Cours 2 Flashcards

1
Q

Décris le paradigme biopsychosocial

A

• Dans ce paradigme, les facteurs biologiques, psychologiques et sociaux sont vus comme des degrés d’analyse.

•Les troubles mentaux résultent de leurs interactions complexes

•Ce Paradigme comporte la notion de facteurs de protection et de facteur de risque

• prédispositions= facteurs de risque

• facteurs précipitants = évènements déclencheurs

•facteur de maintien

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

À quoi correspond cette définition
«Acte d’observation attentive et intensive»

A

Évaluation psychologique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Quel est l’objectif des techniques d’évaluation psychologique?

A
  1. Examiner les facteurs cognitifs, émotionnels, liés à la personnalité
  2. Examiner les comportements associés au fonctionnement psychopathologique
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Vrai ou faux
L’évaluation psychologique n’a pas nécessairement à être précédé d’une demande

A

Faux, elle doit l’être (demande fait par la personne, un tiers, une référence d’un autre professionnel ou un tribunal)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Nomme deux facteurs pouvant influencer le type d’évaluation qui sera effectué

A

Deux parmi les suivants:

• les besoins du patient
• la sévérité des difficultés
• le contexte ( ressources financières et temps)
• le milieu (ex: cadre psycholégal)
• l’approche du professionnel

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Une [1] est un échange verbal dans lequel une personne, l’[2], se sert du langage comme principal moyen de mieux connaître une autre personne, l’[3]

A
  1. Entrevue
  2. Interviewer
  3. Interviewé
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Le paradigme adopté par l’interviewer (ex: psychodynamique) influence 3 choses lors de l’évaluation. Quelles sont elles?

A
  1. L’information recueillie
  2. L’interprétation de l’information
  3. La durée de l’évaluation
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Donne des éléments de définition/description de l’alliance thérapeutique

A

• désir de collaborer
• sentiments positifs du client envers le thérapeute (ex: attachement, sentiment d’être compris, confiance envers le thérapeute, etc.)
•processus interactionnel qui lie patient et thérapeute autour de la finalité et du déroulement de la thérapie. Croise aussi les concepts d’empathie, de relation d’aide et de transfert
• dépend de plusieurs facteurs ( personnalité du thérapeute et du client, habiletés des communications, empathie)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Nomme des thèmes abordés lors de l’évaluation

A

• informations générales (données sociodémographiques)

• motif de consultation

• histoire de la problématique actuelle (description des symptômes, conséquences des symptômes, épisodes précédents, ce que la personne fait actuellement pour s’aider)

•Anamnèse/histoire de vie (relations interpersonnelles, histoire développementale, évènements de vie bouleversants, personnes significatives dans l’histoire, tempérament, habitudes de consommation, histoire professionnelle, finance, sexualité, etc.)

• sphère pulsionnelle (aka tous les comportements que la personne met en œuvre pour s’autoréguler)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Nomme 4 catégories sur lesquelles les impressions subjectives/observations cliniques du psychologue peuvent porter lors des entrevues cliniques

A

4 parmi les suivantes:
•Apparence
• attitude (collaborant, séducteur, hostile, méfiant, etc.)
• langage
• opération de la pensée (cohérent, désorganisé, logique, etc.)
• qualité du contact avec la réalité (hallucination?)
• fonctions cognitives (mémoire, attention, concentration, etc.)
• fonctionnement intellectuel estimé
• humeur et affect (euthymique, déprimé, irritable, mobilisable, etc.)
• jugement (préservé, altéré, absent)
• autocritique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Les entrevues non-structurées sont caractérisées par des verbalisations libres. Les éléments abordés ne sont pas prédéfinis.

A) quels sont les avantages de ce type d’entrevue?
B) quels sont les désavantages de ce type d’entrevue?

A

A)
1. Le patient aborde ce qu’il veut aborder
2. Il peut se sentir plus écouté, compris
3. Favorise l’alliance

B)
1. Risque d’oublier d’évaluer certaines sphères
2. Moins fiables (2 psychologues n’évaluerons pas nécessairement de la même manière)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Les entrevues structurées sont caractérisées par une cueillette d’information standardisée, les questions sont donc préétablies
(Ex: entrevue clinique structurée pour les troubles du DSM-5)

A) quels sont les avantages de ce type d’entrevue?
B) quels sont les désavantages

A

A)
1. Fait le tour des psychopathologies
2. Permet d’évaluer une large gamme de symptômes/critères
3. Concret

B)
1. Manque de spontanéité
2. Peut inhiber le patient
3. Risque d’affecter l’alliance

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Les entrevues semi-structurées sont un hybride entre les entrevues structurées et non structurées. Les questions sont préétablies, mais il y a une possibilité d’approfondir certains points ou de poser des questions supplémentaires (ex: STIPO-R)

A) quels sont les avantages de ce type d’entrevue?
B) quels sont les inconvénients?

A

A)
1. Cueillette de données structurée
2. Données qualitatives pertinentes
3. Moins rigide que les entrevues structurées

B)
1. Manque de spontanéité
2. Peut inhiber le patient
3. Risque d’affecter l’alliance

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Qu’est-ce qu’un test psychologique?

A

Instrument standardisé qui vide à mesurer la performance d’un sujet à l’égard d’une tâche donnée ou encore à évaluer sa personnalité, ses pensées, ses sentiments et ses comportements

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Le MMPI (inventaire multiphasique de la personnalité du Minnesota) et le MCMI (million clinical multiaxial inventory) est un
A) inventaire de personnalité
B) test projectif
C) un test d’intelligence
D) un questionnaire d’autoévaluation

A

A

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Décris ce qu’est un test projectif

A

C’est un instrument d’évaluation psychologique comportant une série de stimuli standards (taches d’encre ou dessins). Son utilisation repose sur l’hypothèse que, comme le matériel n’est pas structuré, les réponses du client seront en grande partie influencées par des processus inconscients et révéleront ses véritables attitudes, motivations et modes de comportements (hypothèse projective)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Le test de Rorschach et le test d’appréciation thématique (TAT) sont des exemples de
A) inventaires de personnalité
B) questionnaires d’autoévaluatuon
C) tests projectifs
D) tests d’intelligence

A

C

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

A) À quoi servent les tests d’intelligence
B) donne des exemples de ces tests

A

A)
• évaluer capacités cognitives
• diagnostiquer troubles d’apprentissage
•cerner forces et faiblesses
• élaboration de programmes
• évaluer DI et douance
• suivre développement ou déclin des capacités intellectuelles

B)
Échelle d’intelligence Wechsler, échelle d’intelligence Stanford-Binet

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Beck dépression inventory, Beck anxiety inventory et positive and negative syndrome scales sont des exemples de
A) tests d’intelligence
B) entrevues et questionnaires d’autoévaluation
C) tests projectifs
D) inventaires de personnalité

A

B

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

Nomme des techniques d’évaluation biologique

A

L’imagerie cérébrale qui comporte:

• les techniques d’imagerie structurelle
- Tomodensitométrie (TDM)
- imagerie par résonance magnétique
(IRM)

• techniques d’imagerie fonctionnelle
- imagerie par résonance magnétique
fonctionnelle (IRMf)
- tomographie par émission
de positons (TEP)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

Quelle est l’utilité clinique de l’évaluation biologique

A

Permet des mesures objectives ainsi que de clarifier le Dx et le Tx

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

Qui suis-je
Psychologue qui s’intéresse aux effets des anomalies du cerveau sur la cognition, les affects et les comportements

A

Neuropsychologue

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

Nomme 3 objectifs de l’évaluation neuro psychologique

A

3 parmi les suivants:
• mesurer les corrélats comportementaux des fonctions cérébrales
• définir le profil caractéristique associé à un syndrome neurologique
• déterminer l’emplacement, la latéralisation et l’étiologie d’une lésion cérébrale
• déterminer la présence de déficits neuropsychologiques
• définir forces et faiblesses neuropsychologiques
• évaluer les sentiments du client face à son syndrome
• recommander un traitement

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

L’examen médical et un acte du médecin. Celui-ci s’assure que le trouble n’est pas mieux expliqué par une [1]

Si problème physique, vérifier si [2] ou [3] du problème psychologique (importance d’examiner l’historique des deux conditions)

A
  1. Maladie physique
  2. Concomitant
  3. Facteur causal
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

ÉVALUATION FONDÉE SUR LES DONNÉES PROBANTES
La prise de décision clinique intègre les meilleures preuves [1], l’[2] clinique et les [3] du patient

Évaluation basée sur des données de recherche:
• fiabilité
• validité
• caractéristiques du client (ex. Niveau de lecture, âge, antécédents)

A
  1. Scientifiques
  2. Expérience
  3. Caractéristiques
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
26
Q

Vrai ou faux
Au terme de l’évaluation, on peut en venir ou non à un Dx psychologique

A

Vrai, dans bien des situations, on partage au patient une compréhension de ses difficultés sans nécessairement émettre un Dx

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
27
Q

Qui suis-je
A) Processus d’identification d’un trouble en examinant les signes et symptômes y étant associés

B) processus de distinction entre deux ou plusieurs troubles qui partagent des signes et symptômes

A

A) Diagnostic
B) diagnostic différentiel

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
28
Q

Pourquoi le diagnostic est-il important?

A
  • offre un langage commun
  • permet d’identifier les causes et de planifier le traitement
  • Accès aux soins
29
Q

Lequel n’est pas un domaine touché par la classification diagnostique en santé mentale
A) recherche
B) pratique clinique
C) industrie pharmaceutique
D) système judiciaire
E) public
F) aucune de ces réponses

A

F

30
Q

Quelle est la distinction entre un Dx psychologique et un Dx psychiatrique

A

D’une part, le Dx psychologique décrit une DYNAMIQUE INDIVIDUELLE (forces/faiblesses, fonctions adaptatives, réactions, réactions individuelles qui déterminent une conduite). C’EST DONC LA COMPRÉHENSION INDIVIDUELLE DU CAS. L’objectif est de COMPRENDRE UNE PERSONNE ET NON UN DYSFONCTIONNEMENT. Donc on s’intéresse à ce qui singularise un individu dans une catégorie

D’autre part, dans le Dx psychiatrique on situe un cas p/r à une classification

31
Q

La classification en santé mentale a connu une évolution

À ses débuts on parlait de modèles catégoriels traditionnels (descriptifs) (1880-1930)

A) qui était le principal représentant de ce type de modèle
B) qu’est-ce qui caractérise ce modèle de classification

A

A) Émile Kraepelin
B)
• pour faire partie d’une catégorie, le patient doit en posséder toutes les caractéristiques
• Pas de variation inter-groupe et aucun cas «frontière»
• CATÉGORIES MUTUELLEMENT EXCLUSIVES
• AUCUNE COMORBIDITÉ

32
Q

En 1913, qu’est-ce que fait l’association des surintendants médicaux des asiles d’aliénés américains qui permet de mettre en lumière la nécessité d’élaborer une nouvelle approche (en termes de classification)

A

En 1913, l’association des surintendants médicaux des asiles d’aliénés américains (précurseurs de l’APA) établit un nouveau système de classification, qui retient certaines idées de Kraepelin, mais qui manque de cohérence, échoue à ériger un langage commun entre les spécialistes des psychopathologies et cela met en lumière la nécessité d’élaborer une nouvelle approche

33
Q

Selon les modèles catégoriels traditionnels, les troubles mentaux d’une même catégorie ont:
• des causes et une étiologie commune
• des trajectoires évolutives identiques
• des issues similaires et prévisibles
• des réponses homogènes au traitement

A) Sous la base de ces informations. Quelle critique peut-on adresser aux modèles catégoriels traditionnels
B) quelles sont d’autres critiques adressées au modèle

A

A) Qu’ils classifient de manière trop rigide

B)
• qu’il n’y a pas de lien entre les catégories descriptives (plusieurs systèmes descriptifs différents)
• le modèle n’instaure pas de plan de traitement efficace
• modèle n’offre pas de compréhension approfondie de la maladie

34
Q

Dans les années 1930 à 1970, il y a une montée des classifications étiologiques (dimensionnelles). Voici les 3 prémisses de cette approche:

• Conviction que le traitement des troubles mentaux ne s’améliorera que si on s’attarde aux [1] de ces problèmes plutôt qu’à la [2] des Sx

• il faut trouver le [3] des Sx et de la maladie

• Considération des [4] et de la nécessité de développer une classification plus [5]

A
  1. Causes
  2. Description
  3. Sens
  4. Différences individuelles
  5. Flexible
35
Q

Complète ce tableau des dates importantes

A) 1939: OMS ajoute les ____________ à sa liste internationale des causes de décès

B) 1948: cette liste devient la __________________________ (CIM)

C) 1952: Publication du manuel diagnostic et statistique (DSM) par __________________________

D) 1968-1969: nouvelle version du CIM (CIM-II), DSM-II et Glossary of Mental Disorders (britannique)

E) 1980: DSM-III

F) 1987: DSM-III-R (classification ______________)

A

A) troubles mentaux
B) classification internationale des maladies
C) l’American psychiatric association (APA)

F) multiaxiale

36
Q

Complète le texte troué sur la classification multiaxiale

A) Axe I: Toutes les catégories diagnostiques à l’exception des ________________ et du ______________

B) Axe II: ____________________________

C) Axe III: affections _____________ générales

D) Axe IV: facteurs ___________________ et __________________________

E) Axe V: fonctionnement _____________

A

A) troubles de la personnalité (et du) retard mental

B) troubles de la personnalité et retard mental

C) médicales

D) psychosociaux (et) environnementaux

E) global

37
Q

À laquelle de ces années n’y a t’il pas eu de publication de DSM?

A) 1994
B) 2000
C) 2011
D) 2013
E) 2022

A

C

38
Q

Associe chacun de ces énoncés à la bonne approche de classification

Approche
1. Catégorielle
2. Dimensionnelle (étiologique)
3. Classification prototypique (approche hybride)

Énoncés
A) évaluation sur un continuum
B) aucun chevauchement entre les pathologies
C) approche personnalisée
D) spécifie les caractéristiques essentielles des troubles, mais autorise certaines variations
E) ne rend pas compte de la complexité des troubles psychologiques
F) chaque trouble est unique
G) diminution de l’accord inter-juges

A
  1. Catégorielle
    B, E, F
  2. Dimensionnelle
    A, C, G
  3. Prototypique
    D
39
Q

A) Pq la fiabilité d’un système de classification est-elle primordiale?

B) quels sont des indices de fiabilité (2 éléments de réponse)

A

A) parce que le Dx influence le Tx

B)
• sensibilité: accord sur la présence d’un Dx (entre 2 professionnels)
• spécifité: accord sur l’absence d’un Dx

40
Q

Qu’est-ce que la validité conceptuelle?

A

C’est dans quelle mesure on peut formuler des énoncés et des prédictions justes sur une catégorie une fois qu’elle a été créé

Dans d’autres mots: dans quelle mesure le concept (ex: schizophrénie) s’intègre t’il dans un réseau de relations fondées (ex: relations étiologiques, relations concomitantes et relations prédictives)

41
Q

Plus un Dx s’intègre dans un réseau de relations étendu et solide, plus sa [1] est grande

A

Validité conceptuelle

42
Q

Décris sommairement le système Dx de l’APA (le DSM)

A

• système de classification (comme le CIM)

• les comportements pathologiques sont une somme de sx (on classe donc des troubles, pas des individus!)

• avant le DSM-5, le manuel était basé sur un modèle explicatif multifactoriel

• athéorique

• les troubles s’y regroupent en familles/catégories

• les critères furent établis par des comités consensuels et basés sur des données empiriques

43
Q

Nomme trois avantages du DSM

A

• offre un langage commun

• permet de repérer rapidement les Sx cliniques

• offre une homogénéité diagnostique

44
Q

Nomme des avantages qui sont apparus à partir de la troisième édition du DSM

A

• couverture plus large que juste les Sx. On parle d’approche intégrative (ex: problèmes sociaux/environnementaux)

• meilleure description des catégories diagnostiques et une meilleure fiabilité de celles-ci

• intérêt pour l’expression des Sx selon les cultures

• meilleure description des Sx (plus précise)

45
Q

Vrai ou faux
Le DSM-5 se caractérise entre autres par un modèle multiaxial

A

Faux, ce modèle fut supprimé et remplacé par les codes V

46
Q

Vrai ou faux, l’ajout des catégories «autre trouble spécifié» et «trouble non spécifié» date du DSM 5

A

Vrai

47
Q

Vrai ou faux
Les notations catégorielles furent ajouter au DSM 5

A

Faux, les notations DIMENSIONNELLES furent ajoutées au DSM-5

48
Q

Plusieurs changements ont été apportés aux catégories du DSM 5

A) de nouveaux troubles sont catégoriés. Nomme en au moins 1

B) De nouveaux critères ont été ajoutées (comme au trouble de [1])

C) des sous-catégories sont devenues des catégories. Donne des exemples

D) nouvelle conceptualisation des troubles actuels. Donne un exemple

E) de nouvelles désignations pour les troubles existants. Donne un exemple

A

A) hyperphagie boulimique, thésaurisation pathologique

B) stress post-traumatique

C) TSA, troubles addictifs

D) TOC vs Troubles anxieux

E) troubles somatoformes deviennent troubles à symptomatologie somatique et apparentés

49
Q

Dans le DSM-5, accordons nous plus ou moins d’importance à la suicidalité dans la présentation des troubles?

A

Plus

50
Q

Le DSM5 a un format qui réflète les cycles de la vie. Qu’est-ce que cela veut dire?

A

Qu’au début y’a les troubles à l’enfance et vers la fin les troubles chez les personnes âgéed

51
Q

Vrai ou faux
Le syndrome d’Asperger figure dans le DSM 5

A

Faut, il est aboli et remplacé par une nouvelle catégorie générale: le TSA

52
Q

Vrai ou faux
Le trouble disruptif avec dyrégulation émotionnelle est un ajout du DSM-5

A

Vrai

53
Q

«Exclusion du deuil» a été supprimée dans le Cx Dx du TDM. Pq?

A

Parce que DSM-5-TR ramène plutôt le Dx de trouble du deuil prolongé

54
Q

Vrai ou faux
Les TP dans le DSM 5 sont encore conceptualisés sous l’approche catégorielle

A

Vrai
* mais en année se trouve un modèle alternatif

55
Q

Vrai ou faux
Le trouble hypocondriaque figure dans le DSM-5

A

Faux

56
Q

A) quel est l’instrument le plus important de l’évaluation psychologique

B) vrai ou faux
Lorsqu’on pose un Dx, il faut se fier uniquement à la classification

A

A) le clinicien
B) faux, il faut dépassé le cadre de la classification

57
Q

Qu’advient-il aux termes de l’évaluation (aka lorsque celle-ci est finie)?

A

• on partage une compréhension clinique des difficultés du patient

• on discute des facteurs pronostics favorables et défavorables

• on recommande une suite pour aider le patient (psychothérapie ou non? Quel type? En groupe ou individuel? Hôpital de jour? Temps de traitement approximatif, etc.)

58
Q

Définis les termes «facteurs pronostics»

A

Facteurs permettant, dans une certaine mesure, de prévoir l’évolution de la maladie ou l’efficacité du traitement.

59
Q

Nomme des catégories de facteurs pronostics favorables

A

• croyances et attentes envers le processus
• personnalité et style d’attachement
• motivation à changer
• Type et gravité du dysfonctionnement
• autres facteurs documentés (persévérance, flexibilité, engagement, confiance, intelligence, beauté, position sociale, richesse, éducation, etc.)

60
Q

Nomme des facteurs pronostics DÉFAVORABLES (chez les patients avec un TP)

A

• absence de détresse
• motivation extrinsèque au Tx
• refus de faire des sacrifices pour la psychothérapie
• absence de rôle productif/actif
• conditions de vie défavorables
• méfiance paranoïde
• hostilité/mépris
• incapacité à s’attacher
• défenses projectives
• attitudes rigides/antisociales
• sentiment chronique d’amertume et désir de vengeance
• envie destructive
• contre-transfert massif
• traits psychopathiques
• sadisme

61
Q

Quelles sont les caractéristiques des patients qui abandonnent le plus souvent (de façon prématurée) le traitement?

A

Hommes jeunes et sans emploi

62
Q

La combinaison de deux facteurs ( [1] et [2] ) permet de prédire l’abandon ou la poursuite du traitement à 6 mois

A
  1. Gains secondaire
  2. Dx narcissisme pathologique
63
Q

La combinaison de trois facteurs ( [1] et [2] et [3] ) permet de prédire l’abandon ou la poursuite du traitement à 3 mois

A
  1. Gains secondaire
  2. Dx narcissisme pathologique
  3. Faible motivation
64
Q

Quelles sont les caractéristiques du thérapeute qui influencent les résultats de la psychothérapie?

A

• qualités personnelles (personnalité chaleureuse et style d’attachement sécure)

• expérience

• formation

• compétences

65
Q

Vrai ou faux
Les caractéristiques de la relation entre le client et le thérapeute influent sur les résultats de la psychothérapie

A

Vrai. Vive l’AT!

66
Q

En psychothérapie, pq y a t’il écart entre la recherche et la pratique?

A

Manuels de traitement trop rigides et on ne tient pas assez compte des différences individuelles

67
Q

Quelle est la différence entre l’efficacité expérimentale et l’efficacité écologique

A

L’efficacité expérimentale est prouvée en milieux contrôlés et l’efficacité écologique est prouvée en milieux naturels

68
Q

Corrige les énoncés qui sont faux sur la recherche en psychothérapie

Selon plusieurs chercheurs…
A) la thérapie est généralement utile
B) nous observons une certaine amélioration rapidement
C) Les diverses thérapies donnent des résultats différents
D) Les progrès seraient dus à des facteurs particuliers aux thérapies plutôt qu’à des facteurs communs
E) la motivation du client serait le meilleur prédicteur du progrès
F) les thérapeutes apprennent davantage sur les techniques par l’expérience que par la recherche
G) 100% des clients présentent un état amélioré ou stable à la suite d’une psychothérapie

A

C) elles donnent des résultats similaires
D) ils seraient dus à des facteurs communs aux thérapies et non aux facteurs particuliers
E) l’AT serait le meilleur Prédicteur
G) 10% auraient un état aggravé

69
Q

Nomme des formes/sortes de thérapie

A

• TCC
• thérapies psychanalytiques/psychodynamiques
• la thérapie centrée sur le client
• les thérapies conjugales et familiales
• l’intégration des psychothérapies