Examen 2 Flashcards

(111 cards)

1
Q

Distinguer deux type de finalité que peut avoir le processus de réadaptation de la personne qui est aux prises avec une dépendance.

A

Stabilisation, amélioration, rétablissement

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2
Q

Type de finalité du processus de réadaptation d’une personne aux prises d’une dépendance; Stabilisation

A

Amener une solution temporaire au processus de détérioration des conditions de vie du client sur les plans physique, social et mental. Réduire, interrompre ou restreindre ces processus.

Objectifs potentiels (besoins de base); réduire stress, tensions, difficultés de sommeil, hallucinations, crises de panique, délire, angoisse, maladie, dépression, maux physiques, impulsivité, pertes de contrôle, désorganisation, désorientation, détresse, culpabilité, etc.

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3
Q

Type de finalité du processus de réadaptation d’une personne aux prises d’une dépendance; Amélioration

A

Travailler sur fonctions de second ordre minées par la toxicomanie sur plan physique, social et mental. Aider la personne à se rétablir, se renforcer et se récupérer.
Travail thérapeutique qui traite; forme physique, niveau d’énergie, sexualité, confiance en soi, estime de soi, contrôle de soi, image de soi, travail, amis, loisirs, famille, valeurs, liens civiques, finances, etc.
Une fois état de crise de stabilisation dépassée, dépendant peut commencer à se reconstruire. Ne sert à rien de travailler sur ces objectifs tant qu’une forme de stabilité ne s’est pas installé

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4
Q

Type de finalité du processus de réadaptation d’une personne aux prises d’une dépendance; Rétablissement

A

S’adresse au clients qui ont déjà parcouru un bout de chemin dans réadaptation (Crise résorbée, commence à reconstruire vie, apte à travailler plus en profondeur sur eux-mêmes)
Élargir, développer, intégrer de nouvelles façons d’être en contact avec soi-même et autres.
Comportements fonctionnels et satisfaisants à long terme deviennent solutions de remplacement aux problèmes de surconsommation
Travail sur; communication, affirmation de soi, expression, compréhension, sensation, pouvoir, vitalité, spontanéité, intimité, présence, contexte, contact, prise de décisions, recherche de solution de rechange, plaisirs, performance, satisfaction, etc.
Se rapproche de personne actualisée (Perception humaniste, Rogers & Maslow)

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5
Q

Modalités de traitement, dépends de quoi?

A

Les ressources disponibles en toxicomanie sont multivariées
En fonction des besoins du client et de la sévérité des problèmes, l’intervenant choisi la modalité de traitement la plus appropriée.
ressources financières, processus de détérioration des sphères de vie, besoin d’encadrement serré, groupe d’appartenance ou individuel, modèle, etc.

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6
Q

Levier thérapeutique

A

Considérer la motivation du client comme levier thérapeutique
Capacité qu’ont les intervenants de tenir compte de leur demandes et besoins; Soutenir l’intérêt du client et ensuite de le recentrer sur lui-même en regardant avec lui ce qu’il peut faire pour aller dans le sens de son désir
Quand motivation et intérêt du client sont soutenus, alliance thérapeutique est renforcée, énergie du client est maintenue.

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7
Q

Portes d’entré de la relation thérapeutique (outils)

A

Afin de créer un lien avec le client et de bien percevoir les portes d’entrée dans la relation avec le client, l’intervenant doit être à l’écoute, empathique et présent.
Présence dans la relation et l’écoute sont conditions essentielles
Degré d’empathie doit être dosé selon la capacité du client à s’investir, de s’attacher et de s’engager dans la relation
(Trop dans relation avec délinquant qui n’à pas d’intérêt à s’investir, risque de manipulation)
Importance de l’ici et maintenant dans la relation
Être présent à soi et à l’autre dans la relation et ne pas simplement appliquer techniques selon schèmes de référence

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8
Q

Théorie cognitivo-comportementale de Beck

A

Les pensées, sensations, émotions qui amènent une personne à produire un comportement
S’il y a renforcement ou non dans la chaine - qui fait que la personne aura tendance à reproduire cette chaîne
Conditionnement classique; association entre aspects environnementaux et différents sens de la personne.

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9
Q

Théorie cognitivo-comportementale de Beck; sortir du modèle

A

Pensées et croyances qui montent dans l’individu lors de contextes à risque de consommation
Trouver pensées alternatives
Trouver façon différente de combler besoins de manque, comportements alternatifs pour y répondre

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10
Q

Triangle phénoménologique

A

Amener la personne à décortiquer en fonction de ses émotions, pensées, quelles actions sont posées, pour mieux comprendre comment la chaine cognitivo-comportementale se met en place
En fonction de nos pensées et de nos croyances, la vision que j’ai de moi-même, les émotions que j’ai par rapport à moi-même (estime), peut avoir lien avec les comportements

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11
Q

Distinction entre motivation au changement et motivation au traitement

A

Une personne peut être prête à modifier comportements ou habitudes (motivation au changement) mais être rébutée par le type d’aide qu’on lui propose.
Doit s’assurer que intervention (traitement) s’inscrit dans système de valeurs de la personne et corresponds à objectifs et capacité (changemement).
Personne peut être en traitement longtemps sans s’améliorer (pas de motivation au changement)

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12
Q

Deux conditions selon Deci et Ryan dans théorie de l’autodétermination qui permettent à la motivation intrinsèque de se manifester.

A

Sentiment de compétence et sentiment d’autonomie

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13
Q

sentiment de compétence

A

Organisme tend à s’adapter à son environnement
Individu a le sentiment de maitriser la situation, utiliser ses capacités, comprendre, apprendre et se développer

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14
Q

sentiment d’autonomie

A

Individu le sentiment que c’est lui qui décide, oriente l’action (il est lieu de causalité de l’action)
Le choix d’avoir le contrôle est plus important que le contrôle sur les résultats (choix de ne pas avoir de contrôle, ou avoir contrôle sur certains résultats seulement, n’est pas considéré comme autodétermination)

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15
Q

Comment maximiser régulation autonome de conduites motivées extrinsèquement au départ?

A

Internalisation: processus par lequel une valeur ou une règle est acceptée parce que son importance est comprise
Intégration: processus par lequel l’individu transforme la règle de façon personnelle pour la faire sienne et l’incorporer à son sens de soi.

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16
Q

En quoi est-ce que la motivation intrinsèque peut être une arme à deux tranchants pour les personnes toxicomanes?

A

L’individu qui ressent davantage d’émotions positive lors d’un comportement déviante sera porté à refaire geste qui lui procure satisfaction. Répétition entraine un renforcement et une mène à une résistance à l’extinction de conduite.
Comportement déviant motivé intrinsèquement aura tendance à se maintenir

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17
Q

Dans quels cas est-ce que la motivation extrinsèque peut être essentielle?

A

Probable que seule une régulation externe maintenue de façon constante peut empêcher récidive de certains comportements déviants motivés intrinsèquement
Mettre de l’avant des éléments de motivation suffisamment internalisés (introjecté, identifié ou intégré) pour provoquer et soutenir un changement.
Permet de mieux cibler l’intervention et de la rendre plus individualisée car elle précise les ressorts des conduites humaines; quoi proposer qui va le motiver, qu’il va intégrer de manière cohérente à son système de valeurs et pensée.

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18
Q
  1. Pré contemplation
A

Personne est peu consciente de ses difficultés ou peu disposée à changer
Si demande de l’aide, c’est en raison de pression externe; S’investit peu, changement n’est pas durable, retourne habituellement à son comportement antérieur quand pression cesse
À cette étape qu’il y a le plus de risque d’abandon.

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19
Q

Précontemplation; intervention

A

Établir lien de confiance, connaitre perception de l’autre concernant sa consommation, ne pas provoquer résistance.
Informer de façon non-moralisatrice, attention aux difficultés apportées par la personne (refléter les souffrances)

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20
Q
  1. Contemplation
A

Personne est + consciente de son problème, pense + sérieusement à amener changements dans sa vie, mais ne veulent pas poser d’actions présentement
commence à travailler balance décisionnelle; Avantage et désavantage du style de vie, intervenant est attentif au discours de la personne, analyse qu’elle fait ses sa vie

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21
Q

Contemplation; intervention

A

Reflet; intervention puissante; accompagner personne et refléter ce qu’elle vit d’une façon juste
Impact; personne se sent comprise, amener à avoir ce qu’elle apporte dans la relation, élaboration de ses pensées, personne est responsable de l’analyse de sa propre vie, aspects négatifs et positifs
définir avantages et désavantages du style de vie, analyser, respecter ambiguïté, soutenir dans les effort

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22
Q
  1. Préparation
A

Personne a effectué petites tentatives de changement.
Assimilé beaucoup d’information, appris de son passé et prête à passer à l’action dans futur proche
Souvent évènement marquant ou accumulation d’incidents mineurs qui renforce prise de conscience et décision tout à coup.

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23
Q

Préparation; intervention

A

traduire désirs en projets concrets et réalistes (petit à petit, graduellement, mini-succès), revenir sur besoins et inspirations, faire liste de priorités et objectifs

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24
Q
  1. Action
A

Personne modifie son comportement, expérience, mise ne place de moyens concrets, réalistes

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25
Action; intervention
soutien, encadrement, travailler à l'amélioration des aptitudes sociales, éduquer, surmonter obstacles, priorités, remplacer moyens pour gérer le stress
26
5. Maintien
Personne dispose des réussites et modification du comportement dans style de vie, utilisation de diverses stratégies pour conserver comportement nouvellement acquis
27
Maintien; intervention
consolidation des acquis et de la nouvelle image, identifier clairement situations qui portent risque de rechute, soutenir choix éclaires, succès comme points de référence
28
6. Intégration
Constitue le but ultime du processus de changement, suppose que comportement est stable dans le temps Pas de garantie absolue qu'il n'y aura pas de rechute ou retour en arrière Certains critère pour évaluer si personne a intégré changement; Nouvelle image de soi, plus grande confiance en soi, style de vie plus sain, meilleure forme psychologique
29
Selon l'approche intégrée de la relation d'aide en toxicomanie, comment est-ce qu'on peut aborder l'intervention d'une personne aux prises d'une dépendance? (conclusion)
Toxicomanie est un phénomène multivarié qui peut toucher à l'ensemble des sphères de vie d'une personne Complexité des mécanismes d'intervention pouvant s'intégrer dans modèle conceptuel qui tient en compte complexité de l'être humain Seule la personne dépendante peut faire des choix et prendre actions qui mène vers son mieux-être Intervenant est un guide qui accompagne la personne dans sa guérison Théories de l'assuétude Place importante de la substance dans la vie de la personne dépendante, un cercle vicieux qui se renforce de lui-même Intervenant aide à retrouver facettes et qualités de l'individu dépendant qu'il a perdu de vue dans sa dépendance, trop concentré sur étiquette de toxicomane.
30
Théorie cognitivo-comportementale de Beck; situation à risque
Éléments dans la situation qui rappelle la possibilité de consommer Émotions positives (plaisir)
31
Théorie cognitivo-comportementale de Beck; Activation de pensées et croyances Associé à
Sensation physique, émotion, de besoin (manque)
32
Théorie cognitivo-comportementale de Beck; Sensation physique, émotion, de besoin (manque) déclenche?
Pensées et croyances facilitantes
33
Théorie cognitivo-comportementale de Beck; Pensées et croyances facilitantes
Comment se procurer la substance, pensées en lien avec consommation pour combler, répondre aux pensées initialement activées
34
Théorie cognitivo-comportementale de Beck; Pensées et croyances facilitantes mène à?
Allocation de ressources, stratégies d'adaptation en fonction du comportement, chaîne cognitive Pour répondre au besoin, combler sensation de manque Mène à la consommation
35
Quelles représentation sociales ont impact dans différences de définitions dans termes associées aux substances psychoactives?
Perceptions qui changent selon époque, culture, évolution des connaissances scientifiques, politiques et économie, statut légal
36
Quelles sont des exemples des changements dans les représentations sociales des substances psychoactives?
- définition du mot drogue dans le dictionnaire - Consommation était considéré pathologique (80), même profils aujourd'hui ne sont plus considérés pathologiques - santé public recommendait aux femmes de boire de la bière, car houblon favorise lactation Réalise qu'alcool transite dans lait maternel, changement des recommendations Certains types d'alcool à base de certains légumes sont pire que d'autres Alcool est alcool, effets sont les mêmes
37
Selon motifs de consommation; Pourquoi les gens consomment?
Réponse à des besoins humains fondamentaux
38
Les motifs de consommation se différencient selon quels facteurs?
Motifs internes ou externes Renforcement positif (ajout plaisant) ou négatif (enlève déplaisant)
39
Motifs de consommation; amélioration
motif interne, renforcement positif État altérés de conscience, créativité, performance
40
Motifs de consommation; socialisation
Motif externe, renforcement positif Lubrification sociale, agrémentation de fête, socialisation + facile
41
Motifs de consommation; autorégulation
Motif interne, renforcement négatif Fuir déplaisant (tristesse, stress, etc.)
42
Motifs de consommation; Conformisme
Motif externe, renforcement négatif Éviter d'être à l'écart, pression envers nous-même Justifier pour ne pas consommer
43
Spectre de l'usage
Conception dimensionnelle des profils de consommation (vs catégorisation) selon un spectre Profils, motifs et conséquences de la consommation
44
Spectre de l'usage; Dépendance chronique, troubles de l'usage
Usages compulsifs, conséquences personnelles et sociales importantes (minorité)
45
Spectre de l'usage; Usage problématique
Pas nécessairement tous critères diagnostiques de trouble de l'usage mais entraîne conséquences négatives importantes Conséquences importantes pour entourage, individu, société Conduite à risque, violence, etc. Fardeau sur système de santé (nombreux)
46
Spectre de l'usage; Usage non-problématique
Qui cause peu ou pas d'effets nocifs sur santé, société Effets équivalent entre bienfaits et nocivité Majorité pop dans vert-jaune
47
Spectre de l'usage; Usage bénéfique
minorité Peu ou pas conséquences négatives, conséquences majoritairement positives Humain ne continue pas comportement si peu ou pas d'effets positifs Effets thérapeutiques, effets positifs sur socialisation, spiritualité, plaisir. Plaisir participe à la santé
48
Types de stigmatisation
auto-stigmatisation, stigmatisation sociale et stigmatisation structurelle
49
Auto-stigmatisation
intérioriser et anticiper messages négatifs
50
stigmatisation sociale
attitudes ou comportements négatifs envers personnes ou leur entourage étiquettes et images négatives dans les conversation de tous les jours, médias
51
stigmatisation structurelle
politiques des services sociaux et de santé qui accentuent la stigmatisation personnel soignant ne prennent pas aux sérieux ces individus politiques sur le lieu de travail qui causent des dommages et encouragent involontairement les gens à cacher leur consommation
52
Quels sont les impacts de la stigmatisation?
déshumanisation, dévalorisation, baisse d'estime, dépression, anxiété, isolement social, moins de demandes d'aide, discrimination dans accès aux logements, soins, emplois, pauvreté et itinérance, état de santé moins bon, prison, suicide
53
Pourquoi les individus stigmatisés font moins de demandes d'aide?
Car c'est admettre qu'ils ont un trouble, stigmatisation dans système de santé, refus de soins, perçu comme mauvais malades, moins d'accès et de budget pour soins aux dépendances
54
Quelles sont les sphères de vies affectées par la stigmatisation
ressources (connaissances, argent, pouvoir, prestige)' relations sociales, mécanismes de coping
55
Quels sont les 3 critères qui expliquent pourquoi en santé publique, la stigmatisation est considéré comme déterminant social de la santé fondamentale (ISS)?
Influence plusieurs maladies, plusieurs facteurs de risque chez individus Accès aux ressources peuvent être utilisées pour réduire risque ou minimiser conséquences de maladie Fortement relié aux inégalités de santé à travers le temps et l'espace
56
Que doivent faire les interventions de la santé publique pour contrer la stigmatisation?
cibler la stigmatisation en priorité plutôt que seulement mécanismes qui met stigmatisation en œuvre
57
Prohibition ou criminalisation
Système de politiques qui mènent à peines pénales
58
Décriminalisation ou déjuridiciarisation
Codes, consignes, ou loi Décriminalisation; Cesse peines criminelles Ne dit pas ce qu'on fait ensuite, peut mettre peines comme contraventions, évaluation
59
Légalisation
processus de mise en place d'un cadre réglementaire autorisant et encadrant la production, culture, distribution, vente, possession, consommation, importation et exportation auto production, prescription, approvisionnement plus sécuritaire marché étatique, privé ou mixte plus ou moins stricte ou libéralisé
60
Les différents cadres peuvent être implantés à quels niveaux?
fédéral, provincial, minucipal, etc. différents cadres, différentes politiques, différentes responsabilités
61
Paradoxe de la prohibition
X; Politiques possibles; Y; méfaits sociaux et de santé
62
Paradoxe de la prohibition; extrêmes
Prohibition avec peines de mort jusqu'à commercialisation libre marché complet Entre les deux; prohibition avec réduction des méfaits, décriminalisation de facto de jure, légalisation très stricte (prescription), légalisation monopole
63
Paradoxe de la prohibition; consensus scientifique
Deux extrêmes sont les pires Milieu; encadré par état et visant objectifs de santé publique implique moins de méfaits sociaux et santé personnelle et populationnelle
64
Cannabis
Perturbateur du SNC. mémoire et concentration affaiblie, fertilité, dépendance physique et psychologique, pas associé à délinquance (apathie, motivation), drogue de prédilection chez les délinquants
65
Perturbateurs du SNC
cannabis, hallucinogènes (LSD, MDMA, PCP, DMT, psylocibine), inhalants
66
Méthode de consommation qui atteint le plus rapidement le cerveau?
Fumé.
67
Tolérance croisée entre quels hallucinogènes?
LSD, psylocibine et mescaline
68
Dépresseurs du SNC
analgésiques (narcotique); opiacés (codéine, héroïne, morphine, (fentanyl), opium) somnifères (hypnotiques); barbituriques (ou non) tranquillisants; anxyolitiques, benzodiazépine (rohypnol), alcool
69
Roofies
Flunitrazépam, rohypnol, drogue du viol. amplifié avec alcool.
70
Drogue la plus utilisée lors de crimes violents
Alcool, dépresseur du SNC
71
Deux effets de l'alcool;
faible dose; euphorie, somnolence, étourdissement forte dose; mauvaise articulation, double vision, stupeur
72
Syndrome de sevrage alcoolique
Point tournant; delirium tremens (24-36h), peut mener à mort.
73
Pourquoi femmes doivent moins consommer d'alcool
enzymes digestifs, éliminent alcool moins vite
74
Stimulants du SNC
stimulants majeurs (cocaine, amphétamine), stimulants mineurs (caféine) et stimulants de l'humeur (antidépresseurs)
75
Relations psychopharmacologie avec la délinquance; cannabis
peu d'association à la criminalité, grand % de délinquants consomment
76
Relations psychopharmacologie avec la délinquance; cocaine
pas la substance qui cause la violence, plutôt antécédent du consommateur, intentions, situation de vie, facilite le passage à l'acte. augmente paranoia, agitation, comportements violents ou changeants déjà présents.
77
Lien causaux entre drogues et criminalité
Pas un lien de cause à effet, plutôt une corrélation, prise en considération des antécédents de vie, problèmes actuels, qui augmentent perte de contrôle et facilite passage à l'acte
78
Loi de l'effet
Effet d'une substance psychoactive est déterminé par une équation entre le produit, l'individu et le contexte
79
Loi de l'effet; produit, nuances à considérer
propriétés, polyconsommation (interactions), qualité (coupé), voie d'admin, dosage-réaction, temps-réaction, tolérance, etc.
80
Loi de l'effet; individu
conditions biologiques (hérédité), physique (âge, poids) et psychologiques (santé mentale, expériences antérieurs, intentions, etc)
81
Loi de l'effet; contexte
environnement immédiat, appartenance (gens présents), contexte socio-historique (accès traitement)
82
Rapidité et durée de l'effet selon la méthode d'administration
Injecter; effet plus fort, contre-effet plus fort Priser (sniffer); effet fort, contre-effet fort Avaler; effet moins fort, contre-effet mois fort
83
Loi de l'effet; relation SPA-crime
produit; drogue illégale, intoxication (lors du délit), dépendance (sevrage, comp. criminels) contexte; répression, traitement individu; consommation comme facteur de risque à la délinquance, trouble santé mentale, personnalité
84
Modèle causal
usage et implication dans drogues déclenche comportements délinquants
85
Modèle tripartite de Goldstein
Modèle psychopharmacologie, modèle économico-impulsif, modèle systémique
86
Modèle tripartite de Goldstein; modèle psychopharmacologique
cause du crime; intoxication substance - intoxication - réaction pharmacologique = criminalité
87
modèle psychopharmacologique; drogue la + associée
alcool. en raison de sa légalité, baisse d'inhibition, augmente impulsivité, context social.
88
Modèle tripartite de Goldstein; modèle psychopharmacologique; Limites
lien quasi-exclusif alcool-violence ne prends pas en compte loi de l'effet
89
Modèle tripartite de Goldstein; modèle économico-compulsif
cause du crime; coûts associés à substances, évitement du sevrage mène à diversification des revenus = criminalité lucrative
90
Modèle tripartite de Goldstein; modèle économico-compulsif; limite
approche bio-psycho-sociale, enlève le pouvoir à la personne
91
Modèle tripartite de Goldstein; modèle systémique
implication dans le système d'approvisionnement, distribution de drogue. en raison de son contexte illégal, mène à conflits et criminalité.
92
Modèle causal inversé
implication criminelle mène à argent, contacts, légitimation mène à consommation de drogue
93
Modèle corrélationnel avec causes communes
modèles psychopathologique et modèle psychosocial
94
Modèle corrélationnel avec causes communes; modèle psychopathalogique
personnalité antisociale mène à crime, comportements déviants, consommation
95
Modèle corrélationnel avec causes communes; modèle psychosocial
balance entre facteurs de risque et facteurs de protection (résiliante) mène ou non à délinquance
96
Modèle corrélationnel sans causes communes
aucun lien entre consommation et délinquance, apparaissent seulement en même temps.
97
Modèle intégratif de Brochu
Évolution des styles de vie déviant déclenché par évènements de vie et selon intensité des facteurs de risque, non-linéaire.
98
Modèle intégratif de Brochu; stade de l'occurence
facteurs de risque faible, moyens et sévères consommation opportuniste, peu coûteux recherche de plaisir et expériences consommation avec les pairs, selon contacts
99
Modèle intégratif de Brochu; stade de l'engagement déviant
facteurs de risque moyens et élevés consommation + fréquente, intoxication lors de crime moindre, association à des pairs déviants
100
Modèle intégratif de Brochu; stade de renforcement mutuel
facteurs de risque moyens et élevés consommation régulière et polyconsommation, recherche anesthésie, fuir, modelage et apprentissage par les pairs
101
Modèle intégratif de Brochu; stade économico-compulsif
facteurs de risque élevés dépendance accrue, perte de contrôle, criminalité sévère.
102
Qu'est-ce qui explique une grande partie du changement à long terme chez les personnes aux prises d'une dépendance?
relation d'aide, alliance thérapeutique
103
Approche psychodynamique de l'alliance thérapeutique; transfert
Transfert; dans un contexte thérapeutique, prendre éléments du passé et amener dans la relation présente entre toi et intervenant Transfert positif; des attributs positif; Intervenant chaleureux, écoute, chance qu'elle tombe en amour avec client Transfert négatif; des attributs négatifs; Intervenant deviens représentant de toute colère intériorisée du client dans son passé Colère face à intervenant, choqué et rigidifie
104
Définition transdiciplinaire de l'alliance (Bordin); un élément affectif, deux éléments cognitifs
Élément affectif; relation qui s'établir avec client Éléments cognitif; Accord entre buts de relation d'aide (prendre le temps avec client de spécifier vers quoi on s'en va) et les tâches (façons d'y parvenir, comment on travaille) Intervenant prends le temps de valider, s'entendre sur ces dimensions là
105
Alliance s'établit à ?
court terme, rapidement, 2-3 premières rencontres
106
Balance décisionnelle
Processus d'appréciation des gains et des pertes associé au comportement ou à l'arrêt du comportement
107
Balance décisionnelle; motivation est un processus....
processus cognitif d'évaluation de pertes et de gains associés au changement de comportement ou continuation du comportement
108
Expliquer l'entretien motivationnel
approche directive, amener la personne à être motivée à changer, Attentif aux éléments du discours de la personne, mais on reflète plus les éléments en faveur du changement lorsqu'e appropriée, faire croire l'empathie, éviter d'argumenter (faire croitre résistance), danser avec la résistance, favoriser sentiment d'efficacité personnelle.
109
Discours-changement
arguments qui militent pour vouloir changer
110
Comment susciter le discours-changement
Poser des questions ouvertes(Qui invitent à l'élaboration) Valoriser Écoute réflexive (Dire à la personne ce qu'on comprends, renvoyer ce que la personne nous dit dans le but d'approfondir, ton affirmatif, poser des questions ouvertes) résumé
111
Pièges à éviter dans l'entretien motivationnel
piège confrontation-déni, question-réponse, étiquetage, centration prématurée sur le problème, reproche, expert.