Exam 1 Flashcards
Biologie cellulaire (cytologie) :
Science qui étudie au niveau cellulaire les structures et les mécanismes biologiques communs de tous les êtres vivants.
Biologie moléculaire
Science qui étudie les mécanismes biologiques, en fonction des structures et des interactions des constituants moléculaires de la cellule.
Biochimie
Science qui traite de la constitution chimique des êtres vivants et des réactions chimiques dont ils sont le siège.
Physiologie
Science qui étudie le fonctionnement et les propriétés des organes et des tissus des organismes vivants.
Anatomie
Science qui étudie la structure et la morphologie des organismes vivants et de leurs organes et tissus.
Morphologie
Science de l’aspect extérieur des êtres vivants et de la structure macroscopique de leurs organes internes.
Écologie
Science biologique qui étudie les interactions qui déterminent la distribution et l’abondance des organismes vivants, y compris les êtres humains. Science de synthèse qui a pour objet l’étude des relations entre les êtres vivants et le milieu organique ou inorganique dans lequel ils vivent.
Biosphère
Ensemble dynamique des écosystèmes de la planète comprenant la basse atmosphère, les mers, et la surface terrestre.
Il est entretenu par un apport d’énergie et la présence d’un metabolisme dans des cellules vivantes
Les facteurs abiotiques sont :
la température; l’eau et le dioxygène; la salinité; la lumière solaire; les roches et le sol.
Incidences positives sur les services écosystémiques?
- L’agriculture fournit des habitats aux espèces sauvages et crée des paysages esthétiques.
- Les forêts contribuent au maintien d’écosystèmes aquatiques sains et fournissent des sources fiables d’eau propre.
- Les excréments d’animaux peuvent être une source importante de nutriments et un bon moyen de dissémination des graines et peuvent préserver la fertilité des sols dans les pâturages.
- L’aquaculture durable et intégrée peut renforcer la fonction des mangroves de protection contre les inondations.
*FERTILITÉ DES SOLS
*HABITAT AU. ESPÈCES SAUVAGE
*EXCRÉMENTS DANIMAUX EST UNE BONNE SOURCE DE NUTRIEMENT ET DISSIMINATION DES GRAINES DE PLANTES
*LES FORÊTS FOURNISSENT UNE SOURCE DEAU PROPRE
Incidences positives sur les services écosystémiques?
- L’agriculture fournit des habitats aux espèces sauvages et crée des paysages esthétiques.
- Les forêts contribuent au maintien d’écosystèmes aquatiques sains et fournissent des sources fiables d’eau propre.
- Les excréments d’animaux peuvent être une source importante de nutriments et un bon moyen de dissémination des graines et peuvent préserver la fertilité des sols dans les pâturages.
- L’aquaculture durable et intégrée peut renforcer la fonction des mangroves de protection contre les inondations.
Incidences négatives sur les services écosystémiques ?
- Les pesticides, tout comme l’homogénéisation des paysages, peuvent faire faiblir la pollinisation naturelle.
- La déforestation ou la mauvaise gestion peuvent intensifier les inondations et les glissements de terrain lors des cyclones.
- L’excès d’excréments d’animaux et la mauvaise gestion peuvent polluer l’eau et menacer la biodiversité aquatique.
- La surpêche a un effet dévastateur sur les communautés océaniques dans le sens où elle déstabilise la chaîne alimentaire et détruit les habitats naturels de nombreuses espèces aquatiques.
À la différence des écosystèmes naturels, les écosystèmes urbains :
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- sont hétérotrophes fortement dépendants des apports externes;
- habitat artificiel composé de matériaux inertes engendre la fragmentation de l’espace par les infrastructures;
- dépendants et déficitaires en énergie qui en demandes plus qu’ils n’en produisent;
- gestion inefficace et accumulation démesurée de déchets consommation accrue = rejet d’extrants en grande quantité;
- sont sous le contrôle majoritaire d’une seule espèce, les humains, qui ont des systèmes de contrôle social et politique;
- sont fortement déséquilibrés.
FORTEMENT DÉPENDANT AU APPORTS EXTERNE
HABITAT ARTIFICIEL ET FRAGMENTATION DE L’infrastructure
DESIQUILIBRE
Alors, comment construire un écosystème urbain résilient et adapter aux besoins des êtres humains, mais aussi aux changements climatiques?
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- Le verdissement des villes est l’un des principaux moyens d’augmenter la résilience des villes et de ses habitants.
- L’objectif étant de visé l’aménagement d’un milieu de vie le plus équilibré et autonome possible. Que ses différents cycles soient respectés entre ses intrants et ses extrants.
Agrosystème
Un agrosystème est un écosystème fortement artificialisé, assez homogène, sous gestion agricole. C’est un système dynamique ouvert avec d’autres écosystèmes pour le transfert d’énergie et de matériel (semences, engrais, pesticides, etc.).
L’amélioration d’un des services d’un écosystème entraîne des effets négatifs sur d’autres services. Par exemple, les mesures prises afin d’augmenter la production alimentaire impliquent souvent les effets suivants :
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moins d’eau disponible pour d’autres usages;
eau de moins bonne qualité;
perte de biodiversité;
couverture forestière moins étendue;
perte de produits forestiers;
perte de la qualité des sols;
émission de gaz à effet de serre.
Écosystème cultivé ou Agroécologie
Entre agronomie et écologie… Imiter les écosystèmes naturels (écomimétisme) pour générer un écosystème cultivé (ou agroécologie).
L’écomimétisme désigne plus particulièrement l’étude de fonctionnements écosystémiques intéressants pour en reproduire les conditions et donc les avantages. La démarche de l’écomimétisme ne s’applique ni aux matières, ni aux formes, mais au fonctionnement des écosystèmes pour en inspirer des approches intégrées des systèmes de production agricoles ou industriels.
Les cultures en relais
Les cultures en relais sont implantées sous le couvert de la culture précédente. Les espèces sont donc en présence l’une de l’autre au cours d’une partie réduite de leur cycle. Les interactions sont moins puissantes que dans le cas des associations d’espèces.
Les rotations
C’est la forme classique d’utilisation de la diversité végétale des espèces cultivées à l’échelle de la parcelle. Il n’y a pas d’interaction directe entre espèces, mais les effets précédents peuvent induire des compétitions indirectes (par exemple si une espèce épuise une ressource qui n’est pas renouvelée) ou des facilitations (par exemple à travers des reliquats d’azote ou une élimination des mauvaises herbes).
5 principes et actions à prendre
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- Systèmes agroforestiers
- Les systèmes de cultures pérennes mono-spécifiques pouvant bénéficier de l’introduction de plantes à fonctions environnementales
- Les systèmes de semis sous couvert pour les cultures herbacées
- Les surfaces de compensation écologique, réservoirs de biodiversité nécessaires aux systèmes de culture
- Les mélanges de variétés
L’agroforesterie:
L’agroforesterie est un système cultural intégrant les arbres (foresterie) aux activités agricoles de l’entreprise.
les principaux enjeux de l’agrosystème québécois :
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Enjeux 1 – La santé des sols
Enjeux 2 – La biodiversité
Enjeux 3 – La qualité de l’eau
Enjeux 4 – Les changements climatiques
Enjeux 5 – L’attractivité des territoires ruraux
Enjeux 6 – La rentabilité de l’exploitation des terres agricoles
Le bassin versant :
Un bassin versant est une portion de territoire qui recueille toutes les précipitations et les entraîne vers un même endroit.
Plusieurs éléments peuvent influencer la façon dont l’eau circule à l’intérieur d’un bassin versant.
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- La topographie: Plus la pente d’un terrain est accentuée et plus l’eau s’écoule rapidement.
- La géologie: L’eau circule plus rapidement sur un terrain poreux ou rocheux que sur un terrain argileux qui possède une forte rétention d’eau.
- Le climat: L’eau circule plus rapidement dans un environnement soumis à des périodes de précipitations qu’en période de sécheresse.
- La végétation: L’eau qui ruisselle sur le sol est ralentie par la présence d’une végétation importante.
- Les aménagements agricoles, industriels et urbains: Les barrages ou les autres constructions empêchent la libre circulation de l’eau.