TCC Flashcards

1
Q

Quelles sont les étapes du processus de l’apprentissage sociale?

A
  1. L’observation =observe qqun faire qqc et voit qu’il y a des conséquences positives ou à l’inverse pour le négatif.
  2. anticipation =comprend que si lui aussi fait la même chose, il aura aussi les bénéfices ou les méfaits
  3. Mémorisation ou l’encodage= mémorise le comportement observé
  4. L’imitation= reproduction du comportement
  5. renforcement externe= Si a ce qu’il veut après le comportement, ressent satisfaction qui devient un comportement positif.
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2
Q

Explique le modèle ABC.

A

A: antécédents. Stimulus ou contexte qui précède et influence la manifestation du comportement. Il arrive avant le comportement.
B: comportement. L’action.
C: conséquences. Évènements qui suivent le comportement et qui peuvent inclure des influences qui amplifient, réduisent ou qui n’ont pas d’effet sur le comportement.

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3
Q

Définit les conséquences et leur implication dans la réapparition du comportement.

A

Peuvent contribuer à maintenir augmenter ou faire disparaître un comportement. Elles peuvent influencer un comportement qu’il soit adapté ou inadapté.

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4
Q

Un facilitateur (prompt) est une catégorie d’antécédents. Décrit les.

A

Antécédents spécifique qui facilite et guide la performance d’un comportement spécifique. Il a un impact direct sur le comportement.
FINALITÉ: développer le comportement sans l’aide de facilitateur. Faut graduellement arrêter les facilitateurs, sinon le comportement non-souhaiter recommencera.
- Peut l’avoir seul ou en combinaison.

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5
Q

Quels sont les différentes sortes de facilitateurs?

A
  • Instruction verbales
  • Écrite ou indice tangible (objet)
  • Gestuelle
  • Aide physique ou manuelle
  • Modeling (démonstration)
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6
Q

Qu’est-ce que les consignes efficaces (high probability requests)?

A

c’est une façon de présenter un facilitateur à un personne d’une manière particulière pour augmenter les probabilités que la personne acquiesce à notre demande.

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7
Q

Quels sont les deux types de «high probability requests» (consignes efficaces) ? expliquer aussi leur fonctionnement.

A

1- High: Demande que l’individu va facilement accepter
2- Low:Demande que l’individu va difficilement accepter. C’Est souvent la demande finale. Ont fait plusieurs demandes «high»qui vont finalement mener à la low. Les «high» sont de plus en plus difficiles pour augmenter les chances de réponse, mais elles ne sont pas directement reliés à l’objectif final «low».

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8
Q

Le contexte «seting events» est une forme d’antécédents. Décrit le.

A

C’est le contexte ou les conditions qui influencent le comportement. Inclus les évènements externes, l’environnement et l’état interne de la personne. C’est un déclencheur du comportement.

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9
Q

Le contexte «setting events» est divise en deux opérations: Nommer et décrire.

A

1- Établie: augmente temporairement l’effet d’autre évènement ou conséquences liées au comportement.
2- Aboli: diminue temporairement l’effet d’autre évènements ou conséquences liées au comportement.

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10
Q

Les «establishing events» font partie des «setting events», une forme d’antécédents. Qu’est-ce que c’est? et les «abolishing events» ?

A

EO: variable ou facteur qui augmente temporairement l’efficacité d’autres évènement ou conséquences et la probabilité du comportement.
AO: même chose mais diminue temporairement l’efficacité …

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11
Q

Les stimuli discriminatif sont une forme d’antécédents. Qu’est-ce que c’est? Donne un exemple.

A

C’Est un stimuli ou un évènement qui indique que le comportement est renforcé.

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12
Q

Quels sont les 3 types d’antécédents ?

A

1- Consignes efficaces (high probability requests)
2- Contexte (setting events)
3- Stimuli discriminatif

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13
Q

Décrit le renforcement et ses 2 types.

A

Déf: favorise l’apparition d’un comportement.
+: en ajoutant quelque chose
-: soustrayant quelque chose

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14
Q

Décrit la punition et ses 2 types.

A

Déf: Défavorise l’apparition d’un comportement.
+:en ajoutant quelque chose
-: en soustrayant quelque chose

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15
Q

Qu’est-ce qu’un agent de renforcement ?

A

Un agent de renforcement et un renforçateur permettent de faire un renforcement

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16
Q

Décrire les deux types d’agent de renforcement.

A

+: stimulus qui donne quelque chose, qui augmente ls chances de répéter / apparition du comportement. Doit être en continu.
-:Stimulus qui enlève quelque chose de négatif, qui peut influencer l’augmentation de l’apparition quand il diminue ou cesse

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17
Q

Quel est la différence entre un agent de renforcement primaire et secondaire ?

A

Primaire: stimulus qui est un renforcement par la satisfaction d’un besoin «fondamentale».
Secondaire: Stimulus qui a cquis des caractéristiques «renforcante» par son association avec un agent de renforcement primaire.

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18
Q

Qu’est-ce qu’une récompense?

A

Donner une récompense pour féliciter l’apparition d’un comportement. NE MODIFIE PAS NÉCESSAIREMENT LE COMPORTEMENT. donc n’augmente pas nécessairement la probabilité d’apparition.

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19
Q

Qu’est-ce que le principe d’extinction avec le conditionnement opérant?

A

Diminution de la fréquence d’apparition d’un comportement et éventuellement sa disparition, lorsque le comportement n’est plus suivi de la conséquence ou de la punition, qui la contrôlait.

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20
Q

Qu’est-ce que le principe de discrimination avec le conditionnement opérant?

A

Syn: stimulus discriminatoire. Se réfère aux faits que l’individu répond différemment dans différentes conditions de stimulation.
Le comportement est adopté ou évité dans des moments précis et pas dans d’autres.

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21
Q

Définit la généralisation du stimulus.

A

Différent contexte; même réponse.

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22
Q

Définit la généralisation de la réponse.

A

Même contexte; différentes réponses.

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23
Q

Quels sont les 2 conditions d’efficacités du conditionnement opérant? Décrie les.

A

1- Principe de contingence: stimulus doit survenir àla suite du comportement, pour que le sujet puisse établir un lien entre le stimulus et le comportement influencé.
2- Principe de contiguïté: pour que le sujet établisse un lien entre un comportement et les stimuli ou les conséquences qui influencent, les évènements doivent être rapprochés dans le temps (ce qui permet de faire le lien).

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24
Q

Qu’est-ce qu’une boucle de contingence? utilité?

A

séquence de comportements dans laquelle chaque comportements est une conséquence du comportement qui le précède. Chaque comportement contribue donc au maintien ou à la disparition du comportement qui le précède.
Utilité: permettent d’expliquer des patrons d’interactions qui se répètent dans le temps (processus proximaux).

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25
Q

Explique le conditionnement classique et quelle est son utilité?

A

SN : stimulus qui entraine pas de réponse
SI: stimulus qui produit dans l’organisme l’effet désiré.
RI: réponse suscitée par le stimulus inconditionnel.
SC: stimulus neutre devient Sc par couplage avec le stimulus inconditionnel, vient à produire le même effet.
RC: réponse suscitée par le stimulus conditionnel.
Utilité: permet d’expliquer l’apparition d’un comportement.

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26
Q

Donner un exemple pour expliquer le conditionnement classique.

A
Exemple d'exemple:
SN: bruit moteur d'avion
SI: tsunami
SC: bruits de moteur
(SI+SN) RI: peur, panique,
RC: peur, panique, stress.
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27
Q

Qu’est-ce que le déconditionnement?

A

Processus par lequel un comportement appris au moyen d’un conditionnement est désappris donc supprimé ou modifié.

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28
Q

Nomme un façon de faire du déconditionnement.

A

CONTRE CONDITIONNEMENT PAR INHIBITION RÉCIPROQUE:
- comportement appris à la suite d’un conditionnement est désappris avec un conditionnement inverse. Il se produit donc de l’inhibition réciproque.

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29
Q

Qu’est-ce que de l’inhibition réciproque?

A

Phénomène par lequel un stimulus entraînant une réponse donnée est neutralisé par un autre stimulus d’égale ou de plus grand intensité qui suscite une réponse inverse.

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30
Q

Qu’est-ce que la désensibilisation systématique?

A

C’est du déconditionnement effectué de façon graduelle en utilisant une hiérarchie.
Utilise souvent le déconditionnement par inhibition réciproque.
Commence par des tâches très facile et augmente graduellement la difficulté jusqu’à ce que le contre-conditionnement soit totalement efficace. Donc établi une hiérarchie des étapes, et doit s’assurer que les étapes soient maîtrisées avec de passer à la suivante.

31
Q

Quelles conditions maximisent l’efficacité du conditionnement classique?

A
  • Le stimulus neutre doit absolument précéder le stimulus inconditionnel.
  • SN et SI devrait être entre 1/2 secondes et 5 secondes.
  • Faut généralement plusieurs présentations du jumelage entre le SN et le SI.
  • SC ne doit pas être trop souvent présenté sans le SI.
  • Un stimulus semblable à la C provoquera la même réponse conditionnée. I
32
Q

Qu’est-ce que le phénomène d’extinction?

A
  • Une fois le conditionnement établi, le SC sera présenté seul un grand nombre de fois sans jamais être suivis du SI. LA RC diminuera lentement et finira par disparaître
33
Q

Quels sont les 3 modèles théoriques de l’étiologie du trouble du stress post-traumatique (TSPT)?

A

1- Modèle bio-comportemental
2- Modèle du traitement émotionnel de l’information.
3- Modèle de Joseph, Williams et Yule.

34
Q

Explique le modèle bio-comportemental.

A
  • Le TSPT s’expliquent à l’aide de facteurs biologiques, comportementales et cognitifs. il y a 4 facteurs:
    1- vulnérabilité psychologiques et biologiques de l’individu.
    2- caractéristiques de l’expérience traumatique qui déclenche une réponse de peur intense.
    3- Appréhension anxieuse concernant l’éventuelle apparition de ces alarmes apprises. (cognitif et émotionnel).
    4- Variable modératrices (qualité du soutien et mode de gestion du stress).

Parle de conditionnement classique parce qu’il y a association entre la peur et la sensation physique.

35
Q

Explique le modèle du traitement émotionnel de l’information.

A

Peur= mécanisme de défense qui prépare la personne à se défendre et fuir. c’est un réseaux complexe de connections qui prépare l’individu à se défendre et fuir. c’Est la base du développement du TSPT. Ébranle la croyance de la victime qu’elle est capable de discriminer un élément dangereux d’un élément sécuritaire. Attribution d’une signification de danger à un lien stimulus-réponse autrefois considéré comme sécuritaire.

36
Q

Explique le modèle de Joseph, Williams et Yule.

A

Interprétation des causes, des enjeux et des conséquences de l’expérience traumatisante par al victime. Cela est le premier facteur responsable des symptômes post-traumatique. C’est aussi de l’interprétation subjective individuelle de chaque évènement + influence des facteurs de personnalité.
- C’est donc l’interprétation subjective de la personne de l’évènement traumatique qui fait en sorte qu’elle a un TSPT ou non, puisqu’il y a plusieurs façon d’interpréter une situation.

37
Q

À quoi sert le conditionnement opérant?

A

Il sert à expliquer le maintien du comportement.

38
Q

Que dirions nous pour lier ces 2 facteurs:

- Sorraya à […] le tsunami à la peur.

A

à engendrer ou à provoquer.

* ne doit absolument pas dire associé. Cela est lorsque nous parlons de deux facteurs ensembles.

39
Q

Quelle est la philosophie de l’apprentissage social?

A

Les désirs et les décisions de l’individu sont influencés par des facteurs externes et internes (pensées et croyances).

40
Q

Nommes et décrit les trois formes de renforcement.

A

1- Renforcement vicariant: par imitation
2- Renforcement interne : à l’origine de la motivation. Suit le processus cognitif, inclut les croyances du sujet et elles emmènent les conséquences positives dans l’avenir.
3- Renforcement externe: le retrouve dans le conditionnement opérant. Importance vraiment moins grande que interne.

41
Q

Qu’est-ce que l’apprentissage vicariant?

A

C’est de l’apprentissage par imitation. Il est utile pour l’apprentissage aux habilités sociales. Sert surtout à traiter les troubles anxieux.

42
Q

Quels sont les conditions qui affectent l’efficacité de l’apprentissage par imitation?

A

1- Caractéristiques personnelles du modèle.
2- Prestige du modèle (l’importance que tu lui accordes)
3- Modèle qui est un peu meilleur que le sujet à plus de chance d’influencer le comportement comparativement à un modèle expert.
4- Préparation préalable de l’observateur (diriger son attention)
5- Renforcement pour chaque réalisation positive (externe au début)
6- Plusieurs modèles offrent plus de chance de succès qu’un seul modèle.
7- Utilisation du sujet lui-même comme son propre modèle (vidéo feedback).

43
Q

Qu’est-ce que la théorie de l’attribution?

A

Vient expliquer la cause d’un évènement ou situation. La façon dont un individu perçoit la cause de son problème influence considérablement son état psychologique au regard de ce problème et ses prévisions en ce qui a trait à son évolution. Elle inclut le lieu de contrôle.

44
Q

Qu’est-ce que le lieu de contrôle? Explique le contrôle externe et interne.

A

C’est l’explication concernant la cause d’un évènement. Il suppose la prise en compte de la relation établie par l’individu entre ce qu’il fait et l’amélioration de ses problèmes. Il est un élément de la théorie de l’attribution.
Externe: sujet attribut sa guérison comme une situation qui ne dépend pas entièrement de lui. comme une situation sous le contrôle de forces extérieurs puissantes et imprévisibles.
Interne: Sujet attribue que l’évènement est la conséquence directe de sa propre activité.

45
Q

Quels sont les 3 styles d’attribution selon Seligman?

A

1- Internalité vs externalité
2- Stabilité vs instabilité
3- Spécificité vs globalité

46
Q

Quels sont les 7 principles fondamentaux de la thérapie cognitive?

A

1- Les émotions des êtres humains sont surtout causées par leur pensées ou leur perception plutôt que par les évènements.
2- Les évènements, les pensées, les émotions, les comportements et les réactions physiologiques s’influencent mutuellement.
3- Les émotions dysfonctionnelles sont habituellement causées par des pensées irréalistes. Pour diminuer ses émotions dysfonctionnelles, l’être humain a donc intérêt à prendre conscience de ses pensées irréaliste et à s’appliquer à les changer.
4- Les être humains ont des tendances innées à perturber leur vie par des croyances irrationnelles, et cette tendance est renforcée par l’environnement dans lequel ils évoluent.
5-L’être humain adulte est largement responsable de ses émotions dysfonctionnelles et, par conséquent, de sa propre détresse, parce qu’il entretient et accentue ses croyances irrationnelles.
6- Seuls des efforts prolongés et soutenus permettent de modifier de façon efficace les pensées, les émotions et les comportements.
7- Une pensée rationnelle conduit habituellement à une réduction de la fréquence, de l’intensité et de la durée des émotions dysfonctionnelles, et non à une absence d’affects d’émotion.

47
Q

Définition de concept: Évènement.

A

produit des différentes influences provenant de l’environnement que nous percevons par nos sens. Peut être agréable, désagréable et neutre.
- Ce sont simplement des occasion pour les individu d’exprimer des émotions et non la cause de celles-ci.

48
Q

Définition de concept: Pensée

A

Phénomène cognitif, façon dont un individu se parle à lui-même. Forme le discours intérieur de la personne. Peut servir à exprimer une constatation, réflexion, projet ou autre chose.

49
Q

Définition de concept: Émotions et les différents types d’émotions

A

État affectif dont la durée et l’intensité sont variables et qui est accompagné de réactions physiologiques plus ou moins intenses (rougeur, transpiration, modification),
1- Agréables
2- Désagréables fonctionnelles: intensité, fréquence durée et moment d’apparition s’inscrivent dans les limites d’un contexte à l’intérieur duquel elles sont justifiables et utiles.
2- Désagréables dysfonctionnelles: trop fréquentes, trop intenses, dures trop longtemps ou arrives au mauvais moment. Nuisent au fonctionnement de l’individu. Plus elles sont fréquentes, intenses, de longue durée, dans des circonstance inappropriés –> plus elles risques de porter atteintes au bien-être et au bon fonctionnement –> plus elles sont susceptible de causer diverses formes de psychopathologies.

50
Q

De quoi résulte la perception d’une personne?

A

DE ses interprétations et de ses croyances.

51
Q

Comment faire pour faire disparaître ou atténuer une émotion dysfonctionnelle?

A

Agir sur deux plans:
1-L’occasion: rendre enfant plus «tranquille»avec des punitions (solution inélégante)
2- La cause: changer la perception d père en augmentant son niveau de tolérance aux frustrations. (solution élégante)

52
Q

Définition de concept: Comportement.

A

Action observable et mesurable.

53
Q

Définition de concept: Réactions physiologiques.

A

Modification généralement involontaires de certains paramètre de fonctionnement d’un organisme vivant. Modification peuvent être perçus ou non par un individu.

54
Q

Explique la relation entre pensées, émotions, réactions physiologiques, et comportement.

A

Ils sont tous interelliés, intimement liés.
Ces interrelations entraînent 2 conséquences:
1- Pour amener des modifications dans un système, on peut agir sur l’une ou l’autre de ses composantes.
2- Quelle que soit la composante sur laquelle on agit, on doit nécessairement tenir compte des répercussions de son action sur l’ensemble du système.

55
Q

Définition de concept: Restructuration cognitive.

A

Apprendre à raisonner correctement pour se débarrasser de ses émotions dysfonctionnelles.

56
Q

Explique en gros le modèle cognitif de Beck (ses composantes).

A

1- Schéma ou croyances fondamentales
2- Croyances intermédiaires (présomptions, règles et attitudes)
3- Processus cognitifs (erreurs logiques, distorsions cognitives) apporté parla situation
4- Évènement cognitifs ou discours intérieur (pensée contrôlés ou automatique).
5- Réactions (émotions, comportement et symptômes physiologiques)

57
Q

Qu’est-ce qu’un schéma ?

A
  • Structures cognitives profondes, inconscientes et relativement stables qui forment une grille d’évaluation que l’individu utilise pour percevoir et analyser la réalité. -
  • Sont constitué de croyances fondamentales (croyances absolues au sujet de soi, des autres et du monde.
  • La plupart n’existent pas seuls. Ils sont regroupés autour d’un thèmes commun pour former des constellation cognitives.
58
Q

Qu’est-ce que la fixation et la régression de schémas ?

A

Fixation: production de schéma

Régression: réactivation des schémas.

59
Q

Qu’Est-ce que des constellations cognitives?

A

Puisque les schémas n’existent pas seuls, ils se regroupent autour d’un thème commun ce qui forme des constellation cognitives.

  • Peuvent être adaptées à la réalité, présence précieuse car ils permettent à l’individu de traiter rapidement l’information dans une situation et de prendre de meilleurs décisions.
  • Peuvent être erronée et dans ce cas ils déforment la réalité et déclenchent des réactions inappropriées ou dysfonctionnelles. Devient une fausse perception qui empêchent de faire de nouveau apprentissages basés sur différentes expériences.
60
Q

Qu’est-ce qu’une croyance fondamentale?

A

Croyances absolues au sujet de soi, des autres et du monde.
Elles forment le contenu cognitif (ce qu’on pense)
Elles sont à l’origine des processus cognitif (la façon dont ont pense ) desquels résultent les erreurs logiques.

61
Q

Qu’est-ce qu’un mode?

A

Permet d’Expliquer que, face à certaines situations stéréotypées, l’individu perçoit les choses, les ressent et se comporte toujours de la même façon .

62
Q

Qu’est-ce que les croyances intermédiaires? Nommes les 3 types.

A

1- Présomptions
2- Les règles (loi ou exigences)
3- Les attitudes

63
Q

Qu’est-ce que les présomptions?

A
  • Ce sont des croyances conditionnées.
    Hypothèses ou conditions découlant directement d’une croyance fondamentale. Ne sont pas les conséquences implicites.
    Souvent plus ou moins consciente, même parfois inconsciente mais le sujet les perçoit plutôt comme des certitudes que des hypothèses.
64
Q

Qu’est-ce que les règles (dans les croyances intermédiaires) ?

A
  • Loi ou exigence
  • Déjà contenues dans les schémas et les présomptions, ou elles en découlent. Se présente sous la forme d’instruction plus ou moins impératives qui dictent le comportement à adopter à la personne, à son entourage ou au monde en générale «je dois.. on doit…».
  • Constitue les critères de bas auxquels l’individu se réfère pour évaluer des situation, ses actions et celles des autres.
  • Chaque type de pathologie possède un ensemble de règles qui lui est propre et qui est assez semblable chez tous les individu souffrant de ce même trouble.
65
Q

Qu’est-ce que les attitudes (croyances intermédiaires)?

A
  • Façons plus ou moins identiques ou stéréotypées de réagir à certaines situations ou à certains évènements de la vie courante ayant activé des croyances fonctionnelles ou dysfonctionnelles.
  • Sont le résultat prévisible et répétitif des présomptions ou des règles associées à des croyances.
  • Elles peuvent se manifester de différentes façons dans le discours intérieur de la personne et provoquer l’apparition d’émotions et de comportements dysfonctionnels eux-mêmes prévisibles et répétitifs.
66
Q

Qu’est-ce que le processus cognitif?

A

C’est le passage des schémas (structures profondes) vers les évènements cognitifs (structure superficielles) .

  • Ce sont les règles logiques de transformation de l’information.
  • Permet de passer des schémas inconscients aux pensées préconscientes (pensées automatique), puis aux pensées conscientes (pensées controlées).
    • Schéma sains–> produisent des processus cognitifs sains.
    • Schéma erroné –> produisent des processus cognitifs biaisé, distorsions cognitives «erreurs logiques».. La distorsions traduit une perturbation profonde et stable de la pensée logique.
67
Q

Qu’est-ce que le système de valeur de la personne?

A

ensemble de croyances fondamentales et les présomptions et les règles qui en découlent. C’est une structure profonde, inconsciente et plutôt statique (pas modifiable avec le temps.

  • S’il n’y a pas de situation ou circonstances qui activent une croyances donnée = pourrait ne jamais se manifester.
  • Circonstance joue rôle de déclencheur, le processus cognitif est alors activé. Il en résulte un discours intérieur (évènement cognitif) qui contient +/- d’erreurs logiques. Cela s’agit d’un processus dynamique passager qui donne naissance aux évènements cognitifs (discours intérieur de l’individu.
68
Q

Nomme les 7 types d’erreurs logiques en lien avec la déduction sans preuve avec une brève description.

A

1- Raisonnement émotif: se sert de ses émotions pour penser et s’en sert pour en arriver à de fausses conclusion ou peu probable.
2- Personnalisation: Invente ou surestime l’importance de la relation entre l’évènement et sa personne. Erreur d’attribution= forme de personnalisation. Attribue une responsabilité non fondée dans une situation. Peut être totale ou partielle.
3- Lecture des pensées d’autrui (mind reading): attribue des pensées, jugement, opinions, etc. À d’autre.

69
Q

Nomme les 7 types d’erreurs logiques en lien avec la généralisation excessive avec une brève description.

A

4- Dramatisation: dramatise des petits faits négatifs ou qui présente un faible danger. (anxieux et déprimé)
5- Disqualification du positif: sous-estimer son rôle dans un évènement positif (faible estime)
6- Pensée «tout ou rien»: une situation, personne, théorie ou autre est catégorisés, plutôt que d’adopter une opinion nuancé.
7- Jugement global sur la valeur personnelle: Utilisé pour évaluer sa propre personne ou une autre personne. Se fonde sur de petits comportements isolés ou des caractéristiques très partielles. L’individu saute aux conclusions. Nature à aggraver une situation plutôt que de l’améliorer. L’étiquetage ou erreur d’étiquetage= Forme de jugement global sur la valeur personnelle. Attribue à soi-même ou autrui un qualificatif ou une étiquette globale inspirés de petites erreurs ou de petites déficiences isolés qui ne les justifie pas.

70
Q

Décrit les évènements cognitifs.

A

SYN: structures cognitives superficielles et préconscientes.
- Elles se présente sous la forme de pensée ou d’image mentales provenant du traitement de l’information par les schémas et les processus cognitifs.

71
Q

Quelles sont les deux catégories d’évènements cognitifs?

A

1- Pensées contrôlées: Pleinement consciente et sont en bonne partie sous le contrôle de sa volonté.
2- Pensées autonomes (automatiques): apparaissent spontanément, rapidement et sans efforts. Difficile à contrôler. Pas de réflexion. Très chargées affectivement. Précède souvent les motions dysfonctionnelles. S’adresse le plus souvent à la personne elle-même.Les considères plausibles et raisonnables. Elles sont idiosyncrasiques. plus un individu présente une pathologie sévère, plus les pensées automatiques sont inadaptées, conscientes et nombreuses, au point d’occuper parfois presque tout le champ de conscience.

72
Q

Que signifie «idiosyncrasiques»?

A

Signifie particulier à chaque individu. Peuvent être semblables d’un individu à l’autre si la pathologie est la même dans l’un et l’autre cas.

73
Q

Définit les réactions.

A

Elles incluent les émotions, les symptômes physiologiques et les comportements.

    • le discours intérieur d’une personne (évènement cognitif) contient des pensées dysfonctionnelles, plus il résulte des émotions dysfonctionnelles. + les émotions sont intenses, + elles entrainent des réactions physiologiques.
  • Les émotions dysfonctionnelles + symptômes physiologiques + comportements sont presque toujours précédés par des éléments cognitifs (croyances et erreurs logiques). Modèle circulaire car ses éléments sont en constante interrelation.
74
Q

Quels sont les traitements de la dépression?

A
  • Restructuration cognitive: processus du travail des pensées. Modifier une pensée erronée et la remplacer par une autre plus adaptée. Lui faire prendre conscience du processus installé dans sa tête. Par le biais de l’«empowerment».