exam intégrateur soins 2 Flashcards

1
Q

Diabète de type 1

A

:causé par le dysfonctionnement de lymphocytes T (des cellules du système immunitaire) qui se mettent à identifier les cellules ß du pancréas comme des cellules étrangères à l’organisme du patient, et à les éliminer.

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2
Q

Diabète de type 2

A

une maladie qui se caractérise par une incapacité du corps à produire suffisamment d’insuline ou à utiliser correctement l’insuline qu’il produit

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3
Q

diabète type 1

A

Le système immunitaire détruire spécifique certaine cellule du pancréas. Il y a donc une baisse ou arrêt de libération d’insuline par le pancréas.
Conséquence : moins absorption du glucose, ce qui diminue la production d’ATP. Libération continuelle de glucagon, ce qui active les voix métaboliques en état de jeun et augmente la glycémie.

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4
Q

diabète type 2

A

Le tissu adipeux produit des substances qui rendent les cellules cibles insensible à l’insuline.
Conséquence : moins d’absorption du glucose, à long terme le pancréas va s’épuiser et va libérer moins d’insuline. Along terme, une glycémie élever peut-être toxique pour l’endothélium des vaisseaux sanguin.

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5
Q

facteur de risque du diabète

A

manque d’exercice, age, obésité, origine ethnique, hérédité

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6
Q

syndrome métabolique

A

Le syndrome métabolique constitue un ensemble de facteurs de risques favorisant l’apparition de maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2. (Tu dois en avoir 3 minimum.) Des lésions permanentes, en particulier des lésions cardiaques et vasculaires, peuvent déjà se produire durant le prédiabète mais, en règle générale, ce dernier est asymptomatique.

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7
Q

manifestation du diabète de type 2

A

Polydipsie, polyurie, polyphagie, perte de poids, infection à répétition, faiblesse, fatigue

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8
Q

Normalité de la glycémie :

A

Non diabétique : 4 à 6 à jeun / 5,8 après un repas
Diabétique : 4 à 7 à jeun / 5 - 10h après un repas

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9
Q

Manifestation hypoglycémie :

A
  • Changement d’humeur soudain
  • Maux de tète
  • Faiblesse
  • Altération de la vue
  • Fringale
  • Transpiration
  • Étourdissement
  • Tremblement
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10
Q

Manifestation hyperglycémie :

A
  • Fatigue
  • Faim
  • Soif intense
  • Miction fréquente
  • Vision floue
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11
Q

Causes d’hypoglycémie :

A

o Consommation d’alcool sans nourriture
o Ingestion de portions insuffisantes (apport retardé, omis ou inadéquat
o Doses excessives d’insuline ou d’antihyperglycémiants
o Trop d’activité physique sans compensation
o Prise d’insuline ou d’antihyperglycémiants ou d’aliments aux mauvais moments de la journée
o Perte de poids sans modification de la médication
o Prise de bêtabloquants (peuvent 2 pêcher de reconnaître des symptômes)

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12
Q

Causes hyperglycémie :

A

o Maladie, infection
o Corticostéroïdes
o Ingestion de portions excessives
o Doses insuffisantes d’insuline ou d’antihyperglycémiants ou absence de médication
o Sédentarité
o Stress émotionnel, physique
o Diminution des taux d’absorption d’insuline

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13
Q

intervention en hypoglycémie

A

offrir 15 g de glucides
glycémie apres 15 minute
si glycémie en bas de 4 - offrir un autre 15 g de glucide
avise le medecin

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14
Q

complication aigue du diabète

A

o Hyperglycémie hyperosmolaire (+ de 34)
o Acidocétose diabétique
o Hypoglycémie (- de 4)

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15
Q

hyperglycémie hyperosmolaire

A

Le syndrome hyperglycémique hyperosmolaire est souvent lié à une altération de la sensation de soif ou à une incapacité fonctionnelle à remplacer les liquides, voire les deux. Le syndrome hyperglycémique hyperosmolaire se traduit par une glycémie supérieure à 34mmol/L et une hausse marquée de l’osmolarité sérique.

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16
Q

complication chronique

A

o Angiopathie
o Complication macro vasculaire (moyenne et gros calibre, avc, ulcération)
o Complication microvasculaire (épaissement des membranes vasculaires dans les capillaires et les artérioles, rétinopathie, néphropathie, neuropathie : altération des nerfs provoque la diminution de la conduction nerveuse et la démyélinisation des nerfs (sensorielle (SNP- main, pied, perte de sensation), autonome (touche presque l’intégralité des appareils et systèmes de l’organisme, incontinence anal, rétention urinaire, hypoglycémie non ressentie)
o Infection : plus à risque : anomalie de la mobilisation des cellules inflammatoire et une déficience des leucocytes et des monocytes au cours du processus de phagocytose.

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17
Q

processus thérapeutique

A

o Programmes de formation et de suivi à l’intention des clients et des proches aidants
o Thérapie nutritionnelle
o Activité physique
o Autosurveillance de la glycémie
o Pharmacothérapie
o Insuline
o Antihyperglycémiants
o Comprimés d’acide acétylsalicylique (de 81 à 325 mg) envisagés chez les clients qui présentent une maladie cardiovasculaire stable
o Inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine
(IECA)
o Antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II (ARA)
o Antihyperlipidémiants

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18
Q

recommendation concernant la nutrition diabete

A

Repas pris a des heures régulières,
Méthode de l’assiette : aide à mieux visualiser les proportions d’aliment à consommer,
Alcool consommer avec de la nourriture

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19
Q

Recommandations exercise physique

A

s’adonner à des activités aérobiques d’intensité modérée pendant au moins 150 minutes par semaine au moyen de séances d’au moins 10 minutes, l’ACD conseille aux individus atteints de diabète de type 2 de suivre un entraînement musculaire trois fois par semaine en l’absence de contre-indications.

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20
Q

mise en garde exercise physqiue

A

hypoglycémie peut survenir 48 heures après l’activité physique L’exercice diminue la résistance à l’insuline et peut agir directement sur la glycémie.

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21
Q

Précautions à prendre contre l’hypoglycémie entourant l’activité physique:

A

Risque accru d’hypoglycémie lors du pic d’action de l’insuline ou l’hypoglycémiant oraux
Plusieurs petites collations contenant des glucides
Prendre la glycémie avant, pendant, après de l’activité

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22
Q

Soins des pieds :

A

Les personnes atteintes de diabète présentent un risque élevé d’ulcération aux pieds et d’amputation des membres inférieurs.
La survenue de complications affectant le pied diabétique peut résulter d’une combinaison d’affections microvasculaires et macro vasculaires qui entraînent des risques de lésions et d’infections graves pouvant conduire à une amputation
La neuropathie sensorielle et les affections artérielles périphériques sont des facteurs de risque; les anomalies de la coagulation, les troubles de la fonction immunitaire et la neuropathie autonome jouent également un rôle important.
LES DIABÉTIQUE PLUS A RISQUE AUX INFECTION – soins des pieds

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23
Q

Test monofilament :

A

Pour ce faire, un filament souple très mince est appliqué à divers endroits de la surface plantaire et le client doit signaler s’il ressent une sensation. L’insensibilité à un monofilament de Semmes-Weinstein de 10 g augmente considérablement le risque d’ulcères du pied diabétique pouvant conduire à une amputation. Si le client présente une perte de la sensibilité de protection, des mesures rigoureuses doivent donc être prises pour lui apprendre comment prévenir toute ulcération du pied

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24
Q

Indice de pression systolique :

A

Un Doppler de poche est utilisé pour mesurer l’indice de pression systolique, ou indice tibio-brachial, afin de déceler une perte de la sensibilité de protection. Cet indice est calculé en divisant la pression systolique à la cheville par la pression systolique brachiale la plus élevée; il peut indiquer si le degré de perte de la sensibilité de protection est faible, modéré ou grave.

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25
Q

Humalog : RAPIDE

A
  • Classe : Antidiabétiques (hormones pancréatiques)
  • Mode d’action : Abaissement de la glycémie par augmentation de la captation cellulaire du glucose dans les cellules musculaires et adipeuses et par inhibition de la sortie du glucose du foie
  • Début d’action : 15 - 30 minutes
  • Pic d’action : 1 - 2 heures
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26
Q

Humulin R :

A

SEULE QUE TU PEUX DONNER EN IV
* Classe : Antidiabétiques (hormones pancréatiques)
* Mode d’action : Abaissement de la glycémie par augmentation de la captation cellulaire du glucose dans les cellules musculaires et adipeuses et par inhibition de la sortie du glucose du foie
* Début d’action : 10 – 30 minutes
* Pic d’action : 2 - 4 heures

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27
Q

Humulin N :

A
  • Classe : Antidiabétiques (hormones pancréatiques)
  • Mode d’action : Abaissement de la glycémie par augmentation de la captation cellulaire du glucose dans les cellules musculaires et adipeuses et par inhibition de la sortie du glucose du foie
  • Début d’action : 1 – 2 heures
  • Pic d’action : 6 – 12 heures
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28
Q

Metformine :

A
  • Classe : antidiabétique (biguanides)
  • Mode d’action : Diminution de la production de glucose par le foie, diminution de l’absorption du glucose par les intestins
  • Pic d’action : 2 – 4 semaines
  • Effets secondaires : ballonnement, diarrhée, nausées, vomissements
  • Enseignements principaux : ne pas couper le comprimer, prendre à la même heure
    o Expliquer au patient les signes d’hypoglycémie et d’hyperglycémie. Si des symptômes d’hypoglycémie se manifestent, lui recommander de prendre un verre de jus d’orange ou un verre d’eau auquel il ajoute 2 ou 3 cuillerées à thé de sucre, de miel ou de sirop de maïs et de prévenir un professionnel de la santé.
    o Montrer au patient comment mesurer sa glycémie et sa cétonurie. Lui recommander de surveiller étroitement les résultats de ces tests en période de stress ou de maladie et de prévenir immédiatement un professionnel de la santé si des modifications importantes surviennent.
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29
Q

Januvia :

A
  • Classe : Antidiabétique (inhibiteur de la DPP-4 ; amplificateur des hormones incrétines)
  • Mode d’action : stimuler la sécrétion d’insuline par les cellules bêta, et diminue la production de glucose hépatique (taux de glucagon)
  • Pic d’action : 1 – 4 heures
  • Effets secondaires : diarrhée, douleurs abdominales, nausées, céphalées, RISQUE D’HYPOGLYCÉMIE
  • Enseignements principaux : expliquer au patient les symptômes d’hypoglycémie
    o Faire une démonstration du dosage du glucose sanguin et des corps cétoniques urinaires. Ces résultats doivent être notés attentivement pendant les périodes de stress ou de maladie. Il faut prévenir immédiatement un professionnel de la santé si des modifications importantes surviennent.
    o Demander au patient de signaler sans tarder à un professionnel de la santé les signes et les symptômes de pancréatite et de l’informer s’il note un rash, de l’urticaire ou un œdème du visage, des lèvres ou de la gorge.
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30
Q

Glycémie capillaire :
Moment :

A
  • Avant l’administration de tout médicament antidiabétique (la valeur de la glycémie détermine la dose d’insuline à administrer)
  • À prendre avant les repas et au coucher (4 fois/jour)
  • Lorsqu’on suspecte une hypoglycémie / hyperglycémie
    NE JAMAIS DONNER D’INSULINE EN HYPOGLYCÉMIE
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31
Q

BCCB :

A

B : brouiller (blanche) : injecter de l’air dans l’insuline laiteuse
C : claire : injecter de l’air dans l’insuline claire
C : claire : aspirer l’insuline claire (action rapide) ET FAIRE LA DVI
B : brouiller (blanche) : aspirer en dernier l’insuline blanche (action intermédiaire)
ET FAIRE LA DVI

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32
Q

Étiquette seringue d’insuline :

A
  • Nom du patient
  • No dossier
  • Type et dose d’insuline (R et/ou N identifier séparément)
  • Nombre d’unité total si mélange de 2 types d’insuline
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33
Q

Double vérification indépendante :
L’infirmière vérifie :

A
  • Quantité d’insuline
  • Fiole d’insuline utilisé
  • Information sur l’étiquette
  • L’ordonnance (prescription la plus récente)
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34
Q

Site d’injection :

A
  • Abdomen : rapide
  • Bras : rapide moyen
  • Cuisse : lente
  • Fesse : très lente
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35
Q

Avant d’administrer l’insuline a courte action (humulin R) il faut s’assurer que quoi ?

A

Avant d’administrer l’insuline a courte action (humulin R) il faut s’assurer que le patient a faim et va manger dans les 30 minutes suivant l’injection.

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36
Q

ROTATION DES SITES :

A

l’accumulation d’insuline dans à l’intérieur des tissus peut entrainer : lipodystrophie : formation de bosses durcies et douloureuse sous la peau, un changement de couleur, des rougeurs / irritation, sensation de douleurs.

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37
Q

Contentions :
Mesure alternative :

A
  • Appareils électronique (lit smart)
  • Fournir de l’accompagnement et de la supervision
  • Offrir des activités de divertissement
  • Utiliser les accessoires de protection comme les casques, pantoufles antidérapantes
  • Retirer les indices qui poussent la personne à quitter sa chambre
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38
Q

Surveillance contention :

A
  • Toutes les 15 minutes la première heure ou si le client est agité
  • Aux heures par la suite
  • Si conventionner au 4 membres, toutes les 15 minutes ou plus prn
  • Le comportement
  • Besoin physique et psychologique
  • Prevention des blessures
  • Prise de signes vitaux
  • Mobilisation au 2 heures (retirer la contention x 5 min)
  • Intégrité de la peau
  • Le confort
  • Installation adéquate de la contention
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39
Q

Processus de décision des contentions :

A
  • Évaluation initiale
  • Jugement clinique
  • Analyser les effets indésirables
  • Obtenir le consentement libre
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40
Q

Composante de l’examen de l’état mental :

A
  • Apparence générale et comportement
  • Cognition
  • Humeur et affect
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41
Q

Paramètres à évaluer signe neuro :

A
  • Pupille / ouverture des yeux
  • Réponse motrice
  • Réponse verbale
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42
Q

methode devaluation pupille

A
  • Observer et noter la dimension des pupilles AVANT de diriger la lumière
  • Demander au patient de regarder un point fixe en face de lui
  • Diriger la lumière de l’extérieur vers l’intérieur de l’œil et observer la réaction de la pupille
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43
Q

anormalité pupille

A
  • Pupille inégale
  • Non-réactive a la lumière
  • Accommodation
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44
Q

méthode devaluation force motrice

A
  • Demander au client de serrer vos doigts
  • Mettre vos mains sur les bras du patient et lui demander de forcer pour lever les bras
  • Demander de pousser avec les pieds (appuyer sur le gaz)
  • Mettes vos mains sur les cuisses du patient et demander de forcer pour lever les cuisses
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45
Q

anormalité force motrice

A
  • Préhension palmaire faible
  • Force inégale
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45
Q

méthode devaluation reponse verbale

A
  • Le patient est capable de répondre à un ordre simple
  • Le patient est orienté et a des réponses compréhensibles et sensés
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45
Q

signe neurovasque toujours evaluer quoi?

A

TOUJOURS COMPARER LE MEMBRE SAIN ET LE MEMBRE ATTEINT

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45
Q

anormalité reponse verbale

A
  • Nest pas capable de répondre à un ordre simple
  • Nest pas orienté
  • A des réponses inappropriées
  • Pas de réponse
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45
Q

Paramètre a évaluer : signe neurovasque

A
  • La coloration
  • Température
  • Les pouls
  • Remplissage capillaire
  • Fonctions motrice – sensibilité
  • Œdème
  • Douleur
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45
Q

apnée du sommeil, signe et symptome

A

L’apnée obstructive du sommeil se caractérise par l’obstruction partielle ou totale des voies respiratoires supérieures durant le sommeil.
Signes et symptômes : réveils fréquent, insomnie, somnolence diurne (durant le jour) excessive, épisodes apnéiques, irritabilité, maux de tête matinaux, ronflements.

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46
Q

tuberculose manifestation

A

douleur à la poitrine, perte de poids, perte d’appétit, frissons, fièvre, sueur nocturne, faiblesse, toux, pas contagieux
Type d’isolement : Chambre seule a pression négative
L’EPI – jaquette, N-95, gants, …
Personne famille – masque normal
Enseignements au client : L’infirmière doit enseigner aux clients comment se couvrir le nez et la bouche avec un mouchoir lorsqu’ils toussent, éternuent ou produisent des expectorations. Il faut jeter les mouchoirs dans un sac en papier puis les déposer dans la poubelle, ou les brûler, ou les évacuer par la toilette. Il faut insister sur l’importance de se laver adéquatement les mains après être entré en contact avec des expectorations ou un mouchoir souillé. Si le client doit sortir de la chambre à pression négative, il doit porter un masque chirurgical standard

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47
Q

tuberculose transmition

A

Transmission : Transmission aérienne, requière une exposition étroite, fréquente et prolonger

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48
Q

tuberculose type disolement, enseigment au client

A

Type d’isolement : Chambre seule a pression négative
L’EPI – jaquette, N-95, gants, …
Personne famille – masque normal

Enseignements au client : L’infirmière doit enseigner aux clients comment se couvrir le nez et la bouche avec un mouchoir lorsqu’ils toussent, éternuent ou produisent des expectorations. Il faut jeter les mouchoirs dans un sac en papier puis les déposer dans la poubelle, ou les brûler, ou les évacuer par la toilette. Il faut insister sur l’importance de se laver adéquatement les mains après être entré en contact avec des expectorations ou un mouchoir souillé. Si le client doit sortir de la chambre à pression négative, il doit porter un masque chirurgical standard

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49
Q

Physiopathologie AVC VS AIT :

A

L’AIT, il y a une obstruction transitoire de l’apport sanguin aux cellules cérébrales sans mort cellulaire, ce qui cause des symptômes temporaires sans qu’il y ait de destruction se de cellules cérébrales, tout comme dans l’angine
AIT (accident ischémique transitoire): ischémie sans infarctus
AVC : ischémie avec infarctus (mort cellulaire)

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50
Q

Dyslipidémie avc

A

augmente les chances d’athérosclérose que qui augmente les chances bloquer la circulation et cause un AIT ou un AVC.

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51
Q

Hypertension avc

A

Hypertension : risque important de coronopathie endommage l’endothélium des artères

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52
Q

facteur de risque avc

A

Obésité (IMC : 46), âge, HTA, tabagisme, malformation crâniofaciale

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53
Q

signe avant coureur avc

A

Faiblesse, confusion trouble de la parole ou de la compréhension, trouble de l’élocution, problème de vision soudain, difficulté soudaine à marcher, étourdissement, important mal de tet soudain, engourdissement, paralysie soudaine du visage, d’un bras, d’une jambe d’un seul côté du corps, perte d’équilibre, perte de coordination

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54
Q

aspirine

A
  • Classe : Antiplaquettaire, antipyrétique, analgésique non opioïde, anti-inflammatoire non stéroïdien, salicylate
  • Indication : Soulagement de l’inflammation et de la douleur légère à modérée, soulagement de la migraine et des symptômes associés
  • Mécanisme d’action : Effet analgésique et réduction de l’inflammation et de la fièvre par inhibition de la production de prostaglandines par la cyclooxygénase (COX)
  • Effets secondaires : dyspepsie, troubles épigastriques, brûlures d’estomac
  • Surveillance : Conseiller au patient de prendre l’aspirine avec un grand verre d’eau et de ne pas se coucher pendant les 15 à 30 minutes qui suivent. Recommander au patient de signaler la présence d’acouphènes, de saignements inhabituels, d’ecchymoses, de fièvre persistant pendant plus de 3 jours ou de selles noires et goudronneuses.
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55
Q

outils aphasie de Wernicke

A

difficulté à comprendre = échelle des visages

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56
Q

Outils
Aphasie de Brocca

A

bonne compréhension mais ne peut pas parler : papier/crayon (écrire)

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57
Q

Quels enseignements devrions-nous donner pour qu’il évite de transmettre la maladie au personnel ou à ses proches? tuberculose

A

L’infirmière doit enseigner aux clients comment se couvrir le nez et la bouche avec un mouchoir lorsqu’ils toussent, éternuent ou produisent des expectorations. Il faut jeter les mouchoirs dans un sac en papier puis les déposer dans la poubelle, ou les brûler, ou les évacuer par la toilette. Il faut insister sur l’importance de se laver adéquatement les mains après être entré en contact avec des expectorations ou un mouchoir souillé. Si le client doit sortir de la chambre à pression négative, il doit porter un masque chirurgical standard.

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58
Q

Pourquoi élever la tête du lit à 30 degrés?

A

L’élévation de la tête de lit réduit la pression du sinus sagittal, favorise le drainage de la tête par les veines jugulaires, diminue la pression intracrânienne et diminue la congestion vasculaire potentiellement responsable de l’œdème cérébral. Prévenir l’étouffement par la salive, favoriser la ventilation et la respiration, éviter l’aspiration des sécrétions.

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59
Q

Cycle glycémique pour 48 heures pour voir quoi?

A

hyperglycémie peut causer d’autre lésion célébrable

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60
Q

Tomodensitométrie cérébrale : examen avc

A

examen de choix lorsqu’un patient fait un AVC car c’est le plus rapide de détecter un AVC

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61
Q

Pourquoi est-il atteint d’une hémiplégie droite tandis que son AVC est survenu du côté gauche?

A

Le côté gauche de l’encéphale contrôle le côté droit du corps. Croissement dans le mésencéphale.

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62
Q

Étant donné que le résultat du test de dépistage de dysphagie est positif, quelles précautions devrez-vous prendre afin de prévenir les risques d’étouffement lors des repas? Qu’elle complication voulez-vous ainsi prévenir ?

A

Prévenir la pneumonie d’aspiration
Précaution : assir le patient a 90 ° pendant le repas et 30 minutes après, hygiène buccale avant et après le repas, pencher la tête de la personne légèrement vers l’avant pendant le repas, surveillance lorsque la personne mange.

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63
Q

Préciser comment le préposé devrait installer le cabaret de Monsieur Paré lors des repas.

A

Dans son champ de vision (hémianopsie)
Hémianopsie côté droit car son AVC gauche donc cabaret cote gauche

64
Q

Quelle est la principale complication d’une thromboembolie veineuse (thrombose veineuse profonde) au niveau de la cuisse?

A

Complication : embolie pulmonaire (autre : insuffisance veineuse chronique, ulcère veineux, rare : phlébite bleu)

Manifestations : dyspnée intense, douleur thoracique, hémoptysie (sécrétion avec du sang), hypoxémie, hypercapnie, toux, douleur thoracique pleurétique, hémoptysie, présence de crépitant, changement de l’état mental du a l’hypoxémie, présence de bruit cardiaque pulmonaire.

65
Q

Comment peut-on prévenir l’apparition d’une thromboembolie veineuse.

A

Mobilisation au 2 heures, élever les jambes au-dessus du niveau du cœur, bas de compression, éviter vêtement trop serrer, favoriser la marche
Faute que le sang bouge

66
Q

Quelles seront les directives infirmières (donc à inscrire au PSTI ou au PTI) pour prévenir la détérioration de la plaie de M. Paré et prévenir l’apparition d’autres plaies, en considérant ses facteurs de risque?

A

Appliquer de la crème, encourager la mobilisation 3 fois par jour, évaluer la plaie q quart, surélever le talon avec un oreiller, changer le pansement die

67
Q

Quelles directives auraient dû être transmises par l’infirmière aux préposés aux bénéficiaires afin de prévenir une subluxation de l’épaule droite?

A

Utiliser une ceinture de marche lors de déplacement, manipuler le bras atteint avec précotions, supporter le membre atteint avec une écharpe lors des déplacements.

68
Q

test de dysphagie

A

Le test de dysphagie sert à évaluer le réflexe de déglutition pour prévenir une pneumonie d’aspiration chez tous les patients à risque de s’aspirer avec de la nourriture.

69
Q

Héparine

A

Héparine : action immédiate
Action rapide/immédiate (pour contrer l’agrégation plaquettaire). TCA (temps de saignement)

  • Classe : Anticoagulant, antithrombotique
  • Indication : Prophylaxie et traitement des divers troubles thromboemboliques incluant : la thromboembolie veineuse, l’embolie pulmonaire
  • Mode d’action : Potentialisation des effets inhibiteurs de l’antithrombine sur le facteur Xa et la thrombine
  • Effets secondaires : rash, urticaire, anémie, douleurs au point d’injection
  • Soins infirmier : Conseiller au patient de signaler immédiatement à un professionnel de la santé les saignements ou les ecchymoses inhabituels.
    Conseiller au patient de ne pas prendre de médicaments contenant de l’aspirine ou des AINS pendant le traitement à l’héparine.
    Recommander au patient d’éviter les injections IM et les activités pendant lesquelles il risque de se blesser. Lui recommander également d’utiliser au cours du traitement à l’héparine une brosse à dents à poils doux et un rasoir électrique.
70
Q

Coumadin

A

Coumadin : per os (40 à 72 h)
Début d’action : 48 à 72 heure / plateau thérapeutique : 5 à 7 jour INR (temps de saignement)
- Classe : anticoagulant
- Indication : Prophylaxie et traitement des troubles suivants : thrombose veineuse, embolie pulmonaire
- Mode d’action : Inhibition de la synthèse hépatique des facteurs de coagulation dépendant de la vitamine K.
- Effets secondaires : nausées, vomissements, douleurs abdominales, diarrhée, flatulences, saignements digestifs, modification du goût, hépatite, hématurie.
- Soins infirmier : Revoir avec le patient les aliments riches en vitamine K. Lui recommander de consommer une quantité limitée de ces aliments, car la vitamine K est l’antidote de la warfarine.
Expliquer au patient qu’il doit éviter les injections par voie IM et les activités pendant lesquelles il peut se blesser. Lui recommander d’utiliser une brosse à dents à poils doux, de ne pas utiliser de soie dentaire et de se servir d’un rasoir électrique durant le traitement par la warfarine. Lui expliquer que pour prévenir l’hémorragie ou la formation d’hématomes, il doit appliquer une pression sur les points d’injection et de ponction veineuse.
Conseiller au patient de signaler immédiatement à un professionnel de la santé tout symptôme pouvant évoquer des saignements ou une formation d’ecchymoses inhabituels (saignement des gencives, saignement du nez, selles noires goudronneuses, hématurie, règles abondantes) ou une douleur ou un changement de couleur ou de température à n’importe quel endroit du corps. Les patients dont la réponse à l’anticoagulothérapie est médiée par un déficit en protéine C ou S pourraient être exposés à un risque plus élevé de nécrose tissulaire.

71
Q

arthériopathie péréférique facteur de risque

A

o Tabac
o Dyslipidémie
o Diabète
o HTA non maîtrisée
o ATCD familiaux
o Vieillissement
o Obésité
o Mode de vie sédentaire
o Stress
o DLD

72
Q

arthériopathie péréférique manifestation

A

o Claudication intermittente
o Déséquilibre entre l’apport et la demande d’O2
o Douleur causée par l’accumulation d’acide lactique
o Paresthésie
o Neuropathie périphérique (chez le patient diabétique) avec douleur lancinante
o Perte de sensation au toucher et douleur profonde
Douleurs aggraver par la marche, monter les escaliers
Douleur au repos, augmenter à l’élévation de MI (nuit)

73
Q

traitement médicaux arthériopathie périphérique

A

o Traitement claudication: programme de marche (action de faible intensité, augmentation graduellement = augmentation ramifications collatérales) et pharmacothérapie (Pletal et Trendal)
o Traitement autre: hypocholestérolémiant, antihypertenseur, antiplaquettaire et anticoagulant Traitement thrombolytique (uniquement les cas ischémie aigue)
o Athérectomie au laser
o Angioplastie
o Pontage
o Suivi médical annuel

74
Q

soins infirmier arthériopathie périphérique

A

o Enseignement nutritionnel (Na, lipides) et éviter les blessures au MI
o Surveillance intégrité de la peau (MI, hydratation); soins de plaies
o Hydratation: diminution viscosité du sang
o Position assise si douleur ou position Tredelenburg inversée
o Augmenter T de pièce: vasodilatation
o Surveillance des saignements, Hb, plaquettes et des SNV.
enseignement / soutien / suivi pour modifications des facteurs de risque

75
Q

Traitement non-pharmaco TVS :

A
  • Retrait du CIV (MS)
  • Élévation du membre si œdème léger pour le diminuer
  • Application de compresses humides pour diminution dlr et diminution inflammation
  • Enseignement de porter des bas antiemboliques (MDS 2.3 Potter p57), et effectuer des exercices de marche (la compression, ainsi, diminue l’œdème et augmentation la fibrinolyse endogène)
  • Surveillance des saignements, Hb, GB, plaquettes et des SNV.
76
Q

Traitement non-pharmaco TVP :

A
  • Élévation du membre pour diminuer l’œdème (lorsque œdème ↓, bas antiembolique)
  • Promouvoir la mobilisation précoce q2h
  • Enseignement d’effectuer des exercices de marche (la compression, ainsi, diminue l’œdème et la douleur, et augmentation la fibrinolyse endogène)
  • Application de compresses humides pour diminution dlr et diminution inflammation
  • Surveillance de SV (hypotension, tachycardie, fièvre…)
  • Surveiller signes précoces d’EP (dyspnée, dlr thoracique)
  • Diminution des risques de saignements
  • Surveillance des saignements, INR, TCA, temps de coagulation, anti-facteurXa, Hb, Ht, GB, plaquettes et des SNV.
77
Q

Prévention trouble vasculaire veineux :

A
  • Mobilisation
  • Changement de position aux deux heures
  • Enseignement de fléchir et étendre les pieds, les genoux et les hanches q2-4 heures (éveil)
  • Fauteuil et marche: de 4 à 6 fois par jour
  • Port de bas antiembolique à compression (bien ajustés)
  • Port de dispositifs de compression séquentielle
  • Cesser de fumer
  • Pas porter des vêtements serrés
  • Éviter la station debout prolongée
  • Précautions: éviter sports de contact et les chutes
  • Programme équilibré de repos et exercices (↑ retour veineux)
  • Perte de poids
  • Anticoagulant préventif
78
Q

o Polydipsie

A

soif excessive avec un volume de liquide ingéré quotidiennement supérieur à trois litres

79
Q

Polyphagie

A

Besoin excessif de manger.

80
Q

polyurie

A

secretion exessive durine

81
Q

Manifestation :
TVS

A

BÉNIN
- Rougeur (veine d’apparence de cordon)
- Chaleur
- Œdème léger / rare
- Prurit
- Leucocytose

82
Q

Manifestation :
TVP :

A
  • Souvent veines iliaques, fémorales
  • Œdème d’une seule jambe
  • Hyperhémie
  • Érythème
  • Douleur intense, vive d’apparition soudaine, dans les extrémités, lourdeur dans la cuisse ou le mollet
  • Paresthésie; sensibilité à la palpation
  • Muscles profonds sensibles au toucher
  • Signe de Homans positif (35% des cas)
83
Q

lipodystrophie

A

formation de bosses durcies et douloureuse sous la peau, un changement de couleur, des rougeurs / irritation, sensation de douleurs.

84
Q

Bronchite chronique

A

Sécrétion abondante de mucus dans l’arbre bronchique, l’obstruction est causée par l’inflammation, l’accumulation de sécrétion.

85
Q

Emphysème

A

conséquence de la destruction du tissu pulmonaire, caractériser par la dilatation permanente des sacs alvéolaire en aval des bronchioles terminales et par la destruction des paroi inter alvéolaires. Perte d’élasticité des alvéole, accumulation d’Aire, difficile à expirer, distension des poumons, thorax en tonneau

86
Q

o Bronchite chronique :
Inspection
Palpation
Percussion
Auscultation

A

Inspection : toux rauque, expectorations épaisse et abondante, dyspnée, fatigue,
Cyanose. Mucus clair à jaunâtre, dyspnée a l’effort,
Palpation : frémissement tactile normal.
Percussion : sonorité.
Auscultation : bruit respiratoire normaux, bruit de la voix normaux, temps expiratoire prolongé. Murmure vésiculaire normaux

87
Q

o Emphysème :
Inspection
Palpation
Percussion
Auscultation

A

Inspection : thorax en tonneau, utilisation des muscles accessoire, position de tripode, essoufflement, détresse respiratoire, tachypnée, saturation plus bas, perte de poids, anorexie
Palpation : diminution du frémissement tactile et de l’expansion thoracique.
Percussion : hypersonorité
Auscultation : murmures vésiculaires diminuer (perte d’élasticité), expiration peut être longue, bruit cardiaque étouffés

88
Q

Bruits adventices

A

wheezing (siflant audible a l’oreille), crépitants fins (rouler une mèche de cheveux proche de son oreille), crépitants rudes (feux d’artifice), sibilances basses ( son de gémissement)

89
Q

Pourquoi visons-nous une SpO2 ≥ à 90% et ≤ à 92% chez un MPOC?

A

Pour une personne souffrant de MPOC, il faut garder la SPO2 plus basse que la normale car ils peuvent faire une narcose au dioxyde de carbone ou une intoxication a l’oxygène.
Les MPOC sont habituer au CO2 plus élever, si augmente O2, diminue le centre respiratoire, hypoventilation, ce qui mené à une augmentation du CO2 sanguin = narcose = arrêt respiratoire.

90
Q

Qu’est-ce qu’un cycle glycémique et pourquoi est-il prescrit?

A

Prednisone, corticostéroïde = augmente la glycémie. Prendre la glycémie au repas et au coucher

91
Q

Qu’est-ce qu’une hémoculture et pourquoi est-elle prescrite? MPOC

A

Savoir si les bactéries des poumons sont passées dans le sang.

92
Q

Qu’est-ce qu’un gaz capillaire et que peut-il nous révéler?

A

L’examen permet d’évaluer les échanges pulmonaires et de détecter notamment une modification anormale des concentrations d’oxygène et de dioxyde de carbone dans le sang artériel allant vers les tissus.
Information sur la ventilation, évaluer le niveau acido-basique, besoin en oxygénothérapie

93
Q

Quel est le processus thérapeutique dans la MPOC autre que pharmacologique?

A

Abandon du tabac, enseignement au client et au proche aidant, hydratation à raison de 3 L/jour (sauf contre-indication), plan d’exercices progressifs, surtout la marche et le renforcement des muscles du haut du corps

94
Q

Interprétez le résultat du test de fonction respiratoire – Spirométrie
Évaluer le degré de gravité de la maladie, et au stade de l’affection pulmonaire.

A

Évaluer le degré de gravité de la maladie, et au stade de l’affection pulmonaire.

95
Q

Expliquez à monsieur Bouchard (MPOC) pourquoi il s’essouffle autant à l’effort.

A

Les propriétés élastiques des poumons, diaphragme aplatie, respi plus dure, muscle accessoire épuise.

96
Q

Expliquez à monsieur Bouchard (MPOC) pourquoi il est si important qu’il exécute les exercices de toux contrôlées.

A

Technique de toux contrôlée : décoller les sécrétions et le mucus, tousser efficacement pour expulser les secrétions.

97
Q

Expliquez-en quoi consiste la respiration avec les lèvres pincées, son but et dans quelles circonstances elle doit être pratiquée.

A

Technique : inspirer lentement jusqu’à 4 sec, pincer lèvres, expirer deux fois plus longtemps
But : diminuer l’effort expi, prévenir atélectasie
Quand la pratiquer : avant et après une activité qui peut provoquer de la dyspnée, pendant un épisode de dyspnée.

98
Q

Quels éléments d’enseignement pouvez-vous donner à monsieur Bouchard pour lui apprendre à mieux vivre avec sa maladie et lui éviter de faire une autre EAMPOC et d’être à nouveau hospitalisé?

A

respi lèvres pincé, conservation d’Energie, étaler son horaire, importance sur prise de ses meds, perte de poids, tabagisme arrêt.

99
Q

En quoi l’âge de Madame Wilson influe-t-il sur son problème de santé? SCA

A

Vieillissement des cellule, hypertrophie myocardique, augmentation du collagène, diminution de d’élastine, baisse de l’efficacité du cœur à pomper le sang.

100
Q

Qu’est-ce que l’angine (chronique) stable? Quel est le processus impliqué dans la douleur angineuse?

A

Plaque d’athérome (dépôt graisseux) - colle à la paroi de l’artère – diminution du diamètre – diminution du flux sanguin – ischémie myocardique intermittente
DRS : ischémie myocardique intermittente - métabolisme anaérobique (sans oxygène) – augmentation lactate (acide lactique) – irritation fibre nerveuse myocardique - DRS
Demande d’o2 > offre d’o2 = douleur

101
Q

Angine instable

A

Ischémie myocardique causée par la rupture d’une plaque d’athérome et un thrombus

102
Q

Quels sont signes et symptômes de l’angine

A

DRS provoquer par l’effort, nausée, sensation de pression, lourdeur ou de serrement dans la poitrine, douleurs dans les bras, épaule, omoplates, sensation de mauvaise digestion.
(Instable : DRS survenant au repos ou à l’effort.)

103
Q

Comment contribue le tabagisme au développement des maladies coronariennes.

A

Le tabac durcit les artères, augmente la coagulabilité, endommage l’endothélium et favorise l’inflammation. La nicotine présente dans la fumée de tabac provoque la sécrétion de catécholamines. Ces neurohormones entraînent une élévation de la FC, une vasoconstriction périphérique et une augmentation de la PA. Ces changements augmentent le travail du cœur, ce qui pousse le myocarde à accroître sa consommation d’oxygène. Le tabac durcit les artères, augmente la coagulabilité, endommage l’endothélium et favorise l’inflammation.

104
Q

Pourquoi Madame Wilson a-t-elle de la difficulté à contrôler sa PA?

A

Oublie fréquemment sa médication, ne prend pas à des heures régulières, le tabagisme, obésité, sédentarité, alimentation riche en sodium, stress

105
Q
  1. Quels sont les facteurs présents chez Madame Wilson, pouvant déclencher une crise d’angine? Expliquez. Quels sont les autres?
A
  • effort physique (augmente FC, demandes-en O2),
  • émotion forte (augmentation FC, stimulation SNAS),
  • température extrême (vasoconstriction(froid) des vaisseaux, vasodilatation (chaud),
  • activité sexuelle (augmentation FC),
  • consommation de stimulants, schémas du rythme circadien,
  • repas copieux (détournement du sang vers le système digestif, ce qui réduit le flux sanguin).
106
Q
  1. Quelles sont les manifestations d’angine instable que présente Mme. Wilson? Quelles sont les autres?
A

diaphorèse, fréquence, durée et gravité augmente des DRS, douleurs au moindre effort, douleurs nocturnes, douleur au repos, réagis plu à la nitro, indigestion, palpitation, anxiété, dyspnée, étourdissement

107
Q

Madame Wilson n’a aucun problème respiratoire. Pourquoi a-t-elle une ordonnance d’02 en PRN?

A

Elle plus à risque (d’hypoxémie) parce que la demande d’O2 > offre dO2

108
Q

Pourquoi on demande un dosage de troponines cardiaques.

A

Troponine : protéines, troponines dans le sang = lésion du muscle cardiaque, 2 à 6 h après l’infarctus du myocarde et reste maximum 24 h dans le sang.

109
Q

Quels sont les résultats d’analyses sanguines à consulter permettant d’évaluer le risque de maladie cardiovasculaire (MCV)?

A

-HDL: serai supposer être haut, si c’est le contraire risque de maladie cardiovasculaire
-LDL: serai supposer être bas, si c’est le contraire risque de maladie cardiovasculaire
-Triglycérides: si beaucoup, facteur de risque maladie cardiovasculaire

110
Q

Durée de libération :
Nitro dur :
TNT :

A

Nitro dur : diffusion lente, 24 heures
TNT 3-5 min, diffusion rapide

111
Q

Quels sont les éléments d’enseignement concernant l’utilisation et l’administration de la Nitro en vaporisation ?

A
  • Entreposage : a labris de toute source de chaleur, et lumière
  • Recommandation pour l’utilisation : ne pas l’agiter avant l’utilisation, faire un push avant de prendre la première bouffée, sous la langue et laisser fondre,
112
Q

Si Mme Wilson n’était pas complètement soulagée après l’administration de 3 TNT, que feriez-vous?

A

Aviser le médecin

113
Q
  1. Expliquez à Mme Wilson comment elle peut prévenir l’apparition de nouvelles crises d’angine
A

Apprendre à gérer son stress, éviter les déclencher nommez plus haut.

114
Q
  1. Quelle serait la principale complication possible de l’angine ? Quelles sont les manifestations?
A

Infarctus du myocarde, rythme irrégulier, sentiment de mort imminente, électrocardiogramme anormale

115
Q

Quel est l’examen paraclinique le plus précis pour confirmer un infarctus?

A

ECG, changement au niveau du complexe QRS, changement segment ST, changement d’onde T

116
Q

HYPOKALIÉMIE MANIFESTATION

A

Fatigue, faiblesse musculaire, crampes aux jambes, nausée, vomissement pouls faible et irrégulier.

117
Q

Facteurs de risques : MPOC

A

1) Tabagisme
2) Produit chimique ou poussière en milieu de travail
3) Vieillissement
4) Pollution atmosphérique
5) Infection
6) Hérédité
7) Déficit en antitrypsine

118
Q

Nommez les signes et symptômes d’une EAMPOC?

A
  1. Dyspnée
  2. Toux grasse
  3. Expectoration
  4. Respiration sifflante
  5. Frémissement tactile
  6. Tirage intercostal
  7. Utilisation des muscles accessoires
  8. Cyanose
119
Q

Bruits respiratoires :
cause

A

o Crépitants fins : l’air inhalé entre en collision avec les alvéoles collapsées, bruit sec d’ouverture soudaine des alvéoles, provocant un bruit de grésillement au moment où les gaz tentent de s’égaliser entre les deux compartiments (bruit de mèche de cheveux entre les doigts près de l’oreille).
o Crépitant rude (ronchis) : l’air inhalé se heurte contre les secrétions dans la trachée et les bronches principale (feux d’artifice).
o Wheezing : ces sons se produisent lorsque l’air circule dans un passage rétréci provoqué par la présence d’œdème, de secrétions ou d’une tumeur (audible a l’oreille).
o Sibilance basse : la tonalité des sibilances n’est pas liée à la taille des voies respiratoires atteintes (son de gémissement).

120
Q

Facteurs de risque des maladies coronariennes :

A

Non-modifiables : âge, sexe, origine ethnique, toxicomanie, hyperhomocystéinémie, diabète

Modifiables: hypertension, tabagisme, détresse psychologique, dyslipidémie, obésité, sédentarité

121
Q

Manifestation :
o Angine stable
o Angine instable :
o Infarctus du myocarde :

A

o Angine stable : DRS provoquer par l’effort, nausée, sensation de pression, lourdeur ou de serrement dans la poitrine, douleurs dans les bras, épaule, omoplates, sensation de mauvaise digestion
o Angine instable : : diaphorèse, fréquence, durée et gravité augmente des DRS, douleurs au moindre effort, douleurs nocturnes, douleur au repos, réagis plu à la nitro, indigestion, palpitation, anxiété, dyspnée, étourdissement
o Infarctus du myocarde : douleur aiguë et persistante dans la poitrine, qui irradie le bras gauche, le dos et la mâchoire. Peuvent également survenir un malaise, des nausées, des vertiges

122
Q

Intervention lors d’une DRS :

A

1- Client position Fowler
2- Eval PQRSTU
3- SV
4- Administrer O2
5- Obtenir ECG STAT.
6- Donner du TNT (nitro) (si la PA – de 90 ou pouls – de 50 pas de TNT)
7- Si pas complètement soulagée après l’administration de 3 TNT : Aviser le médecin

123
Q

Ostéoporose
Définition :
Physiopathologie :

A

Définition : L’ostéoporose, ou os poreux (maladie des os fragiles), est une maladie osseuse métabolique chronique et évolutive, caractérisée par une diminution de la masse osseuse et une détérioration structurale du tissu osseux qui rendent les os plus fragiles. Les os peuvent devenir à ce point fragiles qu’ils ne sont plus en mesure de supporter un stress mécanique normal.
Physiopathologie : RESORPTION OSSEUSE ET PLUS GRANDE QUE LE DEPOT OSSEUX (TEN PERD PLUS QUE TU EN PREND)

124
Q

Arthrose
Définition :
Physiopathologie :

A

Définition : L’arthrose est un trouble dégénératif et non inflammatoire qui s’attaque lentement aux articulations synoviales (diarthrose). Elle peut toucher n’importe quelle articulation, mais affecte principalement les mains et les articulations qui supportent le poids corporel comme les hanches, les genoux, les chevilles et la colonne vertébrale.
Physiopathologie : PROBLÈME MUSCULO-SQUELLETIQUE, DIMINUTION GRADUELLE DE L’ESLASTICITÉ DU CARTILAGE QUI ENTRAINE UNE EROSION DE LA SURFACE ARTICULAIRE – AMINCIMENET DU CARTILAGE ET DES OS – UN DESIQUILIBRE DANS LA DISTRIBUTION DU POIDS DANS LARTICULATION ET DIMINUTION DES MOUVEMENT.

125
Q

MANIFESTATION :
Ostéoporose

A

L’ostéoporose est souvent appelée la maladie silencieuse, car la perte osseuse ne s’accompagne d’aucun symptôme. Les personnes concernées peuvent ignorer qu’elles sont atteintes d’ostéoporose jusqu’à ce que leurs os se fragilisent à ce point qu’une tension, un choc ou une chute provoque une fracture de la hanche, des vertèbres ou du poignet. Le tassement des vertèbres peut d’abord se manifester par des douleurs lombaires, une diminution de la taille ou une déformation de la colonne vertébrale comme une cyphose ou une posture très voûtée.

126
Q

MANIFESTATION :
Arthrose

A

DOULEURS, RAIDEUR ARTICULAIRE, raideur matinale, déformation des articulations

127
Q

Éléments de traitement et d’enseignement de l’arthrose vs l’ostéoporose.

A

Ostéoporose
Exercice modérer, éviter tabagisme, vitamine b

Arthrose
Gestion du poids, utilisation froid-chaud, ne pas fumer

128
Q

SALMÉTÉROL

A
  • Classification : bronchodilatateur a longue action
  • Indication : relaxation des muscle lisse des VR
  • Effets secondaires :
    o Courants : céphalées, nervosité, palpitations, tachycardie, arythmies, douleurs abdominales, diarrhée, nausées.
    o Dangereux : bronchospasme paradoxal, décès lié à l’asthme, toux, réactions allergiques incluant l’anaphylaxie.
    o Adrénergique à action rapide, pris par inhalation, pour soulager les crises aiguës d’asthme.
129
Q

FLUTICASONE :

A
  • Classification : corticostéroïdes (par voie intranasale)
  • Indication : Traitement de la rhinite allergique saisonnière ou apériodique ne répondant pas au traitement habituel, suppression inflammation.
  • Effets secondaires :
    o Courants : étourdissements, céphalées, , saignement du nez, douleurs abdominales, perte du goût,
    o Dangereux : anaphylaxie, œdème angioneurotique, infection phobique (champignon bouche)* Soins / enseignement :
    o Le flacon ne devrait pas être gardé dans un endroit froid ou humide, et son contenu devrait être utilisé en l’espace de 3 mois (béclométhasone, flunisolide) ou de 6 mois après l’ouverture du sachet d’aluminium, ou selon les recommandations du fabricant.
    o Conseiller au patient de se moucher délicatement avant l’administration du médicament.
    o Recommander au patient d’arrêter de prendre le médicament et de communiquer avec un professionnel de la santé si des signes d’anaphylaxie se présentent (rash, difficultés respiratoires, enflure des lèvres ou de la gorge).
130
Q

AMOXICILLINE/CLAVULIN:

A

AMOXICILLINE/CLAVULIN:
* Classification : antibiotique
* Indication : Traitement des infections suivantes : pharyngite, pneumonie extrahospitalière, exacerbation aiguë de la maladie pulmonaire obstructive chronique, otite moyenne, sinusite, infections des voies respiratoires
* Effets secondaires :
o Courants : diarrhée, nausées, vomissements, élévation des enzymes hépatiques, candidose vaginale, rash,
o Dangereux : convulsions (doses élevées), colite pseudomembraneuse, réactions allergiques incluant l’anaphylaxie et la maladie sérique

131
Q

DOXYCYCLINE :

A
  • Classification : antibiotique
  • Indication : traitement de diverses infections attribuables à des microorganismes inhabituels, notamment : maladie de Lyme
  • Effets secondaires :
    o Courants : minocycline– céphalées, étourdissements, vertiges, acouphènes ; minocycline – réactions vestibulaires, diarrhée, nausées, vomissements, œsophagite, ulcération de l’œsophage,
    o Dangereux : hépatotoxicité, diarrhée associée à Clostridium difficile, colite pseudomembraneuse.
132
Q

SALBUTAMOL/VENTOLIN :

A

ALBUTAMOL/VENTOLIN :
* Classification : bronchodilatateur, courte action
* Indication : Traitement symptomatique et prévention du bronchospasme attribuable à l’asthme bronchique, à la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) ou à toute autre affection bronchopulmonaire chronique dans laquelle le bronchospasme constitue un facteur aggravant
* Effets secondaires :
o Courants : nervosité, agitation, tremblements, céphalées, douleurs thoraciques, palpitations, angine, arythmies, hypertension, nausées, vomissements, hyperglycémie, hypokaliémie.
o Dangereux : bronchospasme paradoxal, réactions allergiques incluant l’anaphylaxie
* Soins / enseignement :
o Avertir le patient que le salbutamol peut donner un goût inhabituel ou mauvais dans la bouche.
o Prévenir le patient qui prend d’autres médicaments par inhalation qu’il doit commencer par le salbutamol et attendre 5 minutes avant d’inhaler les autres médicaments, sauf avis médical contraire.
o Recommander au patient de se rincer la bouche avec de l’eau après chaque inhalation pour réduire la sécheresse buccale

133
Q

IPRATROPIUM/ATROVENT :

A

IPRATROPIUM/ATROVENT :
* Classification : bronchodilatateur
* Indication : Bronchodilatation dans le traitement d’entretien du bronchospasme associé à la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), comprenant la bronchite chronique et l’emphysème
* Effets secondaires :
o Courants : étourdissements, céphalées, nervosité, vision trouble, maux de gorge, sécheresse de la bouche (xérostomie), sécheresse ou irritation nasales, bronchospasme,

134
Q

PREDNISONE :

A

PREDNISONE :
* Classification : Corticostéroïdes (par voie générale), anti-inflammatoires, immunosuppresseurs, antiasthmatiques
* Indication : Prise en charge de diverses maladies respiratoires (sarcoïdose symptomatique, pneumonie d’aspiration)
* Effets secondaires :
o Courants : dépression, euphorie, céphalées, modifications de la personnalité, psychoses, agitation, hallucinations, insomnie
o Dangereux : ulcère gastroduodénal, suppression de la fonction surrénalienne

135
Q

NORVASC :

A

NORVASC :
o Classification : antihypertenseur, antiangineux.
o Indication : traitement de l’hypertension et de l’angine de poitrine chronique stable.
o Effets secondaires : céphalées, étourdissements, fatigue, somnolence, hypotension, palpitations, hypotension orthostatique
o Surveillance infirmière : vérifier le pouls et la PA, NE PAS ADMINISTRER SI LE POULS EN BAS DE 50

136
Q

LASIX :

A

LASIX :
o Classification : diurétique, antihypertenseur
o Indication : traitement de l’hypertension
o Mécanisme d’action : Inhibition de la réabsorption du sodium et des chlorures au niveau de l’anse de Henle
o Effets secondaires : déshydratation, hyponatrémie, perte d’élasticité, hypovolémie.
o Surveillance infirmière /soins infirmiers/tests de laboratoire : faire un bilan in-out, surveiller hydratation

137
Q

NITROGLYCÉRINE (TNT) ET NITRO-DUR :

A

NITROGLYCÉRINE (TNT) ET NITRO-DUR :
o Classification : Antiangineux (dérivés nitrés et nitrates), vasodilatateurs coronariens
o Indication : Soulagement rapide des crises d’angine et prophylaxie de courte durée de l’angine de poitrine,
o Mécanisme d’action : Augmentation du débit coronarien grâce à la dilatation des artères coronaires et à l’amélioration de l’irrigation, par la circulation collatérale, des territoires ischémiques, Vasodilatation (la vasodilatation veineuse est plus importante que la vasodilatation artérielle), Diminution de la pression et du volume télédiastoliques du ventricule gauche (précharge), Réduction de la consommation d’oxygène par le myocarde.
o Effets secondaires : étourdissement, tachycardie, agitation étourdissements, céphalées, agitation, faiblesse, vision trouble, hypotension.
o Surveillance infirmière : pouls et PA avant et après, rotation des site (timbre)

138
Q

LOPRESSOR :

A

LOPRESSOR :
o Classification : Antiangineux, antiarythmique (classe II), antihypertenseur (bêtabloquant cardiosélectif)
o Indication : Traitement de l’hypertension légère ou modérée, traitement prolongé de l’angine de poitrine, prévention de l’infarctus du myocarde (IM) et diminution de la mortalité chez les patients ayant subi un IM récent.

139
Q

FRAGMIN :

A

FRAGMIN :
o Classification : Anticoagulants, antithrombotiques
o Indication : Prévention des complications ischémiques (en association avec l’aspirine) dans les cas suivants : angine instable
o Surveillance infirmière : Conseiller au patient de signaler immédiatement à un professionnel de la santé les saignements ou les ecchymoses inhabituels, les étourdissements, les démangeaisons, le rash, la fièvre, l’œdème ou les difficultés respiratoires. Conseiller au patient de ne pas prendre d’aspirine (acide acétylsalicylique) ou d’AINS pendant le traitement sans consulter un professionnel de la santé au préalable.

140
Q

CRESTOR :

A

CRESTOR :
o Classification : Hypolipidémiants
o Indication : Traitement d’appoint de l’hypercholestérolémie primaire et des dyslipidémies mixtes
o Mécanisme d’action : Inhibition de l’enzyme 3-hydroxy-3-méthylglutaryl-coenzyme A (HMG-CoA) réductase qui catalyse une étape précoce de la synthèse du cholestérol.
o Effets secondaires : étourdissements, céphalées, insomnie, faiblesse. Vision trouble, crampes abdominales, constipation, diarrhée, flatulences, brûlures d’estomac, nausées, rash, prurit, rhabdomyolyse, réactions d’hypersensibilité.

141
Q

LIPITOR :

A

LIPITOR :
o Classification : Hypolipidémiants
o Indication : Traitement d’appoint de l’hypercholestérolémie primaire et des dyslipidémies mixtes, en association avec la diétothérapie et la modification des habitudes de vie
o Mécanisme d’action : Inhibition de l’enzyme 3-hydroxy-3-méthylglutaryl-coenzyme A (HMG-CoA) réductase qui catalyse une étape précoce de la synthèse du cholestérol.
o Effets secondaires : crampes abdominales, constipation, diarrhée, flatulences, brûlures d’estomac, rash

142
Q

DÉLIRIUM:

A

DÉLIRIUM: état de confusion aigue ou perturbation de la conscience et de la perception. Il peut accompagner une maladie aigue (signes précurseurs, ex. Pneumonie), la consommation d’alcool ou de médicaments. Se résorbe habituellement lorsque la cause sous-jacente est traitée.

143
Q

Cause / facteur de risque : délirium

A

Cause / facteur de risque : Toxicité ou sevrage d’alcool ou médicamenteux, rétention urinaire, diarrhée, défaillance hépatique, défaillance cardiaque, AVC, œdème célébrale, pneumonie,

144
Q

Interventions non-pharmacologiques à connaitre et à mettre en place au besoin en cas de signes de délirium :

A

Boire, manger, se mobiliser, favoriser la présence et la collaboration des proches, discuter avec le patient, lui offrir du temps, gérer les refus, offrir des possibilités d’activités et de divertissement, rassurer la personne, répondre à ses questions, réorienté la personne, stimuler l’élimination, mettre en place un programme d’élimination.

145
Q

Manifestation de sevrage tabagique

A

Manifestation de sevrage : Sensation de manque, agitation, dépression, céphalée, irritabilité, somnolence, insomnie, diminution PA, augmentation FC, augmentation appétit.

146
Q

Bienfait de l’arrêt tabagique :

A

Au bout de 20 minutes, la pression artérielle a diminué, le pouls a ralenti et la température des mains et des pieds a augmenté.
Au bout de 12 heures, le taux sanguin de monoxyde de carbone dans le sang a diminué jusqu’à la normale, tandis que le taux d’oxygène a augmenté jusqu’à la normale.
Au bout de 24 heures, le risque de crise cardiaque a diminué.
Au bout de 48 heures, les terminaisons nerveuses reprennent leur croissance, et les sens du goût et de l’odorat s’éveillent.
Au bout d’une période de deux semaines à trois mois, la circulation s’est améliorée, tandis que la toux, la congestion des sinus, la fatigue et l’essoufflement ont diminué.
Au bout de un an, le risque de crise cardiaque a diminué de moitié.
Au bout de 10 à 15 ans, les risques d’accident vasculaire cérébral, de cancer du poumon, d’autres cancers et de mort prématurée sont revenus au même niveau que chez les personnes n’ayant jamais fumé.

147
Q

NICODERME :

A

NICODERME :
Aide anti tabagique (produit de remplacement de la nicotine)
Traitement d’appoint pour soulager partiellement les symptômes associés au sevrage de la nicotine au moment de l’abandon de la cigarette ou au cours d’une période d’abstinence temporaire.

148
Q

HTA/ atérosclerose facteur de risque

A

Facteur de risque :
o Alcool
o Age
o Antécédents familiaux
o Diabète
o Origine ethnique
o Sédentarité
o Sexe
o Sodium alimentaire abondant
o Statue sociaux-économique
o Stress répéter
o Tabagisme
o Taux élevé de lipides sérique

149
Q

HTA/ atérosclerose examen clinique

A

Examen clinique :
o Analyse sommaire et microscopique des urines
o Créatinine sérique
o Électrolytes : sodium, potassium, etc.…
o Glycémie
o Bilan lipidique
o Formule sanguine
o Électrocardiogramme

150
Q

Différence HDL, LDL :

A

Les transporteurs de cholestérol HDL favorisent l’élimination du surplus de cholestérol, ils aident donc à nettoyer et à protéger les artères.
Hdl: surplus de cholestérol vers le foie pour être dégradé (bon cholestérol)
Ldl: amener le cholestérol du foie vers les autres parties du corps (mauvais cholestérol)

151
Q

HTA/ athérosclérose intervention et enseignement

A

Intervention et enseignement :
o Faire de l’exercice
o Arrêtez de fumer
o Contrôler le stress
o Boire une quantité limitée d’alcool
o Choisir des aliments limités en sel
o Limiter la fréquentation des restaurant

152
Q

DYSLIPIDÉMIE (cholestérol) :

Intervention et enseignement :

A

Anomalie du taux de gras dans le sang.
Intervention et enseignement :
o Avoir une alimentation équilibrée de type méditerranéen
o Faire de l’activité physique régulièrement
o Avoir une bonne maitrise de son poids
o Cesser le tabac
o Prendre ses médicaments

153
Q

DYSLIPIDÉMIE (cholestérol) :

Facteurs de risque :

A

Facteurs de risque :
o Hérédité
o Âge
o Sexe
o Surplus de poids majeur
o Manque d’exercice

154
Q

Athérosclérose :

A

Athérosclérose :
Maladie causée par l’accumulation de dépôt graisseux et autre substance (calcium) à la surface interne des artères. Ce qui rend les artères plus rigides et diminue leur diamètre interne, apport en oxygène insuffisant aux différentes parties du corps.

155
Q

o Hypoxie

A

o Hypoxie : manque d’oxygène dans les cellules

156
Q

o Hypoxémie

A

manque d’oxygène dans le sang

157
Q

Hypercapnie

A

taux élevé de CO2 (apparaît lorsque la ventilation alvéolaire baisse ou ne parvient pas à augmenter suffisamment en réponse à une augmentation de la production de dioxyde de carbone.)

158
Q

ADMINISTATION S/C :

o Aiguille
o Site d’injection
o Angle

A

o – de 1 ml = seringue de 1 à 3 ml
o Aiguille : calibre 25G, 26G, 27G
o Site d’injection : bras, cuisse, région périombilicale
o Angle : pli cutané – de 2,5 cm = 45 degrés
Pli cutané + de 2,5 cm = 90 degrés

159
Q

PANSEMENTS :
Paramètres d’évaluation de la plaie :

A

o Mesures : dimension
o Exsudat : quantité, qualité, couleur, séreux? purulent?
o Odeur
o Apparence du lit de la plaie
o Souffrance
o Espace pathologique
o Bord de la plaie
o Peau environnante

160
Q

Culture de plaie :
o Pourquoi?
o Quand?
o Comment?

A

o Pourquoi? Pour identifier les micro-organismes qui sont responsable de l’infection et trouver un traitement
o Quand? Ordonnance du médecin, s’il y a signes d’infections locales : odeur, exsudat purulent, rougeur, douleurs, augmentation des globules rouges
o Comment? Plaie nettoyer au NaCl, trouver un endroit sans fibrine, appuyer pendant 5 secondes pour faire sortir le liquide, rouler l’écouvillon dans un carré de 5 cm.

161
Q

Turgescence de la peau :

A

Turgescence de la peau :
Pour voir l’hydratation de la peau, mobilité de la peau, prend un pli de peau et qu’il reprend sa place, - de 2 secondes = ok, + de 2 sec = déshydratation.
Sites : sternum, abdomen, partie antérieure de l’avant-bras.

162
Q

ÉCHARPES :Signes à surveiller :

A

o Pas trop serré pour éviter d’obstruer la circulation sanguine, ce qui peut créer des dommages aux cellules des extrémités par manque d’O2.


Signes neurovasculaires

o Absence du pouls à l’extrémité du membre où le bandage est appliqué.
o Coloration bleutée ou blanchâtre de la peau et des ongles;
o Diminution de la sensibilité;
o Diminution de la mobilité;
Froideur ou engourdissement de l’extrémité du membre;

163
Q
A
164
Q
A