Examen 1 Flashcards
(222 cards)
Qu’est ce que la neuropsychologie?
fonctions mentales supérieurs et leur rapport avec les structures cérébrales= lien entre fonctions mentales supérieurs et structures cérébrales.
Cette discipline faisait partie de la médecine jusqu’au moment où la psychologie cognitive a pris plus de place dans le domaine.
Avec la neuropsychologie, on peut voir le lien entre les lésions cérébrales et les symptômes. Le neuropsychologue observe les symptômes cliniques lui permettant de comprendre le fonctionnement cérébrale. C’est donc en étudiant les dysfonctionnement qu’on a compris le fonctionnement cérébrale.
Comment est née l’approche neuropsychologique?
étudiant les patients souffrant d’une pathologie cérébrale; décrire les symptômes
Ensuite il fallait faire un lien entre la sémiologie, soit les signes, et les lésions.
Puis, il fallait inférer l’influence de x structures dans le fonctionnement cérébral du sujet normal.
Quel concept est le fil conducteur de l’histoire de la neuropsychologie?
R : c’est la localisation cérébrale. On a cherché à localiser les symptômes, les fonctions mentales et les processus cognitifs complémentaires.
Qu’est-ce qui a permis la naissance de la neuropsychologie?
R : la neurologie a été possible grâce à la neurologie et son approche anatomo-clinique.
Quelles autres discipline permettent l’essor de la neuropsychologie?
R : l’approche multidisciplinaire de la neuropsychologie favorise son essor et permet une meilleure connaissance du cerveau. Elle utilise la neuro-anatomie, la neuro-histologie et l’expérimentation physiologique sur les animaux.
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Pourquoi dit-on que la neuropsychologie est une science pluridisciplinaire?
R : elle a recours aux sciences neurologiques, aux sciences du comportement, à la linguistique et, les plus récents des sciences cognitives, la modélisation informatique et l’intelligence artificielle.
Quel outil influence grandement la pratique clinique des neuropsychologues?
R : les méthodes d’imagerie cérébrale influencent les pratiques cliniques et les modèles théoriques.
Qu’est-ce qui a permis la différenciation des sciences et de la philosophie?
R : les grandes disciplinent scientifiques se sont séparées de la philosophie par la délimitation et le fractionnement de leur champ d’investigation. Comme si chacun avait trouvé sa spécialisation.
D’où est née la psychologie?
R : le fractionnement de l’esprit en facultés mentales a permis à la psychologie de naitre. (ce que j’en comprend c’est qu’en voyant l’esprit entant que centre de la cognition et en voyant que chaque région influence des comportements différents, la psychologie a pu prendre de l’essor)
Quelle est l’idée de la phrénologie?
R : le cerveau a été fractionné en plusieurs organes indépendants et chacun à son rôle à jouer, notamment dans les facultés morales, mentales et intellectuelles.
Qu’est-ce que la phrénologie?
R : c’est une pseudoscience parce que l’idée que le cerveau est fractionné en plusieurs organes indépendant est fausse. Selon les phrénologues, on pourrait, à partir des divisions du crâne, déterminer où ont lieux certaines fonctions. On pourrait identifier en regardant le crâne où les opérations mathématiques se déroulent et si cette faculté est bien développée, d’où la bosse des mathématiques. Malgré que leur postulat semble logique, il n’y a aucun fondement scientifique derrière, faisant de la phrénologie une pseudo-science.
Qui est Gall? Qu’est-ce qu’il a fondé?
R : Gall est l’un des pères fondateurs de la phrénologie au 18e et 19e siècle.
Quelle faculté mentale a-t-il identifié? Où se situe-t-elle? Sur quoi a-t-il fondé cette déduction? Gall
R : parmi les facultés mentales, Gall a identifié le lieu de la mémoire verbale au niveau des lobes antérieurs du cerveau. Il s’est fondé sur une coexistence entre une saillie des globes oculaires et une facilité à mémoriser les informations verbales. Il a procédé ses recherches et a cartographié le crâne indiquant pour chaque région quelle fonction cognitive y est associée. Il prétendait que plus la bosse est protubérante, plus la personne arait de faciliter dans cette fonction cognitive, comme les mathématiques par exemple.
qu’a fait gall à partir d principe de la phrénologie
R : La phrénologie, aussi appelé la doctrine de la localisation, a amené Gall à localiser plusieurs fonctions dans le cortex à partir de l’observation de différentes déformation sur le crâne.
Quel vestige de la phrénologie se retrouve encore dans le langage courant? Qu’est-ce qui a conduit Gall à faire cette déduction localisationniste?
R : la bosse des maths est encore dites actuellement. On en parle encore parce que, selon lui, certaines régions du crâne seraient attribuables à certaines fonctions cognitives, et donc que le cerveau peut être divisé en section. Il avait raison au niveau de la division du cortex cérébrale, mais la grosseur des protubérance ne signifie pas la qualité de la compétence. Cependant, chaque partie du cerveau peuvent être divisée et associée à des fonctions. Cette idée était nouvelle au 18e siècle parce qu’on pensait préalablement que le cerveau agissait comme un tout et sur tout en même temps. Gall amène donc l’idée de localisation cérébrale.
Sur quoi Gall a joué un rôle clé?
R : il a joué un rôle clé sur le développement des recherches sur les liens entre les fonctions mentales et le substrat cérébrale
Quel travaux ont eu un rôle primordiale sur l’avènement de la neuropsychologie scientifique?
R : les travaux consacrés à l’aphasie ont eu un rôle important en neuropsychologie scientifique. L’aphasie est le trouble du langage consécutif à une lésion cérébrale acquise.
Quelle hypothèse formule Broca en 1861?
R : il formule l’hypothèse d’une localisation du langage articulé dans une aire cérébrale bien défini. Elle s’appelle le centre des images motrices des mots avant de s’appeler aire de Broca.
Qu’est-ce que le cas du patient Leborgne, aussi appelé Tan Tan?
R : le patient démontre des troubles du langage articulé faisant en sorte qu’il ne pouvait prononcer que la syllabe « tan » et il l’a répétait souvent deux fois. Le langage de Leborgne était réduit à cette stéréotypie, soit à cette répétition de la syllabe « tan ». Le patient de Broca était capable de parler avant.
Qu’est-ce que l’autopsie du cerveau de Leborgne a révélé?
R : À la mort du patient, Broca effectue une autopsie afin de voir s’il y avait quelque chose de différent dans son cerveau. L’autopsie a révélé une lésion au niveau de l’aire de Broca, soit une atteinte dans l’hémisphère gauche. La conclusion de Broca est que puisque le patient ne peut plus parler, autre que pour dire « tan tan » et qu’il y a une lésion dans le lobe frontale gauche, cette zone est impliquée dans la production du langage. Il ne conclue pas que cette zone est impliquée dans le langage en générale parce que Leborgne comprend malgré son incapacité de parler. Lorsqu’il était abordé, Leborgne disait « tan tan » et faisait des gestes expressifs variés.
Quel est l’impact de la religion sur la science au 19e siècle? Quelle est la proposition de Broca?
R : à l’époque, la religion finance la recherche pour essayer de comprendre ce qui différencie l’homme de l’animal. Broca propose que ce serait le langage qui nous différencie. L’homme a un cortex frontal bien développé comparativement au singe et aux autres mammifères. Sachant que le lobe frontal se développe principalement à l’âge adulte et que le langage y serait produit, l’Église est ravie des résultats de Broca montrant que l’homme est différent de l’animal.
Autres conclusions de Broca et de ses travaux, et maintenant;
R : Puisque le trou dans le cerveau de Tan est seulement dans l’hémisphère gauche, on en déduit que l’hémisphère droit n’est pas responsable des mêmes fonctions que l’hémisphère gauche. Les travaux de Broca ont mis en évidence qu’il y a une zone de la production du langage dans le lobe frontal de l’hémisphère gauche. Actuellement, on sait que les différents lieux du cerveau jouent sur différentes fonctions et que si son état est altéré, les fonctions le seront aussi.
À qui doit-on l’avènement du modèle localisationniste?
R : Carl Wernicke est à l’origine du modèle localisationniste du fonctionnement cérébrale.