Questions de révision exam final Flashcards

Question

Vrai ou faux, l'un des prérequis d’une mise en œuvre réussie repose sur la clarté du programme et de son opérationnalisation

Answer 1

1) Augmente les probabilités du succès du programme et conduit à de meilleurs résultats pour les participants 2) Un contexte dynamique, engagé, ouvert et flexible aux changements facilitent l’intégration d’un programme)

Answer 2

Fait référence à la façon dont le programme est mis en œuvre par rapport à sa conception initiale, à la livraison de l’ensemble des composantes clés du programme et à l’utilisation des protocoles et des outils spécifiques au programme. Être capable de démontrer à l’aide d’évaluations rigoureuses que les programmes ont la capacité à reproduire des changements positifs chez les participants. (*Par contre, le programme continuera de produire les mêmes résultats s’il est implanté en concordance avec le programme initial)

Answer 3

☺ Formation adéquate du personnel ☺ Manuels de programmes bien développés ☺ Soutien organisationnel ☺ Supervision ☺ Suivi du programme

Answer 4

Ceux qui : 1)Mesurent l'implantation 2)Décrivent et comprennent les facteurs qui influencent l'implantation 3)Guident les meilleures pratiques d'implantation dans les milieux

Answer 5

Décrire et comprendre les facteurs qui influences l'implantation (2)

Answer 6

Mesurer l'implantation (1)

Answer 7

Guider les meilleures pratiques d'implantation dans les milieux (3)

Answer 8

ÉVAL D'IMPLANTATION INITIALE = -Dans la 2ième catégorie de Nilsen -Permet d’expliquer comment certains facteurs influencent l’implantation. -Cherche à comprendre comment le programme est implanté ET pourquoi il en est ainsi ÉVAL D'IMPLANTATION MATURE = Dans la 1ère catégorie de Nilsen; Permet de mesurer le degré d’implantation du programme

Answer 9

Faux, c'est dans la composante Plan d'action de la Théorie du changement (car c'est dans elle qu'on parle des ressources et du contexte dans lequel s'installe le programme)

Answer 10

1)L'adhérence (à l’approche et aux procédures proposées par le programme) 2)Le dosage (l'exposition) (qté du programme reçue par les participants) 3)La qualité (de l’intervention reçue) 4)La participation (niveau d’engagement des participants) 5)La différenciation (à quel point le programme se distingue des interventions déjà en place ) 6)L'adaptation (du programme)

Answer 11

Le dosage (ou l'exposition)

Answer 12

qté d'activités reçues (ex: un sujet ne se présente pas tout le temps, donc on veur voir quand ila eu des intervention pour le dosage)

Answer 13

La qualité de l'intervention reçue (+ dur à définir et à calculer)

Answer 14

Les personnes du milieu peuvent donner infos liste à cocher qui décrit quels sont les éléments qui devraient se trouver dans l’intervention (doit être brève et bien s’intégrer dans le contexte de l’intervention, pour ne pas être surplus de travail pour les intervenants)

Answer 15

En fonction du type d’intervention, le degré de participation peut être mesuré par l’animateur = nb de fois où sujet a pris la parole ou l’intérêt qu’il a démontré durant l’interaction. Dans d’autres cas, les participants pourraient être appelés à évaluer eux-mêmes leur propre degré de participation Un critère externe pourrait être retenu comme indicateur de la participation. Par exemple, réalisation des devoirs proposés à la maison comme un indicateur de participation

Answer 16

La différenciation

Answer 17

Vrai (il faut également vérifier en quoi le matériel ou les interventions auxquels ces deux groupes seront exposés se ressemblent et diffèrent

Answer 18

Vrai! -Les divergences entre le programme planifié et le programme implanté quant à l’adhérence, au dosage et à la qualité sont nécessairement des reflets de l’adaptation

Answer 19

RÉSULTAT = Généralement interchangeable avec « effet » Def= Changements associés à un objectif du programme Dans le modèle de changement de la théorie du programme, nous avons les résultats de l’intervention EFFET = Généralement interchangeable avec « résultat » Def= Changements associés à un objectif du programme Dans le modèle de changement de la théorie du programme, nous avons les résultats de l’intervention IMPACT = Def= Mesure + globale des effets sur la clientèle cible et son environnement (effets à + long terme)

Answer 20

Faux, résultat et effet sont interchangeables

Answer 21

ÉVAL FORMATIVE = Améliorer la qualité du contenu du programme et de l’implantation du programme ▪ Débute avant l’implantation de programme Contient PRÉ-TEST ET PEOJET PILOTE ÉVAL SOMMATIVE = Vise à évaluer l’efficacité de l’intervention et le degré de modification de certaines variables telles: la conscientisation, les connaissances, les comportements, l’environnement ou l’état de santé. Contient ÉVAL D'EFFETS ET ÉVAL D'IMPACTS et FACTEURS CONFONDANTS et DEVIS

Answer 22

▪ Pré-test= Test une petite partie du programme (ex : intervention spécifique) ▪ Projet pilote = Teste l’ensemble du programme auprès d’un échantillon restreint de participants

Answer 23

1) Évaluation d’effets : Mesure les résultats intermédiaires (à court ou moyen terme) comme les attitudes, croyances, comportements. 2) Évaluation d’impacts : Évaluation des changements à plus long terme comme la prévalence ou l’incidence de certaines maladies.

Answer 24

facteurs confondants = facteurs qui peuvent modifier le lien entre l’implantation du programme et les résultats obtenus (ex.: modérateur) devis = devis particulier afin de pouvoir planifier adéquatement la cueillette de données devis choisi influence aussi les conclusions que l’on peut tirer de l’évaluation (3 types de devis possibles)

Answer 25

APPROCHE QUANTITATIVE APPROCHE QUALITATIVE

Answer 26

• Raisonnement déductif : élabore un principe pour comprendre les cas individuels • Produit des données numériques, donc + objectives (ex : instruments de mesure) • Adéquat pour les programmes bien définis (on sait quoi mesurer) • Peut généraliser les résultats à un grand groupe • Peut faire des inférences causales - S’il y a utilisation d’un essai randomisé contrôlé. L’essai randomisé contrôlé est une technique qui consiste à sélectionner de façon aléatoire, à partir d’une population admissible, le groupe expérimental qui bénéficiera d’une intervention et le groupe contrôle qui servira de point de comparaison afin d’évaluer l’effet de cette intervention. • Méthode la plus fréquemment utilisée pour l’évaluation de programme

Answer 27

Approche quantitative

Answer 28

• Raisonnement inductif: examine un cas pour en tirer des principes • Produit des données narratives • Utilisé lorsque l’on veut avoir de l’information sur des cas précis ou quand l’on veut des données descriptives de la part des participants • Peut fournir de nouvelles pistes sur les façons d’améliorer le programme Ex : Étude de cas, analyse de contenu, technique Delphi, techniques d’observation participant, etc.

Answer 29

Groupe expérimental = Celui qui reçoit l’intervention Groupe contrôle/témoin = Le groupe doit être similaire au groupe expérimental (ex.: âge, sexe, revenu, éducation, etc.) L’assignation au groupe contrôle doit être aléatoire Doit s’assurer que les membres du groupe contrôle pourront recevoir l’intervention après la phase initiale Différents types de groupe: sans contact (ne reçoit rien), liste d’attente (recevra le traitement plus tard), Gold standard (offre le traitement qui semble le meilleur à ce jour), placebo (offre un traitement qui ressemble à celui testé mais sans «ingrédient actif» (ex : pilule de sucre) Groupe de comparaison = Si l’assignation aléatoire n’est pas possible (ou éthiquement acceptable), alors on peut recruter un échantillon de participants non équivalents

Answer 30

1. DEVIS EXPÉRMIENTAL 2. DEVIS QUASI-EXPÉRIMENTAL 3. DEVIS NON-EXPÉRIMENTAL

Answer 31

DEVIS EXPÉ= La randomisation permet d’écarter ou diminuer le rôle des facteurs confondants Seul devis qui permet de faire des inférences causales DEVIS QUASI-EXPÉ = Il y a des groupes de comparaison, mais ils ne sont pas randomisés donc il peut y avoir des facteurs confondants ➢ Les résultats du programme sont obtenus en vérifiant si le groupe expérimental performe mieux que le groupe de comparaison

Answer 32

Validité interne (A cause bien B) : ➢ Degré avec lequel on peut conclure que A cause B, c’est-à-dire que le programme cause les effets observés.

Answer 33

La randomisation permet d’écarter la majorité de ces facteurs - Des exemples sont: Maturation (effet du temps, des changements découlant du temps écoulé plutôt qu’attribuables au programme lui-même) Testing (par ex. pré-test) (réactivité à la mesure, la réponse à un deuxième questionnaire est affectée par le fait que les participants à l’évaluation y ont répondu une première fois) Instrumentation (la façon de mesurer (l’instrument) change en cours d’évaluation) Sélection (lorsque les participants à l'expérience diffèrent sensiblement de la population de référence)

Answer 34

➢ Degré avec lequel on peut s’attendre que le programme aura des effets similaires dans d’autres contextes. (Étre capable de généraliser à d'autres personnes/milieux)

Answer 35

Désirabilité sociale = désir de plaire Effet des attentes = fait référence aux façons auxquelles les attentes affectent la perception et le comp. En général, quand les personnes sont conscientes d’un résultat probable ou désiré, leur perception et leur comportement sont affectés d'une certaine façon. Effet Hawthorne = L'effet Hawthorne, ou expérience Hawthorne, décrit la situation dans laquelle les résultats d'une évaluation ne sont pas dus aux facteurs expérimentaux mais au fait que les sujets ont conscience de participer à une expérience dans laquelle ils sont testés/observés, ce qui se traduit généralement par une plus grande motivation. Effet Placebo = L’effet placebo est un effet subjectif, mais réel, produit sur une personne par un médicament n’ayant pas d’efficacité démontrée.

Answer 36

Intervention spécialisée qui, en utilisant le milieu de vie d’un sujet aux prises avec des difficultés spécifiques d’adaptation, accompagne et soutient ce sujet dans sa démarche vers un meilleur équilibre face à lui-même et à son entourage.

Answer 37

Le vécu éducatif partagé met l’accent sur la présence de l’intervenant dans des moments de vie des personnes aidées. Le fait d’être présent dans le quotidien permet d’ouvrir une fenêtre d’intervention sur le « vécu éducatif partagé » où l’éducateur peut intervenir auprès des sujets en direct lorsque ceuxci vivent des succès ou des difficultés.

Answer 38

La planification des activités nous permet de planifier certains moments du quotidien de manière à ce qu’ils présentent un défi qui provoquera un déséquilibre, une occasion d’apprentissage en direct auprès des sujets. Moment planifié où nous avons prévu faire faire des apprentissages aux personnes que nous accompagnons.

Answer 39

Voir le tableau dans le doc

Answer 40

L’évocation d’une situation où un ou des éducateurs (naturels ou professionnels) visent à ce qu’une ou des personnes atteignent un ou plusieurs objectifs à l’intérieur d’un cadre spatio-temporel donné. Dans un sens large, on peut donc concevoir une activité comme couvrant tout le champ des interactions possibles dans lesquelles évoluent des éducateurs et les personnes auxquelles ils s’adressent, à partir du moment où des objectifs éducatifs ou psychoéducatifs sont en cause. On peut aussi la considérer comme celle comprise à l’intérieur d’une structure d’ensemble particulière, impliquant des composantes bien définies et précisées, chacune en soi d’abord et par plusieurs des interactions possibles entre elles ensuite. (Renou, 2008)

Answer 41

Activités quotidiennes (de routine ou moments de vie) = Transitions, récréations, lever, coucher, repas, etc. Activités planifiées, structurées = Activités sportives, d’apprentissage scolaire

Answer 42

Les activités structurées sont souvent + valorisées que les activités de routine car elles appellent à une rigueur professionnelle, centrées sur l’acquisition de connaissances et l’apprentissage de conduites spécifiques alors qu’on peut laisser les autres (activités de routine) à des non-professionnels (ce qui semble à l’opposé de la conception de l’intervention psychoéducative, mais c’est quand même comme ça que c’est vu).

Answer 43

C’est une problématique qui survient lorsque les ressources de l’individu ne lui permettent plus de répondre aux exigences de la réalité et le place en état de déséquilibre. Cet état peut être provisoire et l’individu va retrouver son équilibre ou il peut persister et l’individu reste dans un état de déséquilibre.

Answer 44

1) L’équilibre initial = notre mode de fonctionnement avant le stresseur (il peut être approprié ou inapproprié) 2) On introduit une difficulté 3) La personne vit un déséquilibre qui peut être statique, inhibant ou dynamique 4) Rééquilibre = la personne tente de retrouver un état d’équilibre. Cet équilibre peut favoriser ou non leur adaptation. (si favorable = stratégie choisie favorise leur développement, leur adaptation à leur environnement. Si défavorable = le sujet ne parvient pas à adopter des stratégies qui favorise son développement, son adaptation appropriée à l’environnement)

Answer 45

Le déséquilibre dynamique est celui qui permet aux sujets de rester mobilisés vers le changement, car le défi qui leur est proposé est bien adapté. - Par exemple, demander à une personne atteinte d’un trouble obsessionnel compulsif de « contenir » son envie d’exécuter son rituel pour une première fois pendant 45 secondes. Bien qu’il soit difficile, le défi est tout de même à sa portée.

Answer 46

Le déséquilibre statique est celui où les sujets se trouvent face à un défi trop facile pour eux. Ils ne ressentent donc pas le besoin de chercher de nouvelles stratégies d’adaptation. Il y a de fortes probabilités que ceux-ci retournent à leur état d’équilibre initial.

Answer 47

Le déséquilibre inhibant est celui où les sujets se retrouvent face à un défi trop grand pour eux. Ils prennent alors conscience des efforts exigés pour s’adapter. Si le défi n’est pas à leur portée, ils peuvent « figer », ne pas se sentir en mesure d’affronter la situation ou ne pas avoir assez d’intérêt pour le faire.

Answer 48

Pour créer un déséquilibre dynamique, le modèle psychoéducatif vous encourage à : • Bien évaluer les besoins des sujets • Ajuster les activités proposées à leurs forces et à leurs vulnérabilités • Utiliser ce qu’ils connaissent et leurs manières positives d’interagir avec leur environnement et les personnes de leur entourage

Answer 49

C’est une combinaison des forces et des vulnérabilités des sujets. Il s’agit de l’ensemble des moyens dont ils disposent pour s’adapter dans différentes situations et différents contextes (répertoire comportemental, cognitif, émotif, etc.). Le Pad est constitué de leurs caractéristiques biopsychosociales et de l’ensemble des apprentissages issus de leurs expériences antérieures vécues. Le potentiel adaptatif des sujets est donc grandement influencé par leur environnement d’origine.

Answer 50

Le PEx représente le potentiel de la situation ou de l’activité qu’on veut offrir aux sujets pour qu’ils réalisent des apprentissages et pour qu’ils améliorent leurs capacités adaptatives. -En résumé, le PEx d’une activité représente les paramètres d’une activité à mettre en place pour faire vivre des apprentissages aux sujets.

Answer 51

(ou la zone proximale de développement) = L’espace qui est nécessaire, suffisant, pour que mon sujet vive un déséquilibre dynamique. C’est le niveau entre le Pad et le PEx (la distance entre les 2)

Answer 52

C’est le dosage approprié du défi que l’on va offrir aux sujets; créer un déséquilibre que les sujets sont capables de gérer. L’activité a donc le potentiel d’amener les sujets à développer de nouvelles capacités adaptatives.

Answer 53

Composantes structurelles : composantes autour Composantes relationnelles : sujet et parents (cercles bleus)

Answer 54

Milieu = où se passe l'activité, + dans la collectivité Contexte = programme, lien entre personnes, les difficultés

Answer 55

1) Niveau structural 2) Niveau fonctionnel 3) Niveau des résultats

Answer 56

Interactions dynamiques entre les composantes et la réalité de leur articulation les unes par rapport aux autres dans le vécu (l’animation)

Answer 57

Structuration du milieu, du programme spécifique ou de l’activité (ex : planification selon les composantes du modèle)

Answer 58

• Produit de la structure • L’action de l’éducateur qui consiste à favoriser chez un individu l’association entre divers éléments de la réalité de façon à ce qu’il puisse intégrer des comportements nouvellement expérimentés ou acquis. • Utilisation d’un évènement pour favoriser la prise de conscience

Answer 59

1)Ses affinités 2)Ses compétences 3)Ses urgences 4)Ses vulnérabilités

Answer 60

Intérêt : Est une capacité, une aptitude à se mettre en marche vers un objectif que l’on saisit suffisamment pour pouvoir se dépasser pour l’atteindre. Motivation : Un état intérieur qui donne de l’énergie, active et met en mouvement un sujet. Cet état est dirigé vers l’atteinte d’un but ou d’objectifs à travers différents canaux : croyances, normes, attitudes, intérêts et intentions.

Answer 61

La composante objectif est au centre car elle contient tout le sens de l'intervention que l'on va mettre en place. Utilités de la composante= 1. Définir les résultats que l'on va vouloir atteindre (après l'activité, qu'est-ce que les sujets seront capables de faire?) 2. Donner un sens à l'activité (expliquer pourquoi cette activité est importante pour le sujet) 3. Orienter le type de moyen que l'on aura besoin pour atteindre les résultats qu'on aura énoncé

Answer 62

Objectif général : ce que le sujet devra faire pour atteindre le but; les changements globaux (cognitifs, affectifs, sociaux ou psychomoteurs) qui devront apparaitre et perdurer à la suite des apprentissages réalisés. (L’objectif général est plus abstrait que l’objectif spécifique.)

Answer 63

But (ou objectif général) du plan d’intervention, en lien avec un les besoins : □ Le PI peut comporter un ou plusieurs buts □ Les buts doivent découler directement des besoins □ Un but ne devrait pas être un apprentissage visé □ Formulation: verbe global, contexte d’application plus précis que celui du besoin

Answer 64

Objectif spécifique : ce que le sujet devrait être capable de faire concrètement à la fin d’une ou de plusieurs séances. (L’objectif spécifique doit être aussi précis que possible, c’est-à-dire mesurable et observable.)

Answer 65

1. SUJET (ceux qui font l'activité) 2. VERBE D'ACTION/VERBE COMPORTEMENTAL (nommera, identifiera, demandera, etc.) 3. CONTENU SPÉCIFIQUES (Ce qu’on veut qu’il réussisse particulièrement dans le contexte de notre activité) 4. CRITÈRE DE RÉUSSITE (Pourcentage, proportion, fréquence, durée ou délai ❖ Ex : 3 fois sur 4 , 50% du temps, 2 fois par jour, pendant 15 minutes, etc.) 5. ÉCHÉANCIER (L’objectif devra être réussit d’ici _____ ) 6. (OPTIONNEL) CONDITIONS DE RÉALISATION PARTICULIÈRE (Conditions en lien avec notre activité ❖ Temps, lieu, matériel, avec ou sans aide, etc.)

Answer 66

Faux, tant qu'ils soient tous dans la phrase, pas besoin qu'il y ait un ordre précis

Answer 67

Groupe de pairs = tous les individus qui font partie d’une démarche similaire à celle du sujet et qui sont en interaction avec celui-ci, en contexte d’activité, donc en vécu éducatif partagé. On peut considérer le groupe comme une structure vivante qui, comme l’organisme individuel, possède son propre processus adaptatif (Renou, 2005). Sujet= individuel Groupe de pairs = Dynamique du groupe

Answer 68

1)L’ÂGE DU SUJET 2)LES TRADITIONS SOCIOCULTURELLES 3)L’HISTOIRE PERSONNELLE DU SUJET 4)LES POSSIBILITÉS RELIÉES AU TEMPS ET À L’ESPACE 5)LA PLACE DANS LE PROGRAMME GÉNÉRAL *Voir tableau

Answer 69

L'ORGANISATION L'ANIMATION L'UTILISATION *Voir tableau

Answer 70

MMI = « La composante moyens de mise en interaction est un synonyme de la didactique, c’est-à-dire la façon qui sera jugée la plus appropriée pour faire apprendre aux sujets les conduites nécessaires à l’acquisition des compétences souhaitées. C’est ce qui est généralement défini comme l’art de l’enseignement, ou comme les méthodes et techniques qui permettent ou facilitent cet enseignement. » (Renou, 2005) permet de : • identifier les stratégies éducatives ou pédagogiques favorables à l’animation du programme et à l’intégration des apprentissages; • identifier les stratégies favorables à la motivation et à la participation; • prévoir tout le matériel nécessaire au bon déroulement de l’activité; • anticiper les interactions susceptibles de freiner la participation à l’activité et prévoir des techniques d’intervention pour y remédier.

Answer 71

Les moyens pédagogiques Les techniques d’intervention.

Answer 72

Moyens pédagogiques = L’art de l’enseignement des méthodes et des techniques qui permettent ou facilitent un enseignement. Les aspects matériels associés à la manière d’enseigner Ex : journal personnel, ballons, volumes, affiches, films à partir duquel on début une discussion avec les élèves, etc.

Answer 73

1.Imitation 2.Démonstration 3.Transmission verbale 4.Découverte 5.Interaction

Answer 74

TRANSMISSION DE LA PART DE L’ÉDUCATEUR (Imitation, Démonstration, Transmission verbale) DÉMARCHE ACTIVE DE LA PART DU SUJET (Découverte, Interaction)

Answer 75

DÉCOUVERTE

Answer 76

DÉMONSTRATION

Answer 77

TRANSMISSION VERBALE

Answer 78

INTERACTION

Answer 79

La proximité Le toucher La participation émotive Le témoignage d’affection L’humour L’aide opportune L’interprétation La clarification La reformulation Le retrait

Answer 80

La clarification

Answer 81

La participation émotive

Answer 82

L’aide opportune

Answer 83

La reformulation

Answer 84

L’interprétation

Answer 85

Système de responsabilité = vise à rendre les sujets les plus actifs possible dans le fonctionnement général du vécu en animation ou même dans la planification et l’organisation immédiate. Au sens strict, c’est donc le schéma de répartition des tâches (Renou, 2005).

Answer 86

TÂCHE = Ce qui est à faire dans un contexte spatiotemporel donné Par exemple : distribuer les feuilles RÔLE = Est relié à la position que le sujet occupe dans l’ensemble organisationnel comprenant les autres acteurs concernés, Certains rôles sont formels = une activité où un sujet pourrait être l’animateur, l’autre un secrétaire, l’autre un gardien du temps. Rôles informels = liés à la dynamique du groupe (ex : leader, manipulateur, timide, etc.)

Answer 87

CODE = Le code permet de rendre explicites, dans un ensemble cohérent de règlements, les normes de conduite qu’un milieu estime appropriées. Ceci permet aux acteurs de traduire les valeurs et les objectifs du milieu dans la réalité de leur intervention (Gendreau, 2001). PROCÉDURE = Les procédures sont des façons de faire, des démarches et des méthodes à suivre qui visent à faciliter le respect du code par les sujets et l’éducateur dans le contexte de l’intervention (Gendreau, 2001).

Answer 88

Car ça permet aux jeunes de signifier de manière mesurable et observable, ce qui est attendu comme façon de se comporter durant l’activité. Des énoncés comme « ne pas ridiculiser ceux qui parlent devant le groupe » ou « ne pas courir dans le stationnement » n’indiquent pas aux sujets ce qu’ils doivent faire lorsqu’une personne parle devant le groupe ou lorsqu’ils sont dans le stationnement. (positif= permet d’indiquer aux jeunes ce qu’ils doivent faire)

Answer 89

Système d’évaluation : permet notamment de mesurer les progrès des sujets vers l’atteinte de leurs objectifs (Gendreau 2001). Modalités que vous avez prévues pour évaluer si les objectifs de l’activité sont atteints à la suite de l’animation de celle-ci. Il devrait donc comprendre des instruments de mesure qui permettent de vérifier si les objectifs spécifiques ont été atteints.

Answer 90

Faux, l'évaluation de la conduite est un moyen pour aider le sujet à développer au maximum son potentiel d'adaptation.

Answer 91

Système de reconnaissance : l’ensemble des moyens utilisés pour transmettre au jeune l’appréciation de sa conduite. Valoriser les efforts accomplis et les résultats atteints et, d’autre part, de favoriser l’atténuation ou la disparition de conduites inadéquates (Gendreau, 2001; Renou, 2005). L’ensemble des stratégies utilisées pour renforcer l’atteinte des objectifs et l’adhésion au code et aux procédures ainsi qu’au système de responsabilités.

Answer 92

Implicite (ou sociale) - Renforçateurs sociaux (implicites) = ex : félicitations, privilèges, etc. Explicite (ou tangible) - Renforçateurs tangibles (explicites) = ex : prix, sortie, etc.

Answer 93

1) Durée des séances (ex : 15 minutes, 30 min, etc) 2) Moment de la journée (ex : quel jour de la semaine et à quelle heure) 3) Fréquence (ex : quelles sont les intervalles auxquelles ont devrait animer les séances = 2 fois/semaine, 1 fois par mois?, etc.)

Answer 94

Objectif =Durée fixe dans l’horaire où se place notre activité (ex : j’ai l’heure du diner pour faire ça avec mon groupe) Subjectif = Façon dont chaque personne perçoit le temps objectif dans le temps réel vécu et qui est différent d’un individu à un autre Réel vécu = Jonction entre le temps objectif et subjectif : harmoniser l’aspect objectif et l’aspect subjectif pour que les sujets puissent suivre leur rythme sans pousser ou retarder les autres.

Answer 95

Objectif = L’espace que l’on met à disposition pour réaliser l’intervention (l’endroit physique) (Ex : gymnase d’école, parc, corridor, magasin, etc.) Subjectif = Espace perçu par les sujets (ex : est-ce un lieu trop étroit ? Trop bondé de monde ? Trop silencieux ? Trop écho ? etc.) o On veut donc s’assurer que le lieu est perçu positivement par les gens pour qu’ils veulent participer à l’activité Ex : mettre des lumières tamisées dans une pièce pour favoriser la proximité et le confort avec un client

Answer 96

Espace subjectif

Answer 97

Savoir = Paradigmes, approches théoriques Savoir-être = Nos schèmes relationnels quand on entre en contact avec les participants Savoir-faire = les 8 opérations professionnelles, + les 7 opérations séquentielles avec la 8ième (communication)

Answer 98

Refaire le test sur le site

Answer 99

Schème pré-requis = CONSIDÉRATION Schème résultant = EMPATHIE

Answer 100

L’autre professionnel est un collaborateur de l’éducateur et lui apporte du soutien dans sa compréhension des objectifs de l’activité et des caractéristiques des sujets, dans le développement de ses habiletés à l’animer ou encore dans la mise en place de conditions favorables à l’animation. L’autre professionnel joue parfois un rôle dans la généralisation des objectifs dans un autre contexte. Il prend en charge les mêmes sujets, avec les mêmes objectifs, mais dans un environnement autre que celui de l’activité animée par l’éducateur afin de favoriser le transfert des apprentissages dans le milieu naturel (à la maison, à l’école, en groupe, en public, etc.).

Answer 101

▪ La composante « parents », ou personnes significatives, représente les acteurs responsables du sujet dans son milieu naturel. Par leur relation avec le sujet, ces personnes peuvent devenir de puissants collaborateurs pour l’éducateur. ▪ Pour les enfants placés, considérer la composante « parents » revient à réfléchir à l’avenir du sujet en dehors du contexte d’hébergement en centre de réadaptation. ▪ Pour les enfants placés, considérer la composante « parents » revient à réfléchir à l’avenir du sujet en dehors du contexte d’hébergement en centre de réadaptation.

Answer 102

A. Pour que notre intervention produise des effets durables, il faut qu'elle s'appuie sur une perspective qui est systémique dans laquelle le milieu naturel et le milieu d'intervention travaillent en collaboration vers l'atteinte des objectifs. B. Il faut réfléchir à une manière d'inclure et d'outiller le parent pour qu'ils poursuivent le travail avec le jeune à l'extérieur de notre environnement professionnel. C. Il faut outiller le parent pour qu'il garde la motivation du jeune et continue de l'encourager à persévérer

Answer 103

Évaluation post-intervention : Permet d’évaluer si les objectifs ont été atteint, identifier ce qui s’est bien passé et ce qui s’est moins bien passé pour qu’on s’ajuste pour la prochaine animation. Étape qui devrait toujours être réalisée lorsqu’on fait des activités auprès de personnes qui ont des difficultés d’adaptation; on a le devoir en tant que professionnel de s’assurer que nos activités psychoéducatives produisent des effets.

Answer 104

Permet d’évaluer notre activité et voir si elle apporte des effets positifs attendus chez le sujet et sert à se remettre en question.

Answer 105

• À la fin d’une séance a pour objectif recueillir des données sur l’atteinte des objectifs spécifiques de la séance de même que des informations brèves sur la fidélité (le fait d’avoir animé la séance selon le plan prévu) et sur la qualité (le niveau de défi et la capacité des sujets à interagir positivement avec ce qui a été planifié). • À la fin du programme (toutes les séances) a pour objectif d’évaluer l’ensemble de votre activité. En général, a-t-elle produit des effets bénéfiques? A-t-on été capable de respecter notre planification? Avions-nous planifié les composantes de manière à respecter le potentiel adaptatif des sujets? Est-ce que l’activité répondait à un besoin? À cette étape-ci, les données brèves que vous aurez recueillies à chacune des séances vous seront d’une très grande utilité. En fait, elles vous permettront de porter un jugement beaucoup plus objectif sur l’ensemble de votre activité, car votre opinion sera basée sur des faits et non sur vos souvenirs ou vos impressions.

Answer 106

1. LES EFFETS 2. LA FIDÉLITÉ 3. LA QUALITÉ 4. L’ÉVALUATION INITIALE

Answer 107

LA FIDÉLITÉ

Answer 108

L’ÉVALUATION INITIALE

Answer 109

LA QUALITÉ

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