Cours 2 Flashcards
(54 cards)
Dans certaines situations, le cortex cérébral contribue à inhiber l’efficacité de certains réflexes.
V
Le contrôle des mouvements de poursuite visuelle est assuré d’abord par le cortex visuel.
V
Une lésion au centre du chiasma optique résulte en une perte de vision de la partie centrale du champ visuel.
F
Une lésion implique la portion interne de la rétine dont les informations sont croisés au chiasme optique à
perte de la partie externe du champ visuel
Toute l’information afférente que reçoivent les noyaux vestibulaires du tronc cérébral provient du système vestibulaire.
F
Arrivée d’information de la part du SNP et du SNC
les nystagmus liés à une lésion du système nerveux périphérique sont souvent transitoires parce qu’il y a une adaptation du système nerveux central.
V
Le réflexe optocinétique s’active lors de mouvements rapides de la tête
F
S’active pendant les mouvements lents de la tête.
L’intégrité de la voie vestibulo-cérébelleuse est importante pour le contrôle du gain du réflexe vestibulo-occulaire.
V
Lorsque l’on se tient debout, la macula de l’utricule est en position verticale par rapport au sol.
F
La macula est parallèle au sol lorsqu’on est en position debout
La production de mouvements oculaires normaux nécessitent quatre types d’informations : de l’information sur les mouvements de la tête, de l’information visuelle, de l’information proprioceptive sur le mouvement des yeux et leur position et de l’information en lien avec la sélection d’une cible visuelle.
V
L’information visuelle relayée par les collicules supérieurs est utilisée entre autres pour coordonner les mouvements oculaires avec les mouvements de la tête.
V
Les aires corticales visuelles associatives sont impliquées dans la reconnaissance des formes, des grandeurs et des textures
F
Elles sont impliquées dans le traitement des couleurs et des déplacements. C’est le cortex visuel primaire qui
est impliqué dans la reconnaissance des formes, des grosseurs, des textures et des contrastes
c’est dans le cortex visuel primaire (V1)
Dans une certaine mesure, le système vestibulaire contribue au maintien de l’intégrité de l’image du corps
V
Les signes cliniques liés à une lésion centrale du système vestibulaire sont souvent associés à l’atteinte d’autres fonctions.
V
Le système vestibulaire n’est essentiel que pour le contrôle postural.
F
Contribue aussi à la stabilisation du regard, des fonctions autonomiques et consciente et de la transmission de
l’info sensorielle sur les mouvements de la tête et sa position par rapport à la gravité.
Le gain du réflexe vestibulo-oculaire est contrôlé par le cortex cérébral.
F
Contrôler par le vestibulo-cervelet
Lors de la manœuvre de Hallpike, on s’attend à ce que la personne ressente des étourdissements à cause de la présence de cristaux dans les canaux semi-circulaires des deux oreilles.
F
Entraine des vertiges et du nystagmus
Une personne est incapable de dessiner un bouquet de fleur placé devant mais peut tout de même dessiner un bouquet de fleur en se fiant sur sa mémoire. On doit envisager que la région du lobe temporal a été lésée.
V
La saccade est le mouvement des yeux qui permet de rapidement déplacer le regard d’un endroit à un autre.
V
La perception de la décélération d’un ascenseur est réalisée grâce aux signaux nerveux transmis pas l’utricule.
F
Les signaux sont transmis par le saccule qui détecte entre autres les déplacements verticaux
La transformation du signal lumineux en message nerveux se fait au niveau de la rétine, par l’entremise de cellules spécialisées.
V
Les neurones du cortex visuel primaire sont activés par des caractéristiques très distinctes de la scène visuelle
V
Le déplacement des yeux vers sa droite constitue un mouvement conjugué
V
Une lésion du faisceau longitudinal médian affecte la coordination des mouvements des deux yeux et des mouvements de la tête.
V
Dans le mal des transports, c’est le conflit entre l’information vestibulaire et l’information de la vision centrale qui cause les nausées.
F
Conflit entre l’information vestibulaire et l’information de la vision périphérique