Socio 1 Flashcards

1
Q

Le patient va raconter l’histoire de sa maladie et

A

lui donner une cause.

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2
Q

Mécanisme humain de base,

A

prédire l’environneme

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3
Q

Soit les causes sont internes à la personne

A

(dispositionnelles) : personnalité, comportement (exemple :
J’ai un cancer car j’ai trop fumé)

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4
Q

Soit les causes sont externes à la personne

A

(situationnelles) : chance, effet d’un tiers (faute de quelqu’un d’autre) (exemple : Si j’ai un cancer c’est à cause de la pollution de l’air)

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5
Q

Capacité à faire des attributions dépend

A

du lieu de contrôle (locus de contrôle)

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6
Q

LOC =

A

tendance générale à considérer que les effets sont plutôt liés à des causes interne ou externe

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7
Q

La norme d’internalité (BEAUVOIS 1984) :

A

Il est plutôt bien vu d’expliquer les choses en utilisant des causes internes en occident -> qu’il s’agisse de réussites ou d’échec

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8
Q

Différences interculturelles le retard

A

Différences interculturelles : En occident, le retard est mieux perçu si l’on invoque une cause interne (même si le retard n’est pas notre faute)

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9
Q

LOC important a prendre en compte car

A

Variable à prendre en compte lors d’une interaction, peut faciliter la communication afin d’aboutir à un changement de comportement

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10
Q

peuvent entraver le processus de changement de comporteme

A

LOC externe

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11
Q

Les réactions face à la douleur sont conditionnées

A

par l’idée qu’on se fait de la douleur.
Attention tu vas avoir mal avant enlever un pansement== trauma initiale : réaction de douleur réguler par la croyance

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12
Q

Les croyances et les représentations à propos de la douleur sont culturellement et socialement partagées

A
  • Co-construction avec notre groupe de pairs, notre famille, la société…
  • Les représentations contribuent fortement aux angoisses exprimées (ou non exprimées par
    le patient)
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13
Q

« Le patient Doctissimo » =

A

hypochondriaque

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14
Q

Patient doctissimottt

A

Le patient est très attentif à tous les signaux qui vont dans son sens
Ils surévaluent l’importance des informations concordantes Ils sous-évaluent les informations non-concordantes
Le pire : les infos contradictoires peuvent renforcer

L’effet est accentué avec :
- Surcharge cognitive
- Anxiété
- Infos couteuses (compliquées, pas le degré d’éducation pour appréhender l’information)
- Pression (temporelle notamment)

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15
Q

Un patient qui n’exprime que peu de plaintes, d’affect négatif… risque d’être

A

sous-évalué (moins bien traité qu’un autre)

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16
Q

Risque du patient idéal,

A

minimiser ses réelles problématiques qui sont masquées

17
Q

Celui qui exprime beaucoup de gémissements, plaintes (comportement maladie marqué) risque

A

d’être rejeté par le thérapeute

18
Q

L’optimisme comparatif ou irréaliste est

A

une tendance à considérer la survenue d’évènements positifs comme plus probable qu’elle ne l’est en réalité et d’estimer la survenue d’évènements négatifs comme moins probable
- repose sur la comparaison avec la réalité
- tendance à surestimer la probabilité que les évènements positifs arrivent à soi plutôt qu’à
autrui
- tendance à surestimer que les évènements négatifs arrivent à d’autres personnes plutôt
qu’à soi (Exemple : je fume autant, mais moi ça va, je n’aurai pas de cancer)
- se comparer à pire que soi (Exemple : j’ai eu 11/20 mais lui il a eu 8/20)

19
Q

Plusieurs facteurs renforcent l’optimisme comparatif :

A
  • Le manque d’expérience personnelle face à la situation en question
  • La croyance selon laquelle que si le problème n’est pas survenu, il n’a aucune raison de survenir par la suite
  • L’égocentrisme (difficulté à adopter le point de vue d’une autre personne)
20
Q

Plusieurs façons d’expliquer l’optimisme comparatif :

A
  • Application spontanée de scénario à soi mais pas aux autres
  • Représentation de soi plus développée que celle attribuée à autrui
  • Focalisation sélective : négliger ses propres conduites à risque… (exemple : ne pas se
    protéger contre le soleil à la plage car « ma peau se régénère vite »)
  • Se focaliser sur ses comportements prudents (exemple : mais mes lunettes de soleil sont de
    bonne qualité, donc me protègent bien les yeux et je sors toujours avec à la plage)
  • Comparaison sociale descendante : image de soi plus positive, moins d’anxiété (exemple : la
    téléréalité = on regarde des personnes en apparence plus bête que soi pour se rassurer et se sentir bien)