Questions livre partie 1 Flashcards

1
Q

1- Pourquoi la psychologie évolutionniste ne peut reconstituer la phylogénèse des comportements humains?

A

Puisque la psycho évolutionniste concentre son étude uniquement sur la période de 1,8 millions d’années à 10000 ans, sans pour autant étudier les chimpanzés et autres grands primates avec lesquels les humains ont des ancêtres communs, les hypothèses qu’elle fait par rapport à la fonction des comportements selon l’EAE ne sont pas vérifiables. (p.XII)

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2
Q

2- En quoi la notion d’adaptation diffère entre la psychologie/psychiatrie et les perspectives évolutionnistes?

A

La psychologie et la psychiatrie considèrent qu’un individu est en situation d’inadaptation s’il démontre des traits jugés indésirables ou qui affectent son bonheur et son fonctionnement quotidien alors que les perspectives évolutionnistes considèrent uniquement les traits qui favorisent la survie et la reproduction, indépendamment de la souffrance vécue par l’individu. (p.XIII)

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3
Q

3- Quelle est la différence entre la valeur sélective et la valeur sélective globale?

A

La valeur sélective inclus uniquement le nombre de descendants produits directement par un individu alors que la valeur sélective globale inclus en plus les descendants produits par les apparentés (famille) et donc des gènes. (p. XIII)

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4
Q

4- Quelle est l’idée de base de la théorie de l’histoire de vie?

A

L’idée de base est que tout être vivant doit répartir son potentiel énergétique global disponible durant son existence entre trois principales fonctions vitales (la défense de son intégrité, la croissance (physique, sociale ou cognitive) et la reproduction (incluant la compétition pour les partenaires et les comportements parentales). Puisque ce potentiel énergétique est limité, les être vivant doivent faire des compromis entre ces fonctions selon lesquels sont plus ou moins favorisés dans son environnement. Ces stratégies expliquent donc les préférences et comportement véhiculés de manière inconsciente à travers les générations. (p.3)

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5
Q

5- Quelles sont les traits respectifs d’une stratégie de reproduction lente et d’une stratégie rapide?

A

Une stratégie de reproduction lente est caractérisé par un début tardif des relations amoureuses et sexuelles, un nombre moins élevé de relations mais avec une plus grande stabilité dans le temps ainsi qu’un moins nombre de descendant ayant plus d’investissement parental. Cette stratégie favorise ainsi les chances de survie de l’enfant jusqu’à l’âge de reproduction et maximise donc la transmission des gènes de l’individu pour les prochaines générations.
De l’autre côté, une stratégie quantitative sera caractérisée par un développement pubertaire accéléré, des relations sexuelles précoces et avec plusieurs partenaires et un investissement parental minime. Cette stratégie maximisera ainsi le nombre de descendant et ainsi la transmission du patrimoine génétique à court terme. (p.3-4)

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6
Q

6- À quels comportements humains la stratégie quantitative est-elle associée chez l’humain, et pourquoi?

A

Cette stratégie est associée à une tendance accrue à la prise de risque, à plus d’agressions et à la participation à des conflits et des activités illégales, bref les comportements associés aux troubles du comportement. Cela s’explique par la compétition entre les individus du même sexe pour l’accès aux partenaires de reproduction. (p.4)

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7
Q

7- Quelle est la meilleure stratégie reproductive (qualitative ou quantitative)?

A

Elle dépendra des caractéristiques de l’environnement. Dans un environnement stable, la stratégie qualitative sera favorable puisque l’individu pourra utiliser ses ressources lorsque l’enfant en a le plus besoin, augmentant ainsi ses chances de survie et de reproduction. De l’autre côté, dans un environnement instable, une stratégie qualitative sera favorisée puisqu’elle favorise la transmission des gènes à court terme et constitue un moins gros investissement de ressource et d’énergie à long terme. Il est donc favorable de se reproduire ‘dès qu’on le peut’. (p.5)

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8
Q

8- Peut-on considérer le tempérament comme étant inné? Expliquez.

A

Il peut être considéré comme majoritairement inné, c’est en quelque sorte la structure de base de la personnalité de l’individu ayant une origine biologique et ayant été modelé au fil des générations par l’adaptation aux environnements ancestraux successifs. (p.7)

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9
Q

9- Quel est le postulat central du modèle proposé (tempérament/environnement)?

A

Que l’environnement rencontré dès l’enfance influence et influencera par la suite (en interaction avec le tempérament) les relations de l’individu. D’abord avec ses parents, ensuite avec ses pairs et finalement avec ses partenaires amoureux et sexuels potentiels. (p.7-8)

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10
Q

10- Décrivez les deux types de stratégies quantitatives et ce qui les déclenche dans l’environnement.

A

Type vigilant : Afin de se protéger des dangers environnementaux, autant physiques que sociaux. Ceux-ci développent des troubles intériorisés et intériorisés. Ils vont souvent manifester leur anxiété vers l’extérieur. Ce type sera favorisé dans un environnement physique dangerueux ou un environnement social/familial hostile en plus d’un tempérament ayant une forte affectivité négative.

Type insensible : Faible réponse au stress, ils sont impulsifs, antisociaux, excessivement téméraires et parfois agressifs. Ce sous-type est généralement développé après une situation très stressante mais peu aussi apparaitre dans des environnements avec stress modérés, surement à cause de prédispositions génétiques. (p.14)

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11
Q

11- Expliquez la sélection fréquente-dépendante dans le cas de la stratégie indirecte (troubles intériorisés).

A

Dans certaines situations sociales ou une majorité des individus prennent une stratégie agressive, une sorte d’escalade de compétition aura lieu ou les individus deviendront de plus en plus agressifs, augmentant ainsi les risques à ce joindre à ce type de compétition. Ainsi, les individus ayant resté à l’écart pourraient devenir avantagés. (p.14)

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12
Q

12- Quelle est la différence entre la peur et l’anxiété?

A

La peur est une émotion de base qui survient chez tous les individus dans toutes les cultures. Elle est une réponse à un danger immédiat. De l’autre côté, l’anxiété est une association cognitive entre la peur, l’élément déclencheur, le sens donné à celui-ci et la réponse de l’individu. L’anxiété peut donc se manifester par rapport à un danger réel, imaginaire ou anticipé. (p.29)

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13
Q

13- Quelles sont les quatre réponses comportementales adaptatives possibles face à un danger?

A

Fuite, lutte, évanouissement et l’immobilisation/figement (35-36)

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14
Q

14- Que signifie la phrase « l’anxiété serait un système de réponse peu coûteux qui
protège contre des dangers potentiellement coûteux »?

A

L’anxiété peut être dérangeante et un inconvénient mais les multiples fausses alarmes sont beaucoup moins couteuse qu’une seule fois ou une situation n’en déclenche pas une alors qu’elle le devrait. ‘le cout du risque de se faire tuer une seule fois est énorme par rapport à la réponse cent fois d’une alarme répétée à des fausses alarmes.’ (p.36)

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15
Q

15- Expliquez le système de détection de la menace que représente l’anxiété, tel que présenté par Nesse et Bateson.

A

Le système de détection de menace est essentiellement une équation dans laquelle le seuil de réponse optimal à un stresseur est la fonction de la probabilité que la menace soit réellement présente dans l’environnement et la sensibilité de l’individu par rapport au stress. Les individus ayant des troubles anxieux auraient donc un seuil très bas pour certains stimuli. (p.36)

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16
Q

16- Selon une perspective évolutionniste, pourquoi les femmes vivent plus d’anxiété, tout particulièrement à partir de l’adolescence?

A

Les femmes pourraient développer une plus grande vigilance à l’égard des signaux de dangers puisqu’elles doivent veiller sur leur survie et celle de leur progéniture. Il est donc essentielles qu’elles restent en vie assez longtemps pour se reproduire et pour assurer la protection et la survie de leur progéniture. Comparativement, les hommes ont seulement besoin d’être attentif aux dangers par rapport à eux-mêmes. (p.37)

17
Q

17- Pourquoi certaines peurs se développent très rapidement sans expérience traumatisante, semblent souvent irrationnelles et sont particulièrement résistantes à l’extinction?

A

Les êtres humains sont biologiquement préparés à acquérir la peur de certaines situations ou objets qui ont déjà le potentiel de mettre en péril la survie de notre espèce comme les hauteurs ou les serpents. (p.38)

18
Q

18- Quelles sont les 4 caractéristiques du module de peur selon Öhman et Mineka?

A

1- La peur est sélective, elle est associée à des stimuli ayant déjà constitué une menace durant l’évolution
2- La peur est automatique, elle peut subvenir en l’absence du stimulus
3- La peur est encapsulée, elle est résistante à des influences cognitives conscientes.
4- La peur fait appel à des circuits neuronaux spécifiques façonnés par l’évolution. (p.38)

19
Q

19- Comment l’anxiété sociale est-elle vue par les perspectives évolutionnistes?

A

Elle est liée à la compétition, accentuée dans des situations sociales dans lesquels les individus voudraient augmenter ou défendre leur statut social. Les individus qui anticipent qu’ils ont peu de chances de battre cette compétition, ils peuvent adopter des comportements de soumissions qui deviennent de l’anxiété sociale. (p.39-40)

20
Q

20- En quoi l’anxiété sociale a à la fois une fonction adaptative et non adaptative?

A

Adaptatif : Elle permet d’être attentif aux normes sociales et de se méfier des autres qui pourraient constituer une menace.

Non adaptatif : Elle interfère avec la compétition pour les ressources sociales et empêche de créer des alliances utile. De plus, elle peut baisser les succès reproducteurs puisque les individus souffrant d’anxiété sociale ont moins de chances de se marier. (p.40)

21
Q

21- Chez nos ancêtres chasseurs-cueilleurs, la fréquence de stresseurs absolus, présentant une menace pour leur vie, était probablement plus grande qu’aujourd’hui puisqu’ils vivaient dans un environnement plus adverse. La plupart des stresseurs auxquels nous faisons face aujourd’hui sont davantage psychologiques et ils exigent une interprétation individuelle des variables situationnelles qui devront être perçues comme étant stressantes afin de provoquer une réponse de stress. Quelle sont les quatre grandes composantes d’un stress psychologique ?

A

La nouveauté, l’imprévisibilité, la menace à l’égo et le faible sentiment de contrôle.(CINÉ) Ceux-ci peuvent être uniquement perçus et s’additionnent. (p.57)

22
Q

22- La théorie de la disparité évolutive suppose un fossé entre le contexte environnemental qui a favorisé l’émergence de certains traits et le contexte dans lequel ils s’actualisent aujourd’hui. Dans cette optique, une réponse de stress exagérée est vue comme maladaptée et les individus ayant des phénotypes fortement réactifs seraient mésadaptés. Donnez un élément suggérant que le SRS ne serait pas juste un système hérité de nos ancêtres et maladapté au milieu dans lequel nous vivons aujourd’hui.

A

Des recherches ont démontrés que la haute réactivité n’est pas directement liée à des problèmes de santé mais qu’un individu doit avoir une haute réactivité et être dans un environnement ayant un haut niveau de stress pour que des problèmes de santé subviennent. (p.60)

23
Q

23- Comment une forte réactivité au stress peut-elle être maintenue par la sélection naturelle?

A

De plus, avoir des individus avec une basse réactivité et une haute réactivité dans la même espèce permet une augmentation des chances qu’un individu sera adapté à un environnement variable (p.23)

24
Q

24- Qu’entend-t-on par enfants orchidées et enfants pissenlits?

A

Les enfants « orchidées » sont plus sensibles au contexte. Leur survie et leur développement sera fortement dépendante des soins qui lui sont apportés. Dans un contexte de négligence, ceux-ci vont dépérir alors que dans un contexte favorable, ils vont s’épanouir.
De l’autre côté, les enfants « pissenlits » vont se développer et s’adapter peut importe leur environnement et vont démontrer énormément de résilience. (p.62)

25
Q

25- L’homme et la femme présentent des activations cortisolaires significativement plus élevées dans des contextes différents. Quels sont-ils?

A

Les hommes ont des activations cortisolaires plus élevés lors de tâches axés sur la performance (surement à cause de la peur de perdre de statut social), les femmes ont des activations cortisolaires plus importantes lors de tâches en lien avec le rejet social. (p.65)

26
Q

26- Le système biologique du stress (SBS) serait un mécanisme d’adaptation conditionnelle, régulant le développement de stratégies alternatives d’histoires de vie. Vrai ou faux?

A

Vrai

27
Q

27- Le modèle de calibration adaptative (MCA) prédit l’existence de 4 profils types. Lequel correspond à une stratégie d’histoire de vie extrêmement rapide caractérisée par une faible empathie et coopération, de l’impulsivité, des prises de risques compétitives et une plus grande probabilité de comportements antisociaux.

A

Le profil impassible (p.68)

28
Q

28- En quoi consiste l’hypothèse de la navigation sociale et quelles en sont les limites comme modèle explicatif de la dépression post-partum?

A

Selon l’hypothèse de la navigation sociale, la dépression (en générale) aurait pour fonction de motivation sociale en sollicitant, consciemment ou non, l’aide de l’entourage dans les problèmes que vivraient l’individu. De plus, elle permettrait à l’individu qui en souffre de concentrer ses ressources énergétiques sur la résolution cognitive des problèmes qu’il vit. Cela expliquerait l’anhédonie, le retrait social, la perte d’énergie et le ralentissement psychomoteur. Cependant, pour ce qui est de la dépression post-partum, ce modèle n’explique pas pourquoi le désintérêt et la diminution des soins pour le nourrisson et le reste de la fratrie. (p.82-83)

29
Q

29- Comment l’hypothèse de la négociation explique la perte d’intérêt de la mère pour son nourrisson?

A

Selon l’hypothèse de la négociation, la perte d’intérêt chez la mère serait un mécanisme adaptatif de manipulation sociale accroissant l’investissement parental et de l’entourage. Cela permettrait à la mère de retenir son investissement parental afin d’imposer un cout supplémentaire au père et au reste de l’entourage. (p.83)

30
Q

30- Expliquez le modèle de la diathèse de Nettle et dites ce qui serait associé à des niveaux différents de névrotisme.

A

Selon le modèle de la diathèse, la dépression serait expliquée par des prédispositions génétiques en interaction avec des facteurs de l’environnement. Les individus dépressifs seraient donc à l’extrémité de la courbe normal de la réactivité émotionnelle. Lorsque ceux-ci seraient face à des événements de vie stressants, ils auront donc plus de chance de développer une dépression.
Un niveau élevé de névrotisme est associé à une mauvaise santé physique et mentale, une difficulté à maintenir les relations sociales ainsi qu’une vulnérabilité pour les désordres affectifs.
Un niveau faible est associé à plus de compétitivité, de résilience, d’évitement des situations négatives et de persistance à obtenir ce qu’ils veulent. (p.87-88)

31
Q

31- La théorie de la disparité évolutive appliquée à la dépression post-partum indique un lien entre l’absence ou la cessation de l’allaitement et les symptômes dépressifs. Donnez deux explications y étant reliées.

A

D’abord, d’un point de vue chimique, l’allaitement chez la mère mène à une hausse de certaines hormones baissant l’anxiété et le risque de dépression. De plus, le lait maternel est haut en concentration de rétinoïdes (composés chimiques) qui, lorsqu’ils sont en concentration élevé, sont associés à des troubles cognitifs et d’humeur.
De plus, d’un point de vue évolutif, la cessation précoce de l’allaitement voulait dire, que le nourrisson était mort. Ainsi, sur le plan hormonal, psychologique et physiologique, cela simulerait la perte de l’enfant. La mère sentirait donc souvent des symptômes dépressifs encourageant un support des proches et signaler que les comportements parentaux n’étaient pas idéals. (p.89-90)

32
Q

32- Partant du concept d’exaptation, l’auteur considère les symptômes dépressifs comme la défaillance d’une adaptation plus générale, celle des émotions. Expliquez.

A

Les auteurs soutiennent que la maladie mentale n’est pas adaptative en soi mais elle est causée par une défaillance de l’adaptation plus générale des émotions. Celle-ci auraient évolué pour remplir les fonctions relatives au renforcement positif avec la satisfaction et les comportements de retrait avec la peur. L’héritage phylogénétique expliquerait la dépression puisque certains traits seraient maintenus dans le bagage génétique puisqu’ils ont procuré des bénéfices à leur porteur. Cependant, ces gènes pourraient occasionner une vulnérabilité au niveau de certaines maladies mentales. (p.98)

33
Q

33- Qu’est-ce que la stratégie de défaite involontaire (SDI) et quelle serait sa fonction?

A

La stratégie de défaite involontaire est l’ensemble des états de dépression, d’anxiété et d’irritabilité constituant les composantes émotives des patrons de comportement nécessaires au maintien des hiérarchies de dominance dans les groupes sociaux. Elle a pour fonction d’empêcher l’individu de continuer une lutte compétitive et lui éviter des blessures graves ou la mort lorsque celle-ci semble perdue. (p.109-110)

34
Q

34- Qu’est-ce qui amène la désactivation de la SDI?

A

L’acceptation de la défaite (p.110)

35
Q

35- Comment peut-on expliquer qu’une défaite importante peut engendrer une première dépression clinique, tandis que des rechutes ultérieures peuvent être déclenchées par des pertes mineures?

A

Puisque la SDI majeure restera « amorcée » pour un long moment une petite quantité de stimulation sera ensuite nécessaire pour produire la même force de réaction. (p.111)

36
Q

36- Quelle est la principale limite de la théorie de la compétition sociale pour expliquer la dépression?

A

Elle ne prend pas en considération d’autres formes de dépression comme la dépression post-partum et la dépression associée au deuil. (p.112)

37
Q

37- Qu’est-ce que la stratégie de réussite involontaire (SRI)?

A

Elle est une réaction au succès agonistique caractérisée par l’euphorie, une confiance en soi accrue et une hausse dans le rang social ou la hiérarchie. Elle facilite la transition d’une attitude de confrontation à une attitude de bienveillance, favorisant la magnanimité et la réconciliation. (p.113)