Incendie Flashcards

1
Q
  1. A quoi correspond le CMA 119 ?
A

feu/explosion dans un bâtiment habitation de 4ème famille

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2
Q
  1. Qu’est-ce qu’un 4ème Famille ?
A

Habitation dont le plancher bas du logement le plus haut est situé à plus de 28m et à 50m au plus au dessus du niveau accessible aux engins des services de secours et de lutte contre l’incendie.

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3
Q
  1. Donnez le Gp ETARE
A

DN +EP+VSAV+OGC

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4
Q
  1. Que veut dire DAAF ?
A

détecteur avertisseur autonome de fumée

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5
Q
  1. Donnez les différents Barrage de gaz
A

1/OCG (coffret sous trottoir et/ou en façade)
2/robinet pied de colonne montante
3/ robinet de branchement particulier
4/ robinet de compteur.

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6
Q
  1. Présentation ARI + vérification à la prise de garde.
A
1/ Gaine de protection thermique amovible
2/ Sangle d'épaule
3/ Poignée d'extraction
4/ Sangle d'accroche réglable pour la bouteille
5/ Flexible moyenne pression
6/ Support SAD
7/ Ceinture ventrale
8/ Raccord "Push-pull"
9/ Sifflet de fin de charge
10/ Détendeur haute/moyenne pression
11/ Flexible haute pression
12/ Instrument de contrôle et de sécurité
13/ Clé d'activation
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7
Q
  1. Donnez les critères PRV/PMA.
A

Sécurité, accessibilité, proximité, ergonomie et confort.

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8
Q
  1. Donnez la composition des GRCP et SRCP.
A

GRCP : VSAV RCP+camionnette RCP et SRCP : GRCP+VL chef de garde RCP+VRCP

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9
Q
  1. LHP : où les retrouve-t-on et principe généraux.
A

Les FPTLHP : STOU, MALF et AUTE et la VLHP STOU. L’utilisation de la LHP n’est autorisée qu’au personnel ayant suivi la formation dédiée et inscrite dans le SIRH. 300 bars, en très fines gouttelettes, à très faible débit, avec un pouvoir de perforation élevé.

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10
Q
  1. Qu’est-ce qu’un feu de classe C
A

Feux de gaz

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11
Q
  1. Donnez les devoirs du porte-lance.
A

Il manœuvre sa lance à partir d’un point d’attaque désigné par le chef d’agrès, situé de manière à pouvoir attaquer le foyer principal et/ou à arrêter les propagations. Il manœuvre en binôme indissociable. Son équipier est toujours à ses côtés lors de l’engagement.
Avant de pénétrer dans un local, le porte-lance doit : ► se placer dans la position la plus basse possible, à l’écart des effets d’une éventuelle explosion et en dehors de l’axe de l’ouvrant ► si l’accès est fermé, ne l’ouvrir que lorsqu’il a de l’eau à sa lance ► procéder au test de la porte au moyen de sa lance (le test avec la main n’est pas systématique) ► rechercher les signes d’alarme significatifs des accidents thermiques ► s’ils sont perceptibles, en rendre compte immédiatement à son chef d’agrès ► tant que le risque d’accident thermique est prégnant, il règle sa lance en jet diffusé d’attaque ► prévoir un chemin de repli jusqu’à une zone en sécurité ► après avoir ouvert l’accès, tester le plafond de fumées par une courte impulsion dans sa direction :
• si l’eau est transformée en vapeur, il y a danger. Le porte-lance poursuit le refroidissement : 9par courtes impulsions « ouvrir/fermer », en dirigeant le jet dans le plafond de fumée (environ une demi-seconde) 9puis par crayonnage, si nécessaire, sur une zone plus large en traçant l’une des lettres ou chiffre suivants « T, Z, O, 8 » 9il ne pénètre et progresse dans le volume sinistré que lorsque ce danger a disparu, conformément à l’alinéa suivant
• si l’eau retombe en gouttelettes, le porte-lance peut débuter sa progression
Lorsqu’il pénètre dans un local, le porte-lance doit : ► explorer le local dans la position la plus basse possible, par avancées successives de 1 à 2 m, en évitant de rester dans l’axe porte/fenêtre et en testant le plafond à chaque avancée, selon les modalités décrites précédemment ► apercevant les signes d’un phénomène thermique imminent, le porte-lance doit, suivant sa position :
• sortir du local
• se protéger derrière tout écran (mur, paroi, meuble ou porte…), tout en refroidissant le local sinistré par impulsion ou crayonnage
• se mettre en position de survie en se jetant au sol, tout en actionnant un jet diffusé de protection au-dessus des casques des intervenants, si le phénomène thermique se déclenche tandis que du personnel est encore présent dans le local concerné
Lors de la manœuvre de sa lance, le porte-lance doit : ► se placer au point d’attaque désigné par son chef d’agrès, en se protégeant du rayonnement et d’éventuels retours de flammes ► employer le jet le plus adapté au sinistre, en respectant le débit commandé ► dès qu’il constate une baisse anormale d’arrivée de l’eau à la lance, se replier, rendre compte et remédier à l’anomalie ► chercher à arrêter la propagation, si possible du côté le plus menacé, puis manœuvrer sur le foyer principal et les foyers secondaires qui auraient pu prendre naissance à proximité

S’avancer prudemment, en se tenant le plus près possible du sol, dès lors que le jet de sa lance n’atteint plus la base des flammes ► n’utiliser que l’eau strictement nécessaire à l’extinction. Pour cela, il doit :
• fermer sa lance lors de ses déplacements
• attaquer directement le foyer proprement dit, seulement après avoir neutralisé le risque majeur des effets thermiques
• prendre soin de ne pas diriger le jet constamment sur le même point, de ne pas atteindre les vitres et objets que l’eau peut dégrader
• En présence d’un risque électrique : ► ne pas diriger le jet de sa lance vers les installations électriques, porter attention aux S’avancer prudemment, en se tenant le plus près possible du sol, dès lors que le jet de sa lance n’atteint plus la base des flammes ► n’utiliser que l’eau strictement nécessaire à l’extinction. Pour cela, il doit :
• fermer sa lance lors de ses déplacements
• attaquer directement le foyer proprement dit, seulement après avoir neutralisé le risque majeur des effets thermiques
• prendre soin de ne pas diriger le jet constamment sur le même point, de ne pas atteindre les vitres et objets que l’eau peut dégrader
• En présence d’un risque électrique : ► ne pas diriger le jet de sa lance vers les installations électriques, porter attention aux eaux de ruissellement
et aux fils qui pendent ► manœuvrer en jet diffusé d’attaque exclusivement ► se mettre en sécurité à la moindre sensation de picotement
Dans tous les cas, le porte-lance doit : ► se maintenir en liaison permanente avec son équipier et son chef d’agrès et, autant que possible, avec un binôme voisin ► rendre immédiatement compte de tout changement de situation

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12
Q
  1. Quels sont les diamètres des colonnes sèches.
A
Les prises d’incendie 
sont de types et de dia-
mètres différents : 
► simples de 40 ou de 
65 mm 
► doubles de 40 mm 
► de 65 mm associées 
à 2 de 40 mm
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13
Q
  1. Donnez la CAT sur une fuite de gaz enflammée
A

Il ne faut pas chercher à éteindre une fuite de gaz enflammée, car l’accumulation de ce fluide continuant à s’échapper peut provoquer une explosion. L’effort doit donc être porté sur le barrage de la conduite et, en attendant, sur le contrôle et la surveillance de la flamme.

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14
Q
  1. Donnez les Principes de la manœuvre.
A
SAUVETAGES, MISES EN SÉCURITÉ
LUTTE CONTRE LES PROPAGATIONS
VENTILATION
ATTAQUE et EXTINCTION
PROTECTION
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15
Q
  1. Donnez les définitions de mise en sécurité et sauvetage
A

Sauvetage : Action visant à soustraire d’un péril immédiat une personne qui, sans aide extérieure, serait vouée à une mort certaine.
Mise en sécurité : Action visant à extraire, en l’accompagnant, une personne menacée par un danger auquel elle ne peut se soustraire d’elle-même.

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16
Q
  1. Que veut dire OTOOTEM
A

Observer, tester, observer, ouvrir, test du plafond de fumées et engagement minimum

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17
Q
  1. Donnez les principes généraux et la CAT des Risque électrique sur incendie
A

BT : S’il n’existe pas d’autre possibilité que la mise en œuvre d’une lance, seul le jet diffusé d’attaque est autorisé, en respectant une distance minimale de 2 m entre la lance et l’installation.
HT : Aucune extinction ne doit être entreprise avant la mise hors tension de l’ensemble de l’installation par du personnel qualifié. Il convient de respecter dans tous les cas une distance minimale de sécurité de 3 m entre l’eau projetée et l’installation alimentée HT.

18
Q
  1. Quel est la CAT en cas de sauvetage sur risque électrique.
A

Pour le sauveteur, le risque est d’être à son tour électrisé et donc de subir des brûlures dont la gravité dépend des caractéristiques du courant et du chemin qu’il parcourt dans le corps humain, voire d’être électrocuté. Aussi, la règle de base est la prudence.
Dans tous les cas, il faut procéder au plus vite à la mise hors tension de l’installation électrique en cause, si possible avant toute action sur la victime lorsque cette mise hors tension peut se faire sans délai. Sinon, le dégagement doit s’opérer à l’aide du matériel isolant des
valises électro-secours en dotation dans chaque PC de compagnie (le matériel disposé à demeure dans les locaux ne pouvant en effet être garanti d’un point de vue de son entretien et de ses qualités isolantes, il ne doit en principe pas être utilisé par les services de secours), en respectant scrupuleusement les conditions d’emploi qui dépendent de la tension électrique présente dans l’installation. Dès lors, il convient d’examiner au préalable l’environnement du lieu pour y repérer la position des conducteurs électriques et s’assurer qu’ils ne touchent pas accidentellement des pièces métalliques. Afin d’éviter le risque de formation d’arcs électriques, l’accès de certains lieux doit impérativement rester inaccessible tant que le courant n’a pas été effectivement coupé (toit de wagon, voie électrifiée par les rails etc.). Lors de la mise en contact accidentelle d’un conducteur électrique « haute tension » avec le sol directement (chute d’un câble) ou indirectement (par l’intermédiaire d’un engin aérien ou de levage), le courant s’écoule dans la terre en se diffusant autour du point de contact, plus ou moins rapidement selon la nature et l’état du sol, du conducteur, etc. Le risque pour les personnes est alors de subir une électrisation à distance par le simple contact simultané de leurs deux pieds écartés avec le sol. C’est pourquoi il importe de prendre toutes les précautions et de ne pas s’approcher à moins de 10 m du point d’impact sur sol sec. Ce phénomène, plus connu sous le nom de « tension de pas », s’explique par la différence de potentiel qui s’établit entre les pieds, d’autant plus importante que l’écartement est grand et qu’il se fait près du point de contact (exemple : une personne se trouvant à 3 m du point de chute au sol d’un câble de 20 000 volts et qui fera un pas d’un mètre dans sa direction, subira une électrisation de l’ordre de 3 000 volts). En cas d’urgence et en présence de courant domestique uniquement (220-380 volts), si les secours ne disposent pas de la valise électro-secours, il leur est néanmoins possible d’intervenir en s’isolant du sol par des moyens de fortune (chaise ou tabouret non métallique, livres épais, etc.) et en se munissant d’un manche, en bois ou en plastique par exemple.

19
Q
  1. Donnez les règles d’établissement des tuyaux.
A

faire une grande réserve en boucle au point
d’attaque ou à la division pour les gros tuyaux et au
point d’attaque pour les petits tuyaux ► dérouler le premier tuyau et successivement tous les
autres en serrant le plus près possible la bordure
du trottoir ou du mur ► éviter de couper les rues, si cela est indispensable,
disposer les tuyaux perpendiculairement à l’axe de
la chaussée. Cette opération doit se faire le plus
près possible du point d’attaque ► employer le moins possible de tuyaux en leur
faisant prendre le chemin le plus court et en évitant
leur enchevêtrement ► éviter de leur faire subir des torsions, des plis ou faire une grande réserve en boucle au point
d’attaque ou à la division pour les gros tuyaux et au
point d’attaque pour les petits tuyaux ► dérouler le premier tuyau et successivement tous les
autres en serrant le plus près possible la bordure
du trottoir ou du mur ► éviter de couper les rues, si cela est indispensable,
disposer les tuyaux perpendiculairement à l’axe de
la chaussée. Cette opération doit se faire le plus
près possible du point d’attaque ► employer le moins possible de tuyaux en leur
faisant prendre le chemin le plus court et en évitant
leur enchevêtrement ► éviter de leur faire subir des torsions, des plis ou
des coudes brusques surtout aux angles des murs ► ne pas les laisser reposer sur des décombres
brûlants ► les mettre à l’abri de la chute des matériaux

20
Q
  1. Donnez la CAT lutte contre les propagation fuite de gaz enflammée
A

En cas de risque de propagation à l’environnement, des moyens d’extinction appropriés sont mis en œuvre au plus près de la flamme, en veillant attentivement à ne pas la souffler ou à ne pas noyer la fuite par un effet baignoire (cas des conduites de gaz en polyéthylène notamment).

21
Q
  1. Donnez les signes annonciateurs du backdraft.
A

Visibles uniquement de l’extérieur du volume sinistré,
les signes qui permettent de craindre la survenue
imminente d’une explosion de fumées sont les suivants : ► aucune flamme nette ou lumière n’est visible à
travers les fenêtres, hormis quelques rougeoiements
de braises ou quelques petites flammes bleutées de
combustion du CO ► les vitres, couvertes de suie, noire et opaque,
peuvent vibrer très légèrement sous l’effet de la
chaleur et de la pression interne ► les fumées, grasses et foncées, de couleur
inhabituelle, sortent par bouffées des interstices,
y compris des bas de portes, par où entre
habituellement l’air frais, donnant l’impression que
le feu « respire » ► les sons sont amortis
et aucun crépitement
habituel d’un feu à l’air
libre n’est perçu ► les huisseries, les portes
et leurs poignées sont
très chaudes au toucher

22
Q
  1. Donnez le(s) cas où l’on peut souffler une flamme sur fuite de gaz
A

Pour ce faire, la conjonction des 4 facteurs suivants est nécessaire :
► urgence absolue (personne en danger, risque d’explosion, risque d’extension grave, etc.)
► impossibilité d’effectuer le barrage (ex : fuite sur le barrage lui-même) ou délais trop longs
► possibilité d’effectuer la neutralisation
directement au niveau de la fuite
► absence de matière en ignition aux abords immédiats susceptible de provoquer une ré-inflammation spontanée

23
Q
  1. Nombre de borne de charge de VL électrique dans un PSC.
A

10 max

24
Q
  1. Déroulé d’une intervention pour feu lors de reconnaissances avec sauvetage ?
A

Seule la notion de victime ou de sauvetage à réaliser justifie l’engagement immédiat d’un binôme de reconnaissance sur ordre :
• en infrastructure, sans la mise en place préalable d’un « binôme de sécurité », du TGR et de l’établissement d’un moyen hydraulique. Dans ce cas, l’usage de la ligne guide est laissé à l’initiative du chef d’agrès ou du COS
• en superstructure, dans les mêmes conditions en évitant toute modification aéraulique volontaire (ouverture de fenêtre) C’est une action à risque qui ne doit pas durer dans le temps

25
Q
  1. Rôle du chef d’agrès EPA ?
A

À son arrivée sur intervention le chef d’agrès du MEA doit :
► transmettre un message de présentation (status et phonie) et afficher un canal tactique
► faire développer son agrès sur ordre du COS ou à son initiative en cas de sauvetage imminent et/ou de mise en sécurité
► s’équiper de l’ARI et se munir de la cagoule d’évacuation
► positionner le ventilateur conformément au BSP 200.14
► rendre compte au COS

26
Q

On distingue les 2 principes de ventilation suivants :

A

► la ventilation naturelle

► la ventilation mécanique

27
Q

2 techniques ventilation :

A
  • Surpression

- Dépression

28
Q

2 tactiques ventilation:

A
  • Attaque - Protection
29
Q

VO: Elle ne sera pas mise en œuvre dans les cas suivants :

A

► présence de victime au niveau du ou des sortants
► absence de sortant
► risque de BACKDRAFT
► feu de cage d’escalier (notamment en phase d’attaque)
► présence de volumes importants et/ou non recoupés (sous-sol, combles), compréhension batimentaire complexe
► moyens de désenfumage fixe efficaces

30
Q
  1. Comme faire un exutoire en sécurité ?
A

EXUTOIRE : Terme utilisé en prévention qui correspond au dispositif d’évacuation de fumées et de chaleur intégré dans un élément de construction séparant l’intérieur du bâtiment de l’extérieur. Selon les circonstances.

31
Q
  1. Reconnaissance d’attaque
A

Lorsqu’un binôme, sous ARI, remplit une mission de reconnaissance où les conditions d’engagement sont pénibles, laborieuses ou menaçantes, de par la proximité immédiate du sinistre, de ses effets directs ou de conditions de progression particulièrement éprouvantes, il s’agit d’une « reconnaissance d’attaque ».

32
Q
  1. Explication engagement initial et ultérieur ;
A

1er engagement : Engagement initial ( ARI 280 bars)
Engagement ultérieur (ARI 200 BARS MINIMUM ET T<25 MINUTES)

PAUSE ZONE REMISE EN CONDITION SI: T>25 minutes ET/OU ARI<200BARS

2ème engagement : Engagement initial + engagement ultérieur

IDEM.

Dans tous les cas, 2 engagements maximum (entouré numéro 1 puis 2 plaquette TGR)

33
Q
  1. Règles de sécurité pour une reconnaissance ;
A

• contrôler la pression affichée par l’ICS.
Pas d’engagement initial avec une pression inférieure à 280 bars
• respecter une pression minimale de 200 bars pour tout engagement ultérieur
• contrôler régulièrement la pression affichée par l’ICS en cours de reconnaissance
• rejoindre immédiatement le point d’accès dès que le manomètre mécanique de l’ICS indique une pression de 90 bars
• ne jamais se séparer
• rester en contact permanent par le biais de la liaison personnelle
• ne jamais se décrocher de la liaison personnelle
• rejoindre le point d’accès dès que la mission est remplie ou compromise en amarrant la ligne guide à un point fixe
• se replier immédiatement en binôme dès que l’un des deux sapeurs-pompiers n’est plus en mesure de remplir sa mission, dès la réception du « signal d’alerte », dès la perception du signal d’un ICS d’un autre binôme
• respecter les codes conventionnels d’alerte moyen de l’ICS et de compte-rendu transmis au moyen de tout autre moyen de communication
• mettre en place un moyen d’éclairage à l’intérieur pour orienter la sortie des équipes engagées
• laisser la priorité au passage des binômes sortants
• transmettre, sur ordre du COS, le « signal d’alerte » en cas d’évolution défavorable
• si au bout de 25 min. le binôme de « reconnaissance d’attaque » n’est pas de retour, le responsable du point d’accès engage le binôme de sécurité sur une nouvelle ligne de vie (exceptionnellement sur une commande) en suivant la ligne guide du binôme à secourir
• si au bout de 30 min. le binôme de « reconnaissance périphérique » n’est pas de retour, le responsable du point d’accès engage le binôme de sécurité
• disposer un moyen hydraulique délivrant 500 l/min lors d’une « reconnaissance d’attaque »
• effectuer un contrôle croisé des EPI avant chaque engagement • disposer d’un moyen radio pour rendre compte au COS ou au chef de secteur de tout fait nouveau
• interdire tout engagement initial dès qu’un porteur d’ARI présente une pression inférieure à 280 bars
• interdire tout rengagement ultérieur dès qu’un porteur d’ARI présente une pression inférieure à 200 bars
• renseigner le TGR et disposer d’un binôme de sécurité aux ordres du responsable du point d’accès positionné à proximité, de façon à pouvoir intervenir très rapidement tout en restant protégé des effets de l’incendie, d’une explosion et/ou d’éventuelles projections
• engager le « binôme de sécurité » en cas de déclenchement de l’alarme d’un ICS
• remplacer ce dernier par un 2nd binôme en cas d’engagement du 1er
• faire respecter la discipline
• relever dès que possible un « binôme de sécurité » de circonstance par un « binôme de sécurité » organique

34
Q
  1. Description TGR
A
  • Il est systématiquement renseigné pour toute intervention nécessitant l’engagement de binômes en reconnaissance.
  • Responsable : minimum un caporal-chef titulaire du CT1 SP
  • Chef de secteur : 3 points d’accès maximum.
  • En dotation dans chaque engin-pompe, le tableau de gestion des reconnaissances (TGR) fait partie des matériels de base à emporter sur feu
35
Q

les modes de transmission de la chaleur

A

Conduction : C’est le mode de transmission de la chaleur dans la masse du matériau.

Convection : La convection est le transport de chaleur par le mouvement ascendant d’un fluide.

Rayonnement : Le rayonnement est le phénomène de transmission de chaleur par ondes électromagnétiques émises dans toutes les directions par un corps chauffé.

36
Q

Le développement d’un feu suit toujours les 4 étapes suivantes

A

❶ naissance ❸ plein développement ❷ croissance ❹ décroissance

37
Q

FLASH OVER (EMBRASEMENT GÉNÉRALISÉ [EG])

Le phénomène découle principalement des étapes suivantes :

A

❶ stratification des fumées et rayonnement initial
❷ apparition d’anges danseurs
❸ apparition des roll-over
❹ amplification du rayonnement
❺ apparition de pyrolyse en partie basse
❻ flash ove

38
Q

BACKDRAFT (EXPLOSION DE FUMÉES [EF])

Le phénomène découle principalement des étapes suivantes :

A

❶ développement du feu dans un volume clos
❷ diminution progressive du comburant
❸ surpression du volume
❹ Backdraft

39
Q

Cas de réforme de la corde LSPCC

A

Causes de réforme immédiate
►arrêt d’une chute d’une hauteur supérieure à 5 m (sauveteur et/ou victime)
►emploi exceptionnel au voisinage de la limite élastique (3 000 kg)
►parties brûlées ou fondues sur la corde et les anneaux de sangle
►contact avec des produits caustiques ou avec des hydrocarbures
►gaine coupée ou usée et laissant apparaître l’âme de la corde
►réduction de diamètre ou perte de souplesse localisée ►allongement permanent à partir de 1

40
Q
  1. Utilisation ARI dans la mousse.
A

Lors d’une immersion ACCIDENTELLE où une progression dans un volume de mousse, l’ensemble des matériels devra être contrôlé à l’atelier gaz comprimés.

41
Q

Pose du rideau stoppeur de fumée.

A
  • Rideau stop-fumées :

o Plus aucune restriction d’emploi (avant interdit dans pavillon et sur une porte dans l’appartement en feu).