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Psychologie de la personnalité > Cours 9 : Approche sociocognitive > Flashcards

Cours 9 : Approche sociocognitive Flashcards

1
Q

Quelles distinctions peut-on faire entre l’approche socio-cognitive et la psychanalyse ?

A

Motivation inconsciente, influence de l’enfance vs réflexion consciente sur soi & sur les évènements marquants tout au long de la vie.

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2
Q

Quelles distinctions peut-on faire entre l’approche socio-cognitive et l’approche des traits ?

A

Selon l’approche sociocognitive, la personnalité est constituée de tendances globales ET variables selon l’environnement.

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3
Q

Quelle critique l’approche socio-cognitive fait-elle de la psychologie évolutionniste ?

A

La psychologie évolutionniste ne permet pas d’expliquer pourquoi il y a eu tant de modifications importantes lors de changements de périodes historiques

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4
Q

Quelle critique l’approche socio-cognitive fait-elle béhaviorisme ?

A

L’environnement ne détermine pas complètement le comportement. Les individus sont capables de maîtrise de soi, de s’orienter et d’apprendre de modèle.

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5
Q

5 principes clés de l’approche socio-cognitive

A
  1. Personne = agent actif
  2. Comportement a des origines sociales
  3. Processus cognitifs importants dans la personnalité
  4. Le comportement est fait de tendances habituelles ET de variabilité
  5. Individus apprennent de modèles
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6
Q

Mischel était inspiré par quelle théorie au début de sa carrière ? Pourquoi l’a-t-il délaissé ?

A

La psychanalyse de Freud

Il l’a délaissé lorsque ses tentatives d’appliquer la théorie en clinique se sont avérées vaines.

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7
Q

Selon l’approche socio-cognitive, l’humain est-il capable de changement ?

A

Oui!!!

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8
Q

Les socio-cognitifs s’intéressent à la singularité des individus. Ils priorisent donc des méthodes

A

Idiographiques

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9
Q

Vrai ou Faux : selon les socio-cognitifs, l’être humain est un agent actif

A

Vrai.

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10
Q

Parle moi du débat personne-situation

A

Est-ce que c’est la personne ou la situation qui dicte le comportement ? Selon Mischel, la situation peut influencer le comportement mais il va varier selon des patrons stables dans les situations (ex : toujours peur dans des situations sociales)

Le comportement = résultat de la capacité à discriminer les situations et y réagir différemment.

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11
Q

Quelle est la conclusion de l’étude de Shode, Mischel et Wright sur les enfants au camp de vacances ?

A

Même si certains enfants sont plus agressifs, le comportement varie selon les situations (interaction entre enfants ou avec autorité). Il varie cependant de manière stable (toujours agressif avec les autres enfants)

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12
Q

Qu’est-ce que la spécificité situationnelle selon l’approche socio-cognitive ?

A

Chaque situation crée des attentes qui dictent comment agir selon comment l’individu interprète les situations (cognitions). Ses actions (suite des cognitions) crée des patrons d’action uniques à l’individu qu’il va donc répéter si la situation se présente à nouveau (empreintes comportementales)

Situation = attentes = cognitions = actions = empreintes comportementales.

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13
Q

Quelles sont les 4 composantes de la personnalité

A
  1. Croyances / attentes
  2. Objectifs personnels
  3. Normes d’évaluation
  4. Compétences / habiletés concrètes
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14
Q

Parle moi des compétences

A

Permettent d’accomplir une action efficace ou non. Spécifiques à l’individu.

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15
Q

Les compétences sont la combinaison de 2 types de connaissances, lesquelles ?

A
  1. procédurales (apprendre à faire du vélo)

2. déclaratives (apprendre les capitales des pays)

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16
Q

Les compétences sont spécifiques à un _______

A

Contexte

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17
Q

Les compétences s’acquiert avec des __________ et des _________

A

Interactions et observations.

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18
Q

Parle moi des attentes / croyances

A

Perception du monde et du furut. Anticipation d’un résultat attendu dans une situation précise.

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19
Q

Quelle composante est le principal déterminant des actions / émotions ?

A

Les ATTENTES

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20
Q

Comment se forment les attentes ?

A

Regroupement de situations (associations). Ex : j’aime pas ma vie à l’école (vie d’école au complet)

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21
Q

Qu’est-ce qui explique de 2 individus réagissent de manière différente à un évènement ?

A

Les attentes de récompenses/punitions vs ce qui arrive vraiment.

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22
Q

Quels sont les 2 types d’attentes ? Quel type a le plus d’impact sur la motivation et la performance à la tâche ?

A
  1. Attente d’auto-efficacité : anticipation de sa capacité à faire une tâche donnée (SEP)
  2. Bénéfices anticipés : conséquences anticipés de l’émission d’un comportement donné

Attentes d’auto-efficacité ont plus d’impact parce que si je ne me sens pas apte à réussir une tâche, même si celle-ci peut engendrer des conséquences souhaitables, je ne vais pas m’engager.

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23
Q

Parle moi des objectifs personnels

A

Évènement souhaité qui guide / motive l’individu à long terme.

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24
Q

Qu’est-ce que permettent les objectifs personnels ?

A

La maîtrise de soi (ne pas céder aux bénéfices à court terme pour accéder à un meilleur bénéfice à long terme)

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25
Q

Parle moi des normes d’évaluation. Pourquoi sont-elles fondamentales ?

A

Critère pour évaluer la valeur d’une personne / d’une chose. Indique si l’individu agit selon comment il devrait être.

Fondamentales pour la motivation et le rendement.

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26
Q

Qu’est-ce qu’une réaction d’auto-évaluation ? Pourquoi est-ce nécessaire ?

A

Sentiment de satisfaction / insatisfaction envers soi quand on évalue nos actions.

Nécessaire au maintien du comportement.

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27
Q

Pourquoi certaines personnes se désengagent de normes morales ?

A

Parce que cela leur permet d’agir de manière immorale sans vivre une culpabilité interne (ex : employés à l’exécution de criminels soumis à la peine de mort)

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28
Q

Les 4 composantes de la structure de la personnalité sont __________. Explique

A

Interreliées

Les compétences affecte le SEP qui crée un certain nombre d’attentes.

Les attentes permettent la fixation d’objectifs plus ou moins difficiles à atteindre.

On peut atteindre ces objectifs grâce à nos compétences

On peut évaluer notre performance à l’aide de normes d’évaluation.

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29
Q

Les 4 composantes varient selon les _________

A

Situations

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30
Q

Qu’est-ce que le sentiment d’efficacité personnelle ?

A

La perception que l’individu a de sa capacité future à composer avec une situation donnée (croyances sur ses capacités à réussir)

3 caractéristiques : perception personnelles, sur le futur, et pour une situation précise.

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31
Q

Que permet de prédire le SEP ? Pourquoi (4 raisons) ?

A

La performance à l’action.

Parce qu’il influence :

  • Le choix des tâches
  • La fixation d’objectifs
  • La quantité d’efforts
  • La capacité à rester calme devant l’adversité
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32
Q

Est-ce que le SEP est malléable ?

A

Oui! Facile à changer, améliorer.

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33
Q

SEP vs soi.

A

SOI : global, unifié

SEP : micro-perception d’habiletés

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34
Q

SEP vs Concept de Soi

A

Concept de soi : perceptions des habiletés / affects généraux par rapport à soi (construit avec sous-dimensions)

SEP : construit spécifique, pas de sous-dimension

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35
Q

SEP vs Estime de soi

A

Estime de soi : jugement global affectif de l’individu sur sa valeur.

SEP : pas associé à la valeur personnelle / affective de l’individu

36
Q

Qu’est-ce que l’autorégulation ?

A

Comment une personne motive son comportement à partir de référents internes (motivation interne).

37
Q

Les processus cognitifs _________ l’autorégulation

A

Permettent

38
Q

Vrai ou faux : la personnalité est peu malléable selon les socio-cognitifs

A

Faux. Personnalité très malléable !

39
Q

L’individu est un ____ ______ de son comportement. Il agit de manière _________

A

agent causal

délibérée

40
Q

Est-ce que ce sont les forces externes ou les forces internes qui causent le comportement ?

A

Les deux sont en interaction !

41
Q

Le déterminisme réciproque rejette les autres théories, pourquoi ?

A

Parce que cela ne limite pas la cause du comportement simplement à des facteurs externes ou internes. Suppose une interaction entre la personne, l’environnement et le comportement.

42
Q

Selon le déterminisme réciproque, quelles sont les 3 instances qui interagissent entre elles ?

A

Comportement
Environnement
Personne

43
Q

Est-ce que l’approche socio-cognitive contredit totalement le béhaviorisme ?

A

Non. Bandura dit que l’environnement peut avoir un impact sur le comportement mais que l’individu peut aussi changer ses comportements pour changer ses environnements.

44
Q

Qu’est-ce qu’une empreinte comportementale ?

A

Une tendance habituelle de comportement propre à chaque individu dans une situation donnée.

45
Q

Définis l’autovalorisation. Vers quel comportement pousse-t-elle ?

A

Désir de maintenir des visions positives de soi / les améliorer.

Pousse vers la surestimation des qualités (en comparant avec des gens vraiment moins bons que nous)

46
Q

Définis l’autovérification. Sur quoi fait-elle en sorte de focaliser l’attention ?

A

Désir d’avoir de l’information sur soi qui confirme le concept de soi.

Focalise l’attention sur la partie de notre vie qui est en accord avec notre perception de nous-mêmes (ex : je suis introverti donc je raconte la partie de mon week-end où j’ai lu)

47
Q

Vrai ou faux : selon le principe d’autovérification, les gens fréquentent ceux qui les voient différemment de comme ils se voient eux mêmes

A

Faux. Les gens fréquentent ceux qui les voient comme ils se voient eux-mêmes.

48
Q

Définis l’apprentissage vicariant (2 caractéristiques)

A

Apprentissage par observation de modèles (sans renforcement direct)

  1. Développement de représentations mentales d’un comportement observé chez autrui et de la capacité à reproduire ce comportement par la suite
  2. Emmagasinage du comportement ET des conséquences associées / réactions émotionnelles chez autrui
49
Q

Est-ce que l’apprentissage vicariant revient à de l’imitation ?

A

Non. On apprend avec l’apprentissage vicariant des règles de comportements qui vont guider les nôtres par la suite. On n’apprend pas simplement à imiter un comportement donné.

50
Q

Selon l’approche socio-cognitive, est-ce que tout doit être renforcé pour être appris ?

A

Non.

51
Q

Décris la procédure de l’étude de la poupée Bobo.

A
  1. Observation d’un modèle agressif (récompensé, puni ou sans conséquences)
  2. Chercheurs encouragent l’enfant à reproduire le modèle ou ne font aucune intervention
52
Q

Quelles sont les observations faites avec l’expérience de la poupée Bobo ?

A
  1. Le renforcement direct augmente la fréquence du comportement (groupe 1 vs 2)
  2. L’observation d’un modèle récompensé augmente les comportements agressifs
  3. Le groupe 1 a le même niveau d’agressivité peu importe le renforcement observé à l’étape 1. Ils ont tous APPRIS le comportement.
53
Q

Définis le conditionnement émotionnel vicariant

A

Réaction émotionnelle développée avec observation de modèle (ex: ma mère a peur des serpents donc je développe cette peur moi aussi).

54
Q

On peut ________ un comportement sans récompense mais on a besoin de ____________ pour _________

A

apprendre
récompense
exécuter

55
Q

Distingue acquisition d’exécution.

A

Acquisition : apprentissage de nouveau comportement (indépendant des récompenses)

Exécution : production du nouveau comportement (dépendant des récompenses)

56
Q

La motivation / persévérance dépend de 2 choses.

A

Le SEP et la rétroaction (autoévaluation).

57
Q

Définis la gratification différée

A

Renoncer à une bonne chose maintenant pour avoir mieux plus tard.

58
Q

La gratification est acquise grâce à quel processus ?

A

L’apprentissage vicariant

59
Q

Quelle est la conclusion de l’étude du Marshmallow ?

A

Le fait de ne pas voir la récompense rend l’attente (la maîtrise des pulsions) plus tolérable

60
Q

Quel est le facteur clé de différer la gratification chez les enfants ?

A

L’aptitude de l’enfant à attendre dépend de ce qui occupe son esprit. Le fait d’imaginer une représentation d’objet permet un encodage rationnel FROID.

61
Q

Qu’est-ce qui, surtout pour les enfants, est plus important que la récompense en soi ?

A

La représentation mentale de cette récompense.

62
Q

Est-ce que la capacité à différer la gratification (à maîtriser ses émotions / pulsions) est une aptitude durable ?

A

Oui!

63
Q

Qu’est-ce que la psychopathologie selon l’approche socio-cognitive ?

A

Le résultat de croyances irréalistes / inadaptées.

64
Q

Comment traiter une psychopathologie selon l’approche socio-cognitive ?

A

Corriger les distorsions cognitives et les remplacer par des cognitions plus réalistes / adaptées.

65
Q

Quel est le facteur-clé des réactions problématiques ? Pourquoi ?

A

Les attentes par rapport au futur. C’est ce qui fait en sorte que la réaction va se généraliser / se perpétuer.

66
Q

Les croyances inadaptées ont deux caractéristiques. Nomme-les

A
  1. Elles sont absolues (je suis jamais capable.)
  2. Elles traduisent une vision négative de soi, du monde et ou du futur (je serai toujours incapable parce que les autres me veulent du mal)
67
Q

Quelle est la triade cognitive pouvant mener à la dépression ?

A

Croyances inadaptées par rapport à soi, au monde et au futur.

68
Q

Les discours internes problématiques ont une influence causale (cause) quoi ?

A

Les problèmes de comportement et d’adaptation des individus.

69
Q

Il y a 2 étapes au traitement des discours internes problématiques. Nomme-les.

A
  1. Identifier et éliminer la cognition problématique

2. La remplacer la une cognition bénéfique pour augmenter le SEP

70
Q

Quelles sont les 3 vagues d’intervention thérapeutique ? Décris-les brièvement. Dans laquelle l’approche socio-cognitive prend-t-elle place ?

A
  1. Béhavioriste : modifier les contigences permet de modifier le comportement
  2. Cognitive : modifier l’environnemen ET les pensées / croyances problématiques permet de changer le comportement. ICI QUE SOCIO-COGNITIF
  3. Axée sur les émotions : observer / accepter les émotions permet le changement.
71
Q

Décris brièvement la TCC

A

Approche psychothérapeutique pour modifier le comportement, les cognitions et les émotions inadaptées avec une procédure orientée sur un objectif. Le client et le thérapeute s’entendent sur l’objectif à atteindre.

72
Q

Il y a 4 éléments clés à la TCC. Lesquels (décris brièvement)

A
  1. Cibler précisément les interventions dès le début
  2. La démarche doit être structurée et courte (petites réussites pour augmenter le SEP)
  3. Collaboration entre thérapeute et client est nécessaire (le client décide des cibles, le thérapeute propose des objectifs et des moyens, les deux s’entendent)
  4. Le client joue un rôle ACTIF. (dit ce qu’il pense / ressent pour permettre au thérapeute de travailler)
73
Q

Selon Bandura, il y a 3 objectifs au changement. Lesquels ?

A
  1. Apprentissage de nouveaux modes de pensées / comportements
  2. Apprentissage de comportements à généraliser pour que l’individu puisse s’ajuster à des situations
  3. Augmentation du SEP (pour que l’individu croit qu’il peut faire face à la situation)
74
Q

Décris le modelage

A

Technique thérapeutique d’apprentissage vicariant (observer un modèle faire le comportement désiré pour le répliquer éventuellement)

75
Q

Décris la participation guidée

A
  • Modelage (observation du comportement chez un modèle)

- Puis le thérapeute guide verbalement le client dans la réalisation du comportement (rétroaction)

76
Q

Que permet la participation guidée vs modelage ?

A
  • augmenter le SEP (petites victoires pcq comportement divisé en petites actions)
  • client peut vivre une expérience de maîtrise.
77
Q

Laquelle des deux techniques (modelage ou participation guidée) est la plus efficace et pourquoi ?

A

Participation guidée

  • augmente le SEP
  • permet une généralisation du comportement à plusieurs situations.
78
Q

Vrai ou Faux : la relation entre le SEP et la performance est plus forte que la relation entre la performance passé et présente.

A

Vrai.

79
Q

Un augmentation du SEP augmente la probabilité de __________.

A

Changement

80
Q

Quelles sont les 5 conditions pour augmenter le SEP ?

A
  1. Choisir un modèle auquel on peut s’identifier (qui nous ressemble)
  2. Structurer le comportement à apprendre en petites actions de la plus facile vers la plus difficile
  3. Faire vivre des petits succès au patient avec la participation guidée
  4. Fournir des pratiques du comportement en milieu contrôlé (ex : jeu de rôle)
  5. Favoriser l’autonomie du client en dehors du milieu contrôlé (autorégulation à l’extérieur)
81
Q

La théorie socio-cognitive est-elle systématique ? Quelle autre nom peut-elle porter ?

A

Non. Il n’existe pas d’ensemble cohérent des éléments interreliés. C’est plus une stratégie / un cadre de référence pour étudier la personnalité

82
Q

La théorie socio-cognitive est-elle vérifiable ?

A

Oui. Les construits sont clairs et les outils sont disponibles pour tester les idées.

83
Q

La théorie socio-cognitive est-elle exhaustive ?

A

Assez complète, mais omet quelques sujets importants (désirs, génétique, conflits internes)

84
Q

La théorie socio-cognitive a-t-elle des applications utiles ?

A

Oui. Notamment parce que les chercheurs n’ont pas séparé la recherche fondamentale de la recherche clinique.

85
Q

La théorie socio-cognitive est-elle composée d’observations scientifiques ?

A

Oui. Données / méthodes diverses.

Psychologie de la personnalité (4 decks)

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