Création et développement des relations Flashcards

(99 cards)

1
Q

Qui suis je? Toute condition de la personne qui est essentielle et nécessaire pour sa croissance, son bien être et sa vie.

A

Un besoin.

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2
Q

Quels sont les problèmes de la pyramide de Maslow? (2)

A
  1. Elle n’a pas été validé scientifiquement
  2. Pleins d’observations la contredit (ex: différences culturelles)
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3
Q

Quel est l’effet d’une insatisfaction des besoins?

A

Pour éviter que ça devienne dangereux ou trop négatif (dommages psychologiques, physiques, sociaux, etc.), notre cerveau déclenche des mécanismes de défense.

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4
Q

Qu’elle forme les mécanismes de défense contre l’insatisfaction de besoin prennent?

A

D’états motivationnels (envies, impulsions à agir) et d’états émotionnels (comme la colère, la peur, la tristesse, etc.).

Ces émotions et motivations nous poussent à agir rapidement pour rétablir l’équilibre, éviter des conséquences graves, ou protéger notre bien-être

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5
Q

Vrai ou faux? L’insatisfaction persistante et chronique peut causer des problèmes de santé physique/psychologique.

A

Vrai

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6
Q

Quels sont les trois catégories de besoins fondamentaux?

A

Physiologiques, psychologiques et sociaux.

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7
Q

Qui suis-je? Processus psychologique inné qui sous-tend le désir proactif de chercher des interactions avec l’environnement qui promeuvent le développement personnel, le développement social et le bien-être psychologique.

A

Le besoin psychologique

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8
Q

Quels sont les 3 aspects incluent dans le besoin psychologique?

A

L’autonomie, la compétence et * la relation à autrui *

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9
Q

Quels sont les aspects incluent dans le besoin social? (4)

A

La réussite, le pouvoir, * l’affiliation * et * l’intimité *

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10
Q

Qui suis-je? Processus psychologique acquis par la socialisation et l’expérience qui pousse à chercher et à passer du temps à vivre des événements qui ont été associés à des émotions positives.

A

Le besoin social

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11
Q

Quel besoin est inné et universelle qui est essentiel pour avoir un bon fonctionnement (survire)?

A

Le besoin psychologique

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12
Q

Quel besoin est contextualisé, influencé par la personnalité et varie selon la personne?

A

Le besoin social

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13
Q

Associe la définition au bon besoin - besoin de relation, d’affiliation ou d’intimité.

  1. Besoin de s’engager dans des relations chaleureuses, proches et positives qui entraînent un faible risque de rejet.
  2. Besoin d’établir des liens affectifs étroits et des attaches avec d’autres personnes qui sont importantes pour soi, d’être affectivement connecté et interpersonnellement impliqué dans
    des relations chaleureuses.
  3. Besoin de vivre un échange chaleureux, proche et communicatif avec une autre personne.
A

1 : d’affiliation
2 : relation à autrui
3 : d’intimité

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14
Q

Quel besoin psychologique est relié à la confiance et à la sécurité?

A

Le besoin de relation à autrui (ex: avoir quelqu’un qui va toujours être là pour nous et nous accepté tel quel).

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15
Q

Quel besoin ce qualifie du besoin d’être en contact avec des gens et qui est lié a des sentiments négatifs (peur d’être seul).

A

Le besoin d’affiliation

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16
Q

Quel besoin ce qualifie d’un besoin de confidences et d’avoir du plaisir avec quelqu’un en particulier. (Indice : c’est simplement être la recherche de plaisirs et de bons moments).

A

Le besoin d’intimité

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17
Q

Vrai ou faux? Les besoins de relation à autrui, d’affiliation et d’intimité sont des continuum qui peut avoir des intensités différentes.

A

Vrai

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18
Q

Laquelle des affirmations suivantes est vraie à propos des besoins instrumentaux ?

A. La personne ayant un besoin instrumental évite systématiquement de demander de l’aide.
B. Les besoins instrumentaux concernent uniquement le soutien émotionnel.
C. Lorsqu’un besoin instrumental se manifeste, toutes les personnes cherchent automatiquement du soutien.
D. La recherche d’aide en contexte de besoin instrumental dépend en grande partie de la confiance envers autrui.

A

D

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19
Q

Qu’est-ce qui augmente les opportunités de se rencontrer, d’interagir, de se connaître et de développer des liens.

A

La proximité

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20
Q

Qu’est-ce qui nous donne l’impression de connaître la personne, ce qui augmente notre sentiment de confiance.

A

La familiarité

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21
Q

Qu’est-ce que l’effet de la simple exposition?

A

Préférence pour les stimuli auxquels nous avons déjà été exposés.

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22
Q

Quelles sont les limites de la simple exposition?

A
  • Si la première impression est défavorable, la proximité et la familiarité peuvent diminuer l’attraction.
  • La surexposition peut diminuer l’attraction.
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23
Q

Quel énoncé décrit correctement l’effet de l’apparence physique sur nos jugements sociaux ?

A. L’apparence physique n’influence pas nos premières impressions.
B. Les personnes séduisantes sont perçues comme moins indépendantes, car elles reçoivent plus d’aide.
C. Les caractéristiques physiques peuvent influencer nos émotions et comportements envers autrui.
D. Les gens de beauté moyenne sont généralement jugés comme ayant plus de qualités que les très beaux.

A

C

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24
Q

Selon les recherches sur l’apparence physique, nous avons tendance à :

A. Avoir des comportements plus froids envers les personnes séduisantes.
B. Considérer que les belles personnes sont plus fortes, gentilles et sociables.
C. Faire davantage confiance aux personnes de beauté moyenne.
D. Avoir un biais négatif envers les enfants jugés beaux.

A

B

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25
Lequel des exemples suivants illustre un comportement influencé par l’apparence physique ? A. Les enseignants donnent de meilleures notes aux élèves qui réussissent bien. B. Les mères nourrissent davantage les bébés qui pleurent le plus. C. Les belles personnes ont plus de chances de recevoir de l’aide d’un inconnu. D. Les enfants populaires sont toujours les plus intelligents.
C
26
Quels sont les 4 types de similarités dans une relation interpersonnelles?
- Sociodémographie. - Personnalité. - Apparence physique. - Intérêts.
27
Quels sont les 4 types de complémentarité?
- Personnalité. - Style comportemental. - Habiletés ou secteurs de réussite. - Ressources.
28
Vrai ou faux? Les traits de personnalité similaires semblent être ce qui satisfait plus les jumelages.
Vrai
29
Vrai ou faux? La complémentarité veut nécessairement dire opposé.
Faux
30
Selon le principe d’appréciation, nous avons tendance à : A. Ressentir de l’attirance pour les personnes qui nous critiquent, car elles nous aident à nous améliorer. B. Être indifférents aux réactions des autres envers nos comportements. C. Aimer les personnes qui nous encouragent, nous valorisent et nous montrent de l’affection. D. Préférer les individus qui s’opposent à nous, car cela stimule nos échanges.
C
31
Vrai ou faux? L’humour est un facteur d’attraction qui joue en faveur des hommes. Pour une femme qui fait de l’humour, on n’observe pas le même pouvoir d’attraction.
Vrai
32
Quelles sont les observations de l'étude de Bressler et Balshine? (L'humour chez les hommes/femmes beaux/laids). (3)
1. Les femmes sont plus attirées par les hommes avec humour, mais pas les hommes. 2. Tout les participants pensaient que les gens avec un sens de l'humour sont plus adapté socialement mais moins intelligent/confiant. 3. Les blagues grossiers et noires ne fonctionne pas.
33
Qui suis-je? L’excitation attribuée à une situation donnée peut être attribuée par erreur à une autre situation proximale dans le temps, et ainsi influencer l’état émotionnel.
Le transfert d'excitation
34
Vrai ou faux? Les personnes sortant d'un manège sont plus attirées par les autres (par erreur d'attribution).
Vrai, c'est ce qu'on appelle le transfert d'excitation.
35
Dans quels situations spécifiques est ce que le transfert d'excitation ne se produit pas? (3)
1. Il est moins susceptible de se produire en l’absence de provocation. 2. Il est moins susceptible de se produire si la personne est consciente de l’effet résiduel. 3. Il est moins susceptible de se produire si la personne attribue clairement l’effet résiduel à la source initiale.
36
À quelles hypothèses en sont arrivées Tifferret et col. lorsqu'ils ont étudiés l'effet des guitares. (3)
1. Les gens qui jouent de la musique sont disciplinés surtout si c'est un instrument difficile. 2. Les gens qui jouent de la guitare sont souvent mystérieux/bohèmes. 3. La musique de façon générale est associée au plaisir.
37
À propos du modèle de développement relationnel de Knapp, lequel des énoncés suivants est vrai ? A. Le modèle de Knapp s’applique uniquement aux relations amoureuses. B. Il décrit un enchaînement d’étapes qui peuvent varier en durée, être sautées ou coexister. C. Ce modèle est normatif et prescrit les comportements à adopter dans une relation. D. Une fois qu’une relation atteint une étape, elle ne peut plus reculer.
B
38
Quel élément fait partie intégrante du modèle de développement relationnel de Knapp ? A. L’idée que chaque relation suit exactement le même parcours, sans exception. B. Le fait que les relations progressent toujours en ligne droite, sans retour possible. C. Une dynamique de mouvement vers l’avant (approfondissement) ou vers l’arrière (détérioration). D. L’absence de liens entre les différentes étapes d’une relation.
C
39
Quand est-ce que la durée d'une étape est plus rapide dans le modèle de d.r. de Knapp? (4)
1. Pendant les premières étapes et celles déjà réalisées. 2. Quand le temps est court (projet de session, voyage) 3. Si une personne commet une violation (triche --> rapidité vers la séparation) 4. Si les deux se voit très souvent
40
Quand est-ce que la durée d'une étape est plus lente dans le modèle de d.r. de Knapp?
Quand l'une des deux personnes n'est pas prête à l'autre étape.
41
Quel comportement est typique de la phase initiale d’une relation, selon le modèle de Knapp ? A. Faire des confidences profondes B. Analyser les signaux et s’introduire de manière superficielle C. Planifier des projets communs D. Vivre une période de conflits fréquents
B
42
Lors de l’étape de découverte, les individus : A. Évitent de parler de leurs intérêts personnels B. Présentent une image d’eux-mêmes banale et comparent les points communs C. Commencent à vivre ensemble D. Se disputent fréquemment
B
43
L’étape de renforcement des liens est marquée par : A. Un désengagement émotionnel progressif B. La prise de distance pour mieux se retrouver C. Des confidences, une meilleure prédiction des réactions de l’autre D. Une rupture temporaire pour mieux revenir
C
44
À quoi reconnaît-on l’étape de la fusion ? A. L’évitement des désaccords pour préserver la relation B. L’apparition de premiers conflits C. Une forte individualisation des projets D. Les deux individus deviennent un « nous » avec projets communs et similitudes
D
45
Dans la phase d’engagement, on observe généralement : A. Une communication plus distante B. Des conflits autour de la perte d’autonomie C. Des projets concrets comme vivre ensemble ou voyager D. Une absence totale de communication
C
46
La phase de différenciation correspond à : A. Une séparation brutale B. La redéfinition du “nous” en deux “je”, en valorisant l’individualité C. L’apparition d’un désintérêt général D. Une crise de confiance permanente
B
47
Qu’est-ce qui caractérise la phase de circonspection ? A. L’augmentation des projets à deux B. Une absence d’activités partagées C. La poursuite de certaines activités malgré moins de confidences D. La rupture immédiate
C
48
Dans la phase de stagnation, on remarque : A. Un renforcement du lien affectif B. Une communication plus riche qu’avant C. Une routine où l’on parle moins, sans forcément de conflit D. Une intensité émotionnelle accrue
C
49
Qu’indique l’étape d’évitement ? A. Une fréquence de conflits accrue et une baisse marquée des interactions B. L’envie de se voir davantage C. Une communication ouverte et fréquente D. Une relance de la passion initiale
A
50
À propos de la rupture, quelle affirmation est correcte ? A. Elle se fait toujours brutalement et dans le conflit B. Elle ne survient que lorsque la fusion est totale C. Elle est toujours définitive et irréversible D. Elle peut être lente ou rapide, et parfois harmonieuse
D
51
Quels sont les limites du modèle de développement relationnel? (3)
1. Il fonctionne moins bien pour les relations se déroulant sur les réseaux sociaux. 2. Une rupture ne signifie pas toujours un arrêt des interactions : plusieurs relations sont plutôt redéfinies. 3. Le modèle offre un aperçu général de l’évolution des relations interpersonnelles, mais il existe des différences entre les dyades.
52
Qui suis-je? Processus qui consiste à dévoiler délibérément des informations sur soi qui sont à la fois significatives et inconnues des autres.
L'ouverture de soi
53
Nomme moi quelques buts de l'ouverture de soi.
- La catharsis. - Le désir de réciprocité. - Le désir d’approfondir une idée. - Le besoin d’approbation. - La gestion de l’identité. - Le maintien ou le renforcement de la relation. - L’influence sociale.
54
Quels sont les deux dimensions de l'ouverture de soi et qu'est-ce qu'elles veulent dire?
Étendue : éventail de sujets partagés. Profondeur : degré d’intimité des informations divulguées.
55
Quels concepts sont incluent dans l'ouverture de soi? À part ces dimensions. (2)
La réciprocité (quand une personne s'ouvre l'autre aussi) et la fermeture (si une personne se ferme l'autre aussi).
56
Lors du stade d’orientation dans la théorie de la pénétration sociale, quel comportement est typiquement observé ? A. Partage de détails intimes et expression spontanée B. Communication sur des sujets polarisants C. Partage d’informations superficielles et prudence D. Profonde connexion émotionnelle
C
57
Quel est le principal changement observé entre l’échange affectif exploratoire et l’échange affectif ? A. Une réduction de l’étendue des échanges B. Une plus grande profondeur et spontanéité C. Une diminution de la spontanéité D. L’apparition de prudence dans les échanges
B
58
À quel stade les désaccords et les sujets controversés sont-ils abordés plus librement ? A. Échange affectif exploratoire B. Orientation C. Échange stable D. Échange affectif
D
59
Le stade d’échange stable est caractérisé par : A. Une communication principalement factuelle B. Une étendue et une profondeur constantes C. Une communication superficielle mais fréquente D. Un haut degré de prudence
B
60
Quel exemple correspond le mieux au stade d’échange affectif exploratoire ? A. Un collègue que vous voyez à l’occasion B. Votre meilleur ami C. Votre mère D. Un inconnu dans la rue
A
61
Quelle étape de l'évolution de la relation implique une augmentation de l'étendue, mais pas de la profondeur?
L'échange affectif exploratoire
62
Quelle étape de l'évolution de la relation implique une augmentation de l'étendue et de la profondeur?
L'échange affectif
63
Quelle étape de l'évolution de la relation implique une étendue et profondeur élevées et constantes?
L'échange stable
64
Qu'est-ce que la dépénétration?
Décider de délibérément d'arrêter de parler de soi même (soudain ou graduel).
65
À quoi mène la déprénétration?
À un arrêt de la relation ou d'une renégociation de la relation.
66
Vrai ou faux? Lors des conflits la profondeur diminue, mais l'étendue augmente.
Faux, la profondeur augmente et l'étendue diminue.
67
Vrai ou faux? Certains traits de personnalité favorise ou pas l'ouverture de soi?
Vrai, par exemple l'introversion diminue l'ouverture de soi.
68
Nomme moi quelques facteurs qui influencent l'ouverture de soi (à part la personnalité).
- L’appartenance culturelle. - Le sexe et le genre. - L’âge. (enfant à maman, ado aux amis) - Les auditeurs. - Les sujets abordés. (facile/difficile) - Le contexte physique et temporel. - Le canal (en ligne, irl)
69
Dans les cultures collectivistes, la communication avec les personnes extérieures au groupe : A. Se fait aussi librement qu’avec les membres proches B. Est inexistante C. Diffère grandement de celle avec les membres du groupe D. Est plus spontanée que dans les cultures individualistes
C
70
En général, les personnes issues de cultures individualistes : A. Sont plus réservées dans leurs échanges émotionnels B. Se confient même à des inconnus ou connaissances C. Évitent de partager quoi que ce soit de personnel D. Ont plus de sujets tabous
B
71
Parmi les groupes suivants, lequel a tendance à moins se confier que les Américains ? A. Les Canadiens B. Les Britanniques C. Les Italiens
B
72
Quelle affirmation est vraie à propos des Mexicains ? A. Ils évitent complètement les sujets intimes B. Ils abordent plus facilement les sujets intimes négatifs que positifs C. Ils parlent des sujets intimes positifs, mais évitent les négatifs sauf avec les proches D. Ils se confient ouvertement sur tous les sujets, peu importe à qui
C
73
Dans la culture japonaise, parler de sa vie personnelle à ses collègues est : A. Attendu et encouragé B. Considéré comme inapproprié C. Un signe de bonne intégration D. Un comportement courant comme en Amérique du Nord
B
74
Dans certaines cultures, surtout chez les hommes, l’expression émotionnelle est perçue comme : A. Une qualité recherchée B. Un signe de sagesse C. Une marque de faiblesse D. Un comportement universellement valorisé
C
75
Quelle configuration d’interaction favorise généralement le plus l’ouverture de soi ? A. Entre hommes B. Entre femmes C. Entre hommes et femmes D. Avec un inconnu
B
76
Lorsqu’il s’agit de révélations négatives sur soi, qui a tendance à s’ouvrir davantage ? A. Les femmes B. Les hommes C. Les deux également D. Ni l’un ni l’autre
C
77
En général, les hommes créent des liens par : A. L’expression émotionnelle B. Les confidences profondes C. Les activités partagées D. Les discussions sur leur vie secrète
C
78
Dans une relation qui évolue, les femmes ont tendance à : A. Diminuer leurs confidences pour préserver l’équilibre B. Révéler davantage leur vie secrète C. Attendre que l’autre personne parle en premier D. Se replier sur elles-mêmes émotionnellement
B
79
Concernant l’expression des émotions, on remarque que : A. Les hommes les partagent librement avec tout le monde B. Les femmes ne partagent qu’avec leur partenaire C. Les hommes et les femmes les partagent autant avec tout le monde D. Les femmes partagent avec plusieurs personnes, les hommes surtout avec leur partenaire
D
80
Parmi les affirmations suivantes, laquelle est vraie ? A. Les gens s’ouvrent généralement plus aux hommes qu’aux femmes B. Les hommes révèlent facilement leur vie secrète dans les relations proches C. Le sexe biologique est plus révélateur que le genre pour comprendre l’ouverture aux autres D. Il peut y avoir des malentendus hommes-femmes liés à leurs différences de communication
D
81
Vrai ou faux? Les femmes et les hommes sont égaux quand il s’agit de révéler des choses négatives sur eux-mêmes.
Vrai
82
Vrai ou faux? Les hommes ont tendance à établir des liens plus profonds que les femmes grâce aux confidences.
Faux
83
Vrai ou faux? Le genre est plus pertinent que le sexe biologique pour comprendre les différences dans l’ouverture à l’autre.
Vrai
84
Vrai ou faux? Les hommes partagent généralement leurs émotions avec plusieurs personnes de leur entourage.
Faux
85
Vrai ou faux? On peut généraliser les tendances hommes-femmes à l’ensemble de la population sans tenir compte du contexte.
Faux
86
Vrai ou faux? Les différences de genre peuvent causer des malentendus dans les relations interpersonnelles.
Vrai
87
Vrai ou faux? Quand l'un s'ouvre moins cela peut donner l'impression que la personne ne te fais pas confiance.
Vrai
88
À qui avons-nous tendance à nous ouvrir le plus facilement ? A. À un grand groupe de collègues B. À une seule personne en qui on a confiance C. À plusieurs inconnus dans une salle de classe D. À un groupe d’amis réunis pour une fête
B
89
Parmi les options suivantes, laquelle favorise l’ouverture de soi ? A. L’anonymat complet et l’absence de contact B. Un auditoire très large C. Une personne qui nous a elle-même partagé quelque chose D. Une personne qui reste distante émotionnellement
C
90
Dans quel cas sommes-nous moins susceptibles de nous ouvrir ? A. Quand on parle à une seule personne B. Quand on est face à un petit groupe C. Quand on s’adresse à un grand public D. Quand on sent qu’on peut faire confiance
C
91
À qui peut-on aussi s’ouvrir facilement, même en l'absence de relation de confiance ? A. À notre patron B. À une personne qu’on ne reverra jamais C. À un membre de notre famille D. À un ami proche
B
92
Lorsqu’une personne communique ses valeurs à autrui : A. L’observateur accorde autant d’importance aux valeurs exprimées qu’à ce que ressent la personne qui les partage, car il comprend l’intensité de ses émotions. B. Les acteurs pensent que leurs valeurs sont révélatrices d’eux-mêmes parce qu’ils associent ces valeurs à des pensées et des affects internes, ce que les observateurs saisissent pleinement. C. Plus une valeur est importante pour soi, moins elle influence la perception de l’autre, à cause de l’illusion d’introspection partagée. D. Les observateurs perçoivent souvent les valeurs exprimées comme banales, surtout lorsqu’ils soupçonnent une motivation de désirabilité sociale.
A est faux : l’observateur n’accorde pas autant d’importance aux états internes. B est faux : c’est ce que pensent les acteurs, mais ce n’est pas perçu ainsi par les observateurs. C est faux : au contraire, plus c’est important pour soi, plus cela influence ce que l’autre perçoit (en partie), mais cela ne garantit pas une compréhension exacte. D est vrai : les observateurs accordent moins d’importance aux valeurs si elles paraissent motivées par un souci de paraître bien.
93
Qui suis-je? Degré d’importance accordée à un élément relativement aux autres.
La centralité
94
Parmi les énoncés suivants, lequel exprime un avantage bien documenté de l’ouverture de soi ? A. Elle permet de manipuler les réactions d’autrui en contrôlant son image. B. Elle aide à clarifier son identité en tentant de formuler ses pensées et en recevant un reflet de l’autre. C. Elle permet d’éviter les malentendus en ne parlant que de faits objectifs. D. Elle rend les relations superficielles plus agréables mais moins authentiques.
B
95
Quel effet l’ouverture de soi peut-elle avoir dans un couple amoureux ? A. Elle augmente la probabilité de rupture à cause de la vulnérabilité exposée. B. Elle favorise la satisfaction relationnelle et la stabilité du couple. C. Elle rend la communication plus mécanique mais plus polie. D. Elle diminue l’authenticité perçue par l’autre.
B
96
Parmi ces affirmations, laquelle correspond à un risque associé à l’ouverture de soi ? A. Elle garantit que l’autre personne nous comprendra avec empathie. B. Elle permet d’améliorer sa santé physique uniquement. C. Elle peut faire baisser la confiance de l’autre ou le blesser. D. Elle assure un attachement immédiat et profond.
C
97
Vrai ou faux? Le fait de partager un événement difficile ou un affect négatif peut avoir des effets bénéfiques sur la santé mentale.
Vrai (effet cathartique, réduction du stress)
98
Vrai ou faux? L’ouverture de soi favorise une meilleure connaissance de soi uniquement si elle est faite avec un professionnel de la santé mentale.
Faux (elle peut aussi survenir dans des relations personnelles grâce à l’effort d’expression + le reflet de l’autre)
99
Vrai ou faux? Un des risques de l’ouverture de soi est de projeter une image négative de soi ou d’être rejeté.
Vrai