Les réponses instinctuelles répulsives ou d'évitement Flashcards

1
Q

La finalité part de cette .. de ..

A

La finalité part de cette nécessité de survie.

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Q

La finalité part de cette nécessité de survie, à savoir .. les parties .. du corps.

A

La finalité part de cette nécessité de survie, à savoir protéger les parties exposées du corps.

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Q

La finalité part de cette nécessité de survie, à savoir protéger les parties exposées du corps dans le cas où les .. sont

  • ..

ou

  • ..

ou

  • connus .. comme ..
A

La finalité part de cette nécessité de survie, à savoir protéger les parties exposées du corps dans le cas où les échanges sont

  • excessifs

ou

  • inattendus

ou

  • connus instinctuellement comme dangereux
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Q

La finalité part de cette nécessité de survie, à savoir protéger les parties exposées du corps dans le cas où les échanges de .. ou de .. sont

  • excessifs

ou

  • inattendus

ou

  • connus instinctuellement comme dangereux
A

La finalité part de cette nécessité de survie, à savoir protéger les parties exposées du corps dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont

  • excessifs

ou

  • inattendus

ou

  • connus instinctuellement comme dangereux
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5
Q

La finalité part de cette nécessité de survie, à savoir protéger les parties exposées du corps dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs
ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux.

Dans ce genre de situation, on a des .. de défense.

A

La finalité part de cette nécessité de survie, à savoir protéger les parties exposées du corps dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs
ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux.

Dans ce genre de situation, on a des réflexes de défense.

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6
Q

La finalité part de cette nécessité de survie, à savoir protéger les parties exposées du corps dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs
ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux.

Dans ce genre de situation, on a des réflexes .. de défense.

A

La finalité part de cette nécessité de survie, à savoir protéger les parties exposées du corps dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs
ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux.

Dans ce genre de situation, on a des réflexes médullaires de défense.

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7
Q

La finalité part de cette nécessité de survie, à savoir protéger les parties exposées du corps dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux.

Dans ce genre de situation, on a des .. de défense.

L’erreur commune est de croire qu’il s’agit d’une organisation .. des réponses.

A

La finalité part de cette nécessité de survie, à savoir protéger les parties exposées du corps dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux.

Dans ce genre de situation, on a des réflexes médullaires de défense.

L’erreur commune est de croire qu’il s’agit d’une organisation volontaire des réponses.

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8
Q

La finalité part de cette nécessité de survie, à savoir protéger les parties exposées du corps dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux.

Dans ce cas là, le contact imposé entraîne des comportements .. de défense.

A

La finalité part de cette nécessité de survie, à savoir protéger les parties exposées du corps dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux.

Dans ce cas là, le contact imposé entraîne des comportements automatiques de défense.

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9
Q

La finalité part de cette nécessité de survie, à savoir protéger les parties exposées du corps dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux.

Dans ce cas là, le contact imposé entraîne des comportements .. de défense qui peuvent rapidement aller jusqu’à un comportement .. de ..

A

La finalité part de cette nécessité de survie, à savoir protéger les parties exposées du corps dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux.

Dans ce cas là, le contact imposé entraîne des comportements automatiques de défense qui peuvent rapidement aller jusqu’à un comportement automatique de fuite.

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10
Q

Dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux:

Le scénario comportemental consiste toujours en un .. de l’ensemble du corps vis-à-vis du ..

A

Dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux:

Le scénario comportemental consiste toujours en un détournement de l’ensemble du corps vis-à-vis du stimulus.

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11
Q

Dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux:

Le scénario comportemental consiste toujours en un détournement .. de l’ensemble du corps vis-à-vis du stimulus.

A

Dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux:

Le scénario comportemental consiste toujours en un détournement instinctuel de l’ensemble du corps vis-à-vis du stimulus.

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12
Q

Dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux:

Le scénario comportemental consiste toujours en un détournement instinctuel de l’ensemble du corps vis-à-vis du stimulus pour un but d’..

A

Dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux:

Le scénario comportemental consiste toujours en un détournement instinctuel de l’ensemble du corps vis-à-vis du stimulus pour un but d’éloignement.

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13
Q

Dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux:

Le scénario comportemental consiste toujours en un détournement instinctuel de l’ensemble du corps vis-à-vis du stimulus pour un but d’éloignement suivi du déclenchement du ..

  • de ..,
  • de ..
A

Dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux:

Le scénario comportemental consiste toujours en un détournement instinctuel de l’ensemble du corps vis-à-vis du stimulus pour un but d’éloignement suivi du déclenchement du mouvement de course, de panique.

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14
Q

Dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux:

Le scénario comportemental consiste toujours en un détournement instinctuel de l’ensemble du corps vis-à-vis du stimulus pour un but d’éloignement suivi du déclenchement, qui n’est pas .., du mouvement de course, de panique.

A

Dans le cas où les échanges de matière ou de chaleur sont excessifs ou inattendus ou encore connus instinctuellement comme dangereux:

Le scénario comportemental consiste toujours en un détournement instinctuel de l’ensemble du corps vis-à-vis du stimulus pour un but d’éloignement suivi du déclenchement, qui n’est pas raisonné, du mouvement de course, de panique.

Dans la réaction à la chaleur intense, la réaction d’évitement se transforme très vite en un comportement de fuite.

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15
Q

Dans un processus de panique, il n’y a pas de ..

A

Dans un processus de panique, il n’y a pas de raisonnement.

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16
Q

Dans un processus de panique, il n’y a pas de raisonnement.

C’est quelque chose qui est .. mais c’est .. qu’il raisonne (le cerveau).

A

Dans un processus de panique, il n’y a pas de raisonnement.

C’est quelque chose qui est cohérent mais c’est a postériori qu’il raisonne (le cerveau).

17
Q

Dans un processus de panique, il n’y a pas de raisonnement.

C’est quelque chose qui est cohérent mais c’est a postériori qu’il raisonne (le cerveau) au moment de l’évènement c’est ..

A

Dans un processus de panique, il n’y a pas de raisonnement.

C’est quelque chose qui est cohérent mais c’est a postériori qu’il raisonne (le cerveau) au moment de l’évènement c’est automatique.

18
Q

Si on raisonne au niveau des .. ou même dans le cas d’une .. par une .. dans une .., nous avons des réponses répulsives mais qui sont plus spécifiques.

A

Si on raisonne au niveau des orifices naturels ou même dans le cas d’une piqûre par une aiguille dans une veine, nous avons des réponses répulsives mais qui sont plus spécifiques.

19
Q

Si on raisonne au niveau des orifices naturels ou même dans le cas d’une piqûre par une aiguille dans une veine, nous avons des réponses répulsives mais qui sont plus spécifiques.

Dans tous les cas, les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’..

A

Si on raisonne au niveau des orifices naturels ou même dans le cas d’une piqûre par une aiguille dans une veine, nous avons des réponses répulsives mais qui sont plus spécifiques.

Dans tous les cas, les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte.

20
Q

Si on raisonne au niveau des orifices naturels ou même dans le cas d’une piqûre par une aiguille dans une veine, nous avons des réponses répulsives mais qui sont plus spécifiques.

Dans tous les cas, les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est ..).

A

Si on raisonne au niveau des orifices naturels ou même dans le cas d’une piqûre par une aiguille dans une veine, nous avons des réponses répulsives mais qui sont plus spécifiques.

Dans tous les cas, les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique).

21
Q

Si on raisonne au niveau des orifices naturels ou même dans le cas d’une piqûre par une aiguille dans une veine, nous avons des réponses répulsives mais qui sont plus spécifiques.

Dans tous les cas, les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec .. de la ..

A

Si on raisonne au niveau des orifices naturels ou même dans le cas d’une piqûre par une aiguille dans une veine, nous avons des réponses répulsives mais qui sont plus spécifiques.

Dans tous les cas, les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec augmentation de la vigilance.

22
Q

Les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec

  • augmentation de la vigilance
  • une .. particulière d’.. de la ..
A

Les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec

  • augmentation de la vigilance
  • une connotation particulière d’angoisse de la pénétration
23
Q

Les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec augmentation de la vigilance et, en plus, une connotation particulière d’angoisse de la pénétration.

Cet ensemble croît avec l’importance, quand on a affaire à un .., de la ..

A

Les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec augmentation de la vigilance et, en plus, une connotation particulière d’angoisse de la pénétration.

Cet ensemble croît avec l’importance, quand on a affaire à un orifice naturel, de la dilatation orificielle.

24
Q

Les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec augmentation de la vigilance et, en plus, une connotation particulière d’angoisse de la pénétration.

Cet ensemble croît avec l’importance, quand on a affaire à un orifice naturel, de la dilatation orificielle.

Cette importance est .., .. ou ..

A

Les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec augmentation de la vigilance et, en plus, une connotation particulière d’angoisse de la pénétration.

Cet ensemble croît avec l’importance, quand on a affaire à un orifice naturel, de la dilatation orificielle.

Cette importance est perçue, imaginée ou observée.

25
Q

Les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec augmentation de la vigilance et, en plus, une connotation particulière d’angoisse de la pénétration.

Selon la .. de l’.., la réaction d’angoisse varie.

A

Les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec augmentation de la vigilance et, en plus, une connotation particulière d’angoisse de la pénétration.

Selon la taille de l’aiguille, la réaction d’angoisse varie.

26
Q

Les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec augmentation de la vigilance et, en plus, une connotation particulière d’angoisse de la pénétration.

La réaction d’angoisse varie

  • selon la taille de l’aiguille
  • selon le .. de la ..
A

Les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec augmentation de la vigilance et, en plus, une connotation particulière d’angoisse de la pénétration.

La réaction d’angoisse varie

  • selon la taille de l’aiguille
  • selon le résultat de la pénétration
27
Q

Les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec augmentation de la vigilance et, en plus, une connotation particulière d’angoisse de la pénétration.

La réaction d’angoisse varie

  • selon la taille de l’aiguille
  • selon le résultat de la pénétration

Nous avons une connotation ..

A

Les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec augmentation de la vigilance et, en plus, une connotation particulière d’angoisse de la pénétration.

La réaction d’angoisse varie

  • selon la taille de l’aiguille
  • selon le résultat de la pénétration

Nous avons une connotation amplificatrice.

28
Q

Les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec augmentation de la vigilance et, en plus, une connotation particulière d’angoisse de la pénétration.

La réaction d’angoisse varie

  • selon la taille de l’aiguille
  • selon le résultat de la pénétration

Nous avons une connotation .. amplificatrice.

A

Les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec augmentation de la vigilance et, en plus, une connotation particulière d’angoisse de la pénétration.

La réaction d’angoisse varie

  • selon la taille de l’aiguille
  • selon le résultat de la pénétration

Nous avons une connotation affective amplificatrice.

29
Q

Les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec augmentation de la vigilance et, en plus, une connotation particulière d’angoisse de la pénétration.

La réaction d’angoisse varie

  • selon la taille de l’aiguille
  • selon le résultat de la pénétration

L’.. est un facteur de large .. de la réponse instinctuelle.

A

Les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec augmentation de la vigilance et, en plus, une connotation particulière d’angoisse de la pénétration.

La réaction d’angoisse varie

  • selon la taille de l’aiguille
  • selon le résultat de la pénétration

Nous avons une connotation affective amplificatrice.

L’affect est un facteur de large amplification de la réponse instinctuelle.

30
Q

Les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec augmentation de la vigilance et, en plus, une connotation particulière d’angoisse de la pénétration.

La réaction d’angoisse varie

  • selon la taille de l’aiguille
  • selon le résultat de la pénétration

Nous avons une connotation affective amplificatrice.

L’affect est un facteur de large amplification et de .. de la réponse instinctuelle.

A

Les comportements déclenchés par une pénétration extra-physiologique sont accompagnés par une réaction d’alerte (qui est paléencéphalique) avec augmentation de la vigilance et, en plus, une connotation particulière d’angoisse de la pénétration.

La réaction d’angoisse varie

  • selon la taille de l’aiguille
  • selon le résultat de la pénétration

Nous avons une connotation affective amplificatrice.

L’affect est un facteur de large amplification et de diffusion de la réponse instinctuelle *qui a toujours une connotation de réaction de fuite, même s’il n’y a pas de fuite. *