Cours 4-5-6 Flashcards

(18 cards)

1
Q

3 échelles du logements partagés (avec exemple)

A

Échelle du logement
Échelle du pallier (deux logements avec une pièce en commune)
Échelle de la résidence (logements privatifs avec services partagés)

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2
Q

2 raisons de vivre en cohabitation?

A
  • Entre proches (parents/enfants) ou inconnus (travailleurs, personnes âgées)
  • Subies (pour des raisons économiques) ou volontaire
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3
Q

1) Qu’est-ce qu’un papyloft ?

2) Comment s’organisent les papyloft?

A

1) Type d’habitat qui cherche à faire face à la question du vieillissement de la population. Des personnes âgées autonome mais qui ne veulent pas allez dans des maisons de retraite pour maintenir leur autonomie. Ils veulent quand même du sociale et de la sécurité.

2) Maison individuelle qui s’assemble autour d’une cour intérieur végétalisé ou les personnes peuvent se rassembler, cultiver des fleurs, etc.
Au-delà des maisons mitoyennes, il existe des espaces communs pour recevoir les proches.
Les entrées sont individuelles donnent sur la cour intérieure et sur l’extérieur.

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4
Q

Qu’est-ce que Jean-Michel Léger explore avec son livre « Derniers domiciles connus »

A

Le fait d’habiter est relié à l’intimité, les relations entre personnes et l’appropriation d’espaces. Plusieurs philosophes ont utilisé le mot pour parler d’une manière d’être et de se relationné avec tout ce qui nous entoure. On prend en compte des aspects relié au monde psychique. En effet, les aspects sociologique et culturelle ne suffisent pas à donner du sens à l’espace qui nous entoure.

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5
Q

Qu’est-ce que l’approche phénoménologique?

A

L’approche phénoménologique (à partir des années 1980) de l’habitat interroge un ensemble de facteurs qui font que l’on ressent l’espace d’une certaine manière.
L’idée d’habiter serait de se sentir investie (sphère émotionnelle).

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6
Q

1) Quels facteurs qui expliquent les usages et vécu des espaces quotidiens?
2) Quels aspects sont aussi à considérer ?

A
1)
-	Psychologiques
-	Environnementaux
-	Socioculturels
2)
-	Cognitifs (opinions, valeurs)
-	Affectifs (nos mémoires, nos désirs)
-	Sensoriels (réaction immédiate aux conditions de l’environnement)
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7
Q

Qu’est-ce que la psychologie environnementale ?

A

Étudie les interrelations entre les individus et leur environnement immédiat. Comment les environnements influencent les comportements des individus et comment ils se sentent rattachés à un lieu.

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8
Q

Qu’est-ce que la carte mentale du parc de Boston a permis de démontrer par rapport à l’espace?

A

L’espace n’est pas neutre. Il peut être représenté et raconté de façon différente selon qui expérience cet espace

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9
Q

Qu’est-ce qu’affirme Bachelard avec Poétique de l’espace?

A

L’habitat est une source de resourcement très important. C’est un lieu associé à l’affection, l’identification personnelle.

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10
Q

De quel type d’habitation est le projet Share house au Japon ?
Quelles sont ses particularités?

A

Du social loft.
La Share House au Japon est pensée pour 13 personnes cohabitant entre eux. Encore une fois, les espaces communs sont très généreux. Au-delà des séjours partagés, les salles d’eau, les espaces de circulation, de travail et de cuisine sont partagés.

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11
Q

Qu’est-ce que les projets “Saving by sharing”?

Quel est la différence avec les projet de co-housing?

A

Le logement, la culture et l’éducation sont combinés. Des activités sont organisées à l’intérieur. On y retrouve des cuisines collectives, un café, une piscine commune, une petite bibliothèque et un jardin sur le toit.

À la différence du co-housing classique, ce projet social fut créé pour répondre aux familles non classiques (monoparentales, célibataires et autre).

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12
Q

1) Quels modèles familiaux différents vont s’imposer dans les années 1970?
2) Trois raisons qui l’explique

A

1) De plus en plus, les demandes pour des appartements de 1 ou 2 personnes vont augmenter, tandis que 3 et plus vont diminuer.
2) La diminution de la fécondité, le vieillissement de la population, l’arrivé d’un plus grand nombre d’immigrants (pas même culture de l’habiter)

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13
Q

1) Qu’entraine la crise du pétrole?

2) Quel autre phénomène aura le même effet?

A

1) La crise du pétrole fera en sorte que les pièces seront plus petites. On veut payer moins pour le chauffage. C’est la phase du Lower-design. Moins d’entrées, moins d’espaces de circulation.
2) aussi causé par un changement des valeurs familiales. On privilégie de plus en plus les moments de vie partagés. Par exemple, la mère peut cuisiner et parler avec ses enfants dans le séjour communiquant.

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14
Q

Comment changent la manière d’habiter dans les années 1970? Comment cela impact les différentes pièces de la maison ?

A

Désinstitutionalisation de la famille. Les logiques internes entre les membres de la famille sont basées sur la convivialité et l’égalité, plutôt que selon des logiques hiérarchiques.

  • Les appartements étant plus petits, le désordre physique est ainsi plus visible. Le séjour = espace d’exposition
  • La cuisine devient un espace neutre. Les relations homme-femme deviennent de plus en plus paritaires. La cuisine favorise la convivialité et le partage.
  • Les modalités de réception sont plus informelles et décontractées.
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15
Q

À partir des années 1980, quel type de logements proposés?

Caractéristiques de ces nouveaux logements

A

Les architectes vont proposer des logements évolutifs. Ce sont des logements diversifiés (expérimental), car on ne connait pas à l’avance qui loueras l’appartement. Pluralité de situation = pluralité de logements proposés. Haut degré de flexibilité.

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16
Q

Parler du Projet PREVI à Lima (1968-1970).

Premier projet de ce type ?

A

Les architectes ont laissé les logements dans un état « non-terminé ». Ils ont permis aux propriétaires de transformer, d’agrandir leurs logements (mentalité de l’auto construction très développé en Amérique du Sud). En plan, les appartements sont divisés en zigzag.

Cette idée de logements évolutifs serait toutefois apparue dans les années 1920.

17
Q

Qu’est-ce que le plan neutre ?

Donner deux exemples

A

En plan, les services se trouve au centre du plan rectangulaire. Il n’y a pas de pièces clairement définies. Les habitants décident pleinement de l’usage de chaque pièce. Une autre façon d’obtenir un plan neutre est de proposer des logements sans murs porteurs intérieurs.

La maison Luzi de Peter Zumthor (2002)Les résidences La Séchérie à Nantes (2008) par Boskop architectes. Comme avec Zumthor, les pièces de ce projet sont de taille et de forme presque identique.

18
Q

Qu’est-ce que le plan libéré ?

Donner un exemple

A

Changer la configuration interne de façon plus économique.

Immeuble collectif de 70 logements à Clichy sur Seine, architecte Francis Soler.