Devoir moodle 2016-2017 Flashcards
(151 cards)
Q1. Couple Stimulus-Réponse : Qu’est-ce que le modèle S-R ?
1) le modèle « stimulus-réponse » permet l’exploration de l’inconscient.
2) le modèle « stimulus-réponse » préconise l’introspection comme méthode d’analyse du psychisme.
3) le paradigme « stimulus-réponse » s’intéresse aux processus qui permettent l’élaboration de la réponse à partir du stimulus.
4) le paradigme « stimulus-réponse » est caractéristique de la psychologie du comportement.
4) le paradigme « stimulus-réponse » est caractéristique de la psychologie du comportement.
Q2. Chassez l’intrus : Parmi les auteurs, lequel n’est pas d’obédience « béhaviorisme » (ou comportementalisme)
1) Pavlov
2) Bechterev
3) Mc Dougall
4) Watson
3) Mc Dougall
Q3. Vidéo n°1 « Psychologie des foules » : Dans la vidéo n°1 « Psychologie des foules », une voix off nous lit un extrait de l’ouvrage « Psychologie des foules » de Gustave Le Bon paru en 1895. Le Bon déclare ainsi avec une modernité et un esprit visionnaire étonnants : « les grands bouleversements qui précèdent les changements de civilisation semblent, au premier abord, déterminés par des transformations politiques considérables : invasions de peuples ou renversements de dynasties. Mais une étude attentive de ces événements découvre le plus souvent, comme cause réelle, derrière leurs causes apparentes, une modification profonde dans les idées des peuples. Les véritables bouleversements historiques ne sont pas ceux qui nous étonnent par leur grandeur et leur violence. Les seuls changements importants, ceux d’où le renouvellement des civilisations découle, s’opèrent dans les opinions, les conceptions et les croyances.
L’époque actuelle constitue un des moments critiques où la pensée humaine est en voie de transformation. (…) De ces transformations, quel sera, selon Le Bon, l’élément déterminant qui primera tous les autres ?
1) La destruction des croyances religieuses, politiques et sociales d’où dérivent tous les éléments de notre civilisation
2) Dans leur organisation, les sociétés auront à compter avec une puissance nouvelle, dernière souveraine de l’âge moderne : la puissance des foules
3) L’apparition des NTIC (Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication) : internet, réseaux sociaux, jeux vidéo, etc …
4) La création de conditions d’existence et de pensée entièrement nouvelles, engendrées par les découvertes modernes des sciences et de l’industrie
1) La destruction des croyances religieuses, politiques et sociales d’où dérivent tous les éléments de notre civilisation
2) Dans leur organisation, les sociétés auront à compter avec une puissance nouvelle, dernière souveraine de l’âge moderne : la puissance des foules
4) La création de conditions d’existence et de pensée entièrement nouvelles, engendrées par les découvertes modernes des sciences et de l’industrie
Q4. Philo4 : Quel philosophe considère que l’homme est un animal fait pour vivre en société, un animal politique selon sa célèbre formule : autrement dit, l’homme deviendrait homme parmi les autres, en vivant dans une société régie par des lois et des coutumes qui influeraient sur ses comportements ?
1) Platon
2) Aristote
3) Rousseau
4) Hobbes
2) Aristote
Q5. Regard ternaire en psychologie sociale : Remplissez les blancs après les lettres A, B, C et le processus qui rend compte de ce regard ternaire
A une psychologie « à deux termes », Serge Moscovici (1984) propose de substituer une « psychologie à trois termes » soit (A) ____, (B) ____ et (C) ____. Lorsqu’un individu évalue un objet social (par exemple l’euthanasie, la peine de mort, l’Europe, etc …), il ne le fait jamais directement mais au travers de la perception d’autrui (c’est-à-dire son propre groupe social, culturel, les individus qu’il estime dignes de confiance, etc …). La perception que le sujet aura de l’objet, le jugement qu’il formule à son égard, est le fruit d’une correction : ____.
A une psychologie « à deux termes », Serge Moscovici (1984) propose de substituer une « psychologie à trois termes » soit (A) OBJET, (B) EGO et (C) ALTER. Lorsqu’un individu évalue un objet social (par exemple l’euthanasie, la peine de mort, l’Europe, etc …), il ne le fait jamais directement mais au travers de la perception d’autrui (c’est-à-dire son propre groupe social, culturel, les individus qu’il estime dignes de confiance, etc …). La perception que le sujet aura de l’objet, le jugement qu’il formule à son égard, est le fruit d’une correction : MEDIATISATION.
Q6. Nom d’un paradigme : A quel courant fait référence cette célèbre formule « Le Tout est supérieur à la somme des parties » ou « L’ensemble prime sur les éléments qui le composent » ?
1) le béhaviorisme
2) l’interactionnisme symbolique
3) la Gestalt ou psychologie de la forme
4) la psychologie évolutionniste
3) la Gestalt ou psychologie de la forme
Q7. Gabriel Tarde : En lisant votre cours et les textes complémentaires n° 2 et 3, dites si les énoncés suivants concernant l’œuvre de Gabriel Tarde sont VRAI ou FAUX
- A l’époque où naît la sociologie à la fin du XIXème siècle, deux grands penseurs se disputent la première place : Durkheim et Tarde. C’est Tarde qui remporte la victoire, effaçant l’œuvre de Durkheim et le condamnant à l’oubli.
- Contrairement à Durkheim, Tarde choisit d’appréhender le social à partir de l’individu. La seule réalité sociale est pour lui l’existence de consciences individuelles liées les unes aux autres par les lois de l’imitation.
- Aux yeux de Tarde, la presse a un rôle destructeur. Elle manipule l’opinion publique et est antinomique avec le bon fonctionnement de la démocratie.
- Son ouvrage, « La philosophie pénale » (1890), permet à Tarde de se rapprocher avec force des théories déterministes de Cesare Lombroso et de l’école italienne, qui évoquaient une criminalité d’origine biologique.
- Pour Tarde, le groupe est composé d’individus, et les facteurs ou processus psychologiques dégagés par l’étude de l’individu peuvent être appliqués à l’étude du groupe.
- Tarde s’intéresse beaucoup aux « relations intersubjectives », ou aux « relations interpersonnelles », qu’ils dénomment à l’époque « interpsychologie », insistant ainsi sur les aspects « interactionnels ».
- La conscience de l’individu est tenaillée entre des « vouloirs et des nouloirs », notions assez proches de la conception freudienne des « vouloirs et des contre-vouloirs » (Willen und Gegenwillen en allemand).
- Tarde pense que la croyance et le désir constituent des forces d’intensité variable qu’il est possible de mesurer. Son intuition a été vérifiée car la mesure des attitudes est une méthode courante de la psychologie sociale contemporaine.
- Pour Tarde, l’invention et l’innovation, sont toujours le fait des groupes alors que l’individu n’est pas capable d’invention.
- Tarde souligne le caractère négatif que peut avoir le conflit social soit son rôle inhibiteur sur l’évolution de la société : le conflit ne peut générer que déséquilibres et inadaptations, des préludes de l’anarchisme.
- Grâce à la diffusion mondiale de son livre « Les lois de l’imitation », Tarde a influencé des auteurs en psychologie du développement (Janet et Guillaume par exemple)
- Anne-Marie Rocheblave-Spenlé, dans la fin du texte n° 3 propose un parallèle entre les idées de Tarde et les concepts utilisés de nos jours en psychologie sociale. Ainsi le concept « d’imitation » chez Tarde est transposable de nos jours aux concepts de « prise de rôle » et à la « suggestion ».
- La « Sympathie » telle que la définit Tarde se rapproche de la notion moderne d’empathie soit la « tendance d’un individu à s’accorder avec les états actifs ou émotionnels des autres »
- FAUX : A l’époque où naît la sociologie à la fin du XIXème siècle, deux grands penseurs se disputent la première place : Durkheim et Tarde. C’est Tarde qui remporte la victoire, effaçant l’œuvre de Durkheim et le condamnant à l’oubli.
- VRAI : Contrairement à Durkheim, Tarde choisit d’appréhender le social à partir de l’individu. La seule réalité sociale est pour lui l’existence de consciences individuelles liées les unes aux autres par les lois de l’imitation.
- FAUX : Aux yeux de Tarde, la presse a un rôle destructeur. Elle manipule l’opinion publique et est antinomique avec le bon fonctionnement de la démocratie.
- FAUX : Son ouvrage, « La philosophie pénale » (1890), permet à Tarde de se rapprocher avec force des théories déterministes de Cesare Lombroso et de l’école italienne, qui évoquaient une criminalité d’origine biologique.
- VRAI : Pour Tarde, le groupe est composé d’individus, et les facteurs ou processus psychologiques dégagés par l’étude de l’individu peuvent être appliqués à l’étude du groupe.
- VRAI : Tarde s’intéresse beaucoup aux « relations intersubjectives », ou aux « relations interpersonnelles », qu’ils dénomment à l’époque « interpsychologie », insistant ainsi sur les aspects « interactionnels ».
- VRAI : La conscience de l’individu est tenaillée entre des « vouloirs et des nouloirs », notions assez proches de la conception freudienne des « vouloirs et des contre-vouloirs » (Willen und Gegenwillen en allemand).
- VRAI : Tarde pense que la croyance et le désir constituent des forces d’intensité variable qu’il est possible de mesurer. Son intuition a été vérifiée car la mesure des attitudes est une méthode courante de la psychologie sociale contemporaine.
- FAUX : Pour Tarde, l’invention et l’innovation, sont toujours le fait des groupes alors que l’individu n’est pas capable d’invention.
- FAUX : Tarde souligne le caractère négatif que peut avoir le conflit social soit son rôle inhibiteur sur l’évolution de la société : le conflit ne peut générer que déséquilibres et inadaptations, des préludes de l’anarchisme.
- VRAI : Grâce à la diffusion mondiale de son livre « Les lois de l’imitation », Tarde a influencé des auteurs en psychologie du développement (Janet et Guillaume par exemple)
- VRAI : Anne-Marie Rocheblave-Spenlé, dans la fin du texte n° 3 propose un parallèle entre les idées de Tarde et les concepts utilisés de nos jours en psychologie sociale. Ainsi le concept « d’imitation » chez Tarde est transposable de nos jours aux concepts de « prise de rôle » et à la « suggestion ».
- VRAI : La « Sympathie » telle que la définit Tarde se rapproche de la notion moderne d’empathie soit la « tendance d’un individu à s’accorder avec les états actifs ou émotionnels des autres »
Q8. Qu’avez-vous vu/perçu dans les figures de la page 30 du cours ?
1) les cercles rouges sont de même taille
2) les deux droites sont de même longueur
3) on peut voir un lapin ou un canard
4) on peut voir une jeune femme ou une vielle dame
1) les cercles rouges sont de même taille
2) les deux droites sont de même longueur
3) on peut voir un lapin ou un canard
4) on peut voir une jeune femme ou une vielle dame
Q9. Théorème de Thomas : Le théorème de Thomas stipule
1) que la communication non verbale constitue une part essentielle des messages dans la communication
2) que la réalité subjective est psychologiquement plus importante que la réalité objective
3) que les définitions des situations diffèrent tellement qu’une compréhension commune d’un même événement est impossible
4) que nos interprétations du monde sont porteuses de valeurs, désirs et savoirs qui influencent la construction et l’appréhension de la réalité.
2) que la réalité subjective est psychologiquement plus importante que la réalité objective
4) que nos interprétations du monde sont porteuses de valeurs, désirs et savoirs qui influencent la construction et l’appréhension de la réalité.
Q10. Apparition du terme « psychologie sociale » : Le terme de psychologie sociale est apparu pour la première fois en France
1) en 1908, lors d’une conférence sur la psychologie générale
2) en 1898, par Gabriel Tarde et de manière simultanée en Allemagne
3) en 1914, par Sherif lors de son étude phare
4) en 1908, par Mc Dougall et Ross dans deux œuvres distinctes
2) en 1898, par Gabriel Tarde et de manière simultanée en Allemagne
Q11. Facilitation sociale : Bergum et Lehr (1963) réalisent une expérimentation avec des recrues de la garde nationale américaine. Les sujets ne doivent pas réaliser une tâche motrice mais une tâche mobilisant l’attention.
La tâche des sujets : les sujets travaillent individuellement et doivent vérifier qu’une série de 20 lampes s’allume bien dans l’ordre préétabli. Ils n’ont jamais effectué cette tâche au préalable et ne la connaissent donc pas bien.
Les conditions expérimentales sont les suivantes :
- condition n° 1 : le premier groupe est averti du fait qu’il recevrait la visite d’un lieutenant-colonel ou d’un adjudant durant la réalisation de la tâche. Cette visite se produit 4 fois durant l’expérimentation.
- condition n° 2 : le groupe ne reçoit aucune instruction particulière, et aucune visite ne lui est rendue.
Résultats : les sujets du premier groupe ont un taux d’exactitude de bonnes réponses de 80% à la fin de l’expérience. Pour le deuxième groupe ce taux chute à 40%.
Comment pouvons-nous interpréter les résultats de cette expérience au regard des connaissances sur la facilitation sociale ?
1) on observe un effet d’audience typique
2) on observe un effet de co-action typique
3) l’explication de Cottrel permet de réinterpréter les résultats de Bergum et Lehr : ce qui augmente la performance du premier groupe n’est pas le simple fait qu’une personne vient les voir régulièrement et observer ce qu’ils font, mais c’est le fait que cette personne soit précisément un supérieur hiérarchique. La présence de ce supérieur hiérarchique implique un jugement et accroît donc la motivation de ce groupe de sujets.
4) L’explication de Zajonc permet de réinterpréter les résultats de Bergum et Lehr : ce qui augmente la performance du premier groupe est la maîtrise qu’ils ont de la tâche et la compétition qui règne entre les recrues.
1) on observe un effet d’audience typique
3) l’explication de Cottrel permet de réinterpréter les résultats de Bergum et Lehr : ce qui augmente la performance du premier groupe n’est pas le simple fait qu’une personne vient les voir régulièrement et observer ce qu’ils font, mais c’est le fait que cette personne soit précisément un supérieur hiérarchique. La présence de ce supérieur hiérarchique implique un jugement et accroît donc la motivation de ce groupe de sujets.
Q12. Concept cognitif : ce mécanisme de la pensée consiste à opérer des actions de mise en relation d’un ensemble de propositions, aboutissant à une démonstration de vérité, de fausseté ou de probabilité sous la forme d’une proposition appelée conclusion, c’est donc un raisonnement hypothético-déductif.
Dans sa définition classique, il s’agit d’une opération logique portant sur des propositions tenues pour vraies (les prémisses) et concluant à la vérité d’une nouvelle proposition en vertu de sa liaison avec les premières.
Comment appelle-t-on ce mécanisme cognitif ?
1) une préférence pour la conclusion
2) une inférence
3) un jugement hâtif
4) une résilience
2) une inférence
Q13. Recherche d’un mot et explication de ce mot : Ce mot est employé pour distinguer des écoles de pensée et souligner leur divergence, c’est-à-dire ne reposant pas sur les mêmes postulats, ces écoles ne peuvent être comparées : elles ne parlent pas « le même langage », elles « n’habitent pas le même monde » : par exemple, le béhaviorisme et la psychanalyse, le positivisme, l’introspection, le constructivisme, etc … C’est le physicien et historien des sciences Thomas S. Huhn qui est à l’origine de ce mot, tel que nous l’employons aujourd’hui. Kuhn (1983) a fait usage de ce terme pour rendre compte de la vie des sciences physiques et, plus particulièrement, de la succession des cadres généraux à l’intérieur desquels se déroulent les activités de recherche à une époque donnée, pour une discipline donnée. Connaissez-vous ce terme ?
1) un pattern
2) un modèle
3) un concept
4) un paradigme
4) un paradigme
Q14. William Mc Dougall : Pour Mac Dougall, quelles forces façonnent la vie des individus et des sociétés ?
1) la manipulation
2) la suggestion
3) les faits sociaux
4) les instincts
4) les instincts
Q15. Psycho évolutionniste et sociobiologie : Quels sont d’après de nombreux auteurs tels que le professeur Mauron les limites et les dangers de ces deux types d’approche ? (voir pour plus de détails, http://se-chercher.over-blog.com/article-l-erreur-de-la-psychologie-evolutionniste-44137687.html )
1) le danger pourrait être de considérer que certaines caractéristiques cognitives, le quotient intellectuel (QI) par exemple, soient héréditaires, et que l’on traduise cela en décisions politiques …
2) nombre de nos comportements et de nos états internes actuels s’expliquent scientifiquement comme étant les résultats d’adaptations aux contraintes environnementales connues par nos ancêtres au cours de l’évolution.
3) un caractère sélectionné par la nature n’est pas forcément « bon » ou « meilleur ». Il est simplement mieux adapté que d’autres dans des conditions environnementales précises.
4) les études intensives du génome humain nous montrent que les êtres humains, sont bien plus que la somme de leurs constituants génétiques. Il est évident que nos gènes jouent un rôle formateur majeur dans le développement humain et dans de nombreux processus de la maladie humaine ; mais les études moléculaires de haute technologie ainsi que les études de basse technologie (qui sont toujours éminemment utiles) de jumeaux identiques et fraternels mettent parfaitement en évidence que nos gènes ne sont pas des facteurs déterminant tout dans l’expérience humaine.
1) le danger pourrait être de considérer que certaines caractéristiques cognitives, le quotient intellectuel (QI) par exemple, soient héréditaires, et que l’on traduise cela en décisions politiques …
3) un caractère sélectionné par la nature n’est pas forcément « bon » ou « meilleur ». Il est simplement mieux adapté que d’autres dans des conditions environnementales précises.
4) les études intensives du génome humain nous montrent que les êtres humains, sont bien plus que la somme de leurs constituants génétiques. Il est évident que nos gènes jouent un rôle formateur majeur dans le développement humain et dans de nombreux processus de la maladie humaine ; mais les études moléculaires de haute technologie ainsi que les études de basse technologie (qui sont toujours éminemment utiles) de jumeaux identiques et fraternels mettent parfaitement en évidence que nos gènes ne sont pas des facteurs déterminant tout dans l’expérience humaine.
Q16. Ringelmann : les résultats de l’expérimentation de Ringelmann mettent en avant que
1) les participants fournissent plus d’efforts quand ils doivent tirer la corde seuls que lorsqu’ils doivent tirer la corde à plusieurs.
2) les participants fournissent moins d’efforts quand ils doivent tirer la corde seuls que lorsqu’ils doivent tirer la corde à plusieurs.
3) les participants fournissent autant d’efforts quand ils doivent tirer la corde seuls que lorsqu’ils doivent tirer la corde à plusieurs.
4) un phénomène qu’on appelle la facilitation sociale.
5) un phénomène qu’on appelle la paresse sociale.
1) les participants fournissent plus d’efforts quand ils doivent tirer la corde seuls que lorsqu’ils doivent tirer la corde à plusieurs.
5) un phénomène qu’on appelle la paresse sociale.
Q17. Etude de Levi-Strauss : Comment est-ce que les indiens d’Amérique du Nord traitaient-ils symboliquement et collectivement les problèmes de déviance (agressivité, vol) dans leur tribu ?
1) Ils châtiaient purement et simplement le contrevenant en l’enfermant ou en l’excluant de la tribu.
2) ils détruisaient tous les biens du contrevenant mais réparaient ensuite cette offense à son encontre par des cadeaux.
3) ils mutilaient physiquement et moralement le contrevenant qui était considéré comme un enfant coupable.
4) ils se vengeaient de lui en détruisant tous ses biens puis exigeaient des cadeaux sans contre-partie de la part du groupe.
2) ils détruisaient tous les biens du contrevenant mais réparaient ensuite cette offense à son encontre par des cadeaux.
Q18. Philo2 : Originellement créée par Plaute, l’expression « l’homme est un loup pour l’homme » (Homo homini lupus) a été reprise par cet auteur sous la forme exacte suivante : « et certainement il est également vrai, et qu’un homme est un dieu à un autre homme, et qu’un homme est aussi un loup à un autre homme » ? Quel est ce philosophe ?
1) Hobbes
2) Locke
3) Rousseau
4) Darwin
1) Hobbes
Q19. Triplett : Triplett a réalisé une analyse d’archives portant sur 2.000 coureurs cyclistes de haut niveau ayant participé à une course d’une distance de 40 kms. Triplett compare les vitesses moyennes dans trois conditions différentes :
- condition 1 : chaque cycliste est seul et doit parcourir une distance de 40 kms le plus rapidement possible. Cette condition renvoie à la course contre la montre.
- condition 2 : sur une distance de 40 kms, le cycliste est accompagné de son entraineur qui joue le rôle de meneur. Ce dernier doit pédaler à une vitesse suffisamment rapide pour entrainer le premier cycliste. C’est la condition d’entrainement.
- condition 3 : le cycliste doit parcourir les 40 kms en situation de compétition classique avec d’autres coureurs. C’est la condition de compétition.
Les résultats montrent que : voir le lien indiqué dans le cours : http://www.psychologie-sociale.com/index.php?option=com_content&task=view&id=92&Itemid=42
1) dans les 3 conditions, les coureurs vont à la même vitesse.
2) dans la condition « course contre la montre » les cyclistes sont beaucoup plus rapides que dans les deux autres conditions.
3) dans la condition « course contre la montre » les cyclistes sont beaucoup moins rapides que dans les deux autres conditions.
4) dans la condition « entraînement » les cyclistes sont beaucoup plus rapides que dans la condition « compétition ».
5) dans la condition « entraînement » les cyclistes sont beaucoup moins rapides que dans la condition « compétition ».
6) dans les conditions « entraînement » et « compétition » les coureurs vont à peu près à la même vitesse.
3) dans la condition « course contre la montre » les cyclistes sont beaucoup moins rapides que dans les deux autres conditions.
6) dans les conditions « entraînement » et « compétition » les coureurs vont à peu près à la même vitesse.
Q20. G.H. Mead : Georde Herbert Mead est très connu pour sa théorie
1) de la présentation de Soi
2) du Soi
3) de la formation d’impression
4) du développement cognitif
2) du Soi
Q22. Qui a étudié … : Faire correspondre les concepts ou notions avec leurs auteurs
=> Liste des éléments
- Le concept de soi
- La suggestibilité des foules
- Les représentations collectives
- Les comportements instinctifs
- Les lois de l’imitation
- L’évolution par sélection naturelle
=> Choix attendu
- Mead
- Le Bon
- Durkheim
- Mc Dougall
- Tarde
- Darwin
- MEAD : Le concept de soi
- LE BON : La suggestibilité des foules
- DURKHEIM : Les représentations collectives
- MC DOUGALL : Les comportements instinctifs
- DARWIN : Les lois de l’imitation
Q23. Définition de la psychologie sociale : Comment Allport (1954) définit-il la psychologie sociale ?
1) cette discipline est l’étude scientifique du comportement et de l’expérience des individus en réaction à des situations sociales.
2) cette discipline s’intéresse à autrui d’un triple point de vue : sa connaissance, les influences réciproques entre soi et autrui et les interactions sociales.
3) cette discipline tente de comprendre et d’expliquer comment les pensées, sentiments et comportements des individus sont influencés par la présence imaginaire, implicite ou explicite des autres.
4) cette discipline étudie les processus mentaux (ou les comportements) des individus déterminés par les interactions actuelles ou passées que ces derniers entretiennent avec d’autres personnes.
3) cette discipline tente de comprendre et d’expliquer comment les pensées, sentiments et comportements des individus sont influencés par la présence imaginaire, implicite ou explicite des autres.
Q24. Nom d’un courant actuel : Quel courant contemporain et désormais dominant en psychologie considère qu’on ne peut faire l’économie des processus complexes et non directement observables qui s’intercalent entre le Stimulus et la Réponse ?
1) le Structuralisme
2) l’Associationnisme
3) le Cognitivisme
4) le Béhaviorisme
3) le Cognitivisme
Q25. Père du béhaviorisme : Du point de vue des béhavioristes, la psychologie est une branche expérimentale des sciences naturelles purement objective. De qui est cette citation ? (indice : cet américain est considéré comme le père fondateur du béhaviorisme)
1) Pavlov
2) Thorndike
3) Watson
4) Bechterev
3) Watson