Linguistique le groupe nominal Flashcards
Le groupe nominal GN
Nature : contient toujours*
nom noyau +* (présence obligatoire # noms propres)
constituants facultatifs* :
Prop non finie*
prop relative.
fonctions possibles du GN* :
Constituants du GN :
Nom
déterminant (on ne peut parler d’absence de déterminant qu’avec les noms propres)
- déterminants centraux* :
- possessifs (my etc…) et génitifs (‘s)
- démonstratifs indéfinis et/ou quantifieurs : any / some / no / every / each / either / neither / enough
- interrogatifs : what / which / whose
relatifs : which et whose* :
- prédéterminants* :
- mutiplicateurs : double / three times
- fractions : one third
exclamatifs : such et what*
postdéterminants* :
un nom noyau* !
noyau = définition syntaxique du nom
- déterminant
- adj – SP ( syntagme prepositionnel )
(participiale : wearing blue jeans)
- sujet
/ objet
/ attribut du sujet
attribut de l’objet / compl circonstanciel (ou adverbial) / comp de préposition (she took him to the door) apposition / vocatif (listen, Anna,…)
*articles : a / the / 0
(we arrived at noon, by which time the demonstration was over – The lady whose daughter you met…)
all / both / half *
- (what a surprise!)
all the children
numéraux cardinaux : the one book.. ;
quantifieurs : much, many, little, few, several
LES CATEGORIES NOMINALES
Notion et occurences
Notion* =
La notion n’a qu’une valeur purement qualitative
Dans certains cas on peut la rendre quantifiable en lui associant une classe d’occurences.
Occurrence* =
Constituants facultatifs :
premodificateurs
postmodificateurs :
Discret, dense et compact
- discret *:
- Compact** :
- Dense* :
non-individuable (donc indénombrable comme le compact) mais*
les notions ou categories en fonction de leur catégorie vont se combiner avec tel ou tel déterminant :
det qui individualisent, compatibles seulement avec le discret *:
det qui n’autorisent aucune individuation => compact et dense*:
det neutres** :
Discret :
- extracteurs et autres dénombreurs
Dense et compact* :
- dense* :
Limites de la catégorisation :
3 cat pas totalement étanches :
- un même nom = plusieurs catégories : stone, hair, weather, business*
Parfois relation de type métonymique* :
conclusion : pas trois catégories étanches mais trois fonctionnements nominaux
faisceau de propriétés physico-culturelles => antérieure à la catégorisation en mots.
indivisible.
- on part de la réalité (occ phénoménales) et on se crée progressivement des occurrences abstraites et construction d’une classe d’occurences (qui permet de rendre la notion quantifiable).
- S Adj – nom
- SP - prop non-finies - prop relatives
on peut dénombrer les occurrences => notions qu’on peut associer à une classe d’occurences
- insécable => impossible d’individuer ou de prélever
- notion sécable par prélèvement à l’aide d’un dénombreur
a – which – one – either – neither – every – each + car
0 – these – those – two – few – many – several – both + cars
0 – little – much + luggage
this – that – the – gén – some – any – no (attention some valeur différente et accentuation différente en fonction de la cat)
- pers, animaux, plantes , objets concrets + forme définie - - unités de mesures et éléments d’un syst (word, language, dollar)
- quelques abstractions : (arrival, joke, failure, idea…)
impossible de construire des occurrences distinguables : matières solides, liquides, gaz , langues
- abstractions (equality, honesty, peace…)
- prédicats nominalisés en -ing (la plupart) : camping, cooking, clothing, parking…
- glass – a glass paper*
on peut ajouter un dénombreur car sont sécables => prélèvement qui rend la notion quantifiable (seulement si dénombrement absolument nécessaire)
a piece of, a bit of et/ou dénombreur propre
.
egg, chicken
(substance = partie comestible de an egg)
(viande de l’animal => valable pour tous les animaux : viande ou peau)
a coffee = a cup of coffee* =>
(notion ou occurrence particulière de cette notion)
opération inverse (très culturel car ne fonctionne pas avec « milk »)
modification sémantique ou au moins restriction
noms culturellement recatégorisés
LE NOMBRE
Catégorie grammaticale reposant sur une double opposition* :
- à l’intérieur du discret opposition entre singulier / pluriel : marqués par*
dense et compact **
double appartenance :
valable pour tous les noms denses ou compact qu’on peut toujours recatégoriser en passant par les occurrences qualitatives* :
- noms discrets se terminant par un -s
acceptent la pluralisation mais pas la désinence du pluriel =>*
mais portent déjà un -s lexical *:
-
Les noms en -s
: noms denses et compacts se terminant par -s :
3. - s = marque du pluriel + accord verbal pluriel*:
certains noms qui s’utilisent exclusivement au pluriel (pluralia tantum)*:
Remarques sur l’accord verbal :
GN sujets coordonnés par « and » => pluriel mais si réf = entité unique alors sing*
- GN faisant ref à des prix, mesures, quantités => perçus comme*
None : même chose mais sing et pluriel possible
*discret / dense et compact
désinences -0 et -s
=> -0 mais fonctionne comme non marquée
(sauf quand passent dans la catégorie du discret)
cake*
: beer
catégories non étanches *:
What cheeses have you got today ?
- pluriel -0 comme sheep
a means, a series, a species => acc vbal sing ou pluriel en fonction du nombre d’occurences
news + maladies (measles) – jeux (billiards)
a barracks, a crossroads, a gallows* etc… =>
a. instruments : binoculars, glasses, scissors…
b. vêtements : braces, pants*…
- souvent référent composé de plusieurs parties.
Archives – clothes – congratulations– looks, surroundings* …
(bread and butter)
entités uniques et donc sing
(five pounds is cheap)
acceptent un det pluriel mais pas un numéral (donc comportement un peu compact si on exclut le pluriel)
LE GENRE
Le genre en anglais :
genre grammatical réduit à sa plus simple expression : pas d’accord sur adj, det, vb
affixes nominaux aussi très restreints* :
mais tiger / tigress et pourtant*
Genre grammatical en anglais ne peut s’envisager que dans*
Mais en fait plutôt genre naturel : Distinction animés humains / animés non humains + non animés
A l’intérieur des animés humains distinction mâles et femelles.
noms épicènes* :
Les animés humains :
la différence de sexe marquée par « he » et « she » se retrouve parfois au niveau même des noms* :
professions, états (pupil, inhabitant, friend), nationalités.
Certaines professions : perçues comme masculine ou féminine => si transgression de la « règle »*
Introduction de néologismes épicène pour éviter sexisme présent dans housewife ou fireman par exemple.*
Quand on ne peut determiner le sexe grace au contexte*
Cas particuliers de « baby » et « child »* =>
3 Les animés non-humains
animaux => « it » et « which » aussi bien pour les animaux inférieurs que supérieurs même si pour les animaux supérieurs une distinction de sexe apparaît*
Parfois aussi l’un des termes fonctionne comme non marqué*
Parfois recours à un troisième terme* :
Animaux familiers de l’homme peuvent aussi être repris par*
Les inanimés :
« it » + « which » mais là encore genre naturel = « he » et « she » possible (mais rien avoir avec diff sexuelle bien sûr)
Pays : « it » quand entités géographiques* =>
- véhicules (y compris engine) : « she » =>*
De manière générale quand inanimé = relation privilégiée avec l’énonciateur (positive ou négative)* : –
entité politique ou économique ( fonctionnement vraiment régulier )
actor / actress
« it » autant possible que
« she ». Donc pas vrai critère de catégorisation.
piece of paper – napkin – van (plus rare)
la référence pronominale. He / she / it
désignent les deux sexes et repris par « he » ou « she » en fonction du contexte
- noms différents pour mâles et femelles : father / mother
- dérivation : waiter / waitress – widow / widower – bride / bridegroom
Quand il est nécessaire de marquer le sexe d’un nom épicène : composition male student – boy friend
Quand il est nécessaire de marquer le sexe d’un nom épicène : composition male student – boy friend
=> fireman / firefighter – spokesman / spokesperson
=> « he » (qui devient non marqué => anglais soutenu mais sexiste) ou coordination de « he » et « she » ou s/he (mais seulement forme écrite et position sujet) ou « they » (solution la plus courante )
peuvent être repris par « he » et « she » mais aussi par « it » => permet d’éradiquer toute distinction de sexe : quand on ne le connaît pas, souhaite l’ignorer ou généralisations scientifiques
souvent dans le nom lui-même : noms différents : bull / cow
suffixation : lion / lioness
- he-goat / she-goat
(vrai aussi avec animaux inférieurs : male frog / female frog) donc opposition visible mais neutralisée par emploi de « it »
quand opposition pas pertinente : dog ou duck ou goose (femelles mais peuvent renvoyer aux deux)
« he » ou « she » => comme si on les faisait passer dans la catégorie des animés humains.
seule opposition mâles / femelle entre en ligne de compte donc « he » et « she »
« who »
« she » *
lien affectif entre conducteur et sa machine
reprise anaphorique en « she » : house
LES ARTICLES
I/ article 0
/ renvoi à la notion => opération qualitative.
On renvoi à ce qui est happiness par exemple (aux qualités de cette notion)
notions organisées en un système de ressemblances et d’oppositions => renvoi à la notion se fait donc toujours par opposition à ce qui est autre.
Souvent avec dense ou compact
2/ 0 + discret
compatible avec le discret aussi :
We kissed often, our mouths filling up with tongue and teeth and spit and blood => renvoi qualitatif à la notion tongue et teeth là encore par opposition au reste.
Pour cela qu’on le retrouve souvent avec du discret dans les énumérations.
3/ 0 + nom au pluriel
cas le plus fréquent : cigarettes are bad for your health
renvoi à la notion se fait par l’intermédiaire* Mais attention cela reste une opération uniquement qualitative ! (cf exemple de « teeth »)
Dans certains exemples on pourrait penser qu’il y a du quantitatif :
She gave them milk and cookies => une certaine quantité de mais cette impression découle du contexte.
Preuves de la valeur qualitative de 0 :
they chose chicken and sardines on the menu
pas acceptable de lui substituer « some » qui a une valeur quantitative : I have brought you some books => remplacement de some par 0 possible seulement si*
0 + nom au singulier
Enumérations et structures parallèles :
the power of press and television
s he read on wall and floor
particulièrement fréquent lorsque la coordination est elle-même renforcée au moyen d’expressions comme*
On aboutit parfois à une nouvelle notion complexe
:
cup and saucer resultant de*
Même chose avec les structures parallèles : là encore tout notionnel ;
Aspect qualitatif prouvé par leur fonctionnement de locutions adverbiales.
Constructions figées*
Locution verbales :
take office – declare war – lose way – set fire – make allowance for…
Nom =*
Là encore expressions figées et impossible a pluraliser nom par exemple : *he took advantages
d’un renvoi préalable à la classe d’occurences ass à la notion => suppose une opération d’individuation puis de totalisation : en fait on fait réf à l’ensemble, à la totalité des cigarettes et du coup on renvoie indirectement à la notion.
on ajoute un accent contrastif sur books (ça et pas autre chose)
« both… and » ou « neither… nor »
l’amalgame des notions d’origine
(impossible à modifier => they talked man to man => * they talked old man to young man)) hand in hand – eye to eye – day by day
valeur qualitative et recharge sémantique du verbe avec lequel ils forment un tout indivisible
Prép + nom :
town, church, school etc… go to town – be in bed – go to church/school /jail etc… renvoi non pas * ; he is too young to go to school – go past the school… On peut montrer la valeur qualitative de l’article en*
Moyens de transport et de communication :
by boat – by phone
Là encore on renvoie à *
Périodes du jour et de la nuit etc… :
at dawn – at noon – by night – after nightfall
*
mais pas seulement S prep : when day breaks ..
Même chose pour les saisons. The winter of 1963 – winter in 1963 was not like … (mais the + nom peut aussi renvoyer au climat de la saison)
repas :
quand institution = v qualitative : for breakfast – before lunch (mais the si postmodifié)
titres et fonctions : en anglais nom en position d'attribut du sujet ou apposition ou intro par as => 0 impossible mais quelques exceptions : Father is angry * Maureen is captain of the team Kennedy was president
(The possible aussi.) Ref à une fonction, un rôle, une position unique =>*
As mayor of this town = en qualité de
Mais si pas fonction unique alors 0 devient impossible. Dr Arnold was a famous headmaster of rugby
Jours de la semaine ou mois même chose : majuscules donc apparaissent comme des noms propres mais en fait on peut les associer à l’article the ou a. Même obligatoire quand pas localisés implicitement par rapport au moment d’énociation :
She left on the next Sunday on a Sunday
Clair que pas non propre dans les exemples suivants : next month – next January
au bâtiment mais à l’institution
glosant pour montrer qu’on attribue une propriété au réf du sujet des énoncés : he goes to school = he is a schoolboy
la fonction de l’objet plus qu’à l’objet lui même (différent si précédé de « the »)
réf aux qualités intrinsèques du jour ou de la nuit (light - darkness) et non pas aux périodes temp avec leurs limites
Ref à un univers familier :
Du coup dans exemple avec father => renvoi à un individu au moyen d’une de ses qualités ou prop définitoire ou fonction donc article 0
qualité ou propriété définitoire.
II/ article a
Occurrence quelconque qui fonctionne comme :
extraction
article de première introduction.
.Extraction d’une occurrence =*
Opération quantitative.
Du coup on le rencontre essentiellement avec des noms appartenant à la catégorie du discret.
Origine de l’article a se trouve dans*
3/ situations particulières et situations quelconques situations particulières : there was a well with a rope occurrence extraite => *
Illustration de cette caractéristique de a quand employé avec un nom propre* :
situations quelconques :
A soldier does not cry – the best way to learn a language is… - a dog barks, it does not mew
- Valeur générique de l’article a: = > illustration de ce phénomène :
valeur distributive de a quand il renvoie à une unité de mesure. *
Situation quelconque = *
Mais occurrence quelconque*
D’ailleurs si propriété attribuée à l’occurence extraite est non pas définitoire mais particulière alors a devient impossible : *
occurrences à valeur prédicative
John was a teacher
Sujet identifié par*
+ Là aussi on a un repérage par rapport à une situation quelconque*
A teacher = valeur*
=> donc pas occurrence particulière et donc*
On peut retrouver cette valeur de l’article a avec des noms propres :
He is not a Mozart => he n’appartient pas à la classe d’occurences associée à la notion Mozart*
He is a bishop (une occurrence parmi d’autres) # He is Bishop of Durham *
5/ dense ou compact
he spoke with a purity and a certainty that she could not believe.
Article a possible ici parce que prop relative = *
.
mais attention pas recatégorisation car*
Possible aussi avec prop exprimée par un adjectif : bakers are making a tasteless bread.
- un exemplaire ou échantillon, qui d’un point de vue qualitatif n’est pas distinguable des autres occurrences (substitution possible).
poser l’existence de cette occurrence en l’isolant des autres et en la repérant par rapport à une situation
one.
D’ailleurs on peut souvent le lui substituer.
elle même munie de prop situationnelles spécifiques et donc automatiquement appréhendée comme une occurrence particulière de la notion. (puit, corde particuliers)
une occurrence particulière, définie et déterminée (situation spécifique) mais inconnue (extraction et donc première introduction) :
« Has any of you », cut in a Miss gardiner « ever studied the psychology of the practical joker ? »
Once a year – 60 miles an hour dans ces situations quelconques l’occurrence extraite devient représentative de la classe d’occurences et donc de la notion elle-même. On peut donc penser à une opération qualitative mais là encore c’est le contexte qui donne cette impression.
occurrence quelconque indistinguable des autres occurrences et donc représente la classe d’occurences et donc la notion.
parce que pas repérée par rapport à une situation particulière.
A dog abounds in this part of town
l’intermédiaire du verbe à une occurrence quelconque de la notion /teacher/ et qualifié comme appartenant à la notion
prédicative (propriété explicitement prédiquée du sujet par l’intermédiare du vb) car attribut du sujet
valeur qualitative.
(musiciens ayant les même prop définitoire que mozart)
(énoncés vrais tout le temps).
propriété différentielle qui permet d’extraire une occurrence particulière de la notion en l’opposant d’un point de vue qualitatif aux autres
dénombrement impossible!)
III/ l’article the
the sun of our universe
connaissance partagée mais analyse en terme de
Opération qualitative de fléchage.
Opération seconde qui suppose*
opération qualitative : *
3/ anaphore stricte et non stricte
anaphores contextuelles : J ordered a book and the book has just arrived. L’opération de fléchage est nette.
Anaphores non-strictes : Bill went to London.
The journey was tiring ;
Même opération mais moins visible parce qu’on*
4/ localisation explicite ou implicite
Localisation par rapport à un autre terme :
I began to reread the book she had given me for my birthday.
I heard only the murmur of one voice.
Première occurrence d’un point de vue linguistique mais localisation par rapport à*
she had given me a book => the book she had given me one voice made a murmur => the murmur of one voice
Could you pass me the brandy, please ?
Localisation par rapport à*
On peut reconstruire : there is some brandy.
Même chose dans l’exemple de la maison :*
5/ les singletons
the sky – the sun
même chose : Mais ces mots sont particuliers.*
Analyse : classe d’occurence à un seul élément ou singleton. Extraction = élément repéré par rapport à *
Là repérage de l’occurence par rapport à*
localisation possible aussi
une extraction préalable. Une fois une première occurrence extraite on en pose une seconde. Seconde occurrence identifiée à la première et on a une opération de fléchage (donc opération qualitative)
« la seconde occurrence a la propriété d’être identique à la première » donc bien différenciée qualitativement des autres occurrences.
substitue une unité lexicale autre à la première unité lexicale (appartenant ou non à la première catégorie syntaxique : Exactly who had died was not discussed but the death…)
la relative ou au SP donc on peut analyser les occurrences comme des deuxièmes occurrences.
Opération d’extraction antérieure bien présente mais sous-jacente puis identification.
la situation d’énonciation
repérage situationnel large qui s’appuie sur une connaissance partagée.
Opération de fléchage systématique et opération d’extraction normalement exclue.
situation d’énonciation mais aussi par rapport à la classe d’occurences.
elle-même puisque pas d’autre occurrence et donc identification va de soi. => fléchage.
6/ valeur générique de the
La sous-classe ainsi crée se définit au moyen de propriétés différentielles applicable à*
the lion is the king of animals
The + nom => pas réf à une occurrence fléchée mais à* Valeur de*
Valables dans toutes les situations et donc renvoi non pas à une occurrence spécifique mais à la notion.
Analyse :*
Autre exemple : Eustacia was the woman for him. occurrence fléchée = *
Butter is sold by the pound.
Valeur distributive de the =*
Même chose pour instruments de musique , de certains moyens de transport, d’institutions :
to play the guitar
to take the train
to go to the theatre
X, the cigarette for men
Valeur*
Mercedes is the car
7/ les sous-classes
Valeur générique ne se rencontre normalement qu’avec*
« the Catholics » she said « they believe in Jesus Christ » => ref à l’ensemble des catholiques mais pas générique comme avec article 0*.
Catholics believe in Jc but elephants don’t => on oppose classes d’occurences ou notions dans leur intégralité l’une à l’autre.
*The catholics believe in JC but the elephants don’t => *
Nominalisation adjectivales => bon exemple de ce processus : the rich, the English…
Analyse : fonctionnement classique* :
seulement une partie des occurrences de la classe.
la notion elle-même.
vérité générale des énoncés.
fusion de toutes les occurrences et construction d’une occurrence type (munie de ttes les proprietes de la notion). Qq soit la situation toute occurrence est automatiquement identifiée à cette occurrence typique.
renvoi à une unité de mesure type :
symbol
emphatique de the (accentué)
Là on glisse de l’excellence typique à l’occurence par excellence. : possède ttes les prop définitoires de la notion à un haut degré (le parfait… le … par excellence)
du discret singulier.
On ne travaille pas sur une classe à part entière mais sur une sous-classe des human beings :
the indique que l’on a à faire à une sous-classe des human beings et donc the Catholics renvoie à une propriété possible de la notion human being ne peut être mis en parallèle qu’avec une autre propriété de la même notion. *
partition et extraction d’une sous classe des occurrences munie d’une certaine propriété (some people are catholic). On a donc à faire à une deuxième occurrence.
IV/ remarques sur V génériques de 0, a, et the
V générique possible dans les trois cas et découle toujours d’un*
Dans les trois cas on a*
Parcours totalisateur : 0 + Nom pl => blackbirds are small birds occ 1 + occ 2 + occ 3 + …
- Parcours rugueux : A + nom sing => a blackbird is a small bird
- parcours lisse : the + nom => the blackbird is a small bird
(individuation # absence d’individuation)
A madrigal is popular => popular non définitoire et donc
V/ articles et noms propres
Noms propres pas d’articles car*
Mais*
A Mrs X was trying to contact you this morning.
On peut même les pluraliser : the Wilsons
Mais règle générale = *
Old mrs Fletcher – dear little Eric
Toponyme : même règle mais qqs exceptions
pays, continents, régions : The Argentine – the USA
villes et districts urbains : The hague – The Bronx
lacs : The great Salt Lake
montagnes : The Andes – The rocky mountains (chaînes)
rues etc… : The high Street, the Mall
toujours the :
et aucune substitution possible imitation de la langue étrangère d’origine ou parenté avec nom commun
Ces analyses permettent d’expliquer emploi syst avec : noms de rivières : the (river) thames
Mers et océans : the Pacific Ocean
Canaux : The Panama Canal*
Lieux publics : The Majectic Hotel The Globe Theatre
The British Museum
Jamais quand forme génitive =>: Saint Paul’s cathedral Manips : les opposer les uns aux autres
par l’intermédiaire d’une occurrence quelconque (échantillon) on fait référence à l’ensemble de la classe d’occurences. (conserve l’individuation et singularité des occurrences)
repérage de l’énoncé par rapport à une situation quelconque.
une opération de parcours implicite de la classe d’occurences.
classe d’occurences ramenée à une occurrence typique (symbole) (donc bien lissage car occurrences ttes id à l’occ typique et donc n’apparaissent plus dans leur singularité) parcours totalisateur et lisse assez proches et s’opposent à parcours rugueux.
favorise individuation rendant la valeur générique de A impossible ici
autodéterminés.*
jeu sur la détermination reste possible.
absence d’article même si prémodifié (comportement proche nom commun)
joue le rôle de déterminant
certains grammairiens disent qu’il fait partie du nom propre
LES QUANTIFIEURS
*déterminants à valeur quantitative : pose existence d’un certain nombre de ou d’une certaine quantité de…
se rapprochent de « a » qui pose une occurrence mais diff parce que plus précis
I/ quantifieurs objectifs
mesure précise et vérifiable
numéraux + no
no peut se combiner avec du dense ou compact aussi et oscille entre quant obj et subj
one :
det numéral => extraction d’une occ mais marque plus fortement son caractère unique (par opp aux autres numéraux)
Pronom : même valeur et poss expliciter
cl d’occ avec SP en of…
I’ve made some cakes. Do you want one (of them)
Pronom générique : extraction sur la classe des humains et occ représentative de la classe des humains (ou généralement préféré en anglais courant)
substitut anaphorique d’un terme déjà mentionné : 2 analyses :
pronom
prop word = support pour une détermination ou qualification adjectivale
I’m looking for a book on grammar. Is this the one you mean ?
I’d like a drink, but a small one
Which ring would you prefer ? The red one.
Dans cet emploi : peut être pluralisé, mais garde sa V d’extraction d’une occurrence => rep l’occ extraite et peut donc être pluralisé.
One ne peut reprendre qu’un nom discret
Généralement pas employé après un génitif et jamais après those
les quantifieurs subjectifs
évaluation approximative qui émane de l’énonciateur
1; little, few, many, much
discret : few – a few – some – several – many – a lot of dense : little – a little – some – much – a lor of compact : little – some – much – a lot of
Opposition petite et grande quantité : much/many – little/few
Much souvent dans les énoncés négatifs en anglais courant (a lot of dans les énoncés aff)
comparaison possible :
more => much et many => quant sup à une autre quant mentionnée ou non
fewer => few => quant inférieure
Less => little => ‘’ (a de plus en plus tendance à s’associer avec du discret pluralisé) deviennent des quant relatifs et non plus absolus
few et little : défaut quand employés seuls et présences quand précédés de « a »
few et little => on tend vers 0 et donc connotation négative
« a » qui marque une extraction stabilise ce mvt => pose l’existence d’un certain nombre d’occ
autres quantifieurs subj (pour certains gr) :
each – every – all – both – either – neither – no – none – some – any
pose existence d’un certain nombre de ou d’une certaine quantité de… se rapprochent de « a » qui pose une occurrence mais diff parce que plus précis
2; every et each quant distributifs => parcours élmt par élmt de la cl d’occ seulement avec discret non pluralisé (car elmt par elmt) et acc verbal sing
- every :
- Each :
Quand cl = 2 éléments : each les sépare et every est imposs => both
each peut fonctionner comme pronom (noyau d’un SN) + complété par Sp en of (each of them…) mobilité quasi adverbiale (avant ou après porteur de temps => prédicat s’applique à chaque occurrence)
We each have our own car
Logique :
She emptied every one in the sink
Every one # everyone (humain mais deux mots quand suivi de of + N)
Manips :
each one et each 0
one = renvoie segment texte à gauche
each 0 => besoin proximité avec référent (tenter de le déplacer)
each + N / each of the + N
each of => séparer each (et son côté dissociatif) et une globalité (les Ns) dont le côté « ensemble déjà constitué) est souligné par la présence de « the »
each - every
All et both
nom discrets pluralisé => totalisation sur une classe d’occurences
Quirk : predet car peuvent précéder det centraux : the – his donc all / both prisoners => présence article 0
All et both + 0 => travail sur ensemble de la classe d’occurences All et both + the => travail sur une sous classe fléchée
Peuvent fonctionner comme pronoms + of + N (obligatoire avec pronom pers : All of us)=> deviennent noyau et donc on insiste sur la totalisation
All of us like Peter = We / the villagers all like Peter
Seul All + nom discret ou dense non pluralisé (logique!)
all the book
all the whisky
et All renvoie à l’intégralité de l’occ en totalisant implicitement ses parties constitutives.
Dans ce cas avec discret pluralisé => concurrence avec whole
Avec dense : dénbreur obligatoire : the whole bottle of Whisky
Manips :
all – any + N sing (mais any + dissociatif
all et every (every = ever + each donc globalité et dissociation)
marqueur de parcours totalisateur : parcours puis renvoie par totalisation à l’ensemble de la classe. Efface les différences et met totalisation en avant
parcours singularisant : décomposer la classe en chacune de ses occ, qui pourront être envisagées individuellement. Insiste sur différences plus que appartenant même classe.
each part de la classe et aboutit à des occ distincts # every a besoin d’une occ de départ pour totaliser (même si occ seulement « one »)
obligatoirement fléché
4; either, neither, non, no
either => parcours sur cl de 2 élements => en terme de choix (si plus de 2 éléments : any : can you see any part of the roof?)
fonctionnement de pronom : either will do. I haven’t written to either of my parents Neither : même chose mais parcours négatif => rejet des deux occurrences
Nom discret sing
No => rejet brut de toutes les occurences => absence d’occ et donc peut se combiner avec toutes les cat
Plus ou moins équivalent à not any dans ce type d’emploi mais pas toujours :
he is no doctor (non discret non pluralisé) # He is not any Doctor (sens différent )
he is no doctor => absence des prop constitutive de la cl => mais peut être un médecin malgré tout
he is not a doctor => n’appartient pas à la classe d’occ Not any impossible en position sujet # no
No => seulement determinant
Pronom : none (no + one) => accord sing possible mais pl plus fréquent et obligatoire avec pl
Did you see some of my students there.
There were none
None + of the (dense) => absence de quantité => sing ?
Different de no one => seulement humain
None pas compléter par of + N => doit obligatoirement reprendre un nom contexte avant
manips :
Opposition no one – nobody
: ensemble lexicalisé et body = nom commun + plus générique
no one : one plus grammatical + anaphorique (référent déjà mentionné ou pensé) + vient du numéral donc tend vers du spécifique
*
none => no + one
donc présuppose un référent proche dans le contx
5 some et any
même fonctions :
déterminants – proformes (some = forme pleine) – adverbes (is it any good? Some 40 miles from London)
classification habituelle : contexte aff, neg, interro => réducteur250g si moi et 25 kgs si épicier. Glose « j’ai acheté la quantité de beurre que j’ai acheté »
Comparaison avec certain en français
Oppostion : V quant de some et V qualitative de 0
Would you like tea or coffee ? - Would you like some coffee
Some + compact ==> some reluctance* inaccentué => faible degré = a certain kind of / a sort of (occ qui n’a pas toutes les qualités de la notion et s’en distingue qualitativement)
accent principal => haut degré de la qualité considérée = a great amount of
some + nom discret singulier : some student has been trying to reach you (forme pleine) = occurrence singulière mais non identifiable (# a).
En souligne incap à identifier
a = pose existence occ par rapport à une situation donc a des prop situationnelles et du coup potentiellement identifiable
some = occ se définit par rapport à l’énoncé et sa seule prop est de valider cet énoncé. Mais tout autre occurrence peut lui être substituée : Some book or other
Some + discret sing en position d’attribut du sujet : v de haut degré (accentué)
That’s some after shave => some indique que occ repérée par rapport à l’énoncé et donc par rapport à elle-même (puisqu’attribut) : « that aftershave is and aftershave which is an after shave » => produit valeur de haut degré.
Parfois V ironique quand contexte négatif.
V partititive => là encore parce que définition par rapport à l’énoncé some men do …, some don’t …
In some seas swimming may be dangerous.
Some … . others… . discret pl et accentué.
Pas seulement extraction d’un nombre d’occ mais partition sur la classe d’occ => caractère générique des énoncés et donc énoncés par rapport auquel l’occ est repéré vu comme prop définitoire des occ
et on a construction d’une sous-classe, caractérisée par le prop en question (opp poss avec d’autres sous-classes)
Cas très clair : some pronom + of + N (qui définit la classe)
V qui peut aussi se rencontrer avec du dense dans ce cas : She took some of the meat (opp partie/tout)
Some pronom sans of + N = obligatoirement partition sur cl des humains
Adverbe : porte directement sur l’expression d’une quantité : some 260 people received… Là encore quantité définie par rapport à l’énoncé et donc approximation (quelques 260 personnes
renvoi à un certain degré de la qualité envisagée
Any
quantifieur indéfini
: parcours sur les éléments sans vouloir ou pouvoir s’arrêter à l’un d’entre eux.
Discret : parcours sur les occ de la classe
dense : parcours sur les quantités
contexte interro : parcours pour voir si un élément (quelqu’il soit) permet de valider l’énoncé ou constitue une réponse à la question posée.
Contexte négatif : après parcours => n’existe pas un seul élément susceptible de valider l’énoncé envisagé.
Parcours élément par élément et peut donc apparaître avec du discret non pluralisé : There wasn’t any elevator
Compact : parcours sur les degré de la qualité : did he show any courage
any = adv : très proche de ça => He’s not getting any younger
Tout cela = valeur quantitative de « any »
Valeur quantitative : impossible en contexte assertif positif (I need any butter) parce que l’on s’arrête à un élément ou à un groupe d’éléments dont on pose l’existence et dont on dit qu’il valide l’énoncé (contraire de l’autre : arrêt à chaque occurrence)
Contexte affirmatif : Att ! Contexte affirmatifs possible sans assertions :
1 hypothèses => V quantitative poss !
If you find any mushroom in the sauce, tell me. => on a bien un parcours des possibles (proches des interro => forme interro indirect)
2 injonctions : come any day you like
avec modalité : He would do anything for money
Imposs avec certains modaux : should – must => trop proche des assertions positives
question et négation : porte de sortie (co-énonciateur qui répond ou sortie de la cl après parcours). Là, pas d’issue et aucune occ distinguables donc toutes identifiables les unes au autres.
Caractère quelconque de l’occ susceptible de valider l’énoncé est souligné.
Any accentué.
Cette valeur surtout avec discret non-pluralisé : individuer les occ avant de les présenter comme id les unes aux autres
poss avec dense => parcours des occ qualitatives : différentes sortes de Any (kind of) wine will do.
Valeur qualitative de any => 2 effets de sens différents :
une occ quelconque mais singulière (parcours occ par occ) et on marque la singularité :
students who have failed any grade twice…
renvoi à la totalité de la cl (car tte occ id aux autres)
Anyone can lose a book
Prop applicable à toute la classe. Mais effet de sens qui vient du*
contexte contradictoire permet any apparaître même sans modalité, avec vb état :
Anybody knows how to tie a square knot.
Ttes occ id les unes aux autres : En reconstruit homogénéité de la classe
V qualitative => poss aussi dans énoncés interro et nég : any accentué :
I don’t lend my books to anybody = I lend my book but not to anybody
Négation porte directement sur any. Son caractère quelconque est nié et énoncé valide seulement pour occ spécifiques. = I am very particular as to whom I lend my books…
Seule l’accentuation distingue la valeur quantitative de la valeur qualitative.
Manip : I don’t buy just any books (valeur qualitative)
I don’t buy any books at all (v quantitative)
Dans ces deux cas V qualitative : refus de s’arrêter : on laisse le choix au co-énonciateur ou alors on reste à un niveau quasi-hypo
contexte V poss que si énoncé = contradiction d’une assertion antérieure + accent contrastif
some/any
some => énoncés affirmatifs
any => énoncés négatifs ou interro
logique vu l’opération qu’ils expriment mais réducteur => any possible dans des én affirmatifs comme vu (avec ses deux valeurs)
any et le positif :
Mais peut aussi s’inscrire à l’intérieur d’assertions positives si elles renferment un terme à valeur négative portant directement ou indirectement sur any
adv semi-nég => hardly, barely…
prép without
préfixe privatif : in-, un- (vb ou adj)
expression à sém nég : it was rare…
nég sous-jacente :
How strange that anybody would believe that (I thought that nobody would believe that)
certaines structures comparatives :
The Russians have a rocket. It is more powerful than anything the US has. (the US doen’t have anything as powerful as that rocket)
comparatives d’excès : I am too feminine to see any meaning in destruction => I am so feminine that I cannot see any meaning in destruction
certains marqueurs de temps : She was up before anybody in the house was stirring => Nobody
in the house was stirring
first : it was her first meeting with any man… => she hadn’t met a man before
attitude dubitative de l’én : I looked all about for any sign of …
some et la négation
some + nég svt imposs et autre marqueur nécessaire
I don’t often have a headache (* sometimes)
marqueur à sémantisme négatif : peu compatible
hope => some doubt => any
eager => some reluctant => any
comparatives de suffisance accepte les deux mais plus souvent any : I am feminine enough to see some sense in life
Mais some poss aussi dans phrase négative :
The week is not without some good star trends => négation vient annuler le terme négatif et some devient poss
some people never vote => négation ne porte pas sur some (app au sujet) mais sur prédicat
John never does somthing until I ask him => dans le prédicat mais nég porte sur période temp
A play is not something you read but something… =>pas existence de la pièce qui est niée mais modalité d’existence
Some = hors de portée de la négation et pas de contradiction car existence qu’il pose pas remise en
some et la question :
Fred doesn’t like some books => there are some books fred doesn’t like
Fred doesn’t like any books => there aren’t any books that Fred likes (any supporte la négation)
Why don’t you do something => valeur positive de some = incitation à l’action (n’existe pas avec any)
Même chose avec les interro : possible si interro ne porte pas sur some :
Who could lend me some money ? (question porte sur who)
*Can someone help me ? On attend de préférence une réponse positive
Is there anything on in the street ? => I am just curious about…
Is there something on in the street => I hear some noise that suggests that… requête : Will you buy some beer ?
Offre : may I give you some pudding ?
Some dans les hypo :
If you find some mistakes in my translation => I’m afraid there will be some mistakes
V de promesse : If you give me some candy I’ll help you.
Manips : some et any
some et what a… accentuation
(question pas sur existence de So mais sur aide poss) orientation positive pour la question : suppose l’existence d’une V non nulle
THIS ET THAT
déterminant (+ Nom noyau Gn) => particularité : s’accordent en nombre
*Proforme => lui même le noyau
Appartiennent à la catégorie des déictiques (avec here, now, there et then)
démonstratif : problèmes de cette etiquette :
hand me that book, will you ? => plusieurs livres et c’est le geste qui fait la monstration
Quand reprend toute une proposition on est contraint de parler de démonstratif textuel
2/ deixis (acte de montrer en grecque) mais en fait plus large :
*deictiques (comme les pronoms personnels par exemple => appartiennent aussi à la deixis mais pas deictiques)
2 sous-cat de deictiques :
renvoi à la sphère de l’énonciateur (here, now, this et these)
renvoi hors de la sphère de l’énonciateur : (there, then, that et those)
3/ extraction et fléchage
deixis situationnelle : Now, if you’ll just sign this form
form pas mentionné avant : extraction et identification (à l’aide de l’élément de monstration) ont lieu en même temps. Occurrence se trouve automatiquement munie de la propriété différentielle de correspondre à la chose montrée.
Deixis textuelle : stop me if anybody has said this before…
4/ deixis situationnelle
a/ l’ostentation : surtout that qui s’associe à un geste => renvoi hors de la sphère de l’énonciateur Possible avec this aussi, y compris pour désigner ce qu’on tient dans les mains.
(That utiliser pour désigner ce que l’autre tient dans les mains)
Pour cela que :
this is to certify that Mr X is registered as a pharmaceutical chemist
this card is valid only when used by the person named
personne qui lit l’énoncé et joue donc rôle d’énonciateur
B/ proximité – distance
this proximité et rapprochement
That distance et eloignement
this is our bus coming – that’s our bus going
tient l’objet dans ses mains.
Mais attention pas règle systématique : that’s our bus coming down the road => ref non pas au mvt mais à sa position spatiale
Parfois c’est la linéarité du discours qui prend le dessus : this pour première occurrence puis that.
intérêt et rejet
jeu métaphorique => nuance affective = appréciatif (attirance, intérêt, estime) / dépréciatif (répulsion, hostilité, désintérêt)
présenter qqun => this => intégrer la pers dans la conversation. That le maintient à l’ext et en fait un objet de discours : impossible (sauf, that is J, my valet)
That dog of theirs : rejet accentué par SP en of => renvoi net hors de la sphère.
Attention tout cela pas étanche :
this is good news = that is good news
(plutôt que pronom car reprennent souvent tout un segment)
appartiennent à une classe de mots dont le sens varie avec la situation. Formes vides qui reçoivent leur sens dès qu’un locuteur les assume. Ils ont une référence fluctuante, ce qu’ils désignent se définit par rapport à l’énonciateur. Ils sont donc intrinsèquement rattachés à l’énonciateur.
les deux acceptables et pas de coloration affective.
L ‘énonciateur choisit juste de repérer par rapport à lui ou par rapport à l’autre.
This damned hair of mine : dépréciatif => mise en avant du côté obsédant du physique
keep that school-girl complexion : appréciatif => insiste sur risque de perdre ce joli teint (publicité)
e/ deixis temporelle
avec day, week, month…
this => périodes englobant le moment d’énonciation (this morning)
that => périodes coupées du moment d’énonciation (that morning)
That s’associe souvent au preterit car affinités avec le passé révolu
C/ autodésignation
this quand énonciateur parle de son corps ou se désigne => a storm is brewing. These joints can tell
that possible quand représentation de soi-même : photo par exemple
conversations téléphoniques : this pour s’autodésigner et that pour s’interroger sur identité du correspondant
d/
This se combine avec présent et surtout présent be+ing et present perfect
mais aussi futur plus ou moins proche prenant son point de départ au moment de l’énonciation this Friday = the Friday to come
I’ll do it this minute
one of these days
this renvoi à ce qui est devant nous alors que that renvoi à ce qui est derrière nous dans une démonstration :
This is how you do it : …
… That’s how you do it.
That’s the weather forecast. This is radio four…
5/ la deixis textuelle
Valeur anaphorique possible pour les deux. Peuvent référer : syntagme – prop – phrase ou ensemble de phrases
On dit souvent que seul this peut avoir une valeur *cataphorique : this should interest you, …. En fait possible pour that aussi mais plus rare.
Tout cela s’explique par sphère de l’énonciateur ou non :
Dans une narration
That pas repéré par rapport à l’énonciateur mais par rapport aux termes qu’il reprend donc a besoin d’être anaphorique.
Exple frappant : … that’s all !
This au contraire défini par rapport à l’énonciateur et donc peut donc renvoyer à l’avant ou à l’après du texte.
Mais quand déf contextuelle forte il devient impossible : Those who… (impossible remplacer par these)
Dans un texte narratif : *this =
First it must be bleached. This means its original colour must be removed…
Dans les récits oraux :
There’s this nice guy and…
He is carrying this copy of Oliver Twist…
Enonciateur se met en rapport direct avec son sujet, l’introduit et du même coup lui donne le statut de thème narratif principal
That possible dans ce cas si objet déjà introduit ou repéré par rapport au discours mais ne devient pas thème narr princ
Manips :
substitutions :
this – that
this et it (it moins désignatif – focalisation du référent moins importante + it simple outil de renvoie à alors que this => commentaire
those et all (all = totalité pas sous-ensemble)
all of those => of = séparation et all + autonome. On pose un domaine d’investigation qu’on évalue avec all.
surgissement de l’én qui se réapproprie le discours pour intro une explication pers ou marquer son étonnement etc…
LE GENITIF
I/ formation
Marque qui vient du vieil anglais (langue casuelle) -es devenu ‘s
Quand avec un singulier => même règle de prononciation que les pluriels réguliers pluriel réguliers => génitif = « ‘ »
noms propres : même règles
cas où ils se terminent graphiquement par un « s »
si « s » se prononce /z/ => on peut avoir « s » ou « ‘ » et /iz/ => Dickens’ = /dikinz/ (# pl en s => ladies’ = /leidi:z/)
si « s » se prononce /s/ => fonctionnement régulier
noms propres grec > 2 syllabes => « ‘ » mais non prononcée Jesus et Moses => « s » ou « ‘ » => non prononcé
cas particulier : for N sake => lorsque non se termine phon par /s/ => « ‘ » non prononcée II/ valeurs sémantiques
cas possessif => mauvaise terminologie car préjuge du lien sémantique entre les deux
étiquettes sémantiques :
Gén de possession : My wife’s father => my father has a wife
Gén partitif : The baby’s eyes => the baby has (blue) eyes Gén d’origine : the girl’s story => the girl told a story
Gén descriptif : a women’s college => a college for women
a doctor’s degree => a doctoral degree
Gén de mesure : ten day’s absence : the absence lasted ten days
Gén de datation : today’s paper
*the victim’s courage => the victim was courageous
génitifs syntaxiques :
génitif subjectif: the boy’s application => the boy applied for
Gén objectif : the family’s support => … supports the family
att ! Sur l’ensemble des cat => nom au génitif = svt sujet mais gén subjectif ou obj que lorsque nom noyau de la construction génitive correspond à un vb ou prédicat nominalisé : apply = application ou support = support)
III/ pb compatibilité N1’sN2 ou N2 of N1 ? Pb de choix entre les deux
Mêmes interprétations sémantiques
plusieurs facteurs contraignants :
longueur du GN : si noyau post-modifié par relative, participiale, SP, et mise en relation directe des 2 noms imposs => const en Of
Attention pas vrai quand GN perçu comme un tout : my brother in law’s car – the teacher of music’s room
GN = deux noms reliés par and
John’s and Peter’s sisters=> chacun leurs soeurs et donc pas frères => nom noyau forcément au pluriel
J
John and Peter’s sister(s)=> les même soeurs donc frères
génitif attributif :
J and P’s room => une pièce commune
J and P’s rooms => pièces communes
J’s and peter’s rooms => chacun la sienne
humain / non humain – animé / non animé
si N1 = animé humain => en général N1’s N2 (règle stricte quand nom propre stt avec valeur de possession)
N1’s N2 => impossible si N1 = adj nominalisé => *the sick’s needs
N1’s N2 si N1 = animé non humain (dans la plupart des cas)
N2 of N1 si N1 = inanimé (dans la plupart des cas)
Mais si trait humain attribué à l’inanimé => N1’s N2 devient aussi recevable que l’autre. => noms collectifs : the gvt’s plans = the plans of the gvt
=> continents, pays, états, villes … => Europe’s future (mais pas vrai si perçu comme entité géo)
=> noms lieux et institutions liés activité humaine : church, hotel, school, world fréquent quand N2 modifié par superlatif ou par terme comme only, first, last concurrence avec construction en in :
the world’s best universities = the best universities in the world
=> noms objets et concepts supposant activité humaine : the brain’s total weight – the body’s needs – the treaty’s ratification – the game’s history – the book’s true importance – the ship’s crew (moyen de locomotion => she)
cas particuliers :
*noms désignant des datations : the decade’s event – next week’s arrangement
noms renvoyant unités de durée et de distance
a week’s holiday – a two miles’ walk
pas concurrence avec « of » (changement sémantique quand elle est possible) mais avec noms composés :
a ten minutes’ drive = a ten minute drive
certaines exp figées : a stone’s throw, at arm’s length (const en of impossible) qqs cas ou génitif autorisé par la nature de N2 :
at the river’s edge – for heaven’s sake … (construction en of possible aussi)
Mais tout cela seulement grandes tendances et choix revient souvent à l’énonciateur car deux opérations différentes :
N2 of N1 => envisage deux termes indépendamment t construit relation avec of => part de N2 et le complète avec SP.
SP = apport majeur d’info et N2 app au déjà connu.
(construction en of difficilement acceptable => const en for avec certains d’entre eux : the arrangements for next week)
N1’s N2 : 2 termes vus globalement comme résultat d’une relation préexistante. N1’s = rôle de dét (particulier car peut subir détermination et modif)
Opération de fléchage comparable à celle de the. Opération qui id N2 et ne pourra donc jamais être une première occ : a funnel of the ship => pas d’équivalent au génitif
Pour id N2 => N1 repère stable et donc déjà connu (=> noms propres auto-det) N1 déjà donné + rôle de det => N2 = info principale
Parfois cette volonté de mise en valeur pousse à transgresser les règle :
that shroud was the shroud of JC G Croft, the son of Sir Croft
Const en of => mise en relation => précéde donc parfois uns const génitive avec les deux même noms.
Le plus souvent mise en relation se déduit du contexte ou de notre connaissance du monde
autres facteurs de choix
ambiguité : J’s photograph = ambiguë (taken of, taken by, belonging?) The photo of J => the photgraph taken of John
analyse : N1 = sujet => J took the photo => N1’s N2
N1 = objet => the photo represents J => N2 of N1
Même type d’ambiguité avec les gén subj et obj :
J’s murder => 2 int poss
aide :
contexte :
vb nominalisé => * the minister’s arrival the tenants’ scrutiny by the landlord
the tenants’ scrutiny of the landlord
Parfois complémentation utilisé comme test.
Sémantique :
the city’s destruction – the pb’s resolution => seule int poss : obj (nature de N1) the students’ examination (connaissance du monde)
Mais parfois ambiguité subsiste.
Poss aussi avec struct en of : the shooting of the hunter
mais majoritairement utilisée pour exprimer relation objective : the defeat of napoleon
N1’s N2 => de préf relation subjective : the hunter’s shooting – the gvt’s decision nominalisations gérondives avec lesquels on a obligatoirement recours à la construction N1’s N2
=> int subjective syst
intr alors gén subj :
IV /Génitif générique et génitif déterminatif
Tous les cas vus jusque là = gén déterminatifs : N1 déterminant de N2 et tjs poss modifié et dét.
His new girl-friend’s / her / this second-hand car
Génitif générique : N1 fonction d’adjectif (moins fréquente) => sémantique : génitif descriptif
N1 décrit et qualifie N2 : A doctor’s degree = a doctoral degree
N1 => prop permettant de définir une sous-catégorie à l’int de la catégorie générale des diplômes, d’où => génitif générique.
* A butcher’s knife – a prisoners’ camp
Différences entre les deux :
(manipulation utile pour les distinguer!)
portée du déterminant
Gén Dét : N1 = déterminant donc tout autre det le précédent porte uniquement sur lui
Gén : an old people’s home => N1 => pluriel donc article porte sur ensemble de la construction.
Autre exemple : 0 goat’s milk => article 0 porte forcément sur milk puisqu’il est dense.
Présence d’un adj :
gén det : modifie N1
gén gén modifie l’ensemble (sauf qqs exceptions : a poor people’s home) certaines constructions :
2 interprétations possibles : His old captain’s uniform
Gén gén proche du nom composé :
concurrence possible= concurrence possible
définit lui aussi une sous-catégorie + même schéma accentuel : gén gén svt accentué sur N1
Gén dét svt accentué sur N2
impossible de les séparer par un adjectif qualifiant N2
Génitif de mesure = gén génériques : a two miles’walk
à noter => a mile’s walk => a joue le rôle de one et de ce fait porte sur N1 seulement construction générique et N1 pas det de N2 ici mais on retr à un nv ss-jacent le schéma typique du gén déterminatif.
En fait article 0 qui porte sur ensemble de la construction.
Même chose : we had 0 ten minutes’ break
On pourrait ajouter l’article « a » => a ten minute break mais comme pour walk en fait le nom adopte un comportement quasi compact, comme pour souligner le côté qualitatif de la mesure. => d’où le 0 comme dans
:
it was three years’ work
Construction en « of » systématiquement irrecevable
V/ Agencements particuliers
1/ le génitif indépendant => N2 a été effacé éviter une répétition
noms comme « shop » => génitif locatif
cons fréquente avec noms de bâtiments publics (si connus) => Saint Paul’s
magasins ou lieux ass activité pro (parfois même la marque du gén disparaît ou se confond avec le pluriel quand grandes entreprises : boots (pluralité interne due à leur complexité => incertitude du statut du « s » => acc sing et pluriel possibles)
résidence perso
effacement poss seulement si N2 n’est pas le centre d’intérêt => can you see that butcher’s shop over there => imposs supprimer.
2/ gén postposé
construction gén elliptique immédiatement précédée d’une constrction en « of » a friend of Henry’s
génitif peut même se réduire à un pronom possessif
mais N1 doit être un animé humain identifié
Cert gr => v partitive du génitif postposé
a friend of my wife’s = one of my wife’s friends
mais suppose que N2 effacé = celui qui est complété par SP en of…
Travaille sur la classe des amis de mon père, dont on extrait avec of un ou plusieurs éléments.
Hors struct génitive peut s’utiliser même si mon père n’a qu’un ami.
that wife of my dad’s (péjoratif) => imposs d’extraire sur classe des femmes de mon père.
*That wife of John’s : extraction de wife se fait sur entourage de John
Manips : substituer les différentes formes de génitifs entre elles
En fait génitif postposé renvoie vaguement à l’ensemble des éléments localisés par rapport à N1 :
Les indéfinis
Ils contribuent à placer l’objet au premier plan énonciatif ( plutôt que première mention ) What a nice book That fool of a policeman. My scamp of a husband. b) les formes de l’article
Le second énoncé
The dark window: hypallage
Cette synthèse nie la réalité extérieure et signifie l’isolement du personnage
Le défini
A l’indéfini l’enonciateur et le référent coïncident; au défini le référent est imaginé a l’écart et l’énonciation souvent le reprend; anaphore textuelle.
Défini : présupposition d’existence
Le défini signale une réélaboration syntaxique décidée par l’enonciateur, d’une relation première qui n’est pas forcément exprimée dans le texte mais que l’on postulera dans la genèse de l’énoncé.
A dark wall opposite the window :
L’article est l’indice de l’integration
Le repérage “opposite the window” est présente comme détermination pour l’élément dark wall”
Si l’intégration est forte la localisation devient définitoire
A dark wall opposite the window ne dit pas que le déterminé est parfaitement identifié par la détermination: the dark wall opposite the window présente la determination comme nécessaire à son identification. L’article défini intégre plus étroitement le déterminant en le rendant définitoire.il clôt le discours sur le référent.
C) l’anaphore de construction.
L’article défini marque une anaphore “intérieure ou de construction.
Be+ING
Peter is watching television. La construction BE+ ING signifie que le proces est visible au moment de l’énonciation et
Seulement de discours.
L’imperfection et l’observabilte de la situation s’expliquerait mutuellement.
Le procès est qualifié de l’intérieur. Il est focalisé
Be + ING est donc la trace d’un travail énonciatif poussé, d’une modalisation de la relation prédicative
Pierre Cotte