Cours 8 Flashcards
(22 cards)
LES SITUATIONS QUI CAUSENT L’ANXIÉTÉ SOCIALE liste
1) Anxiété de performance
2) Situations d’échange et de contact
3) Les situations d’affirmation
4) Le regard d’autrui
LES SITUATIONS QUI CAUSENT L’ANXIÉTÉ SOCIALE: Anxiété de performance
1.FAMILLES DE SITUATIONS
–>1) Anxiété de performance: Accomplir une performance sous le regard d’autrui
- EXEMPLES
Exposé ou lecture en public
Tour de table
Prise de parole en réunion
Entretien d’embauche - EXIGENCES SUPPOSÉES DE LA SITUATION
Être ou paraître performant - CRAINTES
- Peur de perdre ses moyens
- Peur de mal faire, de donner mauvaise image de soi
LES SITUATIONS QUI CAUSENT L’ANXIÉTÉ SOCIALE: Situations d’échange et de contact:
- FAMILLES DE SITUATIONS
Situations d’échange et de contact:
-Discussion informelle (superficielle ou approfondie) - EXEMPLES
-Bavarder avec un voisin, collègue, commerçant
- Faire la connaissance d’un inconnu
-Exprimer ses sentiments à quelqu’un
3.EXIGENCES SUPPOSÉES DE LA SITUATION
-Avoir quelque chose d’intéressant à dire
- CRAINTES
-Peur de se révéler sans intérêt, sans conversation, sans répartie
LES SITUATIONS QUI CAUSENT L’ANXIÉTÉ SOCIALE: Les situations d’affirmation
- FAMILLES DE SITUATIONS
Les situations d’affirmation:
Se faire entendre et exprimer son point de vue - EXEMPLES
-Donner son avis, exprimer son désaccord, faire une demande, etc - EXIGENCES SUPPOSÉES DE LA SITUATION
-Se montrer sûr de soi, s’imposer - CRAINTES
- Peur d’échouer
-Peur de déclencher agressivité
LES SITUATIONS QUI CAUSENT L’ANXIÉTÉ SOCIALE: Le regard d’autrui
- FAMILLES DE SITUATIONS
Le regard d’autrui:
Accepter d’être observé dans ses gestes quotidiens - EXEMPLES
- Marcher, conduire, manger, boire, travailler sous le regard de quelqu’un - EXIGENCES SUPPOSÉES DE LA SITUATION
-Paraître à l’aise et naturel - CRAINTES
- Peur de révéler son émotivité et son malaise intérieur (trembler, rougir, avoir l’air bizarre…)
MANIFESTATIONS PHYSIOLOGIQUES de l’anxiété sociale
- Symptômes variés
–> Palpitations, tremblements, transpiration, tension musculaire, noeud dans l’estomac, bouche sèche, sensations de chaud et froid, rougissements, maux de tête, sensation de pression dans le crâne, impression d’évanouissement…
Manifestations
–> Internes
–> Externes
Difficiles à contrôler
–> Crainte du regard posé sur ces manifestations
LE SENS DES MANIFESTATIONS PHYSIOLOGIQUES de l’anxiété sociale
Mécanismes liés au stress
–> L’organisme se prépare à affronter situation menaçante
–> Facteur déstabilisant supplémentaire
La courbe anxiété-performance
–>Intermédiaire: un peu activé un peu soucieux de produire une bonne performance, mais pas envahi par l’anxiété. Meilleure performance sociale.
Excessive: Nuit beaucoup à la performance sociale.
On veut que les situations sociales nous donne un peu d’anxiété, qui nous donne envie de faire des efforts, mais devient problématique quand l’anxiété devient envahissante.
MANIFESTATIONS COMPORTEMENTALES de l’anxiété sociale
- La désorganisation des capacités relationnelles (maladresse à communiquer)
–> Tendance à accélération et fébrilité
–> Tendance à sidération et ralentissement
–> Superposition fréquente
–>Moments inhibés, aplati par l’anxiété et moments visiblement agités - Évitement et fuite
–> Évitement situationnel ou évitement subtil
–>Évitement subtil: la personne a arrêté d’éviter les situations sociales ex: elle va au 5 à 7 de sa job, mais elle utilise les évitements subtils qui ne réduisent pas l’anxiété (ce qu’on fait pour éviter d’être pleinement dans la situation) ex: elle est sur son téléphone tout le long du 5 à 7 ou éviter les contacts visuels avec les gens, éviter de prendre la parole - Recours à des comportements relationnels inadéquats et peu efficaces
–> Trop inhibés ou trop agressifs
–>Agressifs: on a peur des commentaires des autres, donc on contre-attaque avant d’être attaqué
MANIFESTATIONS COGNITIVES de l’anxiété sociale
- Jugement négatif sur soi
–> Relève prioritairement ce qui ne va pas dans sa façon d’être/ses comportements
–> Accorde une importance démesurée à ces éléments
–> Jugements extérieurs souvent beaucoup moins négatifs
Comment ça se passe dans le cerveau quand on vit de l’anxiété sociale?
–>Devient expert à déceler tout ce qui ne va pas chez eux
–>Devient un filtre
–>« J’ai été vraiment peu à l’écoute, mes amis ne voudront plus aller souper avec moi »
–>Jugements des autres moins négatifs que les jugements de soi - Peur du jugement d’autrui
–> Hypersensibilité
–>Hypersensibilité: Aux indices des autres qu’ils sont déçus, etc. Regard de l’autre associé à un jugement négatif.
–> Associe attention/regard à jugement négatif
–>« Si la personne me regarde, c’est parce qu’elle me trouve bizarre » vs la personne la regarde car elle la trouve intéressante - Crainte des réactions d’autrui
–> Difficulté à anticiper
–> Crainte des réactions hostiles
–>Réactions hostiles: toujours voir les gestes de l’autre comme des raisons de nous humilier (ex: prof qui pense que ses élèves lui posent des questions pièges)
MANIFESTATIONS COGNITIVES avant pendant après une situation
Avant la situation: Anticipation négative, Imaginer le pire scénario
Pendant la situation: Focalisation sur soi, Se concentrer sur malaise intérieur plus que sur situation en cours
Après la situation: Honte, Repenser à ses erreurs présumées / amplifier les conséquences
Avant: exacerbe bcp l’anxiété, donne envie d’éviter la situation
Après: ruminations intenses
X PRINCIPALES FORMES D’ANXIÉTÉ SOCIALE
4 formes!
- Manifestations anxieuses ponctuelles et ego-dystoniques
1. une forme normale de cette anxiété sociale serait d’avoir: le trac
2. forme pathologique de cette anxiété sociale: phobie sociale - Manière d’être permanente et ego-syntonique
3. une forme normale de cette anxiété sociale serait d’avoir: de la Timidité
4. forme pathologique de cette anxiété sociale: la personnalité évitante
- Ecq ce sont des manifestations ponctuelles (face à un typde de situation) ou permanente (ecq la personne est affecté par ça tout le temps)?
- egodystonique: manifestations en opposition avec le soi de la personne et les aspirations de la personne (« oh ca menerve quand je suis comme ca, je suis tannee d’être comme ca ») la personne reconnait ce manque de congruence avec son soi, pas intégré dans le soi, reste à part. Plus facile à attaquer.
Egosyntonique: anxiété sociale intégrée à l’intérieur du soi. « J’ai toujours été comme ca, c’est dans ma nature d’être comme ca » Ne veut pas dire que ça ne cause pas de la détresse.
Trac: situation spécifique ex: jouer dans une pièce de théâtre, état inhabituel pour la personne ego-dystonique. Vécu un peu avant la situation.
Timidité: face à toutes les situations sociales
Phobie sociale: trouble entraînant une grande souffrance, vécu longtemps avant la situation.
Personnalité évitante: trouble de la personnalité. Intégré dans la personnalité de la personne, donc permanent.
LE TRAC
DEF: Forme limitée d’anxiété de performance. Sensation d’anxiété intense mais passagère, limitée à une situation et à un moment donné
Causes multiples:
–> Interlocuteurs (p.ex. autre sexe, impressionnants, autoritaires, plus âgés)
–> Messages à délivrer (p.ex. critique, déclaration d’amour, avouer une faute, réclamer argent)
–> Contexte (p.ex. sous le regard d’un groupe, entrer dans magasin de luxe)
Différences avec phobie sociale:
–> Anxiété peu avant situation (vs longtemps avant)
–> Se sentir soulagé (vs honteux) après avoir terminé son intervention
–>Différence trac et phobie sociale: la personne ayant vécu du trac va se sentir soulagé après la performance et l’anxiété est vécu un peu avant la situation vs la personne qui fait de la phobie sociale va vivre de la honte après la situation et l’anxiété est vécu longtemps avant la situation.
LA TIMIDITÉ
DEF: Manière d’être qui est durable, habituelle, marquée par une tendance prononcée à se tenir en retrait et à éviter de prendre des initiatives, malgré un désir relatif d’échange
–>Souvent on fait l’erreur (ex: parents d’enfant timide) de penser que c’est pcq la personne ne veut pas être en relation « Ah! C’est un solitaire! »
Façon d’être marqué par l’inhibition dans de nombreuses situations sociales
–> Parler moins, regarder moins dans les yeux, registre de mimiques et expressions plus restreint, etc.
–> Conduit à l’évitement de ces situations
Redoute en particulier la nouveauté (les «premières fois»)
–> En général, s’adapte après période d’inhibition initiale
–>Timidité vs anxieux sociaux: redoute la nouveauté
La gène reste dans certaines limites (éloignée de panique)
Difficultés associées:
–> Risque de difficultés psychologiques (p.ex. symptômes dépressifs, consommation)
–> Dévalorisation (difficulté à s’exprimer associée à manque d’intelligence/connaissances)
–> Occasions perdues (vie affective, sociale et professionnelle)
–> Solitude (difficulté à construire réseau relationnel satisfaisant)
–>Plus seule car les personnes ont l’impression qu’ils ne sont pas intéressé
Différences avec phobie sociale:
–> Peur d’être ignoré (vs humilié/agressé)
–> Se sentir déçu (vs honteux) après prestations sociales jugées insatisfaisantes
–> Le désir de contact est supérieur à la crainte de l’échec
LA PERSONNALITÉ ÉVITANTE : CRITÈRES DIAGNOSTIQUES (DSM-5)
Trouble de personnalité: la personnalité entière est affectée par l’anxiété sociale
J’évite car je crains d’être jugé
Besoin de certitude avant de se sentir sécure en relation
Inhibition au niveau de la sexualité, car crainte d’être humilié à ce niveau
Si l’autre me critique, c’est sur qu’il va me rejeter
Inhibition: mécanisme de défense, moins il voit des parties de moi, moins la personne me connaît, moins de chance de rejet
Mode général d’inhibition sociale, de sentiment de ne pas être à la hauteur et d’hypersensibilité au jugement négatif d’autrui qui apparaît au début de l’âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoigne au moins 4 des manifestations suivantes:
- Évite les activités sociales professionnelles qui impliquent des contacts importants avec autrui par crainte d’être critiqué, désapprouvé ou rejeté
- Réticence à s’impliquer avec autrui à moins d’être certain d’être aimé
- Est réservé dans les relations intimes par crainte d’être exposé à la honte et au ridicule
- Craint d’être critiqué ou rejeté dans les situations sociales
- Est inhibé dans les situations interpersonnelles nouvelles à cause d’un sentiment de ne pas être à la hauteur
- Se perçoit comme socialement incompétent, sans attrait ou inférieur aux autres
- Est particulièrement réticent à prendre des risques personnels ou à s’engager dans de nouvelles activités par crainte d’éprouver de l’embarras
LA PERSONNALITÉ ÉVITANTE description et différences avec phobie sociale
Haut niveau de contrôle, au détriment de la spontanéité
–>Pas bcp de prise de risque
Évitement (et justifications) perpétuel afin d’éviter situations angoissantes
–>On se prive d’activités et contacts sociaux dont on a envie, mais la menace est trop angoissante
Rationalisation (vs regard critique sur soi-même)
–> P.ex. fatigue, manque d’intérêt, ou caractéristiques des autres
–> Absence d’un véritable choix, donc prive de bien-être
–>Rationnalise tt les évitements, plutôt de porter une critique sur eux-mêmes. Pas conscient de se problème et de la détresse que ça leur cause.
–>Très inconscient, leur discours le reflète aussi.
Différences avec phobie sociale:
–> Évitements rationalisés (vs culpabilisés)
–> Attribution de responsabilité externe (vs interne)
–> Conscience floue de son anxiété sociale (vs conscience de l’anxiété et de souffrance associée)
–>Phobie sociale: conscients du trouble vs dans la personnalité évitante pas vrm
LA PHOBIE SOCIALE: CRITÈRES DIAGNOSTIQUES (DSM-5)
A. Peur ou anxiété intenses d’une ou plusieurs situations sociales durant lesquelles le sujet est exposé à l’éventuelle observation attentive d’autrui. Des exemples de situations incluent des interactions sociales (p. ex. avoir une conversation, rencontrer des personnes non familières), être observé (p. ex. en train de manger ou de boire) et des situations de performance (p. ex. faire un discours)
B. La personne craint d’agir ou de montrer des symptômes d’anxiété d’une façon qui sera jugée négativement (p.ex. humiliante ou embarrassante, conduisant à un rejet par les autres ou à les offenser)
C. Les situations sociales provoquent presque toujours une peur ou une anxiété
D. Les situations sociales sont évitées ou subies avec une peur ou une anxiété intenses
E. La peur ou l’anxiété sont disproportionnées par rapport à la menace réelle posée par la situation sociale et compte tenu du contexte socioculturel
F. La peur, l’anxiété ou l’évitement sont persistants, durant habituellement six mois ou plus
LA PHOBIE SOCIALE description
Peur persistante d’une ou plusieurs situations dans lesquelles le sujet…
–> Est exposé à l’observation d’autrui
–> Craint d’agir de façon humiliante ou embarrassante
Évitement de ces situations (ou anxiété intense à leur approche)
–> Interfère avec vie professionnelle et sociale
–> Peut aussi présenter froideur/distance (voir agressivité)
Lien avec consommation d’alcool et symptômes dépressifs
–>On peut retrouver ces personnes en crise de panique
–>Anxiété sociale est le trouble le PLUS associé à la dépression, et pourtant c’est un des troubles qu’on entend le moins parlé.
TRAITER L’ANXIÉTÉ SOCIALE
Médication psychoactive
Psychothérapie et efforts quotidiens sur les plans:
- Comportemental
–> Exposition (cesser évitement)
–> Développer habiletés sociales (communication et affirmation de soi) - Cognitif
–> Modifier pensées et croyances - Émotionnel
–> Faire face aux émotions
COMPORTEMENTAL : EXPOSITION
Exercices d’exposition – ingrédients nécessaires
Suffisamment longs
Régulièrement répétés
Complets
Accompagnés d’efforts de décentration
–> courbe d’habituation: au début l’anxiété monte full haut, ça reste stable pendant un bout, puis ça commence a baisser
–> tt ça au fil des expositions
–>Quand on travaille l’exposition en thérapie, c’est que les personnes vont quitter avant de se rendre au point J, et cela est pire que de ne pas s’exposer, car fait un effet de « si je n’avais pas quitté, je serais mort »
20-30min/jour d’exposition (exposition complète, sans évitements subtils ex: sans petite doudou, on veut que la personne s’expose complètement à l’angoisse), sur une base assez régulière
Décentration: de détourner le regard de soi-même, efforts de décentration=l’exposition est plus efficace, plus rapidement
COGNITIF: LE TRAVAIL SUR LES COGNITIONS
Pensées : causes ou conséquences de l’anxiété sociale?
–>Les pensées apparaissent non pas comme une conséquence de l’anxiété sociale, mais comme une cause de l’anxiété sociale (survenu et maintient de l’anxiété sociale) ex: « Moi je ne suis pas intéressant et personne ne veut être près de moi » : Cause l’anxiété sociale
La double évaluation (menaces, ressources)
–>Double évaluation: Je pense que 90% de chances que j’aille un blanc dans une conversation avec un collègue, alors qu’en réalité il y a seulement 20% de chances.
Les erreurs de logique
–> Sélection: : Basé sur de vrais indices ex: « Les gens ne me trouvent pas intéressant, car ils baillent. »
–> Personnalisation:
–> Généralisation
–> Dichotomie: Pas bcp de nuances, tout noir/tout blanc « Ce soir j’étais poche. » ex: « Je suis allé au 5 à 7 et je n’ai parlé à personne. » « Qu’est-ce que tu as fait pendant 3h? » « Ah! Ben j’ai parlé à Maryse… » « Bon, donc tu n’as pas parlé à personne… » « Ouin, c’est vrai. »
Les croyances fondamentales
–> Inconscientes et résistantes à l’épreuve de la réalité
—>Pensées: Pointe de l’iceberg
Croyances: Encore plus profond que les pensées, base de l’iceberg. Plus établit, varient moins. Rigide et stable dans le temps. Schémas inconscients. En thérapie: Aider la personne à prendre conscience de ces croyances fondamentales.
–> Assimilation (sacrifier les faits) vs accomodation (prendre en considération les faits, mène à remise en question)
–>Biais de l’assimilation (Piaget): Sacrifier les faits. Si je suis convaincu que je suis une personne qui manque de culture, je ne connais jamais rien (croyance fondamentale), j’ai grandi dans un environnement où on me disait « laisse faire tu ne comprends rien », je vais recruter tous les indices qui viennent renforcer et qui sont cohérents avec ma croyance fondamentale. Anxieux social fonctionnent sous ce mode.
Accommodation: Accumule les indices au fur et à mesure et fait en sorte que les croyances fondamentales vont bouger en fonction de ces indices. Croyances fondamentales peuvent bouger au gré des expériences réelles que je vais vivre.
Anxiété sociale = anxiété d’évaluation
–>On fait pleins d’erreurs d’évaluation sur notre propre personne, sur les gens qui nous entourent et à cause de tt ses erreurs d’évaluation on craint les gens.
Trois familles de craintes (erreurs de logique)
1. Visibilité des défauts/symptômes
2. Négativité du jugement d’autrui
3. Conséquences négatives du jugement
Exigences excessives
Le travail thérapeutique:
–> Mettre en lumière pensées/croyances dysfonctionnelles et les assouplir
–> Poursuite du travail entre rencontres
–>Exercices de restructuration cognitive: « C’est quoi les preuves? C’est quoi les contre-preuves? » On attaque les croyances fondamentales. On force la personne à se diriger vers l’accommodation.
ÉMOTIONNEL : FAIRE FACE AUX ÉMOTIONS
La peur (avant et pendant)
–> Continuer d’agir
–> Se concentrer sur situation vs sur peur
La honte (pendant et après)
–> Éviter de généraliser
–> Critique constructive, bienveillante
–> Lutter contre le fait de s’isoler, se cacher (rester en lien + épreuve de réalité)
–>Critique constructive: Pour se responsabiliser autour de notre anxiété.
VS Critique destructive: Détruit la motivation à l’exposition
–> Quand on a honte, on s’isole, on se cache entièrement (alors qu’on a seulement montré une partie de soi), pour réguler nos émotions.
