MEYER SDRC Flashcards
(44 cards)
Les critères de Budapest sont des critères cliniques qui ont mis en évidence le fait de parler d’une d+ chronique secondaire (cad de longue durée et spontanée)
Les critères de Budapest sont des critères cliniques qui ont mis en évidence le fait de parler d’une d+ chronique primaire (cad de longue durée et spontanée)
Depuis les critères de Budapest on en a conclu que le type (I/II/NOS) n’a pas d’importance
VRAI
Le SDRC touche plus les femmes que les hommes
VRAI
2-3 Femmes > 1 homme
Le SDRC touche plus le MI que le MS
FAUX
2X + de MS que de MI
Le SDRC touche plus les 50-70ans
VRAI
La plupart des SDRC sont spontanés
FAUX
Traumatisme initial mais 5-10% spontanés
- 40 % post-fracture ou une chirurgie (arthroscopie genou)
- 30 % post-compression du nerf médian
- 9 % post-lésion radiculaire
- 6 % post-lésion médullaire.
- 10 % traumatisme mineur (entorse)
Il y a une corrélation gravité du trauma et sévérité SDRC
FAUX
Pas de corrélation : gravité trauma – sévérité SDRC
Les symptômes du SDRC sont au niveau des extrémités
VRAI
(poignet, genou, cheville)
La douleur est présente aussi au repos et la nuit et est disproportionnée par rapport à l’évaluation initiale
VRAI
La douleur est soulagée par le mouvement
FAUX
La douleur est aggravée par le mouvement
L’installation des symptômes est progressive avec des anomalies sensorielles, motrices (↘ force et mobilité), autonomiques (gonflé, rouge, luisant)
VRAI
Les critères de Budapest se basent sur 4 critères
1. Douleur intermittente, disproportionnée par rapport à un éventuel événement déclenchant
2. Le patient doit signaler au moins 1 symptôme dans 2 des 4 catégories (sensorielle, vasomotrice, sudomotrice, motrice)
3. Au moment de l’examen, on doit observer au moins un signe dans 3 des 4 catégories
4. Absence d’autre diagnostic pouvant mieux expliquer les signes et les symptômes
FAUX
Les critères de Budapest se basent sur 4 critères
1. Douleur permanente, disproportionnée par rapport à un éventuel événement déclenchant
2. Le patient doit signaler au moins 1 symptôme dans 3 des 4 catégories (sensorielle, vasomotrice, sudomotrice, motrice)
3. Au moment de l’examen, on doit observer au moins un signe dans 2 des 4 catégories
4. Absence d’autre diagnostic pouvant mieux expliquer les signes et les symptômes
Il existe des phases chaudes, froides en fonction de la douleur ressentie mais cela n’est pas un continuum
VRAI
Quels est le mécanisme inflammatoire classique du SDRC ?
Inflammation classique :
- ↗ des cytokines pro-inflammatoire (TNFα et IL-1β, -2, -6) dans les liquides locaux – LCR (liq céphalo rachidien) – plasma
- ↘ des cytokines anti-inflammatoire (IL 10) ds sang
Quel est le mécanisme inflammatoire neurogénique du SDRC ?
Inflammation neurogénique : d+
- Fibres C nociceptives sécrètent des neuropeptides ds sang :
* Substance P (d+ ↑) : dev œdème/activité ostéoclastique
* CGRP : vasodilatation (hyperthermie/érythème/SNA par hyperhydrose)
+ bradykinine : sensibilisation nociceptive
Quel est le mécanisme sympathique du SDRC chaud ?
inflammation neurogénique + inhibition des neurones sympathiques vasoconstricteurs → vasodilatation
Quel est le mécanisme sympathique du SDRC long terme ?
Long terme : redistribut° du flux sanguin dans artérioles (↓ de l’alimentat° capillaire localement → shunt artério-veineux)
Quel est le mécanisme sympathique de l’hypoxie tissulaire dans le SDRC ?
Hypoxie tissulaire :
- Peau : ↓ O2 et ↑ lactate
- Muscle : acidose et radicaux libres → stimulation afférente nociceptive
Quels sont les mécanismes neurologiques centraux ?
Intégration des infos motrices/sensorielles perturbées : symptômes sensitifs/moteurs (parésie, myoclonie, dystonie, tremblements, hémi hypoesthésie)
→ pourraient faire penser à un AVC
Intégration visuelles/proprioceptives perturbées
Modification du schéma corporel :
- d+ → stimule zone sensorielle, attentionnelle, motrice
- Représentation corticale (somatosensoriel S1) ↓ et parfois même une héminégligence peut s’installer
L’immobilisation est bénéfique
FAUX
Immobilisation renforce le cercle vicieux de la douleur
Il existe un lien avec les facteurs génétiques chez les patients SDRC
VRAI
L’évolution du SDRC est défavorable
FAUX
Naturellement favorable, évolue plutôt bien peu d’impact sur la QdV : amélioration des sympt de 70% dans la 1er année
Quels sont les facteurs de risques de chronicité ?
- Peur du mouvement
- Anxiété
- Douleur initiale
- Intensité de l’évènement trauma que déclencheur
- “Disability” : ceux qui ont bcp de handicap
- Être une femme