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PSYCHO L2 - Semestre 4 > SOC : noms et expés > Flashcards

SOC : noms et expés Flashcards

1
Q

Gergen et Gergen [ch1]

A

psycho sociale = étude systématique des interactions humaines et leurs fondements psychologiques

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2
Q

Brehm et Kassin [ch1]

A

psycho sociale = étude scientifique de la façon dont les gens pensent et se comportent dans une situation sociale

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3
Q

Myers [ch1]

A

psycho sociale = étude scientifique de la façon par laquelle le comportement, les sentiments, les pensées d’un individus sont influencées ou déterminées par le comportement ou les caractéristiques des autres

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4
Q

Smith et Mackie [ch1]

A

psycho sociale = étudier l’effet des processus sociaux et cognitifs sur la manière dont les individus perçoivent, influencent et interagissent avec autrui

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5
Q

Hamon [ch1]

A
  • “psychologie du militaire pro”
  • explication de l’aliénation de l’homme par certaines institutions
  • influence des normes
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6
Q

Tarde [ch1]

A

“les lois de l’imitation”

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7
Q

Le Bon [ch1]

A

“psychologie des foules”

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8
Q

Latané, Williams et Harkins [ch1]

A

effet Ringelmann (influence du grp sur perf individuelles). Exp où il faut crier le plus fort possible. Plus le gp augmente, plus l’intensité diminue (paresse sociale)

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9
Q

Triplett [ch1]

A

facilitation sociale : la présence d’autrui augmente les perf individuelles dans des tâches simples ou routinières (cf cycliste : seul vs meneur vs en compétition)

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10
Q

Heinrich et al [ch1]

A

en lien avec la facilitation sociale : biathlon, différence de perf entre ho et fe en fonction de la présence ou de l’absence de public (course vs tirs)

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11
Q

Chicago [ch1]

A

effet Hawthorne : impact de différents facteurs organisationnels sur les performances (cf exp entreprise)

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12
Q

Lewin [ch1]

A
  • dynamique de groupe (cf exp avec les abats et les méthodes conférences vs réunion-discussion)
  • types de leadership (cf exp enfants et différents styles directifs)
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13
Q

Tajfel [ch1]

A

créateur de la théorie de l’identité sociale (TIS)

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14
Q

Heider [ch2]

A
  • l’explication “ordinaire” : fondateur des théories de l’attribution
  • grâce à l’attribution causale, l’individu appréhende la réalité et peut la prédire et la maîtriser
  • le cpt engloutit le champ : on prête + d’attention au cpt observé que tt ce qui concerne le contexte en vient à disparaître à nos yeux (on établit un lien de causalité entre ce qu’un personne fait et ce qu’elle est)
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15
Q

Weiner et Graham [ch2]

A

une attribution est une inférence qui a pour but d’expliquer pq un évènement a eu lieu

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16
Q

Vallerand [ch2]

A

une attribution est une inférence qui a pour but d’expliquer le comportement d’autrui, aussi bien que notre propre comportement

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17
Q

Heider et Simmel [ch2]

A

observation de mvmts de figures abstraites : on a besoin de tout expliquer de manière innée

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18
Q

Tversky et Kahneman [ch2]

A

jets d’une pièce = pile ou face : notre cerveau a besoin de percevoir de la cohérence/logique, mais tous les jets ont autant de chance de se réaliser

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19
Q

Wirtz et al [ch2]

A

blâme de responsabilité envers des personnes en surpoids : + de discrimination à l’égard de personnes stigmatisées lorsqu’on pense qu’elles sont responsables de leur situation

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20
Q

Abrams et al [ch2]

A

blâme de la victime d’une agression sexuelle avec sexisme hostile vs sexisme bienveillant : plus les personnes adhèrent au sexisme bienveillant, plus ils blâment la victime d’agression sexuelle en condition “ami”

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21
Q

Jones et Davis [ch2]

A

modèle des inférences correspondantes : on attribue des traits de caractères expliquant un comportement (2 facteurs : désirabilité sociale & choix)

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22
Q

Kelley [ch2]

A

modèle de covariation : notre amie qui déteste une série TV. 3 types d’informations : forte consistance vs fort consensus vs forte distinctivité (puis attribution interne ou externe)

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23
Q

Schachter [ch2]

A

théorie de la labilité émotionnelle : expliquer son propre comportement/ses émotions

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24
Q

Schachter et Singer [ch2]

A

théorie de la labilité émotionnelle : explication d’une activation physiologique inattendue. 3 conditions : informés, aucune info, mal informés. Puis 2 contextes : personne euphorique vs personne en colère. Les participants en condition aucun info expliquent leur ressenti physiologique avec le type d’émotion du compère (ceux qui avaient de l’info ne sont pas influencés par l’émotion du compère)

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25
Q

Weiner [ch2]

A

théorie de l’attribution de performances : impact des attributions sur émotions et sur motivation. 3 dimensions : lieu de causalité, stabilité, contrôlabilité

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26
Q

Weiner, Perry et Magnusson [ch2]

A

impact des attributions sur le jugement social : victime SIDA (+ suite à injection ou transfusion - si promiscuité sexuelle ou injonction IV)

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27
Q

Rotter [ch2]

A

déterminants individuels : LOC (interne vs externe)
- Echelle mesurant degré de contrôle perçu : + fort degré de contrôle perçu, + gens répondent qu’ont l’impression d’avoir un fort contrôle, + ont des conduites morales ou d’hygiène
- LOC au travail : plus contrôle perçu ay travail élevé, plus déclare un bien-être, plus sont motivés, plus se sentent efficaces, plus orientent leurs comportements
- Echelle : se présenter de manière positive / se présenter de manière négative / juger les présentations d’autrui → qd positive, score LOC deviennent interne, quand négative, score LOC deviennent externe, qd juges, les questionnaires internes sont mieux jugés que les externes

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28
Q

Bradley [ch2]

A

biais d’autocomplaisance : individus expliquent réussites de façon interne et échecs de façon externe pr protéger et conserver image de soi et confiance en soi positive

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29
Q

Jones et Nisbett [ch2]

A

déterminants situationnels : l’effet acteur-observateur. L’acteur recourt à des explications externes de son cpt, l’observateur à des explications internes du cpt de l’acteur

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30
Q

Jones et Harris [ch2]

A

déterminants situationnels : même quand observateur sait que l’acteur a été contraint de faire ce qu’il a fait, il lui attribue le biais (comme quoi s’il l’a fait, c’est qu’il le pense)

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31
Q

Genschow et al [ch2]

A

déterminants situationnels : mesure de croyance en un libre arbitre et lecture d’un texte écrit par un étudiant sur la prière au sein des écoles publiques (pro vs contre). VD = perception à propos de l’auteur du texte → plus les participants adhèrent au libre arbitre (“gens ont tjr la possibilité de faire autrement”), et plus leur biais de jugement est important (pensent que l’auteur du texte est d’accord avec ce qu’il a écrit)

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32
Q

Ross, Amabile et Steinmetz [ch2]

A

déterminants situationnels : mise en place d’un jeu q/r. VI (rôle du sujet) : questionneur vs questionné vs observateur. VI (rôle de la personne à évaluer) : questionneur vs questionné. VD = évaluation de la culture générale → questionneurs perçus comme + intelligents par autrui et par eux-mêmes (car ont tout le temps la réponse), et inverse pour questionnés (car n’arrivent pas à répondre) → lien avec effet Julien Leperse

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33
Q

Deaux et Emswiller [ch2]

A

déterminants personnels : évaluer la perf d’un ho et d’une fe (tâche masculine ou féminine) → ds tâche masculine, attribution à sa compétence pr un homme et à la chance pr une femme ; ds une tâche féminine, pas de différence d’attribution

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34
Q

Heilman et Stopeck [ch2]

A

déterminants personnels : CV cadre d’entreprise avec belle carrière pro (ho vs fe). Les participants devaient donner les raisons de la réussite pro de ce cadre : pour un homme la compétence était évoquée une fois sur 2 contre 1 fois sur 4 pour une femme

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35
Q

Morris et Peng & Lee et al [ch2]

A

déterminants culturels : chinois vs américains devant expliquer des meurtres ou des évènements sportifs → américains soulignent traits de personnalité, chinois soulignent les facteurs contextuels

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36
Q

Beauvois [ch2]

A

déterminants culturels : la norme d’internalité = valorisation systématique des explications dispositionnelles des évènements mm si ces attributions internes ne sont pas plus pertinentes/objectives que les explications externes (exagération du rôle de l’individu ds ce qui lui arrive). 3 arguments : socialement valorisée (cf Delente et Endelin : plus classe sociale favorisée, plus répondent de manière interne), socialement désirable (cf Beauvois et LePoultier : étudiants, si autovalorisation interne, si autodévalorisation externe) et socialement acquise

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37
Q

Guimond [ch2]

A

déterminants culturels : effet de la socialisation universitaire → étudiants (SHS vs S éco) en 1ère vs 3e/4e année. VD = fournir explication de la pauvreté et du chômage en général → aucune diff en 1ère année, puis éco int vs SHS ext

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38
Q

Dambrun et al [ch2]

A

déterminants culturels : psy vs bio sur la croyance en un déterminisme génétique pr expliquer les comportements sociaux. Au début par trop de diff, plus j’avance en psycho moins jsuis d’acc avec rapport de dominance, et chute en la croyance d’un déterminisme génétique en psy (bouge pas en bio)

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39
Q

Hehman et al [ch3]

A

nos impressions reposent sur 3 critères : caractéristiques de la cible, caractéristiques du perceveur, et interaction cible-perceveur

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40
Q

Todorov et al [ch3]

A

+ une personne a des traits néoténiques, + est digne de confiance

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41
Q

Livingston et Pearse [ch3]

A

jugement de chefs d’entreprises (CEO) et doivent dire s’ils sont sympas/compétents. Les CEO noirs sont associés à plus de traits juvéniles et sont aussi perçus comme étant moins compétents et plus chaleureux

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42
Q

Brambilla et Leach [ch3]

A

personne dangereuse ou digne de confiance :
- détection rapide spontanée et automatique (amygdale)
- plus la cible est perçue comme indigne de confiance, plus on estime qu’elle constitue une menace pour la stabilité et l’intégrité de l’ensemble communauté
- plus cible perçue comme fiable, plus perçue comme bénéfique pr la survie et la cohésion de groupe

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43
Q

Lopez et al [ch3]

A
  • importance du contexte lié à la cible : traits consciencieux chez étudiants (chambre rangée vs chambre mal rangée) → impression guidée par le contexte associé à la cible
  • caractéristiques cible x perceveur : rajout VI où l’observateur est dans une salle rangée ou non + VI = mesure de la tendance individuelle à être multi-tâche avec le numérique → pas d’influence du contexte du perceveur sauf chez les participants “multitâche numérique” (qui ont pris en compte le contexte ds lequel ils étaient pr se faire un avis sur l’étudiant à évaluer)
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44
Q

Russel et Fiske [ch3]

A

faire face à une menace ou à de la compétition influence les impressions à propos de la cible : la concurrence perçue avec une cible modifie les impressions sur la chaleur et la compétence de la cible

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45
Q

Fessler et Holbrook [ch3]

A

faire face à une menace ou à de la compétition influence les impressions à propos de la cible : les personnes en groupe perçoivent la cible moins menaçante

46
Q

Feldman-Hall et al [ch3]

A

jeu de la confiance (10$). VI = type de profil des joueurs. Tâche : doivent choisir de nvx joueurs pr un autre tour → préfèrent jouer avec les gens qui leur rappelaient les joueurs dignes de confiance dans les parties précédentes (+ la similitude est grande, plus l’effet est fort)

47
Q

Lautsen et Peterson [ch3]

A

proposition politique : si visage plutôt fin (moins dominant), préférence par les gens de gauche, si visage plutôt marqué et masculin (plus dominant), préférence par les gens de droite

48
Q

Asch [ch3]

A

modèle de la configuration :
- modèle additif (nos impressions = somme de traits de personnalité qu’on attribue à une personne) vs modèle de la configuration (impression dépend de l’ensemble des traits que l’on perçoit et qu’on organise ds une structure particulière → ce tt produit l’impression)
- effet de primauté (le 1er trait est plus informatif sur la personne que le reste)
- traits centraux (sont capables de changer l’impression générale)

49
Q

Snyder et Swann [ch3]

A

évaluation de la personnalité d’un autre élève (extraverti et sociable vs introverti et timide) : posent plus de questions liées à l’extraversion qd la personne l’est et inversement

50
Q

Snyder et al [ch3]

A

croyance attractive = extravertie. Présentation de photos de fe +/- attractives à des ho. Doivent discuter avec au tél : cible “attractive” jugée comme plus extravertie par les participants (et observateurs perçoivent la même chose)

51
Q

Kahneman et Tversky [ch3]

A

Biais d’ancrage : jeu de la roue puis évaluation du % des pays d’Afrique au sein de l’ONU → évaluation moyenne du % > qd ancre >, < qd <

52
Q

Englich et Mussweiler [ch3]

A

Biais d’ancrage : décision de justice. Les juges exposés à l’ancre basse prononcent en moyenne une peine inférieur à ceux ayant été exposés à une ancre haute (fonctionne même qd la personne qui donne l’ancre n’est pas dans la justice = qd source pas légitime)

53
Q

Mussweiler et Stack [ch3]

A

Biais d’ancrage : jeu de dés (truqué). Juges proposent une peine plus faible qd ancre basse que quand ancre haute

54
Q

Rosenberg et al [ch3]

A

classification de 64 traits en chaleur (faible/élevée) et en compétence (faible/élevée) : chaque groupe composant la société est associé à des caractéristiques en termes de chaleur perçue

55
Q

Fiske et al [ch3]

A

hypothèse de la primauté de la chaleur : établit les intentions d’autrui à notre égard & établit un jugement de compétence sur autrui

56
Q

Fiske et Neuberg [ch3]

A

modèle du processus de formation d’impression : infos individualisantes (spécifiques à la personne) vs catégorielles (non-spécifiques)

57
Q

Brunswick [ch3]

A

photographies de soldats : évaluer sa sociabilité et son degré d’intelligence → fort consensus (observateurs tous d’accord pour dire que telle personne à l’air sociable ou non) + aucun rapport entre jugement effectués sur la base de photo et l’intelligence/sociabilité réelle + aucun lien entre leur sociabilité réelle et leur intelligence réelle (si sociable veut pas dire qu’intelligent et inversement : !! effet de halo !!) + les soldats jugés intelligents étaient aussi jugés sociables

58
Q

Heilman et al [ch3]

A

manque de correspondance :
- la beauté accentuerait les attributs liés au sexe. Ho séduisant perçu comme plus masculins qu’un ho non attrayant (idem pr fe)
- l’effet de la beauté varie selon le caractère sexuellement type du métier : qd métier typé, qualités associées au genre sont attendus (ds une offre d’emploi de cadre de type masculin : une femme belle aura moins de chances d’ê embauchée par rapport à une femme peu attrayante et un ho beau est privilégié par rapport à un ho peu attrayant)

59
Q

Tajfel [ch4]

A
  • il définit une catégorie = gp de personnes, d’objets, d’évènements en tant qu’ils sont soit semblables, soit équivalents les uns aux autres pour l’action, les intentions ou les attitudes d’une personne. Il note 3 types de caractère : relatif (construit), social (déterminé culturellement), conceptuel (représentation mentale)
  • double csq de la catégorisation : accentuation des ressemblances intracatégorielles (effet d’assimilation) vs accentuation des différences intercatégorielles (effet de contraste)
  • TIS : les ind cherchent à maintenir ou acquérir une identité sociale positive + comparaisons soc variables entre notre endogrp et notre exogrp, construisant une identité sociale + qd id soc pas satisfaite, ind cherchent soit à quitter leur grp pr en rejoindre un plus prestigieux, soit à rendre leur propre gp plus prestigieux
60
Q

Tajfel et Wilkes [ch4]

A

huit lignes verticales de différentes longueurs tracées sur un carton, 3 conditions : classification continue, sans catégorisation, avec catégorisation. Les participants devaient estimer la longueur de chaque ligne → accentuation catégorielle avec exagération des différences entre les 2 catégories (effet de contraste intercatégoriel)

61
Q

Wilder [ch4]

A

écoute d’un enregistrement d’une discussion entre plusieurs individus, 3 conditions : membres d’un mm grp, deux gp différents, agrégat d’individus. Les participants doivent deviner la réaction de l’intervenant suivant → qd discu provient des membres d’un mm gp, on s’attend à ce que la personne suivante ait un avis similaire, inverse qd discussion provient de deux groupes distincts

62
Q

Taylor et al [ch4]

A

biais mémoriel lié à la catégorisation : les appartenances groupales influencent la manière dont un observateur stocke l’info. Opinion de 8 personnes avec leur photo (avec ou sans catégorisation : soit 8 fe, soit 4 fe et 4 ho). On demande aux participants de retrouver la personne associée à l’énoncé → les erreurs intra-catégorielles sont relativement plus fréquentes que les erreurs inter-catégorielles, donc on a tendance à confondre entre elles des personnes de mm catégorie, plutôt que des personnes de catégories différentes

63
Q

LePoultier [ch4]

A

biais dans le jugement social : vidéo de 2 femmes qui discutent, 3 conditions : gp ctrl, fe à gauche AS à droite cas social, fe à gauche cas social à droite AS. Les participants doivent choisir ds une liste de traits (positifs/négatifs) ce qui décrit les personnes → les participants attribuent des traits en fonction des étiquettes collées aux deux femmes. La même femme ne sera pas perçue de la même manière si elle est présentée comme AS ou comme cas social

64
Q

Shedler et al [ch4]

A

lecture d’un texte écrit par une personne hospitalisée, 2 conditions : gravement atteinte vs légers troubles → le même texte est jugé différemment selon les informations que l’on dispose (les participants estiment que les phrases sont plus représentatives d’une personne malade ds la condition “personnes gravement atteintes”)

65
Q

Kuhn et Mc Partland [ch4]

A

test du qui suis-je : caractéristiques perso et appartenances aux groupes et catégories sociales → on ne pense pas tous aux mêmes éléments faisant de ns ce qu’on est

65
Q

Major et al [ch4]

A
  • comparaisons intergroupes sur l’estime de soi : comparaisons descendantes (qqun qui réussit moins bien) vs comparaisons ascendantes (qqun qui réussit mieux) avec endogroupe vs exogroupe → les comparaisons descendantes améliorent l’estime de soi qq soit le gp de comparaison, les comparaisons ascendantes la diminue avec l’endogp, et pas d’impact avec l’exogrp
  • qd identité sociale menacée : les comparaisons ascendantes avec l’exogroupe entraînent une diminution de l’estime de soi mais il y a un rôle protecteur des comparaisons ascendantes avec des membres de son groupe car réussite de son grp d’appartenance (permettrait d’assimiler son estime de soi à la bonne performance des membres de son grp)
66
Q

Leyens et al [ch5]

A

le stéréotype est un ensemble de croyances partagées à propos des caractéristiques personnelles mais aussi des comportements propres à un groupe de personnes (les croyances partagées sont une acquisition sociale)

67
Q

Katz et Braly [ch5]

A
  • étudiants blancs de l’université de Princeton qui doivent choisir 5 traits typiques parmi une liste de 84 traits positifs et négatifs à propos des allemands et des noirs → fort consensus ds les réponses, la majorité des étudiants blancs croyaient que les noirs étaient superstitieux et paresseux et que les allemands étaient travailleurs et impassibles
  • ds une nouvelle étude après la guerre, seulement 50% des étudiants considéraient les allemands comme travailleurs et très peu comme impassibles. Les stéréotypes associés aux noirs étaient moins négatifs. Les stéréotypes peuvent donc changer positivement ou négativement avec le temps et selon les évènements
68
Q

Eagly [ch5]

A

traits communautaires associés aux femmes vs traits argentiques associés aux hommes (différents traits selon les sexes)

69
Q

Eagly et Steffen [ch5]

A

lecture de description d’homme ou de femme, puis occupation de la personne (3 conditions : travail, s’occupe de la maison, statut non précisé) → lorsque l’occupation n’est pas précisée, les sujets perçoivent les cibles masculines et féminines conformément à leurs stéréotypes, ceux s’occupant de la maison correspondent au stéréotype féminin (communautaire ++ argentique –) et ceux étant employés correspondent au stéréotype masculin (argentique ++ communautaire –)

70
Q

Jost et Banaji [ch5]

A

fonction de justification : les stéréotypes permettent de légitimer les différentes de statut entre les personnes et les groupes dans la hiérarchie sociale (ex : stéréotypes négatifs à l’égard des chômeurs // stéréotypes positifs à l’égard des femmes). Les inégalités entre les individus ou groupes sociaux sont perçues comme étant justes, normales et naturelles

71
Q

Darley et Gross [ch5]

A

le stéréotype de classe sociale influence les jugements concernant la réussite scolaire : vidéo 1 d’une fille joue (famille modeste vs aisée) et on demande aux participants si elle va réussir à l’école. Vidéo 2 exo maths parfois réussite parfois échec (mm vidéo pour les 2 conditions, pr ceux qui voient cette 2e vidéo) → s’ils n’ont vu que la 1ère vidéo, pensent qu’elle va moins bien réussir qd milieu populaire qu’aisé. Si ont également vu 2è vidéo, ils cherchent les informations confirmant leurs attentes (si attendent réussite, font plus attention aux réussites, si attendent échec, font plus attention aux difficultés). Le jugement est donc encore plus biaisé après la 2è vidéo (attentes engendrées par le stéréotype de classe sociale)

72
Q

Epley et Kruger [ch5]

A

ds situation ambigüe, les stéréotypes sont plus susceptibles de biaiser nos jugements :
- les participants doivent dire si la personne avec qu’ils communiquent (email vs tél) est intelligente ou non. Infos sur le nb de diplôme av la comm (peu ou bcp) → si par mail, personnes décrites avec bcp de diplômes ont été perçues comme intelligente vs peu de diplôme peu intelligente. Si par tél, les informations paralinguistiques ont diminué l’effet des stéréotypes (pas de différence entre peu ou bcp de diplômes)
- les participants reçoivent une photo (afro-am vs chinois) de la personne avec qu’ils vont devoir communiquer (email vs tél). Les asiatiques sont perçus comme moins sociables que les afro-am par email, il n’y a pas de différentes perçues par tél

73
Q

Bodenhaussen [ch5]

A

surcharge cognitive : gens du matin vs gens du soir, passation à 9h, 15h ou 20h, doivent lire un dossier sur une personne accusée d’agression → qd passation a lieu l’aprem, gens du matin perçoivent la personne hispanique comme plus coupable et qd passation a lieu le matin, gens de l’aprem perçoivent la personne hispanique comme plus coupable également

74
Q

Macrae et al [ch5]

A

surcharge cognitive : type d’emploi (médecin vs coiffeuse), niveau de ressources cognitives (surcharge cogn ou non), doivent effectuer un jugement de la femme sur plusieurs traits (intelligente, superficielle, …) → un état de surcharge cogn est un facteur qui facilite l’influence des stéréotypes sur nos jugement

75
Q

Bodenhaussen et Kramer [ch5]

A

le rôle des émotions sur les stéréotypes : la tâche des sujets consistait simplement à juger de la culpabilité d’un étudiant qui avait vendu de la drogue sur le campus. On manipulait le type d’émotions (joie, tristesse, …) et la personne à juger (noir vs blanc) → peu importe l’émotion, amène à plus penser que l’étudiant noir est coupable (vs émotion neutre, pas de différence entre étudiant noir et étudiant blanc)

76
Q

Steele et Aronson [ch5]

A

menace du stéréotype = situation ds laquelle une personne court le risque de confirmer un stéréotype négatif relatif à son grp d’appartenance. Il y a donc une peur de confirmer ou d’être vu comme confirmant ce stéréotype (augmentation de la pression évaluative et diminution de la perf)

77
Q

Abrams et al [ch5]

A

menace flagrante (menace du stéréotype) : on active ou non le stéréotype “PA comparé aux jeunes” et on fait varier le contact positif inter-générationnel, on mesure tâches intellectuelles et l’anxiété → les performances sont plutôt bonnes qd y’a pas de menaces, mais qd y’a menace, leurs perf diminuent, et d’autant plus qd ils n’ont pas une bonne relation avec les jeunes. Idem pr l’anxiété (sans menace pas d’anxiété, avec menace, forte anxiété)

78
Q

Hess et al [ch5]

A

menace explicite sur population âgée (menace du stéréotype) : on manipule menace du stéréotype (- bonne perf des PA) avec condition menace vs condition ctrl. On mesure les épreuves mnésiques (mémoriser liste de mots) → moins bonnes perf mnésiques en condition menace

79
Q

Spencer, Quinn et Steele [ch5]

A

menace du stéréotype : étudiants en maths (fi et ga). On mesure la passation d’une série de tests maths et on varie les conditions (différence ou pas de différence) → no gender diff, réussissent de la mm façon vs gender diff, la perf des filles diminue très fortement et celle des garçons augmente légèrement

80
Q

Huguet et Régner [ch5]

A

menace subtile (menace du stéréotype) :
- impact sur les performances cognitives, 20 filles et 20 garçons tous bons en maths. Test de la figure de Rey en passation individuelle au collège. On varie le test présenté (test géométrique vs jeu de mémoire) → les garçons performent plus que les filles qd géom, alors qu’en dessin, les filles ont des perf équivalentes aux garçons qd géom et c’est au tour des garçons de voir leurs capacités s’écrouler
- idem mais test de la figure de Rey présentée soit comme un test de géométrie soit comme un test de dessin, et on rajoute la VI classe mixte vs non mixte → en classe mixte, les filles performent bcp - en géom qu’en dessin, les garçons pas trop de diff entre les 2, et en classe non mixte, l’effet ne s’est pas déclenché

81
Q

Bargh, Chen et Burrows [ch5]

A

activation du stéréotype : test de langage (activation stéréotype PA), fait varier les mots associés au stéréotype de la PA vs mots non associés. On mesure le tps mus pr traverser le couloir jusqu’à la sortie → le fait d’avoir activé ce stéréotype s’est traduit par la production de cpt plus lents (les participants marchent moins vite en sortant du labo lorsqu’au préalable ils ont été exposés au stéréotype de la PA)

82
Q

Bourguignon et al [ch5]

A

activation du stéréotype : demandeur d’emploi
- chômeurs gp stigmatisé, car abs d’emploi attribut socialement dévalorisé, et sentiment d’exclusion et de discrimination ds différents domaines. On active le stéréotype de chômeurs → ds ce cas, diminution des perf intellectuelles et diminution des intentions d’actions
- population de chômeurs, on active le stéréotype chômeur → baisse de l’importance de la sphère culturelle et baisse d’intention d’action ds la sphère culturelle

83
Q

Prinz [ch5]

A

les structures mentales qui nous servent à imaginer et à nous représenter des comportements sont liées à celles qui ns servent à produire des cpts. Donc l’activation d’un stéréotype active les structures mentales permettant la représentation des comportements de ces individus

84
Q

Darley et Batson [ch6]

A

les participants doivent enregistrer une émission de radio concernant leur conception de l’altruisme. 3 grp : en avance, à l’heure, en retard. Compère souffrant sur le chemin. On mesure le nb de personnes qui aident → en avance > à l’heure > en retard. On est bon que lorsque l’on dispose d’un temps suffisant pr le devenir

85
Q

Bryant et Test [ch6]

A

observer qqun aider autrui augmente la proba que l’obs du cpt d’aide fasse de même

86
Q

Horstein et al [ch6]

A

on imite également des gens qui n’apportent pas leur aide. Enveloppes avec porte-monnaie et notes. On mesure le nb de personnes qui ont ramassées le porte-monnaie et restitué l’argent. On fait varier le niveau d’anglais (correct vs non) et l’état affectif de la note (positif, négatif, neutre) → les participants ont plus rendu l’argent qd le modèle leur ressemblait, sauf en condition négatif où on rapportait moins le porte-monnaie

87
Q

Levine et al [ch6]

A

rôle des appartenances sociales :
- activation de l’identité de fan de MU. Les participants croisent un jogger qui tombe et se tient la cheville, on fait varier son tshirt (MU, L, neutre) → j’apporte plus mon aide à des personnes appartenant au même gp social que moi
- activation de l’identité sociale de fan de football. Les participants croisent un jogger qui tombe et se tient la chemine, on fait varier le tshirt de la victime (MU, L, neutre) → aide est donnée en fonction des appartenances sociales de la victime et de l’aidant (tshirt foot > neutre)

88
Q

Levine et Crowther [ch6]

A

ho et fe visionnent un extrait vidéo d’une agression violente d’un ho sur une fe. 3 conditions : les participants voient la vidéo seul(e), les participants voient la vidéo avec 2 femmes, les participants voient la vidéo avec 2 hommes → qd seul estiment que seraient intervenus à 35-38%. Qd homme avec 2 femmes ou femme avec 2 femmes environ 80% et qd femmes avec 2 hommes et hommes avec 2 hommes, environ 20%

89
Q

Darley et Latané [ch6]

A
  • l’effet du passant : + y’a de personnes, - tu te sens obligé d’aider. Discussion vie universitaire, 3 conditions : avec 1 autre, 3 autres ou 5 autres personnes. Victime fait une crise et appel à l’aide → seul aide plus que quand y’a présence d’autres personnes
  • phénomène de diffusion de responsabilité : plus le nb de personnes en mesure d’aider la victime augmente, moins chacune d’entre elles sentira le besoin d’agir
  • le modèle cognitif du cpt d’aide : phase 1 (percevoir la situation) phase 2 (interpréter correctement la situation) phase 3 (accepter la responsabilité de devoir aider autrui) phase 4 (choisir le cpt d’aide approprié à adopter) phase 5 (adopter le cpt d’aide)
90
Q

Philpot et al [ch6]

A

analyse caméra de surveillance lors d’agressions interperso : intervention d’un témoin est la norme, et plus il y a de témoins, plus grande est la proba de se faire aider

91
Q

Latané et Rodin [ch6]

A

cf phase 2 du modèle cognitif du cpt d’aide. Le rôle des autres ds l’interprétation d’une situation. 3 conditions : personne seule, personne avec ami, personne avec inconnu → les participants qui aidèrent le plus l’individu à côté étaient les personnes seules ds le local, suivies de celles qui attendaient en compagnie d’un ami et enfin de celles en compagnie d’un étranger

92
Q

Pivalin et al [ch6]

A

le calcul du passant : lorsque les bénéfices sont plus élevés que les coûts, les gens ont tendance à aider les autre et inversement

93
Q

Xu et al [ch6]

A

effet de la culpabilité : les participants voient des vidéos difficilement soutenables, et peuvent exprimer leurs émotions ou non. Puis induction d’un sentiment de culpabilité : doivent jouer à un jeu et qd ils gagnent, l’adversaire reçoit un bruit ultra douloureux ds les oreilles. Puis les participants ont la possibilité de “se racheter” en versant de l’argent à une campagne pr le Sidaction → en condition épuisement psychique, les personnes ont donné moins d’argent pr le Sidaction par rapport à ceux qui avaient eu la possibilité d’exprimer leurs émotions

94
Q

Condon et al [ch6]

A

effet des pratiques méditatives (mindfulness) : court de médiation pdt 8 sem vs grp ctrl. On mesure le cpt d’aide : salle d’attente, 3 chaises, déjà 2 compères, et 1 personne en béquille arrive → 5x plus d’aide pr la condition mindfullness/compassion

95
Q

Berry et al [ch6]

A

mindfulness (exercice) vs ctrl (actif). Observe des gens jouer à un jeu de cyber-ball, et un joueur ne reçoit jamais la balle. On mesure l’empathie ressentie et possibilité d’envoyer un email de soutien → l’impact de l’entraînement mindfulness sur les cpt d’aide est médiatisé par l’augmentation de la préoccupation empathique pr autrui

96
Q

Batson et al [ch6]

A

effet de l’empathie : les participants observent un individu qui reçoit des chocs électriques pdt 10 essai, mal à l’aise dès le 2ème. Les participants devront prendre la place. Pdt pause, proposition d’un questionnaire sur les émotions. VI : possibilité de fuite vs obligé de rester → en condition “impossible de quitter l’exp”, la volonté de prendre la place de l’autre est la mm qq soit l’émotion dominante (détresse ou empathie) car se dit que pas le choix vs en condition “fuite”, les participants qui ont ressenti de l’empathie vont bcp + vouloir prendre la place de la personne qui reçoit les chocs (par rapport à ceux qui ont ressenti de la détresse)

97
Q

March et al [ch6]

A

existence d’un altruisme “pur” : amygdale cérébrale plus volumineuse chez les altruistes purs que chez la moyenne de la population. l’amygdale ns permet d’interpréter les expressions faciales et les signaux émotionnels. les personnes à l’altruisme pur ont une amygdale plus développée et peuvent avoir l’impression que bcp de gens sont ds la détresse et ont besoin d’être secourus

98
Q

Shiota et al [ch7]

A
  • induction du awe (vs fierté) via un rappel autobiographique → qd activation du awe, les participants ont l’impression de se sentir + petit, + insignifiant, ont davantage l’impression d’être en présence de qqch de + grand qu’eux-même, ont été moins préoccupé par leurs pb quotidiens, se sentent plus en connexion avec le monde autour et d’être moins connecté à leur valeur perso et leur culture
  • étude corrélationnelle : plus on vit du awe et plus on est à l’aise pr réviser nos structures mentales ou en créer de nouvelles. On mesure comment les personnes se définissent en variant les émotions positives ds le quotidien (awe, joie, fierté)
99
Q

Rees et Nicholson [ch7]

A

test du “qui suis-je?” : plus les participants ont vécu du awe durant les derniers mois, plus ils vont se décrire de manière océanique (moins par des caractéristiques perso, plus par des caractéristiques générales ou universelles pr s’auto-décrire)

100
Q

Bai et al [ch7]

A

parc Yosemite vs parc attraction chez US vs asiatiques. 2 lieux activant le awe, le parc Yosemite entraîne une taille de soi plus petite, un dessin d’une image de soi plus petite et une signature plus petite. L’effet est plus fort chez les touristes US (car asiatique ressentent plutôt du awe pour les choses en rapport avec la vénération/de l’admiration)

101
Q

Elk et al [ch7]

A

visite installation vidéo ds la plus ancienne église de la ville d’Amsterdam. Mesures prises avant et après → les participants se sentent plus petit en sortant qu’en entrant

102
Q

Hartig, Mitchelle, de Vries et Frumkin [ch7]

A

le contact avec la nature peut réduire le stress et favoriser un profil de santé plus robuste (méta-analyse)

103
Q

Anderson et al [ch7]

A

rôle des émotions vécues sur la santé psychologique :
- population militaires vétérans et jeunes issus de communautés défavorisés. Sortie en rafting (1-4jrs). Note sur comment son vécu ces activités. Ont vécu pleins d’émotions positives et on mesure leur bien-être avant après pr comparer → différence significative entre av et ap, plus de bien être et moins de symptômes liés au stress. C’est le awe qui prédit l’augmentation du stress (explique le mieux la variation de stress et de bien-être)
- population étudiants en 1ère année, 14 jours (carnet de bord). Se déclarent plus satisfait de leur VQ les jours où ils vont ds la nature, font état de plus de awe les jrs où ils sont en contact avec la nature, l’émerveillement est lié à la satisfaction (mm qd on contrôle les autres émotions style amusement, joie, fierté, …) et l’effet de l’expérience de la nature sur la satisfaction de la VQ s’explique par le fait de vivre du awe

104
Q

Sturm et al [ch7]

A

Small Self : marche awe vs marche ctrl sur des PA (60-90 a). VC : pas de tél, balade seul. Mesures : image de soi, émotions, small self experience, anxiété dépression et satisfaction de vie → de moins de moins d’eux-mêmes sur la photo et de plus en plus de paysages en arrière-plan, plus de sourires sur les photos, plus d’émotions pro-sociales, mais aucun effet sur anxiété-dépression et santé mentale entre av et ap qq soit la condition

105
Q

Nelson-Coffrey et al [ch7]

A

expériences du awe attirent-elles d’autres émotions? Induction du awe via une vue de la terre depuis l’espace comme la vision d’un astronaute (RV vs vidéo) → augmentation des émotions transcendantes, mais également d’autres émotions positives ou négatives + sentiment de connexion + pensées pertinentes pr soi + sentiment d’humilité

106
Q
  • Chirico et al
  • Stellar et al
  • Elk et al
    [ch7]
A

CORRELATS PHYSIOLOGIQUES ET NEURONAUX DURANT L’EFFET AWE :
- activation du SN parasympathique
- associé à une diminution des réponses inflammatoires
- régions du DMN désactivées (cortex cingulaire post, gyrus angulaire, etc.)

107
Q

Pif et al [ch7]

A

émotions pro-sociales :
- jeu du dictateur, 10 tickets à garder ou à redistribuer → plus les participants vivent émerveillement ds leur vie, plus ils redistribuent/partagent les billets càd offrent possibilité à l’adversaire de gagner des sous (en comparaison à la fierté ou à l’amusement)
- induction du awe par des vidéos (awe, fun ou neutre). Jeu du dictateur aussi → l’induction expérimentale du awe amène à faire des choix altruistes, a être plus généreux
- balade : expérimentateur qui renverse sa boîte de stylo : nb de stylos ramassés? Indicateur de la mise en avant de soi + cb veut être payé? Et relation avec autrui? → balade/émerveillement amène à plus ramasser les stylos car atténue la mise en avant de soi. Les p’s ont moins la volonté d’ê payé ou de se centrer sur eux-mm et donc à produire plus de cpt de générosité

108
Q

Prade et Saroglou [ch7]

A
  • mesure de pro-sociabilité : ce que vous feriez avec 100 000€ → en condition d’émerveillement, redistribuent plus que ceux en condition d’amusement ou en condition neutre
  • volonté d’aider : via des scénarios de personnes ds le besoin → idem. Donc awe amène a être plus éthique
109
Q

Zhao et al [ch7]

A

attitudes pro-environnementales : questionnaire sur le cpt écolo, le sacrifice envrnmtal, l’intention pro-envrnmtal. Mesure d’orientation à la dominance sociale → émerveillement amène à s’engager davantage d’un pdv écolo (déclenche moindre envie de domination, et plus de cpt favorable à l’environnement/d’intentions pro-environnementales

110
Q

Yang et al [ch7]

A

attitudes pro-environnementales : la relation d’un individu avec la nature est un facteur clé des attitudes et des cpts écologiques. Connexion à la nature élevé (incluse ds le concept de soi de l’individu). Induction du awe → plus je sens que je suis la nature, plus je sens que j’ai envie de la défendre (donc plus de awe, plus de connexion à la nature, plus de cpt écologiques)

PSYCHO L2 - Semestre 4 (12 decks)

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