maladies du système URO-GÉNITAL Flashcards

1
Q

concernant le complexe cystite-pyélonéphrite :

nommer des étiologies bactériennes

A

bactéries flore normale :
actinobaculum suis
bactéries opportunistes (environnement):
e. coli, streptococcus, proteus, klebsiella

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2
Q

décrire les signes cliniques de cystite

A
  1. écoulements vulvaires lors de la miction : peu abondants, purulents, mucoïdes (mucohémorragique)
  2. urine trouble, +/- hématurie
  3. problème non associé au cycle oestral
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3
Q

présence de dépôts blanchâtres a/n de la vulve indicatif de quoi ?

A

URINE CONCENTRÉE
penser potentiellement à un sous-abreuvement.
Facteur de risque aux cystites - irritation muqueuse favorisant croissance bactérienne.

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4
Q

nommer des signes cliniques lors de pyélonéphrite

A

SIGNES SYSTÉMIQUES ; anorexie, amaigrissement, avec signes de cystite

si problème de troupeau : nous allons avoir un taux de réforme augmenté, avec taux de mortalité augmenté.

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5
Q

concernant le complexe cystite-pyélonéphrite à la nécropsie :

comment différencier un exsudat purulent et des sédiments ?

A

apparence de la muqueuse : si muqueuse hyperémique/hémorragique = penser à exsudat

les sédiments peuvent se former si truie n’urine pas souvent ! (N)

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6
Q

décrire des lésions macroscopiques rénales lors de pyélonéphrite

principal DDX ?

A
  • bassinet dilaté et rempli de pus +/- sang, peu/pas d’exsudat lorsque chronique.
  • présence de zones décolorées (pâles) a/n de la médulla.
  • zones de nécrose corticale visibles a/n des pôles rénaux (en condition aiguë)
  • néphrosclérose en stade chronique : le rein est petit, ferme, bosselé.

DDX : présence de mucus (absence de d’autres changements)

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7
Q

nommer la lésion

A

nécrose des papilles rénales - lors de pyélonéphrite subaiguës à chroniques.

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8
Q

concernant le complexe cystite-pyélonéphrite :

comment faire le DXT étiologique final ?

A

bactériologie !!
nous pouvons faire un gram pour différencier Actinobaculum suis (gram +) et E. coli (gram -)

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9
Q

V/F : Actinobaculum suis est une culture bactérienne de routine.

A

FAUX. bactérie anaérobe!! milieu de culture spécial requis.

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10
Q

nommer les catégories de facteurs de risque pour le complexe cystite-pyélonéphrite.

A

1) considérations anatomiques
2) âge - vieilles truies à risque (vulve flasque, plus de temps couchée, diminution consommation d’eau, vessie souple causant diminution efficacité de la vidange).
3) saillie naturelle
4) problèmes locomoteurs
5) sous-abreuvement
6) mauvaises conditions d’hygiène (plancher plein, conditions d’ambiance, …)

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11
Q

pourquoi la conformation anatomique des truies prédispose aux complexe cystite-pyélonéphrite

A

urètre court et LARGE : favorise entrée de bactérie dans la vessie.
urètre se termine dans le vestibule vaginal - risque d’infection lors de l’insimination.

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12
Q

V/F : les mâles sont porteurs de la bactérie Actinobaculum suis a/n du prépuce.

A

vrai.
ils peuvent transmettre la bactérie lors de la saillie naturelle

la plupart des verrats âgés de 6 mois et plus serait porteurs !

95% des troupeaux pratiquent l’insimination artificielle

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13
Q

nommer deux conditions dans lesquelles les truies peuvent moins se lever

pourquoi un décubitus prolongé prédisposer au complexe CP ?

A

1) embonpoint/obésité
2) problèmes locomoteurs (âge avancé!)

lorsque les truies se lèvent mois, plus de contamination du périné et donc plus de risque d’infection ascendante vers la vessie. Aussi, nous pouvons avoir une diminution de la prise d’eau causant une diminution du “flush” a/n de la vessie.

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14
Q

quel est l’état de chair visé chez les truies ?

A

3

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15
Q

une truie en gestation n’a pas les même besoins alimentaires qu’une truie en mise-bas. quels sont les besoins en gestation ? et en mise-bas ?

A

GESTATION moulée gestante :
2.2 kg/jour, jusqu’à 3 kg/jour en fin de gestation, divisé en 1-2 repas par jour.

MISE-BAS moulée lactante, riche :
offrir 2-3 repas par jour, à volonté - souvent 6-7 kg/jour et plus !

nous voulons que la truie maintiennent un poids STABLE.

par la suite, au sevrage, ajustement selon la côte de chair de l’animal.

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16
Q

expliquer comment une diminution de la consommation d’eau peut favoriser une cystite, +/- pyélonéphrite.

A

va faire en sorte que l’animal urine moins = stagnation de l’urine dans la vessie, favorisant la croissance bactérienne

Attention ! nous ne voulons pas un sur abreuvement ! une densité urinaire insuffisante peut favoriser la colonisation bactérienne, et vessie trop pleine peut causer une diminution de la sensibilité/fonction a/n du m. detrusor

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17
Q

CAGE ou PARC : quel type de logement constitue un risque accrue de complexe CP

pourquoi ?

A

CAGE : manque d’exercice des truies - décubitus prolongé donc contamination accrue du périnée !

dans les parcs nous avons des aires de couchettes, d’alimentation et de défécation (diminution de la contamination du périnée)

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18
Q

V/F : idéalement, on devrait intervenir à toutes les mise-bas pour réduire les mortalités pré-sevrage.

A

FAUX !!! augmente le risque de contamination ascendante ++

si nous avons à intervenir : faire un lavage préalable (chlorex, lingettes, …) de la vulve, utiliser un gant (1 gant par fouille).

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19
Q

quels sont les façons de poser un DXT de cystite-pyélonéphrite

A

1) analyse d’urine
2) analyse du pH urinaire - si pH > 8.5, indicatif de A. suis

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20
Q

V/F : la bactériologie est peu utilisée chez les truies pour le dxt de CP

A

VRAI ! cathétérisme urinaire pas possible chez la truie, donc risque de contamination ++ lors de la récolte d’urine par miction naturelle.

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21
Q

quel est le pH urinaire normal chez la truie ?

A

entre 5.5 et 7.5

le pH peut être influencé par la diète ! ex. diète riche en protéines peut faire augmenter le pH

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22
Q

quel test postmortem pouvons-nous faire pour confirmer qu’une pyélonéphrite était la cause de la mort ?

A

mesure de l’urée dans l’humeur aqueuse.
(45 et 92 mmol/L - N 9-10 mmol/L)

augmentation des qtés d’urée lors d’affection rénale

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23
Q

concernant le complexe CP :

nommer des principes de traitement et prévention

A

1) identifier et corriger les facteurs de risque;
2) acidification de l’eau ou la moulée :
3) favoriser une bonne consommation d’eau : augmenter fréquence des repas, eau appétente, bon débit,

si problème individuel, nous pouvons essayer des atb mais traitement souvent décevant (surtout lors d’affection rénale).

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24
Q

quelle est la consommation d’eau d’une truie gestante ? et une truie en lactation ?

A

truies gestantes : 12-25 L/jour
truies en lactation : 10-30 L/jour

minimum 18L/jour !!!

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25
Q

à quel débit devons nous ajuster les fontaines d’eau dans les maternités?

A

2 L/min

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26
Q

V/F : la vaccination contre la leptospirose est largement répandue dans les troupeaux reproducteurs.

A

vrai ! donc lepto peu fréquente

fait parti de la vaccination de routine chez les truies ! avant saillie

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27
Q

nommer deux problèmes engendrés par la leptospirose chez le porc.

A

1) problèmes reproducteurs : infertilité, avortements.
2) problèmes rénaux (engraissement ++) : souvent asymtomatique

28
Q

nommer l’agent étiologique de la leptospirose chez le porc.

A

leptospira interrogans
plusieurs sérovars (23) : pomona (kennewick), bratislava, hardjo, canicola, icterohaemorrahagiae, grippotyphosa.

29
Q

V/F : L. interrogans sérovar pomona serait à l’origine de problèmes resproducteurs, surtout chez les vieilles truies.

A

FAUX, surtout chez les primipares !

30
Q

L. interrogans est sécrété dans quel liquide corporel principalement ?

A

urine!! les animaux s’infectent en étant en contact avec urine contaminée.

l’infection peut se transmettre par contact direct avec eau ou sol contaminé, via introduction d’animaux porteurs (possible aussi contamination par d’autres animaux domestiques ou sauvages!)

31
Q

Décrire brièvement la pathogénie de la leptospirose chez le porc.

A
  1. infection de la sous-muqueuse ou plaie par urine contaminée.
  2. BACTÉRIÉMIE (2 jours PI)
  3. atteinte de l’utérus et des reins.
  4. leptospirurie (pendant 1 mois à 2 ans) = contamination de l’environnement.
  5. chez femelles gestantes = septicémie chez le foetus = avortements

Un porc infecté peut sécréter plus d’un million de bactérie par ml dans les urines !!! surtout dans le premier mois post-infection.

32
Q

dans quel partie du reins L. interrogans va se loger ?

A

dans les tubules proximaux

33
Q

les avortements surviennent combien de jours post-infection à la lepto?

A

1 à 4 semaines

la truie va déjà avoir séro-conversé !

34
Q

après combien de jours PI nous avons une atteinte des reins de L. interrogans

A

5 à 10 jours PI !

35
Q

décrire les signes cliniques de L. interrogans sérovar POMONA

A

aiguë :
peu de signes cliniques ! A-, fièvre.
avortement - dernier tiers de gestation ++, et autres problèmes reproducteurs : morts nés, porcelets faibles à la naissance, …

les problèmes rénaux sont ASYMPTOMATIQUES - cause une néphrite interstitielle, sourtout chez les porcs à l’engrais

les avortons vont être de la mm grosseur !!! meurent en même temps.

36
Q

pourquoi les foetus en fin de gestation (dernier 1/3) sont plus susceptibles d’être infectés par L. interrogans ?

A

perméabilité placentaire augmentée !!

37
Q

V/F : au moment de l’avortement, la truie aura probablement séro-conversé, et les avortons aussi.

A

vrai !

les avortons vont avoir des lésions peu spécifiques : surtout liés à l’auto-lyse des tissus - oedème, sérosités sérosanguinolentes dans les cavités, pétéchies au cortex rénal, nécrose focale du foie. Le placenta est normal.

38
Q

V/F : L. interrogans sérovar BRATISLAVA est excrété de façon importante dans les urines.

A

faux : surtout la voie vénérienne qui est impliquée !

peu d’excrétion urinaire.

39
Q

décrire des signes cliniques causé par L. interrogans sérovar BRATISLAVA

A

INFERTILITÉ
retour en chaleur de la truie après la saillie !

40
Q

les lésions rénales causées par L. interrogans sont visible après combien de temps PI ?

A

14 mois !!!
lésions chroniques !

donc lésions parfois non visible rendu à l’abattoir !

41
Q

porc avec une néphrite interstitielle à la nécropsie. DDX?

petits points blanchâtres, +/- définis dans le cortex, pouvant être visibles en surface et en coupe (bandes en coupe)
A

PCV2 vs. leptospirose vs. SRRP vs. cytomégalovirus.

PCV2 = SDPS

souvent des lésions chroniques !

42
Q

concernant la néphrite interstitielle en histopath:

étant donné que la lésion est chronique, vous voyons de la fibrose ++. si nous voyons de l’inflammation granulomateuse (macrophages), quel maladie suspecter ?

A

le PCV2

43
Q

concernant le dxt de L. interrogans :

V/F : la coloration à l’argent (warthin-starry) sur une biopsie rénale permet la mise en évidence des leptospires.

A

vrai! mais bactéries rarement visibles - nous optons plutôt pour le PCR.

44
Q

nommer les 2 sérovars de L. interrogans les plus fréquent en Amérique du Nord.

A
  1. POMONA
  2. BRATISLAVA
45
Q

V/F : L. interrogans POMONA est une zoonose.

A

vrai ! zoonose professionnelle : personnes en contact ++ avec les porcs.

46
Q

décrire les principes de traitement de L. interrogans

A

ANTIBIOTHÉRAPIE : tétracyclines.

faire le contrôle des rongeurs pour la prévention ! (réservoir)

par contre, infection très peu courante puisque nous vaccinons chez les reproducteurs! vaccination effectuée AVANT la saillie! (souvent au moment du sevrage)

47
Q

V/F : les kystes rénaux, même lorsque volumineux, n’ont aucun impact sur la fonction rénale.

A

VRAI :-)
fréquemment observés à l’abattoir

48
Q

quelle est la lésion ? secondaire à quoi ?

A

dépôts d’urates a/n des reins - stries blanchâtres dans la médulla.

secondaire à la déshydratation !! ex. chez les porcelets en D+ sous la mamelle

49
Q

nommer les 3 tumeurs les plus fréquentes chez le porc :

A
  1. lymphome
  2. néphroblastome
  3. mélanome
50
Q

les néphrites emboliques sont secondaires à quoi?

décrire les lésions ressemblent à quoi à la nécropsie

A
  1. SEPTICÉMIE : Actinobacillus suis, Erysipelothrix rhusiopathiae
présence d'emboles bactériens : le reins devient parsemé de petits points blancs (avec +/- un liséré hémorragique) à rouge, pouvant être visible en surface et en coupe.
51
Q

Apparence des reins de porc atteint d’une glomérulonéphrite en nécropsie ?

cause suspectée ?

A

les reins sont pâles, volumineux, luisant +/- pétéchies.

à l’histopath (DXT !) - prolifération cellulaire (neutrophiles) et présence de protéines dans le filtrat glomérulaire.

idiopathique… mais origine immunitaire suspectée.

52
Q

DDX d’un porc avec une glomérulophrite ?

A

idiopathique vs. syndrome de dermatite-néphropathie porcin (PCV2) vs. cytomégalovirus vs. pestes porcines.

53
Q

durée de gestation chez la truie ?

intervalle pendant lequel nous avons des avortements? prématurés ?

A

112 à 116 jours
avortements : 14 à 100 jours
mise-bas prématurées : 100 à 112 jours

54
Q

autre que le SRRP, nomme une condition infectieuse touchant le système reproducteur.

A

PARVOVIRUS PORCIN

infection répandue, rare puisque nous vaccinons les troupeaux reproducteurs.
il y a aussi le PCV2 et leptospirose

55
Q

concernant le parvovirus :

virus ARN ou ADN ?
résistant dans l’environnement ou non ?

A

virus ADN
extrêmement résistant dans l’environnement.

résiste jusqu’à 4 mois dans les parcs ! presqu’impossible à éliminer

56
Q

V/F : l’infection au parvovirus va causer aucun signes systémiques chez les adultes.

A

vrai ! affecte surtout les nullipares et primipares.

57
Q

qu’est-ce qui fait en sorte que lors d’infection au parvovirus, les avortons ont des tailles différentes ?

A

les foetus s’infectent à tour de rôle
via transmission transplacentaire.

par contre, les AVORTEMENTS sont rares, puisque nous avons une partie de la portée qui va survivre !

58
Q

après combien de jours de gestation nous avons une immunocompétence des foetus ?

A

70 jours - ces foetus peuvent survivre à une infection au parvovirus (vont séroconverser)

par contre, il vont être souvent faibles à la naissance.

59
Q

concernant l’infection au parvovirus :

outre que des porcelets momifiés de différentes tailles, nommer d’autres signes cliniques.

A

porcelets faible à la naissance, petites portées.
retour en chaleur (suite à résorption embryonnaire).
avortements exceptionnellement

NE CAUSE PAS DE D+ !

60
Q

si nous voulons poser un DXT de parvovirus sur des porcelets morts-nés:

quand est-ce que nous faisons du PCR, ou du ELISA ?

A

PCR : lorsque les porcelets mesurent moins de 14 cm - mort avant 70 jrs!

ELISA : lorsque les porcelets mesurent plus de 14 cm - mort après 70 jours - immunocompétent!

61
Q

concernant le DXT du parvovirus chez la truie :

quels sont les facteurs importants à prendre en compte lorsque nous détectons des Ac ?

A
  1. prévalence élevée de l’infection ! nous devons faire des sérums pairés pour confirmer une infection récente.
  2. VACCINATION RÉPANDUE : le test ELISA doit différencier les anticorps issus d’une infection vs. d’une vaccination.
62
Q

à quel moment nous vaccinons pour le parvovirus ?

A

AVANT la saillie (2 doses)

la circulation du virus demeurent toujours possible

vacciner tout le troupeau ! ne pas oublier les verrats et les cochettes.

63
Q

concernant la vaccination pour le parvovirus :

qu’est-ce qui peut affecter la réponse à la vaccination ?

A

la présence d’immunité maternelle - problème surtout chez les jeunes reproducteurs !

c’est pour cette raisons que nous donnons 2 doses.

idéalement donner le plus tard possible avant la saillie, mais la deuxième dose doit être donnée minimum 2 semaines avant la saillie.

64
Q

quelle est l’étiologie de la pseudorage (maladie d’Aujesky) ?

A

herpèsvirus de type 1 (ADN)
longue période de latence dans les ganglions nerveux

65
Q

La pseudorage va causer des avortements, momification foetale (différentes tailles) et des morts nés. nommer d’autres SCs causés par cette maladie, par stade de production.

A

sous la mère : mortalité +++
pouponnière : signes neurologiques
engraissement : signes respiratoires