Général Flashcards

(35 cards)

1
Q

Par quoi une enquête commence-t-elle toujours ?

A

L’énonciation des objectifs

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2
Q

Qu’est-ce qu’un réseau nomologique ?

A

Le réseau nomologique est la modélisation formelle d’un processus d’opérationnalisation de concepts.

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3
Q

Qui a développé le concept de réseau nomologique ?

A

Cronbach et Meehl 1955

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4
Q

Quel est l’objectif du réseau nomologique ?

A

Rendre compte de la validité des construits

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5
Q

Qu’inclut le réseau nomologique ?

A
  • le cadre théorique : ce qu’on veut mesurer
  • le cadre empirique : comment on va le mesurer
  • les liens entre ces deux cadres
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6
Q

Principes du réseau nomologique

A
  • l’homologie

- la cohérence

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7
Q

Quels sont les résultats d’un processus d’opérationnalisation ?

A

Des observables = des indicateurs empiriques

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8
Q

Qui est à l’origine des échelles nominales, ordinales, d’intervalle et de rapport ?

A

Stevens 1951

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9
Q

Quelle est la mesure de tendance centrale à utiliser pour une échelle nominale ?

A

Le mode

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10
Q

Quel est le 2e outil descriptif permettant de rendre compte de la distribution d’une variable nominale ?

A

Le carré moyen de contingence

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11
Q

Quels sont les deux outils descriptifs permettant de rendre compte de la distribution d’une échelle ordinale ?

A

La médiane et le coefficient de corrélation de Spearman

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12
Q

Quels sont les 3 outils statistiques permettant de rendre compte de la distribution d’une échelle d’intervalle ?

A

La moyenne, la variance et le coefficient de corrélation de Bravais-Pearson

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13
Q

Quels sont les 5 types de tâches proposées par le cours ?

A
  • tâche de jugement de similitude ou de choix de préférences
  • tâches de similitude
  • tâches ordinales
  • tâches d’appréciation de catégories ordonnées
  • blocs incomplets équilibrés
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14
Q

Qu’est-ce que l’Echelle Toulousaine de l’estime de soi (ETES) ?

A
  • l’un des outils les plus récents et les plus connus pour évaluer l’estime de soi
  • prend en compte différentes composantes de l’estime de soi mais considère également l’estime de soi dans sa globalité
  • comprend 5 sous-échelles composées chacune de 12 items : moitié sous forme négative, moitié sous forme positive
  • se présente sous la forme de 60 affirmations auxquelles le sujet doit répondre par oui ou par non
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15
Q

Quelles sont les 5 composantes de l’ETES ?

A
  • Le Soi Emotionnel (SE)
  • Le Soi Scolaire (SC) ou Professionnel (SPR)
  • Le Soi Social (SS)
  • Le Soi Physique (SP)
  • Le Soi Futur (SF)
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16
Q

Comment s’appelle la méthode d’analyse des questions ouvertes ?

A

méthode d’analyse de contenu : permet d’observer, de manière rigoureuse et systématique les productions verbales des participants et de faire émerger une signification qui puisse être comprise par le chercheur

17
Q

appréciation ou rangement sur une échelle, quelle méthode est réputée plus fiable et plus valide ?

A

les tâches de rangement

18
Q

comment choisir le nombre de points sur une échelle ?

A

échelle bipolaire : une échelle en 7 points se révèle celle qui produit les coefficients de fidélité et de validité les plus élevés.
Échelle unipolaire : 5 points suffisent

19
Q

qu’est-ce que le biais d’acquiescement ?

A

la réponse positive des sujets aux réponses en favorable/défavorable; vrai/faux; oui-non sans se soucier du contenu des items

20
Q

évaluer des propositions négatives implique une charge cognitive plus

21
Q

Avec quoi représente-on la procédure d’opérationnalisation

A

réseau nomologique

22
Q

Blocs incomplets équilibrés

A

Lorsque le nombre d’objets devient important (plus de 20 items à ranger) il est alors ardu et ennuyeux de répondre à un ensemble important de paires d’items.

Une alternative proposée par Cochran et Cox (1957) 6 est de créer des petits ensembles d’items rangés de telle manière que toutes les comparaisons de paires possibles soient inférées.

23
Q

Caractéristiques des échelles d’intervalle et de rapport

A

ordre et distance entre modalités

24
Q

Les 3 structures privilégiées dans la construction d’échelles

A
  • la classification des objets de mesure.
  • l’ordre entre ces objets.
  • les distances supposées entre les éléments
25
Paramètres à prendre en compte dans un questionnaire
- réponses ouvertes et fermées - degré d'abstraction dans la formulation (interdire vs ne pas autoriser) - appréciation ou rangement sur une échelle : rangement source de conflit cognitif et affectif mais tâches de classement seraient plus valides et fiables (tendance à évaluation identique) - formats pour échelles d'évaluation : .7 points = meilleur coeff de fidélité et validité pour échelles bipolaires mais . 5 sur une échelle unipolaire ""sans importance à très important"" . mettre des étiquettes à chaque point et diviser dans des unités égales le continuum . vrai-faux, oui-non : biais d'acquiescement . évaluer des propositions négatives implique une plus grande charge cognitive - l'ordre des alternatives de réponses Lorsque les choix des réponses catégorielles sont présentés par écrit, on constate un effet de primauté, en revanche lorsque les items sont présentés oralement on observe alors un effet de récence. - l'alternative pas d'opinion, je ne sais pas, améliore la qualité des données - l'ordre des questions : doit procurer confort et garantir la motivation. Commencer par des items faciles à comprendre, regrouper par topiques, attention effet d'amorçage - prétest : vérifier ambiguité, difficulté, temps alloué,
26
Problème d'interprétation des points neutres dans les échelles d'attitude : 3 solutions
1. représenterait une non-attitude envers l’objet en question. 2. représenterait un point d’équilibre dans un conflit évaluatif sur la dimension positif-négatif, une attitude ambivalente. 3. serait produite sur la base de réponses inconsistantes, c’est dire que les sujets produisant ces notes n’ont pas intégré clairement des attitudes définies concernant l’objet en question.
27
Qu'est ce qu'un questionnaire ?
Suite de propositions ayant une certaine forme et un certain ordre sur lesquels on sollicite l'avis, le jugement ou l'évaluation mesurés grâce à une échelle
28
Quelle est la mesure de tendance centrale qui conserve la structure d'équité entre les modalités de la variable nominale ?
le mode
29
Questionnaire : facteurs pour le choix de la méthode de questionnement
- Le coût de la modalité choisie ; - l’existence de capacités chez les participants pour répondre aux items ; - la motivation des participants ; la stratégie d’échantillonnage ; - le taux de réponses souhaité ; - le format des items utilisé ; - le contenu des questions ; - la longueur du questionnaire ; - le niveau d’expertise des interviewers.
30
Questionnaire : méthodes de recueil des données
- passation individuelle ou en petits groupes ; - Entretien face-à-face, téléphonique - passation par ordinateur ; - questionnaires auto-administrés.
31
Questionnaire : questions fermées
- Elles sont basées sur des alternatives de réponses choisies a priori qui risquent de violer certains principes comme la clarté quant au contenu et à la formulation - Elles se prêtent à l’examen de l’importance relative que les participants accordent à différents aspects, connus a priori, d’un problème. - peuvent être employées pour sonder des comportements à faible désirabilité sociale - permettent de tester des hypothèses plus précises. A la rigueur, chaque question fermée peut être traitée comme une « mini-hypothèse », cela signifie que chaque question doit être traitée comme un indicateur permettant d’affirmer ou d’infirmer une hypothèse générale. - L’analyse des questions fermées nécessite la mise en place d’un plan de traitement statistique. "
32
Questionnaire : questions ouvertes
- participant répond avec ses propres mots => analyse lexicale ou thématique des réponses - permettent d'examiner la saillance d’un problème, les termes dans lesquels il est exprimé, le nombre de répondants qui en citent un aspect donné. - adaptées lors de phases préalables d’une recherche et ceci afin de repérer les thèmes saillants dans une population, leur niveau de généralité ou d’abstraction, les termes utilisés. - analysée grâce à des méthodes d’analyse de contenu. Démarche interprétative suivant un ensemble de règles explicites de classement, de catégorisation, de condensations, de comptages, d’identification d’indices, etc. - repérage de certaines catégories lexicales comme les verbes et les adjectifs. Classement verbes d’action, d’état, de possession. Classifier les adjectifs en fonction d’une certaine dimension, par exemple positive – négative (prototype : bon - mauvais), ou une dimension affective (prototype : content – triste), etc. - mesure de fréquence d’unités thématiques pour constituer la base d' une interprétation finale. - technique retenue doit être pertinente et adaptée pour répondre à la question de recherche. - Les techniques d’analyse de contenu sont des méthodes dites qualitatives, mais quantitativement, on peut procéder à des dénombrements, des comptage, des fréquences d’occurrences des différentes catégories sous analyse.
33
Tâches de similitude
Une matrice de similitudes assemble les données de base pour les analyses ultérieures. En général, dans les mesures de similitude, au même titre que dans les coefficients de corrélation, plus important est l’indicateur, plus importante sera la similitude entre deux objets (items ou sous-univers d’items).
34
Tâches ordinales
Le but de ce type de tâches est de produire des "données dominantes". Pour classer par rangs, on peut le faire directement sur l’ensemble des items, ou bien par paires d’items
35
Les 3 structures privilégiées dans la construction d'échelles
- la classification des objets de mesure. - l'ordre entre ces objets. - les distances supposées entre les éléments