Nephro Flashcards

(141 cards)

1
Q

DFG

A

Mesure fonction renale
Suivi de maladie renale
Adaptation es doses de medicaments
DFG mesuré indirectement par clairance plasmatique de substance X
DFG= Cliarance de substance X si substance X n’est pas eliinée en extra-renale, rebsorbé, secrété, non liée aux protéines, filtrée librement
Formule: U mg/dl x V urinaire ml/min/ P mg/dl

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2
Q

Créatinine dans le corps

A
  • production stable
  • depend de la masse musculaire
  • en moyenne 20mg/kg de muscle par jour
    Production de la créatinine et capcité à l’élimination -> créatinine sanguine
  • faible sécrétion tubulaire
  • pour mesurer faut recueillir les urines pendant 24 h donc maintenant on le fait juste pad de concentration plasmatique kcréat -> DFG= kcréat/P créat
  • créatinine elevee veut pas dire qu’on a IR faut regarder DFG
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3
Q

Cr sanguine vs clearance de Cr

DFGe

A
  • Cr pas assez pour avoir fonction renale il faut clearance
  • normalalment clearance on fait apd de recueil de 24h des urines mais laborieuses et potentiels erreurs donc on a des estimation
  • facteurs prise en compte normalement: sexe, race, age
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4
Q

Méthode Cockroft-Gault

A

On utilise plus

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5
Q

Methode MDRD

A
Modification of Diet of Renal Disease
- patients avec IR
- age
-sexe
- race
-créatinine plasmatique 
Chez personnes N -> sous estimation de FR
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6
Q

Méthode CKD-EPI

A
  • fonction renale normale
  • age
  • sexe
  • race
  • créatinine sérique
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7
Q

Conclusion DFGe

A
  • bon estimateur de fonction renale de la population mais mauvais de l’individu
  • DFG tient compte de masse musculaire et créatininurie
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8
Q

Situation ou DFGm et DFGe sont differentes

A
  • extremes de l’âge et taille
  • malnutrition severe Ou obesité
  • maladies musculaires s
  • parpalegie/ quadriplégie
  • amputés
  • diet végétarienne
  • viande bouille
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9
Q

MRC vs IRC

A

Anomalie de la structure / fonction des reins présente >3mois qui a des implications au niveau de la santé.
IRC: fonction rénale <60 ml/min pendant >3mois

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10
Q

Schéma de MRC

A

En fonction d’albuminurie et DFG on va estimer le pronostic de gens normaux, veaux a risque de developper MRC et puis ceux qui ont déjà MRC
G1, G2 MRC
G3, G4, G5 IRC

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11
Q

Protéinurie

  • quoi
  • valeurs
  • 3 stades
  • element de pronostic de fonction renale
A
  • albumine 40%
  • glycoprotéines Thamm-Horsfall
  • igG
    Mesuré par rapport P/C
  • g des protéines / g de créatinine
    Valeur normale <0,2 g/j
    Valeur physiologique: <0,15 g/j
  • represetné par albumine
    A1: <30mg/j (protéinurie physiologique <150mg/dl)
    A2: 30-300 mg/j
    A3: >300mg/j
  • marquer de maladie renale stt glomérulaire
  • facteur de risque de progression de IR (inflammation et atrophie des tubules)
  • facteur de risque de morbi-mortalité CV
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12
Q

Conclusion par rapport à MRC et DFG

A

DFG <60 ml/min ont risque de progression de maladie rénale. Albuminurie augmente aussi ce risque meme si fonction rénale est normale.

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13
Q

Glomérule barriere de filtration rappel anatomique

A

MBG: membrane basale glomérulaire chargée -. ALbumine chargée - aussi.
Diaphragme de fente: taille 4nm et albumine 3,6nm donc passe pas.

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14
Q

Équation de l’évolution de MRC tient compte de

A
  • age
  • sexe
  • DFGe
  • ACR urinaire
  • Ca sériques
  • P sérique
  • Bicarbonate sérique
  • Albumine sérique
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15
Q

Protéinurie isolée

Hématurie isolée

A

Protéinurie: tjr rénale (glomérulaire)
Hématurie: origines urologiques, néphrologiques, gynécologique
Si les 2 -> MRC

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16
Q

Protéinurie bénignes

A
  • assez fréquente
  • causes:
    Effort
    Fièvre
    Orthostatisme (jeune maigre faut analyser les urines du matin)
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17
Q

Analyse des proteines

Origine des protéinurie

A
  • glomerulaire si >1g
  • tubulaire <1,5g, fonction glomérulaire normale c’est juste que tubules proximaux ont une capacité réduite à réabsorber les proteines. On retrouve alpha1 microglobuline et beta2microglobuline. Cause congénitale , infectieuse, toxique, médicamenteuse
  • protéinurie mixte: proteines d’origine tubulaire et glomerulaire
    Cause: atteinte diffuse de parenchyme renale: nécrose tubulaire, pyélonéphrite, thrombose des veines rénales
  • protéinurie de surcharge: protéines de faible poids moléculaire. (Augmentation de synthese/ libération) ex protéinurie de Bence-Jones: presence de pic des chaînes légères d’immunoglobulines monoclonales produites par les cellules néoplasique (myélome multiple)
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18
Q

Tigette urinaire

A
  • leucocytes
  • nitrites (infeciton)
  • urobilinogene/ bilirubine
  • protéinurie attention détecte que si >300
  • pH
  • hématurie
  • corps cétoniques
  • glycosurie
    Avant de faire culture des urines on attend les résultats de l’examen cyto-bactériologique
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19
Q

Ou on dépiste MRC

A
  • DT
  • HTA
  • IRA
  • Maladies de tractus urinaires
  • maladies multi-systemique avec atteinte renale
  • antcd familiaux
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20
Q

Grands syndromes néphrologiques

A
  • hématurie
  • oligoanurie
  • D
  • œdèmes
  • polyurie
  • HTA
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21
Q

Hématurie
Cylindres
Extra-glom/ glom

A

Hématites: GR normaux ou à acanthocytes (mickey mouse -> cause glomerulaire)
Cylindres:
- hématiques : GR sediméntes -> GN ou vasculite
- granuleux: GB, infeciton pyélonéphrite
- cylindre hyalin: formée par les glycoprotéines de Thamm-Horsfall
Cristaux: oxalate, acide urique, cystine

Extra-glomerulaire:

  • sang pure
  • caillot (car fr de coagulation présentes)
  • protéinurie <500mg/j

Glomerulaire:

  • hématies déformées avec cylindres (urokinase au niveua de glomerulaire)
  • pas des caillot
  • protéinurie >500mg/j
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22
Q

D+ lombaires:
Colique néphrétique
Lombalgie aigue
D flanc et abdomen

A

Colique néphrétique:

  • calcul renal
  • nécrose papillaire
  • infarctus rénal
  • syndrome de la jonction

Lombalgie : néphrites aigue
D flanc et abdomen: polykystose renal

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23
Q

Polyurie causes

A
  • diurèse osmotique (DT, mannitol, calcium)
  • diminution de réabsorption de Na: prise des diurétiques
  • diminution de réabsorption d’H2O: inhibition de l’ADH (potomanie), abolition de l’ADH (diabete insipide hypophysaire), insensibilité à l’ADH (diabete insipide nephrogénique ex prise de Li)
  • perte de pouvoir de concentration: dans le cas d’IRC
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24
Q

Poids

Œdème

A

Faut voir si prise de poids rapide ou pas
Œdème:
- signe de godet (retention sodée)
- peuvent etre cachés
- IC et cirrhose plutot au niveua de MI
Causes des œdèmes:
- MR: IRA, IRC, syndrome néphrotique (protéinurie abondante)
- Maladies non-rénales: Décompensation cardique, cirrhose, hypo-protéinemie severe, hypothyroïdie

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25
Ponction Biopsie Rénale Indiction Complication
Indication: syndrome glomerulaire, IR, maladies systémique avec atteint renale Complications: hématurie et hématome, néphrectomie (attention si rein unique) Avant biopsie: - imagerie : dilatation, kystes - PA normale - urines stériles - statut coagulation Biopsie: pole inf ou sup de rein mais pas hile
26
Comment approcher maladie renale
1. aigue/chronique 2. Localisation: - anamnèse - examen clinique - biologie sanguine + urines - Imagerie - Biopsie rénale
27
IRA definition | Conséquences d’IRA avancée
Baisse brutale et important de la DFG habituellement réversible - incapacité d’éliminer les déchets métaboliques - incapcité à maintenir homéostase hydro-électrolytique - P créât augmente Conséquences d’ira avancée: - oedème pulmoanire aigue - nausée - vomisssemnts - hyper K
28
IRA en fonction de region qui est atteint
Pré-rénale: perfusion diminuée Rénale: glomérules, tubules, interstitiel, vasculaire Post-rénale: obstruction à l’écoulement des urines
29
IR pré-rénale
- hypovolémie réelle: hémorragie, vomissement, diarrhée - diminution de volume circulant effectif: IC ou cirrhose Mécanismes de compensation: 1. Système RAA: secretion de AGII -> vasoconstriction de AE et aldosterone + réabsorption Na et H2O 2. ADH: augmente la permebailité de tube contourné distale pour augmenter la réabsorption d’eau et stimuler la soif 3. Activation SNA: activation sympathique avec libération de catécholamines -> ++ R vasculaires périphériques: pas des rec au niveua de cœur et cerveau, structures splanchniques oui, y’a niveua de reins il y en a pas de masse mais il existe autorégulation rénale.
30
Autorégulation hémodynamique glomérulaire si perfusion <70mmHg
- vasodilation de AA (prostacylines + NO) -> augmentation de l’apport sanguin au glomérule - vasoconstriction de AE grace à synthese AGII par le rein. -> maintien la pression de filtration
31
IRA vasomotrice
Mécanisme de régulation du rein bloqué par les médicaments/ AINs -> pas des PG -> pas de vasodilatation AA IEC/ Sartnas: inhibition de vasoconstriction AE
32
IRA -> Physiopathologie de la nécrose tubulaire
Autorégulation: diminution de e DSR -> + R AE et Vasodilatation AA -> FF normal -> DSR normal Autorégulation insuffisante: diminution de DSR -> R des AE et AA -> augme ou diminution de FF -> DFG diminue -> insuffisance pré-rénale. Hypovolémie -> Apd, ADH ++ -> on réabsorbe de urée et de Na -> DFG N donc creatinine N -> clinqiue on observe oligurie et dissociation urée créatinine -> IR 3. Hypotension prolongée: ischémie rénale aigue, nécrose tubulaire aigue.( car hypoxie permanente de 10-20mmHg) Histologie: - desquamation de partie apicale des tubules nécrotiques -> bouchent la lumière de tubules -> retrofiltration l’urine retourne vers l’interstitium. Mais on a potentiel de régénération
33
Diagnostic IRA pré-rénale
Signes Déshydratation liquidienne: hémoconcentration signes IRA pré-rénale: - FE Na<1%: FE Na= Una/Pna : UCR/ Pcr U osm > 500mOsm/kg concentration des urines car ADH secrété Una <10 mole/L car Aldosterone réabsorption Na Na+ urinaire / K+ urinaire <1 (aldostérone reabsorbe Na) Purée/P créât > 40 car dissociation car créât la meme et urée rebasorbe
34
Situations plus courantes de IRA
- nephrtoxic agents: Vasoconstriction: Contrast iode Cocaine Thrombotique micro angiopathie: - cyclosporine - tacrolimus - mitomycin C - CO - Quinine NTA: - aminoglycosides - cisplatine - amphotericine
35
IRA apres artériographie Emboles CS Produit de contraste
Liée aux produits de contraste ionisés sont nephrtotoxiques chez les patients: - IRC - DT (- vascu) - Décompensation cardiaque - Myélome ( inflammation , sclérose du rien du au protéinurie de Bence-Jones) Faut arrêter les diurétiques et mettre perfusion saline Liée aux emboles de CS: - NTA causé par les emboles de CS chez personnes agés athéromateux Signes: - cutanés: MI, orteils bleu - IR: rapidement progressive avec HTA, sans protéinurie ni hématurie - signes digestives, cardiaques, neurologiques - FO DD: IRA apres contraste: debut brutale mais va partit car réversible et les tubules vont se régénérer dans les semaines qui suivent - pas des eosinophiles, pas d’inflammation, pas de livedo IRA apres embole de CS -> reste dans le rein -> forme une plaque -> continu à ré largeur CS -> IR terminale irrévérsibles. - eosinophiles, syndrome inflammatoire, livedo
36
``` IRa à cause de rhabdomyolyse Étiologies Conséquences métaboliques Diagnostic TT ```
``` - lyse rapide de m strié liberation de myoglobinurie (toxique) Étiologies: - traumatisme/ ischémie musculaire - fatigue des myofibres - toxines (cocaine, amphetmaine, heroine) - médicaments (statines, Li, fibrates) - troubles électrolytiques - infection virale et bactérienne Conséquences: - myoglobinurie -> NTA et IRA - hyperK -> troubles de rhytme cardique - hyperP - inflammation (sequestration de l’eau) hypovolémie ``` Diagsnotic: CPK TT: restaurer volume sanguine circulante, perfusion insuline + glucose , perfusion de mannitol pour wash-out (diurèse osmotique)
37
IRA par nephrite interstitielle aigue
- Oxaciline , ciprofloxacine, TMP-STX - AINS - Furosémide - Oméprazole IPP - Allopurinol Infiltration de parenchyme renale par les eosinophiles, neutrophiles, macrophages. Eosinophiles peuvent ré largeur ROS. ``` Manifestations cliniques: - éosinophilie sanguine - symptomes SEP - protéinurie modéré - arthralgie - hématurie macroscopique - oligurie - IR - Rash cutané - temperature On peut donner les corticoïdes si ca persiste ```
38
IRA par hanta virus
-Fièvre hémorragique + syndrome rénale Symptômes: fievre, thrombocytopenie (petechies, syndrome hémorragique), IRA 2 formes de virus: Occidentale: guérison spontnaéé Forme orientale: choc, décès Transmission: inhalation de l’urine ou salive de rongeur infecté Diagnostic: IgA -> M -> G ou PCR
39
Tableau IRC vs IRA
``` Créatinine: IRA N; IRC aN Taille des reins: IRA N; IRC <9cm Anémie IRA non, IRC oui Hypo Ca IRA non, IRC oui Hyper P IRA non, IRC oui ``` Dédifférenciation cortico-médullaire si IRC.
40
Décompensation aigue d’IRC
- déshydratation - obstruction - infection - nephrotoxiques - HTA sévères
41
IRA post-rénale
- pas tjr D+ - diurèse conservé voir accrue si obstruction incomplete - anurie totale si: - obstruction complete - nécrose corticale (glomerulaire donc irreversible avec CIVD -> interruption complete de la vascularisation capillaire) - GN rapidement progressif: tous les glomérules endommagés -> interruption complete de la vascularisation capillaire - occlusion bilatérale de l’artère rénale - pas d’anurie si NTA
42
IRA quoi faire
- anamnèse - clinique - biologie sanguine - biologie urinaire - biopsie rénale: atteint glomérulaire, stt faire si origine inexpliqué - doppler - hospitalisation tjr si anurie et hyperkaliémie - dialyse si symptomes graves: péricardite, encéphalopathie
43
IRA irreversible si
- agression répèté - grossesse/ trauma severe (nécrose corticale) - SHU (syndrome urologue et hémolytique) - maladie athéro-embolique - Myélome multiple - IRC préalable
44
Prevention IRA
Hydratation optimale Attention nephrotoxiques Dosage adequate des AB Drogues moins néphro toxiques (produit de contraste non-iodé) Mannitol/ diurétique de l’anse en cas de rhabomyolyse (avant l’apparition des symptomes)
45
Évaluation de patient hypertendu
- FR CV - atteint des organes cibles - HTA secondaire - examen physique, bilan: - fonction rénale : créatinine DFG tigette - glucose, K, lipidemie - ECG pour rechercher HVG - FO
46
HTA secondaire contexte et cause potentielle
- protéinurie, hématurie, IR - HTA chez l’adulte jeune ou ado, HTa R, IRA sous SARTANS/IEC -> Stenose de a. Renale (dysplasie fibromusculaire,athéromateurse) - HypoK spontané ou induite, HTA R -> hyperminéralocorticisme (hyperald I) - ronchopathie, apnée de sommeil , elevation nocturne de TA, céphalée, surpoids -> apnée de sommeil - céphalée, palpitations, sueurs -> phéochromocytome -> catécholamines
47
TT HTA
- perte de poids - regime DASH - Restriction de Na alimentaire - Activité physique - Reduction de la consommation d’alcool Médocs: Commencer quand syst >160 1. IEC/ SARTANS + Ca/diur 2. IEC/SARTANS + Ca + diur 3. + spironolactone (hyperaldosteronisme) BB si post IM, FC ctrl, HTA grossesse, IC Grossesse: Méthyldopa, nifedipine, labetalol
48
Néphropathies glomerulaires | Aiguës chronqiues
Aiguës: - GN aigue postinf - GN rapidement progressive - néphropathie lupique chronique: - néphrose lipoidique - HSF hylinose segmentaire et focale - GEM extra-membraneuse - GN membrano-proliferative - Néphropathie à IgA - Néphropathie diabétique - Amylose - syndrome alport
49
Filtre de glomérule rappel anatomique
- cellules endotheliales des capillaires largement fenestrés (pression hydrostatique dans les capillaires pousse) - membrane basale: 3 couches de glycoprotéines - podocytes : tapissent membrane basale et émettent les petites pieds
50
Glomérulonephrites definition
``` Anomalies de MBG -< passage de sang, protéines Atteint de mesangium: néphropathie à IgA Endothelium: SHU Membrane basale glomérulaire: GNEM Podocytes: LGM, HSF ```
51
Glmoerulonephrites signes rénaux (2)
1. Altération de la pérméabilité glomérulaire repsosnable de: - protéinurie néphrotique si >3G/j et non-néphrotique si <3G/j - hématurie 2. Altération de fonction renale: Œdème, HTA, IR Signes extra-rénaux associés à la maladie en cause: - dt - vasculite - lupus (LED) - myélome - hépatopathie
52
Schéma d’évolution vers glomerulonephrite chronique
Asymptomatique -> macroscopique hématurie/ nephrotic syndrome -> nephrtitique syndrome/ GN rapidement progressive -> glomerulonéphrite chronique
53
Anomalie urinaire asymptomatique | Prise en charge
Protéinurie - 2 fois tigette - dosage quantitatif de la protéinurie (urines sur 24h ou rapport P/C) - protéinurie transitoire ou pas si T -> rien faire si permanent: faire mise au point de néphropathie (TA, ECBU, créatinine, glycémie, immuno-electrophoreses) autres anomalies -> biopsie ou autres explorations DFG et TA normal: évaluation annuelle
54
Syndrome néphrotique Signes Physiopath
Protéinurie >3G/j et albuminémie <3G/dl - perte proteines d’origine glomérulaire - oedème - hypoalbuminémie - hyperCS - lipidurie Physiopath: Protéinurie: MBG chargée -. Nephrine est une protéine qui lie actine des podocytes et permet construire le diaphragme de fente. Dans le cadre de podocytopathie -> il y a pas de diaphragme donc passage des protéines est tres facile -> protéinurie. Le cas de HSF et lésions glomerulaires minimes. Œdèmes: periorbitaire, pendnat la nuit l’eau part partout. On peut voie aussi les gros oedème generlisées qui prennent godet: anasarque. Il y a risque d’infection cutanée si lésion cutanée Installation: - protéinurie -> hypoalbuminemie -> P oncotique diminue -> diminution de volume plasmatique -> diminution de V circulant -> libération d’ADH -> RAA -> retention Na -> oedeme Maintient: dysfonction des tubules -> maintient d’hypovolémie -> RAA -> ADH -> oedeme Dysfonction des tubules -> activation des canaux Na -> réténtion Na en plus -> HTA possible Coagulation: diminution d’albumine -> foie synthese toute série des protéines hépatiques (protéines de coagulation, anti coagulation, inflammation). Partie va être éliminée mais pas la totalité donc on va voir hypercoagulabilité donc on va anti coaguler si albumine <2g/dl Foie: production des lipoprotéines -> CS et TG +++ Diminution de concentration des Ig -> infecitons Étiologies: - néphrose lipoidique (LGM, HSF) - GEM - néphropathies diabétiques
55
Néphrose lipoidique
Podocytopathie responsable de syndrome néphrotique Formée par continuum entre LGM et HSF LGM= modéré reversible (visible au microscope électronique mais pas optique), 70% des syndromes néphrotiques chez les enfants, répond aux stéroïdes, on peut guérir HSF: avancé et irréversible, disparition des podocytes, des adhésions, visible en microscopie optique, Répond pas bien aux stéroïdes , evolution vers IRC. TT: Chez l’enfant on donne stéroïdes (on fait pas de biopsie rénale chez l’enfant). On peut avoir des récidives. Sinon tt TA, SRAA, statines, aspirine ou AVK si albuminemie <2g/dl. On peut essayer les immunosuppresseurs si les stéroïdes marchent pas. Pour HSF: protection des reins, on essaye les stéroïdes (20% des réponses) et puis immunosuppresseurs On peut avoir des récidives apres le greffe Histologie: LGM reposnsable de syndrome néphrotique pur (sans HTa et IR) avec oedeme, risque TVP, risque infection. LGM -> microscope électronique HSF: podocytopathie plus évoluée, MBG disparu, proteines traversent la paroi capillaire -> restent à l’intérieur de capsule glomerulaire -> fibrose asynchrone progressif HSF: segmentaire focale: car pas toutes les glomérules sont atteintes au même temps. HSF causes: - idio: récidive apres la greffe - familiale : pas de récidive apres la greffe - HIV: infeciton des cellules - toxiques: heroine, sir olim us Surcharge glomerulaires: HTA intra-glomerulaires,HTA, obesité, cancer rénal.
56
Glomerulonephrite (extra) membraneuse GNEM/GEM Étiologie Évolution TT
- premeire cuase de syndrome néphrotique chez l’adulte accompgé de HTA et IRC Étiologie: Primitive: 85%: ac anti récepteur de type 1 de la phospholipids A2 (anti-PLA2R1) des podocytes. Le taux des Ac -> activité de GM et la réponse au tt. Secondaire: 15% - cancer (syndrome paranéoplasique) - LED - AINS (rare) - infection par HBV Ici: anomalie de la membrane basale glomerulaire uniquement. Évolution: 1/4 guérison spontanée 1/2 SN sans IR 1/4 IRC progressive TT: nephro protecteur (tt HTA, hyperlipidemie) mais si on a SN severe ou IRC debutant -> immunosuppresseurs
57
Syndrome hématurique
- néphropathie glomérulaire la + fréquente chez l’adulte - hematurie macro/micro recidiviante - trois maladies sont responsables d’un syndrome hématurique: GN à IgA +++ frequence stt adultes purpura rhumatoide d’Henoch-Schonlien: stt enfants syndrome d’Alport: génétique
58
Néphropathie à IgA | Syndrome hématurique
- touche essentiellement jeune adulte - depot de IgA dans le mésangium Tableau clinique : - hématurie macroscopique récidiviante - hématurie microscopique isolée, asymptomatique - hématurie et protéinurie , rarement syndrome néphrotique - hyper IgA sériques dans 50% - hématurie post-infectieuse Pronostic: imprévisibles TT: nephro protecteur et symptomatique -> immunosuppresseurs (stéroïdes) si formes graves Histologie: complexe Ag-Ac va faire les depots et provoquer réaction inflammatoire avec épaississement des axes mesngiuax -> synthese d’hyaline
59
Purpura rhumatoide de Henoch- Schonlein
Vasculite à IgA généralisée | - abdomen, articulations, derme, reins
60
``` Syndrome nephritique aigue Signes Étiologies TT Pathogénie ```
- inflammation aigue importante des glomérules -> occlusion capillaire -> IRA Signes: - oligurie - hématurie macroscopique avec cylindres hématiques - protéinurie - oedème - HTA - IRA modéré Étiologies: - glomerulonephrite aigue prolifération endocapillaire: Post-strepto (groupe A) Suite à une endocardite bactérienne/ shunt infecté TT: évolution favorable donc pas de tt ni de biopsie rénale Pathogénie: Détection d’aG streptococciques (exo toxine B pyogénique) -> secretion des Acv-> complexes immuns iront se déposer dans le glomérule -> activation de complément et recrutement des PN. -> proliferation endo-capilalire -> bloquage des capillaires. DD avec GN hématurique (tout de suite) et syndrome nephritique aigue -> il faut attendre plusieurs semaines pour avoir une pathologie renale
61
Syndromes
Néphrotiques: protéinurie: >3G/j et albuminemie <2g/dl: NG stt LGM, HSF, GEM Hématurique: macro/micro néphropathie à IgA, purpura rhumatoide d’HS, syndrome Alport Nephritique: tableau brutale, oligurie, œdème, protéinurie, hématurie macroscopique, HTA, IRA modéré. GN endocapilalire proliferative
62
Syndrome de Glomérulonephrite rapidement progressive Histologie Physiopathologie TT
- urgence -> biopsie renale systématique - progression vers IRC extrêmement rapide mais recuperation possible si intervention rapide Caracteristique: - IRA (2-8 semaine d’installation) - Protéinurie <3G car DFG trop faible - hématurie microscopique avec cylindres hématiques - TA N - signes extre-rénaux Histologie: GN nécrosante proliférative extra-capillaire Nécrose: au niveau du mur des glomérules à cause d’inflammation Proliférative: migration des fibroblastes, podocytes, monocytes qui prolifèrent dans cet environnement et forment croissant cellulaire Extra-capillaire: lésions en dehors du capillaire Physiopathologie: inflammation de MBG -> destruction de paroi glomérulaire 1. AC anti-MBG + activation du complement -> syndrome de Goodpasteur 2. Afflux de PN activés: GNRP à ANCA: polangéite microscopqiue et granulomateuse avec polyangéite. ANCA: les AC anti neutrophiles 3. Dépôt de complexes immuns circulantes et activation du complement: LED, purpura rhumatoide Les lesions et inflammation de la MBG -> nécrose qui laisse passer cellules endotheliales, macrophages, fibrine, -> stade du croissant cellulaire (reversible) - > croissant fibreux (irreversible) -> IR terminale - > resolution de la pathologie inflammatoire Causes: - polyangéite microscopique pANCA anti-myéloperidoxidase (MPO). Limité au rein 70% + pANCA MPO - granulomateuse avec polyangéite cANCA anti protéinase 3 (PR3) -> atteint pulmoanire et ORL - syndrome goodpasteur: auto-anti-corps anti MBG (collagène de type IV) avec hemorragie intra-alvéolaire TT: GNRP: urgence médicale. Plasmaphérèse, immunosuppresseurs (stéroïdes,), Rituximab
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Néphropathie diabétique NPD
- GN systémique fréquente 20% dialysé FR: HTA + sedentarité NPD T 1 divisé en 4 stades selon DFG et l’albuminurie Stades 1 et 2: ND préclinique - Glucose + AGE (advanced glucagon end products) -> vasodil AA et vasoconstriction AE -> hyperfiltration -> DFG ++ mais albuminurie N Glucose + AGE + AGII -> facteurs de croissance intr-rénal -> glomérulomégalie, néphromégalie >12cm Si on traite maintenant avec IEC ou SARTANS -> reversible Stade 3 naissante: apparition de protéinurie -> toxciité progressive des protéines au niveua des tubules rénaux Stade 4 declaré: perte de charge - de la MBG + accumulation de collagène de IV -> augmentation progressive de l’albuminurie + diminution progressive du DFG (hyalinose artériolaire). Proliferation et activation mésangiale -> expansion mésangiale, formation de nodules de Kimmelstiel-Wilson + épaississement de la MBG -> glomérulosclérose. -> n’est pas reversible. Si apres 20 ans depuis debut de DT on a pas NDP on va pas le developper Indication PBR: - si découverte DT il y a 5 ans - pas de retinopathie au FO - suspicion d’autres néphropathies: hématurie macroscopique, sténose des a rénales, présence d’une autre maladie systémique Prévention: HbA1C <7%, TA <130/80 si protéinurie, IEC
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Néphrite interstitielle chronique Étiologies Histologie Signes et symptomes
``` CIN - pertes de fonction tubulaire Étiologies - lesions capillaires péri-tubulaires - toxines endogènes et exogènes - obstruction chronique ``` Ces lesions vont donner HSF secondaire avec protéinurie glomerulaire. CIN -> glomérulopathie secodniare Histologie: - atrophie tubulaire - fibrose interstitielle - infiltration inflammatoire - epiaississement de la membrane basale tubulaire Glomérules au debut ca va mais puis ce se degrade (pas de hematurie ni albuminurie en CIN) GN avancée peut donner aussi CIN car perte des capillaires péri-tubulaires Signes et symptomes: - debut lent protéinurie tres faible, presence de alpha1 et beta2 microglobulines - sédiment urinaire inactif : pas des GR, GB, Facteurs de coagulation - anémie car perte de secretion d’EPO - dysfonction tubulaire proximal (acidose tubulaire, Purie) - desyfnciton médullaire -> troubles de concentration des urines - HTA
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CIN médicamenteuse PQ les reins sont atteints les plus souvent par les toxines? Médicaments 6
1. - débit sanguin important - surface endothéliale ++ par rapport à son poids - plein des transporteurs - capacité de concentrer les substances 1. Mesalazine: Crohn, CHU, forme d’aspirine. Faut arrêter et attendre sinon on donne les stéroïdes 2. Li: bipolaire, mais peut etre responsable d’un DT insipide nephrogenique. Li dans tubes collecteurs inhibe expression des aquamarines -> pas de réabsorption d’h2O -> polyurie 3. Phénacetine: caféine + aspirine+ phénaitine -> urothélium, CIN, ischémie rénale 4. Acide aristolochique CIN progresssve 5. Inhibteur de calcinurine: cyclosporine, tacrolimus: CIN 10-20% 6. HypoK chronique avec hypovolémie
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CAKUT
Congénital abnormalities of the kidney and urinary tract Responsable de majorité des IR observés chez les enfants Cette maladie peut se manifester à plusieurs moments de la vie: -diagsnotic anténatal - retard de croissance chez nn ou l’enfant - découverte lors infection de tractus urinaire - chez l’adulte: bilan urinaire anormal, HTA, CIN, lithiase Taille des reins peut varier
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CIN hyper Calcémique
- cause principale de l’hypercalcémie est atteinte de la glande parathyroidie - Ca agit comme toxine endogène - on se retrouve avec néphrocalcinose, vasoconstriction rénale et une nécrose tubulaire -> atteint du gradient cortico-médullaire. Manifestation par polyurie-polydipsies
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Repartitiion de l’eau | Osmolalité plasmatique
IC 40% EC: Interstitiel: 15% Plasma: 5% 285mosm/kg
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Maintînt de la volémie et de l’osmolalité: 3 mecanismes
1. Catécholamines via tonus veineux et maintient de TA Baro rec à basse pression dans l’oreillette droite -> hypervolémie -> ANP (peptide natriuretic auriculaire) -> influx central -> dim ADH, soif, effluves sympathique -> correction d’hypervolémie Baro rec à haute pression: carotides/ aorte -/ AE de l’appareil juxtaglom -> si HTA -> sim ortho, RAA, ADH -> diminution de HTA par perte de sel et H2O 2. Système RAA via retention de Na 3. ADH via H2O et soif: ADH sensible à variation d 1% de l’osmolalité et 7-10% de la volémie
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Ionogramme et trou anionique
TA N: 8-16 mEg/l (Pna + Pk) - (Pcl + Phco3) Acidose à TA normal: hyperCl pertes digestives de bicarbonate (diarrhée) Acidose à TA augmenté normoCl: accumulation des cc, acide lactique
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Osmollaité et trou osmolaire
Osmolalité mOsm/kg Osmolarité mOsm/L Posm calculée= 2 P na + (Pglucose/18 + Purée/6) TO N <10mosm/l Si TO elevé faut chercher l’osmose present mais pas mesuré: mannitol, ethanol; methanol, ethylene glycol.
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Hyponatrémie généralités
PNa <135mEq/L Hypovolémique Hypervolémique Euvolémique
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Hyponatrémie hypovolémique Pertes extrêmes/ rénales Évaluation clinique
- perte de sel > perte de l’eau - rénales Una >20 mmol/L: prise excessive de diurétiques , addison (deficit aldosterone), diurèse osmotique - extra-rénales: Una< 20mmol/l vomissements, diarrhée, brûlures, pancréatites, trauma —> stimulation du centre du soif: boit de l’eau, liberation d’ADH (resorption d’eau) -> mauvais car on va pas remplacer les sels perdus Évaluation clinique: - soif (peu sensible) - muqueuse sèche, signe de mouchoir (peu sensibles) - poids (faut avoir tous le shorts) - pas de sudation axillaire - test de provocation: rhytme cardique +20/min et TA diminue
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Hyponatrémie hypervolémique
Réténtion d’eau > que retention sel Si Una >20mmol/L IRA ou IRC Si Una <20 mmol/L IC, syndrome néphrotique, cirrhose Donc au générale perte des protéines -> l’eau part vers compartiment interstitiel donc VCE dilinué -> ADH, RAA, sympathique Signes cliniques hypervolemie: - turgescence jugulaire - prise de poids - oedème godet - orthoponée - hépatomégalie
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Hyuponatremie euvolemique
Leger augmenatation de l’eau corporelle sans changer qqtité de sel. Hyper volémie infra clinique - SIADH - Deficit glucocorticoides (cortisone) - hypothyroïdie - stress - drogues - alcool
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SIADH
Sécrétion inapproprié d’ADH Causes: - cancer pulmonaires, - lesions/ trauma/ cancer de SNC - médicaments: tricycliques, nicotine, morphine, désmopressine ADH -> ++ H2O -> dilution de sel -> libération d’ANP -> natriurie (donc pas bon) Critères: - hypervolémie infra-clinique - hypo-osmolalité du LEC - concentration de surines >100mosm/kg - Na élévée dans les urines (car ANP) >20mmol/L - absence des troubles thyroïdiens/ hypophysaires
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Cerveau et hypoNa
Si aigue -> risque de œdème cerebrale, HTcranienne, risque d’engagement, décès Si chronique: cerveau va faire sortir K pour augmenter la tonicité de LEC (autres osmotiques aussi) Si on essaye de traiter rapidement hypoNa d’installation chronqiue on va provoquer démyélinisante ion.
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Hyponatrémie isotonique
Si lipides et protéines +++ -> moins de l’eau donc on va avoir concentration normale mais natrémie est diminué de manière générale Exemple: myélome avec Ig
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HypoNa hypertonique
Hyperglycémie dans LEC -> LIC sort vers LEC donc on a plus de liquide donc concentration de Na diminue car on a plus d’eau et Na n’a pas changé
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Signes de hypoNa
- nuasée, vomissements - crampes musculaires - léthargie - convulsions - confusion - délire - coma - oedème cerebrale
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TT hypoNa
Hypovolémique: eau + sel Hypervoelmqie: diminution de l’apport de l’eau et sel Euvolemqie: diminution d’apport d’eau
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Hypernatrémia Seuil Types
Pna >145mEq/L Hypervolémique: maladie de Conn (hyperaldostéronisme) ++ réabsorption de sel > + rébasorption de l’eau Euvolemique: DT insipide : élimination de tres grandes quantités d’eau sans effets sur Na. Origine central: pas de secretion ADH Renale: deficit génétique de V2, deficit endogène causé par hypokaliémie/ hyper Ca ou Li Hypovolémique:perte d’eau > perte sel Renal: diurétique de anse, post obstruction, maladie renale Extrarenal: transpiration excessive, brulures, diarrhée, fistule
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HyperNa | Signes
- hémorragie cerebrale | - encéphalopathie comme pour hypoNa
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HyperNa TT
- attention la vitesse de correction Au niveau cerebrale: si installation rapide: démyélinisante Si installation progressive: augmentation de tonicté de LIC donc si on corrige trop vite -> oedème
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Anomalies au niveau de K | Régulation de K
- principalement IC - petite modification de K EC -> grande modification de IC Régulation de K: - etat acido-basique: acide K sort -Insuline: entrée de K -Ald entrée de K - catécholamines entrée de K
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Hypokaliémie
Pk <3,5 mEq/L Redistribution: insuline, catécholamines, alcalose ? Si fonction rénale appropriée: Pertes extra-rénales: alcalose: diarrhée (?), vomissement, laxatifs, diurétiques (tous sauf épargnes potassiques) Mécanisme de dierhee/ vomissements -> perte de H2O -> hypovolémie -> hyperaldosteronisme -> sortie de K et entree de Na pour restaurer volémie. Fonction renale inapropriée: Bcp de K dans les urines: >20 mmol/24h HTA -> Pertes rénales: hyperaldosteronisme, Cushing (cortisone+++) TA normal: hypotension: acidose métabolique/ alcalose métabolique , diurétiques
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Signes de hypoK
Si <2,5mEq/L - HTA - Arythmie ventriculaire, onde U, mort subite - nephrite TI (CIN) - polyurie via diabete insipide néphrogénique - faiblesse musculaire, douleurs, rhabdomyolyse - constipation, ballonnement, iléus paralytique
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TT hypoK modéré et severe
Modéré: alimentation riche en K, Kaléorid (KCL) | Sévère: K+ par une pompe IV jamais dépasser 40mEq/h attention il faut contrôler
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HyperK
Si > 4,5 mEq/L Causes: - pseudo hyperK - redistribution: acidose/ beta-bloquants - diminution excretion renale: hypoald (Addison (cortisol et aldosterone) ou syndrome hyporéninemie-hypoald) IR: severe -> accumulation dans le sang a cause de anurie Modérée: si excès d’apports potassiques: IEC, SARTANS, diurétiques d’épargne potassique
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HyperK signes
- paresthésie -> quadriplégie flasque - effets sur ECG: ondes T pointues élargissement de QRS FV décès
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HyperK sévère
``` - urgence médicale si >6 mEq/L Redistribution apr: - insuline + glucose - salbutamol (pas en urgence) - bicarbonate Extraction: - résine échange use d’ions - hémodialyse ``` Si allongement QRS-PR -> antagonistes cardiaques du K en admisnitrant du gluconate de Ca IV.
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Inhibiteurs d’à hydrate carbonique
Tubule proximal Excretion Na faible Effets secondaires: hypoK, acidose indications: glaucome, alcalose,
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Diurétiques de anse
Furosémide/ butamide Mode d’action: inhibe transport Na/K/Cl Très puissant Effets secondaire: hypoK, HyperUricémie, hypoMg Indications: syndrome œdémateux: IC, cirrhose, HTA, syndrome N) Reste efficace meme si DFG <30
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Thiazidique
Indapamide, hydrochlorothiazide Tube distal Inhibe cotre sport Na/Cl Effets secondaires: hypoK, Huricémie, hypoNa Indications: HTA sans IR, syndrome œdémateux
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Epargnes potassiques
Spironolactone Tube collecteur cortical Effet aldostérone Effets secondaires: HyperK, acidose métabolique, gynécomastie Indication: syndrome œdémateux avec hyper-aldostéronisme secodniare typiquement en cirrhose
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Efficacité des diurétiques
Anse Thiazidique D’épargne de K Acétozlamaide
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Qui peut bénéficier de greffe rénale?
- cancer incontrolé - infection systémique active - ttes conditions de l’espérance de vie <2ans
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Balance risque bénéfice TP
1. R anesthésie: BPCO, cardiopathie, obesité etc 2. Possibilité de chir: vaisseaux iliaques périphériques: CT à blanc pour voir les calcifications, qualité de la vessie 3. Immunosuppresion: récidive de cancer, infections, HBV, HCV, CMV 4. Risque de récidive de néphropathie primitive: HSF, IgAN, GNRP, Nephroptahie lupique
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Dépistages de cancer chez les donneurs
``` Col d’utérus Sein: mammographie + échographie Colon Prostate Cancer du rein ```
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Types de donneurs
- morts en mort cérébrale - à cœur non-battant renard de la reprise de fonction chez le receveur - donneurs vivants
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Évaluation médicale de donneur
- évaluer risque opératoire | - évaluer risque pour le rein restant
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Verrières immunologiques à la transplantation
- système AB0 Rituximab permet de faire les greffons meme si c’est pas compatible par diminution des L. B - Ag HLA: encodent CMH (protéines de surface essentielles à l’imunité acquise) ils lient les fragments peptidiques et les présentent aux cellules T pour activer système immunitaire: CMHI -> expose aux CD8 le plus imp: Dr CMHII -> expose aux CD4 le plus imp: A et B —> rejet hyperaigue (thrombose fibrino-plaquettaire) Score d’incopatibilité: 0-6. O idéale. 3 avec les parents.
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Rejet du greffe | 2 types de Reconaissance
- Reconaissance directe: L T CD4 se lient aux molécules du CMH du donneur. CD4 se multiple -> sécrètent IL2 -> activation des L T CD8 (cytotoxiques) -> inflammation au niveau de greffon - Reconaissance indirecte: quand CMH de greffon sont reconnu par CPA du receveur -> L. T CD4 du receveur -> synthese des Ac par L.B
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Rejet aigu
- L. T s’attaquent aux tubules rénaux et causent tubulaire (stéroïdes ok car tubules régénèrent) - Ac se lient et causent capilarite -> pas de régénération. Faut traiter par plasmaphérèse, IVIG, Rituximab et ATG
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Ac anti-HLA synthese:
- grossesse - transfusion - greffes préalables
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Points pour TP des reins
1. Incomptaibilité si 0 -> 66p 2. Distance: O/100/300 3. Hyper-immunité: nombre des Ac cytotoxiques du receveur 4. Âge: old for old 5. Durée d’attente: 33 p par an de dialyse: survie de greffon diminue si on est dialysé trop longtemps
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Transplantation mise en place de greffon
``` On mets un rein au niveua de fosse iliaque -> 3 reins Complications précoces: - thrombose de vx de greffon - fistules urinaires - sténose de jonction urétéo-vesicale - lymphocèle ```
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Médicaments anti rejet
- Cyclosporine, Tacrolimus (inhibteur de calcinurrien) inhibition de l’activation des lymphocytes - Azathioprine: inhibition de cycle cellulaire - MPA: inhibition de la synthese des nucleotides - Anti-CD15: empêche expansion clonale des lymphocytes - stéroïdes - ATG: anti-thymocyte globuline; Ac des lapins immunisés avec des globules blancs -> entrainé depletion de globules blancs humains à donner 5 jours pour empêcher arrivé des L. T au niveua dd greffon
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Immunosuppresion initiale
``` Dépend de risque Haut: ATG + ICN + MMF (mycophenolate mofetil) + stéroïdes (maintient) - 3/ 4 eme greffe rénale - Ac anti-HLA - 5/6 incompatibilité HLA ``` Faible risque: Anti IL2R + ICN + MMF/AZA + stéroïdes (arret rapide)
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Retard de prise de fonction
Ischémie froide entre prélèvement et la greffe. Rein sidéré (nécrose tubulaire) et ca met une semaine avant de fonctionner normalement. Facteurs de risque: - hypovolémie - donneur agé - ischémie froide prolognée + difficile de diagnostiquer rejet aigu (15% dans 3 premiers mois) - signe sbiol: urée + créatinine, hématurie, protéinurie - signes cliniques: diurèse diminue et inflammation Examens complémentaires: echo doppler, biopsie
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Pathologies du patient transplanté rénal
Dysfonction chronique du greffon Athéromatose accélérée Immunosuppresion chronique
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Dysfonction du greffon
Fini en dialyse car: - rejet aigue/ chronique - rein marginal - ischémie de réperfusion - HTA - toxicité des ICN - MMF et AZA leucopénie
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Athéromatose accélérée
Vx endommagé par dialyse | IRC, HTA, Hyperlipidemie et DT
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Immunosuppresion chronique
- nécessaire pour éviter le rejet de greffon mais augmente risque de cancers (stt ceux avec cofacteur viral, urothélium es, reins) et les infections cmv
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Suivi en consultation
1. Depistage du dysfonctionnement du greffon 2. Monitorage de tt immunosuppresseur Augm de métabolisme des IS: RIfa, rifabutine, phenobarbital, phenytoine, carbamazepine diminution de métabolisme: anatgCa, macrolides sauf azithromycine, inhib des protéases, antifongiques, jus de pamplemousse 3. Prise en charge des CV 4. Depistage cancer 5. Depistage ostéoporose, goutte
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Incidence d’IRT en Belgique
175/ mon
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IRT expression clinique
Début: HTA + anémie normochrome, normocytaire HTA au stade 4 <30 car stimulation de RAA et retention hydro-sodée Anémie: stade 3 <45 a cause de défaut de production de EPO donc si DFG >45 c’est pas ca. Puis: syndrome urémique (tardivement) - générale: anorexie, perte d’appétit, nausée à predominance matinale, fatigue, insomnie, crampes musculaires, halitose - dermatologiques peau sèche, prurit, teint urémique, - cardiaque: réténtion hydro-sodée avec œdèmes, OHP, péricardite urémique, troubles du rhytme - Hématologique: anémie, tendance aux hémorragie, anergie - neurologiques: polyneuropathie, tremblements, asterixis, coma urémique
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TT IRT
- TP - HD (personnes agés et DTmeilleurs résultats avec HD) - DP Guidelines: si DFG <6 ml/min ou si urémique
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HD Diffusion vs convection Facteurs déterminants efficacité Résultats
Diffusion: contre-courant urée passe par membrane semi-perméable. Dialysat composé de K, Ca, Na, HCO3-. Facteurs déterminants: perméabilité, surface membranaire, débit sanguin et du dialysat, gradient de concentration, durée de dialyse. Résultats: toxines urémiques de faibles PM, limité par taille des trous (pas trop grands sinon on va perdre l(albumine) Convection: membrane semi-perméable avec pores + grandes -> rien de l’autre coté -> l’eau passe avec des solutés (solvent drag) Facteurs déterminants: gradient de pression, surface de la membrane, coefficient de tamisage, debit sanguin, durée de la dialyse Résultats: toxines urémiques de PM +++
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HD conventionnelle
Principe de diffusion Prise de poids de 3-4kg Ultra-filtrat -> l’éliminai ton de l’excès d’eau
121
HD de high flow hemofiltration
Convection | Ultrafiltration de 20-40L -> on rajoute la perte apres ou avant la filtration
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Hemodiafiltration
Mélange de HD high flow et low flow -> la + efficace
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HD techniques Classique Quotidienne Longue
Classique: 3fois 4h /semaine Quotidienne pour les enfants 2h par jour sauf dimanche Hémodialyse longues: 8h pendant la nuit HDF> HD high flow> HD low flow
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HD fistule
AV native entre A brachiale et la veine brachiale AV prosthétique USA; durée de vie courte, bcp des interventions, risque d’infection Cathéther central tunnelisé: stt en Europe ds O et veine jugulaire
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Dialyse péritonéale
- cathéther dans cul-de-sac-sac de Douglas DPCA: D péritonéale continue ambulatoire: efficiacité identique à HD. X échanges par patient formé DPA: D péritonéale automatisé: échanges nocturnes automatisés. Pas continu Différence par rapport à HD: dialysat hyperosmolaire (glucose, aa, icodextrine).
126
Complications de dialyse péritonéale:
- infeciton au niveua de cathether - péritonite - perte de capcité d’ultrafiltration - péritonite sclérosante - malnutrition
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Dialyse complications (générales)
- mortalité ++ CV -> 50% décès chez IRT Risque de décès plus elevee chez l’enfant que l’adulte Calcification vasculaire chez les urémiques -> instable -> IM - anomalies de P: hyperP et deficit en calciférol (hyperPTH -> hyperCa) -> precipitations Facteur FGF23 +++ -> risque de mortalité vasculaire - maladie osseuse urémique: causés par anomalies de P et Ca Ostéite fibreuse excès du PTH -> calcification de vx Ostéomalacie: D+ odieuses + fractures Maladies osseuses dynamiques: idem mais sous sur traitement Formes mixtes
128
TT complications HD
Si hyperP -> chelateurs intestinaux du P Calcémie: module les apports alimentaires + concentration de Ca dans le dialysât Déficit vit D -> supplements Hyper PTH: calcimimétiques -> diminuent secretion de Ca
129
Rein pédiatrique
Mature pendant 2 ans - filtration glomerulaire basse stt si prématurité. Se accrue aux médicaments nécessitant une adaptation du dosage. DFG normal de l’enfant -> formule de Schwartz (limites: masse musculaire réduite, IRT ou prétermianle) - pouvoirs de dilution des concentrations maximales des urines: faibles, maturité vers un an. - FE de Na: basse, stt si prématuré donc pf on a besoin + d’apport de Na - Clearance des Xenobiotiques: différente - médocs prises par la mere: influence fonction rénale de nn
130
Mortlaité CV chez l’adulte jeune en dialyse
X 100 par rapport à la population générale
131
Conséquences à long terme de IRC chez enfant sont celles d’une maladie métabolique chronique:
- altération osseuse: déformation - alterations CV: HVG, paroi vasculaire - défaut de croissance - altérations du métabolisme glucidique et lipidique - troubles alimentaires, malnutrition - alterations immunitaires - parcours physiologique difficile - augmenatation du R de néoplasie
132
Enfants avec IRC avec retard de croissance les courbes
Naissance -2 ans période de croissance +++ important 2 ans- puberté: croissance la plus lente, hormones de croissance Puberté: retardé, pic de croissance diminué
133
Causes de IRC/T enfance
- CAKUT - néphropathies urinaires - GN - autres: SHU
134
CAKUT facteurs
Constitutionnelles: anomalies chromosomiques, génétique ( TCF2 facteur de transcription, PAX2 -> oligoméganéphronie) Exogènes: malnutrition maternelle, DT maternel, exposition à des toxiques
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Depistage anténatal des uro patries echo | Critères de gravité
Reines: bien identifiables 20-22 SA longueur: nombre des semaines d’aménorrhée Diamètre des bassine tes: nombre de mois de grossesse en mm Uretère: non visible Vessie: apd 1é SA Urines: 9 SA Critères de gravité: - uro patrie sur rein unique / bilat - dilatation des voies urinaires - aspect de parenchyme - volume du liquide amniotique jsq 32SA (produit par les reins)
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Hydronéphrose anténatal
Témoin urographie obstructive comme: - jonction pyélo-urétérale - mega uretère primitif - valve d urètre post -> juste garçons, dysplasie renale - reflux vésico-urétéral (RVU) -> infection primaire: insufffisance de système anti-reflux phsyiolgoiuqe secondaire: obstacle/malformation locale
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Autres anomalies congénitales enfance
- néphropathie héréditaire: ciliopathies, tubulopathies , hyperoxalurie primaire, syndrome hémolytique et urémique atypique - GN: SHU - SN
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Ciliopathies
- peut évoluer vers IRT | - tubules rénales formée de lépithelium tubulaire avec les cils
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Tubulopathie
Nephronophtise (NPH) néphropathie tubulo-interstitielle, AR - hyposthenurie, polydipsie, polyurie (pas de concentration des urines) - retard de croissance - anémie - IRT - atteint extra-rénale: dystrophie rétinienne, anomalies osseuse, anomalies hépatiques, neurologiques Hyperoxalurie primaire -> calculs SHUatypique SN
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``` SHU triade Symptômes Types TT Prévention ```
Principale cause IRA chez les enfants - anémie hémolytique mécanique (haptoglobine -, LDH +++ - thrombocytopenie - IRA Symptômes: pâleur, irritabilité, parfois atteint de SNC Microangioptahie thrombotique -> anémie, thrombocytopénie, nécrose du cx rénal -> présence de schyzocytes, trois types: - typique: SHU D+, E.coli (production de shiga-toxine) - atypique secondaire : infeciton Streptocoque pneumonie à - atypique SHUa -> anomalie héréditaire de la voie alterne de complement TT: conservateur SHU typique D+: AB (?), PAS anticoagulants, anti-inflammatoires, firbynolytqiues, cas sévères: échange plasmatique SHY atypique: échange plasmatique, ecluzimab, inihibiteur de complément Prev: pas de lait non-pasteurisé et viande mal cuite
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SN triade
- protéinurie - hypoalbuminemie - oedème DD: GN