Cours 6-7 Flashcards

1
Q

Croyance def

A

Lien cognitif entre un objet et un attribut.
Lien cognitif entre deux objets.
(infos que j’ai par rapport a un objet
c’est différent pour tout le monde
croyance c’est une information)

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2
Q

système de croyances def

A

Représentation mentale d’un ensemble de croyances par rapport à une personne, un objet ou un thème.

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3
Q

Opinion def

A

Expression d’une croyance.

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4
Q

Objet psychologique def

A

Tout ce qu’il est possible de se représenter mentalement.
-Il est cognitif à la base.
Ça inclut les individus.
Il peut être concret ou abstrait, réel ou imaginaire.
Quand une attitude y est liée, on parle d’objet d’attitude.

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5
Q

atitude def

A

quand on ajoute une valeur affective aux croyances
ça inclut l’état mentale, état cognitif (émotion)
(3 aspects de l’esprit humain)

-État mental et neuropsychologique de préparation à répondre, organisé à la suite de l’expérience, et qui exerce une influence directrice et dynamique sur la réponse de l’individu à tout objet et situation qui s’y rapporte.
-Évaluation générale, positive ou négative, d’une personne à l’égard d’un objet psychologique

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6
Q

Les caractéristiques de l’attitude voir manuel ou demander à qqun!

A

Direction: positif ou negatif—- bipolaire ou unipolaire bipo= pour contre ou neutre (ex avortement c’est qqchose controversé) unipolaire=pour ou neutre ex: préf la musique rock et neutre sur classique pcq connaît pas vrm (on a moins d’info sur les goûts opposés)

Intensité: a quel point attitude est extrême ex j’aime mon amie mais j’adore ma meilleure amie

Centralité: une attitude générale ex paix vs une attitude plus spécifique comme jamais se fâcher, plus difficile de changer mon attitude qui est centrale de la paix

Certitude subjective: conviction que notre attitude est la bonne!, arrive quand on a une expérience personnelle ex: att positive envers le condom moi j’en utilise et c’est super!

Accessibilité: ?? Es que c’est une attitude qui est accessible dans notre pensée ou c’est loin

Ambivalence: quand on est pas certain c’est quoi notre attitude selon nos exp pcq on a eu positif et négatif
Niveau de conscience: implicite ou explicite (implicite c’est dans nos stéréotypes!)

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7
Q

La structure unipolaire et structure bipolaire

A

unipolaire: y’a une option –> opinion de 0-10
bipolaire: y’a deux pôles opposés–> opinion de -5 à 5

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8
Q

La formation des attitudes vs le changement d’une attitude

A

formation: pas d’attitude–> attitude positive ou négative

Changement–> attitude pos. devient neg ou l’inverse

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9
Q

C’est quoi l’apprentissage

A

Toute modification relativement permanente du comportement, du savoir, de la compétence ou de l’attitude qui résulte de l’expérience.

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10
Q

Les mécanismes de formation des attitudes

A

1.Conditionnement évaluatif
-Type d’apprentissage par lequel un stimulus neutre finit par activer la même attitude qu’un autre stimulus qui active une attitude positive ou négative,
après association de ces deux stimuli.

  1. Simple exposition
    -Type d’apprentissage par lequel plus une personne est exposée à un stimulus, plus elle l’apprécie (attitude positive).

3.Conditionnement opérant
-Type d’apprentissage par lequel une attitude devient plus ou moins probable selon les conséquences (renforcements ou punitions) qui y sont associées.

4.Apprentissage social
-Type d’apprentissage par lequel
l’observation d’une attitude chez une autre personne (modèle) amène le développement de la même attitude.

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11
Q

Modèle croyance-évaluation de l’attitude (voir manuel)

A

Selon ce modèle, lorsque nous faisons l’acquisition de nouvelles informations par rapport à un objet psychologique, automatiquement, il y a une évaluation de chacune de ces informations. L’évaluation globale de l’attitude correspond à la somme de toutes les évaluations individuelles.

Selon ce modèle, lorsque nous faisons l’acquisition de nouvelles informations par rapport à un objet psychologique, automatiquement, il y a une évaluation de
chacune de ces informations. L’évaluation globale de l’attitude correspond à la somme de toutes les évaluations individuelles.
-

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12
Q

Les influences de la génétique sur les attitudes

A

-Les jumeaux identiques partagent plus les mêmes attitudes que les jumeaux non identiques.
-L’influence du bagage génétique sur les attitudes serait cependant indirecte.

–Gènes influencent les dispositions générales :
- personnalité
- intelligence
- capacités physiques
ce qui en retour influence les attitudes!

L’environnement joue un rôle plus important dans
le développement des attitudes.!!!!!!!!!

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13
Q

Les influences sociales et culturelles sur les attitudes

A

La société et la culture peuvent rendre saillants dans l’environnement de l’individu certains stimuli au détriment
d’autres stimuli.

La société et la culture peuvent
accorder des valeurs subjectives
différentes à un objet ou à une activité.

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14
Q

Les influences des attitudes sur le comportement c’est quoi et les théories noms

A

desfois on a des attitude mais on agis pas en fonction d’elles

  1. modèle du processus attitude-comportement
    2.théorie de l’action raisonnée
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15
Q

Le modèle du processus attitude-comportement

A

!!!s’applique dans les moments spontanés!!!!

  1. activation de l’attitude: on voit un objet d’attitude, en le voyant ça active notre attitude—> amorçage , voir un objet d’attitude amorce des pensées, notre attitude à l’égard de l’objet (si une attitude est plus accessible dans l’esprit on va y penser plus vite)
    2.perception sélective: notre attitude va servir de filtre pour percevoir plus certaines choses que d’autres (ex: attitude négative tu vas plus remarquer défauts..)
    3.perception immédiate: jugement qu’on porte sur l’objet (je l’aime je l’aime pas, qqun de bine ou pas..)

EN MÊME TEMPS
2.normes sociales: quesqui est acceptable dans notre société
3.évaluation en fonction de la situation: on prend en considération les normes et on évalue si on veut ou pas respecter

ces processus se combinent pour former la définition de l’évènement et ensuite produire un comportement (les deux se combinent ensemble et là on décide comment on va se comporter)

*** dans ce model quand on a un comportement trs spontané y’a deux choses qui vont influencer le comportement c’est l’attitude et les normes sociales
parfois un va prendre le dessus sur l’autre dépendamment du contexte

EXEMPLE

on rencontre itinérant
-deux choses se produisent en !!!1même temps!!!
1.en le voyant y’a l’activation de l’attitude ensuite notre attention est dirigée sur indices en lien avec attitude (ex: si attitude est positive on va plus voir les trucs positifs) l’attitude agit alors comme un filtre qui porte attention sur certaines choses
2. les normes sociales!!! (keski est acceptable socialement ou pas acceptable socialement et ensuite évaluation des normes selon le contexte, esque je respecte les normes ou pas

ces deux choses amènent à la perception globale ce qui mène au comportement

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16
Q

La théorie de l’action raisonnée voir le dessin à slide 18

A

théorie de l’action raisonnée: ce qui se passe dans notre tete quand on a un décision à prendre
→ 3 choses à prendre en compte: attitude, norme subjective, controle comportemental perçu

1.attitude : est basée sur les croyances comportementales, la personne s’imagine ce que ça pourrait lui apporter si elle réalisait cette intention (ex: se déplacer rapidement.. avec auto etc) réaliser l’intention va lui rapporter qqchose, si ça lui apporte bcp → att. positive, rapporte pas bcp att. négative

  1. la norme subjective: basée sur les croyances normatives, → croyances des gens qui sont proche de lui, des gens qui ont une importance
    subjective: pcq on demande pas nécessairement aux gens mais on s,imagine ce qu’il penserait
    si bcp de gens sont d’accord→ norme subjective est positive

3.le contrôle comportemental: est que la personne se croit en contrôle de la situation
→ les ressources internes: esque la personne pense qu’elle a les compétences pour faire qqchose..
→ les ressources externes: esque j’ai assez d’argent…
plus on pense qu’on a de ressources plus on se sent en contrôle

(les variables exogènes: c’est tout ce qui peut influencer nos croyances ex: notre personnalité, nos exp. passées, notre socialisation, niveau d’éducation…)

TOUT CELA MÈNE À
l’intention: le coeur de la théorie (intention doit référer à un comportement précis) ex: l’intention de se mettre de la crème solaire de force 30 quand ils vont au soleil
la théorie porte pas sur un choix, c’est sur l’action qu’on a l’intention de faire

-intention influence le comportement: si y’a plus de positif dans les 3 facteurs, l’intention sera plus forte

-intention est plus ou moins forte: plus elle est forte plus on va faire d’effort pour réaliser le comportement

—-> ATTENTION y’a aussi
contrôle actuel: variable modératrice, elle a une influence sur le lien.. facteur qui peut nuire ou aider à la réalisation de l’intention ex: si michel a gagné à la loto entre temps, ça va encore plus l’encourager dans son comportement

17
Q

Théorie de l’action raisonnée deux manières de l’utiliser

A

on utilise très souvent cette façon de réfléchir, parfois conscient et parfois inconscient→ conscient: quand on a décisions importantes (ex: décider du sujet de nos études) inconscient: situations routinières ou de moindre importance (ex: quesque je vais manger pour souper)

18
Q

3 contextes dans lesquels on peut pas utiliser la théorie de l’action raisonnée

A
  1. quand qqun vit de fortes émotions
  2. dans le cas des gens qui ont des phobies
  3. dans le cas des dépendances ex: alcool, drogue
19
Q

Le processus de persuasion

A

-si on veut persuader qqun 4 éléments importants
-Qui dit quoi, à qui et comment

  1. source ( la provenance du message)—>
    - crédibilité
    - apparence physique
    - similarité
  2. message
    Façon de présenter le message :
    - quantité d’informations
    - répétition
    - écart entre le message et l’attitude initiale- ordre de présentation des arguments- recours aux émotions
  3. auditoire
  4. canal
20
Q

Crédibilité de la source

A

ex: on cherche info sur insomni, esquon va plus croire elle quebec ou une revue scientifique…
plus une source parait crédible, plus elle est susceptible de nous influencer

->La crédibilité de la source est étroitement liée à sa compétence ou son expertise dans le domaine.
Est-ce que nous pouvons faire confiance à la source?

21
Q

Étude sur la crédibilité de la source

A

la crédibilité est limitée dans le temps

expérience 1
-développement de sous marins nucléaires, les gens étaient inquiets
-les chercheurs ont offert une conférence pour changer l’attitude des gens
-moitié ont reçu conférence d’une source très crédible (chercheur en physique) et autre moitié ont reçu la mm conférence mais par un source peu crédible
–les chercheurs ont évalué une premiere fois l’attitude et une autre fois après la conférence → esque l’attitude a changé
-immédiat: immédiatement après avoir vu conférence

premiere conclusion: la crédibilité de la source a un impact sur la persuasion (dans l’immédiat)
3 semaines après la conférence: ceux qui ont vu source crédible après trois semaines vont baisser dans persuasion et autre monte
donc—> crédibilité a un impact mais pas à long terme
—> c’est l’assoupissement: avec le temps on se rappelle du contenu mais on oublie la provenance

expérience 2

-un groupe avec conférence crédible et autre avec source pas crédible
–mesure avant conférence et après
→ même conclusion sur crédibilité juste après la conférence
après trois semaines, avant d’évaluer les chercheurs ont rappelé aux participants c’est qui qui leur a donné la conférence → le fait de rappeler fait disparaitre l’effet d’assoupissement

22
Q

Effet de l’apparence physique sur la source

A

Les sources attrayantes physiquement exercent un plus grand pouvoir de
persuasion.
impact plus superficiel

Pourquoi?
1. la beauté ou la facon dont elle est habillé nous convainc pas plus, ça passe par autre variable→ ça attire notre attention
(c’est pas l’apparence qui influence, l’apparence attire notre attention et ensuite nous fait écouter etc.)
2.valeur de renforcement, on pense que si on fait comme elle on va lui ressembler

→ pas juste en mode mais parfum, bouffe, politiciens,

23
Q

Influence de la similarité sur la source

A

La similarité que la source a avec nous exerce aussi un pouvoir de persuasion.
(quand on partage des points communs)

Pourquoi?
1. ça attire notre attention (ex: produit qui s’adresse à des gens de notre âge)
2. identification à la personne: si c’est bon pour cette personne qui me ressemble ça doit etre bon pour moi

→ similarité a un impact juste si it makes sense avec le contexte
ex: ouvrier pense que il devrait avoir aug. de salaire, je vais persuader mes collègue de demander aug. de salaire pour tt lmonde, il va dire moi jsuis un papa je sais que vous aussi ou vous voulez (similarité) et alors on devrait avoir bon salaire→ lien entre similarité et le contenu du message
→ lien entre qulité de vie et salaire, la similarité makes sens dans le contexte

ex: si il dit moi j’ai les yeux bruns et vous aussi, on devrait avoir aug. de salaire… c’est cave ça marche moins

24
Q

L’impact de la quantité d’infos sur le message

A

la facon de présenter le message
-quantité d’info va augmenter la persuasion mais ça dépend d’autres caractéristiques comme: l’attention de l’auditoire, la qualité des arguments

1.Peu d’attention + Peu d’informations = peu convainquant

2.Peu d’attention + Beaucoup d’informations = convainquant
(gens convaincus de manière superficielle → ils ont pas vrm écouté mais puisque ya bcp d’info ils ont l’impression que le message est important )

3.Beaucoup d’attention + Peu d’informations = peu convainquant
(quand on porte bcp d’attention mais que peu d’info..)

4.Beaucoup d’attention + Beaucoup d’informations
+ Arguments faibles = peu convainquant

5.Beaucoup d’attention + Beaucoup d’informations
+ Arguments forts = convainquant
(convaincu interieurement, vrm convaincu)

25
Q

impact de la répétition sur le message

A

Explications à l’efficacité de la répétition :
Augmente la familiarité.
Favorise le rappel.

Explications à l’impact négatif de la surexposition :
Diminue l’intérêt.
Favorise la réflexion

**peu d’impact aux deux extrêmes

faut répéter le message mais pas de manière excessive

ça dépend aussi de l’auditoire un peu (des gens qui se lâssent vite)

familiarité: tout ce qui est connu, familier, c’est plus rassurant

26
Q

impact de l’ÉCART ENTRE LE MESSAGE ET L’ATTITUDE INITIALE sur le message

A

Explication à l’écart faible (si l’écart est faible dans le changement de l’attitude c’est pcq le message ressemble déjà à ce que la personne pensait) :
Le message ressemble trop à l’attitude initiale.

Explication à l’écart élevé (le message est à l’opposé de l’attitude et la personne va peu changer, le changement demandé est trop important) :
Le changement demandé est trop important, ce qui pousse la personne à réfléchir.

faut que le message soit à l’écart modéré pour qu’il soit accepté/ qu’il amène plus de changement

27
Q

L’ordre de présentation des arguments sur le message, l’étude de miller et campbell

A
  1. l’effet de primauté (premier message a plus persuadé)
  2. effet de récence (deuxième message plus récent on s’en ra^ppelle mieux)

explication:
1.les première infos qu’on reçoit on les retient plus longtemps et mieux
2. avec le temps c’est normal d’oublier une partie des infos du message

l’étude:
participants devaient écouter deux témoins (comme un jury)
ils devaient prendre décision sur culpabilité

-message 1 premier témoin et message 2 deuxième témoin
on fait deux à la suite de l’autre,
1 semaine et ensuite décision: c’est l’effet de primauté qui impacte pcq décision est sur le premier

-message 1, une semaine, message 2, décision→ effet de récence pcq ils ont pas eu temps de l’oublier

-aucune info est oubliée (message 1, 2 et décision en mm temps)

-on oublie les deux pcq quand on fait 2e message c’est comme si on recommence alors message 2 a comme primauté mais là une semaine s’écoule alors mais pas récence pcq info doit venir d’être dite pour ça, si il passe 1 semaine ça s’annule
SO BASICALLY–>
message 1, 1 semaine, message 2, 1 semaine, décision

28
Q

Impact du recours aux émotions négatives sur le message

A

quand on présente le message on ajoute une valeur émotive
→ les politiciens font ça souvent

Condition : pour être efficace, l’émotion négative que nous produisons chez l’autre doit être accompagnée de moyens pour la contrer

le message doit posséder quatre caractéristiques pour que le recours à la peur soit efficace :
1- La sévérité de l’information.
( faut que ca soit assez sévère)

2- Les probabilités que le problème survienne.
(présenter des statistiques: montre aux gens que c’est un vrai problème)

3- L’efficacité de la réponse.
-efficacité de la réponse: c’est quoi la solution pour éviter ce problème (c’est la condition principale)

4- L’efficacité personnelle à agir.
-on incite les gens à utiliser un moyen ex: donnez vos clés à un ami, faites le c’est un ordre→ on renvoie la responsabilité aux gens

explication:
La personne veut éviter de vivre la même émotion déplaisante.

29
Q

impact du recours aux émotions positives sur le message

A

explications: peut etre une seule ou une combinaison

explications:
La distraction cognitive.
-distraction: quand on regarde et qu’on rigole on réfléchit moins (le message nous amène à moins réfléchir (explication cognitive)

La hausse du sentiment de confiance général.
-quand on se sent bien, on a tendance à voir les choses de manière plus positive (explication affective)

La volonté de demeurer dans l’état de bien-être.
-message nous met dans état de bien etre alors on veut garder cet état (explication conative)–> la volonté de demeurer dans état

30
Q

Le maintien de la consistance cognitive les théories

A
  1. théorie de l’équilibre
    2.théorie de la dissonance cognitive
31
Q

la consistance cognitive

A

-La consistance cognitive (aussi appelée consonance cognitive) est le besoin ressenti par l’être humain de garder une cohérence interne.

-Lorsque nous sommes dans un état d’incohérence, nous avons tendance à vouloir rétablir la cohérence. Cela peut nous amener à changer d’attitude afin de retrouver la consistance cognitive.

-mais ça arrive souvent quil y ait incohérence

ex: serveuse est mon patron veut que je sois polie mais ya des jours ou jarrive et je veux juste pas etre gentille mais jpeux pas alors je suis souriante alors qu’à l’intérieur jme sent pas comme ça→ dissonance et fait pas sentir bien

32
Q

La théorie de l’équilibre VOIR SLIDE 35 ET 36

A

fait entrer en jeux nous-meme avec une autre personne et un objet d’attitude (p: nous, a: autre personne et x: objet d’attitude)

4 stratégies pour rétablir l’équilibre

1.Changer d’attitude à l’égard de l’objet.
2.Convaincre l’autre de
changer d’attitude à l’égard de l’objet.
3.Changer d’attitude à l’égard de l’autre.
4.S’imaginer que la situation est complètement différente. ( c’est pathologique, c’est comme halluciner… alors très rare)

truc: si on multiplie les trois symboles ça montre si équilibre ou déséquilibre
→ faut faire de p à a à x
ex: un + fois + fois + donne un + ou - fois - donne +

*****on va choisir la stratégie qui est la moins couteuse pour nous **

33
Q

étude sur la Théorie de la dissonance cognitive 48 rangées de boutons sur un paneau
participants doivent tourner chacun des boutons d’un quart de tournant pendant 30 minutes
ensuite faut enlever et remettre le boutons 30 minutes
(but c’est que le participants trouvent l’expérience ennuyante)

A

(la dissonance cognitive: incohérence)

étude:
48 rangées de boutons sur un paneau
participants doivent tourner chacun des boutons d’un quart de tournant pendant 30 minutes
ensuite faut enlever et remettre le boutons 30 minutes
(but c’est que le participants trouvent l’expérience ennuyante)
ensuite c’est fini MAIS certains participants ont eu la chance de prendre la place de l’assistant de rcehrche et fallait qu’ils disent aux prochains participants cque l’expérience est full intéressante

-3 groupes
-sans mensonge→ ceux qui ont pas eu à remplacer l’assistant→ ils ont pas menti ils ont pas eu de plasir
-mensonge et 20$–> remplacé, ils ont pas taaant aimé ça pas tant menti
-mensonge et 1$–> eux ils ont dit aimer l’expérience

-quand on vit dissonance c’est désagréable et la on a stratégie
→ ils se sont dit pas aimé mais faut mentir, on se sent mal alors pour réduire malaise on se convainc que c’était pas si désagréable,

→ pas chez ceux qui ont 20$ pcq ils savaient quils aimaient oas expérience et quil mentaient mais y’a une raison pour mentir pcq ils vont recevoir 20$ alors pas de dissonance

→ dissonance arrive alors quand y’a incohérence ET quand y’a pas d’explication

34
Q

La théorie de la dissonance cognitive les six postulats fondamentaux

A

Avoir des cognitions (ou attitudes, valeurs, émotions, comportements) entre lesquelles il existe une dissonance est psychologiquement désagréable
(provoque une tension ou un malaise).
(émotion positive pour qqun qui est méchant→ incohérence)

L’individu en état de dissonance tente :
- de le supprimer ou de le réduire afin de retrouver l’état de consonance;
- d’éviter les situations et les informations qui risqueraient d’instaurer ou de renforcer cet état psychologiquement désagréable.

Plus forte est la tension provoquée par l’état de dissonance, plus forte est la tendance à le supprimer ou à le réduire.
(plus on se sent mal plus on va vouloir trouver solution)

La force de la tension provoquée par la dissonance entre les cognitions dépend du rapport entre le nombre et l’importance des cognitions dissonantes et le nombre et l’importance des cognitions consonantes.
–>dans la vie y’a souvent plus que deux cognitions et les efforts dépendent de l’importance de la dissonance (pas apprendre ce qui est mis sur le pp c’est trop compliqué) !!!!!!!!!!

35
Q

Stratégies pour supprimer ou réduire la dissonance :

A

1.l’ajout de cognitions;
-ex: je sais que fumer c’est pas bon mais elle a fumer toute sa vie et est moret à 94 ans

  1. l’élimination de cognitions;
    -ex: avoir une auto c’est pratique mais ça pollue.. ok bin j’arrête de penser au fait que ça pollue avoir une auto alors c’est juste pratique!

3.la banalisation de l’incohérence;
-ah c’est pas grave! ex: diète et la gateau – ah c’est pas grave

4.l’oubli des idées provoquant l’état de tension.
-faire activité pour oublier momentanément l’incohérence ex: jvais aller au cine pour me changer les idées ou go for a drink —> solution temporaire pcq la tension revient après l’activité

36
Q

Les cognitions entre lesquelles existe la
dissonance peuvent résister au changement.
Que faire dans ce cas?

A

en parler peut aider à sortir de la dissonance ou aller voir psychologue

37
Q

étude sur la théorie de la dissonance cognitive Éléments dissonants :
1.Prendre davantage l’avion, consommer plus d’essence
et acheter plus de camions et de VUS qu’il y a 20 ans.
2.Être conscients de l’urgence de s’attaquer à la crise climatique.

A

Éléments dissonants :
1.Prendre davantage l’avion, consommer plus d’essence
et acheter plus de camions et de VUS qu’il y a 20 ans.
2.Être conscients de l’urgence de s’attaquer à la crise climatique.
Comment expliquer cette apparente contradiction?
Les gens estiment que l’incidence du comportement des autres est pire encore, et ça diminue leur propre sentiment de culpabilité quant à leurs choix.
Comment surmonter cet obstacle psychologique et passer des pensées aux actions pour avoir des comportements plus pro-environnementaux?Une des solutions proposées est de supprimer ces justifications qui agissent comme des barrières au changement.

—> explication

quelle stratégie dans le texte?–> ajout d’information (ils on fait mauvais comport. mais ajoutent l’info que les autres sont pires) et une banalisation (autre pire alors moi c’est pas si grave que ça)

38
Q

la dissonance post-décisionnelle

A

Elle se produit lorsque nous devons choisir entre deux options (ou plus) qui nous paraissent de valeur égale.
(-dissonance après avoir pris une décision entre deux choix qu’on trouvait égaux)

ex: elle a deux billets et doit choisir une de ses deux bonnes amies, peu importe le choix elle va se sentir mal pcq elle a laissé une de ses amies

Stratégies pour supprimer ou réduire la dissonance :
- valoriser l’option choisie;
- dévaloriser l’option rejetée