Cours 4 Flashcards

1
Q

Biais d’attribution

A

Tendance à émettre des attributions qui semblent rompre avec la logique ou avec les principes théoriques usuels.

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2
Q

type de biais d’attribution

A

 Lorsque l’attribution est faite par l’observateur : - Erreur d’attribution fondamentale.
- Biais de responsabilité injustifiée.
 Lorsque l’attribution est faite par l’acteur :
- Biais de complaisance. - Autohandicap.

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3
Q

Erreur d’attribution fondamentale

A

Erreur d’attribution fondamentale
Tendance à exagérer l’importance des facteurs dispositionnels (internes) et à sous- estimer l’influence des facteurs situationnels (externes) dans l’explication du comportement d’autrui.

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4
Q

Explications Erreur d’attribution fondamentale

A

Effet de saillance. - Jugement rapide.

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5
Q

effet de saillance

A

Une information saillante est une information qui est marquante, qui attire et retient l’attention. Cette information suscite davantage des émotions et elle est plus facilement retenue.

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6
Q

Biais de responsabilité injustifiée

A

Tendance à porter le blâme à la victime plutôt qu’à la cause réelle.

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7
Q

Explications de biais de responsabilité injustifiée

A
  • Assurance quant à l’impossibilité que ça nous arrive.
  • Surcharge émotive qui nuit à la réflexion.
  • Croyance en un monde juste. - Biais rétrospectif.
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8
Q

Biais rétrospectif

A

Fausse impression qu’on connaissait déjà une information nouvelle. Ceci nous amène, entre autres, à surestimer le fait qu’un événement passé aurait pu être anticipé

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9
Q

Biais de complaisance

A

Tendance à attribuer nos succès et bons comportements à des facteurs dispositionnels (internes) et nos échecs et mauvais comporte- ments à des facteurs situationnels (externes).

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10
Q

Explications biais de complaisance

A
  • Pour protéger notre estime de soi.
  • Pour faire bonne impression aux autres.
  • Influence de nos attentes.
  • Influence du biais égocentrique jumelé
    à une perception positive de soi (liés à la mémoire).
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11
Q

Biais égocentrique

A

Biais qui amène un individu à exa- gérer dans ses souvenirs la part qu’il a pris dans des activités collectives.

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12
Q

Autohandicap

A

Création d’une excuse toute prête en cas d’échec ou pour se valoriser davantage après un succès.

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13
Q

deux types d’handicap

A

revendiqué = revendiquer la présence d’obstacle avant de s’engager dans une tâche
comportemental = mettre de l’avant des obstacles à sa propre réussite avant de participer à une tâche (ex aller faire le party la veille d’un exam)

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14
Q

Explication de l’autohandicap

A

1) faire bonne impression aux autres
2) protéger mon estime de soi

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15
Q

différence acteurs-observateurs

A

L’observateur a tendance à expliquer le comportement de l’autre par des raisons dispositionnelles.
 L’acteur a tendance à expliquer son propre comportement par des raisons situationnelles.

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16
Q

explications de la différence acteurs-observateurs

A

Différence de perspective.
- Quantité d’informations disponibles.

17
Q

Théorie de la gestalt

A

Selon cette théorie,
- les processus de la perception
- et de la représentation mentale
= traitent spontanément les phénomènes comme des ensembles structurés et non comme une simple addition ou juxtaposition d’éléments.
Principe de base :
Le tout est plus grand que la somme de ses parties.

18
Q

effet de centralisé

A

effet de traits importants qui servent à structurer l’impression et qui influent sur le sens retenu pour les autres traits décrivant une personne

influence d’un trait sur comment on va percevoir les autres traits
ex. même traits sauf chaleureux et froid = change complètement notre perception de la personne

19
Q

conclusion étude de Asch

A

1) interactions entre les traits observés
- > Les caractéristiques s’assemblent pour faire un tout et s’influencent
- Ex. aggressif et persévérant
- VS aggressif et colérique
2) Certaines caractéristiques de la personnalité de la cible ont une plus grande importance que d’autres dans le processsus de formation d’impression
- Effet de centralité = p 51
○ importance
3) effet de primauté
- les premières infos qu’on reçoient vont plus avoir d’impact sur notre impression pcq plus rappeler

20
Q

Approche associationniste

A

règle de la moyenne pondérée proposée par Anderson
- caque caractéristiques est évalué selon sa présence et son importance = additions de tout ça puis division selon le nb de caractéristiques -> moyenne pondéré

21
Q

Approche associationniste facteurs qui influencent le poids accordé à chaque traits

A

1) source de l’info
2) valence de l’info (plus d’importance accorder aux infos négative)
3) normalité de l’info ( plus d’importance si saillant)
4) séquence des informations recueillis (effet de primauté..)

22
Q

Approche cognitive

A

quand des détails vont bien ensemble = regroupe pour mieux se rappeler (info 1+ info 2+ info 3 = trait 1)

impression initiale (en regroupant infos) -> temps passe -> impression globale (récupération du trait 1, 2 etc)

23
Q

facteurs qui peuvent aider à former des impressions plus exactes des autres

A

1) indices visuels venant de la pers (caractéristiques physiques, tenue vestimentaire, cptms, expressions non-verbales)
2) certains traits de personnalité viennent avec des cptms particuliers
3) propos dits par la personne verbalement
4) notre volonté à être exact
5) connaissance des risques d’erreur
6) utilisation de stratégies mentales efficaces

24
Q

tenir compte du contexte pour faire une impressions

A

1) exactitude globale
- porter un jugement général sur une personne indépendamment du contexte dans lequel nous l’observons (ex médecin)
- risque de se tromper élevé
2) exactitude circonscrite
- lorsque nous évaluons une personne en lien avec un contexte précis, il y a plus de chances que notre jugement soir exact

25
Q

ajout de nouvelles infos dans la formation d’une impression

A

Plus le percevant a l’opportunité de recueillir de nouvelles informations sur la personne observée, plus il peut clarifier son impression (développement de son concept de la personne).
Par contre, si les nouvelles informations ne concordent pas avec l’impression initiale, le percevant peut éprouver de la difficulté à adapter son impression, parce que cela exige un effort cognitif plus grand. Il en résulte que l’impression initiale a tendance à demeurer intacte.
Enfin, il appert que même si l’impression initiale change, ce n’est généralement qu’en partie ou de manière graduelle.

26
Q

Confirmation d’hypothèse (biais confirmatif)

A

le fait de prendre en compte seulement les infos qui vont dans le même sens que ce qu’on pensait déjà
- tendance à cherche, interpréter et créer les infos qui supportent les croyances existantes

27
Q

Persistance des croyances (biais confirmatif)

A

prend en compte toutes les infos (pour et contre) et va les tourner/réinterpréter pour que ça concorde avec ses croyances
- tendance à discréditer les informations qui contredisent les croyances existantes et à réinterpréter les faits de manière à confirmer ces croyances.

28
Q

Prophétie qui s’autoréalise (biais confirmatif mais pas tjr)

A

Processus par lequel les croyances d’un percevant par rapport à une autre personne l’amènent à adopter certains comportements qui, eux, amènent l’autre personne à se comporter de façon à confirmer les croyances initiales du percevant.

OU

tendance des personnes à se comporter conformément aux attentes qu’on a d’elles, ce qui augmente les probabilités que ces attentes se réalisent

29
Q

étude avec présentation session + cas imaginaire du patient

A

résultats =
1) les gens surestiment voir des signes de la maladie dans le dessin = confirmation d’hypothèse
2) même en présence de rapport qui sont contraire à leurs conclusions, les participants ne vont pas changer leur façon de voir les chose = persistance des croyances

30
Q

étude sur l’évaluation de la performance d’une petite fille selon son milieu

A

résultats =
1) la petite fille réussi moyennement, mais selon les attentes des participants (leurs croyances) = vont juger sa performance de façon différente
- si attentes élevés = considère qu’elle a mieux réussi
- si attentes faibles = considère qu’elle a moins bien réussi
-> exemple de persistance des croyances -> va chercher des excuses, “elle a été chanceuse” …