Tr lié à l'usage de substances Flashcards
def sub psychoactive (PSA) ?
substance, illicite ou licite qui une fois ingéré, altère les processus mentaux comme la cognition au l’Affecte (englobe un grand nb de classe de substance),
préféré au terme drogue
addiction ?
anglicisme qui désigne une dépendance à l’égard :
d’une substance toxique, d’une pratique ou d’une situation sociale (ex. certaines relation, travail intense)
craving?
besoin impérieux de consommer le produit, ressentie par le sujet en période d’abstinence/seuvrage.
como?
présence simultanée de plusieurs tr chez un meme patient, sans nécessairement avoir de lien de causalité
fait souvent référé en psy à un tr lié à l’usage d’une substance et un dx axe 1 ou 2
reducation des mesfait ?
approche de santé publique qui vise à reduire les conséquences négative d’une pratique plutot que de viser l’absence de ce comportement.
abus vs dépendance ?
les DSM 5 propose une réforme, le tr de substance sont maintenant un continuum donc la sévérité de l’usage passe de l’abus (conso nocive) à un conso + sévère comme prise compulsive, tolérance ou sx de seuvrage (dépendance)
les tr sont maintenant classé en 2 catérogie :
- tr de l’usage de la substance
- tr induit par une substance (intox, sevrage ou autre tr psy)
la substance la + consommé et qui provoque le + de tr dans pop générale?
ALCOOL!!
90% pop canadienne en consomme, H>F, âge moyen 18,2 ans.
- + gros buveur = 15-24 ans et 18-34 ans.
env 2,6 % ont une dépendance (4% H, 1,3% F)
prévalence moindre au qc que canada (1,9%)
en 2010 : 25% avait un conso excessive
40% des décès de la route implique de l’ROH
système neurochimique et ROH?
globalement = ROH est un depresseur du SNC (ralenti l’activité cérébrale)
- en aigu (pendant la conso) :
- facilite transmission GABA (bloque les NMDA= trou de mémoire et erreur jugement et agit sur R GABA = sédation, incoordination)
- potentialise action 5HT sur 5HT3 (faible dose, effet stimulant en augmentant DA dans noyau accumben)
- modifie activité des canaux Ca, K
- augmente libération de peptide opioïde (ex.CRF)
- augmente la DA ds syst limique (pouvoir toxicomanogène par le renforcement) - en chronique :changement adaptatif durable, voir permanent qui change la réponse de l’individu à l’ROH
- diminution effet sur R ions (tolérance acquise)
- augmente concentration R NMDA activé par glutamate (favorise la crise convulsive en seuvrage)
- augmente CRF et ses R a/n amygdale (augmente la sensibilité au stress et crée un état émotif affectif)
génétique et éthylisme?
génétique peut prédisposé l’individu à développer une dépendance via des gènes qui interagissent avec environnement
génétique : 60-90% de la prédisposition.
4 caractéristique phénotypique prédisposantes :
1- métabolisme ROH (ex. asiatique avec allèle ALDH 2 qui métabolise pas ou mal l’acétaldéhyde)
2- taux de réponse (faible réponse expose à un risque alcoolisme car besoin de dose élevée, via R GABA)
3- comorbidité psy (très présente : TDAH, tr conduite, TP antisocial, MAB, tr anxieux etc)
4- traits de personnalité (impulsivité, recherche sensation, TP antisocial)
MAIS c’est à travers d’Interaction social que les causes génétiques peuvent exercé leur effe.t
la simple consommation d’alcool est insuffisante à elle seul pour provoquer l’apparition un tr.
exposition ROH pré natal?
15% F consomme grossesse:
- syndrome alcoolisation feotal
- prédispose l’enfant au tr d’usage (prédispose à un comportement déviant ou antisocial et développe une vulnérabilité biologique spécifique à l’ROH)
3 modèle cognitivo comportemental qui explique la vulnérabilité individuelle à l’alcool?
1- théorie de la réduction de tension (alcool à capacité de réduire les tension, donc renforcement et association de ROH avec réduction état négatif)
2- théorie de l’amortissement du stress (limitation de la conso quand individu anticipe ou vit du stress, associer à une diminution de stress: prend en compte les différences individuelles)
3- théorie de l’Automédication : les effet de l’alcool sur le psyché pousse certaines personne à développer une dépendance.
les 3 propose que l’alcool entraine une réduction de l’état de vigilance et diminue l’anxiété physiologique et cognitive ce qui cause un renforcement négatif (renforcement par perte d’un stimulus négatif)
types de cloniger ?
TYPE 1:
‘‘début tardif’’ (passé 25 ans) : héréditairemoins imp mais psychosocial au 1e plan, moins de recherche de sensation…
anxiété et depression comorbide +++, mais meilleur pronostic que type 2
TYPE 2 :
début précoce et fdr important héréditaire (H, délinquance), atcd familiaux FORT, recherche sensation forte et nouveauté+++,
souvent como avec TP antisocial, impulsivité et agressivité,
problème judiciaux +++, mauvais pronostic
risque tr avant la 1e conso?
une grande partie du risque d’un tr ROH commence bien avant la 1e conso (ex. style parentaux et nos pairs)
facteurs sociaux tr ROH: adversité psychosocial?
si adversité imp en enfance ou ado = risque accru de tr…
ex. stresseur, aggression, décès parent jeune age, statu socio$, milieu défavorisé,instabilité résidentielle, difficulté d’apprentissage ou socialisation
facteurs sociaux tr ROH: facteur environnementaux?
- l’influence de l’environnement est obligatoire pour que les facteurs génétique/phénotypes puissent agir.
- culture, attitude face à l’alcool, mécanisme adaptation, pairs, niveau de stress +++ imp
- environnement familiale module l’impact (bon ou mauvais sens)
- pairs : ado et adulte ont une grande association de leur conso à celle de leur pairs
- l’initiation à l’alcool selon l’âge et l’exposition bas âge a des proches buveur
- début : 11-14 ans : 4x + risque tr à 20 ans
- cégep et uni : influence de perception erroné que la qte normale à boire.
facteurs sociaux tr ROH: culturel?
- juif, francais, italien, portugais : font boire leur enfant jeune des petit qte et dévalorise l’ivresse ont des taux alcoolisme + faible.
- irlandais et autochtone : favorise intoxication hors foyer, ivresse imp de fds.
- facteur imp de l’installation ou non du tr : attitude face à ROH et alcool, contexte d’initiation, responsabilité personnelle face aux conséquences.
facteurs sociaux tr ROH: facteur protecteur?
- encardrement parental supportant
- acces limité roh
- pairs dont la conso est faible
- être une F (sensibilité accrue, perception de sanction social + sévère)
différence H-F face à l ‘alcool?
- cycle menstruel fait varier la réponse (+ apprécié en phase lutéale)
- même fdr génétique H et F mais taux alcoolisme H> F donc les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique + élevé pour voir apparaitre un tr
- chez F de toute age, les conséquences d’un prise abusive de roh sont plus imp au plan : physique, social, médical et psychologique (particulièrement élevé chez F âgé qui utilise des benzo)
- F ont des []roh sanguine plus haute que les H pour une même consommation et une plus grande neurotoxicité
- F plus sujette à développer des ocmplications
- F taux de como à 72% vs 57% pour les H
en gros : F sont + sensible aux impact bio psycho sociaux de l’roh que les H
les 3 catégories de dx lié aux substances dand dsm 5?
- tr lié à l’utilisation
- tr induit par substance qui comprend :
1- intox
2- seuvrage
3- autres tr induit
tr de l’usage de l’ROH (ou toute autre substance) ?
1- usage problmatique de ROH (souffrance/alt fct) avec min 2 manif depuis 12 mois :
a- roh consommé en qte + imp ou + longtemps que prévu
b- désir persistant ou effort pour controler/limiter conso
c- bcp de temps passer au activité de conso (obtenir, conso ou s’en rétablir)
d- craving de conso
e- conso répété qui conduit à l’incapacité de remplir certaine obligation
f- conso continu malgré des problèmes lié à celle ci
g- activité ou loisir abandonné/réduit par l’usage de roh
h- usage poursuivit malgré la connaissance de problè me physique ou psy lié
j- tolérance : qte plus haut pour avoi rle meme effet OU peu/pas d’effet si conso de la qte habituelle.
k - seuvrage : signes/sx OU prise de roh/benzo lu autre substance similaire pour calmé les sx.
spécifier rémission:
- précoce: aucun critère depuis >3 mois mais 12 mois
spécifier si :
- environnement protégé (acces substance limité)
- sous thérapie agoniste (surtout pour les opioïde)
sévérité :
- léger : 2-3
- moyen : 4-5
- grave : 6 ou +
intox ROH?
- conso de ROH avec altération comportementale ou psy et au moins 1 sx : discours bredouillant (11), incoordination (11), démarche ebrieuse (32,5), nystagmus (32,5), altération attention/mémoire (32,5), stupeur ou coma (65)
changement psy: entre 11-32,5 mmol/L
seuvrage alcool?
a- arrêt ou reduction après usage massif et prolongé
b- 2 manif min : activité neurovégétative, tremblement main, insomnie, no/vo, hallucination/illusion visuelle/tactile/auditive (bibitte), agitation psychomotrice, anxiété, crise convulsive généralisé tonicoclonique.
délirium ou état confusionnel attribuble à une substance ?
toute les substances peuvent créer cet état et le dx es tposé avec le nom de la substance.
perturbation de l’attention et consicence (orientation environnement) qui s’installe de facon aigue et représente un changmeent p/r à la norme.
au moins 1 autre perturbation cognitive (ex. langage)
mise en évidence que l’état est 2o à une substance (intox, prise, seuvrage etc)
traitement seuvrage ROH?
seuvrage ROH, délirium tremens et convulsion de seuvrage ROH : tx par benzo!!!
les benzo = les plus utilisé, le tx standard.
benzo = prévient les crises et le délirium tremens
la posologie est selon l’intensité des sx et on veut la disparaition des sx de sevrage.
tx ne doit pas dépasser 7 j
ajout nécessaire parfois?
- phénobarbitol (si grave ou résistance)
- haldol (antipsy) pour quelques cas de DT qui doit TOUJOURS ÊTRE ADMINISTRER avec la benzo