examen final Flashcards
(92 cards)
- À l’aide des informations du texte, définissez ce qu’est un script relationnel (ou interpersonnel).
Bien sûr, les interactions délinquant-victime sont dynamiques et interactitves. Grosso modo, Il s’agit en fait d’étudier la séquence des actions à adopter, des interactions à entretenir dans la recherche d’un objectif délinquant, à étudier les comportements nécessaires pour interagir avec les autres. On cherche donc à interpréter le comportement des autres et leurs réactions dans des situations ou le comportement d’un ou des ^protagonistes s’ajustent à celui des autres. Il s’intéresse principalement aux interactions nécessaires qui permettront le passage à l’acte.
- Identifiez et décrivez les deux avantages du script interpersonnel (ou relationnel).
Premièrement, il souligne le caractère séquentiel de nombreuses entreprises criminelles en ce sens ou il y a généralement plusieurs étapes avant de parvenir à passer à l’acte et donc plusieurs occasions de détourner le script. IL permet alors de mieux cerner cette réalité et ainsi améliorer les pistes de prévention situationnelle surtout en terme de durcissement de la cible (protection de la cible)
Deuxièmement, les scripts interpersonnels rappellent la complexité des interactions humaines. En effet, ce type de script facilite la façon dont les crimes interpersonnels doivent être examinés. L’analyste doit à la fois porter les souliers du délinquant et ceux de la victime pour bien saisir l’évolution des interactions entre les deux parties.
- Identifiez et décrivez brièvement les trois sources de données pouvant être employées pour faire une analyse de script. Pour chaque source de données, vous devez donner un avantage.
transcriptions de la cour
avantage : source la plus accessible pour bâtir
des scripts
entrevues
Seuls les délinquants peuvent nous guider à
travers l’épisode complet du PCC.
Dossier d’enquête, données policières
Important de connaitre la perspective de la victime ausis pour bien figurer l’ensemble de ce qui s’est passé
Être en mesure de distinguer les programmes efficaces de ceux qui ne sont pas efficaces. Je pourrais vous demander de les nommer (question à court développement) ou bien de vous demander d’identifier les programmes efficaces ou non dans une question objective.
Premièrement, les programmes efficaces s’attaquent à une problématique bien circonscrite, ce qui souligne l’importance d’effectuer une analyse fine du problème et d’envisager un ensemble de facteurs comme pouvant en être responsable (Eck & Spelman, 2016).
Deuxièmement, les moyens sont adaptés à la problématique. Ainsi, plusieurs synthèses systématiques montrent que la répression n’est pas toujours le meilleur moyen pour combattre le crime (p. ex : l’aménagement de l’environnement pour contrer le désordre public) (Braga et al., 2015) ou que plusieurs stratégies doivent être mises en place (p. ex : les stratégies de type « pulling levers ») (Braga & Weisburd, 2012b).
Troisièmement, plusieurs partenaires sont parfois impliqués dans les programmes, ce que ce soit pour leur planification ou leur évaluation.
Quatrièmement, les stratégies axées sur la répression sont fortement publicisées et les contrôles sont augmentés de façon drastique par rapport au niveau précédent (Elder et al., 2002). À titre d’exemple, la mise en place de l’Escouade de circulation et sécurité routière du Service de police de la ville de Montréal fut suivie d’une baisse variant entre 7.5 et 44.9 % des accidents avec blessures graves. Le nombre d’opérations radar fut plus que doublé et le nombre de constats d’infraction pour excès de vitesse fut multiplié par trois (Beaudoin & Blais, 2010).
Quels sont les avantages de la méta-analyse par rapport à la reproduction lors de la généralisation de résultats d’un type de programmes de prévention (ou de sécurité intérieure) ?
Les résultats des synthèses systématiques permettent non seulement d’identifier les pratiques policières efficaces mais également de dégager des enseignements sur les conditions à remplir pour assurer l’efficacité d’une intervention ou d’un programme.
Ainsi, les reproductions comportent au moins trois limites. D’abord, il est très difficile d’implanter de façon identique un programme dans un nouvel endroit. Ensuite, l’environnement socio-économique n’est jamais tout à fait le même. Il devient dès lors impossible de distinguer les effets du programme de ceux qui résultent de l’environnement socio-économique ou des ressources déployées (Weisburd & Taxman, 2000). Autre limite, les évaluations sont parfois basées sur un nombre restreint d’observations, ce qui affecte leur puissance statistique, c’est-à-dire leur sensibilité à détecter les effets d’un programme (Lipsey, 1990). Un protocole de recherche qui a une faible puissance statistique risque de ne pas détecter de différence statistiquement significative entre les groupes témoin et expérimental, même si le programme est efficace
Être en mesure de nommer et définir, dans vos propres mots, les trois types de programme policier que l’on retrouve en milieu scolaire. Il pourrait y avoir des questions objectives ou à court développement.
Agent de liaison (police communautaire)
Vise à réduire la violence et à améliorer les relations polices-citoyens
Contrairement au SRO, le rôle de l’agent de liaison est d’appuyer les intervenants en milieu scolaire par l’échange d’information et non de remplir des
tâches policières plus traditionnelles telles que la patrouille et l’application de la
loi (Brown 2006).À ce titre, le policier peut échanger de l’information avec les psycho-éducateurs et les enseignants afin de documenter le
dossier d’un jeune en difficulté, effectuer des visites régulières dans les écoles,
être consultant pour la mise en place d’une activité parascolaire et contribuer à
l’implantation de programmes de prévention plus spécifiques
policier ressources : ces policiers sont assignés en permanence à une école et à son territoire environnant. L’officier de police assigné
à l’école (School resource officer – SRO), ne portant pas l’uniforme, n’a pas
comme fonction de faire respecter les règles de l’école; il se penche sur les
comportements problématiques aux alentours de l’école, ce qui pourrait être le
signe de problèmes actuels ou futurs de délinquance. On les attribue aussi à d’autres tâches comme l’éducation de programmes tels que DARE et GREAT. (1) il applique la loi, (2) il agit comme
conseiller auprès des élèves et du personnel enseignant, et (3) il sensibilise et
informe les étudiants sur des questions relatives au travail policier, aux comportements à risque et aux responsabilités du citoyen (Griffith 1999; Burke
2001).
POlicier éducateur : Rencontrer les élèves pour les sensibiliser aux répercussions négatives d’adopter des comportements proscrits, donner des outils pour reconnaitre les situations à risque et y réagir adéquatement, développer l’appréciation de la diversité socio-culturelle.Le policier adopte ainsi le rôle d’enseignant. À ses débuts, le policier éducateur traitait essentiellement de problématiques telles que la sécurité à vélo, la
sécurité routière et la prévention de l’abus sexuel chez les enfants. Par la suite,
le contenu des programmes a été modifié et englobe dorénavant les problématiques liées à la prévention de la criminalité, la consommation de drogues
Peut-on conclure à l’inefficacité des programmes policiers en milieu scolaire ? Appuyer votre réponse à l’aide des éléments trouvés dans le texte.
Les résultats de notre synthèse systématique démontrent que les programmes policiers en milieu scolaire ne sont pas efficaces pour prévenir la délinquance et les autres comportements problématiques.
les programmes éducatifs tels que DARE et GREAT ne sont pas efficaces pour prévenir la délinquance et la consommation de drogues, mais que leur suppression n’aurait que des effets négligeables sur les comportements déviants en milieu scolaire
Les études de Hopkins et coll. (1992) et de Bazemore et coll. (2004) ne rapportent aucune baisse de la délinquance des suites de l’introduction du programme d’agent de liaison en milieu scolaire. N’améliore pas non plus les relations entre les jeunes et la police
Les auteurs proposent des mesures de prévention situationnelle dites « douces » (soft) afin de s’attaquer aux liens qui unissent les membres des réseaux terroristes. Les auteurs font allusion à des mesures d’aide communautaire (community outreach tactics) qui peuvent être utiles pour réduire les excuses (reducing excuses) pour commettre un crime.
Identifiez et décrivez trois exemples de mesure « soft » qui pourraient être implantées selon les auteurs.
For example, community policing officers can be designated to work exclusively with immigrant communities. To reach a larger constituency, ethnic radio and television as well as religious institutions and employers can be used to communicate with immigrant communities.
Police can also employ more translators and ensure that police materials are available in foreign languages.
Additionally, police officers should be trained to effectively communicate with the different elements in immigrant communities Finally, public information/awareness campaigns could reduce excuses and appeal to peoples’ consciences by highlighting the negative consequences of the illegal acts (Freilich and Chermak, 2009; von Lampe, 2010).
En quoi le volet analytique est important même lorsqu’on se centre sur L’intervention ?
Permet de mieux planifier l’intervention, de l’adapter, de la rendre plus efficace (on recense les pratiques qui fonctionne, dans quel contexte, évaluer la réceptivité du client, etc.)
bien comprendre l’effet du programme par rapport à d’autres variables explicatives potentielles.
6 grandes étapes à l’implantation d’un programme de prévention (5min)
1) l’identification du problème
- - Qui, quand, comment, pourquoi, etc. Ce sont des informations à collecter sur les délinquants, les victimes et toutes les conditions qui peuvent faciliter le passage à l’acte. Risques et besoins de la clientèle. On veut bien cerner la problématique.
- – quelle sosn tles caractéristiques des lieux ou les délinquants et les victimes convergent. QU’est-ce qui attirent les victimes, les délinquants, pourquoi il n’y a pas de gardien ? Quel genre de contrôles sont en place ? (TRIANGLE DU CRIME
- – se questionner sur les objectifs, les motivations du délinquants, comment il prend ces décisons, aux étapes et aux décisions du délinquant (SURTOUT) CHOIX RATIONNEL.
- – Quels sont les crimes generators, attractors Pourquoi déolinquant et victime convergent, qu’est-ce qui est l’attrait ? (ex. : bars : bruyant, mal aménagés, etc.)
DONC, ON PREND LES THÉORIES, IDENTIFIE LES CONECPTS CENTRAUX ET COMMENT ON PEUT TROUVER DES INDICATEURS POUR LES MESURER.
BONNE ANALYSE PRÉCISE = RÉPONSE ADAPTÉE
IMPLIQUE D’AVOIR
– des bonnes habiletés pour évaluer les facteurs de risque, connaitre les bons questionnements qui les mesure, quelles activités on va devoir offrir
2) analyse des contrôles sociaux existant
- - communautés, quartiers, types de commerce. Est-ce qu’il y a des mesure mises en place pour s’attaquer au problème identifié (si on identifier quelque chose qui ne fonctionne pas, on ne le refait pas ou on adapte). On veut offrir une aide complémentaire
3) Objectifs du programme
Objectifs qui précise le type de crime spécifique et l’endroit ou la baisse devrait avoir lieu.
Objectifs clairs, spécifiques, mesurables par des questionnaires, données policières.
4) moyens du programme qui vont permettre la prévention
s,Inspirer des données probantes. Meilleures preuves scientifiques par rapport à L,efficacité d’un programme.
5) PLanifier l'IMPLANTATION Implique de trouver les ressources nécessaires (coordonnateurs, travail sociaux, matériel, aménagement, etc.) ET qui fait quoi, à quel moment --publicisation -- mise en place --évaluation
BREF, planifier les actiivtés du tout début jusqu’à la fin du programme, tout coordonner les services
IMPORTANT de miser sur L’IMPLANTATION aussi puisque dans les études on mise trop sur L’IMPACT. On veut trop docuemnter ce qui fonctionne, mas on peut passer à côté de plusieurs éléments qui sont explicatif de cet impact (surtout si l’évaluation est négative. Il faut donc être prudent. C’est là que l’éval d’Implant est importante)
Comme ça on pourra changer certaines variables de l’implantation (intensité, quartier, etc.) On pourra voir L’écart entre ce qui a été planifié et ce qui a été réellement implanté. On peut donc mieux COMPRENDRE L’IMPACT. C’est le point tournant de notre programme
6) Planification de L’ÉVALUATION (évaluation d’impact)
important de miser sur l’implantation
dans les études on mise trop sur l’impact on sait que les pratiques sont efficaces, mais on ne sait pas pourquoi. Oui évaluer l’Impact, mais SURTOUT L’IMPLANTATION. on va comparer
.
Quels sont les protocoles d’étude ?
1) protocole expérimental avec randomisation
dans les évaluations in met bcp L,emphase sur l’impact et la validité interne (intervention elle-même créer un changement et non des circonstances externes, capacité à dire que l’effet observé est bel et bien dû au proramme de prévention.
2) protocole quasi-expérimental (sans randomisation)
3) protocole non-expérimental (pas nécessairemnet mauvais, mais plus difficile d’évaluer l’effet réel du programme
protocole randomisé est basé sur 3 grands principes, quels sont-ils ?
1) quad on fait de l’évaluation il faut distribuer de façon aléatoire les unités d’analyse (Segments de rue, station de métro, individus) dans les groupes témoins et expérimental. MAIS se fait mieux avec des individus
2) permet de contrôler l’effet des tierces variables et des causes inconnues par la randomisation des unités d’analyse (pas besoin de faire des manipulations statistiques). Les effets des variables seront le smêmes dans les deux groupes
3) on s’assure que l’effet observé est réellement attribuable à l’intervention.
pourquoi est-ec qu’un protocole avec randomisation est difficile à mettre en place ?
- coûteux
- demande des experts en protocole de randomisation
- ouverture des partenaires (plusieurs trouvent insensé de ne pas donner de service à des personnes qui en ont de besoin. MAis c’est nécessaire pour bine l’évaluer comme il faut avant de l’offrir à plus long terme.
Expliquez le protocole quasi-expérimental ?
Groupe témoin et groupe expérimental, mais non randomisée.
PROBLÈME : groupe non équivalent
DONC,
Contrôle statistiques des variables tierces a poesteriori
Le groupe témon serait créer à posteriori aussi.
MALGRÉ TOUT,
impossible de contrôler pour toutes les variables, impossible de s’assurer de contrôler pour les facteurs inconnus.
BREF, L’effet n’est peut-être pas entièrement dû au programme (aussi : manipulation stats, contrôle stats, etc.)
ON essaie de reproduire les conditions expérimentales, mais ce n’est jamais parfait.
Décrivez le protocole non-expérimental
pas de groupes expérimental ou témoin. Parfois, on a juste une comparaison avant ou après, mais sans groupe témoin.
.
Sauf que, quel objectif est unique à tous les protocoles de recherche ?
On veut s’assurer d’une bonne validité interne, c’est-à-dire que X «cause» Y.
et d’écarter les hypothèses alternatives (est-ce que c’est bien mon programme qui a fait l,effet.
Si manque de validité interne, quatre autres types de validités : L’idéal est de mobiliser les 5 types de validités, mais RAREMENT FAISABLE.
Quelles sont les solutions si impossibilité d’avoir un protocole expérimental ?
Si manque de validité interne, quatre autres types de validités : L’idéal est de mobiliser les 5 types de validités, mais RAREMENT FAISABLE.
Trianguler différentes sources de données : questionnaires, données policières,
Documenter l’ensemble des étapts de l’intervention à l’aide d’un modèle explicatif (modèle logique).
Mener une analyse contributive.
qu’est-ce que l’analyse contributive ?
consiste à se pencher sur l’Implantaion et les actiivtés qui sont offertes et tous les processus de changements impliqués *processus qui mènent aux résultats (ex. Connaissances et attitudes ont changés)
au lieu de miser sur la validité interne on aborde d’autres types de validité.
quels sont les autres types de validité ?
- validité de construit : écart entre ce qui est planifié au départ et ce qui est implanté (on s,Intéresse à comment il est conçu, quelles actiivtés sont proposées et s’assurer que toutes les activités sont données).
- Validité descriptive : transparence, c’est-à-dire est-ce qu’on donne toutes l’information au lecteur pour qu’il apprécie les conclusions de la démarche (contexte d’implantation, taille de l’échantillon, test statistique, taux abandon, comment les participants ont été distribué)
- Validité quant aux conclusions statistiques : il faut respecter les postulats statistiques (normalement distribués, sinon test non-paramétriques). On peut donc avoir une très grande validité interne, mais chaque étude a besoin d’Analyse statistiques et on peut donc avoir le meilleur devis possible, mais si on viole les postulats statistiques, notre validité en prend un coup.
- validité externe : est-ce qu’on peut extrapoler les résultats à d’autres situations.
quelle était la préoccupation derrière le programme «unité sans violence» ?
Préoccupation face à la montée de la violence chez les jeunes et de ses conséquences
Efficacité des méthodes disciplinaires traditionnelles remise en question
Sentiment d’insécurité : gangs et fusillades
l’unité sans violence visait à changer le paradigme guidant l’intervention. Quel était ce changement théorique ?
Insipiré de l’approche écologique (École et son environnement scolaire). Chaque école, selon certaines caractérsitiques, vont amener des contextes plus ou moins favorables à la violence
Au lieu d’utiliser la sensibilisation, on voulait utiliser le triangle du crime, favoriser l,action des gardiens (s’interposer ou dénoncer). Il ne faut pas tolérer la violence, s’interposer au besoin sinon on dénonce.
quelles étaient les stats descriptives
Multiethniques (donc si la police leur ensiegne, peuvent avoir appris à craindre la police donc pour â que ça fonctionne pas), défavorisation sociale à 9,23 sur 10.
quelles furent les démarches effectuées ?
Sondage «papier-crayon» de délinquance et victimisation dans 20 écoles (13 pour la présentation)
Élèves de 5 et 6 années (9-13 ans).
2 administrations : octobre 2008 et mai 2009.
Questions à choix multiples (1 = jamais à 4 = plusieurs fois par semaine) (période fenêtre = dernier mois).
Indices: violence, sentiment de sécurité, comportement de dénonciation et perception de la police.
Comparaison avant et après.
Bcp de petites variations (ex. : violence physique passant de 1,38 à 1,34), mais est-ce qu’elle sont significatives ? Il faut se rappeler que L’échelle allait de 1 à 4 et c’étiat déjà pas. DOnc on le fait presque jamais à 1,38 donc cela ne peut pas baisser beaucoup. Parfois si on a 1,11 on pourrait s’attendre maximialemnet à une baisse de 10%, soit -0,11
BREF, l’effet n’est pas nécessairement trivial, mais bien que le problème n’était pas très important et que les retombés préventives ne pouvaient être que modestes
Bref, durant le programme unité sans violence qu’est-ce qui s’est passé ?
La perception favorable à la police a augmenté (doc plus réceptif au message transmis, s’est traduit apr des infos plus marquées des témoins et donc baisse des risques d’être victime de violence physqiue.
DEUX EFFETS PRINCIPALEMENT OBSERVÉS :
1) baisse de la victimisation villente (physique)
2) baisse de la perception de la sévérité de la violence
3) appréciaiton de la police
4) plus d’interventions
Le schéma nous permet donc de synthétiser l’ensemble de l’Évalution en mettant l’emphase sur les processus observés et les impacts.