Cours 3-4 Flashcards

1
Q

L’observateur/ le percevant

A

la personne qui se fait une impression

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Q

l’acteur/la cible

A

la personne qu’on observ, la personne sur qui on se fait une impression

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3
Q

les étapes de la formation d’impression

A

1.observation
2.apparence physqiue, comportement, contexte
3.attribution
4.disposition
5.intégration
6.impression
7. biais confirmatifs (fait tout le tour jusqu’à l’observateur qui ensuite recommence le processus)

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4
Q

on a plus de chances de faire une analyse approfondie de la personne qu’on observe si…

A

on a plus de temps ou on est plus motivé (ex: on veut etre ami, on veut relation..)

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5
Q

la formation d’impression est un processus…

A

continu! MAIS la première impression est cruciale!!!!

-La première impression aide à interpréter toutes les prochaines infos, on se base sur la première info pour expliquer le reste

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6
Q

Étude de willis et todorov sur le temps de formation d’impression

A

-Corrélations entre des participants ayant vu les photos avec un temps d’exposition limité et des participants n’ayant pas
eu de limite de temps pour se former une impression.

-Toutes de corrélations positives et significatives, qu’on aie 0.1 seconde ou le temps illimité, l’impression change pas
-La première impression se fait en une fraction de secondes
–Résultat: Il y a une corrélation positive entre regarder en 0.1 seconde et temps illimité (même impression malgré la différence de temps)

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7
Q

Pourquoi se fait un des impressions si rapidement?

A

Pourquoi sommes-nous aussi rapides?
-c’est une question de survie a la base, nos ancêtres devaient rapidement juger si ennemi ou ami, notre cerveau s’est développé pour détecter rapidement si on fait confiance ou non
-C’est une réaction de protection

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8
Q

L’influence de l’apparence physique sur f.i.

A

1.L’apparence physique d’une personne est habituellement le premier et parfois le seul indice pour se former une impression sur elle.

2.Nous avons des idées préconçues par rapport à certaines caractéristiques physiques. ( ex:
lunettes: intelligente, personne plus ronde: plus paresseuse
La barbe donne perceptions différentes: barbes longue=lazy, moustache=pedo)

3.La beauté physique, particulièrement un beau visage, amène une variété d’attentes positives (ce qui est beau est bon).

4.Aussi, la beauté physique de l’autre influence notre attitude envers cette personne

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9
Q

Influence des comportements et expressions non verbales sur f.i.

A

-Les comportements et les expressions non verbales que nous observons chez l’autre nous fournissent des informations pour former notre impression.–>on peut inférer des caractéristiques internes à partir de comportements externes

-Des informations à travers les expressions émotionnelles (6 émotions universelles: colère peur, dégout, surprise, joie, tristesse)

-infos à travers le regard:
(Les yeux envoient des messages sur la qualité de l’interaction et de la relation)
1.Regard maintenu : perçu comme honnête, direct, amical, aimable ou intéressé.
2.Regard fuyant : perçu comme non amical, louche, évasif, indifférent ou timide
3.Regard fixe et soutenu : peut être perçu comme colérique, hostile ou dominateur; ou peut être perçu comme amoureux ou très intéressé.
4.Regard vers le bas : perçu comme triste, honteux ou soumis.
(Étude faite en amérique du nord!! pcq dans culture asiatique le regard vers le bas signifie respect )

-Des informations à travers les gestes, les mouvements et les postures (Gestes veulent dire choses diff dans autres cultures ex: en bulgarie les geste oui et non sont l’inverse des nôtres)

-Des informations à travers le toucher (ex: la poignée de main poignée ferme souvent donne bonne impression, trop ferme dominance..)

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10
Q

Les influences du contexte sur f.i.

A

-le plus souvent le contexte nous aide, mais peut nous induire en erreur!

ex: violoniste dans le metro on pense que c’est un violoniste ordinaire, mais c’est un des meilleurs dans le monde et son violon vaut 5 millions$

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11
Q

L’attribution def:

A

Jugement (inférence) porté sur une personne, une situation, un événement.
Interprétation personnelle de la réalité.

–quand on fait une attribution c’est notre jugement à nous!
-ce jugement pourrait être erroné
-très souvent par contre nos attributions sont assez justes

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12
Q

Une attribution peut être faite sur…

A
  1. les autres = attribution de l’observateur ou hétéro-attribution;

2.soi-même = attribution de l’acteur ou auto-attribution.

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13
Q

Les types d’attributions

A

1.Attributions causales:
But : déterminer les causes d’un comportement, d’un événement, d’un succès ou d’un échec ou expliquer un manque de contrôle sur l’environnement.

2.Attributions dispositionnelles.:
But : déterminer les caractéristiques d’un individu à partir d’une action qu’il vient d’accomplir

3.Attributions de responsabilité.
But : déterminer le niveau de responsabilité d’un individu par rapport à un acte qu’il a commis ou à un événement qui s’est produit. (c’est pas vrm pour les premières impressions, plus dans le milieu légal ..)

ex pour 1 et 2: accident d’auto, tu te demande -
-POURQUOI: attribution causale réponse c’est parce que
-pour dispositionnelle: tu te demande QUI est cette personne qui a fait l’accident réponse: qqun de distrait…

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14
Q

Les types de théories

A
  1. Théories de l’attribution qui contient:
    - Théorie des inférences
    correspondantes (Jones et Davis)
    - Théorie de la covariation (Kelley)
    - Approche pragmatique
    - Approche du traitement de l’information

—>prend plus en compte les antécédents (croyances, observations, motivation) ET les attributions (l’interprétation)

  1. Théories attributionnelles qui contient:
    - Théorie de la motivation à
    l’accomplissement (Weiner)
    - Théorie de la résignation acquise (Seligman)

—> prend plus en compte les attributions (l’interprétation) et les conséquences (comportement, émotions, attentes)

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15
Q

Les théories de l’attributions
Pour expliquer les comportements des autres ou nos comportements (incluant les résultats, les événements, etc.), nous avons deux possibilités :

A

-La cause est la personne (ses dispositions, sa personnalité, ses intentions, etc.).Nous parlons alors d’une cause interne, dispositionnelle ou reliée à la personne.Attribution faite par
… un observateur : « C’est sa faute ».
… un acteur : « C’est ma faute ».

-La cause est la situation (le contexte, les circonstances, le hasard, etc.).
Nous parlons alors d’une cause externe, situationnelle ou reliée au contexte.
Attribution faite par
… un observateur : « Ce n’est pas sa faute; c’est la faute de… »
.… un acteur : « Ce n’est pas ma faute; c’est la faute de… ».

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16
Q

La théorie des inférences correspondantes (voir slide 22)

A

-théorie qu’on peut seulement appliquer quand
c’est une attribution dispositionnelle (QUI?)
attribution observateur
une seule observation (premiere et derniere fois qu’on voit cette personne)
ex: tu marche dans rue avec ami, un random pousse ton ami et part en courant
tu te demande QUI est cette personne

On connait pas la personne alors on part pas de gauche a droite dans l’observation mais de droite a gauche

observation basée sur l’action
analyse (choix et attentes) choix: esque la personne avait le choix de faire ça ou elle etait obligée
attentes: esque son comportement est conforme aux attentes sociales
(il faut que la personne ait CHOISI de faire le comportement pour inférer une disposition (trait de perso.) si t’es obligé ça reflète pas ta personne

attribution sur ses intentions et ses dispositions (seulement si 2 était interne et pas externe)

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17
Q

l’effet distinctif

A

-Conséquence qui découle uniquement de l’action que la personne a choisi de faire en comparaison aux autres actions que la personne auraient pu faire.
-effets distinctifs aident à définir la personne

ex: plusieurs choix d’emplois avec descriptions similaires.. un seul emploi offre que tu pourra diriger une équipe
si tu choisis cet emploi ton trait distinctif c’est que t’aime jouer le role de leader

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18
Q

la théorie des inférences correspondantes et l’effet distinctif

A

-on ajoute à La théorie des inférences correspondantes les effets distinctifs!
-on ajoute effet distinctif: mais quesque ça lui apporte
-il faut comparer ce qu’elle a fait avec ce qu’elle aurait pu faire
-l’effet distinctif aide aussi à déduire l’intention

voir slide 25 et lire manuel….

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19
Q

la théorie de la covariation s’applique si…

A

-quand attributions causales (POURQUOI?)
-attribution par acteur ou observateur
-faut beaucoup d’info sur la situation, personne…

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20
Q

la théorie de la covariation

A
  1. Consensus.
    Le comportement de la personne observée est comparé au comportement des autres personnes

–>-si la personne est seule a faire le comportement le consensus est faible, mais si tt lmonde le fait le consensus est eleve

2.Distinction.
Le comportement que la personne observée adopte par rapport à l’entité est comparé au comportement qu’elle adopte par rapport à d’autres entités.

–>la distinction est élevée si le comportement est fait seulement par rapport à l’entité précise qu’on est en train d’observer et faible si le comportement est le mm peu importe l’entité

3.Constance.
Le comportement de la personne observée à ce moment précis est comparé au comportement qu’elle adopte à d’autres moments semblables (même entité).

—>comportement est le mm constance est élevée, comportement est différent alors constance faible

**s’il nous manque des infos pour examiner l’une ou l’autre des trois dimensions, nous comblons les vides par de inférences

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21
Q

c’est quoi l’entité

A

ex:-Pourquoi Paul est énervé en écoutant ce groupe de musique—- l’entité c’est CE GROUPE

on doit se demander les comportement est fait par rapport à quoi

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22
Q

dans la théorie de la covariation on fait l’attribution à la personne si..

A
  • Si le consensus est faible.
  • Autrement dit, la personne est la seule à faire ce comportement.
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23
Q

dans la théorie de la covariation on fait l’attribution à l’entité si…

A
  • Si la distinction est élevée.
  • Autrement dit, la personne a un comportement particulier avec cette entité
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24
Q

dans la théorie de la covariation on fait l’attribution aux circonstances si…

A
  • Si la constance est faible.
  • Autrement dit, la personne a un comportement différent maintenant avec cette entité.
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25
Q

L’approche pragmatique

A

-Cette approche stipule que, le plus souvent, nous raisonnons en utilisant des raccourcis mentaux. Ceux-ci sont des stratégies cognitives qui nous permettent de porter des jugements plus rapidement et avec moins d’efforts cognitifs.

—> on observe un évènement et on on commence tout de suite par identifier une cause possible, cause plausible, la cause la plus logique et probable selon info qu’on a

-Cependant, l’utilisation de raccourcis mentaux augmente le risque d’erreurs.

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26
Q

Les étapes de l’approche pragmatique

A
  1. évènement
    2.identification d’une cause plausible
  2. recherche d’indices confirmatif et présence d’un lien de cause à effet (ex de l’accident auto et camion:cause à effet: le bruit fort, l’effet amène à penser que c’est le camion qui a foncé dans l’auto et pas l’inverse)
    (voir slide 30)
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27
Q

L’approche du traitement de l’information

A

Cette approche stipule que nos attributions sont affectées par notre façon de
mémoriser et de traiter les informations. Elle s’intéresse, entre autres, aux
processus de l’attention, l’acquisition, l’emmagasinage, la récupération, la
catégorisation, etc.

-reliée à la psycho cognitive
-la cognition sociale
-dans nos attributions nous utilisons des concepts de cognition sociale

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28
Q

La théorie de la motivation à l’accomplissement
est quel genre de théorie?

A

théorie attributionnelle

29
Q

La théorie de la motivation à l’accomplissement

A

Cette théorie est par rapport à NOTRE PROPRE motivation
-Cette théorie s’applique spécifiquement à la motivation
1.éven. ex: congédiement
2.attribution
3. dans l’attribution y’a 3 dimensions causales

-Lieu de causalité
–» si on dit:j’ai perdu mon emploi, c’est de ma faute: interne
–»j’ai perdu mon emploi pcq mon patron c’est un incompétant: externe

-Contrôle
–» c’est ma faute, j’arrivais en retard, j’aurais pu être à l’heure: contrôlable
–» retard mais c’est pcq mon frère me reconduis et c’est lui qui était toujours en retard: incontrôlable

-Stabilité
—» ça arrive toujours? : stable
-–» c’est spécial comme événement? : instable

4.conséquences cognitives et affectives
5.motivation résultante

30
Q

les conséquences cognitives et affectives dans la théorie de la motivation

A

cognitives:
On se base sur la dimension de stabilité
1. succès –> cause stable–> attentes positives –> hausse de motivation
ex:On vit une victoire et cause est stable: hausse motiv.

  1. échec—> cause stable–> attentes négatives–> baisse de la motivation
    ex:On vit échec et cause est stable (ex: prof sévère): baisse motiv.

conséquences affectives:
on se base sur les dimensions de lieu de causalité et de contrôle

1.succès–> cause interne (contrôlable ou non)–> fierté et hausse de l’estime de soi—> hausse de motivation

2.échec—> cause interne et contrôlable–> culpabilité–> hausse de motivation!!

3.échec—> cause interne et incontrôlable–>honte et baisse de l’estime de soi–> baisse de la motivation

31
Q

la théorie de la résignation acquise expérience sur chiens

A

Pas une théorie attributionnelle à la base
-étude d’apprentissage chez les chiens

Phase 1
-Groupe 1: chiens pouvaient se libérer du harnais et truc choc en pesant sur un bouton (contrôlable)
-Groupe 2: choc inévitable (incontrôlable)

Phase 2
-3 groupes de chien
-mêmes deux premiers groupes + le groupe 3: pas de chocs (groupe contrôle)

–Chiens du groupe 1: dès qu’ils ont eu choc ils ont sauté partout et se sont mis de l’autre côté, ensuite ils le faisaient en voyant la lumière
-Groupe 3 aussi
-Groupe deux: chiens restaient sur place et gémissaient, plancher était électrifié pendant une minute
—> they gave up:(

32
Q

la théorie de la résignation acquise

A

la résignation acquise:
État psychologique qui résulte de la venue fréquente d’événements désagréables perçus comme incontrôlables par la personne qui les vit, et menant à des états émotionnels, cognitifs et motivationnels déficitaires.

-On l’appelle aussi résignation apprise, impuissance acquise ou apprise, incapacité acquise ou apprise.

-Conséquences observables : auto-attributions négatives, tristesse, passivité, apathie, inhibition, etc.
-arrêter de vivre émotions, va devenir vide

-Sur plan motivationnel: Personne va subir sans rien faire, même si on offre des nouvelles solutions ils ne vont rien y faire

33
Q

Application de la théorie de la résignation acquise au phénomène de la dépression

A

deux groupes
1.personne optimiste
- quand y’a even positif c’est perçu comme: interne, stable et global (plusieurs situations)
-quand y’a éven negatif c’est perçu comme: externe, instable, spécifique

2.personne pessimiste
-éven positif c’est perçu comme: externe, instable et spécifique
-éven négatif perçu comme: interne, stable et global

–Symptômes dépressifs aussi étudiés, les personnes optimistes ont moins de risques pour la dépression (corrélation négative) et personnes pessimistes ont plus de risques (corrélation positive)–» par contre on connait pas le lien de cause à effet, la poule et l’oeuf, lequel vient en premier

-Les gens qui ont la résignation acquise ont un style attributionnel d’évènements négatifs interne, stable et global (ma faute, ça arrive tout le temps, c’est tout qui va mal)—> personne pessimiste

34
Q

les théories attributionnelles (leurs noms)

A
  1. la théorie de la motivation à l’accomplissement
    2.la théorie de la résignation acquise
35
Q

Théories de l’attribution et leurs noms

A
  • Théorie des inférences
    correspondantes (Jones et Davis)
  • Théorie de la covariation (Kelley)
  • Approche pragmatique
  • Approche du traitement de l’information
36
Q

les biais d’attributions (noms)

A

2.erreur d’attribution fondamentale
3. biais de responsabilité injustifiée
4. biais de complaisance
6. autohandicap

37
Q

Les biais d’attribution c’est quoi et le genre d’attribution qui peut être faite par observateur vs par acteur

A

Tendance à émettre des attributions qui semblent rompre avec la logique ou avec les principes théoriques usuels.

–Lorsque l’attribution est faite par l’observateur (nous on juge la personne qu’on voit) :
- Erreur d’attribution fondamentale.
- Biais de responsabilité injustifiée.

–Lorsque l’attribution est faite par l’acteur (personne se juge elle même) :
- Biais de complaisance.
- Autohandicap.

38
Q

l’erreur d’attribution fondamentale

A

-Tendance à exagérer l’importance des facteurs dispositionnels (internes) et à sousestimer l’influence des facteurs situationnels (externes) dans l’explication du comportement d’autrui.

—> attribution faite par l’observateur seulement

-Ce biais peut se produire même si les causes externes sont évidentes.

ex: On sort dehors et qqun échappe son café et ses papier: il est maladroit.. on prend pas compte du contexte, on attribue tout aux facteurs internes
Ex: acteurs traités comme leurs personnages (vilain dans un film, vilain dans la vie)

-Explications :
- Effet de saillance.
- Jugement rapide

39
Q

Étude de jones et harris sur l’erreur d’attribution fondamentale Tous les participants recevaient un texte qui décrivait le régime de castro
-Recevaient soit en faveur ou en défaveur de castro

A

-Tous les participants recevaient un texte qui décrivait le régime de castro
-Recevaient soit en faveur ou en défaveur de castro
-On divise encore et dit a un groupe que l’auteur était libre, lautre que l’auteur était obligé de prendre telle position
-Résultat: Les gens ont été influencés par le contenu tout en sachant que parfois le contenu était imposé
**ils ont pas tenu compte du contexte !!!!!

40
Q

l’effet de saillance dans l’erreur d’attribution fondamentale

A

-Une information saillante est une information qui est
marquante, qui attire et retient l’attention. Cette information suscite davantage des émotions et elle est plus facilement
retenue.

-La saillance d’une information peut dépendre de certains aspects, notamment :
- le contexte,
- le point de vue du percevant.

-Ce qui est le plus remarquable a plus de chances d’être
utilisé pour faire l’attribution. C’est ce que nous appelons
l’effet de saillance.
ex: une salle ou tt est rangé mais dans milieu y’a un désordre→ désordre saillant
robe rouge dans une foule de robes noires

41
Q

L’étude de Taylor et fiske sur la différence de point de vue (erreur d’attribution fondamentale)

A

-2 personnes se parlent (scripte) et les deux sont équivalente dans la discussion, les six personnes autour les observent
-le fait d’être assis face à la personne fait en sorte qu’elle est plus marquante que celle qui nous fait dos
-donc: 3-4 (personne qui font dos à une des personnes (b) et face à l’autre (a)) pensent que a a pris plus de place dans discussion, 5-6 (qui sont assis sur les côtés et donc voit a et b de profil) pensent que les deux participaient autant à la discussion

-c’est une erreur d’attribution fondamentale: on ignore le contexte et on met importance sur facteurs dispositionnels

-jugement rapide

42
Q

le biais de responsabilité injustifiée

A

-Tendance à porter le blâme à la victime plutôt qu’à la cause réelle. (attribution de l’observateur)
-Ce biais se produit davantage si les conséquences sont graves.
ex: violence conjugale→ mettre la faute sur la victime, t’aurais dû partir

explications:
1. Assurance quant à l’impossibilité que ça nous arrive. (on a juste a pas faire la mm erreur et ça nous arrivera pas)

  1. Surcharge émotive qui nuit à la réflexion. (quand on est très émotionnel on pense moins bien, toute l’énergie du cerveau s’en va dans les émotions)
  2. Croyance en un monde juste. ( il le mérite, c’est le karma)
  3. Biais rétrospectif.
    –>Fausse impression qu’on connaissait déjà une information nouvelle. Ceci nous amène, entre autres, à surestimer le fait qu’un événement passé aurait pu être anticipé.
    (illusion de la mémoire ex: prof a fait lire a des étudiants textes sur une guerre mais il a enlevé la fin, quand il dit la fin (qu’il a inventé) les étudiants disent ouioui on savait que ça allait finir comme ça, of course
    →une fois qu’on connait une info on peut penser qu’on la connaissait deja)
43
Q

le biais de complaisance

A

-Tendance à attribuer nos succès et bons comportements à des facteurs dispositionnels
(internes) et nos échecs et mauvais comportements à des facteurs situationnels (externes).
—» les biais qu’on utilise quand à notre perception de nous même sont pour conserver notre confiance en soi

Explications :
1. Pour protéger notre estime de soi.
(biais de complaisance est pas négatif, il est adaptatif, c’est bien mais certains en font trop, ces personnes se disent que c’est jamais de leur faute ce qui fait en sorte quils vont jamais chercher à s’améliorer )

2.Pour faire bonne impression aux autres.

3.Influence de nos attentes.
(explication qui est juste bonne quand on s’attendait à réussir qqchose mais qu’on a échoué * important*
→ça cause un mauvais jumelage cognitif: si c’est arrivé c’est pcq c’est interne et si c’est pas arrivé c’est externe, on fait un lien entre ce qu’on pensait et le for sure outcome
-si les résultat correspond aux attentes c’est grace a elle, si ça correspond pas aux attentes c’est pas lui, c’est externe)

  1. Influence du biais égocentrique jumelé
    à une perception positive de soi (liés à la mémoire).
    –>Biais qui amène un individu à exagérer dans ses souvenirs la part qu’il a pris dans des activités collectives.
    pourquoi?
    –>c’est bcp plus facile se rappeler ce qu’on a fait pcq on peut se voir l’avoir fait et s’en remémorer, mais les autres on peut pas
    -pourquoi perception positive de soi: plus facile alors d’avoir un biais ego
44
Q

études de bergquist sur le biais de complaisance Le chercheur a demandé à des personnes de différents pays de répondre à une série de questions sur des comportements bons pour l’environnement (ex : utiliser des moyens de transport durables ou actifs, réduire sa consommation d’objets en plastique). Ensuite, les participants devaient donner leur avis sur la fréquence de ces comportements chez leurs amis, puis chez leurs concitoyens.

A

Le chercheur a demandé à des personnes de différents pays de répondre à une série de questions sur des comportements bons pour l’environnement (ex : utiliser des moyens de transport durables ou actifs, réduire sa consommation d’objets en plastique). Ensuite, les participants devaient donner leur avis sur la fréquence de ces comportements chez leurs amis, puis chez leurs concitoyens.

-Résultats : De manière générale, les participants se perçoivent comme étant plus respectueux de l’environnement que les autres. Ils ont des convictions exagérées quant à leur propre contribution à l’atténuation des changements climatiques.

45
Q

l’autohandicap

A

–Création d’une excuse toute prête en cas d’échec ou pour se valoriser davantage après un succès.
(biais de l’acteur)

–l’excuse vient toujours avant la performance!!
-l’excuse peut être vraie ou inventée
-valorisant si t’a réussi malgré excuse: bien pour vision des autres de toi et pour ton estime!

deux types d’autohandicap:
1.Revendiqué : revendiquer la présence d’obstacle avant de s’engager dans une tâche.
(on avertit à l’avance les gens)

2.Comportemental : mettre de l’avant des obstacles à sa propre réussite avant de participer à une tâche.
(on va volontairement se mettre dans une situation d’échec (celui la est bcp plus grave), tlm peur d’échouer qu’on va le faire par exprès
ex: boire et se coucher tard avant exam, se blesser par exprès avant une compétition de sport..)

explications:

1.Pour protéger notre estime de soi.
2.Pour faire bonne impression aux autres.

46
Q

quel type be biais?
Selon la porte-parole de l’arrondissement PlateauMont-Royal (acteur) :
« Ils ont évalué que c’était trop dangereux pour eux de grimper dans l’arbre. Ils ont plutôt utilisé une nacelle élévatrice, mais ça fait plus de dégâts ».

A

biais de complaisance: pas de notre faute, c’est la faute de la machine

-elle est porte parole, prend le bord et transmet la parole des acteurs donc elle est acteur mm si elle etait pas là

47
Q

quel type de biais?
Selon un Montréalais qui habite en face du parc (observateur) :
« C’est du travail de sans-dessein. Ils ne me feront pas croire qu’ils ne pouvaient pas faire plus attention ».

A

peut pas etre responsabilité injustifiée pcq le parc est pas une victime ont peut pas dire au parc que c’est sa faute.. c’est une erreur d’attribution fondamentale

48
Q

la différence acteur-observateur

A

L’acteur a tendance à expliquer le comportement de l’autre (attribution de l’onservateur) par des raisons dispositionnelles.

L’acteur a tendance à expliquer son propre comportement par des raisons situationnelles.

49
Q

Étude de hansen sur la différence acteur-observateur (à lire dans manuel pcq pas certaine)

A

-acteur juge sa propre amabilité vs sur observateur
résulat:
les acteurs se jugent moins aimable qu’ils jugent celui qu’ils ont observé??

explications:
1.différence de perspective: on porte attention plus à l’autre personne, si elle a l’air amicale on va juste retenir ça, mais quand on est acteur on se voit pas, on voit plus ce qui est externe, ce qui se passe autour de nous

2.Quantité d’informations disponibles:
on se connait vrm mieux qu’on connaît les autres, l’acteur peut mieux nuancer

50
Q

l”intégration de l’information, les approches

A
  1. approche gestaltique
    2.approche associationniste
    3.approche cognitive
51
Q

L’approche gestaltique

A

-Théorie de la gestalt:
Selon cette théorie, les processus de la perception et de la représentation mentale traitent spontanément les phénomènes comme des ensembles structurés
et non comme une simple addition ou juxtaposition d’éléments.

Principe de base:
–Le tout est plus grand que la somme de ses parties
–> Quand on voit quelque chose, le tout sera + remarqué que
chacun des éléments qui le constitue

52
Q

étude sur l’approche gestaltique étude 1. on a mis un liste de trait pour chaque groupe, avec un seul trait différent –> Le fait de changer un seul trait change la perception des gens

étude 2. on met les mêmes traits pour deux groupes mais on inverse le sens de présentation (ex: intelligent en premier et l’autre a intelligent en dernier)

A

étude 1. on a mis un liste de trait pour chaque groupe, avec un seul trait différent –> Le fait de changer un seul trait change la perception des gens

étude 2. on met les mêmes traits pour deux groupes mais on inverse le sens de présentation (ex: intelligent en premier et l’autre a intelligent en dernier)
—> ça change aussi notre perspective, les premiers traits influencent comment on voit la personne
–> si premiers traits sont bons et derniers son pas bons t’es vu plus positivement que l’inverse

conclusions –>
-Il y a une interaction entre les traits observés. (études 1 et 2)
-Certaines caractéristiques de la cible ont un plus grand impact que d’autres dans le processus de formation d’impression. Un effet de centralité est observé. (étude 1)
-L’ordre de présentation des caractéristiques influence notre perception globale.
Un effet de primauté est observé. (étude 2)

53
Q

l’effet de centralité

A

(selon la personne)
-Les informations auxquelles nous accordons plus d’importance influencent davantage le sens donné
aux autres informations reçues.

54
Q

Effet de primauté

A

Les premières informations reçues sont mieux retenues et elles influencent le sens donné aux informations obtenues par la suite

55
Q

l’approche associationniste

A

-on évalue traits séparément et ensuite on les additionne pour un score global

Règle de la moyenne pondérée proposée par Anderson (1968, 1974)
–Chaque caractéristique est
évaluée selon sa présence et
selon l’importance qui lui est
accordée. Ensuite, les résultats
de ces évaluations individuelles
sont additionnés et, enfin, le
résultat de cette addition est
divisé par le nombre de
caractéristiques (calcul de la
moyenne).
-Nos sentiments vis à vis la personne dépend de cette évaluation qu’on fait de façon inconsciente si la personne a cette caractéristique et la valeur de celle-ci à nos yeux (il n’y a pas réellement d’échelle dans la vie)

56
Q

selon approche associationniste
Facteurs influençant le poids accordé à chacun des traits

A

La source de l’information.
-si on fait confinace à la source on accorde plus de poid à l’info

La valence de l’information.
-On a + tendance a accorder de poids aux info négatives

La normalité de l’information.
-Quand quelque chose est inhabituel on a + tendance a y accorder de l’importance

La séquence des informations recueillies.
-On accorde + d’importance aux premières info (effet de primauté)

57
Q

l’approche cognitive

A

-fait référence à la mémoire
–> impression initiale: on regroupe plusieurs infos pour en faire 1 seul trait (en somme y’a qq traits)
–> il s’écoule du temps
–> impression globale: on récupère l’info mais y’a bcp de traits à se remémorer alors à la place ça devient l’impression globale: j’aime ou pas cette personne, les choses distinctive auxquelles on pense quand on pense à la personne

58
Q

l’exactitude des premières impressions

A

Nous pouvons commettre des erreurs, mais…

-Malgré les limites de notre perception, certains facteurs peuvent nous aider à
former des impressions plus exactes des autres.

  1. Les indices visuels venant de la personne observée (caractéristiques physiques,
    tenue vestimentaire, comportements et expressions non verbales).

2.Le fait que certains traits de personnalité s’accompagnent de comportements
particuliers.
(ex: Ex: une personne extravertie parle beaucoup, est sociable… en voyant ces traits on peut dire que la personne est extravertie)

3.Les propos exprimés verbalement par la personne.

4.Notre volonté à être exact.

  1. Notre connaissance des risques d’erreur.
    (Quand on sait que l’erreur d’attribution fondamentale existe on le remarque + quand on le fait et on se corrige +)
  2. L’utilisation de stratégies mentales efficaces.
    (On a des façons de réfléchir qu’on a développé pour être efficace)

En somme: Généralement nos impressions des autres sont assez exactes

59
Q

tenir compte du contexte dans l’exactitude des impressions
2 catégories d’exactitude

A
  1. Exactitude globale.
    -Lorsque nous portons un jugement général sur une personne, c’est-à-dire
    indépendamment du contexte dans lequel nous l’observons, il peut arriver que
    notre jugement soit exact ou non..
    –> On a tendance à généraliser : on voit 1 personne dans un contexte et on se dit qu’elle est comme ça partout (ex: mon médecin de famille est une personne très sérieuse - peut être totalement différent
    dans un autre contexte)
    On devrait dire: mon médecin est sérieux quand je le rencontre dans sa clinique
    -Mais le risque de se tromper est plus élevé parce que la personne peut être différente selon le contexte dans lequel elle se trouve—>On est + susceptible de faire l’erreur d’attribution fondamentale
  2. Exactitude circonscrite.
    -Lorsque nous évaluons une personne en lien avec un contexte précis, il y a plus
    de chances que notre jugement soit exact.
    ex:mon médecin est sérieux à chaque fois que je le vois
    (plus de chance d’avoir raison)
60
Q

Ajout de nouvelles infos à l’impression qu’on a deja

A

Plus le percevant a l’opportunité de recueillir de nouvelles
informations sur la personne observée, plus il peut clarifier son impression (développement de son concept de la personne).
Par contre, si les nouvelles informations ne concordent pas
avec l’impression initiale, le percevant peut éprouver de la
difficulté à adapter son impression, parce que cela exige un effort cognitif plus grand. Il en résulte que l’impression initiale a tendance à demeurer intacte.
–>Dépend de l’ouverture de la personne
* ouverte (accepter les nouvelles info et les intégrer dans ce qu’on sait déjà - moins de préjugés)
* Rigide (ne pas prendre les nouvelles infos - ne changent pas sa façon de voir les choses, dès que la personne a une idée, poilue elle c’est comme ça)

-Enfin, il appert que même si l’impression initiale change, ce
n’est généralement qu’en partie ou de manière graduelle.

61
Q

Les types de biais confirmatifs et le but

A
  1. confirmation d’hypothèse
  2. persistance des croyances
  3. prophétie qui s’auto-réalise

Leur but: conserver les croyances/préjugés que j’avais déjà

62
Q

la confirmation d’hypothèse

A

Tendance à chercher, interpréter et créer les informations qui supportent les croyances existantes.
-On cherche l’info qui va venir soutenir ce que je pense déjà - on va être attentif uniquement aux infos qui confirment nos croyances
* ex: monstre du lockness - vont chercher des « preuves »

63
Q

Étude sur la confirmation d’hypothèse Les chercheurs ont présenté à des psychologues et à des étudiants en psychologie des
cas de patients hypothétiques présentant des problématiques diverses. Chaque cas
était accompagné d’un diagnostic (paranoïa, problème d’impuissance, etc.) et du
dessin d’un bonhomme, censé avoir été fait par le patient.

A

Les chercheurs ont présenté à des psychologues et à des étudiants en psychologie des
cas de patients hypothétiques présentant des problématiques diverses. Chaque cas
était accompagné d’un diagnostic (paranoïa, problème d’impuissance, etc.) et du
dessin d’un bonhomme, censé avoir été fait par le patient.

-résultats:
– Les participants surestiment la fréquence des signes présents dans le dessin en
fonction de la problématique du patient. Par exemple, lorsqu’ils savent qu’ils jugent un
paranoïaque, ils trouvent davantage de gros yeux dans les dessins; quand ils pensent
que le patient est préoccupé par sa masculinité, ils trouvent davantage de larges
épaules et de musculature développée.
– Cet effet s’avère très résistant aux données contradictoires, puisque, en présence de
rapports qui témoignent du contraire, les participants ne corrigent pas leurs
conclusions et continuent à se baser sur leurs théories.

donc—>
-Sont partis d’une croyance et on remarqué dans le dessin seulement les infos qui confirment leurs croyances
-Une fois qu’ils se sont faite une idée, ils ne changent pas d’opinion

64
Q

La persistance des croyances

A

Tendance à discréditer les informations qui contredisent
les croyances existantes et à réinterpréter les faits de
manière à confirmer ces croyances.

-On porte attention à TOUTES les infos, mais celles qui sont contraires à nos croyances seront réinterprétés (discréditée)
* ex: le lac est calme - c’est parce que c’est pas la saison, il est coucher (c’est pour ça qu’on le
voit pas) - je ne me suis X trompée, c’est parce que..

65
Q

étude sur la persistance des croyances (voir manuel??) Les participants ont interprété la performance d’Hannah en fonction de leurs croyances initiales (c.-à-d. leurs attentes)

A

Les participants ont interprété la performance d’Hannah en fonction de leurs croyances initiales (c.-à-d. leurs attentes). Cette étude montre que lorsque les gens ont une croyance sur quelque chose, ils peuvent interpréter les nouvelles
informations pour aller dans le même sens que leur croyance.

66
Q

La prophétie qui s’autoréalise

A

Processus par lequel les croyances d’un percevant par rapport à une autre
personne l’amènent à adopter certains comportements qui, eux, amènent l’autre
personne à se comporter de façon à confirmer les croyances initiales du percevant.

ex:
1. Croyances du percevant
-Laura soupçonne que sa nouvelle collègue de bureau est une personne grincheuse, snob et égocentrique.

2.Comportement
du percevant envers la cible
-Laura évite alors de lui parler. Elle lui dit à peine bonjour.

3.Comportement
de la cible envers le percevant
-En retour, sa collègue ne se sent pas appréciée et,
pour éviter les regards et commentaires négatifs de
Laura, elle préfère rester à l’écart.

  1. retour aux Croyances du percevant
    -Laura interprète l’attitude de sa nouvelle collègue comme une confirmation de ses soupçons, sans réaliser qu’elle en est la cause.

-Les cpt de Laura influencent le cpt de la nouvelle collègue, ce qui va venir confirmer les croyances de Laura quant au cpt de sa collègue
-La personne ne se rend pas compte que la personne agit d’une façon en raison d’elle-même Peut devenir un biais confirmatif en soi

67
Q

différence entre confirmation d’hypothèse et persistance des croyances

A

-confirm: on cherche et regarde juste l’info qui soutient notre point

-persis. : on regarde toutes les infos mais on les ignore, on les discrédite

68
Q
A