Examen 4 Flashcards

(77 cards)

1
Q

Rôle hormone

A

sécrété par les glandes endocrines et servent à communiquer avec d’autres régions du corps et à les réguler. Chaque hormone ne peut se fixer qu’à ses cellules cibles et ainsi n’agir que sur leur activité cellulaire

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2
Q

Rôle récepteurs

A

la communication des hormones est possible grâce à eux et ils sont spécifiques à un type d’hormones que possèdent les cellules cibles.

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3
Q

Fonction commune des systèmes endocrinien et nerveux

A

assurent la coordination et la régulation de l’organisme. en réponse à un stimulus, les deux systèmes libèrent des substances chimiques appelées ligands dont le rôle est de communiquer avec une cellule cible. Le ligand se lie à un récepteur de la cellule cible afin de déclencher un changement dans celle-ci

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4
Q

Les caractérisques du système endocrinien

A

mode de communication: sécrète des hormones dans le sang, ils sont transportées par le sang sont distribuées aux cellules cibles dans l’organisme.

Cible de la stimulation: toutes les cellules dotées d’un récepteur pour cette hormone.

temps de réponse: temps de réaction plutôt lent, quelques secondes à quelques minutes ou à quelques heures.

effet de la stimulation: déclenche des changements de l’activité physiologique dans les cellules cibles.

Portée des effets: les effets ont généralement une portée étendue sur l’organisme.

Durée de la réponse: longue durée, quelques minutes à quelques jours ou à quelques semaine, peut se poursuivre après l’interruption du stimulus.

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5
Q

Les caractéristiques du système nerveux

A

mode de communication: un signal nerveux entraîne la libération d’un neurotransmetteur à partir d’un neurone vers une fente synaptique.

cible de la stimulation: d’autres neurones, des cellules musculaires ou des cellules glandulaires.

Temps de réponse: temps de réaction rapide, quelques millisecondes ou secondes.

effet de la stimulation: déclenche la stimulation( ou l’inhibition) d’un autre neurone, la contraction( ou relâchement) des muscles ou un changement de la sécrétion des glandes.

Portée des effets: ils ont généralement une portée locale et spécifique dans le corps.

Durée de la réponse: courte durée: quelques millisecondes, se termine avec l’interruption du stimulus

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6
Q

Les principales fonctions du système endocrinien

A

La régulation du développement embryonnaire, de la croissance et du métabolisme. Ex: l’hormone de croissance, qui régula la croissance et l’hormone thyroïdienne qui contrôle le métabolisme cellulaire.

Le contrôle des activités reproductrices: ex: la prolactine est une hormone qui affecte les activités reproductrices en stimulant les glandes mammaires à produire du lait.

Le maintien de l’homéostasie dans la composition et le volume sanguins. EX: le glucose et les ions tels que le calcium, potassium et le sodium. L’insuline qui régule le taux de glucose sanguin.

Le contrôle de l’activité digestive

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7
Q

Les trois types de stimulation permettant la régulation de la sécrétion hormonale

A
  1. La stimulation hormonale: le stimulus qui déclenche la libération d’hormones par une glande endocrine provient de la libération d’une autre hormone. EX: l’hormone TSH qui est libérée par l’adénohypophyse stimula la sécrétion de l’hormone thyroidienne stimulé par la thyréolibérine.
  2. La stimulation hormonale: la libération d’hormones par certaines glandes endocrines est stimulée par les changements de concentration en nutriments ou en ions dans le sang. le terme humoral signifie relatif aux liquides organiques y compris par le sang. Lorsque les concentrations en nutriments ou en ions subissent une hausse ou une baisse, cela entraine la libération d’hormones par les cellules endocrines qui agissent sur les cellules cibles pour compenser la baisse ou éliminer les excédents. EX: lorsque la concentration de glucose sanguin s’élève, le pancréas libère de l’insuline ce qui représente une stimulation hormonal.

3.La stimulation nerveuse: la libération d’hormones est déclenchée par une stimulation directe du système nerveux. EX: la libération d’adrénaline et de noradrénaline par la médulla surrénale en réponse à la stimulation faite par le système nerveux autonome sympathique au cours d’une réponse à une situation d’urgence ou de stress intense.

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8
Q

Les hormones circulantes

A

sont transportés dans le sang.
sont réparties en trois catégories et en fonction de leur structure chimique. hormones stéroidiennes, hormones peptidiques et les animes biogène. Ces molécules de régulation sont synthétisées par les cellules endocrines. Le cholestérol est le précurseur de la synthèse des hormones stéroidienenes. Les acides animés sont le matériau de base dans la formation des animes biogènes et des hormones peptidiques.

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9
Q

La stimulation hormonale

A

libération d’une hormone en réponse à une autre hormone.
1.L’hypothalamus libère de l’hormone.
2. en réponse à la TRH l’adénohypophyse libère de la TSH dans le sang.
3. La TSH stimule la libération de l’hormone HT par la glande thyroide

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10
Q

Stimulation humorale

A

libération d’une hormone en réponse à une variation de la concentration en nutriments ou en ions dans le sang.
1. Le taux de glucose sanguin s’élève.
2. L’élévation du taux de glucose sanguin stimula la libération d’insuline par le pancréas.

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11
Q

Stimulation nerveuse

A

libération d’une hormone en réponse à une stimulation par le système nerveux.
1. L’activité du système nerveux autonome sympathique s’accroît par un stress.
2. Les axones préganglionnaires sympathiques stimulent la libération d’adrénaline et de noradrénaline par la médulla surrénale

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12
Q

Les hormones stéroidiennes

A

des molécules liposolubles synthétisées à partir du cholestérol. cette catégorie inclut les hormones stéroidiennes produites par les gonades, soit les oestrogènes et la progestérines dans les ovaires et la testostérone dans les testicules ainsi que les hormones synthétisées par le cortex surrénale.
Liposolubles, formée à partir du cholestérol.
ex: cortisol, oestrogènes, progestérone, testostérone et aldostérone.

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13
Q

Hormones peptidique

A

hydrosolubles, composée de chaînes d’acides aminés.
ex: insuline, glucagon, hormone de croissance.
La plupart des hormones sont des hormones peptidiques.

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14
Q

Anime biogène

A

hydrosoluble sauf l’hormone thyroidiienne qui est liposoluble. car elle est produite à partir de deux acides aminés de tyrosine. dérivée d’un acide aminé modifier.
ex: noradrénaline, adrénaline, mélatonine.

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15
Q

Les hormones locales

A

ne circulent pas dans le sang, libérées par les cellules qui les produisent et elles se lient à ces mêmes cellules ou à des cellules avoisinantes en passant par le liquide intersitiel.

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16
Q

Le transport des hormones hydrosolubles

A

Leur transport entre la glande endocrine et les cellules cibles est relativement simple. Les interactions chimiques entre l’hormone hydrosoluble et le plasma permettent aux molécules d’hormones de se solubiliser rapidement, donc d’être transportées facilement dans le sang

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17
Q

Le transport des hormones liposolubles

A

ils ne se solubilisent pas directement dans l’environnement aqueux du sang. Le transport de ces hormones s’effectue principalement grâce à des molécules de transport.

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18
Q

Les facteurs influençant le taux d’hormones circulantes

A

Les effets physiologiques des hormones dépendent principalement de leur concentration dans le sang. EX: le gigantisme est causé par une concentration sanguine trop élevée en hormone de croissance.

La synthèse des hormones et l’élimination des hormones.

L’équilibre entre le taux de synthèse d’une hormone et son taux d’élimination du sang est essentiel au maintien de la concentration homéostatique de chaque hormone.

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19
Q

L’ampleur de la réponse cellulaire

A

ce n’est pas une évènement isolé. une seule cellule cible affiche un nombre variable de récepteurs pour une même hormone et peut se lier simultanément des quantités différentes de la même hormone. elle peut aussi posséder plusieurs récepteurs pour des hormones différentes et ainsi répondre à plusieurs types d’hormones en même temps.
EX: les hépatocytes sont dotés d’un nombre variable de récepteurs pour l’insuline et le glucagon, ils réagissent à chacun. Par conséquent, la réponse d’une cellule donnée dépend de l’effet net de ses récepteurs disponibles ainsi que des quantités et des types d’hormones auxquels elle se lie

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20
Q

La demi-vie hormonale

A

correspond au temps nécessaire pour réduire la concentration d’une hormone dans le sang jusqu’à la moitié de sa sécrétion initiale.

La demi-vie des hormones hydrosolubles est assez courte. varie de quelques minutes ou moins. Les hormones stéroidiennes sont celles dont elle est plus longue. Plus la demi-vie est de courte durée, plus elle doit être remplacée fréquemment afin de maintenir sa concentration normale dans le sang.

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21
Q

L’interaction synergique sur les cellules cibles

A

se produit lorsqu’une hormone renforce l’activité d’une autre hormone. Synergie est synonyme de coopération. EX: les structures du système génital de la femme fonctionne beaucoup mieux lorsqu’elles sont influencées par la présence des oestrogènes et de la progestérone.

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22
Q

L’interaction permissive sur les cellules cibles

A

se produit lorsque l’activité d’une hormone dépend de la présence d’une autre hormone. EX: la prolactine déclenche la production de lait maternel, mais l’ocytocine ne pourrait déclencher l,éjection du lait en l’absence de l’action antérieur ou simultanée de la prolactine qui déclenche la production du lait

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23
Q

L’interaction antagoniste sur les cellules cibles

A

se produit lorsque les effets d’une hormone s’opposent aux effets d’une autre. EX: le glucagon déclenche des changements cellulaires qui augmentent la concentration en glucose dans le sang, alors que l’insuline déclenche des changements cellulaires qui abaissent la concentration en glucose sanguin

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24
Q

Fluctuations du nombre de récepteurs

A

régulation positive: en réponse à une réduction de la concentration sanguine en hormones, la régulation positive augmente le nombre de récepteurs des cellules cibles.

Régulation négative: en réponse à une augmentation de la concentration sanguine en hormones, la régulation négative réduit le nombre de récepteurs des cellules cibles

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25
Le nombre de récepteurs sur la cellule cible
le nombre de récepteurs disponibles dans une cellule cible varie, et la direction ainsi que l'ampleur de la réponse sont soumises à une régulation rigoureuse. Ce contrôle est essentiel. Une régulation positive de la sensibilité des cellules cibles, les cellules peuvent accroître leur nombre de récepteurs, augmentation ainsi leur sensibilité. La régulation négative de la sensibilité hormonale des cellules cibles permet aux cellules de réduire leur nombre de récepteurs et de diminuer ainsi leur sensibilité
26
Hormones liposolubles diffusent à travers la membrane plasmique de la cellule cible
peut entraîner une modification de la structure cellulaire ou un changement dans l'activité métabolique de la cellule.
27
Hormones hydrosolubles et amines biogènes se lient à un récepteur de la membrane plasmique de la cellule cible
peut entraîner une activation ou inhibition d'une cascade enzymatique. une stimulation de la croissance par mitose et des sécrétions cellulaires. une modification de la perméabilité membranaire. une contraction ou relaxation musculaire
28
La relation anatomique entre l'hypothalamus et l'hypophyse
L'hypophyse est située sous l'hypothalamus. Une petite glande ovale de la taille d'un pois. L'hypophyse est reliée l'hypothalamus par l'infundibulum. Elle comprend la neurohypophyse et l'adénohypophyse. Le lobe postérieur est constitué de neurofibres et de gliocytes. Le lobe antérieur est composé de cellules endocrines productrices d'hormones.
29
La neurohypophyse
est la partie neurale de l'hypophyse se composant d'un lobe rond, la partie nerveuse et de l'infundibulum. elle représente le quart de la masse. Les dendrites et les corps cellulaires de ces neurones se trouvent dans l'hypothalamus. Les axones amyélinisés de ces neurones traversent l'infundibulum et forment le tractus hypothalamo-hypophysaire.
30
L'adénohypophyse
est la partie endocrine de l'hypophyse. environ trois quarts. L'interaction passe par deux plexus capillaires reliés par les veines portes. ce qui constitue le système porte hypothalamo-hypophysaire
31
p.803
32
Les interactions entre l'hypothalamus et la neurohypophyse
La neurohypophyse ne produit pas d'hormone mais stockent la OT et ADH. C'est la raison pour laquelle ces neurones de l'hypothalamus sont appelés cellules neurosécrétrices. Les hormones sont libérés à la suite de la transmission d'un signal nerveux en provenance de l'hypothalamus. ADH: joue un rôle dans l'équilibre hydrique de l'organisme, le maintien du volume sanguin et la régulation de la pression sanguine. Elle est libéré dans le sang lorsque la personne est en état de déshydratation. Lorsque l'hypothalamus détecte une hausse de l'osmolarité sanguine. Les cellules cibles de l'ADH sont les cellules rénales et les neurones du centre de la soif. rétro-inhibition OT: agit sur l'utérus menant à l'expulsion du foetus et les glandes mammaires pour l'éjection du lait. Elle stimule les muscles lisses de l'utérus afin qu'ils se contractent et génèrent une force progressive jusqu'à l'expulsion du bébé. elle est régulé par une rétroactivation.
33
Les structures homologues aux deux systèmes génital
ovaire et testicule: produisent les gamètes et les hormones sexuelles. clitoris et gland du pénis: contiennent des tissus érectiles excitables contribuant à l'excitation sexuelle et à l'orgasme. petites lèvres et corps du pénis: contiennent des tissus érectiles excitables contribuant à l'excitation sexuelle et à l'orgasme. grandes lèvres et scrotum: protègent et recouvrent certaines structures reproductives. glandes vestibulaires majeures et glande bulbo-urétales: sécrètent un liquide prééjaculatoire chez l'homme et la cyprine chez la femme, ces liquides sont des lubrifiants naturels.
34
Les éléments communs aux deux systèmes génitaux
les mécanismes généraux de production des gamètes, de fabrication des hormones et de maturation sexuelle. Les hommes et les femmes possèdent des organes génitaux qui s'appellent les gonades. Elles produisent les cellules sexuelles. Ils s'unissent au moment de la fécondation pour engendrer un nouvel être. Les gonades sécrètent aussi les hormones sexuelles qui participent au développement des organes génitaux, à leur maturation et à leur fonctionnement. Les hommes et les femmes possèdent des organes génitaux annexes, ex, les conduits qui acheminent les gamètes depuis les gonades jusqu'au lieu de la fécondation ou jusqu'à l'extérieur du corps.
35
La maturation sexuelle
Le développement du système génital est en latence jusqu'à l'adolescence. Il ne commence à fonctionner qu'à la puberté et à ce moment les caractères sexuels externes deviennent plus apparents. EX: les seins prennent du volume, la pilosité pubienne. Les organes génitaux deviennent à ce moment pleinement fonctionnels.
36
Les hormones impliqués dans la maturation sexuelle
Gonadolibérine: sécrétée par l'hypothalamus qui déclenche la puberté. Cette période que les cellules endocrines de l'adénohypophyse sont stimules par la Gn-RH et qu'elles commencent à sécréter les hormones gonadotrophines( folliculostimuline et hormone lutéinisante). Avant la puberté, ces deux hormones sont produites en quantités non significatives. À mesure que les taux de FSH et LH augmentent, les gonades produisent des quantités de plus en plus importantes d'hormones sexuelles et déclenchent le développement des gamètes ainsi que la maturation sexuelle de la personne. Chez la femme, un gamète est libéré par mois, l'homme produit quotidiennement un nombre important de gamètes. Les gamètes mâles s'accumulent dans l'épididyme, s'ils ne sont pas expulsés avant le terme de leur durée de vie, ils sont dégradés par l'organisme
37
L'anatomie du périnée
située entre les cuisses et délimitée à l'avant par la symphyse pubienne, sur ses deux côtés par la tubérosités ischiatiques et à l'arrière par le coccyx. Il y une ligne horizontale qui relient les deux côtés.
38
Le travail et l'accouchement
le travail est tout le processus menant à l'accouchement. il est l'expulsion physique du foetus et du placenta hors de l'utérus. vers la fin de la grossesse, des contractions commencent à se faire sentir, mais elles ne mènent pas toutes au vrai travail qui précèdent l'accouchement.
39
Le faux travail vs le vrai travail
le faux travail se manifeste par des contractions utérines qui ne conduisent pas à l'accouchement. Les contractions du faux travail portent le nom de contractions de Braxton-Hicks. Elles portent les caractéristiques suivantes: les intervalles entre elles sont plutôt irréguliers et leur fréquence n'augmente pas avec le temps. relativement faible, la douleur est souvent à la portion inférieur de l'abdomen et du bassin. Le vrai travail: se caractérise par des contractions utérines dont l'intensité et la fréquence augmentent. Les contractions entraînent des modification du cols de l'utérus.
40
Mécanisme de rétroactivation du travail
Stimulus de départ : les stress émotionnel et physique causés par le début des contractions stimulent l’hypothalamus de la mère. Centre de régulation : l’hypothalamus du fœtus entraîne la sécrétion d’ocytocine par la neurohypophyse. L’hypothalamus de la mère entraîne une plus grande sécrétion d’ocytocine par la neurohypophyse. Effecteur : l’ocytocine stimule les contractions du myomètre de l’utérus. Résultat et stimulus : les contractions utérines poussent la tête du fœtus contre le col et en provoquent l’étirement. Récepteur : la dilatation du col utérin est perçue par les mécanorécepteurs qui stimulent l’hypothalamus par l’intermédiaire de neuroes afférents. Le mécanisme de rétroactivation du vrai travail se met alors en place lorsque la dilatation du col utérin commence. Ce dernier étiré et tendu, ce qui perçu par les mécanorécepteurs du col qui stimulent l’hypothalamus à sécréter l’ocytocine par l’intermédiaire de la neurohypophyse. Le processus s’amplifie jusqu’à ce que le fœtus soit expulsé de l’utérus
41
Les phases du vrai travail
La phase de dilatation : commence lorsque les contractions utérines régulières apparaissent puis se termine quand le col est effacé et dilaté jusqu’à un diamètre de 10cm. C’est la plus longue des trois phases. La phase de dilatation des femmes nullipares est plus longue de 8 à 24h que celle des femmes multipares peut durer de 4 à 12h. est aussi marquée par la rupture de l’amnios et par l’écoulement du liquide amniotique, un phénomène appelé la perte des eaux. La phase d’expulsion : débute avec la dilatation complète du col et se termine par l’expulsion du fœtus hors du corps. Elle peut durer quelques minutes ou elle prend généralement de 30 minutes à plusieurs heures. Il y a dégagement quand la première partie de la voûte crânienne du bébé distend le vagin. La phase de délivrance : suit l’expulsion du bébé. L’utérus continue de se contracter et elles aident à comprimer ses vaisseaux sanguins et à détacher le placenta de la paroi utérine.
42
Le cycle ovarien
il comprends 3 phases: folliculaire correspond à la phase antrale de la folliculogenèse. ovulation survient avec la rupture du follicule ovarique mûr pour expulser l'ovocyte de 2 ordre. lutéale caractérisée par la présence du corps développé à partir du follicule rompu à l'ovulation.
43
le cycle ovarien à l'enfance
les ovaires sont inactifs et subissent une atrésie ce qui est une dégénérescence de nombreux follicules ovariques primordiaux
44
Le cycle ovarien à la puberté
l'hypothalamus commence à sécréter la Gn-RH. elle active la sécrétion de FSH et LH par l'adénohypophyse.
45
L'importance de l'hormone HCG
il maintient le corps jaune. il imite la LH et maintient la stimulation du corps jaune qui continue ainsi à produire de la progestérone et des oestrogènes.
46
L'importance du placenta
il produit sa propre progestérone et oestrogène
47
Les trompes utérines
relient chacun des cotés de l'utérus. elles transportent l'ovocyte de deuxième ordre à la suite de son expulsion de l'ovaire et préembryon jusqu'à l'utérus et elles constituent le site de fécondation. L'infundibulum est l'extrémité distale d'elle. il se termine par les franges de la trompe utérine. L'ampoule est la région médiane renflée dans laquelle débouche l'infundibulum. C'esy la que l'ovocyte de deuxième ordre est féconde. La paroi des trompes utérines se compose d'une muqueuse, d'Une musculeuse et d'une séreuse.
48
Le vagin
est une structure tubulaire fibromusculaire à paroi mince et extensible constituant la partie inférieure du système génitsl. il relie l'utérus à l'extérieur du corps et assure la transition entre l'utérus et le milieu ambiant à la naissance. les cellules épithéliales vaginales produisent des sécrétions rendues acides. L'acidité particpe à la prévention des proliférations microbiennes pathogènes.
49
Mécanisme de régulation des testicules
Le plexus pampiniforme rafraîchit le sang artériel avant qu'il n'atteigne les testicules contribuant à la thermorégulation des testicules essentiels au développement adéquat des sperm. quand les testicules sont exposés à des températures relativement élevée, le muscle dartos se détend et le muscle crémaster aussi.
50
Le scrotum
il contrôle la hauteur des testicules afin de procurer aux sperm un environnement plus frais indispensable à leur développement et à leur maturation. il se caractérise par une crête centrale le raphé.
51
Le cordon spermatique
contient les vaisseaux sanguins, les nerfs ainsi que le conduit déférent qui achemine les sperm vers l'extérieur du corps.
52
L'utérus
il protège l'embryon et le nourrit par un réseau vasculaire qui devient le placenta. quand le taux maternel d'ocytocine augmente à un point tel qu'il déclenche les contractions utérines et le travail. il expulse le bébé.
53
Le col de l'utérus
contient des glandes qui sécrètent du mucus qui forme un bouchon épais au niveau de l'orifice externe. il sert d'obstacle physique à l'entrée d'organisme pathogènes dans l'utérus en provenance du vagin.
54
La paroi utérine
le périmétrium: plus epais que les deux autres et formé de trois couches musculaires lisses entrelacées qui assurent les fortes contractions musculaires au moment de l'accouchement. myomètre: constitue la couche moyenne. se contracte pour favoriser l'évacuation du flux menstruel lorsqu'il n'y a pas fécondation. L'endomètre: une muqueuse à structure externe. elle est expulsé au moment des menstruations. il contient de nombreuses glandes utérines. elles sécrèyent une substance nutritive au développement de l'embryon. il comporte deux couches. la basale et la fonctionnelle.
55
Les glandes endocrines
reçoivent un apport sanguin. ce qui facilite le passage rapide des hormones des cellules de la glande jusqu'au sang. elle ne possède pas de conduits. et sécrètent directement dans le liquide interstitiel et le sang. les hormones agissent comme messagers chimiques pouvant modifier les activités cellulaires ailleurs dans l'organisme Organe endocrine qui ne possède qu'une fonction endocrine comme la glande pinéale, hypophyse ect. amas cellulaire qui possède une fonction endocrine et non endocrine comme l'hypothalamus, pancréas ect.
56
La régulation de la sécrétion hormonale d'une glande endocrine
est assurée par un réflexe. il est une réponse prédéterminée qui se manifeste en présence d'un stimulus.
57
Les glandes exocrines
proviennent d'une invagination de l'épithélium qui s'enfouit dans les tissus conjonctifs. les sécrétions se fait à l'aide d'un conduit.
58
Allèles
les variantes d'un gène occupant le même locus sur des chromosomes homologues. chaque personne hérite de deux. dominant: entraîne l'expression trait. recessif: s'exprime que s'il est présent deux fois
59
type de zygote
homozygote: possède deux allèles identiques. hétérozygote: possèdent deux allèles différents. le récessif peut sauter des générations.
60
les types
génotype: constitution génétique d'une personne. phénotype: l'expression physique d'un génénotype.
61
d'autre trucs génétiquw
caryotype l'arrangement de ces pairs de chromosomes disposées selon leur taille et certaines caractéristiques. 22 sont constituées de autosomes et ne possèdent pas de gènes déterminent le sexe.
62
L'hérédité polygénique
se présente quand plusieurs gènes interragisent pour produire un trait phénotypiques. ces gènes multiples peuvent se trouver sur le même chromosomes ou des différents. ex: la couleur des yeux, la taille, couleur de la peau, les maladies.
63
Codominance
deux allèles ou plus emblent aussi dominants l'un que l'autre et s'expriment dans le phénotype. ex groupes sanguins: le A et le B sont des allèles codominants de sorte qu'une personne qui reçoit l'allèle A et B sera de groupe AB.
64
L'hérédité liée au sexe
un caractère récessif lié au chromosome X s'exprime toujours chez l'homme car il n'en possède qu'un. Par contre chez une femme si elle n'en possède qu'un elle est porteuse. les seules personnes de sexes masculines possèdent un Y, la plupart des gènes de ce chromosome codent le développemnt de l'homme.
65
Les conduits testiculaires
le rété testis est un enchevêtrement de conduits reliés entre eux qui reçoivent les sperms en provenance des tubules séminifères droits. Ils se fusionnent pour former les canalicules efférents. Et ceux-ci débouchent dans l'épididym. environ 12 à 15.
66
L'épididyme
augmente la surface de réabsorption des sperms dégradés. entrepose les sperm jusqu'à ce qu'ils atteignent leur pleine maturité et développe leur motilité.
67
Le conduit déférent
permet de déplacer les sperms jusqu'au conduit éjaculateur. les sperms ne possèdent aucune mobilité avant d'être éjaculées cela exige donc la contraction de la musculeuse pour permettre l'expulsion hors du conduit déférent. ampoule du conduit déférent: constitue la partie terminale du réseau des conduits génitaux.
68
Les conduits éjaculateurs
possède 2. achemine vers l'urètre les sperm en provenant du conduit déférent. les sécrétions des vésicules séminales sont ajoutées aux sperm ce qui forme le sperme.
69
L'urètre
achemine le sperme des deux conduits éjaculateurs jusqu'à l'extérieur du corps possède 3 parties. prostatique de l'urètre: part de la vessie et traverse la prostate. membranacée de l'urètre partie spongieuse: travers le pénis sur toute sa longueur.
70
Les glandes annexes
les sperm baigent dans le liquide séminale. cette sécrétion alcaline neutralise l'acidité du vagin et nourrit et protège les sperms tout au long de leur traversées. vésicules séminales, prostate et glandes bulbo-urétrales
71
Les vésicules séminales
fusionne avec le conduit déférent pour former les conduits éjaculateurs. elles sécrètent un liquide alcalin qui constitue deux tiers du volume séminale, contient du fructose et des prostaglandines. la fructose nourrit les sperm et la prostaglanides favorisent la motilité
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La prostate
assure la production d'environ le tiers du volume du liquide séminale. elle sécrète un liquide légèrement acide, riche en acide citrique et en antigène prostatique spécifique. la production d'ATP, l'APS joue un rôle enzymatique et contribue à la fluidification du sperme avec l'éjaculation.
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Les glandes bulbo-urétrales
sécrètent un mucus dans le liquide séminale qui enlève l'acidité associée aux traces d'urine présente dans l'urètre et sert de lubrifiant.
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Le sperme
le liquide séminale se mélange aux sperm pour créer le sperme.
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Le sexe phénotypique
correspond à l'apparence des organes génitaux internes et externes. se produit dans la 7 semaine.
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