cours 4 Flashcards

1
Q

Quel est le rôle d’un psychologue judiciaire qui accompagne le police dans le feu de l’action ?

A

Role = expert
Rôle = conseiller le commandant, ce n’est que le commandant qui parle à la personne durant une négociation.
Role = éviter l’homicide

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2
Q

Il y a combien de psychologue judiciaire d’action au Québec ?

A

1 qui couvre tout le territoire

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3
Q

Quel est le pourcentages des interventions policières effectuées auprès des personnes atteintes de maladies mentales ?

A

7 à 15 % = 1 million d’interaction par an.

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4
Q

Quelles sont les 3 résolutions de crises possibles et leur pourcentages ?

A

Négociation - 86%
G.T.I ( groupe tactique d’intervention (swap)  intervention physique de la personne) - 7%
Décès de la personne en crise ( abattue ou suicide) - 7%

La majorité du temps on réussit à bien gerer la situation.

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5
Q

Dans la résolution de crise, parmi ceux qui survive ( négociation et G.T.I) , quels sont les pourcentages de gens qui sont envoyés pour examen psychiatrique vs accusés au criminel ?

A

Envoyés pour examen psychiatrique- 41,9%
Accusés au criminel - 72,5%

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6
Q

Qu’est-ce que Le modèle SINCRO Stratégie d’Intervention et de Négociation de Crise selon le rythme observé de la personne en crise ?

A

3 phases à la négociation :
2 phase de transition
- phase 1 : la crise
–> contexte souvent très tendu, l’ind vit et manifeste de fortes émotions. Le négociateur doit bien écouter (écoute active) et favoriser les échanges pour permettre au sujet de verbaliser et de ventiler.

  • transition A : Crise à résolution de problème
    –> phase critique qui permet de savoir si l’ind est prêt pour amorcer la résolution du problème. Durant cette phase le sujet parle d’une manière moins émotive et/ou avec moins d’agressivité. N’est plus centré uniquement sur lui-même.

Phase 2 : la résolution du problème
–> Discuter des résolution de problème possible.
À ce stade, le sujet ne devrait plus revenir en arrière ni se monter trop émotif. On doit tout faire pour le garder le plus rationnel possible et pour l’amener sur un mode de résolution de problème.

Transition B : Résolution du problème à la reddition
–> Les négo sont suffisamment avancées pour envisager une reddition. L’individu se montre préoccupé par ce qui va lui arriver, ou il est soucieux de son entourage (qui va s’occuper de mon chien ?)

Phase 3: la reddition
–> Étape ultime. parfois très coutre. le sujet est prêt à se livrer aux autorités policières et à faire face aux conséquences de ses actes. Avant de conclure, il faut réévaluer le risque de revirement de dernière minute (suicide by cop).

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7
Q

Quelles sont les compétence de base du psychologue en négociation de crise ?

A

écoute et empathie

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8
Q

Pourquoi l’intervention aurpès des personnes perturbées mentalement représente un double défi pour le policier ?

A

défi 1 : communiquer avec ces personnes
défi 2 : puis intervenir de façon sécuritaire pour tous.

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9
Q

vrai ou faux, le psychologue parle avec la personne durant une négociation pour faire SINCRO ?

A

faux, ce n’est que le commandant qui parle à la personne durant une négociation.

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10
Q

Pour les menaces, quelles est la différence entre les cibles privées et publiques ?

A

Menace = pas le même niveau de risques réels pour les cibles publics ou privées
Personnes privés = plus a risque, car très peu de temps après que la menace ait été lancer = passé à l’acte  aspect émotionnelle du moment

Personnes publiques = en reçoivent plus pour des raison d’intimidation

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11
Q

Quel est le taux de fausse allégations sexuelles ?

A

moins de 1%

La fréquence des allégations non fondées d’agression sexuelle chez l’adulte varie énormément selon la définition et les critères utilisés –> Mensonge délibéré ou allégation imaginaire que la personne croit être vraie

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12
Q

Y-a-t ‘il un profil type de la fausse plaignante ?

A

non, la fausse plaignante à le même profil que la vraie victime d’aggression sexuelle.

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13
Q

vrai ou faux, l’aveu à plus de poids que les preuves techniques ?

A

vrai

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14
Q

Qu’est-ce que la technique Reid ?

A

Technique est 9 étapes, manipulation psychologique pour obtenir des aveux –> confronter .

  • On veut montrer l’anxiété de la personne (dire qu’ils ont des preuves, mais la personne ne le sait pas)
  • Couper la parole (On ne veut pas la laisser parler parce qu’on ne veut pas qu’elle puisse nier)
  • Interrogatoire qui dure très longtemps ( user la personne)
  • Très confrontationnel
    -Manipulation pour obtenir l’aveu. (si tu parles dans mon sens tout va bien, mais sinon on continue à confronter) –> même si la personne ne l’a pas fait, on veut un aveu)
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15
Q

Quels sont les caractéristiques d’une bonne entrevue ?

A

Les entretiens doivent être abordés avec un esprit ouvert

Rapport (créer un rapport avec la personne interrogée) = plus d’information

Des questions ouverte vers des questions spécifiques

Les personnes vulnérables, qu’elles soient victimes, témoins ou suspects, doivent être traitées avec une attention particulière à tout moment

L’entrevue cognitive, et le modèle PEACE

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16
Q

Qu’est-ce que le modèle PEACE ?

A

P: planning and preparation : c’est quoi qu’on a comme info, c’est quoi qu’on a pas qu’on doit aller chercher. Personnalité et vulnérabilité de la personne

E: Engage and Explain : explications des étapes et du processus. Pourquoi la personne est là  pour que la personne soit calme et pour créer un engagement avec la personne.

A: Account and clarification and challenge : on laisse la personne nous raconter ce qui s’est passé de A à Z. –> ensuite on pause des questions et clarifier la situation.  pousse la personne à élaborer et amène de l’information encore plus riches.

C: Closure  le policier va répéter la version de la personne (aider à valider ou bien la réexplication )

E: Évaluation  Permet au policier de faire une auto-évaluation et également de faire un bilan de l’information qu’il a pour faire avancer l’enquête.

17
Q

vrai ou faux , Si on a un lien de confiance avec la personne, cela l’amène à donner 3 à 5 fois plus d’info, lors d’une entrevue?

A

vrai

18
Q

vrai ou faux, Même après 5 siècle de recherche: on n’a pas un moyen, mieux que le hazard, de détecter le mensonge par le comportement.

A

vrai

19
Q

Qu’amène l’approche cognitive pour la détection du mensonge ?

A

Les gens choisissent des efforts faciles (plus petite charge cognitive pour se permettre de mentir)
Mais lorsque qu’on leur demande de faire des efforts plus difficile cognitivement dont ils ne s’attendent pas, comme faire un dessin = trop grosse charge cognitive, donc temps de réaction plus lent.

20
Q

Les personnes qui ont des problemes de santé mentale sont-ils plus susceptible de commettre des actes violents ?

A

non, elles sont plus susceptible d’être victime d’actes violent

Les gens qui ont une problématique de santé mental à être violentes sont une minorité.

21
Q

Quels sont les principes directeurs de la psychologie forensiques ?

A

Principe de retenue –> sortir la personne de la boucle d’arrestation
(invoquer système de justice pénale avec prudence)
Déjudiciarisation – alternatives
Personne dans un processus de santé vs judiciaire (tenter de moins judiciariser la personne)
Principe d’être conscient et participer au procès
Aptitude à subir son procès

Principe de responsabilité des actes
Responsabilité criminelle

Principe de dispositions humains et justes
Conditions – sentence
Quelqu’un avec problématique de santé mentale grave = aggrave si conditions
Si non responsable criminellement: est-ce juste de le traiter comme quelqu’un pour qui c’était intentionnel.

22
Q

voir ppt diapo 23

A
23
Q

vrai ou faux, une personne trouvée non criminellement responsable est acquitté?

A

faux, une personne trouvée non criminellement responsable n’est ni acquitté ni condamnée.
Acquittée = quand on n’a pas assez de preuve pour condamner la personne
NCR= c’est entre acquitté et condamné soit libération conditionnel, soit détention en milieu hospitalier, soit libération absolue.

24
Q

Quels sont les option de la CETM (Commission d’examen des troubles mentaux) ?

A

Libération absolue = tout est sous contrôle, la personne n’est plus un risque

Libération avec conditions = (médicaments, aller a l’hôpital à une certaine fréquence, contact régulier avec travailleur social, etc.)  risque faible = pour diminuer encore plus le risque

Détention : c’est que tu représentes un risqué de récidive.  pour les personne avec non responsabilité criminelle, la personne est détenue inconditionnellement jusqu’à ce qu’elle ne soit plus un risque. Donc elle peut être détenu encore plus longtemps que la sentence normale de son crime.

25
Q

Le verdict de NRC est en augmentation et est plus élevé au Qc, pourquoi ?

A

Plus élevé au Québec , parce que les personnes sont plus portées à l’utiliser à la Cours et c’est beaucoup plus accepté.

26
Q

Qu’en est-il du système de psychiatrie légale au Québec ?

A

Complètement décentralisé
Un hôpital et 50+ services psychiatriques – maintenant : hiérarchisé
Québec: services psychiatriques :peuvent prendre en charge les personne judiciarisée, mais les programmes ne sont pas nécessairement fait pour eux.

27
Q

Quel est la pourcentage d’hospitalisation antérieur connu des NCR au qc, on et cB

A

72 %

28
Q

Quel est le pourcentage de NCR qui avait des dossier criminel connu avant ?

A

58%

29
Q

Quel est le pourcentage de NCR qui était sans emploies ou sdf ?

A

84 % revenue gouvernementale
9% sdf

30
Q

Quel est le pourcentage de NCR qui on commis des délit sévère ?

A

moins de 10%

31
Q

Quel est le taux de récidive criminelle après 3 ans des NCR ?

A

17% soit très faible
comparer à 70 % pours les inmates avec trouble de santée mentale qui n’ont pas eu le verdict de NRC = taux très élevé de récidive

32
Q

Quel serait une solution potentielle pour éviter la dichotomie perçue entre le rétablissement/réhabilitation et la sécurité publique ?

A

Développer un message clair autour des programmes qui réduisent la récidive.

33
Q

Quel est la solution potentielle au double stigma (étiquette de probleme santée mentale + étiquette de criminelle ) qui fait en sorte du refus d’accès à des services (hébergement, programmes de jours, etc) et augmente le retait social (soit le risque de récidive) ?

A

rectifier des politiques et pratiques qui restreignent de manière arbitraire l’accès à des opportunités sociales et économiques.