Critique Sand Flashcards
(11 cards)
Pascal sur les Essais de Montaigne
“sot projet qu’il a eu de se peindre”
H. Bonnet, présentation
“rassemblent en gerbe tout ce que le romantisme a été, sentimental, politique, poétique, mystique, musical, etc.”
Liszt “à M. George Sand”
“chronique musicale de Genève, la Rome protestante”
Histoire de ma vie, G. Sand
sur les LV
“ce n’était pas ouvertement et littéralement de moi-même que je parlais alors”
“réflexions plus personnelles que je ne les aurais risquées dans un roman”
“triste pèlerin”
“J’avais besoin alors d’exhaler certaines agitations, mais non le besoin d’occuper de moi mes lecteurs”
Baudelaire, “Au lecteur”
“Hypocrite lecteur, - mon semblable, - mon frère !”
Baudelaire, “Le Voyage” (in “Le Bateau ivre”)
“au fond de l’inconnu pour trouver du nouveau”
Hugo, Contemplations (préface i guess)
“Est-ce donc la vie d’un homme ? Oui, et la vie des autres hommes aussi.”
“insensé, qui crois que je ne suis pas toi !”
“quand je vous parle de moi, je vous parle de vous”
“Prenez-donc ce miroir et regardez-vous-y”
Musset, Confessions d’un enfant du siècle, I, 2
“Ce fut comme une dénégation de toutes choses du ciel et de la terre, qu’on peut nommer désenchantement, ou si l’on veut, désespérance, comme si l’humanité en léthargie avait été crue morte par ceux qui lui tâtaient le pouls”
“les poètes chantaient le désespoir”
Sand, article sur Obermann dans R2M du 15/06/1834
“une autre littérature se prépare et s’avance à grands pas, idéale, intérieure, ne relevant que de la conscience humaine”
“Le rôle de cette littérature sera laborieux et difficile, et ne sera pas compris d’emblée.”
“introduire, dans les récits de la vie familière, dans l’expression scénique des passions éternelles, les mystérieuses tragédies que la pensée aperçoit et que l’œil ne voit point.”
Sand, lettre privée à Boucoiran, 31/08/1834
“ma vie est odieuse, perdue, impossible, et je veux en finir absolument avant peu”
Rousseau, Préambule des Confessions
“Je n’ai rien tu de mauvais, rien ajouté de bon, et s’il m’est arrivé d’employer quelque ornement indifférent, ce n’a jamais été que pour remplir un vide occasionné par mon défaut de mémoire ; j’ai pu supposer vrai ce que je savais avoir pu l’être, jamais ce que je savais être faux.”