Semaine 12 Flashcards

1
Q

Explique la déviance statistique .

A

Est-ce atypique, différent de la moyenne des individus de la même poulation ?

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Explique l’inadaptation fonctionnelle.

A

Est-ce que cela handicap le fonctionnement de la vie de tous les jours ?

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Explique la déviance sociale.

A

Est-ce que cela déroge ou défie les régles sociales, sociétales ou culturelles établies ?

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Explique la détresse personnelle.

A

Est-ce que l’individu en souffre psychologiquement et/ou physiquement ?

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Comment peut-on convenir ou décider de ce qu’est un «trouble» de la personnalité?

A

Nombre, fréquence, gravité des symptômes ?

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Continue la phrase:
Il faut toujours être …

A

Très prudent avant d’utiliser le terme «trouble» pour parler d’une personne

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Pourquoi le terme «trouble de personnalité» est associé à des croyances fallacieuses a priori sur une personne ?

A

-À cause de son manque de volonté et son manque de sens moral = ce n’est pas nécessairement le cas

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Le terme “trouble de personnalité” est aussi associé à quoi ? et ces croyances peuvent mener quoi ?

A

-Ce terme est aussi associé à des croyances erronées sur l’efficacité des interventions psychosociales (inefficacité…) : même les narcissiques/psychopathes/antisociaux peuvent être traités

-Ces croyances peuvent mener à une stigmatisation de la personne, qui ne vient pas seulement des gens de la population générale, mais aussi des internvenants.es !

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Nomme les 6 critères d’un défaut fatal pour distinguer personnalité noramle vs pathologique.

A

*Si les 6 sont là, il n’y a pas de doute sinon on se pose de plus en plus de questions

  1. La personne avec le défaut ** ne perçoit pas ** qu’elle a un problème
  2. La personne avec le défaut **ne veut pas changer **
  3. La nature du défaut est telle qu’il semble peu propice à une correction ou une modification ** (semble ancré)**
  4. La nature du défaut est telle qu’il y a une probabilité élevée que la personne inflige du mal aux autres ou à elle-même
  5. La nature du défaut est telle qu’il y a une probabilité élevée que la personne **viole la loi **
  6. La nature du défaut est telle qu’il y a une probabilité élevée que la personne avec le défaut va influencer les autres à violer la loi
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Un T.P c’est quoi ?
*pas à apprendre par coeur

A

Des patrons d’adaptation
(a) de longue durée
(b) envahissants
(c) inflexibles des comportements
(e) de l’expérience subjective interne
(f) qui dévient de façon marquée des attentes de la culture d’une personne
(g) qui hypothèquent le fonctionnement social et occupationnel
(h) qui apparaissent à l’adolescence ou au début l’âge adulte.
(i) Certains, mais pas tous, peuvent causer de la détresse émotionnelle»

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Quels sont les deux conceptualisations de la«pathologie» de la personnalité ?

A

Modèles catégoriels = différences qualitatives ; troubles de personnalité : mettre les gens dans des boîtes

Modèles dimensionnels = différences quantitatives ; niveaux très élevés sur les traits de personnalité : mettre les gens sur un continum

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Qu’est-ce que le groupe de travail composé de plusieurs experts avait recommandé de faire avant la parution du DSM-5 ?

A
  • D’abandonner le modèle catégoriel du DSM-IV et de se tourner vers un modèle dimensionnel

Finalement, à la toute dernière minute, les représentants de l’APA ont rejeté les propositions de changement et ont maintenu intégralement le modèle catégoriel composé de 10 troubles (les deux troubles en annexe ont disparus; dépressive et passive-agressive)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Comment un dx est établi dans le DSM-5?

A

Diagnostic est établi en confirmant la présence d’un nombre prédéterminé de symptômes dans une période de temps donnée

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Dans les critères généraux selon le DSM-5 d’un troubles de personnalité, il faut que le patron ce manifeste dans combien domaines ? Et quels sont les domaines ?

Critère A

A

Deux

  1. Cognition (i.e., perception de soi, des autres, etc.)
  2. Affectivité (i.e., diversité, intensité, labilité et adéquation de la réponse émotionnelle)
  3. Fonctionnement interpersonnel
  4. Contrôle des impulsions
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Comment sont les patrons durables ?

Critère B

A

Rigides et envahissants (dans des situations personnelles et sociales très diverses)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Qu’est-ce que le patron entraîne ?

Critère C

A
  • Souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

V/F le patron est stable, de longue durée et ses premières manifestations sont décelables au plus tard à l’adolescence ou au début de l’âge adulte.

Critère D

A

Vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

V/F ce patron durable n’est pas mieux expliqué par les manifestations ou les conséquences d’un autre trouble mental.

Critère E

A

Vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

V/F ce patron durable n’est pas dû aux effets physiologiques directs d’une substance psychoactive (e.g., drogue, médication) ou d’une autre condition médicale (e.g., trauma à la tête).

A

Vrai

20
Q

Le Regroupement A (excentriques ou bizarres) regroupe quels T.P, Nomme les 3 ?

A

-Paranoïde: e.g., suspicion intense et constante; souvent jalousie extrême
-Schizoïde: e.g., sociabilité très faible («ermite»); affects faibles ou quasi absents
-Schizotypique: e.g., idées étranges; ressemble à une “forme moindre” de schizophrénie avec symptômes psychotiques
Prévalence ~ 5,7% (APA, 2013)

21
Q

Le regroupement B (impulsifs, émotionnels ou erratiques) regroupe quels T.P, Nomme les 4 ?

A

-Antisociale: e.g., comportements impulsifs, irresponsables et antisociaux/criminels; manque de culpabilité, d’empathie et d’égard aux autres

-Narcissique: e.g., perception grandiose de soi; fantaisies démesurées de succès

-Histrionique: e.g., dramatiques, «théâtraux»; recherche extrême d’attention

-Limite: e.g., instabilité extrême des émotions et de l’humeur; comportements à risque; peur chronique de l’abandon (réel ou imaginé)
* Le trouble le plus «à la mode» présentement
* Le bon côté est que ceci a généré beaucoup de recherche sur les troubles de personnalité

Prévalence ~ 1,5% (APA, 2013)

22
Q

Le regroupement C (anxieux ou craintifs) regroupe quels T.P, Nomme les 3.

A
  • Évitante: Sensibilité émotionnelle extrême, anxiété dans les situations sociales
  • Dépendante: manque de confiance en soi chronique, dépendance aux autres
  • Obsessive-compulsive: perfectionnisme extrême, besoin de contrôle, rigidité, souvent exagérément orienté vers le travail ou la performance

Prévalence: environ 6% (plus grande prévalence)

23
Q

Quel est le nouvel annexe du DSM- 5 ?

A

Modèle alternatif des troubles de personnalité

24
Q

Quels sont les deux grands critères diagnostiques ?

A

Critère A : Niveau de fonctionnement de la personnalité
Critère B : Traits de personnalité pathologiques
A touche la sévérité, B touche le style de personnalité

25
Q

Critère A : 4 sphères de l’adaptation

A) Soi
1. Identité :

A

Identité: - Expérience de soi-même comme unique, avec des frontières claires entre le soi et les autres
- Stabilité de l’estime de soi et appréciation juste de soi-même, capacité de réguler une gamme d’expériences émotionnelles.

*Déf d’une adaptation positive, si on veut déterminer si une personne a un trouvble = on détermine le contraire de ce pôle

26
Q

Critère A.

A) Soi
2. Autodétermination :

A

Autodétermination: - Poursuite de buts cohérents et signifiants, à court terme et au long cours (sens donné à la vie)
- Utilisation de standards internes prosociaux et constructifs pour les comportements
- Capacité de réfléchir sur soi de façon constructive.

*Tr. narcissique pas cette capacité

27
Q

Critère A

B) Interpersonnel
3. Empathie :

*Les sphères que les personnes TP ont le + de problème : presque 100% des gens qui ont des TP ont des problèmes relationnels

A

Empathie: -Compréhension et appréciation des expériences et des motivations d’autrui
-Tolérance de perspectives diverses ou divergentes
- Compréhension des effets de son propre comportement sur autrui.

28
Q

Critère A
B) Interpersonnel
4. Intimité :

A

Intimité: Profondeur et durée des relations avec autrui
- Désir et capacité d’entretenir des relations proches et intimes
- Comportement interpersonnel témoigne d’une considération mutuelle avec autrui.

29
Q

*On ne classe plus dans les boites
Nomme les différents niveau de limitation ou d’altération du fonctionnement (continum de sévérité)

A

Niveau 0 = aucune ou très peu de limitation
Niveau 1 = limitation mineure
Niveau 2 = limitation modérée
Niveau 3 = limitation sévère
Niveau 4 = limitation extrême

Pour pouvoir établir la présence d’un trouble de personnalité, une personne doit présenter des difficultés (niveau 2 et plus) dans au moins 2 sphères sur 4

Identité, autodétermination, empathie et intimité

30
Q

Quels sont les critères que le DSM-5 ajoute ?

A

Critères C et D (envahissant et stabilité)
- les altérations du fonctionnement de la personnalité et les traits pathologiques de personnalité sont relativement envahissants et surviennent dans des contextes personnels et sociaux divers

  • les altérations du fonctionnement sont assez stables

*les mêmes que la déf au début

Critères E, F et G
L’altération du fonctionnement (trouble de personnalité) ne peut pas être mieux expliquée par un autre trouble mental, par les effets d’une substance psychoactive, par une autre condition médicale, par l’état développemental normal (e.g., adolescence ou âge avancé) ou par l’environnement socioculturel du client

31
Q

Quels sont les traits de personnalité pathologiques proposés par le DSM-5?

A

-Un modèle des traits de personnalité pathologiques

-25 traits spécifiques organisés en 5 traits généraux :

  1. Affectivité négative (vs Stabilité émotionnelle) : Névrotisme
  2. Détachement (vs Extraversion) : Intraversion
  3. Antagonisme (vs Amabilité) : Personnalité antisociale ou psychopathe
  4. Désinhibition (vs Contrainte) : Contrôle
  5. Psychotisme (vs Lucidité)

*comme les traits du big 5, manque O mais ne sont pas des sx de TP

32
Q

Explique les traits pathologiques.

A
  • Pôles négatifs, ou moins souhaitables, ou moins socialement désirables des traits normaux

Mais certaines différences malgré tout :
Aucun trait lié à l’Ouverture à l’expérience
Des aspects du pôle inverse de l’Extraversion se retrouvent autant dans Détachement que Affectivité négative

*Il n’y a pas de frontière claire entre le trouble/normalité, on évalue comme un degré

33
Q

Quel examen est souvent plus révélateur de l’adaptation du client et pourquoi ?

A
  • L’examen du patron général de scores sur les 25 traits pathologiques
  • Par ex., la forte présence de traits liés à l’Antagonisme et la Désinhibition suggère le profil de personnalité antisociale
  • L’évaluation du questionnaire complet est très utile car ceci permet une évaluation de la comorbidité (INT, EXT, PSYCH)
34
Q

Le modèle alternatif permet de classifier les personnes dans un des 6 types ou troubles de personnalité, nomme les.

A

TP antisociale
TP narcissique
TP évitante
TP limite
TP obsessive-compulsive
TP schizotypique

35
Q

Quels sont les avantages de l’approche catégorielle ?

A
  • Algorithme et vocabulaire communs; les professionnels et responsables des organisations parlent le même langage
  • Beaucoup d’études de cas disponibles dans différents volumes aident les cliniciens dans leurs plans d’intervention
  • Facilite les décisions diagnostiques : Plusieurs entrevues structurées validées permettent de facilement d’établir un (ou plusieurs) diagnostics chez un client
36
Q

Quels sont les limites de l’approche catégorielle ?

A
  • Manque des indicateurs (symptômes) importants à l’intérieur de certains TPs
  • Frontières entre le normal et le pathologique sont arbitraires (i.e., nombre prédéterminé de symptômes)
  • Comorbidité très élevée entre certains TPs
  • Hétérogénéité importante entre les individus avec un même trouble
  • Instabilité temporelle des diagnostics
  • Manque d’intégration avec les sciences psychologiques et sociales contemporaines
  • Utilité clinique remise en doute
37
Q

Quels sont les avantages de l’approche dimensionnelle ?

A
  • Reconnaissance de la pertinence de considérer les TPs comme des variantes extrêmes des traits «normaux» de personnalité (Widiger & Trull, 2007) : Intéressant pour le dépistage et l’évaluation clinique en psychoéducation
  • Évite les frontières diagnostiques arbitraires en procurant de l’information sur le normal et le pathologique
  • Augmente l’utilité clinique (e.g., cibler des aspects problématiques plus spécifiques, évaluation plus sensible des progrès de l’intervention, etc.)(Harkness, 2007)
38
Q

Qu’est-ce que la plupart des chercheurs et théoriciens considèrent que les troubles de personnalité prennent leur source quand ?

A

Durant l’adolescence ou même l’enfance (e.g., Paris, 2020)

MAIS, Le DSM dit âge adulte seulement, sauf pour des cas très rares. : ne pas mettre d’étiquettes surtout sur des enfants

DONC ÇA CRÉER UN
Débat : (Shiner & Tackett, 2014)
est-ce des traits prodromiques, des précurseurs d’un trouble, plutôt qu’un trouble formel ?
s’il s’agit effectivement d’un trouble, est-il de même nature que durant l’âge adulte ?

39
Q

Explication des TP chez les jeunes.

A

«Les différentes catégories de troubles de la personnalité peuvent s’appliquer aux enfants et aux adolescents dans les cas relativement rares où les traits de personnalité inadaptés du sujet sont envahissants, durables, sans être limités à un stade particulier du développement ou à un autre trouble mental. II faut préciser que les traits de personnalité qui apparaissent dans l’enfance, souvent, ne persistent pas inchangés chez l’adulte. Lorsque le diagnostic concerne un sujet qui n’a pas encore 18 ans, les caractéristiques doivent avoir été présentes depuis au moins une année»

*Pas à apprendre par coeur

40
Q

Qu’est-ce que les psychiatres et psychologues ont toujours préféré croire dans les TP chez les jeunes ?

A
  • Les adultes ne changent pas facilement, la psychopathologie durant l’enfance et l’adolescence est plus malléable = elle va nécessairement changer
  • Pourtant, si les troubles qui apparaissent très tôt ont un moins bon pronostic, nous devrions logiquement vouloir les dépister tôt = ne pas négliger les sx
  • Chez les jeunes, certains sx sont évidents depuis l’enfance
  • Les gens sont très réfractaires à mettre des étiquettes à des jeunes/ados = bonne chose
41
Q

Westen et al. (2003) ont conduit une étude dans laquelle ils ont demandé à des psychologues et psychiatres praticiens de faire l’évaluation diagnostique d’un adolescent typique dans leur pratique – dont le statut réel était connu, quel est le résultat obtenu et quel conclusion peut on en tirer ?

A
  • Seulement 28% des patients ont obtenu un diagnostic de trouble de personnalité, alors que 75% des adolescents rencontraient réellement les critères pour se voir assigner un diagnostic formel
  • Il y a clairement une hésitation à donner un diagnostic, même si l’APA le permet
  • Les gens sont très réfractoires à mettre des étiquettes à des jeunes/ados = une bonne chose
42
Q

Nomme les arguments contre poser un dx de TP chez les enfants/ados.

A
  • Ne pas «étiqueter» l’adolescent.e et ainsi risquer d’hypothéquer son avenir (l’effet d’étiquetage existe)
  • Diagnostiquer un trouble chronique peut amener plusieurs adultes à «abandonner» un jeune (i.e., les attitudes défavorables des intervenants envers les TPs existent)
  • Le cerveau (et ses fonctions) de l’adolescent.e n’a pas terminé son développement, et donc le diagnostic pourrait être fondamentalement inadéquat
43
Q

Explique les arguments pour poser un dx de TP chez les jeunes/ados.

A
  • L’évidence empirique est assez solide pour affirmer que des cas typiques de troubles de personnalité tels que définis pour l’adulte sont observés chez les adolescents.es dans différents milieux d’intervention
  • Même si les symptômes changent avec le temps, ou même si le diagnostic formel disparait, la majorité des adolescents.es avec des symptômes de trouble de personnalité continuent à avoir des difficultés d’adaptation sérieuses à l’âge adulte
44
Q

Conclusion : les troubles de personnalité, un concept utile en psychoéducation ?

A

Les troubles de personnalité, cela ne concerne pas les professionnels.les de la psychoéducation !»

  • S’il est question du modèle catégoriel traditionnel, c’est plutôt vrai puisque (a) en évaluation pychoéducative nous ne sommes pas concernés par les étiquettes (diagnostics) et (b) en fait, nous n’avons pas le droit de poser un diagnostic formel
  • S’il est question du modèle alternatif, qui est dimensionnel et qui n’oblige pas à poser un diagnostic, oui l’évaluation des troubles de personnalité est très pertinente
45
Q

Si vous décelez une limitation/altération du fonctionnement de la personnalité et des traits inadaptés chez un ou une cliente, ceci indique que cette personne RISQUE quoi ? et vous devez faire quoi ?

A
  • D ’être plus réfractaire au changement
  • Signale que vous devrez mettre en place une intervention plus intensive (i.e., multimodale, dosage élevé)
  • Vous devrez aussi possiblement faire appel à des collègues (e.g., psychologue, psychiatre, sexologue, etc.)
46
Q

Qu’est-ce que les TP nuisent pour les psychoéd ? et nomme les.

A

Différents processus cliniques

  • Alliance: Établissement d’une alliance thérapeutique saine et stable est plus difficile
  • Engagement et maintien: Individus qui complètent moins les tâches demandées et abandonnentplus vite
  • Transfert et contre-transfert: Le travail avec ces personnes est associé à davantage de transfert nuisible et de contre-transfert inadéquat
47
Q

Pourquoi il est important de faire l’évaluation?

A

L’ appréciation du profil psychologique du client, nous informe sur les difficultés possibles qu’on pourrait rencontrer en cours d’intervention en lien avec certains processus cliniques