cours 8 Flashcards

1
Q

Le concept de soi c’est quoi

A

Représentation mentale de soi qui inclut l’ensemble d’attributs, d’aptitudes, d’attitudes et de valeurs qui nous définissent
concept de soi: qui nous sommes en tant que personne
→ lien à faire avec le dev de la personnalité (pas la mm chose par contre)

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2
Q

Théorie psychosociale d’Erik Erikson Le développement du concept de soi déf

A

Le développement du concept de soi favorise le sens d’initiative chez l’enfant
-Engouement à réaliser de nouvelles tâches
-Capacité à participer à des activités avec des pairs
-Volonté de découvrir ce qu’ils peuvent faire avec l’aide d’adultes
→ ils ont du fun à découvrir leur compétences et habiletés
→ à ce stade il peut vivre bcp de culpabilité

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3
Q

Évolution du concept de soi

A

1.Basé sur des caractéristiques observables
-Apparence physique
-Possessions
-Comportements quotidiens
ex: si on demande a un enfant de se décrire il va dire j’ai 4 ans, je suis grand, j’ai des poupées et je sais me brosser les dents

2.Basé sur la description des états internes/psychologiques
-Émotions
-Attitudes
-Traits de personnalité
ex: je suis content d’aller au parc, je suis gentil

3.Émergence de l’estime de soi –>l’évaluation globale que l’on émet par rapport à notre valeur et les sentiments associés à cette évaluation. Cette évaluation peut être émise pour différentes sphères
(p. ex. : apparence, compétences académiques, etc.).
-En raison des limites au niveau du développement cognitif, l’estime de soi chez les enfants d’âge préscolaire n’est pas solide et est souvent erronée

-plus raffiné, plus abstrait → auto-évaluation de ses différentes compétences
→ c’est pas un concept solide, pas vrm défini et comporte bcp d’incohérence, enfants on souvent tendance à surestimer leurs compétences et habiletés et sous-estimer la difficulté d’une tâche
ex: sur estimer leur force et sous estimer à quel point qqchose est lourd
→ le rôle des adultes est de renforcer l’estime d’une manière réaliste donc pas que l’enfant est un super héro, faut ajuster leurs attentes mais aussi les supporter dans leurs habiletés, faire de l’étayage

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4
Q

Les influences du concept de soi

A

1.La relation avec les parents
-Attachement sécure → pcq parent est plus sensible, ils vont refléter à l’enfant ce qui le caractérise
-Lien sensible et chaleureux parent-enfant

2.Les conversations avec les parents
-Style élaboratif (c-à-d., centré sur les états internes de
l’enfant) ex: dis à papa pourquoi tu pleurais? pcq j’ai peur des chiens → nommer ce qui se passe: permet à l’enfant de penser aux choses qu’il aime et aime pas

les deux mènent à
—>Développement d’un
concept de soi précoce, cohérent etstable

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5
Q

Le développement émotionnel étapes

A

1.La compréhension
des émotions
2.L’autorégulation
émotionnelle
3.Les émotions liées
conscience de soi

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6
Q

La compétence émotionnelle

A

capacité à exprimer, réguler et comprendre son
expérience émotionnelle et celle des autres.
Cela nécessite: Une compréhension de la théorie de l’esprit

–>→ comprendre que moi jpeux avoir émo, l’autre aussi et nous deux on peut vivre la mm chose

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7
Q

La compréhension
des émotions

A

1.Développement d’ une compréhension des
causes, conséquences et des signes comportementaux liés aux émotions de base
-Mon ami est triste parce qu’il a perdu son jouet
-Cette compréhension s’explique par un
développement cognitif

2.Explications basées sur des facteurs externes, puis sur des facteurs internes
–enfant va comprendre que son ami est triste et va pouvoir émettre un hypothèse sur pourquoi son ami est triste → explication souvent qqchose externe, qqchose qui peut être perçu → ils ont de la difficulté à baser sur des causes internes
→ plus tard il va être capable de trouver raisons internes comme oh il est triste pcq il pense à son chien qui est mort

3.Difficulté à interpréter des signaux incohérents
en lien avec les émotions
-Exemple du vélo brisé et visage signalant la joie
–>ex: image d’un enfant et un vélo brisé→ si enfant a un sourire et a un vélo brisé il va pas comprendre
→ mais avec dev il va comprendre que c’est pas nécessairement incohérent pcq enfant sourit dans la photo pcq papa a dit quil va lui acheter un nouveau vélo

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8
Q

La compréhension
des émotions–>Facteurs favorisant la compréhension des émotions

A

1.Conversations chaleureuses et élaborées parent-enfant
-Rôle des parents : identifier et expliquer les émotions
–>Favorise un plus grand vocabulaire des émotions chez
l’enfant
→ quand parent prend temps pour expliquer ça aide à avoir plus grand vocabulaire affectif et aide aussi à mieux comprendre ses émotions
→ adulte qui vont plus loin dans la compréhension des émotions ex: tu a l’air fâché mais je peu voir qu’ils y a un peu de tristesse cachée la dedans

2.L’attachement sécure
-Permet des échanges parent-enfant sur les émotions
-Parents qui sont en mesure de répondre de façon sensible aux
émotions de l’enfant
-Les études concluent que les enfants avec un attachement
sécure comprennent mieux les émotions
→ parent qui vont mieux tolérer ce que l’enfant exprime au niveau des émotion: attachement sécure

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9
Q

L’autorégulation
émotionnelle def

A

L’autorégulation émotionnelle : stratégies employées pour ajuster nos états
émotionnels à un niveau adéquat nous permettant d’
atteindre nos objectifs

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10
Q

L’autorégulation
émotionnelle 1. Les acquis qui favorisent l’autorégulation

A
  1. Les acquis qui favorisent l’autorégulation
    -Le développement du langage→ le langage est très important dans la capacité à s’autoréguler
    -La compréhension des émotions→ nommer l’émotion aide à se calmer → passer de qqchose qui est dans l’agir et le mettre dans mots
    -Le développement des fonctions exécutives
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11
Q

L’autorégulation
émotionnelle: 2.Utilisation de stratégies pour apaiser l’expérience des émotions négatives

A

2.Utilisation de stratégies pour apaiser l’expérience
des émotions négatives

-Restrictions des entrées sensorielles: ex boucher ses oreilles ou cacher leurs yeux (quand regarde film d’horreur), se parler à soi meme ex: calme toi, ça va aller

-Se parler à soi-même

-Changements de buts: ex: il veut jouer avec ses amis mais amis veulent pas alors il change son but il veut pas jouer avec ces amis là, il veut jouer avec autres amis

-Réparation du lien: réparer un conflit interpersonnel ex: partager un jouet à la place qu’il y ait une chicane
—>enfants plus jeunes vont davantage utiliser des stratégies comportementales (ex: restriction des entrées sensorielles) et plus vieux stratégies cognitives, interpersonnelles ils vont plus loin que le comportement

–>L’efficacité de ces stratégies augmente avec l’âge
–>Lié au déclin des crises

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12
Q

L’autorégulation
émotionnelle: Autorégulation et compétences sociales

A

-Capacité à fausser leur vraie émotion

-Capacité à inhiber une émotion négative pour en afficher une plus positive afin de favoriser de meilleures relations

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13
Q

L’autorégulation
émotionnelle: Les facteurs qui influencent les capacités
d’autorégulation

A

-Les gains quant aux fonctions exécutives (p. ex. : l’inhibition)

-Le tempérament
→ enfants avec tempérament difficile ont de moins bonnes capacité d’autorégulation

-Le modelage des parents
→ modelage: si parent réagit à la détresse de l’enfant en criant c’est pas bon ça aide pas pour l’autorégulation

-Les stratégies offertes par les parents
→ streatégies: offrir stratégies comme t’as ton toutou , t’a ta veilleuse etc

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14
Q

Les émotions liées à
la conscience de soi

A

émotions impliquant un impact positif ou négatif envers soi (p. ex. : la fierté, la culpabilité, la honte, etc.)
–>L’enseignement parental est essentiel pour le développement des émotions liées à la conscience de soi

À faire: Se concentrer sur la manière dont l’enfant
pourrait mieux agir/faire quelque chose
–>L’enfant vivra un niveau adapté de culpabilité ou de fierté
→ pour le dev de la culpabilité il faut que le parent soit sensible, un parent qui est punitif et dénigrant va développer une culpabilité qui est pas adéquate chez l’enfant il va intérioriser un dénigrement
→ à la place se concentrer sur ce qui aurait pu mieux etre fait→ donner des coups c’est mauvais, à la place tu peux…
→ ça va aussi affecter comment l’enfant vit ses autres émotions de second ordre comme la fierté→ faut que ça soit équilibré

À éviter: Commenter de façon répétitive sur la valeur de l’enfant et les actions/réalisations de ce dernier
–>L’enfant vivra des niveaux élevés de détresse (p. ex. : symptômes dépressifs,
colère, sentiment d’être inadéquat)

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15
Q

Les émotions liées à
la conscience de soi: l’empathie

A

L’empathie : habileté à comprendre et ressentir l’état
émotionnel d’ une autre personne
→ c’est pas une émotion mais une habileté
→ habileté … tout en gardant une certaine distance émotionnelle, pas se laisser emporter

-Le développement d’une meilleure compréhension des
émotions favorise l’empathie chez les enfants d’âge préscolaire

-Plus développé chez les enfants avec un attachement sécure
→ plus développé dans attachement sécure pcq habitués à ce que leurs parents soient attentifs et eux aussi empathique envers l’enfant

-Favorise des liens sociaux positifs

-Parents punitifs/enfants ayant subi de la maltraitance
–>Faibles habiletés empathiques
→ parent qui sont très punitifs→ pas sensibles ont moins tendance a s’intéresser au monde affectif de l’enfant alors enfant moins empathique

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16
Q

Les émotions liées à
la conscience de soi: Comportements prosociaux

A

Comportements prosociaux : ensemble d’actions bien
intentionné visant un gain bénéfique pour autrui (p.
ex. : partager son jouet)
-Favorisé par l’empathie
-Favorise des liens sociaux positifs

17
Q

La validation des émotions
et le rôle des parents

A

→ très important
→ certains parents le font naturellement mais bcp mm si ce sont des parents attentifs et tout sont pas capable de le faire

À faire:
1.Lorsque l’enfant exprime des émotions difficiles, il faut l’écouter et lui permettre
de les exprimer
–Écouter l’enfant de façon attentive → souvent parent ont pas bcp de temps ou patience pour être complètement là et écouter de manière attentive
ex: ok t’es vrm en colère → enfant voit que parent comprend quil a une émotion
→ important de le faire mm si on croit que la crise est exagérée→ pour l’adulte ça peut etre insignifiant mais pour l’enfant c’est reaaaaal —> c’est pas la faute de l’enfant il fait pas exprès
–Accueillir le sentiment à l’aide d’un mot ou son
–Nommer l’émotion
–Utiliser l’imaginaire

2.Ceci, même si on croit que c’est exagéré ou qu’on n’est pas d’accord

À éviter:
1.Certains parents ont tendance à invalider l’émotion de l’enfant
→ c’est ok de poser des questions mais si on est toujours en train de bombarder de questions pour comprendre ça peut etre invalidant
-Négation de l’émotion
-Conseil
-Questions
-Défense de l’autre personne:ex: parent dit que l’ami avait raison et pas l’enfant, enfant va etre encore plus triste
-Pitié:pitié démontre quon regarde la personne de haut et ça peut faire sentir que ce qu’il vit c’est

18
Q

Le développement
du jeu social

A

À l’âge préscolaire, il y a une augmentation des compétences liées aux
relations avec les pairs (p. ex. : les ami.es)
-Une meilleure conscience de soi et une meilleure capacité à comprendre et à communiquer leurs émotions favorisent le développement social
-Le développement des styles de jeu est fondamental au développement des liens
avec les pairs
-Mildred Parten (1932) a conceptualisé le développement du jeu social en 4 styles sur un continuum développemental en trois étapes

19
Q

4 styles de jeu social

A

Solitaire
–>Activité nonsociale
-L’enfant est inoccupé,
est un observateur ou
est dans une activité
solitaire

Interaction limitée
–>Jeu parallèle
Jeu qui présente peu
d’interactions, mais
durant lequel un
enfant s’engage côte à
côte à la même
activité qu’un autre
–> intéraction limitée, mais enfant s’engage dans une activité cote a cote avec un camarade (photo 1) ou ex: regarder l’autre jouer, ils vont pas se parler
→ si un des enfant cesse son jeu l’autre continue

Véritable interaction sociale
1.Jeu associatif: Jeu durant lequel les enfants participent à des activités séparées, mais
échangent des jouets et
commentent sur le
comportement de
l’autre
–>présence d’intéraction mais enore dans un jeu qui est moins élaboré que le jeu coopératif
→ si un des enfants arrête de jouer l’autre va continuer mais on perd une interaction, on perd une richesse dans le jeu, perd dans le plaisir ressenti dans le jeu
2.Jeu coopératif: Jeu durant lequel les enfants ont un objectif commun, comme la
mise en scène d’un scénario (jeu symbolique)

20
Q

Le développement
du jeu social: les styles de jeu et l’âge

A

-Les enfants d’âge préscolaire plus vieux peuvent osciller entre les styles de jeu
ex: retour au jeu parallèle pour prendre une « pause » des jeux qui demandent plus d’interactions et de coopération (jeu associatif et jeu coopératif)

-Le développement d’
un style de jeu plus avancé n’empêche pas aux enfants
de s’engager dans un style antérieur
–>y’a pas de régression si l’enfant décide de faire des jeux de styles antérieurs comme solitaire, c’est pas inquiétant

-Les enfants d’âge scolaire s’engagent autant dans des activités solitaires que
dans des jeux sociaux et coopératifs
→ y’a pas un jeu qui est plus fréquent que l’autre, fréquences similaires

-Le jeu social peut être catégorisé selon le niveau de maturité cognitive

21
Q

Catégorie de jeu en fonction
de la complexité cognitive

A

1.Jeu fonctionnel : Mouvements moteurs simples et répétitifs avec ou sans un objet. Fréquent durant les deux premières années.

2.Jeu de construction: Création ou construction de quelque chose. Fréquent entre 3 et
6 ans. –> jeu de création

  1. Jeux symbolique/sociodramatique : Reconstitution de scénarios fondés sur des éléments du
    quotidien ou sur l’imagination. Fréquent entre 2 et 6 ans.
    –> bcp plus complexe

4.Jeu de règles : Jeu ayant des règles, une structure un objectif comme la victoire. Se développe vers 5/6 ans.
–>une structure est établie, y’a des objectifs pour atteindre la victoire
→ complexité plus poussée, faut qu’il y ait un accord entre tous les participants sur les règles n shit
→ lié au dev cognitif pcq il faut se rappeler des regles et tout

22
Q

Les activités non-sociales inquiétantes

A

-Errance sans but –> genre il s’occupe pas avec un jouet ou il marche et a pas de but

-Observation constante du jeu de ses pairs sans se joindre à eux

-Le jeu fonctionnel qui implique une activité motrice immature/répétitive –> ex: constamment cogner des blocs ensemble

23
Q

Les enfants réticents et qui observent le jeu des autres sans s’y joindre –> caractérsitiques

A

-Tempérament timide/inhibé
–> peur des contextes de socialisation

-Parents surprotecteurs/qui les critiquent ou contrôlent leur jeu
—>ex: à quoi ils devraient jouer, parent va jouer avec l’enfant mais va tout controler ce qui se passe dans le jeu→ enfant dev pas capacité à jouer sans parent

-Présentent une immaturité, sont impulsifs, ont des difficultés émotionnelles et vivent du rejet
—>Les garçons sont plus à risque de vivre du rejet que les filles (socialisation et genre)
→enfants impulsifs souvent jeunes garçons→ impact sur comment les paire vont les percevoir→ vont vivre plus de rejet que les filles par exemple→ ils vont déstabiliser le jeu et c’est plus perturbateur que quand c’est des filles → ça va trop créer de chaos dans le jeu

24
Q

le jeu solitaire

A

pas toujours inquiétant!

-Certains enfants préfèrent jouer seuls, mais présentent de bonnes habiletés sociales
lorsqu’ils jouent et peuvent développer des amitiés positives, mais…
–>Les garçons sont plus à risque de vivre du rejet que les filles (socialisation et genre)
→ un gars qui joue tout seul est vu comme étant plus atypique alors enfants qui voient ça et qui sont très conscients des étiquettes de genre (garçons sont plus sociables) vont le rejeter encore plus

25
Q

Les amitiés et les
relations avec les pairs: 1.Les amitiés

A

1.Les amitiés
-Conception de l’amitié est fondée sur le partage d’activité (fonction ludique)
-Souvent basée sur la similarité des caractéristiques et le genre
-Les enfants prosociaux ont tendance à se faire plus facilement des amis
amitiés→ avec qui je peux jouer, la personne avec qui je joue c’est mon ami alors c’est moins deep
→ jouer avec personnes similaires a nous ex: gars avec gars, filles avec filles

26
Q

Les amitiés et les
relations avec les pairs: 2.La longévité des amitiés

A

2.La longévité des amitiés
-40% des jeunes d’âge préscolaire ont les mêmes meilleurs amis un an plus tard
–>longévité: pas pcq c’est moins deep que c’est moins important

27
Q

Les amitiés et les
relations avec les pairs: 3.Particularités des amitiés à l’âge préscolaire

A

3.Particularités des amitiés à l’âge préscolaire
-Relations symétriques: les enfants se perçoivent comme égaux ex: ils ont le même âge, même école etc

-S’échangent davantage de renforcements (salutations, compliments)
→ comment savoir quils sont amis? ils se saluent, se font des compliments, plus d’intéractions positives

-Jouent davantage ensemble et jouent à des jeux plus complexes et élaborés

-Expriment davantage d’émotions positives et des interactions riches (rires, regards, dialogues)
→ intéractions plus riches avec amis qu’avec juste camarades

28
Q

Les amitiés et les
relations avec les pairs: 4.Avantages des amitiés

A

4.Avantages des amitiés
-Meilleures compétences sociales
-Sont prêts pour l’entrée à l’école et ont un meilleur rendement académique
-Ont un meilleur ajustement psychologique et une meilleure confiance en soi → meilleur bien etre psychologique

29
Q

Les amitiés et la
résolution de problèmes: 1. Les conflits entre pairs favorisent ….?

A
  1. Les conflits entre pairs favorisent l’apprentissage de résolution de problèmes
    -Capacité de résoudre des problèmes par le biais d’une négociation
    -La résolution de problèmes efficace favorise le maintien des liens
    -Les enfants avec de bonnes habiletés de résolution de problème présentent un
    meilleur ajustement psychosocial
    -Avec l’âge, ils vont interpeller l’adulte pour les assister
    bcp de conflit entre pairs à cet âge
    → c’est pas à éviter, ça aide l’enfant à dev de meilleures compétences, capacités de négociation
    → plus ils grandissent plus ils vont demander aide de l’adulte pour aider a resudre conflit (à la place de frapper or stuff like that)
30
Q

Les amitiés et la
résolution de problèmes: 2.Les sujets de conflits à l’âge préscolaire

A

2.Les sujets de conflits à l’âge préscolaire
-La possession d’objets/jouets
-Intégration dans un jeu: ex enfant veut se joindre au jeu mais il se fait refuser
ou contrôle du jeu: comment négocier qui gère le jeu
-Désaccords en lien avec des faits/idées/croyances: ex c’est moi le plus fort pas toi
→ le conflit est centré autour du jeu→ le jeu a une grande place dans leur vie
→ les désaccords sont souvent banals pas tres gros

31
Q

Les amitiés et la
résolution de problèmes: 3.Les enfants avec des difficultés au niveau social

A

3.Les enfants avec des difficultés au niveau social
-Émettent plus d’attributions hostiles:interpréter qqchose que l’autre va faire de manière négative genre penser que l’autre a fait ça et c’est contre moi ex: autre enfant pile sur pied de l’autre et s’excuse mais enfant en difficulté se dit que l’autre a fait exprès et qu’il voulait lui faire mal
-Utilisent des stratégies de résolution de problèmes qui nuisent aux liens: au lieu de négocier ils vont faire qqchose qui fait en sorte que l’autre va plus vouloir être autour de lui
ex: frapper, insulter, vengeance
→ souvent enfants comme ça ils avaient un vie de famille qui a fait en sorte quils ont pas appris bonne strat de résolution

32
Q

Les relations avec les
pairs et les parents

A

L’influence des parents est importante et peut être directe ou indirecte

1.Influences directes
-Organiser des séances de jeu
informelles ou des activités entre pairs: ex: faire des fêtes
-Agir comme un modèle
-Orienter l’enfant en lui donnant des suggestions si nécessaire: ex: c’est bientot la fete à tel, on devrait lui acheter un cadeau

2.Influences indirectes
-Le style d’attachement
-Échanges sensibles et riches sur le plan émotionnel
-Jeu collaboratif parent-enfant
—>Important de se mettre au niveau de l’enfant

33
Q

Le développement
moral: séquence et def

A

Croyance de la présence d’un sens moral inné
-Inclination naturelle aux comportements prosociaux vs antisociaux
-Apparition précoce de comportements moraux
–>ce qui est bien ce qui est mal ce quil faut faire et pas faire

1.À partir de 3 mois, préférence pour un personnage qui aide

2.À partir de 14-18 mois, offrent une aide spontanée:ex: qqchose tombe par terre et il ramasse sans qu’on demande

3.À partir de 18 mois, s’attendent à un partage juste

4.À partir de 21 mois, préfèrent aider une personne bien intentionnée:pref pour une personne chex qui ils percoivent qu’ils avaient une bonne intention, plus poussé pcq il infère l’intention

5.À partir de 2 ans, utilisent le langage pour caractériser la moralité d’une action
et émettent davantage de gestes prosociaux

34
Q

étude sur le développement moral

A

1 experimentateur avec interaction positive et 1 autre avec exp negative
ils reviennent et la un objet tombe par terre et la on veut voir vers qui l’enfant va se diriger pour aider
enfant va préférer aider l’expérimentateur qu’il a vu précédemment avoir une interaction positive

pourquoi? pcq exp. positive semble avoir bonnes intentions

donc→ l’enfant va se poser des questions avant de juste aider qqun en grandissant

cependant….
un enfant est pareil égocentrique.. si le geste moral représente plus une perte (ex jouet échappé c’est son jouet prf) qu’un gain ils va faire un geste immoral ex: garder le jouet pour lui→ gain personnel
–>Si le geste moral implique une perte, le gain peut
guider l’action plutôt que le geste moral

Conclusion sommaire de l’étude
–>Les enfants préfèrent aider une personne qui, lors
d’une interaction précédente, avait l’intention de fournir un jouet plutôt qu’une personne qui ne l’avait pas fait

35
Q

Le théories du
développement moral

A

La plupart des théories sur le développement moral s’entendent que la
moralité de l’enfant est déterminée extrinsèquement par l’adulte
–>Graduellement, l’enfant internalise les standards moraux
→ déterminé par l’environnement, par l’adulte
→ au début il se fie sur l’adulte et ensuite décide par lui mm
–>externe et ensuite devient plus interne

1.La perspective psychanalytique
2.La théorie de l’apprentissage social
3.La perspective cognitive-développementale

36
Q

La perspective psychanalytique

A

-Emphase sur l’aspect émotionnel du développement de la conscience morale

-Freud et le surmoi
—>L’enfant obéit au surmoi pour éviter la culpabilité

—> Mais…
Les études récentes démontrent que la culpabilité, la discipline basée sur
la peur ou la perte de l’amour des parents ne favorisent pas le
développement moral

→ l’enfant va obéir pour éviter de se sentir coupable
→ un dev moral basé sur culpabilité ou discipline ou retrait d’amour favorise pas dev de moralité adaptée et ajustée
→ sooo freud kinda wrong

37
Q

La théorie de l’apprentissage social

A

-Le développement moral se fait par le biais de renforcements et du modelage
→ punitions et récompenses
-le modelage: enfant se base bcp sur adultes

-Le modelage de l’adulte dépend :
–>Adultes chaleureux qui émettent des comportements prosociaux
–>Adultes compétents et des modèles qu’ils admirent
–>Adultes qui sont cohérents dans leurs paroles et comportements –>dit quil est sorry mais le montre pas→ pas cohérent

38
Q

La perspective cognitive-développementale sur le dev moral

A

-L’enfant réfléchit activement aux règles sociales et souhaite y adhérer
–>au niveau cognitif il intègre les normes et va vouloir les suivre

-Les enfants réfléchissent au concept du bien vs le mal
–>Ils ont une bonne connaissance du concept de la justice et l’équité: ex:plus de bonbons un a plus que l’autre: c’est pas juste!!!
–>Grâce aux interactions avec les pairs et/ou la fratrie

-Vers 4 ans, ils distinguent la vérité d’un mensonge et
désapprouvent les mensonges
–>ils peuvent mentir mais cognitivement ils savent que mentir c’est mal

-Ils distinguent les obligations morales des conventions sociales ou des choix personnels

-Cependant, leur raisonnement moral tend à être rigide
–>voler c’est mal point!!!–> y’a pas de nuance
→ si c’est mal c’est mal si c’est bien c’est bien