victimes et en appelant à la réflexion, Voltaire incite le lecteur à prendre conscience des injustices de l’époque et à ressentir une révolte face à cette barbarie.
Texte 2 Olympe de Gouges (préambule)
Pour conclure, nous pouvons dire que l’égalité est essentielle pour une société en paix. Les auteurs engagés, à travers leurs œuvres, dénoncent les injustices et les oppressions, qui sont souvent sources de tensions, voire de révoltes. Mais leur objectif est avant tout de faire réagir le peuple et le gouvernement sur ces inégalités pour établir une société plus juste. Enfin, ils lancent un appel fort à la solidarité entre les citoyens, comme le fait Olympe de Gouges, afin de créer un climat uni, où chacun a sa place.
Texte 3 Olympe de Gouges (postambule début)
En conclusion, dans ce postambule, Olympe de Gouges dévoile une stratégie à la fois autoritaire et sensible pour convaincre les femmes de se mobiliser. Par un ton engagé et des procédés forts, elle cherche à éveiller leur conscience, à dénoncer l’injustice de leur condition et à les inciter à agir. Olympe de Gouges fait ainsi d’elles des actrices du changement.
Texte 4 Olympe de Gouges (postambule 2ème partie)
Grâce aux divers procédés rhétoriques, Olympe de Gouges dénonce les travers d’une société patriarcale qui limite la femme à un rôle méprisable. Olympe de Gouges souhaite mettre en lumière la femme comme protagoniste de la société et dénoncer un Ancien régime ou la femme est dévalorisée. Olympe de Gouges s’appuie également sur l’esclavage pour mettre en parallèle la question d’égalité entre les blancs et les noirs et entre les hommes et les femmes.
Texte 5 : Cyrano de Bergerac
La parole éloquente de Cyrano révèle un amour sincère pour Roxane. En effet, Roxane estime que la sincérité se prouve par une qualité oratoire considérable. Cyrano joue alors sur les mots et son aisance charme Roxane. Ainsi, dans cette scène du balcon, Cyrano parvient à séduire Roxane et à déclarer son amour grâce à sa maîtrise de l’art de la parole.
Texte 6 : On ne badine pas avec l’amour (Acte I, scène 2)
Pour conclure, cette scène, qui aurait dû être celle de retrouvailles heureuses, met en réalité en lumière une distance entre les deux jeunes protagonistes. Perdican exprime avec sincérité son attachement, tandis que Camille reste froide et distante, influencée par son éducation religieuse. Les interventions maladroites et ridicules des adultes viennent renforcer le comique de situation. À travers cette scène, Musset prépare le spectateur au drame amoureux qui va suivre.
Texte 7 : On ne badine pas avec l’amour
Cette fin de scène est saisissante. Perdican est représenté ici comme un personnage emblématique du héros romantique : gouverné pas ses émotions, il les exprime parce qu’elles fondent sa vision du monde et établissent les valeurs qui guident sa vie, au risque de perdre Camille. Mais derrière, le personnage, le lecteur spectateur entend Musset qui lui offre une méditation sublime sur l’urgence d’aimer au risque de regretter, quand il est trop tard de s’être trop réserver des souffrances que la passion peut entraîner.
Texte 8 : On ne badine pas avec l’amour (Acte III, scène 7)
Dans cet extrait d’On ne badine pas avec l’amour, Alfred de Musset met en lumière le caractère manipulateur et orgueilleux de Camille et Perdican. Chacun d’eux tente de garder l’ascendant sur la situation. Rosette innocente au cœur de cette stratégie devient victime de la fierté des 2 joueurs. Ainsi, l’auteur dénonce une forme de cruauté et montre que l’orgueil et la fierté peuvent avoir des conséquences dramatique.
Texte 9 : Du côté de chez Swann
L’auteur nous fait partager la magie de cette expérience involontaire en montrant comment un geste anodin, comme manger une madeleine trempée dans du thé, ravive soudainement une réminiscence. Proust parvient ainsi à transmettre l’intensité de ce plaisir immédiat et inexplicable, soulignant la puissance de la mémoire qui resurgit de manière inattendue.
Texte 10 : Sido
Dans ce portrait, Colette peint sa mère comme un esprit libre, prompt à s’écarter des sentiers battus. Elle évoque aussi sa capacité à s’émerveiller devant le spectacle quotidien de la nature. Elle célèbre « sa clarté originelle», c’est-à-dire sa capacité à voir la beauté du monde dans une anecdote pétillante. Cet hommage est original car Colette ne masque pas les aspects plus contestables de la personnalité de sa mère: son indifférence aux autres, sa singularité assumée.
Texte 11 Sido