examen final Flashcards

1
Q
  1. À l’aide des informations du texte, définissez ce qu’est un script relationnel (ou interpersonnel).
A

Bien sûr, les interactions délinquant-victime sont dynamiques et interactitves. Grosso modo, Il s’agit en fait d’étudier la séquence des actions à adopter, des interactions à entretenir dans la recherche d’un objectif délinquant, à étudier les comportements nécessaires pour interagir avec les autres. On cherche donc à interpréter le comportement des autres et leurs réactions dans des situations ou le comportement d’un ou des ^protagonistes s’ajustent à celui des autres. Il s’intéresse principalement aux interactions nécessaires qui permettront le passage à l’acte.

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2
Q
  1. Identifiez et décrivez les deux avantages du script interpersonnel (ou relationnel).
A

Premièrement, il souligne le caractère séquentiel de nombreuses entreprises criminelles en ce sens ou il y a généralement plusieurs étapes avant de parvenir à passer à l’acte et donc plusieurs occasions de détourner le script. IL permet alors de mieux cerner cette réalité et ainsi améliorer les pistes de prévention situationnelle surtout en terme de durcissement de la cible (protection de la cible)
Deuxièmement, les scripts interpersonnels rappellent la complexité des interactions humaines. En effet, ce type de script facilite la façon dont les crimes interpersonnels doivent être examinés. L’analyste doit à la fois porter les souliers du délinquant et ceux de la victime pour bien saisir l’évolution des interactions entre les deux parties.

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3
Q
  1. Identifiez et décrivez brièvement les trois sources de données pouvant être employées pour faire une analyse de script. Pour chaque source de données, vous devez donner un avantage.
A

transcriptions de la cour
avantage : source la plus accessible pour bâtir
des scripts
entrevues
Seuls les délinquants peuvent nous guider à
travers l’épisode complet du PCC.
Dossier d’enquête, données policières
Important de connaitre la perspective de la victime ausis pour bien figurer l’ensemble de ce qui s’est passé

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4
Q

Être en mesure de distinguer les programmes efficaces de ceux qui ne sont pas efficaces. Je pourrais vous demander de les nommer (question à court développement) ou bien de vous demander d’identifier les programmes efficaces ou non dans une question objective.

A

Premièrement, les programmes efficaces s’attaquent à une problématique bien circonscrite, ce qui souligne l’importance d’effectuer une analyse fine du problème et d’envisager un ensemble de facteurs comme pouvant en être responsable (Eck & Spelman, 2016).

Deuxièmement, les moyens sont adaptés à la problématique. Ainsi, plusieurs synthèses systématiques montrent que la répression n’est pas toujours le meilleur moyen pour combattre le crime (p. ex : l’aménagement de l’environnement pour contrer le désordre public) (Braga et al., 2015) ou que plusieurs stratégies doivent être mises en place (p. ex : les stratégies de type « pulling levers ») (Braga & Weisburd, 2012b).

Troisièmement, plusieurs partenaires sont parfois impliqués dans les programmes, ce que ce soit pour leur planification ou leur évaluation.

Quatrièmement, les stratégies axées sur la répression sont fortement publicisées et les contrôles sont augmentés de façon drastique par rapport au niveau précédent (Elder et al., 2002). À titre d’exemple, la mise en place de l’Escouade de circulation et sécurité routière du Service de police de la ville de Montréal fut suivie d’une baisse variant entre 7.5 et 44.9 % des accidents avec blessures graves. Le nombre d’opérations radar fut plus que doublé et le nombre de constats d’infraction pour excès de vitesse fut multiplié par trois (Beaudoin & Blais, 2010).

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5
Q

Quels sont les avantages de la méta-analyse par rapport à la reproduction lors de la généralisation de résultats d’un type de programmes de prévention (ou de sécurité intérieure) ?

A

Les résultats des synthèses systématiques permettent non seulement d’identifier les pratiques policières efficaces mais également de dégager des enseignements sur les conditions à remplir pour assurer l’efficacité d’une intervention ou d’un programme.

Ainsi, les reproductions comportent au moins trois limites. D’abord, il est très difficile d’implanter de façon identique un programme dans un nouvel endroit. Ensuite, l’environnement socio-économique n’est jamais tout à fait le même. Il devient dès lors impossible de distinguer les effets du programme de ceux qui résultent de l’environnement socio-économique ou des ressources déployées (Weisburd & Taxman, 2000). Autre limite, les évaluations sont parfois basées sur un nombre restreint d’observations, ce qui affecte leur puissance statistique, c’est-à-dire leur sensibilité à détecter les effets d’un programme (Lipsey, 1990). Un protocole de recherche qui a une faible puissance statistique risque de ne pas détecter de différence statistiquement significative entre les groupes témoin et expérimental, même si le programme est efficace

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6
Q

Être en mesure de nommer et définir, dans vos propres mots, les trois types de programme policier que l’on retrouve en milieu scolaire. Il pourrait y avoir des questions objectives ou à court développement.

A

Agent de liaison (police communautaire)

Vise à réduire la violence et à améliorer les relations polices-citoyens
Contrairement au SRO, le rôle de l’agent de liaison est d’appuyer les intervenants en milieu scolaire par l’échange d’information et non de remplir des
tâches policières plus traditionnelles telles que la patrouille et l’application de la
loi (Brown 2006).À ce titre, le policier peut échanger de l’information avec les psycho-éducateurs et les enseignants afin de documenter le
dossier d’un jeune en difficulté, effectuer des visites régulières dans les écoles,
être consultant pour la mise en place d’une activité parascolaire et contribuer à
l’implantation de programmes de prévention plus spécifiques

policier ressources : ces policiers sont assignés en permanence à une école et à son territoire environnant. L’officier de police assigné
à l’école (School resource officer – SRO), ne portant pas l’uniforme, n’a pas
comme fonction de faire respecter les règles de l’école; il se penche sur les
comportements problématiques aux alentours de l’école, ce qui pourrait être le
signe de problèmes actuels ou futurs de délinquance. On les attribue aussi à d’autres tâches comme l’éducation de programmes tels que DARE et GREAT. (1) il applique la loi, (2) il agit comme
conseiller auprès des élèves et du personnel enseignant, et (3) il sensibilise et
informe les étudiants sur des questions relatives au travail policier, aux comportements à risque et aux responsabilités du citoyen (Griffith 1999; Burke
2001).

POlicier éducateur : Rencontrer les élèves pour les sensibiliser aux répercussions négatives d’adopter des comportements proscrits, donner des outils pour reconnaitre les situations à risque et y réagir adéquatement, développer l’appréciation de la diversité socio-culturelle.Le policier adopte ainsi le rôle d’enseignant. À ses débuts, le policier éducateur traitait essentiellement de problématiques telles que la sécurité à vélo, la
sécurité routière et la prévention de l’abus sexuel chez les enfants. Par la suite,
le contenu des programmes a été modifié et englobe dorénavant les problématiques liées à la prévention de la criminalité, la consommation de drogues

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7
Q

Peut-on conclure à l’inefficacité des programmes policiers en milieu scolaire ? Appuyer votre réponse à l’aide des éléments trouvés dans le texte.

A

Les résultats de notre synthèse systématique démontrent que les programmes policiers en milieu scolaire ne sont pas efficaces pour prévenir la délinquance et les autres comportements problématiques.

les programmes éducatifs tels que DARE et GREAT ne sont pas efficaces pour prévenir la délinquance et la consommation de drogues, mais que leur suppression n’aurait que des effets négligeables sur les comportements déviants en milieu scolaire

Les études de Hopkins et coll. (1992) et de Bazemore et coll. (2004) ne rapportent aucune baisse de la délinquance des suites de l’introduction du programme d’agent de liaison en milieu scolaire. N’améliore pas non plus les relations entre les jeunes et la police

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8
Q

Les auteurs proposent des mesures de prévention situationnelle dites « douces » (soft) afin de s’attaquer aux liens qui unissent les membres des réseaux terroristes. Les auteurs font allusion à des mesures d’aide communautaire (community outreach tactics) qui peuvent être utiles pour réduire les excuses (reducing excuses) pour commettre un crime.

Identifiez et décrivez trois exemples de mesure « soft » qui pourraient être implantées selon les auteurs.

A

For example, community policing officers can be designated to work exclusively with immigrant communities. To reach a larger constituency, ethnic radio and television as well as religious institutions and employers can be used to communicate with immigrant communities.

Police can also employ more translators and ensure that police materials are available in foreign languages.

Additionally, police officers should be trained to effectively communicate with the different elements in immigrant communities Finally, public information/awareness campaigns could reduce excuses and appeal to peoples’ consciences by highlighting the negative consequences of the illegal acts (Freilich and Chermak, 2009; von Lampe, 2010).

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9
Q

En quoi le volet analytique est important même lorsqu’on se centre sur L’intervention ?

A

Permet de mieux planifier l’intervention, de l’adapter, de la rendre plus efficace (on recense les pratiques qui fonctionne, dans quel contexte, évaluer la réceptivité du client, etc.)

bien comprendre l’effet du programme par rapport à d’autres variables explicatives potentielles.

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10
Q

6 grandes étapes à l’implantation d’un programme de prévention (5min)

A

1) l’identification du problème
- - Qui, quand, comment, pourquoi, etc. Ce sont des informations à collecter sur les délinquants, les victimes et toutes les conditions qui peuvent faciliter le passage à l’acte. Risques et besoins de la clientèle. On veut bien cerner la problématique.

  • – quelle sosn tles caractéristiques des lieux ou les délinquants et les victimes convergent. QU’est-ce qui attirent les victimes, les délinquants, pourquoi il n’y a pas de gardien ? Quel genre de contrôles sont en place ? (TRIANGLE DU CRIME
  • – se questionner sur les objectifs, les motivations du délinquants, comment il prend ces décisons, aux étapes et aux décisions du délinquant (SURTOUT) CHOIX RATIONNEL.
  • – Quels sont les crimes generators, attractors Pourquoi déolinquant et victime convergent, qu’est-ce qui est l’attrait ? (ex. : bars : bruyant, mal aménagés, etc.)

DONC, ON PREND LES THÉORIES, IDENTIFIE LES CONECPTS CENTRAUX ET COMMENT ON PEUT TROUVER DES INDICATEURS POUR LES MESURER.

BONNE ANALYSE PRÉCISE = RÉPONSE ADAPTÉE

IMPLIQUE D’AVOIR
– des bonnes habiletés pour évaluer les facteurs de risque, connaitre les bons questionnements qui les mesure, quelles activités on va devoir offrir

2) analyse des contrôles sociaux existant
- - communautés, quartiers, types de commerce. Est-ce qu’il y a des mesure mises en place pour s’attaquer au problème identifié (si on identifier quelque chose qui ne fonctionne pas, on ne le refait pas ou on adapte). On veut offrir une aide complémentaire

3) Objectifs du programme
Objectifs qui précise le type de crime spécifique et l’endroit ou la baisse devrait avoir lieu.
Objectifs clairs, spécifiques, mesurables par des questionnaires, données policières.

4) moyens du programme qui vont permettre la prévention
s,Inspirer des données probantes. Meilleures preuves scientifiques par rapport à L,efficacité d’un programme.

5) PLanifier l'IMPLANTATION 
Implique de trouver les ressources nécessaires (coordonnateurs, travail sociaux, matériel, aménagement, etc.) 
ET
qui fait quoi, à quel moment
--publicisation
-- mise en place
--évaluation

BREF, planifier les actiivtés du tout début jusqu’à la fin du programme, tout coordonner les services

IMPORTANT de miser sur L’IMPLANTATION aussi puisque dans les études on mise trop sur L’IMPACT. On veut trop docuemnter ce qui fonctionne, mas on peut passer à côté de plusieurs éléments qui sont explicatif de cet impact (surtout si l’évaluation est négative. Il faut donc être prudent. C’est là que l’éval d’Implant est importante)
Comme ça on pourra changer certaines variables de l’implantation (intensité, quartier, etc.) On pourra voir L’écart entre ce qui a été planifié et ce qui a été réellement implanté. On peut donc mieux COMPRENDRE L’IMPACT. C’est le point tournant de notre programme

6) Planification de L’ÉVALUATION (évaluation d’impact)

important de miser sur l’implantation
dans les études on mise trop sur l’impact on sait que les pratiques sont efficaces, mais on ne sait pas pourquoi. Oui évaluer l’Impact, mais SURTOUT L’IMPLANTATION. on va comparer
.

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11
Q

Quels sont les protocoles d’étude ?

A

1) protocole expérimental avec randomisation
dans les évaluations in met bcp L,emphase sur l’impact et la validité interne (intervention elle-même créer un changement et non des circonstances externes, capacité à dire que l’effet observé est bel et bien dû au proramme de prévention.
2) protocole quasi-expérimental (sans randomisation)
3) protocole non-expérimental (pas nécessairemnet mauvais, mais plus difficile d’évaluer l’effet réel du programme

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12
Q

protocole randomisé est basé sur 3 grands principes, quels sont-ils ?

A

1) quad on fait de l’évaluation il faut distribuer de façon aléatoire les unités d’analyse (Segments de rue, station de métro, individus) dans les groupes témoins et expérimental. MAIS se fait mieux avec des individus
2) permet de contrôler l’effet des tierces variables et des causes inconnues par la randomisation des unités d’analyse (pas besoin de faire des manipulations statistiques). Les effets des variables seront le smêmes dans les deux groupes
3) on s’assure que l’effet observé est réellement attribuable à l’intervention.

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13
Q

pourquoi est-ec qu’un protocole avec randomisation est difficile à mettre en place ?

A
  • coûteux
  • demande des experts en protocole de randomisation
  • ouverture des partenaires (plusieurs trouvent insensé de ne pas donner de service à des personnes qui en ont de besoin. MAis c’est nécessaire pour bine l’évaluer comme il faut avant de l’offrir à plus long terme.
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14
Q

Expliquez le protocole quasi-expérimental ?

A

Groupe témoin et groupe expérimental, mais non randomisée.

PROBLÈME : groupe non équivalent

DONC,
Contrôle statistiques des variables tierces a poesteriori
Le groupe témon serait créer à posteriori aussi.

MALGRÉ TOUT,

impossible de contrôler pour toutes les variables, impossible de s’assurer de contrôler pour les facteurs inconnus.

BREF, L’effet n’est peut-être pas entièrement dû au programme (aussi : manipulation stats, contrôle stats, etc.)
ON essaie de reproduire les conditions expérimentales, mais ce n’est jamais parfait.

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15
Q

Décrivez le protocole non-expérimental

A

pas de groupes expérimental ou témoin. Parfois, on a juste une comparaison avant ou après, mais sans groupe témoin.

.

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16
Q

Sauf que, quel objectif est unique à tous les protocoles de recherche ?

A

On veut s’assurer d’une bonne validité interne, c’est-à-dire que X «cause» Y.
et d’écarter les hypothèses alternatives (est-ce que c’est bien mon programme qui a fait l,effet.

Si manque de validité interne, quatre autres types de validités : L’idéal est de mobiliser les 5 types de validités, mais RAREMENT FAISABLE.

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17
Q

Quelles sont les solutions si impossibilité d’avoir un protocole expérimental ?

A

Si manque de validité interne, quatre autres types de validités : L’idéal est de mobiliser les 5 types de validités, mais RAREMENT FAISABLE.

Trianguler différentes sources de données : questionnaires, données policières,

Documenter l’ensemble des étapts de l’intervention à l’aide d’un modèle explicatif (modèle logique).

Mener une analyse contributive.

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18
Q

qu’est-ce que l’analyse contributive ?

A

consiste à se pencher sur l’Implantaion et les actiivtés qui sont offertes et tous les processus de changements impliqués *processus qui mènent aux résultats (ex. Connaissances et attitudes ont changés)

au lieu de miser sur la validité interne on aborde d’autres types de validité.

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19
Q

quels sont les autres types de validité ?

A
  • validité de construit : écart entre ce qui est planifié au départ et ce qui est implanté (on s,Intéresse à comment il est conçu, quelles actiivtés sont proposées et s’assurer que toutes les activités sont données).
  • Validité descriptive : transparence, c’est-à-dire est-ce qu’on donne toutes l’information au lecteur pour qu’il apprécie les conclusions de la démarche (contexte d’implantation, taille de l’échantillon, test statistique, taux abandon, comment les participants ont été distribué)
  • Validité quant aux conclusions statistiques : il faut respecter les postulats statistiques (normalement distribués, sinon test non-paramétriques). On peut donc avoir une très grande validité interne, mais chaque étude a besoin d’Analyse statistiques et on peut donc avoir le meilleur devis possible, mais si on viole les postulats statistiques, notre validité en prend un coup.
  • validité externe : est-ce qu’on peut extrapoler les résultats à d’autres situations.
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20
Q

quelle était la préoccupation derrière le programme «unité sans violence» ?

A

Préoccupation face à la montée de la violence chez les jeunes et de ses conséquences
Efficacité des méthodes disciplinaires traditionnelles remise en question
Sentiment d’insécurité : gangs et fusillades

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21
Q

l’unité sans violence visait à changer le paradigme guidant l’intervention. Quel était ce changement théorique ?

A

Insipiré de l’approche écologique (École et son environnement scolaire). Chaque école, selon certaines caractérsitiques, vont amener des contextes plus ou moins favorables à la violence

Au lieu d’utiliser la sensibilisation, on voulait utiliser le triangle du crime, favoriser l,action des gardiens (s’interposer ou dénoncer). Il ne faut pas tolérer la violence, s’interposer au besoin sinon on dénonce.

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22
Q

quelles étaient les stats descriptives

A

Multiethniques (donc si la police leur ensiegne, peuvent avoir appris à craindre la police donc pour â que ça fonctionne pas), défavorisation sociale à 9,23 sur 10.

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23
Q

quelles furent les démarches effectuées ?

A

Sondage «papier-crayon» de délinquance et victimisation dans 20 écoles (13 pour la présentation)
Élèves de 5 et 6 années (9-13 ans).
2 administrations : octobre 2008 et mai 2009.
Questions à choix multiples (1 = jamais à 4 = plusieurs fois par semaine) (période fenêtre = dernier mois).
Indices: violence, sentiment de sécurité, comportement de dénonciation et perception de la police.
Comparaison avant et après.

Bcp de petites variations (ex. : violence physique passant de 1,38 à 1,34), mais est-ce qu’elle sont significatives ? Il faut se rappeler que L’échelle allait de 1 à 4 et c’étiat déjà pas. DOnc on le fait presque jamais à 1,38 donc cela ne peut pas baisser beaucoup. Parfois si on a 1,11 on pourrait s’attendre maximialemnet à une baisse de 10%, soit -0,11

BREF, l’effet n’est pas nécessairement trivial, mais bien que le problème n’était pas très important et que les retombés préventives ne pouvaient être que modestes

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24
Q

Bref, durant le programme unité sans violence qu’est-ce qui s’est passé ?

A

La perception favorable à la police a augmenté (doc plus réceptif au message transmis, s’est traduit apr des infos plus marquées des témoins et donc baisse des risques d’être victime de violence physqiue.

DEUX EFFETS PRINCIPALEMENT OBSERVÉS :

1) baisse de la victimisation villente (physique)
2) baisse de la perception de la sévérité de la violence
3) appréciaiton de la police
4) plus d’interventions

Le schéma nous permet donc de synthétiser l’ensemble de l’Évalution en mettant l’emphase sur les processus observés et les impacts.

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25
Q

Pourquoi on pourrait se tromper en disant que le rpogramme unité sans violence n’est pas efficace ?

A

C’tait en milieu défavorisé, multiethnique

le TYPE DE PROGRAMME peut être efficace sans que le programme tel qu’il est ait été efficace.

On pourrait changer bcp de variables. Il faudrait au moins une dizaine d’évaluation pour déterminer si un TYPE DE PROGRAMME EST EFFICACE.

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26
Q

VALIDITÉ EXTERNE DES PROGRAMME.

Malgré une implantation à la lettre, un design efficace, quel est le problème qui peut survenir ?

A

Cela ne veut quand même pas dire que le programme va montrer ses effets dans tous les contextes et aurpès de tous les types de population

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27
Q

Donc à la lumière d’une évaluation, qu’est-ce qu’on peut se poser comme questions ?

A
  • qu’est-ce qui fonctionne ?
  • — Le programme ou en plus il prend des intervenants qualifiés, une motivation à changer. Groupe d’individus était motivé à changer
  • —- DONC, est-ce que le type de programme fonctionne et est efficace.

BREF, on veut savoir comment in synthétise les effets des programmes afin de conclure sur l’efficacité générale d’un type de programme ? (efficace = si on est capable d’établir un lien de cause à effet entre l’intervention et les effets observés)

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28
Q

à partir de quoi je me base pour dire qu’un programme a une bonne validité externe ?

A

Il y a de L’inférence causale

propriétés du programme (interventions ou activités menées)
clientèle visée

est-ce que je peux généraliser les résultats à d’autres populations ou contextes similaires.

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29
Q

Quels sont les principes de l’inférence causale ?

A

BREF, on DOIT DISCUTER DE CES ÉLÉMENTS AFIN DE POUVOIR DIRE QU’UN PROGRAMME PRODUIT UN EFFET SUR UN INDICATEUR DE LA CRIMINALITÉ OU UN INDICATEUR DE LA DÉLINQUANCE.

1) similarité entre les effets d’un stimulus (programme, mesures mises en place) appliqué à plusieurs populations IMPORTANT

    • définir précisément le type de programme auquel on s’Intéresse.
    • est-ce qu’il y a des effets différents en fonction des variations dans notre population. (ex. : garçon et les filles); Indice de défavorisation. Si on s’intéresse à une pop. en particulier il faut justifier pourquoi.
    • à la base, il faut documenter quels sont les effets que je veux voir (quels types d’effets ? :(attitudes, comportements, habiletés)

2) identifier les caractéristiques qui n’influent pas sur le résultat

3) identifier les caractéristiques qui influent sur le résultat
- - Ex. : rappeler souvent le message, jumeler les moyens de prévention.

BREF, à la lumière des connaissance, est-ce qu’il y a des programmes qui fonctionnent pour tout le modne et sinon dans certains contextes, certaines clientèle et lorsqu’on investit suffisamenet de ressource,

4) interpolation; extrapolation
Borne à L’intérieur de laquelle les résultats peuvent être généralisés.

ex. : entre 30% et 80% de résidences qui participent on peut estimer le nombre de vols dans le quartier. Par contre, si moins de 30% participent et si plus de 80% participent on ne sait pas ce que ça va donner. On prend ces effets en fonction des autres études recensées. Si c’est entre 30% et 80% on ne peut pas interpoler non plus. Bref, extrapolation je ne peux pas prédire à L,extérieur des bornes. L’interpolation c’est entre les bornes déterminées. Il faut vraiment être prudent. On ne peut répondre que : si tant participe alors tel résulats, si tant participe, tel autre résultat. Les données laissent présager que…, mais sans plus.

POURQUOI ON NE PEUT LE FAIRE ? : trop difficile d’interpoler et d’extrapoler si pas une relaito linéaire parfaite. On ne peut savoir comme les unités d’analyses vont se comporter.

5) explication causale (lorsqu’on on observe un effet entre notre programme de prévention et le taux de criminalité, on va pouvoir l’expliquer)
donner un sens aux résultats à travers une série de proposition et mettre à l’épreuve les théories (un programme basé sur telle théorie fonctionne, mais pas d’autres). Il faut expliquer l’effet du programme sur les indicateurs de la délinquance. plus on collecte d’info plus on peut donner un sens aux résultats

BREF, on DOIT DISCUTER DE CES ÉLÉMENTS AFIN DE POUVOIR DIRE QU’UN PROGRAMME PRODUIT UN EFFET SUR UN INDICATEUR DE LA CRIMINALITÉ OU UN INDICATEUR DE LA DÉLINQUANCE.

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30
Q

Comment fait-on pour documenter ces cinq principes de l’inférence causale appliquée à la validité externe ? Trois stratégies.

A

1) reproduction
- on va mettre un programme en place à qqpart et résultats positifs.
- on va suivre les mêmes paramètres pour le reproduire ailleurs. (ex. : L’expérience de Minneapolis
- Les résultats n,ont pas été les mêmes (pas de changement ou hausse de la récidive)

Problème : Quand les résultats sont contradictoires, cela vient difficile à expliquer
— on est pas capable de répondre à la question sur , caractéristiques qui influent ou influent pas, la question de la puissance statistiques (échantillon assez grand pour détecter des différences significatives)

2) synthèse systématique, méta-analyse

Pourquoi c’est bon ?
- pose un regard épidémiologique sur les sections d ela méthodologie et des résultats d’une population spécifique d’études afin d,arriver à un concensus sur un terme de recherche.

— est-ce que ça fonctionne, fonctionne pas ou même effet pervers.

— on va calculer les effets moyens de l’intervention. On regroupe les évaluations et est-ce que globalement ça fonctionne. Il faut respecter les POSTULATS DE L’INFÉRENCE CAUSALE. Il faut tenir compte des caractéristique de L’étude (métho, caractéristiques de la population)

    • doit aussi faire PREUVE D’UNE GRANDE TRANSPARENCE
  • —- Avoir es objectifs claires, critères d’inclusion, exclusion clairs. une autre équipe devrait pouvoir reproduire nos résultats, comment on a codifié les données, comment on a analysé les résultats.

DONC, au lieu de fair eun test de moyenne sur un échantillon d’individus, l’échantillon ce sont les études. Le résultat c’est l’effet produit (variable dépendante)

3) approche multi-site (Difficile à faire)

  • Permet de garantir l’homogénéité du protocole de recherche et du traitement entre les sites tout en augmentant la puissance statistique des analyses
  • Même groupe de recherche chapeaute l’évaluation dans les villes qui facilite le respect du protocole.
  • pourquoi la puissance statistique : on regroupe nos recherches puisque protocole très similaire ou identique alors on peut calculer un effet général du programme (ex: passe de 300 appels à 3000 appels).
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31
Q

Quelles sont les 8 sections d’une méta-analyse ou synthèse systématique

A

1) question de recherche, objectif, rencension des écrits
2) identifier critères inclusion, exclusion
3) stratégies de repérage des études
4) sur quelle base on a inclut ou exclut les études
5) évaluation de la qualité des études (devis utilisé)
6) extraire les données pertinentes *(échantillon, résulats)
7) analyser présenter les résultats
8) interprétation des résultats (donner sens à nos résultats : quelle théorie on appuie, etc.)

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32
Q

est-ce que seulement les articles de recherches peuvent permettre de faire de la synthèse systématique ?

A

Non, cela peut certainement être fait à partir de la littérature grise, rapport de reccherche. Il faut ÉVITER LES BIAIS DE PUBLICATION.

il faut trouver le maximum d’Étude possible.

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33
Q

quel était le but de l’étude de la recension ?

A

trouver les effets des programmes sur la délinquance ou d’autres comportements problématiques et qu ele policier soit un acteur central pas un programme d’intervention cognitivo-comportemental ou le policier était rencontré une fois. On voulait un programme ou le policier devait être en charge du curriculum. Ils ont surtout fait la synthèse sur les agents de liaison et policiers ressources.

Programme dans l’école

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34
Q

quels sont les deux programmes enseignés par les policiers Éducateurs ?

A

DARE : drug abuse resistance education

— DANS LES DEUX PROGRAMMES, on rencontre les jeunes on leur parle de l’importance d’avoir rune forte d’estime d’eux-memes, conséquences reliées à la consommation de drogues, que pas besoin de drogues pour être apprécié

GREAT : gang resistance education and training

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35
Q

quel est la règle de Sherman (1997) pour qualifier l’effet des programmes ?

A

1) deux études avec uns core de 3 et plus à l’échelle métho, résultats favorables (baisse des indicateurs de criminalité ou de délinquance; meilleurs attitudes, comportements, habiletés) : programme efficace.
2) une étude avec un score de 3 et plus, résualtst favorables : programme prometteur (beosin d’Autres études)
3) deux études de 3 et plus, résultats négatifs ou nulles. Programmes inefficace

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36
Q

3 types d’effets des programmes

A

1) effets des programmes impliquant policier ressources
2) impliquant des agents de liaisons
3) effets des programmes et résultats à L’échelle de rigueur méthodologique

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37
Q

bref, est-ce que ces programmes ont eu un effet sur la délinquance ?

A

Aucun effet sur la délinquance, pas de changementrs au niveau des nouveaux contacts et la sévérité perçue du crime

effet potentiellemetn pervers sur la perception de la police.

Effet non concluant sur les facteurs de risque.

38
Q

concernant les devis, est-ce que cela peut influencer les résultats ? EXAMEN

A

Généralement, plus les devis sont robustes et plus les résultats sont conservateurs. Plus on contrôle pour les facteurs confondants et plus les résultats sont conservateurs.

39
Q

quels sont les avantages de la synthèse systématique ?

A

1) Permet d’identifier les stratégies efficaces qui ont fait l’objet d’une synthèse (considérer les synthèses systématique comme des études empiriques (pour chaque type de mesure,il y a normalement une synthèse systématique)
2) permet ausis de comparer des synthèses à travers le temps (ou à travers les critères d’inclusions, exclusion)
3)

40
Q

est-ce que lorsque apparaissent de nouvelles problématiques, il faut mettre de côté les approches traditionnelles de prévention ?

A

Non, il est seulement nécessaire d’adapter les théories traditionnelles en fonciton des nouveaux phénomènes.

41
Q

En quoi mal définir ce qu’est le terrorisme est ensuite problèmatique pour élaborer des mesures de prévention ?

A

Lorsqu’on définit mal le problème, il est plus compliqué de bien trouver les causes, les facteurs de risques et ensutie élaborer des mesures venant renverser ces facteurs. alors les mesures ne seront pas efficace

42
Q

Quelle est la définition du terrorisme de l’onu et quels sont les problèmes avec cette définition ?

A

Toute acte ocmmis dans l’intention de causer la mort ou des blessures graves à des civils ou à des non-combattants lorsque l’Objectif de cet acte est de par sa nature ou son contexte vise à intimider une population ou de contraindre un gouv ou une organisation internationale à accomplir un acte ou à s’abstenir de le faire. (DÉFINITION INTEMPORELLE)

43
Q

bien que la définition de l’ONU soit intemporelle, certains disent que le nouveau terrorisme a changé à partir du 11 septembre mais aussi dans les années 1990. Comment le définit-on à partir de la?

A
  • motivations religieuses
  • utilisation excesssive de la violence
  • utilisation d’armes de destruction massive
  • indépendance des nouveaux groupes par rapport à L’état (partis indépendant, organisation privée maintenant)
  • nouvelle structure de réseaux, décentralisée favorisées par les technologies de la communication.
44
Q

on a évalué des facetusr qui pourrait être reliés à l’émergence du nouveau terrorisme ? QUels sont-ils et quelle est leur influence ?

A
  • Aucune hypothèse n’est confirmée
  • – augmentation des technologies de la communication
  • – globalisation, augmentation des inégalités
  • —chute du bloc soviétique

TRÈS PEU DE PREUVES EMPIRIQUES ,ais important d’en avoir parce qu’on élabore nos mesures de préveniton à partir des causes et la forme que ça prend. (ex. : armes de destructions massives, il faut s,Intéresser à ces facilitateurs).

45
Q

que disent les synthèses systématiques des mesures de prévention tu terrorisme ?

A

beaucoup de mesures misent en place pour s’attaquer aux terrorisme, près de 20 000 publications (bcp plus depuis le 11 septembre)

MAIS

3-4% seulement sont basées sur résultats quantitatifs, empirique.

seulement 21 étudie la relation entre le programme de prévention et les résultats (ex. : pourcentage de personne qui se déradicalise)

seulement 7 études satisfaisantes (avec au moins un devis quasi-expérimental)

6 catégories de mesures

  • durcissement de la cible
  • — protection des ambassades et des diplomates (aucun effet : que ce soit clôture, caméra, registre des visiteurs)
  • dissuasion; neutralisation
  • — Peines plus sévères (augmenter la peine minimale : aucun impact si on augmente la durée d’Incarcération)
  • changements de politiques
  • — Résolutions de l’ONU (associée à une BAISSE DES ATTAQUES)
  • Contre-attaque militaire
  • — Aucun impact positif même un effet NÉGATIF

Changement politique : aucun effet .

LA MESURE LA PLUS DOCUMENTÉE :

  • détection des armes dans les aéroports
  • — baisse des détournements d’avions rapportés
  • —— mais hausse des attaques visant d’autres cibles.

BREF, prévenir le terrorisme est plus complexe qu’on le pense.

46
Q

qu’est-ce qu’on peut conclure sur les mesures visant à dissuader le terrorisme (et donc le prévenir par le fait-même). Y a-t-il des incertitudes quant à ces mesures si oui lesquelles ?

A

peu d’effets sur les attaques terroristes.

INCERTITUDES :

beaucoup de mesures misent en place pour s’attaquer aux terrorisme, près de 20 000 publications (bcp plus depuis le 11 septembre)

MAIS

3-4% seulement sont basées sur résultats quantitatifs, empirique.

seulement 21 étudie la relation entre le programme de prévention et les résultats (ex. : pourcentage de personne qui se déradicalise)

seulement 7 études satisfaisantes (avec au moins un devis quasi-expérimental)

NÉCESSITÉ de continuer les études sur les programmes de prévention, mais aussi sur les facteurs associés au terrorisme. Il faudra diversifier les mesures et les évaluations et ainsi se questionner su rles principes à la base des mesures de prévention au lieu d’exagérer les théories (telle que la dissuasion) et des mesures qui se basent sur un cas unique.

47
Q

En quoi consiste la justice procédurale et ces principes ? quels sont les principes de justice procédurale ? Quel est le lien avec les mesures de prévention du terrorisme ? (EXAMEN)

A

Ce sont des éléments qu,Il faut intégrer à toute politqiue à dimension dissuasive si on veut en assurer le succès ? Dissuasion peut fonctionner mais il faut ces principes c’est ce que la littérature nous dit.

1) la voix
- - possiiblité aux citoyens de s’exprimer sur la politique mise en place. Parce que si on pense qu’il peut y avoir des impacts importants sur nous on va s’y opposer et ne pas la respecter
2) neutralité et transparence : on doit se baser sur des faits établis, ne pas être discriminatoire et mettre ses biais et ses perceptions de côté. Il faut aussi rendre des comptes et s,assurer d’être responsable
3) respect : on doit traiter avec dignité les gens. Minimum de force en fonction du contexte donnée
4) confiance : sentiment de la population que l’état agit pour leur bien être et leur intérêt.

POURQUOI C’EST IMPORTANT ?

Si on est capable d’intégrer ces 4 concepts à nos programmes de prévention on évite la révolte et les débordements. Sinon, la mesure pourrait être contestée à cause de la privation de droit et de liberté

48
Q

En somme, qu’est-ce qui manque dans la littérature sur le terrorisme ?

A
  • très pei de mesures de prises en charge soit ce qui se passe avant ou après les attaques
  • très peu de mesures qui cible les facilitateurs (avant, pendant, après). les attenttats sont souvent fait avec des facilitateurs ou les cibles tels que des véhicule sou armes à feu
  • très peu de mesures qui visent l’environnement physique, très peu aménagé.
  • très peu d’évaluations et de bonnes description sur les programmes des anciens combattants
  • beaucoup d’emphase sur l’individu (déradicalisaiton), mais pas assez sur cibles, outils, retours d’anciens combattants.
49
Q

Qu’est-ce que la radicalisation ?

A

Processus selon lequel la personne adopte un système de croyances extrême comprenant la volonté d’utiliser, d’encourager ou de faciliter la violence en vue de faire triompher une idéologie, une cause ou un moyen de transformation social.

50
Q

au niveau des modèles décrivant la radicalisaiton, quels sont le ou les problèmes concernant ces schématisation ?

A
  • les facteurs de risque sont ambigues (peuvent ressembler à des facteurs de la dépression). Donc pas assez spécifique
  • on élabore des modèles étendues complexes alors que généralemnet les facteurs de risques et de protection sont assez comparables aux autres types de criminalités c’est-à-dire la vulnérabilité sociale, la précarité du lien intra-famillial. Ces facteurs se développent déjà à la petite enfance et peuvent mener à des comportemetns déviant

BREF, pour prévenir le terrorisme on a pas nécessaierment besoin de nouveaux modèles. Si on sa,ttaque aux facteurs de risques à l’enfance, adolescence on pourrait prévenir les comportements anti-sociaux. On a pas encore une idée précise de quels comportements on va prévenir

COMMENT ON LES A DÉVELOPPÉ ?
Des études de cas majoritairement. Donc très peu de cas. Pensons à la POlice de New-York qui avait développé un modèle de radicalisation avec 2-3 cas.

de plus, il faut étudier des gens radicalisés, non-radicalisés et il faut isoler les facteurs qui sont différents. Parce qu’on peut tous être exposé à des problèmes de«manque de vivre-ensemble» mais on ne se radicalise pas quand même.

51
Q

En résumé, quelles sont les deux critiques que l’on pourrait adresser aux modèle de radicalisation ?

A

1- quelle est la valeur empirique de ce modèle ? fActeurs de risque mal documentés
2-a-t-on vraiment besoin d’Un modèle spécifique alors que les modèles explicatifs de la délinquance serait probablement suffisants et adaptable. C’est comme la délinquance sexuelle. On pense qu’ils sont très différents mais les processus développementaux sont similaires. ON partage les mêmes caractéristiques d’autres types de délinquants.

52
Q

décrivez le programme Anhrus au danemark qui a une approche plus communautaire.

A

C,est une approche communautaire étant donné qu’on prend en charge un individu et qu’on lui offre des services. On développe des protocoles alors que la personne est détectée comme étant en train de se radicaliser, il y a un prise en charge à ce niveau. Ensuite, comment on la suit dans la communauté.

  • AVANT : centre ou on organise les services et on reçoit les appels (appels de citoyen)
  • — le centre analyse la demande et on détermine la réelle menace
  • — si nécessaire une équipe d’intervention est envoyée et on évalue la situation pour déterminer les meilleurs services. On en fait la recommandation aux services de polices et services sociaux. Si la recommandation est crédible, la personne va être invitée à participer au programme

PENDANT :

  • ondéveloppe une entente et un engagement et on vise à donner des services pour atteindre cette demande
  • mentor est assigné et on reçcoit des services (psychothérapie, santé mentale, médicaitons, aide emploi, aide logement)

APRÈS :
- suivi effectuée après la sortie du centre (contacter les proches voir le progrès

53
Q

le programme arhus a-t-il été bien évalué ?

A
  • évaluation descriptives peu empirique.
  • pas de données sur l’implantation
  • pas de données sur les indicateurs liés à la radicalisation

DOnc difficile de se prononcer.

54
Q

que visent les programmes d’éducation ? Comment on a mis en place ces programmes ?

A

Visent à intervenir avant le processus de changement .
puisque les jeunes se font souvent entraîner dans une processus de politisation. On adhère à des croyances des idéologies. On doit donner des activités pour résister à ces discours.

  • éduquer les jeunes pour limiter la vision tranchée qu’ont les jeunes pour complexifier la pensée

Ona fait ça avec des forums et des séances de discussions bâties avec des trousses pédagogiques

55
Q

est-ce que les programmes d’éducation sont efficaces ?

A

Difficile de se prononcer puisque on ne peut pas les évaluer. Prend place à long terme.

  • De toute façon, si on a quelques heures à peine de sécances alors que le message radicalisant est toutjours rappelés ce sera difficile.
56
Q

POurquoi peut-on penser que la préveniton situationnelle sera efficace même pour le terrorisme ?

A
  • il y a aussi un calcul coûts bénéfices, elle a des motivations particulières. crime souvent commis pour les mêmes raisons que les autres types de criminalités : pression des pairs, désir de reconnaissance et de prestige, recherche de sensation
  • La détermination n’est pas si accrue
  • la planification n’est pas tellement plus complexe. ON PEUT AUSSI PROFITER D’UNE OPPORTUNITÉ CRIMINELLE.
  • Le financement du crime est pas toujours nécessaire. Beaucoup d,actes terroriste peuvent être très modestes.

BREF, il faut déconstruire les idées qu’on a du terrrorisme et montrer en quoi ce crime se base aussi BEAUCOUP sur des opportunités criminelles.

57
Q

IMPORTANT : quels sont les 4 pilliers d’opportunités criminelles en terrorisme ?

A

DONC NOS QUATRES PILLIERS SONT :

1) cibles
2) armes
3) outils
4) autres conditions facilitantes

qui sont crées par : l’aménement de l’environnement physique, l’accès aux technologie, le système de gouvernement et le système privée. Ces facteurs peuvent alors faciliter la commission d,actes terroristes.

58
Q

Nommez quelques motivations du terrorisme recensées par clarke et newman formant l’acronyme.

Il faut se rappelez que bénéfices sont intrinsèquement reliées aux motivations et donc amoindrir les bénéfices vient à aussi limiter la motivation

A
  • destruction et dommage
  • créer climat de peur
  • sensationnalisme dans les médias
  • perturber une activité spécfiqiue
  • perturber le commerce
  • intimider la population locale.

identifier les motivations permet de déterminer ausis quels cibles ils seront intéressé à prendre et donc prioriser les ressources. C’EST FONDAMENTAL.

59
Q

qu’est-ce qu’une bonne cible en matière de terrorisme (tout dépendant la motivation)

A
  • cible vitale
  • icone, symbole
  • cible possible de détruire
  • cible occuppée
  • cible facile et pas trop de protection.
60
Q

quels genre d,armes les terroristes recherchent ?

A
  • armes multi-usages (précis et beaucoup de dommages
  • dissimulables
  • transportables, légères
  • destructrives
  • agréables (facilité d’utiliser)
  • fiable
  • facile à obtenir
  • sécuritaire
61
Q

quels sont les outils en terrorisme ?

A
  • cellualire
  • voirture, camion
  • argent et carte de crédits,
  • faux documents (faux passeports)
62
Q

quellles sont les conditions facilitantes ?

A
  • failes dans le ssytèmes (instances de surveillances non-qualifiées)
    -lois criminogènes (puvoir limité de saisie des produits de la criminalit, système de justice ou le blanchiemnt n’est pas criminalisé, lois rigides sur le système bancaires)
  • ## produit criminogènes
63
Q

quel est le script du terrorisme (attentat à la bombe) ?

A

1) trouver un lieu sûr pour les opérations
2) identifier les cibles
3) sélectionner les personnes qui vont commettre l’attentat
4) identifier le lieu ou la détonation va se faire
5) préciser l’ininétaire jusqu’au lieu (aprfois on veut éviter certains contrôles)
6) snetiment d’appartenance dans le groupe (pour éviter le désistement)
7) éduquer, former (ex. amorcer la bombe, la faire exploser au bon oment
8) préparer la propagande et renforcer l’engagement dans le groupe (on veut en plus de créer des dégâts, on veut recruter et lancer une message)
9) envoyer le kamikaze
10 à) rejoint le lieu
11) revendiquer l’attentat
12) faire un retour sur l’opération et planifier une nouvelle attaque

BREF, on reprend chque étape et on essaie de cibler des mesures pertinentes à chaque étape.

64
Q

en quoi les scripts sont particulièrement utile quand à l’Élaboration de mesures de prévention ?

A

Les scripts nous donnent des outils intéressants pour visualiser le processus criminel, d’améliorer la réflexion et ainsi proposer des mesures adaptées.

65
Q

En quelle année la méthode des scripts a-t-elle été introduite et par qui ?

A

en 1994, par derek cornish. Il voulait offrir un cadre de référence pour les préventionnistes pour les aider à proposer des mesures de prévention dans tous le PROCESSUS DE PASSAGE À L’ACTE.

66
Q

quelle réflexion cornish a-t-il eu avant d’élaborer cette méthode ?

A

sur quoi ce baser pour proposer des mesures de prévention ? Oui, augmenter l’effort que le criminel doit donner est bien, mais par rapport à quoi et à quel moment (quelles actions fait-il ?)

67
Q

quels sont les 6 grands principes de l,approche des scripts ?

A

1) dotons les personnes qui travaillent dans le milieu de la prévention d’un cadre de référence (cadre procédural). S’ils ont un meilleru cadre cela va favoriser la réflexion sur les mesures de prévention
2) distinguer et lier une forme particulière de crime avec ses déclinaisons (plusieurs façons de réaliser un crime et donc implique des mesures de prévention différentes)
3) élaborer le processus de passage à l’acte et les éléments constituants (co-délinquants, victimes, gardiens, environnement physique, contexte, éléments facilitants). ainsi que la séquence d’action du délinquant pour parvenir à ses fins. Vise à ce chaque acteur puisse avoir des pistes de réflexions lors de l’Élaboration des mesures (ex. : un architecte se concentrera sur l’environnement physique). Permettra aussi de déterminer des Intervetions possibles à des moments bien précis. Certaines étapes sont aussi assez cruciales donc avec la réalité des budgets limités, si on fait des interventions ciblées, mais efficace c’est encore mieux.
4) Parfois un crime est ncéessaire pour en commettre un autre, il est important de bien cibler ces liens afin d’agir sur le premier crime et ainsi prévenir le deuxième (ex. : voler un véhicule pour prévenir un vol de banques). Certains crimes sont complexes.
5) Les scripts nous permettent de comprendre l’adaptation des délinquants. Leur changements stratégiques sont important dans l’élaboration d’une variété de mesures. Cela nous permet de comprendre l’effet des obstacles qu’on a mit sur le délinquant ou tout simplement de prévoir les réajustements qu’il peut faire en cas d’erreur. Permet de mettre en place la CONTRE-PRÉVENTION. Les crimes sont TRÈS ROUTINIERES en fonction de nos attentes, de notre expérience, il faut alors prendre ça en compte. SI on change la routine du délinquant, il y a des chances qu’il abandonne son projet criminel.
6) comprendre le processus décisionnel du délinquant est une contribution importante à l’approche du choix rationnel (quels éléments il considère dans son choix)

68
Q

Quelle est la contribution de Goffman à l’étude des scripts ?

A

Goffman affirme que l’être humain est en quelque sorte un acteur qui se comporte différement dans différents contextes afin de parvenir à un dénouement favorable ou atteindre différents objectifs. Il s’agit en quelque sorte des bases de l’étude des scripts relationnels.

On part du principe que le monde dans lequel on évolue est complexe et que les scripts nous permettent de réduire l’information nécessaire et pouvoir se mouvoir dans ce monde complexe. ON a des interactions «préétablies» en fonction de la situation. Ex: arriver à un endroit et se présenter aux gens, serrer les mains. Repartir en saluant les gens. c’est ce qu’on appel les scripts interpersonnels ou relationnels.

BREF, la criminalité reste aussi un phénomène humain aussi et donc les mécanismes humains sont aussi valides, c’est-à-dire l’importance des séquences d’actions habituelles. Il y a aussi plusiurs actions routinières à poser lorsqu’on va au restaurant et chacune d’elle a un lien causal avec l’autre. C’est la même chose pour la criminalité.

69
Q

quels sont les parralèles à l’approche de santé publique, matrice de Hadon ?

A

Prend en considérations avant, pendant, après qui s’Intéressent au éléments consituants du crime et on peut aussi proposer des mesures sur chacun de ces éléments constituants. Une fois avoir fait un bon scripts, on peut certainement proposer des mesures pour la matrice.

70
Q

qu’est-ce que l’approche inductive en construction de scripts ?

A

c’est prendre, par exemple, tous les rapports policiers d’une problémaitque et chaque rapport représente un script en soi. On va alors réaliser plusieurs scripts, parfois une dizaine. On veut alors trouver des points communs entre les scripts. On part alors vers le bas, un cas, un autre, un autre pour ensuite recouper et faire ressortir les généralités.

ON peut mettre les cas réussis ensemble, cas échoué ensemble

71
Q

quelle est la meilleure source de données dans l’étude des scripts ?

A

Le délinquant lui-même qui a vraiment la clé vers le script complet (plutôt facile de les faire parler surtout s’ils ont réussis.

72
Q

quelles sont les autres sources de données pour construire les scripts autre que le délinquant ?

A
  • rencontrer des experts
  • tous les documents officiels (cour, rapport de police à l’aide de la DUC deux, rapport d’événements (pour compléter les infos obtenues de la DUC deux sur le contexte.
73
Q

quel est le script de la production de drogues ?

A

Avant

1) trouver un laboratoire clandestin
2) acheter les produits
3) entreposer les produits au laboratoire
Clairement, si on manque la première étape, impossibilité de mener à bien les deux autres

Pendant (passage à l,acte)

4) cuisiner la drogue
5) emballer le produit
6) distribuer le produit.

après
7) profiter des gains

& étapes qui sont centrales pour produire de la drogue de synthèse dans les labos clandestins. Pour chaque étape, il faut documenter OU c’est fait, LES ACTEURS, qui sont présents, LES PRODUITS UTILISÉS.

Quelles seraient donc les mesures proposées au script précédent ?

  • rendre les produits chimiques inutiles pour la prodution de drogues,
  • formation des caissiers
  • limiter l’achat de certains produits (ne pas oublier celles en ligne)
74
Q

quelle est l’importance d’étudier le script de la victime ?

A

Afin de renforcer la «cible», il faut aussi comprendre ces actions. Si on veut avoir un plan complet cohérent avec le triangle de la criminalité, il faut aussi s’intéresser à la vicitime.

75
Q

qu’est-ce que sont les permutations ?

A

Les permutations sont une autre façon de réaliser les étapes centrales d’un crime. C’est une réponse à une mesure de prévention, un changement dans les actions que l’on doit poser. (ex. ajouter un co-délinquant puisque la méthode est maitenant plus complexe)

bien entendu, il y a une certaine routinisation des crimes comme on l’a vu, le délinquant planifie son script en anticipant certaines choses. Sauf que parfois, il se présentera des obstacles volontairement mis en place par des mesures de prévention ou involontairement présent. le délinquant devra S’AJUSTER et son script doit donc faire preuve de FLEXIBILITÉ

76
Q

bien que les délinquants peuvnet s’adapter aux scripts et qu’il y ait du déplacement, qu’est-ce que les études sur le déplacement ont conclu ? 7

A
  • pas toujours suivi de déplacement

- généralement, les bénéfices dépassent les désavantages du déplacement

77
Q

5 exemples de manifestation de permutation.

A

1) maximiser les chances de réussites (déliunquant gagnent en expérience, s’adapte. Ex. : délinquants voient les pancartes disant de faire attention à son portefeuille. donc, attendent que les gens regardent s’ils ont leur portefeuille donc on le localise et on passe à l’action après
2) maximiser les gains : on pourrait tirer plus de profits des crimes que l’on commet. En prévention, plus on connait les motivations mieux on peut prévenir en agissant sur ces motivs
3) multiplier les sources de revenus ou de bénéfices (plus argent ou plus de plaisir, etc.)
4) crime réalisé pour en compléter un autre. (il faut regarder les rapports d’événements afin de les lier)
5) élaboration de crimes complexes (ex. :blanchiment d’argent) CHaque script se développe de façon un peu isolé mais mène au même crime final

BREF, les délinquants s’adaptent et ont plusieurs stratégies pour commettre un crime. Il faut alors rester à l’affût et bien les documenter.

78
Q

qu’est-ce qu’un gardien ?

A

Toute personne s’intéressant à l’endroit ou un crime est commis et qui est en mesure de protéger la cible

79
Q

Le gardiennage comporte 3 dimensions. Quelles sont-elles ?

A
  • disponibilité ou la présence de gardien
  • la supervision ou la surveillance des cibles (être à l’affût)
  • l’intervention (lorsqu’on est témoin, est-ce qu’on intervient)

Il faut bien les distinguer puisque selon les étapes du crimes, qu,est-ce qu’on veut faire ? Avoir plus de gardiens potentiels, augmenter leur capacité d’intervention?

80
Q

quelles sont les étapes complètes d’un script du gardien

A
  • disponible : présent dans un environnement
  • capacité d’intervention :
  • détecter le crime
  • évaluer la situation
  • prendre la responsabilté et décision d’intervenir

ENCORE UNE FOIS, étape avant pendant et après. De plus, il y a plusieurs possibilités d’intervenir (juste appeler la police). Donc c’est aussi un script flexible.

Il faut penser à des mesures censées stimuler le gardiennage. Il ne faut pas seulement s’attaquer aux délinquants.

81
Q

quelles osnt les étapes de L,intervention policière avec individu à l’état mental perturbé (EMP)

A

1- appel et dépêcher les policiers sur les lieux
2- arriver sur les lieux
3-évaluer EMP
4-intervention avec L’EMP (Selon les actions prises par le policier et la réaction de L’EMP, augmente les chances d’utiliser la violence)
5- prise en charge (hospitalisation)

facteurs qui limitent l’efficacité de l’intervention

  • présence alcool, drogues
  • présence autoritaire et coercitive du policier (technique de communication coercitive). Personne plus hostile, donc technique de comm coercitive, mais augmente les problèmes et EMP collabore moins.

facteurs +
- personne ayant un bon lien avec l’EMP qui est présente (personne agit comme médiateur et la police parait moins menancante

DONC RECOMMANDATION :

  • former les polciiers sur tech de comm moins coercitives
  • former les proches à des techniques de désescalade, accompagnement en situation de cirs e
82
Q

combien de personnes seraient vicitme de traffic humain aux USA ? et à travers le monde

A

on parle de 600 000 à 800 000 personnes qui sont victimes. 50 à 80% sont des femmes et des enfants.

2,3 millions de personnes seraient victimes du traffic (80% dans l’industrie du sexe)

83
Q

et la situation au québec concernant le traffic humain ?

A

2,6 millions de transactions en lien avec la prostitution

420 lieu à l’industrie du sexe dans la grande région de montréal

beaucoup de prosituées sont associées ou ont déjà été associées à un proxénète.

84
Q

POruquoi s,Intéresser à cette problématique du traffic humain ?

A

Crime complexe

  • souvent associé au blanchiment d’argent
  • traffic de drogues (les trafficants utilisent les mêmes réseaux de contacts, les mêmes routes pour le sproduits et ou les personnes
  • trafic d’armes
  • fabrication de faux (passeports, certificats de mariages)

Bref, il faut souvent plusieurs infractions pour en arriver au trafic humain. DONC, plusieurs interventions possibles

85
Q

Dressez un portrait des victimes du trafic humain et des facteurs de risque ?

A

portrait :
-Recrutées pour emploi soi-disant bien payé
=Passeport saisi et peu ou pas rémunérées
-Exposées à la violence

facteurs de risque:

  • crise migratoire (conditions sociales défavorables : peu d’emplois, peu de ressources, problèmes de services de santé)
  • — Les gens quittent leurs pays et deviennent vulnérables puisque le contrôle frontalier est trop resserré et il faut rentrer illégalement.
86
Q

quel est l’état de la recherche en général et concernant le synthèses systématiques sur le trafic humain ?

A

-1 seule synthèse systématique
- 4 évaluations de programmes
Aucune étude avec des mesures avant/après, et avec un groupe témoin et un groupe expérimental

—- ces évaluations ne remplissent mêmes pas les conditions minimales de l’échelle du maryland, soit au moins un protocole quasi-expérimental. rappelons que cette échelle permet d’évaluer la validité interne d’une programme, soit la capacité de dire qu’un programme est responsable d’un résultats spécifiques. Sinon, on ne peut pas trancher et l’effet peut être dû à d’autres facteurs. DONC, pas d’études de grande qualité

  • Cette prévention mise beaucoup sur la sensibilisation et la transmission de connaissances
  • —- les programmes ont surtout été mis en palce au Népal donc difficilement générasibale à notre contexte.
  • —formation aux victimes potentielles (Ex. Les pièges à éviter)
  • —- programme éducatifs (camps de jour) qui enseigne aux jeunes hommes les conséquences de l’exploitation, développer des habiletés pour relations harmonieuses avec femmes
  • —–formation aux jeunes femmes
  • —– campagnes médiatiques renseignant sur les effets négatifs de l’exploitation,
87
Q

quels ont été leurs effets des programmes de sensibilisation et d’éducation sur le trafic humain ? Quelles sont les critiques que l’on peut leur adresser ?

A
  • diminution des attitudes pro-prostitution

CEPENDANT, ces changements sont mesurés tout de suite après le programme donc on peut se prononcer sur les effets à plus long-terme. Généralement, ce n’est pas le cas pusiqu’on ne sera plus exposé au message suffisament.

-le programme est trop court (3 semaines seulement)

  • ces études sont méthodologiquement très faible Pas un score minimal de 3 sur l’échelle du maryland et pas une deuxième évaluation permettant de supporter la prétendue efficacité
  • pas de mesures avant après et groupes expérimental
  • ces évaluations portent sur des programmes différents donc on ne peut pas se prononcer si le TYPE DE PROGRAMME est efficace, ce que les évaluations visenent normalemnet à faire.

BREF, besoin d,évaluations plus rigoureuses.

88
Q

qu’est-ce que la gouvernance de la sécurité ?

A

S,intéresser aux organismes, aux agences qui vont oeuvrer pour régler un problème

  • agences internationales (OTAN, ONU)
  • gouvernemnts locaux, forces policières locales
  • entreprises privées

Bref, tout acteur ayant un certain rôle ou un certain pouvoir de faire changer les choses

Le problème N,est donc plus uniquement géré par le gouvernement local, mais prend des proportions internationales et nous permet de porter un regard critique voir comment ces activités sont organisées et si les conditions pour que ces mesures soient efficaces soient réunies ?

89
Q

quelles sont les 3 conditions d,efficacité concernant les actions contre le trafic humain en gouvernance de la sécurité ?

A

1) Avoir des collaborations efficaces entre les acteurs (collaboration est encore plus important puisque prend des proportions mondiales, les victimes vienennt de partout dans le monde) : acteurs locaux, internationaix et privés

2) s’attaquer aux multiples causes de l’exploitation et du trafic humain.
- —causes sont très variées (dépend du pays auquel on s’intéresse aussi) : les lois peuvent l’être (légalisation, criminalisation), les politiques sociales (permettant ou non une bonne qualité de vie

3) réseaux d’échanges d’Informations
- pour coordonner nos efforts, harmoniser nos lois.
Bref, de bons réseaux de collaboration formels ou informels facilitant la communication entre les acteurs.

Donc, iavec cette approche, il est possible de collecter de l’information sur les mesures mises en place, les acteurs impliqués et certains obstacles pour que ça fonctionne mieux.

90
Q

Malgré le manque de données, comment ont-ils fait pour envisager ces mesures ? Décrivez les mesures, les acteurs ainsi que les obstacles des différentes mesures mises en place en europe.

A
  • on a rencontré des experts dans le domaine e tde demander quels genre de mesures sont en place dans leurs pays et quels sont les obstacles à ces mesures.
  • approche DELPHI : questions ouvertes et on recherche l’opinion des gens sur les mesures et les défis à relever.

Il y avait des mesures que l’on pourrait regrouper sous L’acronyme PPP

  • Prevention (dans les pays d’origine et d’accueil)
  • prosecution (arrestation; judiciarisation)
  • protection (de la victime)
91
Q

Décrivez plsu en détails les mesures relatives aux PPP, les acteurs impliqués et leurs obstacles.

A

Voir power-point.

92
Q

quelles sont les mesures qui ont le statut le plus avancé ou qui sont, autrement dit, les plus développées ? Quels sont les problèmes qui persistent malgré tout ?

A
  • Les législations sont les moyens les plus avancés afin de contrer le trafic humain. les politiques dissuasives ont fait l’objet d’évaluations robustes : études faites sur 112 pays (avec des données de L’ONU, OMS autres organisations attaquant le problème du trafic humain.
    • le staut de la prostitution est la variable la plus importante pour expliquer l’ampleur du trafic humain en contrôlant pour les conditions socio-économiques, le type de gouvernement, etc.
    • RÉSULTAT : Les politiques qui ont le plus d’impact sont lorsqu’ON CRIMINALISE L’OFFRE ET LA DEMANDE DE PROSTITUTION
  • —- Plus la loi est sévère et plus elle est efficace pour prévenir le trafic humain et l’exploitation sexuelle
  • Législations inadéquates
  • —sentences bonbon par rapport à la gravité de l’acte.

-lignes directrices discrétionnaires (bcp de politiques et de protocoles énoncés qui n’ont pas de sanctions en cas de non respect. On laisse aussi la liberté aux pays de décider des mesures)