Cours 3 Flashcards
(64 cards)
Pourquoi on utilise des modèles animaux?
<div> <div> <div> <div> <div>Pour la représentation d’un processus qui ne peut pas être étudié directement</div> </div> </div> </div></div>
“Modèle comportemental animal permet d’étudier”
1-Comportement normal ou pathologique<br></br>2-Effets d’un traitement
Des modèles animaux pour faire quoi?
1-Analyser des propriétés<br></br>2-Mesure des niveaux<br></br>3-Évaluer des changements
“Deux façon d’obtenir un modèle animal”
1-Modèle induit (expérimental)<br></br>2-Modèle spontané (naturel)
Modèle induit (développé expérimentalement)
1-Étiologie connue<br></br>2-Étiologie hypothétique
“Modèle spontané (développé naturellement chez l’animal)”
“1-Sélection d’animaux malades<br></br>2-Développement de lignées”
Modèles orphelins
<div> <div> <div>Problème fonctionnel encore inconnu chez l’humain mais qui existe naturellement chez l’animal.<br></br>Ce n’est que plus tard que l’existence de la maladie est confirmée chez l’humain.</div> </div> </div>
Durée du modèle
1-Modèle aigu (heure-jour) -> effet de drogues<br></br>2-Modèle chronique (semaines-mois) -> chirurgies<br></br>3-Durable -> transgénique
“Vrai ou Faux, il existe des différences entre les souris et l’homme, mais ce n’est pas utiles”
Faux, certaines peuvent être utiles
“<div> <div> <div> <div> <div>Pourquoi ne pas prendre des modèles <span>in vitro</span>?</div> </div> </div> </div></div>”
<div> <div> <div> <div> <div>✓implication de circuits nerveux complexes ✓expression comportementale <br></br>✓composante chronique des pathologies </div> <div>Le modèle animal est une étape préclinique incontournable</div> </div> </div> </div></div>
<div> <div> <div> <div> <div>Critères de validation des modèles</div> </div> </div> </div></div>
<div> <div> <div> <div> <div>1-Homologie ou validité théorique<br></br><div> <div> <div> <div> <div>2-Isomorphisme ou validité d’aspect<br></br><div> <div> <div> <div> <div>3-Prédictivité ou validité prédictive</div> </div> </div> </div></div></div> </div> </div> </div></div></div> </div> </div> </div></div>
Homologie(validité théorique)
Estimation du degré d’équivalence dans les mécanismes mis en jeu dans le modèle et dans le comportement/la pathologie à l’étude.
<div> <div> <div> <div> <div>Isomorphisme (validité d’aspect)</div> </div> </div> </div></div>
“<div> <div> <div> <div> <div>Similitude phénoménologique (““phénotypique””) entre le modèle et la pathologie qu’il simule. Symptômes similaires.</div> </div> </div> </div></div>”
<div> <div> <div> <div> <div>Prédictivité (validité prédictive)</div> </div> </div> </div></div>
<div> <div> <div> <div> <div>Le modèle permettra-t-il de prédire la réalité clinique?</div> </div> </div> </div></div>
<div> <div> <div> <div> <div>Il faut connaître la littérature sur les théories à propos du comportement/de la pathologie et de ses substrats.</div> </div> </div> </div></div>
Homologie
<div> <div> <div> <div> <div>Il faut connaître les critères diagnostiques et la littérature sur ce qui fait l’objet d’incertitudes et de débats.</div> </div> </div> </div></div>
<div> <div> <div> <div> <div>Isomorphisme</div> </div> </div> </div></div>
<div> <div> <div> <div> <div>Il faut d’abord répliquer, puis innover.</div> </div> </div> </div></div>
Prédictivité
<div> <div> <div> <div> <div>Choix du modèle animal, Critères</div> </div> </div> </div></div>
<div> <div> <div> <div> <div>1-Validité du modèle (voir ci-haut) <br></br>2-Facilité de mise en œuvre <br></br>3-Qualité des informations recueillies <br></br>4-Facilité d’interprétation</div> </div> </div> </div></div>
<div> <div> <div> <div> <div>Choix de l’espèce et de la souche</div> </div> </div> </div></div>
<div> <div> <div> <div> <div>1-Rongeurs (rats, souris, cochons d’Inde...), primates, félins, canidés, nocturnes/diurnes, prédateurs/proies... </div> <div>2-Littérature disponible<br></br>3-Fournisseurs<br></br>4-Avantages et inconvénients</div> </div> </div> </div></div>
Fonction dans sommeil lent
Fonctions somatiques
Fonction dans sommeil paradoxal
Fonctions neuro-cognitives
“Méthode de l’îlot”
Privation de sommeil paradoxal (SP) chez le rat<br></br>Expérience:<br></br><div> <div> <div> <div> <div>-Rats expérimentaux: petite plate-forme (10 cm2/100g) Atonie musculaire du SP = baignade involontaire Le SP chute à 10% des niveaux de base </div> <div>-Rats contrôles: grande plate-forme (100 cm2/100g)<br></br> Le SP demeure à 90% des niveaux de base<br></br> Mesures de stress semblables dans les deux groupes </div> <div>-Rats témoins: à l’animalerie</div> </div> </div> </div></div>
Labyrinthe aquatique de Morris
Mesure la mémoire<br></br>Expérience:<br></br><div> <div> <div> <div> <div>Orientation allocentrique-><br></br>-Quadrant de départ différent à chaque essai (cible stable)<br></br>-Le rat doit utiliser des indices environnementaux<br></br>-Tâche relativement simple<br></br>-Tâche hippocampale</div><div> <div> <div> <div> <div>Alternance différée-></div> <div>• La cible alterne entre deux quadrants (départs stables) </div> <div>• Le rat doit comprendre la règle d’alternance </div> <div>• Tâche complexe <br></br>• Tâche frontale</div> </div> </div> </div></div> </div> </div> </div></div>
“L’anxiété”
“<div> <div> <div> <div> <ul> <li> <div>Sensation vague et déplaisante d’appréhension. </div> </li> <li> <div>Vient du sentiment de l’imminence d’un danger </div> </li> <li> <div>Crainte diffuse pouvant aller de l’inquiétude à la panique (incertitude d’une situation, appréhension d’un événement)</div> </li> </ul> </div> </div> </div></div>”
- Tension transitoire, avec ou sans manifestations physiques
- Pour s’adapter et survivre: prédateurs, territoire, nourriture
- Permanence de l’état anxieux
- Plus près de la pathologie
2-Ralentissement psychomoteur
3-État confusionnel
4-État dépressif
2-Prédisposition physiologique
3-Prédisposition génétique
2- Hypervigilance
3-Vulnérabilité au stress normaux de l’environnement 4-Chronique
5-3 à 5% de la population
Croix surélevée, composée de deux éléments : ✓Deux branches ouvertes (anxiogène)
✓Deux branches fermées (rassurante)
⚫temps en mouvement
⚫ types de mouvements: locomotion, redressements ⚫parcours: exploration du centre / des bordures
• Immobilité, évitement, sécrétion de corticostérone
2. Associer un stimulus aversif à la réponse : diminution du comportement (↓ # réponses)
*(Effet réversible par un traitement anxiolytique ou antidépresseur)
Neurobiochimie: axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien, ↑vasopressine
✓perte ou gain de poids
✓modification du sommeil
✓perte d’énergie
✓sentiment d’inutilité
✓difficulté de concentration
✓pensées suicidaires
2-Traumatisme anatomique
3-Isolement social
4-Génétique
2-Stress chronique modéré : environnemental
2-Privation eau + nourriture pendant 18 h
3-Cage sans litière pendant 18 h
4-Intrus pendant 2 h
6-Testé pendant deux jours:
✓Jour 2 (5 minutes) : mesures du comportement (immobilité, nage, échappement)
Variable dépendante : volume pris chaque jour, estimé par le poids des bouteilles tel que mesuré chaque matin
• Plateforme surélevée de 8 cm : situation inconfortable
• Si 4 pattes sur la grille : choc de 1 sec à 8 mA
• Pause de 30 sec dans leur cage entre les essais
• Temps et nombre d’essai pour atteindre le critère
Après tests de comportement sur les petits (croix surélevée, émergence, etc..)
• Nombre de fois qu’il se lave le museau
• Durée des interactions l’un envers l’autre
Les rats ayant subit un infarctus: ↓ 50% d’interaction
B- Avec un antidépresseur l'animal recommence a prendre un quantité de sucrose ""normal"" comme les témoins"