texte à trous Flashcards

1
Q

? est une petite région constituée de plusieurs paires de noyaux. Cette région joue un rôle essentiel dans le déclenchement des comportements tels le comportement alimentaire, sexuel, parental, comportement d’agression, thermorégulation, etc. Elle est aussi impliquée dans le renforcement ? et le renforcement ? .

A

L’hypothalamus est une petite région constituée de plusieurs paires de noyaux. Cette région joue un rôle essentiel dans le déclenchement des comportements tels le comportement alimentaire, sexuel, parental, comportement d’agression, thermorégulation, etc. Elle est aussi impliquée dans le renforcement positif et le renforcement négatif.

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2
Q

L’activité du cerveau gauche serait associée à un ? des défenses immunitaires. A l’inverse, la dominance du cerveau droit (ou l’absence de dominance gauche) serait associée à la ? de ces mêmes défenses.

A

L’activité du cerveau gauche serait associée à un renforcement des défenses immunitaires. A l’inverse, la dominance du cerveau droit (ou l’absence de dominance gauche) serait associée à la dépression de ces mêmes défenses.

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3
Q

Quand l’incompatibilité HLA ( ?) est grande dans un couple, leur chances de procréation sont ? .

A

Quand l’incompatibilité HLA (Human Leucocytes Antigens, c’est à dire antigènes (ou marqueurs) des leucocytes humains) est grande dans un couple, leur chances de procréation sont élevés.

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4
Q

Le syndrome de Klein-Levin se caractérise par une ? et une ?.

A

Le syndrome de Klein-Levin se caractérise par une hypersomnie et une hyperphagie.

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5
Q

Les souvenirs explicites seraient particulièrement sensibles à la privation du sommeil à ? alors que les apprentissages implicites seraient plutôt affectés par le sommeil ? .

A

Les souvenirs explicites seraient particulièrement sensibles à la privation du sommeil à ondes lentes alors que les apprentissages implicites seraient plutôt affectés par le sommeil paradoxal.

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6
Q

L’amour maternel et l’amour romantique activent, dans le système de récompense du cerveau, à la fois des régions spécifiques pour chaque type d’attachement et aussi des régions qui se chevauchent. Ces régions comprennent des aires riches de récepteurs d’ ? et de ? . Ces neuromodulateurs semblent jouer un rôle dans l’attachement. Les deux sont produits par l’hypothalamus et sont sécrétés par et stockés dans l’? . Ils sont libérés dans la circulation sanguine lors de l’orgasme pour les deux sexes et lors de l’accouchement et l’allaitement chez les femelles. Chez les mâles, la ? semble aussi être liée au comportement social et à l’agression envers les autres mâles. La concentration de ces deux neuromodulateurs augmente pendant la phase intense de l’attachement romantique et pendant l’union.

A

L’amour maternel et l’amour romantique activent, dans le système de récompense du cerveau, à la fois des régions spécifiques pour chaque type d’attachement et aussi des régions qui se chevauchent. Ces régions comprennent des aires riches de récepteurs d’ocytocine et de vasopressine. Ces neuromodulateurs semblent jouer un rôle dans l’attachement. Les deux sont produits par l’hypothalamus et sont sécrétés par et stockés dans l’hypophyse (glande pituitaire). Ils sont libérés dans la circulation sanguine lors de l’orgasme pour les deux sexes et lors de l’accouchement et l’allaitement chez les femelles. Chez les mâles, la vasopressine semble aussi être liée au comportement social et à l’agression envers les autres mâles. La concentration de ces deux neuromodulateurs augmente pendant la phase intense de l’attachement romantique et pendant l’union.

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7
Q

Il y a une activation de ? avec à la fois des sentiments romantiques et aussi avec l’excitation sexuelle mais pas avec l’attachement maternel. Son activation peut ainsi constituer la composante érotique qui est présente dans l’attachement romantique mais pas dans l’attachement maternel.

A

Il y a une activation de l’hypothalamus avec à la fois des sentiments romantiques et aussi avec l’excitation sexuelle mais pas avec l’attachement maternel. Son activation peut ainsi constituer la composante érotique qui est présente dans l’attachement romantique mais pas dans l’attachement maternel.

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8
Q

Quand Blaise Pascal disait « le cœur a ses raisons que la raison ne connait point », il ne savait certainement pas que dans l’état amoureux la raison est suspendue à cause des lobes ? qui eux aussi sont (au moins temporairement) suspendus. On peut certainement tirer une leçon neurobiologique de cette suspension temporaire du jugement. Les amoureux, même s’ils suspendent leur jugement au sujet de l’être aimé, ils restent néanmoins capables de critiquer une œuvre littéraire ou scientifique. La suspension du jugement est donc sélective et il s’agit d’un ensemble de connections et d’opérations neuronales spécifiques quand il est question d’amour.

A

Quand Blaise Pascal disait « le cœur a ses raisons que la raison ne connait point », il ne savait certainement pas que dans l’état amoureux la raison est suspendue à cause des lobes frontaux qui eux aussi sont (au moins temporairement) suspendus. On peut certainement tirer une leçon neurobiologique de cette suspension temporaire du jugement. Les amoureux, même s’ils suspendent leur jugement au sujet de l’être aimé, ils restent néanmoins capables de critiquer une œuvre littéraire ou scientifique. La suspension du jugement est donc sélective et il s’agit d’un ensemble de connections et d’opérations neuronales spécifiques quand il est question d’amour.

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9
Q

La beauté et l’amour ne sont jamais loin du désir érotique car l’amour le plus intense va de pair avec le désir sexuel et ces deux facultés partagent des aires en communs dans le cerveau. Un visage attractif et l’excitation sexuelle, de même que l’expérience de la beauté visuelle engagent une partie du cerveau appelé le cortex ?.
Le visage de la personne aimée engage également deux régions corticales qui sont l’? et le ?. Les visages attractifs, de même que le visage de la personne aimée désactive le cortex ? et l’?.

A

La beauté et l’amour ne sont jamais loin du désir érotique car l’amour le plus intense va de pair avec le désir sexuel et ces deux facultés partagent des aires en communs dans le cerveau. Un visage attractif et l’excitation sexuelle, de même que l’expérience de la beauté visuelle engagent une partie du cerveau appelé le cortex orbitofrontal.
Le visage de la personne aimée engage également deux régions corticales qui sont l’insula et le cortex cingulaire antérieur. Les visages attractifs, de même que le visage de la personne aimée désactive le cortex frontal et l’amygdale.

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10
Q

Le cortex orbitofrontal est connecté avec l’amygdale et d’autres aires corticales et sous corticales– le ? , le ? et le ? – qui sont engagées durant l’expérience amoureuse. En conséquence, la connexion intime entre la beauté et l’amour serait probablement rien d’autre qu’une expression de la connexion anatomique entre les centres impliqués dans ces deux expériences.

A

Le cortex orbitofrontal est connecté avec l’amygdale et d’autres aires corticales et sous corticales – le cortex cingulaire antérieur, le putamen et le noyau caudé – qui sont engagées durant l’expérience amoureuse. En conséquence, la connexion intime entre la beauté et l’amour serait probablement rien d’autre qu’une expression de la connexion anatomique entre les centres impliqués dans ces deux expériences.

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11
Q

L’éveil est favorisé par des neurones dans le pons, le mésencéphale et l’hypothalamus postérieur qui produisent l’?, la ?, la ?, la ?, l’?et l’?/l’?.

A

L’éveil est favorisé par des neurones dans le pons, le mésencéphale et l’hypothalamus postérieur qui produisent l’acétylcholine, la norépinephrine, la dopamine, la sérotonine, l’histamine et l’orexine/l’hypocrétine.

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12
Q

La ? est une région hétérogène qui court tout au long du tronc cérébral depuis le médulla vers le mésencéphale et l’hypothalamus postérieur. Il a été démontré que sa partie rostrale était nécessaire pour générer l’éveil.

A

La formation réticulaire est une région hétérogène qui court tout au long du tronc cérébral depuis le médulla vers le mésencéphale et l’hypothalamus postérieur. Il a été démontré que sa partie rostrale était nécessaire pour générer l’éveil.

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13
Q

La ? est un neurotransmetteur impliqué dans la régulation de divers processus comportementaux et physiologiques, y compris le fonctionnement moteur, la motivation, la récompense et l’apprentissage. De plus, c’est un transmetteur qui exerce un rôle dans l’éveil, ce qui présente un grand intérêt clinique. Par exemple, la somnolence est fréquente chez des patients qui utilisent les antagonistes ? comme haloperidol ou chlorpromazine, ou bien chez des patients avec la maladie de Parkinson qui ont une perte des neurones qui produisent la ?.

A

La dopamine est un neurotransmetteur impliqué dans la régulation de divers processus comportementaux et physiologiques, y compris le fonctionnement moteur, la motivation, la récompense et l’apprentissage. De plus, c’est un transmetteur qui exerce un rôle dans l’éveil, ce qui présente un grand intérêt clinique. Par exemple, la somnolence est fréquente chez des patients qui utilisent les antagonistes dopaminergiques comme haloperidol ou chlorpromazine, ou bien chez des patients avec la maladie de Parkinson qui ont une perte des neurones qui produisent la dopamine.

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14
Q

Les neuropeptides excitateurs orexine A et orexine B (aussi connus sous le nom de hypocrétine 1 et hypocrétine 2) sont synthétisés par des neurones situés au niveau de l’? ? et l’? ? . Ils jouent un rôle essentiel dans la régulation de l’éveil et du sommeil.

A

Les neuropeptides excitateurs orexine A et orexine B (aussi connus sous le nom de hypocrétine 1 et hypocrétine 2) sont synthétisés par des neurones situés au niveau de l’hypothalamus latéral et l’hypothalamus postérieur. Ils jouent un rôle essentiel dans la régulation de l’éveil et du sommeil.

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15
Q

Comprendre comment la sérotonine (5-HT) promeut l’éveil est difficile car il y a plusieurs sources de sérotonine: elle se lie au moins à 15 récepteurs différents avec des effets très variés et aussi il a été démontré que la sérotonine influençait plusieurs autres aspect du comportement y compris l’? , l’? et l’? . La sérotonine est produite par des neurones situés au niveau du noyau dorsal du ? et d’autres noyaux qui sont éparpillés tout au long de la ligne médiane du tronc cérébral.

A

Comprendre comment la sérotonine (5-HT) promeut l’éveil est difficile car il y a plusieurs sources de sérotonine : elle se lie au moins à 15 récepteurs différents avec des effets très variés et aussi il a été démontré que la sérotonine influençait plusieurs autres aspect du comportement y compris l’humeur, l’appétit et l’agression. La sérotonine est produite par des neurones situés au niveau du noyau dorsal du raphé et d’autres noyaux qui sont éparpillés tout au long de la ligne médiane du tronc cérébral.

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16
Q

Après la période de behaviorisme, l’approche cognitive des émotions a donné lieu à plusieurs théories. Dans les années 1960, selon la théorie de Stanley Schacter les sentiments sont ? ? ?. De nos jours, dans la même lignée, ? ? dans sa théorie des marqueurs somatiques, propose que ces marqueurs participent à la construction cognitive par le cortex. Pour ce chercheur, l’expression des émotions est essentiellement une construction cérébrale pour expliquer les réactions corporelles.

A

Après la période de behaviorisme, l’approche cognitive des émotions a donné lieu à plusieurs théories. Dans les années 1960, selon la théorie de Stanley Schacter les sentiments sont des interprétations cognitives de signes corporels ambigus. De nos jours, dans la même lignée, Antonio Damasio dans sa théorie des marqueurs somatiques, propose que ces marqueurs participent à la construction cognitive par le cortex. Pour ce chercheur, l’expression des émotions est essentiellement une construction cérébrale pour expliquer les réactions corporelles.

17
Q

Selon l‘hypothèse de ? (McGaugh, 2000, 2002, 2004), les événements émotionnels sont mieux rappelés que les événements neutres, car l’implication de l’? améliore le fonctionnement des régions cérébrales impliquées dans la mémoire.

A

Selon l‘hypothèse de modulation (McGaugh, 2000, 2002, 2004), les événements émotionnels sont mieux rappelés que les événements neutres, car l’implication de l’amygdale améliore le fonctionnement des régions cérébrales impliquées dans la mémoire.

18
Q

Comprendre l’impact du control cognitif sur le traitement de l’émotion nécessite l’identification des mécanismes neuronaux associés avec l’aptitude à gérer les distracteurs de nature émotionnel. Lutter contre les distracteurs émotionnels sans rapport avec la tâche en cours implique une augmentation de l’activité dans des régions concernées par le traitement de l’émotion tel l’amygdale. Cela implique aussi des interactions entre l’amygdale et des régions associées avec le control cognitif, et plus particulièrement le ? ? ? et le ? ? ?.

A

Comprendre l’impact du control cognitif sur le traitement de l’émotion nécessite l’identification des mécanismes neuronaux associés avec l’aptitude à gérer les distracteurs de nature émotionnel. Lutter contre les distracteurs émotionnels sans rapport avec la tâche en cours implique une augmentation de l’activité dans des régions concernées par le traitement de l’émotion tel l’amygdale. Cela implique aussi des interactions entre l’amygdale et des régions associées avec le control cognitif, et plus particulièrement le cortex préfrontal latéral et le cortex préfrontal médian.

19
Q

Des lésions du ? ? de l’amygdale conduisent, chez le rat conditionné, à une disparition des réponses conditionnées (pas d’augmentation de la pression artérielle ni de la durée d’immobilisation). Le ? ? , par ses neurones efférents, est donc en relation avec les réseaux neuronaux moteurs qui contrôlent les modifications ? et ? .

A

Des lésions du noyau central de l’amygdale conduisent, chez le rat conditionné, à une disparition des réponses conditionnées (pas d’augmentation de la pression artérielle ni de la durée d’immobilisation). Le noyau central, par ses neurones efférents, est donc en relation avec les réseaux neuronaux moteurs qui contrôlent les modifications comportementales et physiologiques.

20
Q

Le lobe préfrontal est très développé chez l’homme. Le cortex préfrontal est un cortex ? , qui représente près ? du cortex chez l’homme. Il est subdivisé en plusieurs territoires corticaux : ? , ? et ? ou orbitofrontal.

A

Le lobe préfrontal est très développé chez l’homme. Le cortex préfrontal est un cortex associatif, qui représente près du tiers du cortex chez l’homme. Il est subdivisé en plusieurs territoires corticaux : dorsolatéral, ventrolatéral et ventromédian ou orbitofrontal.

21
Q

Des lésions du cortex cérébral ? réduisent le nombre de ? de la ? et diminuent leur activité biologique. Cela peut être rapproché du fait que les gauchers présentent une plus forte proportion de maladies auto-immunes.

A

Des lésions du cortex cérébral gauche réduisent le nombre de lymphocytes de la rate et diminuent leur activité biologique. Cela peut être rapproché du fait que les gauchers présentent une plus forte proportion de maladies auto-immunes.

22
Q

Chez l’homme, certains agonistes de ? , comme les antidépresseurs tricyclique, font augmenter l’appétit pour le ? .

A

Chez l’homme, certains agonistes de noradrénaline, comme les antidépresseurs tricyclique, font augmenter l’appétit pour le sucre.

23
Q

Le sommeil intermédiaire comprend des éléments appartenant à la fois au sommeil à ? ? et au sommeil ? .

A

Le sommeil intermédiaire comprend des éléments appartenant à la fois au sommeil à ondes lentes et au sommeil paradoxal.

24
Q

Des hormones comme l’? , le ? , l’? de ? et la ? contribuent indirectement à la régulation du comportement alimentaire.

A

Des hormones comme l’adrénaline, le cortisol, l’hormone de croissance et la somatostatine contribuent indirectement à la régulation du comportement alimentaire.

25
Q

La dualité entre l’expression corporelle des émotions et la conscience des émotions a été au cœur des théories fondatrices : théorie de ? et théorie de ? .

A

La dualité entre l’expression corporelle des émotions et la conscience des émotions a été au cœur des théories fondatrices : théorie de James-Lange et théorie de Cannon-Bard.

26
Q

Pour appréhender les émotions, il est nécessaire de comprendre les relations entre l’expression des émotions orchestrée par des structures ? et l’expérience des émotions représentée au niveau du ?.

A

Pour appréhender les émotions, il est nécessaire de comprendre les relations entre l’expression des émotions orchestrée par des structures sous-corticales et l’expérience des émotions représentée au niveau du cortex.

27
Q

Pour Papez, le ?, ? était activé par des processus sous-corticaux et corticaux permettant de prendre en compte à la fois l’expression des émotions (avec participation de l’? ) et l’expérience des émotions. Même si certaines structures du circuit de Papez (? par exemple) se sont révélées depuis non impliquées directement dans les émotions, l’idée novatrice de Papez a été au commencement de la théorie du système ? .

A

Pour Papez, le cortex cingulaire était activé par des processus sous-corticaux et corticaux permettant de prendre en compte à la fois l’expression des émotions (avec participation de l’hypothalamus) et l’expérience des émotions. Même si certaines structures du circuit de Papez (hippocampe par exemple) se sont révélées depuis non impliquées directement dans les émotions, l’idée novatrice de Papez a été au commencement de la théorie du système limbique.

28
Q

Les muscles du visage sont sous la dépendance des motoneurones situés dans le ? ? . Les axons de ces neurones moteurs forment le ? ? . Ces neurones reçoivent des influences provenant de deux systèmes de projection descendantes : le système ? et le système ? .

A

Les muscles du visage sont sous la dépendance des motoneurones situés dans le tronc cérébral. Les axons de ces neurones moteurs forment le nerf facial. Ces neurones reçoivent des influences provenant de deux systèmes de projection descendantes : le système pyramidal et le système extrapyramidal.

29
Q

Les zones cérébrales en relation avec les différentes composantes de l’émotion ont été localisées à l’intérieur du ? ? qui est constitué de cinq grandes structures : le ? , l’? , les ? de la base, l’? et l’? .

Le ? se comporte comme une station de relais pour toutes les données sensorielles à l’exception de l’odorat.
L’? contrôle les fonctions nécessaires au maintien de l’état normal du corps (sommeil, tension artérielle, température du corps, alimentation).
Les ? de la base jouent un rôle important dans le contrôle des mouvements.
Le rôle de l’? dans les émotions est indirect : ses fonctions dans la mémoire explicite font de cette région une structure importante dans les processus cognitifs.
L’? est essentielle à notre capacité de ressentir et de percevoir chez les autres certaines émotions. Les connexions de cette structure avec le ? ? permettent d’exercer un certain contrôle conscient sur notre anxiété.

A

Les zones cérébrales en relation avec les différentes composantes de l’émotion ont été localisées à l’intérieur du système limbique qui est constitué de cinq grandes structures : le thalamus, l’hypothalamus, les ganglions de la base, l’amygdale et l’hippocampe.

Le thalamus se comporte comme une station de relais pour toutes les données sensorielles à l’exception de l’odorat.
L’hypothalamus contrôle les fonctions nécessaires au maintien de l’état normal du corps (sommeil, tension artérielle, température du corps, alimentation).
Les ganglions de la base jouent un rôle important dans le contrôle des mouvements.
Le rôle de l’hippocampe dans les émotions est indirect : ses fonctions dans la mémoire explicite font de cette région une structure importante dans les processus cognitifs.
L’amygdale est essentielle à notre capacité de ressentir et de percevoir chez les autres certaines émotions. Les connexions de cette structure avec le cortex préfrontal permettent d’exercer un certain contrôle conscient sur notre anxiété.

30
Q

la régulation de la prise alimentaire :
Les recherches en neurosciences ont menées à caractériser l’? () comme une aire privilégiée dans la régulation de la prise alimentaire.
- L’? () facilitera l’action de manger. En effet, cette région a été considérée comme le centre de la ? () car d’une part il contient des neurones sensibles au ? () et d’autre part sa destruction provoque des ? () (affection qui consiste en l’impossibilité de déglutir et à avaler la nourriture) et de l’? () (l’absence anormale de la sensation de soif).
- L’?) () inhiberait l’action de manger. Il a été longtemps identifié comme le centre de ? ().

Ces deux régions exercent des influences antagonistes tant sur le comportement externe que sur les ajustements internes. L’activité de l’? () renforce l’action des stimuli alimentaires positifs, facilite les réponses liées à l’action de manger et active dans l’organisme la mobilisation et l’utilisation des réserves nutritives. L’activité de l’? () renforce l’action des stimuli alimentaires qui provoquent l’aversion, facilite l’évitement de la nourriture et active les mécanismes d’entreposage et de conservation des réserves nutritives internes. Des données indiquent que ces deux régions s’inhibent mutuellement. En effet, en pratiquant une lésion partielle dans l’autre région, on peut modérer les effets d’une lésion partielle dans l’une de ces deux régions.

A

la régulation de la prise alimentaire :
Les recherches en neurosciences ont menées à caractériser l’hypothalamus (0,5pt) comme une aire privilégiée dans la régulation de la prise alimentaire.
- L’hypothalamus latéral (HL) (1point) facilitera l’action de manger. En effet, cette région a été considérée comme le centre de la faim (0,5pt) car d’une part il contient des neurones sensibles au glucose (0,5pt) et d’autre part sa destruction provoque des aphagies (0,5pt) (affection qui consiste en l’impossibilité de déglutir et à avaler la nourriture) et de l’adipsie (0,5pt) (l’absence anormale de la sensation de soif).
- L’hypothalamus ventro-médian (HVM) (1point) inhiberait l’action de manger. Il a été longtemps identifié comme le centre de satiété (0,5pt).
Ces deux régions exercent des influences antagonistes tant sur le comportement externe que sur les ajustements internes. L’activité de l’hypothalamus latéral (HL) (0,5pt) renforce l’action des stimuli alimentaires positifs, facilite les réponses liées à l’action de manger et active dans l’organisme la mobilisation et l’utilisation des réserves nutritives. L’activité de l’HVM (0,5pt) renforce l’action des stimuli alimentaires qui provoquent l’aversion, facilite l’évitement de la nourriture et active les mécanismes d’entreposage et de conservation des réserves nutritives internes. Des données indiquent que ces deux régions s’inhibent mutuellement. En effet, en pratiquant une lésion partielle dans l’autre région, on peut modérer les effets d’une lésion partielle dans l’une de ces deux régions.

31
Q

Les niveaux de vigilance :

Les différents stades du sommeil se caractérisent par des indicateurs ?/ ?/
?/ ?(1pt), mis en évidence grâce aux tracés ? (0,5pt), plus ou moins
caractéristiques :
- L’éveil attentif est caractérisé par un tracé rapide / ? (0,5pt) et de ? (0,5pt) amplitude,
nommé également rythme « ? » (0,5pt). Ce tracé est mis en évidence dès que l’individu finalise son
activité mentale / individu qui est en interaction avec l’? (0,5pt).
- L’éveil ? (ou relaxé) (0,5pt): est caractérisé par un tracé ? / ? / ? (0,5pt) et
? (0,5pt), connu sous le nom de rythme « ? » (0,5pt). C’est le rythme typique d’un ? ,? / ? / au ? / repos ?
/ ? (0,5pt).

A

Les niveaux de vigilance :
Les différents stades du sommeil se caractérisent par des indicateurs électrophysiologiques / cérébraux /
physiologique / neurophysiologique (1pt), mis en évidence grâce aux tracés EEG (0,5pt), plus ou moins
caractéristiques :
- L’éveil attentif est caractérisé par un tracé rapide / irregulier (0,5pt) et de faible (0,5pt) amplitude,
nommé également rythme « bêta » (0,5pt). Ce tracé est mis en évidence dès que l’individu finalise son
activité mentale / individu qui est en interaction avec l’environnement (0,5pt).
- L’éveil diffus (ou relaxé) (0,5pt): est caractérisé par un tracé lent / ample / sinusoïdale (0,5pt) et
régulier (0,5pt), connu sous le nom de rythme « alpha » (0,5pt). C’est le rythme typique d’un individu
aux yeux clos, éveillé mais détendu / allongé les yeux fermé / au repos les yeux clos / repos psychosensoriel
/ méditation les yeux fermés… (0,5pt).